Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'cibc'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Habsfan, as-tu plus de détails sur la nature des travaux? Seulement le RDC?
  2. http://finance.yahoo.com/news/canadian-baby-boomers-stand-inherit-100000876.html TORONTO, June 6, 2016 /CNW/ - Baby boomers in Canada will inherit an estimated $750 billion over the next decade in the country's largest-ever transfer of wealth, one that is expected to alter the retirement landscape and have potentially significant economic impacts, finds a new CIBC Capital Markets report. Canada currently has just over 2.5 million people over the age of 75, of which close to 45 per cent are widowed, the report says. The number of elderly people in Canada today represents a 25 per cent jump over the level seen a decade ago. "We estimate that the coming decade will see close to $750 billion exchanging hands, almost 50 per cent more than the estimated amount of inheritance received over the past decade," says Benjamin Tal, Deputy Chief Economist, CIBC Capital Markets, who authored the report The Looming Bequest Boom – What Should We Expect? "The transfer is estimated to boost the asset position of Canadians 50-75 years old by no less than 20 per cent." There will be even more Canadians aged 75+ in the next decade, who will not only be the largest cohort of that age group on record, but also wealthiest, with an estimated total net worth north of $900 billion. He expects this shift in wealth, coming when boomers themselves are approaching retirement age, can potentially impact Canada's retirement landscape as well as many facets of the economy, including labour force participation, the real estate markets and transform income inequality into wealth inequality.
  3. MONTRÉAL - En l'honneur de Jean Béliveau, décédé le 2 décembre, la Banque CIBC a allumé les lumières de certains étages de son siège social de Montréal de façon à former le chiffre 4, soit le numéro porté par l'ancien célèbre capitaine des Canadiens de Montréal. Les quatre côtés du gratte-ciel situé sur le boulevard René-Lévesque, visible d'un peu partout au centre-ville, étaient illuminés de cette façon, samedi soir. «M. Béliveau était l'un des meilleurs joueurs de tous les temps, mais aussi un homme exceptionnel qui a embelli la vie de bien des gens dans la province et au Canada, a déclaré Victor Dodig, président et chef de la direction de la Banque CIBC, dans un communiqué. Nos employés cherchaient une façon appropriée de lui rendre hommage.» L'homme derrière cette idée est Luc Grenier, un conseiller en placement. http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/canadiens/archives/2014/12/20141206-220113.html
  4. Il a sauvé le Théâtre Rialto et dénoncé le «scandale des garderies libérales». Ezio Carosielli se paye aujourd'hui l’Édifice CIBC, un autre joyau patrimonial au 265, Saint-Jacques, l'ancienne rue des banques, dans le Vieux-Montréal. «Ce sera le Théâtre Saint-James», annonce l’homme d’affaires en tous genres, à la fois avocat, amateur de beaux immeubles et propriétaire de garderies. «Nous ferons comme au Théâtre Rialto : des spectacles, des lancements de disques, des mariages, des pièces de théâtre… Tout ce qui rassemble deux personnes et plus, on le fait !» Les Bitton ne savaient plus trop qu'en faire.Le vendeur est une compagnie à numéros que détient la famille fondatrice de Buffalo Jeans. Elle avait acquis l’immeuble en 2010 de la CIBC après que la banque eut fermé la succursale. Fin 2011, Gabriel Bitton a tenté de le revendre en vain pour 5,7 M$, selon des documents de vente de Cushman & Wakefield. Il vient de la laisser à Ezio Carosielli pour 4,05 M$. «C'est un vrai gentleman», assure le nouveau propriétaire. Un gentleman qui revend tout de même l'immeuble presque un million plus cher que payé en 2010. L’édifice de 35 500 pieds carrés, que le ministère de la Culture et des Communications a l’intention de classer, nécessite peu de travaux, assure Ezio Carosielli. Il prévoit ouvrir dès décembre ou janvier son nouveau Théâtre Saint-James. Seul un permis d’amphithéâtre de la Ville de Montréal est nécessaire, dit-il. «L’idée, c’est de mettre en valeur ce qu’il y a déjà là.» Payant, les spectacles dans les immeubles patrimoniaux ? «Tout-à-fait. Il y a moyen de faire de l’argent avec la culture, répond-il. Mon entreprise est à but lucratif.» Édifice de prestige De monumentales colonnes romaines de granit ornent la façade de l’immeuble d’architecture classique, construit de 1907 à 1909. Il abrite une immense salle de guichets, cinq chambres fortes, de nombreux bronzes, des marbres et une collection de toiles. La Canadian Bank of Commerce, puis la Canadian Imperial Bank of Commerce - après une fusion en 1961 - ont occupé l’édifice jusqu’en 2010. L’organisme de protection du patrimoine Héritage Montréal s’est inquiété de son sort quand l’institution torontoise a décidé de le vendre. Ezio Carosielli a la manie de sauver les immeubles patrimoniaux. Pour 2,1 M$, il a mis la main en 2010 sur le Cinéma Rialto, avenue du Parc, dans le Mile-End. L’ancien propriétaire, Elias Calogeras, voulait le transformer en centre commercial et avait déjà commencé à le dégrader. Mais la valeur patrimoniale de l’édifice, érigé en 1924, est reconnue à la fois par la Ville, Québec et Ottawa, et l’homme d’affaires n’avait pu aller de l’avant. Garderies: le libéral insoumis L’entrepreneur est pour le moins éclectique. Le premier actionnaire de Théâtre Rialto Productions inc., Le Groupe Merveilles d’Ezio Carosielli, possède aussi dix garderies privées. Bien au fait de ce qui se trame dans ce domaine, c’est lui, le militant libéral insoumis, qui a alerté le Vérificateur général au sujet du «scandale des garderies libérales». Se qualifiant lui-même de «connaissance» du ministre déchu Tony Tomassi, responsable du dossier à l’époque, l’avocat avait néanmoins dénoncé la revente de permis de garderies pour des sommes allant jusqu’au demi-million de dollars. Le Parti québécois avait dénoncé le réseau «à la Wal-Mart» du Groupe Merveilles, qui avait obtenu des permis pour offrir au total 800 places dans ses dix garderies. Bon militant libéral, Ezio Carosielli dit avoir versé avec sa famille quelque 14 000 $ à l’ancien parti de Jean Charest depuis 2003. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/vieux-montreal-le-theatre-rialto-achete-ledifice-cibc/550493/1
  5. C'est sur le site de Dev3D (http://www.dev3d.com/). Il n'y a aucun détails, juste un image qui date d'octobre 2007, donc le projet est récent, très récent. Je compte 17 étages, et elle est située sur Stanley, au coin de Cypress. C'est le dernier terrain libre sur le bord du square dorchester, derrière la tour CIBC.
  6. (Courtesy of the Financial Post) RBC (#10 in the world, #1 America's) Interesting thing is, RBC was 17th or 19th back in 2007. Banking industry stats (different countries) (Courtesy of CNBC)
  7. CIBC on St Jacques moved into Quebecor-Videotron and now RBC on St Jacques is planning on moving into the "Stock Exchange Tower" near Square Victoria in 2012. I am quite surprised to get a letter from RBC this morning saying they were moving. It was such a wonderful location. I guess the rent was getting to high for them. Seeing in the letter, they were only occupying about 20% of the building now. Interesting thing is about the RBC building, its owned and managed by a company that operates out of Halifax, but the head guy runs a business in New York called "Time Equities Inc". The company in Halifax is called "360 St Jacques Nova Scotia Inc" or something like that. Whats more interesting is, the head office is in a building called "Bank of Montreal Tower". One of the owners/members/chairs part of "360 St Jacques Nova Scotia" is Montreal's own George Coulombe that over sees 360 St Jacques (RBC building) here in Montreal. One thing that was interesting in the letter was that RBC actually sold the building back in the 60s. Anyways I just wonder who will take up the space at CIBC and RBC now.
  8. Quelqu'un sait ce qui se passe?? Je vois le bordel de ma fenêtre... je croyais que c'étais un exercice de feu, mais non il y a une ambulance qui a quittée les lieux...
  9. Vers une période soutenue de croissance au Canada Publié le 25 mai 2009 à 16h19 | Mis à jour à 16h22 La Presse Canadienne, Ottawa Les Canadiens peuvent s'attendre à une période soutenue de solide croissance au cours de la décennie à venir, mais cette période sera différente de la plus récente qui s'est soldée par un effondrement de l'économie, selon un rapport de la Banque CIBC.(T.TCM) La prochaine décennie verra l'économie mondiale changer de façon fondamentale, mais aura aussi des airs de déjà-vu pour le Canada puisque l'ouest du pays retrouvera sa place au premier plan, le dollar canadien sera fort et la valeur des actions montera en flèche, affirment les économistes de la CIBC. L'économie canadienne dépendra moins des consommateurs ou des Etats-Unis, ce qui constituera pour elle le plus important changement, ont écrit dans leur rapport les économistes Avery Shenfeld et Benjamin Tal. Dans l'ensemble, les deux spécialistes dressent un portrait rose d'une décennie qui se mettra en branle lentement l'an prochain, mais qui démarrera vraiment grâce à la croissance mondiale et la poussée de la demande des consommateurs dans les économies émergentes comme la Chine et l'Inde, de même que dans les pays riches en pétrole comme les nations membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et la Russie. «Je suis optimiste, en particulier par rapport à ceux qui disent que l'économie s'est enfoncée dans un trou si profond (...) que nous allons en payer le prix», a indiqué M. Shenfeld, économiste principal à la CIBC. «Ce n'est pas parce que la croissance de la dernière décennie reposait de façon exagérée sur un effet de levier que nous sommes condamnés à une lente décennie de croissance mondiale», a-t-il ajouté. L'économie du Canada sera stimulée par les exportations, en particulier celles des produits de base, dont les prix retrouveront une partie de leur lustre grâce à la hausse de la demande dans les marchés en pleine croissance. «Nous n'allons pas rompre nos liens avec l'économie américaine, mais la nature de ce que nous vendons dans le monde sera beaucoup plus déterminée par la demande en provenance de l'Extrême-Orient. Même (dans le cas des matières premières) que nous vendons aux Etats-Unis, les prix seront davantage déterminés par l'Extrême-Orient», a indiqué M. Shenfled. La baisse de l'importance des Etats-Unis aura un impact sur le dollar américain, qui perdra 20 pour cent de sa valeur au cours de la décennie, selon le rapport. En contrepartie, la valeur du huard sera de nouveau supérieure à celle du dollar américain. Cela aura un effet négatif sur le secteur manufacturier du Canada central et les exportations de produits forestiers, mais profitera au secteur des ressources de l'Ouest.
  10. Les banquiers québécois tiennent à leur cagnotte Publié le 04 février 2009 à 06h01 | Mis à jour à 06h04 (Montréal) Les dirigeants des trois plus grandes banques canadiennes renoncent à certaines de leurs primes en ces temps difficiles. D'autres le font aussi ailleurs, par choix ou parce qu'on leur force la main. Mais ici, les dirigeants des deux banques québécoises ont décidé de garder toute la cagnotte qu'ils considèrent leur être due. Les deux principaux banquiers du Québec veulent toutes leurs primes salariales, malgré la conjoncture économique et financière difficile. Ainsi, Louis Vachon, président et chef de la direction de la Banque Nationale (T.NA), et Réjean Robitaille, de la Banque Laurentienne (T.LB), n'ont pas l'intention d'imiter leurs homologues torontois qui renoncent à des millions de dollars en primes salariales, en invoquant la situation économique difficile. «La réponse est non. Ces primes font partie de la rémunération totale de M. Vachon et il n'a pas l'intention d'y renoncer», a indiqué le porte-parole médiatique de la Banque Nationale, Denis Dubé. «Ces primes ont été consenties par le conseil d'administration parce que la banque a obtenu de meilleurs résultats en 2008 par rapport aux cinq autres principales banques canadiennes.» Commentaire semblable à la haute direction de la Banque Laurentienne. «M. Robitaille n'a pas l'intention de renoncer à une partie de sa rémunération parce qu'elle reflète la performance de la banque l'an dernier, qui a dépassé tous ses objectifs financiers», a indiqué Gladys Caron, vice-présidente aux affaires publiques. Pourtant, depuis le début de la semaine, les présidents de trois des plus grandes banques canadiennes ont renoncé publiquement à 16,7 millions en primes auxquelles ils étaient admissibles, selon les clauses de leur contrat professionnel. Deux de ces présidents, Gordon Nixon de la Banque Royale (T.RY), et Bill Downe, de la Banque de Montréal (T.BMO), ont renoncé en tout à 9 millions en primes qui leur auraient été versées en options d'achat d'actions et autres titres liés à la prochaine performance financière et boursière de leur banque. Pour les présidents des banques Nationale et Laurentienne, la renonciation à leurs primes semblables pour 2008 équivaudrait à 4,1 millions, la moitié environ de leur rémunération combinée de 7,33 millions. À lui seul, Louis Vachon devrait renoncer à 3,2 millions en primes de titres de sa rémunération totale de 5,28 millions. Par ailleurs, fait très inusité, les présidents Nixon et Downe ont annoncé leur désistement après que leurs primes eurent été convenues avec le conseil d'administration de leur banque respective, et détaillées même dans leur circulaire envoyée aux actionnaires en prévision de leur prochaine assemblée annuelle. Bill Downe, de la Banque de Montréal, a indiqué que «ma décision de renoncer à cette rémunération est le résultat de ma réflexion face à la situation économique actuelle». Pour Gordon Nixon, président de la Banque Royale, renoncer à des primes déjà convenues est «une bonne décision pour moi et pour la banque, en raison de l'état actuel des marchés mondiaux et des défis que doivent relever tant de citoyens au Canada et ailleurs dans le monde». Relations publiques Geste significatif ou vil exercice de relations publiques? «Je dis chapeau à M. Nixon et M. Downe dans le contexte économique et financier actuel, même s'il y a un peu de gestion d'image personnelle et de relations publiques dans ces décisions», a commenté Michel Nadeau, directeur général de l'Institut sur la gouvernance d'organisations privées et publiques. Quant à l'autre président de banque ayant renoncé à des millions en rémunération admissible, il s'agit de Gerry McCaughey, de la Banque CIBC (T.CM). Sa renonciation est considérable: au moins 7,6 millions amputés d'une rémunération qui aurait pu atteindre 12,9 millions. Toutefois, ce montant était prévu pour la rémunération 2007 du grand patron de la banque CIBC, selon son protocole particulier d'évaluation salariale différée. (Sa rémunération pour l'exercice 2008 sera déterminée après la fin de l'exercice 2009.) Aussi, à la différence des présidents de BMO et de RBC, cette réduction avait été négociée par étapes entre le conseil d'administration et M. McCaughey, à sa demande. Cette démarche est aussi expliquée dans la circulaire envoyée aux actionnaires de la banque CIBC. Du côté des deux autres grandes banques, le président de la Scotia, Richard E. Waugh, a déjà subi une réduction de sa rémunération admissible de 25% pour l'exercice 2008, à 7,5 millions. Mais il n'a pas encore dit mot de son intention d'imiter ou non ses vis-à-vis torontois en renonçant à la part de sa rémunération qui est constituée d'options d'achat d'actions et d'autres titres, pour une valeur de trois millions. Quant à la banque Toronto-Dominion, elle n'a pas encore publié sa circulaire de direction qui détaillera la rémunération de ses hauts dirigeants. LA RÉMUNÉRATION DES BANQUIERS LOUIS VACHON Président de la Banque Nationale Rémunération totale prévue (1) 5,28 millions var. un an: "40% Rémunération après désistement Aucun renoncement RÉJEAN ROBITAILLE Président de la Banque Laurentienne Rémunération totale prévue (1) 2,04 millions var. un an: "42% Rémunération après désistement Aucun renoncement GERRY McCAUGHEY Président de la Banque CIBC (2) Rémunération totale prévue (1) 12,96 millions var. un an: "85% Rémunération après désistement 5,3 millions var. un an: -23% GORDON NIXON Président de la Banque Royale Rémunération totale prévue (1) 9,56 millions var. un an: -18% Rémunération après désistement 4,6 millions var. un an: -60% BILL DOWNE Président de la Banque de Montréal Rémunération totale prévue (1) 6,37 millions var. un an: -34% Rémunération après désistement 2,27 millions var. un an: -76% 1: Rémunération totale selon la circulaire de direction: salaire et prime au comptant, options d'achat d'actions et autres titres de valeur, prestations de fonds de retraite, autre rémunération spéciale. 2: Le calcul de la rémunération du président de la Banque CIBC est décalé d'un an en fonction des résultats subséquents, donc pour 2007 dans ce tableau. Sources: banques
  11. CIBC : Montréal perd son élan * Anne Robert, Lesaffaires.com * 10:08 On fait faillite plus fréquemment à Montréal. L’activité économique a considérablement ralenti à Montréal lors des six derniers mois selon une étude économique de la banque CIBC. L’emploi s’enlise, les faillites sont élevées et l’immobilier ralentit. Montréal a ainsi perdu de son élan lors des six derniers mois. Elle ne se classe qu’au 13ème rang de la liste des villes canadiennes les plus dynamiques. La grande gagnante du dynamisme est Regina, ville du Saskatchewan portée par les développements dans les matières premières et l’énergie. Malgré la crise financière, Toronto demeure deuxième. À Montréal, le nombre d’emplois a reculé entraînant les consommateurs dans un cercle vicieux de faillites. 35 consommateurs sur 10 000 sont en faillite, contre un taux de 20 pour 10 000 à Toronto et de 10 pour 10 000 à Calgary. Montréal est au premier rang des faillites d’entreprises. Elles sont 10 pour mille à avoir déposé leur bilan, alors qu’à Toronto le taux tombe à 7 pour 1000 et à 2 pour 1000 à Vancouver et Calgary. Au palmarès des faillites d’entreprises, Montréal, Québec, Saguenay et Trois-Rivières sont les premiers classés. L’immobilier a aussi connu un ralentissement important. Les ventes de logements ont baissé de 30% et les mises en chantier ont aussi reculé de 30%. Mais le prix moyen des logements continue de progresser, alors qu’il recule à Toronto et dans l’Ouest canadien.
  12. Invoquant un «climat économique de plus en plus difficile», l’institution bancaire anticipe maintenant que le TSX atteindra 11 000 points à la fin de l’année 2009. Pour en lire plus...
  13. L'actuel grand patron de Télésystème entrera en fonction le 26 février. Pour en lire plus...
  14. La Banque CIBC déclare des profits qui ont fondu de moitié à 436 M$ ou 1,06 $ par action à son quatrième trimestre. Pour en lire plus...
  15. La banque n'a toujours pas éclairci le mystère entourant la disparition possible de renseignements personnels au sujet de près d'un demi-million de ses clients, deux ans après l'incident. Pour en lire plus...
  16. C’est ce que pense Jeff Rubin, économiste en chef à la Banque CIBC dans un rapport publié mardi. Pour en lire plus...
  17. Jeff Rubin, économiste en chef chez CIBC, croit que les cours du pétrole «sont plus à blâmer pour le ralentissement économique mondial» que l’effondrement du marché immobilier américain. Pour en lire plus...
  18. La banque réduit son exposition aux risques dans au secteur immobilier résidentiel américain grâce à un accord avec Cerberus Capital Management. Pour en lire plus...
  19. Cherchant à minimiser l'impact de ce marché sur ses affaires, la banque torontoise décroche un investissement de 1,05 G$ US du fonds américain Cerberus. Pour en lire plus...
  20. Une étude de Marchés mondiaux CIBC, qui se base notamment sur la santé financière des familles, vient contredire les sombres prévisions sur l'immobilier canadien. Pour en lire plus...
  21. Les titres des institutions étaient tous en recul après le séisme sur les marchés mondiaux suivant la faillite de la banque d'affaires Lehman Brothers. La CIBC perdait 4 % tout comme la Banque Royale. Pour en lire plus...
  22. L'économiste en chef de CIBC Marchés mondiaux a décidé d’abaisser la cible de l'indice la faisant passer à 13 000 points sur fond de ralentissement économique. Pour en lire plus...
  23. Les automobilistes devraient s'attendre à ce que le litre atteigne 1,75 $ alors que des tempêtes menacent d'interrompre la production dans le golfe du Mexique, dit Marchés mondiaux CIBC. Pour en lire plus...
  24. La CIBC indique que le marché canadien des prêts hypothécaires demeure en progression mais estime que «ce rythme de croissance est insoutenable». Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...