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  1. La Chambre a entamé ce matin une réunion au cours de laquelle elle doit débattre pendant 90 minutes sur le plan de sauvetage de 700 G$ US qui a déjà l'appui du Sénat. Pour en lire plus...
  2. «On a déjà connu ça à Windsor, des mauvais cycles dans l'automobile. Nous sommes les premiers touchés mais aussi les premiers à rebondir quand le marché reprend.» Pour en lire plus...
  3. Publié le 01 octobre 2008 à 07h52 | Mis à jour à 07h54 Sommes-nous prêts? Alain Dubuc La Presse Je suis un optimiste. Je ne crois pas que le Canada sera emporté dans la tourmente américaine. Notre économie sera certainement affectée par ce qui se passe au sud de la frontière. Mais parce qu'elle est solide, parce que nos institutions sont différentes, le choc sera limité. Mais nous serons bousculés. Ça va brasser. Le ralentissement, déjà mesurable, sera plus prononcé. Et la possibilité que les choses aillent plus mal que prévu n'est, hélas, jamais à écarter. Serons-nous prêts? Pourrons-nous compter sur des dirigeants capables d'inspirer confiance, de bien réagir, de naviguer dans la tourmente? Si l'on se fie à ce qui s'est dit sur ce sujet, pourtant central, dans cette campagne électorale, il n'y a pas de quoi être rassurés. La performance la plus préoccupante est celle du chef conservateur Stephen Harper, dont les politiques doivent être scrutées avec plus d'attention, parce qu'il est premier ministre et qu'il le restera fort probablement. À ma connaissance, M. Harper est le seul leader d'un pays industrialisé à ne pas s'inquiéter publiquement de la crise mondiale, à ne rien proposer et à faire le pari du «business as usual». J'ai déjà critiqué la loi du silence des conservateurs. Mais plus les événements déboulent, plus ce minimalisme est insupportable. Il est vrai que l'économie canadienne est saine et solide. Mais on ne peut pas se borner à évoquer du bout des lèvres les «turbulences internationales» et à vanter les éléments fondamentaux de l'économie canadienne. Ça devient surréaliste. Les conservateurs peuvent bien rappeler ad nauseam qu'ils ont baissé la TPS de 7 à 5%, pour bien illustrer le fait que le devoir économique d'un gouvernement se limite à bien gérer les finances publiques et à baisser les impôts. La TPS à 5%, ça fait une belle jambe aux industriels qui ont du mal à exporter aux États-Unis, aux entreprises craignant un resserrement du crédit ou aux travailleurs dont le REER est en train de fondre. Ce minimalisme s'explique par le désir de M. Harper de rassurer l'électorat et de proposer l'image d'un leadership responsable. Mais il trahit aussi une idéologie de la non-intervention, et une rigidité qui ne lui permet pas de modifier son dogme quand les événements l'exigent. Même le président Bush, pourtant franchement néo-libéral, n'a pas hésité pas à intervenir. M. Harper, le seul à ne rien dire et à ne rien faire, est devenu une espèce de Martien en Occident. Ce qui est dommage, c'est que les libéraux n'aident pas beaucoup à ramener le débat là où il devrait être. Stéphane Dion et son entourage tirent à boulets rouges sur les conservateurs, décrivent en termes apocalyptiques leur gestion passée, affirment que la performance économique canadienne est la pire du G8, annoncent que Stephen Harper, émule de George W. Bush, amènera l'économie dans un mur. Ce sont des attaques inutilement grossières. Car la vérité toute nue est déjà accablante: les conservateurs n'ont rien fait et ne veulent rien faire. Peut-être que ces débordements s'expliquent parce que les libéraux n'ont pas, eux non plus, d'idées très claires sur la voie à suivre. Il est évident que Stéphane Dion, héritier de la tradition libérale, se distingue clairement de son adversaire conservateur, qu'il n'est certainement pas un apôtre de la non-intervention. Mais que ferait-il au juste? Il ne s'agit pas de prendre les grands moyens. La situation canadienne n'a rien à voir avec celle des États-Unis. Nous avons un problème: notre dépendance face au marché américain et notre vulnérabilité aux soubresauts mondiaux. Mais nous avons des atouts: un système financier sain, une économie diversifiée et résiliente, des finances publiques saines, une culture économique qui ne mène pas autant aux excès, et un système politique où le pouvoir, centralisé, permet la prise de décision. Il n'est donc pas question d'injecter des milliards dans la relance ou de se lancer dans des plans de sauvetage improvisés. Mais il y a certainement des choses à faire. Des exemples? Abandonner, pour l'instant, toutes les promesses électorales, pour bâtir un fonds de contingence et se donner ainsi une marge de manoeuvre. Ou encore, proposer des initiatives qui montreraient que quelqu'un est à la barre, prêt à intervenir si cela est nécessaire. Par exemple, doter le Canada d'une sorte de cellule de crise, pour suivre de près l'évolution de la conjoncture, pour coordonner les actions avec les provinces, pour avoir un diagnostic précis de l'état de santé de nos institutions financières, pour atténuer les risques d'un resserrement du crédit. On parlera beaucoup d'économie lors des débats des chefs de ce soir et de demain soir. Pour échanger des insultes, ou pour montrer un sens du leadership?
  4. La crise actuelle n'est pas que financière. De plus en plus, elle touche les entreprises, dont les clients de Domtar. Pour en lire plus...
  5. Ces emplois coupés se feront à 90% dans la société de services informatiques EDS que le géant vient d'acquérir, dans le cadre du plan de 24 600 suppressions d'emplois sur trois ans déjà annoncé. Pour en lire plus...
  6. Le groupe détient déjà plusieurs bannières de restauration rapide, dont Sushi Shop, Tiki-Ming, Veggirama, La Crémière, cultures et Caférama. Pour en lire plus...
  7. Les prix du pétrole du baril de pétrole sont tombés brièvement sous les 100 $ à New York vendredi, seuil sous lequel il était déjà passé à Londres mardi. Pour en lire plus...
  8. Vous est-il déjà arrivé de sortir d'une réunion avec la vague impression d'avoir perdu votre temps? Si c'est le cas, c'est que la réunion était mal préparée. Pour en lire plus...
  9. Les cambistes commencent à prendre le gouvernement britannique au mot et ils font en sorte que la livre anglaise, déjà malmenée, s'oriente vers sa pire année depuis 1992. Pour en lire plus...
  10. L'essoufflement qu'on annonce déjà depuis un certain temps est là, résument les économistes interviewés par LaPresseAffaires. Pour en lire plus...
  11. La direction du constructeur aéronautique tente d'éviter un conflit qui porterait un nouveau coup à son nouvel appareil, le 787 Dreamliner, déjà victime de retards. Pour en lire plus...
  12. La fermeture de l'usine, qui ne devrait pas rouvrir avant 2010, obligera la mise à pied de 120 travailleurs. Plus tôt cette année, 70 employés avaient déjà perdu leur emploi. Pour en lire plus...
  13. Il se peut que l'embellie sur les marchés boursiers américains soit déjà terminée cette année et il ne faut pas se fier aux prévisions trop optimistes des analystes. Pour en lire plus...
  14. La Canadienne détient déjà 4,9% d'Euro Ressources, une société française qui acquiert des droits et perçoit des redevances sur la production de mines, notamment d'or. Pour en lire plus...
  15. Le géant de l'alimentation a pris cette décision alors que les enquêteurs cherchent toujours la cause de la bactérie mortelle Listeria qui a déjà tué six personnes. Pour en lire plus...
  16. Pendant que des producteurs de margarine se frottaient les mains, les producteurs de lait préparaient déjà une riposte en s'attaquant au nom de la matière grasse oléagineuse tant redoutée. Pour en lire plus...
  17. Selon lui, la preuve comptable qui sera présentée lors du procès au criminel a déjà été jugée lors du procès pénal de Vincent Lacroix. Pour en lire plus...
  18. Le Cirque du Soleil à vendre ? 16 juin 2008 - 11h21 LaPresseAffaires.com Le Cirque du Soleil serait à vendre. Enfin, c’est ce qu’affirme le London Daily Telegraph dans son édition de lundi. Le populaire cirque qui a des activités partout sur le globe aurait été approché par plusieurs acheteurs potentiels notamment un groupe d’investisseurs de Dubaï. Le nom de ce possible acheteur n’est pas nommé par le quotidien anglais, mais la transaction pourrait valoir 2 G$. Nakheel PJSC, promoteur des fameuses îles de Dubaï, a déjà offert au Cirque du Soleil de construire un théâtre permanent sur un des complexes, la Palm Island. Un porte-parole du Cirque du Soleil a indiqué que la nouvelle selon laquelle la troupe aurait été approchée par Istithmar, une firme associée à Nakheel, n’est que «rumeurs et spéculations».
  19. La Chine a déjà remporté la plupart des «médailles» des «Olympiades financières» parce qu'elle a évité les investissements dans les titres de dette désastreux. Pour en lire plus...
  20. De nombreuses entreprises veulent prendre la relève de GM Canada dans la location de véhicules. Le leader nord-américain a provoqué un «tremblement de terre» en annonçant l'abandon de la location à ses concessionnaires. Pour en lire plus...
  21. GM coupera 5000 postes de cols blancs 30 juillet 2008 - 14h10 Agence France-Presse GM coupera 5000 postes de cols blancs d'ici novembre. Le constructeur automobile General Motors (GM) veut supprimer d'ici novembre 5000 emplois chez ses cols blancs américains, dans le cadre de ses mesures de restructuration. C'est ce qu'affirme le Wall Street Journal en ligne mercredi, citant des sources proches du dossier. Ces suppressions représentent environ 15% des salariés payés au mois - essentiellement du personnel administratif - du groupe aux États-Unis. GM emploie quelque 32 000 cols blancs aux États-Unis. Les ouvriers de production, payés à l'heure, ne sont pas concernés par ces nouvelles mesures, dont le principe avait été annoncé il y a deux semaines. Le constructeur va recourir à de nouveaux départs volontaires, selon le quotidien, un procédé qui lui a déjà permis de dégrossir les rangs de ses effectifs d'ouvriers depuis le début de sa restructuration, fin 2005. Mi-juillet, GM a dévoilé un nouveau train de mesures d'austérité pour survivre à l'effondrement du marché américain, reposant notamment sur 10 G$ d'économies de fonctionnement d'ici 2009. Le constructeur, qui publie ses résultats du deuxième trimestre vendredi, a déjà averti qu'il devrait encore enregistrer des pertes «significatives» pour ce trimestre.
  22. Montréal lorgne la série Sprint Pierre-Marc Durivage - La Presse 30 juillet 2008 | 07 h 12 Le vice-président opérations de Stock-Car Montréal, François Dumontier, souhaite attirer les bolides de la série Sprint dans la métropole. François Dumontier ne s'en cache pas: il souhaite attirer la série Sprint à Montréal. «On veut être les premiers à organiser une course de série Sprint en dehors des États-Unis, a affirmé hier à La Presse le vice-président opérations de Stock-Car Montréal. L'épreuve Nationwide revient au programme en 2009, mais on ne sait pas ce que nous réservent 2010 et 2011.» Mais avant d'arriver à inscrire une date montréalaise au programme de la série reine du stock-car, Dumontier serait sur le point d'obtenir l'assurance que son épreuve n'entrerait plus en conflit avec une course de série Sprint, comme c'est le cas encore une fois cette année avec la course de Pocono. Cela laisse donc présager que la course montréalaise changerait de date en 2009 et pourrait, par le fait même, être plus attirante pour les gros noms du NASCAR, qui n'auraient plus à faire la navette entre le Québec et la Pennsylvanie. Pour Dumontier, ce scénario se veut une première étape vers l'obtention d'une course de série Sprint. Mais cela pourrait toutefois être plus complexe que prévu, de l'aveu même du copromoteur de l'épreuve montréalaise, la société International Speedway Corporation. «Montréal a un riche héritage en course automobile, mais le problème avec la venue d'une course de série Sprint est que la saison est déjà très longue, a expliqué Lenny Santiago, directeur du marketing de ISC. C'est donc très difficile de réarranger le calendrier.» D'autant plus que faire une place pour Montréal voudrait dire retirer celle d'une autre épreuve déjà sous la houlette de ISC. «On a déjà choisi d'éliminer certaines courses se déroulant dans des marchés saturés au profit d'événements au meilleur potentiel, a soutenu Santiago. NASCAR est donc ouverte à ce genre de changement. Elle permet aux promoteurs de jongler avec les événements qu'ils organisent déjà.» Savoir-faire montréalais Le hic, c'est que ISC convoite aussi les marchés de Denver, Seattle et New York, où elle envisage construire de nouveaux circuits. Il est donc clair que Montréal devra jouer du coude pour trouver sa place dans le calendrier de la série Sprint. Dumontier compte sur le savoir-faire montréalais pour obtenir sa place au soleil. «Avec la série Nationwide, on a déjà prouvé ce qu'on peut faire auprès de NASCAR, a-t-il plaidé. Notre relation avec NASCAR est déjà très différente cette année. L'an passé, ils étaient inquiets en raison de problèmes douaniers et linguistiques expérimentés au Mexique - qui a d'ailleurs perdu sa course pour 2009. Cette année, tout va comme sur des roulettes.» Ambiance confirmée par le directeur de la série Nationwide, Joe Balash, lors du passage de La Presse au New Hampshire, le mois dernier. «On se sent très à l'aises avec le promoteur de la course montréalaise, nos relations de travail sont excellentes, a-t-il affirmé. L'endroit a quelque chose d'unique qui fait que c'est différent de partout ailleurs.» Ce qui ne veut toutefois pas dire que ce soit suffisant pour que Montréal fasse le saut en série Sprint. «Je ne crois pas que NASCAR ait sérieusement considéré un tel changement, a ajouté Lenny Santiago. Leur priorité est de faire de l'épreuve Nationwide un succès, ce qui est déjà le cas car elle attire autant d'amateurs que certaines courses de série Sprint. «On est jusqu'à maintenant très satisfaits avec la course Nationwide et la série affiche une belle croissance, a enchaîné le directeur du marketing de ISC. Je ne peux pas dire ce que l'avenir nous réserve, car le sport a beaucoup changé au cours des dernières années, mais à l'heure actuelle, il est assez prudent de dire que les voitures de série Sprint ne viendront pas à Montréal à court terme.» Mais d'ici là, François Dumontier ne veut surtout que le public considère la course de Nationwide comme un pis-aller. «Je ne vois pas le Nationwide comme une sous-catégorie, a-t-il affirmé. C'est la plus grosse série de stock-car à rouler au Canada et plusieurs bons pilotes sont parmi nous. C'est comme si Sidney Crosby venait jouer le vendredi soir dans une autre ligue. Ça reste que c'est Sidney Crosby. Cela dit, c'est sûr que j'aimerais voir Jeff Gordon et Tony Stewart à Montréal. Bref, on va continuer avec la série Nationwide, mais on veut toujours atteindre le plus haut échelon.»
  23. Les modifications législatives qui obligeront les automobilistes à utiliser des pneus d'hiver dès l'automne profitent déjà aux garagistes de l'Outaouais. Pour en lire plus...
  24. Pour Robert Tremblay, c'est inévitable: les catastrophes naturelles seront de plus en plus fréquentes. Elles le sont déjà. Pour en lire plus...
  25. M. Hargrove et d'autres dirigeants du syndicat ont déjà fait savoir qu'ils appuiront Ken Lewenza, le président du local 444 des TCA à Windsor. Pour en lire plus...
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