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  1. Loblaws cède sa place à Maxi au Québec Publié le 19 février 2009 à 07h26 | Mis à jour à 07h28 Martin Vallières La Presse (Montréal) Des supermarchés Loblaws (T.L) battent encore de l'aile dans certaines localités du Québec, même plusieurs années après leur implantation. Au point où les dirigeants du géant de la distribution alimentaire ont décidé de remplacer l'enseigne Loblaws de magasins québécois par celle de Maxi&Cie, plus performante comme supermarché à escompte. De telles conversions d'enseignes ont eu lieu récemment dans deux supermarchés de Montréal (boul. Pie-IX) et de Saint-Georges de Beauce, après six ans de fonctionnement sous l'enseigne Loblaws. Et d'autres conversions de ce genre pourraient survenir bientôt, selon le président de Loblaw, Allan Leighton. «Au Québec, les premières conversions de supermarchés Loblaws en Maxi&Cie fonctionnent relativement bien. Nous déciderons au cours des prochains mois quels autres supermarchés Loblaws au Québec devraient être convertis», a indiqué M. Leighton au cours d'une téléconférence d'analystes financiers, hier, après la publication des plus résultats financiers de l'entreprise. Cette rétrogradation de l'enseigne Loblaws au Québec s'effectuera avec le programme accéléré de rénovations de magasins que l'entreprise a mis de l'avant pour son exercice 2009. Au moins 300 magasins dans toute l'entreprise seront touchés par ces investissements, mais à différents niveaux. Les budgets individuels par magasin varieront de 500 000$ jusqu'à 2 millions et plus, selon l'ampleur des travaux. Au Québec, Loblaw compte encore 35 supermarchés de sa propre enseigne. Tous ont été ouverts au cours des 12 dernières années dans de grands édifices bâtis sur mesure. Cette implantation de Loblaw au Québec a aussi été marquée par son acquisition de Provigo, en 1998. Malgré leur forte identification corporative, les supermarchés Loblaws sont demeurés en marge de leurs activités principales au Québec. Ces activités sont centrées sur les quelque 510 supermarchés de tailles diverses et identifiés à Maxi, Provigo et Inter-Marché, notamment. Le marché québécois difficile Par ailleurs, depuis deux ans, en pleine tourmente de réorganisation, les hauts dirigeants de Loblaw ont admis avoir obtenu des résultats décevants sur le marché québécois. L'entreprise avait même inscrit une charge spéciale de 800 millions à titre de radiation d'actif au Québec lors de ses résultats de fin d'exercice 2006. Mais depuis, la haute direction de Loblaw a été complètement chamboulée. Et depuis quelques mois, son guidon principal a été confié à un gestionnaire d'expérience en commerce de détail, Allan Leighton, d'origine britannique et associé de longue date de la famille Weston, qui contrôle Loblaw. Son mandat: accélérer et compléter pour de bon la remise en forme de Loblaw, qui requerra encore quelques centaines de millions de dollars en investissements. Et ce, alors que le contexte économique est le plus inquiétant depuis des années pour la croissance et la rentabilité de l'entreprise. «Cette année (2009) sera très difficile. Je ne crois pas que nous ayons encore vu le pire», a admis M. Leighton hier, au cours de sa présentation des plus récents résultats de Loblaw. Résultats améliorés D'ailleurs, Loblaw a présenté des résultats améliorés pour sa fin d'exercice 2008, malgré le gain particulier provenant d'une semaine d'affaires additionnelle (53 au lieu de 52). Le bénéfice net du quatrième trimestre a atteint 188 millions, comparativement à 40 millions un au auparavant. Les ventes des magasins comparables (ouverts depuis plus d'un an) étaient en hausse nette de 2,7%, après correction pour la semaine additionnelle. Par ailleurs, Loblaw a admis hier qu'un conflit de travail qui paralysait 12 supermarchés Maxi au Québec depuis la mi-octobre avait amputé «environ 1%» à la croissance de ses revenus au quatrième trimestre. Ce conflit est en voie de règlement après une entente intervenue lundi soir, mais non sans la fermeture définitive de deux supermarchés. En 17 semaines, ce conflit de travail aurait coûté au moins 120 millions à Loblaw en ventes perdues, selon les chiffres divulgués hier. Mais sans impact notable sur la rentabilité du trimestre, a-t-on souligné au siège social. Pour tout l'exercice 2008, Loblaw déclare un profit net en regain de 65%, à 545 millions, alors que son chiffre d'affaires progressait de 4%, à 30,8 milliards. En Bourse, les investisseurs ont minimalement apprécié ces résultats, d'autant que Loblaw devra investir davantage dans sa restructuration. Son action a reculé de 1,2%, à 33$, à la Bourse de Toronto, alors que l'indice de marché S&P/TSX était en baisse de 2,5%.
  2. Après des mois de discours rassurants sur la solidité de l'économie québécoise, la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, admet que son prochain budget sera déficitaire. Pour en lire plus...
  3. Le vertige Publié le 06 février 2009 à 06h54 | Mis à jour le 06 février 2009 à 06h55 Sous la torture d'un dentiste sadique, Jean Charest ne l'avouerait pas. Mais en son for intérieur, le premier ministre doit pousser un immense soupir de contentement. Même si tout le monde râlait contre une deuxième campagne électorale à l'automne, qu'est-ce qu'on a bien fait de déclencher les élections! Aucun élu ne voudrait subir le jugement de l'électorat après la semaine que la région de Montréal vient de connaître, comme l'avaient calculé avec justesse les stratèges libéraux. Pour paraphraser un certain député français, la métropole a le moral à terre. Ici comme ailleurs, les licenciements se succèdent avec la régularité d'un métronome. Le Canada aurait perdu près de 40 000 emplois depuis le début de l'année, estiment les économistes. On le saura avec précision ce matin, lorsque Statistique Canada dévoilera les données de janvier. Mais certaines mises à pied font plus mal que d'autres. Les pertes d'emplois en aéronautique sont de celles-là. Même si son économie est diversifiée, le Québec compte sur son industrie vedette pour passer au travers de cette crise qui frappe durement le secteur manufacturier. À l'automne, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain prévoyait que les exportations du secteur aérospatial progresseraient de 7,1% cette année contre 5,8% en 2008. Et aussi récemment que cette semaine, le directeur de l'analyse économique à la Banque TD, Derek Burleton, affirmait que les constructeurs en aéronautique permettraient au Québec de s'en tirer à moindre mal. Que deux des grands donneurs d'ordre mettent à pied, à trois jours d'intervalle, plus de 1300 salariés dans la grande région de Montréal témoigne de la dégradation rapide de l'économie. Aussi, les prévisions d'hier prennent-elles maintenant l'allure de voeux pieux. Pour autant, les mauvaises nouvelles chez Bell Helicopter Textron et Bombardier Aéronautique ne constituent pas des surprises. Même si les avions d'affaires sont des outils de travail qui permettent de gagner un temps précieux, ils représentent une dépense éminemment vulnérable en récession. Surtout quand le jet d'entreprise est devenu, à Washington, un symbole des excès des grands patrons de Detroit et de Wall Street. Après avoir été renflouée, Citigroup ne vient-elle pas d'annuler l'achat d'un jet de Dassault? Après avoir condamné 900 cafés, la chaîne Starbucks ne vient-elle pas de mettre en vente son jet Gulfstream? Etc. Plutôt que d'acheter un jet privé, les entreprises peuvent toujours louer un avion ou le partager. Les reports de livraison et annulations se multiplient. Ainsi, aucun constructeur de jet d'affaires n'a été épargné. Par exemple, le constructeur Cessna a déjà licencié 4600 salariés, le tiers de son personnel. Ce n'était donc qu'une question de temps avant que Bombardier ne ralentisse la cadence de production de ses jets d'affaires pour étirer son carnet de commandes. Il n'y a aucune surprise non plus du côté de Bell Helicopter. Les sociétés d'exploration pétrolières comptent parmi les plus grands acheteurs d'hélicoptères. Leur fortune est intimement liée au prix du baril de pétrole, qui s'est affaissé à près de 40 dollars. Aux problèmes de l'industrie s'ajoutent les ennuis particuliers de Bell Helicopter. Ce constructeur qui a longtemps prétendu au titre de plus grand fabricant d'hélicoptères civils au monde ne cesse de perdre du terrain. Tandis qu'il abandonnait des modèles, ses concurrents élargissaient leur gamme d'appareils. Triste. Les 500 mises à pied annoncées lundi par Bell Helicopter, d'une durée de trois mois, sont censément temporaires. Mais à moins d'une flambée du prix du carburant, à la faveur d'une improbable étincelle comme une guerre en Iran, on voit mal comment l'entreprise rappellera ces travailleurs le printemps venu. Bombardier a aussi cherché à se montrer rassurante hier. Elle a annoncé une hausse de sa production d'avions régionaux turbopropulsés (à hélices). Mais ces avions de la série Q400 sont assemblés à Toronto, ce qui fait une belle jambe à Montréal. L'avionneur montréalais a aussi révélé qu'elle avait plus de 730 postes à combler, liés au développement d'avions et à son centre de finition. Ainsi, ces offres d'emploi feraient plus que contrebalancer les mises à pied. (Toutefois, il est douteux que les employés mis à pied puissent postuler sur ces emplois. Bombardier remercie des machinistes, alors qu'elle recherche des ingénieurs, des rembourreurs et des ébénistes pour finir les meubles.) Mais cette équation repose sur un grand si, soit le décollage de la nouvelle famille d'avions commerciaux CSeries, qui semble de plus en plus incertain. Bombardier développe trois appareils de front: le Learjet 85, un jet d'affaires, le CRJ10 000, son plus grand jet régional, et la CSeries. Les coûts de développement de ces avions se sont élevés à 138 millions au troisième trimestre. Mais il est clair que c'est la CSeries qui accapare actuellement le plus de ressources Or, les commandes sont encore indétectables au radar, plus de sept mois après le lancement officiel du projet. Bombardier avait pourtant affirmé qu'elle ne se lancerait pas dans cette aventure nécessitant un investissement de 3,3 milliards US avant d'avoir en poche des commandes fermes portant sur un minimum d'une cinquantaine d'appareils venant d'au moins trois transporteurs différents. La fameuse lettre d'intérêt de Lufthansa n'engage en rien ce transporteur allemand, le client de départ pressenti, même si les dirigeants de Bombardier répètent depuis des mois que la signature d'un contrat définitif est imminente. Dans l'attente de commandes fermes, journalistes et analystes en sont ainsi venus à épier les moindres faits et gestes d'Eznis Airways, un transporteur mongol qui s'intéresse à la CSeries, selon la rumeur. Cela ressemble pas mal à du désespoir. Le problème, c'est que Bombardier n'est pas seule dans le bateau. Elle a aussi entraîné Pratt & Whitney, qui fabriquera le moteur de la CSeries dans son usine en construction à Mirabel. Ainsi, le Québec a beaucoup d'oeufs dans le même panier. On ne claquerait pas autant d'argent si on n'était pas sûr de notre coup, font valoir en substance les dirigeants de Bombardier. Mais en attendant que les commandes de la CSeries se matérialisent, le Québec tout entier est pris de vertige.
  4. Les banquiers québécois tiennent à leur cagnotte Publié le 04 février 2009 à 06h01 | Mis à jour à 06h04 (Montréal) Les dirigeants des trois plus grandes banques canadiennes renoncent à certaines de leurs primes en ces temps difficiles. D'autres le font aussi ailleurs, par choix ou parce qu'on leur force la main. Mais ici, les dirigeants des deux banques québécoises ont décidé de garder toute la cagnotte qu'ils considèrent leur être due. Les deux principaux banquiers du Québec veulent toutes leurs primes salariales, malgré la conjoncture économique et financière difficile. Ainsi, Louis Vachon, président et chef de la direction de la Banque Nationale (T.NA), et Réjean Robitaille, de la Banque Laurentienne (T.LB), n'ont pas l'intention d'imiter leurs homologues torontois qui renoncent à des millions de dollars en primes salariales, en invoquant la situation économique difficile. «La réponse est non. Ces primes font partie de la rémunération totale de M. Vachon et il n'a pas l'intention d'y renoncer», a indiqué le porte-parole médiatique de la Banque Nationale, Denis Dubé. «Ces primes ont été consenties par le conseil d'administration parce que la banque a obtenu de meilleurs résultats en 2008 par rapport aux cinq autres principales banques canadiennes.» Commentaire semblable à la haute direction de la Banque Laurentienne. «M. Robitaille n'a pas l'intention de renoncer à une partie de sa rémunération parce qu'elle reflète la performance de la banque l'an dernier, qui a dépassé tous ses objectifs financiers», a indiqué Gladys Caron, vice-présidente aux affaires publiques. Pourtant, depuis le début de la semaine, les présidents de trois des plus grandes banques canadiennes ont renoncé publiquement à 16,7 millions en primes auxquelles ils étaient admissibles, selon les clauses de leur contrat professionnel. Deux de ces présidents, Gordon Nixon de la Banque Royale (T.RY), et Bill Downe, de la Banque de Montréal (T.BMO), ont renoncé en tout à 9 millions en primes qui leur auraient été versées en options d'achat d'actions et autres titres liés à la prochaine performance financière et boursière de leur banque. Pour les présidents des banques Nationale et Laurentienne, la renonciation à leurs primes semblables pour 2008 équivaudrait à 4,1 millions, la moitié environ de leur rémunération combinée de 7,33 millions. À lui seul, Louis Vachon devrait renoncer à 3,2 millions en primes de titres de sa rémunération totale de 5,28 millions. Par ailleurs, fait très inusité, les présidents Nixon et Downe ont annoncé leur désistement après que leurs primes eurent été convenues avec le conseil d'administration de leur banque respective, et détaillées même dans leur circulaire envoyée aux actionnaires en prévision de leur prochaine assemblée annuelle. Bill Downe, de la Banque de Montréal, a indiqué que «ma décision de renoncer à cette rémunération est le résultat de ma réflexion face à la situation économique actuelle». Pour Gordon Nixon, président de la Banque Royale, renoncer à des primes déjà convenues est «une bonne décision pour moi et pour la banque, en raison de l'état actuel des marchés mondiaux et des défis que doivent relever tant de citoyens au Canada et ailleurs dans le monde». Relations publiques Geste significatif ou vil exercice de relations publiques? «Je dis chapeau à M. Nixon et M. Downe dans le contexte économique et financier actuel, même s'il y a un peu de gestion d'image personnelle et de relations publiques dans ces décisions», a commenté Michel Nadeau, directeur général de l'Institut sur la gouvernance d'organisations privées et publiques. Quant à l'autre président de banque ayant renoncé à des millions en rémunération admissible, il s'agit de Gerry McCaughey, de la Banque CIBC (T.CM). Sa renonciation est considérable: au moins 7,6 millions amputés d'une rémunération qui aurait pu atteindre 12,9 millions. Toutefois, ce montant était prévu pour la rémunération 2007 du grand patron de la banque CIBC, selon son protocole particulier d'évaluation salariale différée. (Sa rémunération pour l'exercice 2008 sera déterminée après la fin de l'exercice 2009.) Aussi, à la différence des présidents de BMO et de RBC, cette réduction avait été négociée par étapes entre le conseil d'administration et M. McCaughey, à sa demande. Cette démarche est aussi expliquée dans la circulaire envoyée aux actionnaires de la banque CIBC. Du côté des deux autres grandes banques, le président de la Scotia, Richard E. Waugh, a déjà subi une réduction de sa rémunération admissible de 25% pour l'exercice 2008, à 7,5 millions. Mais il n'a pas encore dit mot de son intention d'imiter ou non ses vis-à-vis torontois en renonçant à la part de sa rémunération qui est constituée d'options d'achat d'actions et d'autres titres, pour une valeur de trois millions. Quant à la banque Toronto-Dominion, elle n'a pas encore publié sa circulaire de direction qui détaillera la rémunération de ses hauts dirigeants. LA RÉMUNÉRATION DES BANQUIERS LOUIS VACHON Président de la Banque Nationale Rémunération totale prévue (1) 5,28 millions var. un an: "40% Rémunération après désistement Aucun renoncement RÉJEAN ROBITAILLE Président de la Banque Laurentienne Rémunération totale prévue (1) 2,04 millions var. un an: "42% Rémunération après désistement Aucun renoncement GERRY McCAUGHEY Président de la Banque CIBC (2) Rémunération totale prévue (1) 12,96 millions var. un an: "85% Rémunération après désistement 5,3 millions var. un an: -23% GORDON NIXON Président de la Banque Royale Rémunération totale prévue (1) 9,56 millions var. un an: -18% Rémunération après désistement 4,6 millions var. un an: -60% BILL DOWNE Président de la Banque de Montréal Rémunération totale prévue (1) 6,37 millions var. un an: -34% Rémunération après désistement 2,27 millions var. un an: -76% 1: Rémunération totale selon la circulaire de direction: salaire et prime au comptant, options d'achat d'actions et autres titres de valeur, prestations de fonds de retraite, autre rémunération spéciale. 2: Le calcul de la rémunération du président de la Banque CIBC est décalé d'un an en fonction des résultats subséquents, donc pour 2007 dans ce tableau. Sources: banques
  5. Après avoir connu l'an dernier une année record, le nombre de saisies immobilières enregistrées au Québec pour le seul mois de janvier atteint un sommet, avec 252 saisies. Pour en lire plus...
  6. Publié le 03 février 2009 à 11h07 | Mis à jour à 11h10 Montréal en chantiers: «2009 sera une grosse année» Éric Clément La Presse Après avoir finalement dépensé 199,3 millions dans la réfection des rues, des ponts, des tunnels et des viaducs en 2008, ce qui constituait un record, la Ville de Montréal prévoit battre ce record en 2009 avec des dépenses de 258,2 millions dans la voirie. Et encore, le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable des Infrastructures, Sammy Forcillo, espère que cette somme sera bonifiée par de l'argent fédéral donné en vertu des annonces faites par Ottawa dans le cadre du récent budget. Après les 130 chantiers entrepris en 2008 (200 en ajoutant ceux du réseau d'aqueduc), il y aura donc encore beaucoup de quartiers en chantier cette année sur l'île. Ce n'est toutefois qu'en avril que la Ville dévoilera la programmation détaillée des chantiers de 2009. En 2008, c'est l'arrondissement de Saint-Laurent qui a dépensé le plus en réfection de la voirie, soit 18 millions, devant Ahuntsic-Cartierville, avec 15 millions.
  7. George St-Pierre (GSP) : Victoire sans équivoque Samedi 31 janvier 2009 RDS.ca Georges St-Pierre (Photo PC) Le Québécois Georges St-Pierre n’a laissé aucun doute quant à son statut de légende vivante des arts martiaux mixtes. L’athlète originaire de Saint-Isidore a facilement défendu sa ceinture des poids mi-moyens de l’UFC en battant par K.-O. technique le champion des poids légers B.J. Penn, lors du UFC 94 présenté samedi soir à Las Vegas. St-Pierre (18-2), qui avait battu Penn par décision partagée à UFC 58 en mars 2006, a été en contrôle de la première à la dernière seconde et les médecins n’ont eu d’autre choix que de stopper le carnage après un quatrième round où l’Américain en a eu plein les bras. « Je m’entrainais depuis le mois de septembre en vue de combat », a déclaré le Québécois, qui a été ardemment encouragé par les spectateurs réunis au MGM Grand Garden Arena. « Je suis très fier de ce que j’ai réalisé. » Après un premier round où les deux combattants sont demeurés debout, St-Pierre a véritablement commencé son travail de destruction en envoyant son adversaire au sol au deuxième assaut. Le Québécois a lancé de solides coups de poings au visage de Penn, le coupant sous l’œil gauche. St-Pierre a également envoyé quelques coups de genou dans les côtes de Penn, qui tentait tant bien que mal de retenir St-Pierre avec ses deux jambes. Dès le début de la troisième reprise, St-Pierre a délivré une solide gauche au visage de Penn, qui a immédiatement commencé à saigner du nez. Le reste du round s’est déroulé au sol, l’Américain continuant à encaisser la rafale de coups du Québécois. Le quatrième assaut aura été à l’image des deux précédents à la différence que Penn avait de plus en plus de mal à monter sa garde. Le supplice a finalement pris fin après que les médecins eurent décidé le combattant originaire d’Hawaï en avait eu assez. ------------- Ce gars la est une grande vedette, le Québécois le plus populaire internationnalement actuellement, nul n'est prophète en son pays qu`ils disent...
  8. Les géants japonais de l'électronique Sony, Hitachi, NEC et Toshiba tombent les uns après les autres dans le rouge. Pour en lire plus...
  9. John Thain, qui a piloté la vente de Merrill Lynch, vient d'être évincé après la perte de 15,4 milliards US subie par Merrill Lynch. Pour en lire plus...
  10. Le quincailler Richelieu se dit satisfait de ses résultats pour l'exercice 2008, après avoir «composé avec un contexte économique plus difficile aux États-Unis». Pour en lire plus...
  11. L'action de RBS cédait jusqu'à 71,18% lundi à la Bourse de Londres, tombant à 10 pence (18 cents CAN), après qu'elle eut annoncé qu'elle pourrait perdre jusqu'à 28 milliards de livres en 2008. Pour en lire plus...
  12. L'État français, qui s'apprête à renflouer les grands manufacturiers automobiles après avoir secouru les banques, n'entend pas distribuer les largesses sans peser sur la gestion des entreprises concernées. Pour en lire plus...
  13. Après des semaines de discussions avec l'entourage du président élu, Barack Obama, les démocrates dévoilent à la Chambre des représentants un plan massif de relance de 825 milliards de dépenses. Pour en lire plus...
  14. Le titre de Nortel Networks a repris un peu de sa valeur jeudi après avoir dégringolé la veille, suite à l'annonce de la compagnie concernant sa décision de se placer sous la protection des tribunaux . Pour en lire plus...
  15. Après avoir bâti leur industrie en mettant en valeur une multitude de produits, les publicitaires québécois doivent maintenant passer à une nouvelle étape et se vendre eux-mêmes. Pour en lire plus...
  16. Les ventes de cognac ont accusé un recul de 6,2% en 2008 par rapport à 2007, après six années consécutives de croissance. Pour en lire plus...
  17. Les Bourses nord-américaines ont connu de nouvelles turbulences mercredi après les annonces d'une baisse plus forte que prévu des ventes de détail aux États-Unis. Pour en lire plus...
  18. Après avoir promis en campagne électorale de maintenir l'équilibre budgétaire, les libéraux ouvrent maintenant la porte à un déficit l'an prochain. Pour en lire plus...
  19. Le marché boursier torontois a clôturé en forte hausse mardi, après que les actions du secteur de l'énergie eurent connu un regain de vie. Pour en lire plus...
  20. Après avoir connu une année record en 2007, le marché de la revente de résidences dans la grande région de Montréal a reculé de 7% l'an dernier. Pour en lire plus...
  21. Québec préfère Telus à Bell 10 janvier 2009 - 10h42 La Presse Maxime Bergeron Le gouvernement québécois vient d'infliger toute une gifle à Bell Canada en octroyant à sa concurrente Telus un contrat de presque 1 milliard de dollars qui couvrira une bonne partie des besoins de télécommunications de l'État. Québec a lancé un appel d'offres en avril dernier pour faire migrer deux réseaux de transport de données vers un seul. Après une analyse des deux seules candidatures reçues - celles de Bell et Telus -, le ministère des Services gouvernementaux (MSG) a jugé que l'entreprise de Vancouver était plus qualifiée que sa contrepartie montréalaise pour réaliser ce mandat. «C'est Telus qui présente la meilleure proposition», a résumé Jacques Duval, porte-parole du MSG, pendant un entretien téléphonique. Le contrat s'étalera sur 5 ou 10 ans et procurera jusqu'à 923 millions à Telus. Bell, qui perd un important mandat dont il avait la charge depuis 1989, s'est engagé à collaborer pour assurer une période de transition de deux ans. Le nouveau mégaréseau desservira 160 ministères et organismes provinciaux de même que 350 établissements du secteur de la santé. Telus installera dans un premier temps tous les équipements nécessaires, puis gérera le système. Ce réseau constitue un «très gros morceau» dans l'infra-structure de télécommunications de l'État québécois, a indiqué Jacques Duval. Et il sera de plus en plus utilisé, au fur et à mesure que les besoins en bande passante augmenteront. Le transfert électronique de photos médicales, par exemple, requiert beaucoup de puissance, a-t-il expliqué. Contrat historique Chez Telus, dont le siège social québécois est situé à Rimouski, on jubilait hier. Il s'agit là d'une victoire majeure pour l'entreprise de l'Ouest canadien, qui vient décrocher un mandat de taille dans l'arrière-cour de Bell Canada. «Je peux affirmer sans l'ombre d'un doute que c'est le plus gros contrat de notre histoire», a dit Stacey Masson, porte-parole de Telus au Québec. Telus affirme que l'attribution de ce contrat n'est lié à aucune promesse de création d'emplois ou d'investissements supplémentaires au Québec, où le groupe compte environ 5000 employés. «Pas besoin de faire de promesses parce que, dans le fond, on n'aura pas le choix: on va engager au moins 200 personnes pour les besoins du contrat, surtout à Québec», a soutenu Mme Masson. C'est Nathalie Normandeau, vice-première ministre du Québec, qui a confirmé le retrait du contrat à Bell avant-hier en répondant à la question d'un journaliste en Gaspésie. Radio-Canada a diffusé la nouvelle jeudi soir. Mme Normandeau a refusé d'accorder une entrevue à La Presse Affaires hier pour donner plus de détails. Son attachée de presse nous a dirigé vers la ministre des Services gouvernementaux, Dominique Vien, qui a elle aussi refusé de nous parler. L'appel d'offres a été géré au gouvernement sans intervention du politique, a fait valoir le porte-parole de Mme Vien pour justifier ce refus. Au MSG, Jacques Duval a expliqué que les deux entreprises ont présenté leurs soumissions après avoir lu un devis technique de plusieurs centaines de pages. En gros, il s'agissait de répondre le mieux possible aux besoins de l'État «en matière de sécurité, de robustesse et de capacité du réseau», a-t-il dit. Ce que Telus aurait mieux fait que Bell. Déception La perte de cet important contrat a été reçue comme une «déception» à Bell Canada, un mois à peine après l'échec du rachat de l'entreprise par Teachers' pour 52 milliards. Le porte-parole Jacques Bouchard s'est toutefois employé à en relativiser l'ampleur. «On continue d'être un bon fournisseur du gouvernement et on va tout faire pour ravoir le contrat.» Le conglomérat montréalais gère notamment 28 000 lignes téléphoniques de l'État, un contrat de 70 millions de dollars. Aussi, Bell touchera des redevances de Telus au cours des prochaines années puisque l'entreprise de Vancouver utilisera une partie de son réseau pour réaliser son nouveau contrat, a souligné M. Bouchard, sans les quantifier. La nouvelle a malgré tout pesé sur le moral de certains employés, hier. «C'est une autre tuile qui nous tombe sur la tête, a confié un responsable des réseaux sous le couvert de l'anonymat. Le climat est à la déception et à l'incertitude, surtout dans le contexte économique actuel.» Les travailleurs craignent de nouveaux licenciements, après les vagues de compressions des derniers mois, ce que Bell exclut pour l'instant. «Mais le pire dans tout ça, c'est que ça vient confirmer que Bell a perdu son statut de chef de file», a ajouté l'employé. Bataille à venir Selon Amit Kaminer, analyste en télécoms au SeaBoard Group, les péripéties qui ont entouré le rachat avorté de Bell Canada Entreprises par Teachers' ont probablement déconcentré l'entreprise au cours des 18 derniers mois. «Bell est une société en transition, en changement de rapport, a-t-il avancé. Mais quand on change de vitesse dans une voiture, il y a toujours un moment où les roues ne répondent plus au moteur. Telus a vu ce moment et en a profité.» La perte de ce contrat viendra faire grimper d'un cran la concurrence entre les deux géants, croit M. Kaminer. «Tous les coups sont maintenant permis. Maintenant que Telus a été capable de lui arracher ce contrat, je crois que Bell sera plus combative aussi dans les territoires de Telus.» Le titre de BCE a clôturé à 24,32$ hier à la Bourse de Toronto, en baisse de 1,3%, et celui de Telus a fini à 35,13$, en hausse de 0,5%.
  22. Après des ventes plutôt décevantes aux Fêtes, qui surtout n'ont pas généré les profits espérés, plusieurs chaînes se préparent à des mois déficitaires, des restructurations et des fermetures de magasins, au Canada et au Québec. Pour en lire plus...
  23. La poursuite réclame l'incarcération du financier américain pour avoir violé les conditions de sa mise en liberté sous caution. Il aurait signé pour 173 millions de chèques à des proches après son arrestation. Pour en lire plus...
  24. L'action du producteur américain d'aluminium chutait mercredi à la Bourse de New York après l'annonce d'un coûteux plan de restructuration. Pour en lire plus...
  25. La compagnie devrait être déficitaire en 2008 après sa décision de procéder à l'amortissement accéléré de 25 G$ US d'écarts d'acquisition. Pour en lire plus...
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