Aller au contenu

yulymx

Membre
  • Compteur de contenus

    287
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par yulymx

  1. Nouveau pilote d'ABC à Montréal. Après Zero Hour l'an dernier, la chaîne ABC revient à Montréal pour le tournage d'une autre émission pilote dans l'espoir d'en faire une série télévisée. Intitulé Gothica, le projet mettra en vedette l'actrice australienne Melissa George (Grey's Anatomy, Mulholland Drive) et la Britannique Janet Montgomery (Black Swan, Entourage, Made in Jersey). Qualifié de «soap gothique sexy», cette histoire campée dans le présent met en scène plusieurs personnages mythologiques célèbres: Dracula, Jekyll et Hyde, Frankenstein et Dorian Gray, personnage tiré du roman d'Oscar Wilde. Selon les médias spécialisés qui ont évoqué ce projet au cours des derniers jours, l'histoire est celle de Grace Van Helsing (Montgomery), journaliste et riche héritière d'un journal familial dont la route croise celle de gens mystérieux, dont Fiona Hunter (George). La distribution comprend aussi Christopher Egan dans le rôle de Dorian Gray, Tom Ellis dans celui de Frankenstein et Seth Gabel, qu'on a vu dans la série Fringe. Melissa George... (Photo: AP) - image 2.0 Agrandir Melissa George Photo: AP Le pilote sera réalisé par Anand Tucker (Leap Year) d'après un scénario de Matt Lopez (The Sorcerer's Apprentice). Mark Gordon, producteur délégué sur Grey's Anatomy, est également associé au projet. Rappelons que le 7 février dernier, La Presse annonçait que Melissa George donnerait également la réplique à Roy Dupuis dans Rest Home, un projet de film que le cinéaste Micahel Rowe souhaiterait tourner l'hiver prochain dans la région du Pontiac, en Outaouais. La boîte québécoise Possibles Média est attachée à cette coproduction Canada-Australie. L'an dernier, le tournage du pilote de Zero Hour à Montréal s'était traduit par une commande ferme d'ABC. La série avait par la suite été tournée à New York. Mais après la diffusion des trois premiers épisodes, la chaîne américaine avait mis fin à celle-ci, estimant les cotes d'écoute insuffisantes. http://www.lapresse.ca/arts/television/201303/08/01-4629006-nouveau-pilote-dabc-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_arts_244_accueil_POS2
  2. CSeries: Bombardier lance une version qui pourra accueillir jusqu'à 160 passagers. MIRABEL- Bombardier a confirmé jeudi matin avoir mis au point une nouvelle version de sa famille d’avions CSeries, faisant passer son nombre de sièges maximum de 148 à 160. Cette annonce a été faite à Mirabel, à l’occasion d’une mise à jour officielle de son programme CSeries, organisée à l’attention des analystes et des médias. Quelque 200 personnes y prennent part. Dans sa version optionnelle, le CS300 pourra accueillir jusqu'à 160 passagers, une option qui procurera aux compagnies aériennes une plus grande charge payante, plus de souplesse en matière de distance franchissable, ainsi qu'une productivité accrue. La version optionnelle à capacité de sièges supplémentaire nécessitera l'ajout d'une seconde paire d'issues d'évacuation sur les ailes, sera offerte tant pour les avions de série qu'à titre de modification de rattrapage si les clients ont besoin de cette flexibilité dans le futur. Cela dit, Bombardier dit vouloir continuer de viser principalement le développement de la gamme d'avions CSeries sur le segment de marché des avions de 100 à 149 places, a tenu à préciser Mike Arcamone, président de Bombardier avions commerciaux. «L'avion CSeries est un appareil révolutionnaire dans une conjoncture économique mouvante et, en fonction du vif intérêt des clients et des tendances du marché, nous avons encore accru la productivité de l'avion CS300 en offrant la version optionnelle à capacité de sièges supplémentaire.» Bombardier a également profité de l’occasion pour annoncer qu'airBaltic, de Lettonie, est l'un de ses clients ayant opté pour une version à plus haute densité, de 148 places. La capacité des systèmes de l'avion CS300 a été augmentée pour pouvoir accueillir un plus grand nombre de passagers. «Nous sommes enchantés de sélectionner la version optionnelle à capacité de sièges supplémentaire, ainsi que la paire d'issues d'évacuation sur les ailes supplémentaire. Dans le cadre de notre plan d'affaires ReShape, nous profiterons pleinement de la conception de la cabine de cet avion, dans notre quête de productivité pour nos avions CS300 et notre réseau », a déclaré Martin Gauss, président-directeur général, airBaltic. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/aeronautique-et-aerospatiale/cseries-bombardier-lance-une-version-qui-pourra-accueillir-jusqu-a-160-passagers/555093
  3. Ca serait une très bonne choses pour le tourisme réceptif au Québec et à Montréal,lieu obligatoire d'entrée au Québec en avion.Et très bon pour les compagnies aériennes qui volent de et vers YUL.Moi aussi c'est le seul point qui m'intéresse la dedans...
  4. Ce n'est pas une blague,y a pas de petits profits... Et si le prochain pape était Québécois? La possibilité que le prochain pape soit Québécois n’est pas exclue. Un des meilleurs spécialistes du marketing touristique, le Québécois Frédéric Gonzalo, analyse ce que serait l'impact d’une telle élection pour le tourisme au Québec. En voici quelques extraits. Il faut savoir qu’entre 100,000 et 200,000 pèlerins par année visitent le village natal des papes Jean-Paul II et Benoît XVI. Il y aurait donc un énorme défi mais également un beau potentiel à développer l’accès à La Motte, qui se trouve à plus de 600 km de Montréal. Le village compte 300 âmes, aucun gîte touristique ou restauration pour suffire à une telle demande éventuelle, et il faut savoir que la maison d’enfance de Marc Ouellet, l’école et le presbytère ont été détruits et qu’il faudrait repenser en termes de construction ou reconstitution. Au-delà du village de La Motte et de l’Abitibi, c’est l’ensemble de la destination canadienne et québécoise qui y gagnerait car pour le pèlerin international, il s’agirait d’abord et avant tout d’un voyage au Canada. Une offre variée et des forfaits devront être mis de l’avant afin de mettre de l’avant les infrastructures actuelles qui répondent déjà bien aux standards des voyageurs internationaux. On pense notamment à l’Oratoire St-Joseph de Montréal, la Basilique Sainte-Anne-de-Beaupré ou le Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap Dans l’axe Montréal-Québec Ces trois lieux de pèlerinage sont situés dans l’axe Montréal-Québec, où l’offre d’hébergement et les modes de transport sont en mesure de supporter une augmentation éventuelle. Il existe néanmoins plusieurs autres lieux de culte en région, notamment l’abbaye bénédictine de Saint-Benoît-du-Lac, dans les Cantons-de-l’Est, l’abbaye Val-Notre-Dame dans Lanaudière ou encore l’Ermitage Saint-Antoine au Saguenay-Lac-St-Jean. Un chemin de Compostelle à la québécoise L’avènement d’un pape québécois saurait-il propulser une nouvelle offre regroupée, par exemple et incorporant des lieux de culte déjà établis? Ce type de circuit existe déjà depuis 1998 sous l’appellation de Chemin des Sanctuaires, une route de 375 km qu’empruntent plusieurs pèlerins à chaque année, liant justement l’Oratoire St-Joseph au Sanctuaire de Sainte-Anne-de-Beaupré. Si Marc Ouellet devient pape, l’industrie touristique québécoise et canadienne devra recevoir la nouvelle comme on accueille l’obtention des Jeux olympiques ou la tenue d’une épreuve de Formule 1. À la différence que le tourisme religieux est ancré dans la foi et dans le temps: les investissements envers ce nouveau créneau seraient porteurs pour plusieurs années à venir, et non seulement pendant une brève période de temps. On parle potentiellement d’un important changement, notamment dans la réaffectation des budgets publicitaires et dans la stratégie commerciale. Ceux que le sujet intrigue liront avec intérêt Le tourisme religieux, un dossier spécial du Réseau de Veille en tourisme. A noter que si le ghanéen Peter Turkson était élu, les retombées économiques pour ce pays peu développé qu’est le Ghana, bien qu’on n’y dénombre aucun site miraculeux ni même remarquable par son architecture, lui seraient sans doute plus utiles. Il y manque toujours, par exemple, plus de 8000 écoles. En attendant, les fidèles scrutent l’arrivée à Rome du prélat québécois : il est où, Ouellet ? — on n’allait pas la rater, celle-là ! C.B. http://www.pagtour.net//index.php?option=com_content&view=article&id=587
  5. http://montrealinvestissementgaranti.com./
  6. Ils ont oublié 'Belgium'..:confused:croyez moi bien,on a le record du monde de taxes(IR)...comme retraité(pré retraite en plus)je paie 54% de taxes,sans compter la TVA (taxes de vente chez vous). Et mon salaire précédent était moyen supérieur je dirais(agent de maitrise 38 ans d'ancienneté)..alors le Danemark 27% j'y crois pas,c'est bien plus aussi,leur calcul est éroné pour plusieurs pays. Sur le site de Montréal International y a de meilleures comparaisons qui me semblent plus correctes.
  7. Oui mais je me suis dit que ça pourrait avoir un impact(positif ou négatif selon)sur MTL.
  8. Le chantier du Roccabella démarre le 4 mars. Le Roccabella sera finalement la première des quatre tours de condos projetées devant le Centre Bell à sortir de terre. Son promoteur, MC Finance de Giorgio Tartaglino, était resté discret depuis l’ouverture du bureau de vente, mai 2012. Mais sa vice-présidente aux ventes et au marketing a joint LesAffaires.com pour annoncer le début des travaux. « La machinerie arrive ce lundi [4 mars], et la pelle commencera à creuser le lendemain », assure Karen Wisdom. Le promoteur s’attaquera d’abord à l’excavation des cinq étages de stationnement souterrain, qui fera toute la largeur du lot, entre les rues Drummond et de la Montagne. Il construira ensuite le basilaire de deux étages et 50 000 pieds carrés, où Giorgio Tartaglino veut installer des commerces. Puis il entamera l’érection du premier des deux gratte-ciel de 40 étages et 298 condos chacun, à l’angle du boulevard René-Lévesque et de la rue Drummond. Le projet est vendu à 56 %, dit Karen Wisdom. Elle précise que le promoteur commencera les ventes de la deuxième tour, prévue à l’angle de la rue de la Montagne, « dès que les unités de la première sont presque toutes vendues ». Viser les Chinois… et une livraison rapide. Le promoteur Kheng Ly s’apprête à ouvrir des bureaux de vente en Asie pour son projet YUL, deux rues plus à l’ouest. Sans envisager cette option, le Roccabella vise lui aussi une clientèle d’origine chinoise. « On a publié plusieurs annonces dans les journaux chinois de Montréal », dit Karen Wisdom. Le démarrage rapide du projet fait aussi partie du plan de mise en marché. « On a avait promis à nos clients de livrer fin 2015, explique la vice-présidente aux ventes. Commencer tout de suite nous laissera assez de jeu en cas de problèmes. » Pour elle, c’est une façon de faire la barbe à la concurrence, alors que circulaient des rumeurs selon lesquelles le Roccabella n’irait pas de l’avant. « C’est sûr que ça fait beaucoup de jaloux », affirme Karen Wisdom. Pour Mathieu Collette, démarrer le projet tôt « peut être très intéressant d’un point de vue marketing ». « Les acheteurs vont se dire “Ce projet-là sera vraiment livré” », dit-il. La concurrence est féroce devant le Centre Bell, où pas moins de quatre projets proposent près de 2000 unités. En outre, la vice-présidente aux ventes tient à préciser que, contrairement à ce qui avait été envisagé en 2012 après la transaction, MC Finance n’érigera pas de troisième gratte-ciel au sud, rue de la Montagne, sur les terrains acquis de Tony Accurso. « On veut préserver les vues », assure la vice-présidente. Elle n’a pas précisé les plans du promoteur pour ce lot. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/le-chantier-du-roccabella-demarre-le-4-mars/554729
  9. Après avoir quitté Montréal pour fonder sa propre agence de publicité à Toronto, un ex-vice-président de BBDO, s’apprête à revenir en ville pour ouvrir un bureau à Montréal. Cet ex-vice-président et directeur de création de BBDO Montréal, Martin Beauvais, a confirmé la nouvelle à LesAffaires.com, quelques semaines avant la date prévue. «Il reste encore quelques éléments à fisceler. Mais oui, je vous confirme que dans les prochaines semaines, nous serons en mesure d’annoncer l’ouverture officielle d’Open MTL.» Le départ pour Toronto de l’ex-patron de BBDO, également ex de Taxi et TBWA, avait fait beaucoup parlé dans l’industrie publicitaire montréalaise en 2004. À l’époque, le Montréalais quittait sa position enviable dans l’industrie -on lui doit notamment les campagnes des Producteurs de lait du Québec- pour devenir directeur de la création de Zig, une agence torontoise maintenant connue sous le nom de CP+B Canada. En 2010, Martin Beauvais quitte Zig pour fonder avec le collègue Christian Mathieu (ex-Zig et IKEA), l’agence de création publicitaire, Open. «Dès le départ, nous avons voulu créer à Toronto une agence nationale bilingue. Dans ce contexte, l'ouverture d'un bureau à Montréal nous paraissait non seulement primordiale, mais également toute naturelle.» http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/publicite-une-nouvelle-agence-torontoise-prend-pied-a-montreal/554654
  10. Electronic Arts pourrait fermer un studio à Montréal. Le géant américain du jeu vidéo Electronic Arts sabre dans son personnel montréalais. La Presse a appris que l'un des trois studios du groupe à Montréal, Visceral Games, faisait l'objet de réduction de personnel importantes aujourd'hui. La nature des coupes et le nombre d'employés affectés restent pour l'instant inconnus. Une fermeture complète ne serait pas écartée. Les employés du studio ont récemment participé à la création du jeu Deadspace 3, lancé le 5 février. Ils doivent normalement aussi mettre la touche finale à Army of Two : The Devil's Cartel, le troisième opus d'une série entièrement conçue à Montréal. La publication de ce jeu est prévue pour le 26 mars prochain, ce qui laisse croire que sa production vient de se terminer. Les deux autres unités d'Electronic Arts à Montréal, Bioware et EA Mobile, ne seraient pas affectées par ces coupures. Electronic Arts a annoncé à la fin janvier des résultats financiers inférieurs aux attentes pour le 3e trimestre et réduit ses prévisions pour pour l'année entière. Plus de détails à venir. http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201302/21/01-4624065-electronic-arts-pourrait-fermer-un-studio-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  11. Le jeu vidéo tire la sonnette d'alarme... et demande de l'argent. ..Au Canada, ces crédits d'impôts sont calculés sur 37% de la masse salariale et bénéficient à 100% des projets », a précisé Nicolas Gaume, président du syndicat des jeux vidéos.. http://www.latribune.fr/technos-medias/medias/20130220trib000750031/le-jeu-video-tire-la-sonnette-d-alarme-et-demande-de-l-argent.html
  12. Une firme russe veut acheter 32 avions CSeries pour 2,56 milliards. La firme russe Ilyushin Finance a signé mercredi une entente d'achat pour 32 avions CS300 de Bombardier (T.BBD.B), une transaction évaluée à 2,56 milliards $ US si l'on se base sur le prix officiel de l'appareil. Une cérémonie de signature a eu lieu alors que des représentants d'Ilyushin et des dignitaires russes visitaient l'usine d'assemblage des appareils CSeries à Mirabel, a précisé Bombardier dans un communiqué. L'entente d'achat, qui doit encore être approuvée par les actionnaires d'Ilyushin, prévoit également des options pour 10 appareils de plus. Si ces options étaient toutes exercées, la valeur totale de la commande atteindrait 3,42 milliards de dollars US selon les prix officiels. Les acheteurs d'avions profitent toutefois d'importants rabais. L'entente d'achat fait suite à une lettre d'intention signée par Ilyushin en août 2011 pour 30 avions CSeries. Mike Arcamone, président de Bombardier Avions commerciaux, a soutenu que les avions CSeries «sont faits sur mesure pour être exploités dans cette vaste région». Ilyushin est une filiale de la société d'État russe United Aircraft Corporation, mise sur pied en 2006 par le président Vladimir Poutine. Quelque 95 jets régionaux CRJ et avions turbopropulsés Q400 de Bombardier sont actuellement en service en Russie et dans les pays voisins. L'avionneur québécois a indiqué mercredi qu'il «explore des possibilités» pour ses Q400 en Russie, sans donner plus de détails. La semaine dernière, l'agence Reuters a révélé que la firme russe Rostec était en pourparlers avec Bombardier afin d'établir une coentreprise pour l'assemblage d'appareils Q400 dans le pays. Bombardier n'a pas voulu commenter l'information. http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201302/20/01-4623697-une-firme-russe-veut-acheter-32-avions-cseries-pour-256-milliards.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  13. A Bossard c'est plutôt en plein boom le 3ème Chinatown de MTL en perspective. À Brossard, plus d’un habitant sur dix est d’origine chinoise, soit la plus forte concentration pour une ville québécoise. Explorez les multiples facettes de cette communauté à travers les regards de cinq personnages. Une expérience interactive en français, en anglais et en chinois simplifié qui vous plonge au cœur de Brossard Chinatown. In Brossard, more than one out of 10 residents are of Chinese origin, the highest concentration for a city in Quebec. Explore the many facets of this community through the profiles of different people. This interactive experience in English, French and simplified Chinese takes you to the heart of Brossard Chinatown. http://blogues.radio-canada.ca/rive-sud/brossard-chinatown?isAutoPlay=1
  14. Projet résidentiel de 500M$ à Mirabel. Ray Junior Courtemanche et Daniel Proulx construiront 2 000 unités d’habitation sur une partie des terrains du Lac Mirabel. Le projet, qui porte le nom de La Cité de Mirabel, représente un investissement de 500 M$, ont annoncé les deux promoteurs mardi. À la Cité de Mirabel seront construites trois tours d’habitation de 14 étages, des maisons de ville et une tour d’habitation pour retraité. La réalisation du projet doit commencer en mai et s’étaler sur cinq ans. Il créerait 250 emplois. Aussi, les deux hommes d’affaires se targuent de « protéger » l’équivalent de 3 millions de pieds carrés de milieu naturel, ce qui représente des dépenses de 2,5 M$. La Cité sera située sur le site du Lac Mirabel à l’échangeur 28 de l’autoroute 15. Elle occupera une superficie de 2,2 millions de pieds carrés. Les deux entrepreneurs québécois ont obtenu les feux verts des propriétaires du site de 14 millions de pieds carrés. Il s'agit de Morgan Stanley Group et de Sheldon Gordon Group, actionnaires de MSG Lac Mirabel SEC. En mai dernier, la société immobilière Simon Property Group a annoncé le lancement du futur complexe «Premium Outlet » sur le site du Lac Mirabel. Le projet commercial de 80 magasins sur 350 000 pieds carrés doit être lancé cette année. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/immobilier-projet-residentiel-de-500m-a-mirabel-/554179
  15. 30+..ça peut être 39 étages Comme dit plus haut pas des Twins svp,merci.Je verrais bien une de 32 et une de 38/39 étages.Reste à voir si le projet Maritime condos va aller de l'avant ça ferait pas mal de densité dans le secteur.Petit à petit le CV se remplit,les terrains vont devenir plus rares donc plus..chers.
  16. (J’M MTL) Pourquoi j’aime Montréal. Malgré tout. Depuis vingt–cinq ans, j’arpente les trottoirs de Montréal dans le cadre de mon travail de journaliste mais aussi, un peu comme Léon-Paul Fargue, témoin d’une ville qui bouge avec ses mille et une ruelles, édifices qui nous racontent des histoires, même s’ils s’effacent avec le temps qui passe. Des quartiers où « grouille » la vie comme celui autour du Marché Jean-Talon avec ses saveurs et couleurs, les rues de La Petite-Patrie et du quartier Villeray, pierre d’assise du romancier Claude Jasmin, Hochelaga-Maisonneuve, ancien quartier ouvrier où subsistent les ombres du passé. Mon Montréal, c’est aussi St-Henri-ah ce Bonheur d’occasion — le canal Lachine, verdoyant avec ses pistes cyclables et ces petites familles et tout au nord, le parc Jarry où le monde tient en un après-midi autour d’un BBQ. En sortant du métro Saint-Laurent pour humer l’air du Festival de jazz ou des Francofolies, il y cette multiplicité, le choc des cultures, la civilité entre montréalais de souche ou non et touristes qui convergent vers le Quartier des spectacles, lieu animé d’un été souvent trop court. Montréal, c’est aussi Le Vieux-Montréal, même si trop touristique, et qui tient entre ses murs les ombres du passé à une époque où la haute finance souvent francophone, tenait le haut du pavé. Malgré les trous, le manque de stationnement, trop de condos, Montréal est et restera la douceur de vivre qui fait l’envie de bien des « étranges ». http://blogues.journaldemontreal.com/christopherodriguez/actualites/jm-mtl-pourquoi-jaime-montreal-malgre-tout/
  17. J'aime MTL Ville verte et sécuritaire. Je ne suis pas fanatique du ..JDM,mais ils font une chouette série sur la perception de MTL par les immigrants et les visiteurs. http://www.journaldemontreal.com/2013/02/08/belle-aux-yeux-des-autres Originaire de Rio de Janeiro, la chanteuse Bïa a choisi de vivre à Montréal parce qu’elle juge que c’est l’endroit idéal pour élever son enfant. «Rio de Janeiro, d’où je viens, c’est une ville extraordinaire, mais extraordinairement violente aussi, raconte Bïa. Là-bas, je ne pourrais pas laisser mon jeune fils traverser la rue ou faire du vélo tout seul. Pour avoir un niveau sécurité acceptable, à Rio, il faut être riche et vivre dans un quartier protégé. «À Montréal, je veux faire partie de la classe moyenne heureuse. On a ici des quartiers sécuritaires et beaux pour des familles modestes. Ça n’aurait pas pu être comme ça à Rio. Si j’avais voulu une bonne éducation pour mon fils, il aurait fallu, là encore, que je fasse partie d’une caste privilégiée.» Pendant longtemps, la chanteuse vivait presque la moitié du temps à Cassis, en France. «Mon amoureux québécois et moi faisions constamment la navette entre la France et Montréal… Mais c’est finalement plus moi qui ai craqué pour Montréal et c’est ici que nous nous sommes installés. C’est agréable et simple de vivre ici. Pour se permettre la même qualité de vie à Paris, par exemple, il aurait fallu que je sois une vedette internationale de la chanson!» Après avoir vécu dans des mégalopoles comme Rio, São Paulo et Paris, Montréal ne semble pas gigantesque ou impersonnelle. «C’est une métropole à dimension humaine. C’est cosmopolite et il y a des gens de partout, mais l’individu n’y étouffe pas. Il y a un grand nombre d’espaces publics où les gens peuvent se retrouver. Pensez au nombre de parcs où les Montréalais peuvent pique-niquer l’été et faire de la luge avec leurs enfants pendant l’hiver. Il ne manque pas de piscines publiques ni d’aires de jeux. Un véritable voisinage se crée. Malgré ce côté petit et chaleureux, Montréal n’a rien de provincial, au sens péjoratif du terme, et l’offre culturelle est importante.» Les révélations de la commission Charbonneau ne la dépriment pas. «Ça fait naître l’espoir que la blessure va guérir, maintenant qu’on peut la voir, dit Bïa. Toute cette corruption se passait grâce à la loi du silence et c’est bien si les gens parlent enfin. Si Montréal vient à bout de ses problèmes de corruption dans le monde de la construction, imaginez quelle ville extraordinaire on aura.» Les coups de cœur de Bïa DÉCONTRACTION VESTIMENTAIRE ►«Dès le début, j’ai été étonnée par la grande tolérance vestimentaire des Montréalais. On peut avoir n’importe quels style, tribu, manie ou fantaisie, et personne ne vous regarde de travers. Il y a des filles en minijupe en plein hiver, des gars gothiques, des métrosexuels, des gars en complet-veston, pourquoi pas? À Montréal, on est élégant si on veut. Ça me charme, ce côté moins snob de Montréal. RÉSEAU CYCLABLE ►«Pour moi, le vélo qui peut servir à tout, c’est une révélation montréalaise. Ici, j’ai un horaire et des obligations, mais je fais presque tout à vélo ou à pied. J’utilise la voiture seulement deux fois par mois.» RESTAURANT LA SALA ROSSA ►«C’est un restaurant que j’adore. La paëlla est très bonne. On peut commander des repas pour deux pour moins de 20 $. Il y a des entrées avec des boules de fromage de chèvre dans le miel avec des amandes grillées. C’est délicieux. Il y a de la bonne musique. Rien de mauvais au menu. Tout est abordable. 4848, boulevard Saint-Laurent Info : 514-844-4227 LE CENTRE PÈRE-SABLON ►«C’est un centre sportif communautaire sans but lucratif, mais très beau et très convivial. Mon fils de sept ans et y fait plein d’activités. Il y a aussi beaucoup de beaux projets de camp de jour l’été.» LES CRÉATRICES DE MODE MARIEC ET MÉTAMORPHOSE ►«À cause de mon métier, je dois changer de robe souvent et je suis une habituée des ventes d’atelier des créatrices de mode MarieC et Karine Demers, dont la marque s’appelle Métamorphose. Leur style, leurs couleurs, leur design me vont bien, autant pour mes spectacles que pour sortir. Elles utilisent des tissus de qualité, agréables, sensuels.» http://www.journaldemontreal.com/2013/02/09/ville-verte-et-securitaire http://www.journaldemontreal.com/2013/02/08/on-est-mince-et-en-forme Un Torontois amoureux de Montréal. http://www.journaldemontreal.com/2013/02/09/un-torontois-amoureux-de-montreal
  18. Le retour de : Temps dur pour les détracteurs du modèle québécois. Mes lecteurs les plus anciens se souviendront de mes billets du vendredi, intitulés « Temps dur pour les détracteurs du modèle québécois ». J’ai pensé reprendre cette tradition, au vu des résultats récents de l’emploi. Voici le podium des taux de chômage pour janvier: Taux de chômage en janvier 2013 : Canada : 7,0 % Québec : 7,1 % Ontario : 7,7 % États-Unis : 7,9 % Union européenne : 10,7 % (décembre) Qu’on me permette de citer le blogueur économique Pierre Duhamel, de L’actualité, qui signe un billet intitulé: « L’incroyable machine québécoise à créer des emplois » ou on lit: http://www2.lactualite.com/pierre-duhamel/2013/02/08/lextraordinaire-machine-quebecoise-a-creer-des-emploi/ Le Québec compte 129 900 emplois de plus depuis 12 mois, ce qui correspond à 45 % de l’augmentation canadienne. Plus intéressant encore, le secteur privé, avec 134 500 emplois de plus, compensait les pertes enregistrées dans le secteur public. Il y a dans cette seule phrase trois bonnes nouvelles : beaucoup d’emplois sont créés, le secteur public est en régime minceur et le secteur privé semble capable de prendre la relève. Note en petits caractères : Les billets du vendredi « Temps durs pour les détracteurs du modèle québécois » ne prétendent pas que tout est parfait au Québec, loin s’en faut. L’auteur a d’ailleurs proposé, dans ses ouvrages et sur ce blogue, des réformes nombreuses et importantes visant à surmonter plusieurs des importants défis auxquels le Québec est confronté. Cependant, la série permet de percer quelques trous dans le discours ambiant qui tend à noircir la situation globale du Québec qui, pourtant, affiche d’assez bons résultats comparativement aux autres sociétés semblables. http://jflisee.org/le-retour-de-temps-dur-pour-les-detracteurs-du-modele-quebecois/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
  19. Ce projet ne verra pas le jour avant 2015/2016,le temps d'absorber tout le reste,sans compter la baisse des transactions,la bulle risque d'éclater d'ici la. Idem Overdale résidentiel(pas Telus).
  20. Naviguez à volonté dans les dernières nouvelles et initiatives prévues pour 2013,par Tourisme Montréal(section membres) http://www.octgm.com/bulletin/bulletin-mb-20130207.html https://membres.tourisme-montreal.org/pages/accueil.aspx
  21. L'usine de l'arrondissement de LaSalle de la Brasserie Labatt a été retenue pour brasser sa toute nouvelle bière Bud Light Platinum pour le Canada. Le mandat permet de maximiser l'utilisation du nouveau modèle de bouteille d'aluminium qui a été installé en 2012 au coût de 3 millions de dollars. Le mandat national vient consolider les 800 emplois de la brasserie du sud-ouest de Montréal. Sa production a débuté discrètement en décembre. Il s'agit en fait d'une deuxième bonne nouvelle pour les travailleurs de l'usine montréalaise en moins de 12 mois. L'an dernier, elle avait en effet obtenu le mandat de brasser la bière américaine Michelob Ultra pour l'ensemble du pays. «L'obtention de ces mandats n'est pas étrangère à la qualité de nos travailleurs et de nos maîtres brasseurs ici à LaSalle», a dit, dans un entretien, Hugo Tremblay, directeur des affaires de l'entreprise pour le Québec. La Bud Light Platinum n'a de légère que le nom puisqu'elle contient 6% d'alcool par volume. La direction de Labatt n'y voit pas d'incongruité, car Bud Light est considérée comme une marque de commerce par Labatt. Platinum est présenté comme une bière de qualité, dite premium, au même titre que les produits Alexander Keith's, par exemple. Son lancement publicitaire a coïncidé avec le Super Bowl. La bière a fait l'objet d'un lancement couru à la Société des arts technologiques, boulevard Saint-Laurent, le 31 janvier. Le liquide se vendra au pays en bouteille bleu cobalt de 650 ml, en canette de 355 ml et en bouteille d'aluminium de 355 ml. La Platinum qui se vend depuis l'an dernier aux États-Unis y a connu un franc succès. Fin 2012, la bière détenait plus de 1% du marché américain, ce qui est énorme lorsque traduit en hectolitres. Un résultat semblable au Canada «nous procurerait beaucoup de bonheur», de dire M. Tremblay. Labatt possède la brasserie de LaSalle depuis 1956. Il s'agit de l'une de ses six usines canadiennes. Le brasseur exploite 20 centres de distribution au Québec. Appartenant au géant américano-belge AB InBev S.A., Labatt emploie 1200 personnes au Québec. Les précédents investissements remontent à quelques années déjà. Labatt avait investi 50 millions en 2005 pour la modernisation de deux chaînes de production puis 2,3 millions en 2009 pour installer quatre récupérateurs de chaleur. http://affaires.lapresse.ca/economie/fabrication/201302/07/01-4619185-la-bud-light-platinum-sera-brassee-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS6
  22. La Bourse de Montréal, spécialisée dans les échanges de produits dérivés, a battu son propre record d'activités en 2012 alors que ses concurrents nord-américains étaient en baisse. Un peu plus de 64 millions de contrats à terme et options ont été échangés à la Bourse de Montréal l'an dernier, 3,8% de plus qu'en 2011. De plus, cette hausse en apparence faible s'est avérée à contre-courant du marché nord-américain des produits dérivés, dont le volume était en recul de 13%. Cette performance avantageuse de la Bourse de Montréal dans un marché très concurrentiel lui a d'ailleurs valu des éloges de la part des dirigeants du groupe TMX (T.X), qui diffusait ses résultats de fin d'exercice hier à Toronto. «Nous sommes extrêmement satisfaits d'avoir maintenu la croissance du volume, ce qui semble anormal en comparaison de ce qui s'est passé dans le marché mondial des contrats à terme et des options», a indiqué Thomas Kloet, président et chef de la direction de TMX, au cours de la téléconférence d'analystes. Selon M. Kloet, deux facteurs principaux expliquent cette bonne tenue de la Bourse de Montréal. D'une part, le marché boursier canadien a encore attiré beaucoup d'investisseurs étrangers l'an dernier, ce qui a accru leur recours à des produits dérivés d'origine canadienne comme outils de gestion de risque de leurs placements. D'autre part, a souligné le président de TMX, la Bourse de Montréal et son marché des produits dérivés se démarquent de plus en plus au niveau international. Et même à Londres, la métropole financière mondiale où TMX a un bureau de commercialisation depuis deux ans. «Après Londres, nous serons en Asie au cours des prochains mois pour promouvoir nos produits et services. Le plus intéressant pour nous, c'est que MX (surnom de la Bourse de Montréal) est devenu un produit d'attrait international, et non plus seulement au Canada», a indiqué M. Kloet. Cette importante croissance de la Bourse de Montréal au sein du groupe TMX se manifeste aussi dans ses résultats financiers. Pour le deuxième exercice consécutif, TMX a encaissé en 2012 plus de revenus provenant des frais transactionnels des produits dérivés que ceux provenant des transactions d'actions à Toronto. Ces revenus à la Bourse de Montréal et sa filiale BOX à Boston ont atteint 115,5 millions de dollars en 2012, en hausse de 2% en un an. En comparaison, les revenus transactionnels aux Bourses d'actions de Toronto et TSX-Croissance ont reculé de 12%, à 92,9 millions. Ce recul s'explique surtout par la baisse prononcée des volumes d'actions en 2012 (-20% à Toronto et -37% à TSX-Croissance) alors que le volume de produits dérivés augmentait de 3,8%. Quant aux chances de la Bourse de Montréal de maintenir cet élan en 2013, tout indique qu'elles dépendront de l'attrait des investisseurs pour les produits dérivés alors que les Bourses d'actions sont en poussée haussière. Dans les résultats financiers de TMX, aussi, les attentes demeurent floues, alors que le groupe doit encore intégrer de nouvelles activités (Bourse Alpha à tarifs réduits, firme de compensation CDS) obtenues au moment de la prise de contrôle par le consortium financier Maple. Ce consortium de 13 institutions financières, dont la Caisse de dépôt et placement, la Banque Nationale et du Mouvement Desjardins, a réalisé une mainmise de 3,8 milliards sur TMX en juillet dernier, au terme de 18 mois de démarches financières et réglementaires. Dans ses résultats publiés hier, TMX affiche un profit net de 34,7 millions au quatrième trimestre comparativement à une perte de 10,2 millions un an plus tôt. Pour l'exercice partiel de huit mois terminé le 31 décembre, TMX a dégagé un profit de 20,7 millions au lieu d'une perte de 37,3 millions en 2011. En Bourse, les investisseurs ont manifesté leur satisfaction. Les actions de TMX ont pris 2,2%, à 56,73$. Il s'agit d'un nouveau sommet depuis celui de 57$ atteint en juillet 2007, juste avant la crise financière et le krach boursier de 2008. ------------------ Volume des contrats à terme et d'options (1) Année - Millions 2012 64,2 2011 61,9 2010 44,3 2009 34,7 2008 38 2007 42,7 2006 40,5 2005 25,8 2004 21,8 2003 17,6 1: Produits dérivés de sources diverses, en ordre de volume décroissant en 2012: actions, taux d'intérêt à court terme, obligations, fonds négociés en Bourse (fnb), indices boursiers, devises. Source: Bourse de Montréal (Gr.TMX) http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201302/07/01-4619204-annee-record-a-la-bourse-de-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS8
  23. La firme britannique Framestore, spécialisée dans les effets spéciaux pour le cinéma et la publicité, a confirmé lundi son implantation à Montréal, ce qui devrait créer 200 emplois d'ici la fin de l'année. La première ministre Pauline Marois, en mission au Royaume-Uni, a participé à l'annonce officielle en compagnie du PDG de Framestore, William Sargent, au siège social de l'entreprise, à Londres. Le gouvernement consentira un prêt sans intérêt de 900 000 $ étalé sur cinq ans, ce qui lui coûtera environ 35 000 $ par année. En conférence de presse, Mme Marois a soutenu qu'aucun crédit d'impôt n'allait être accordé au projet, mais il en est tout autrement. Les clients de Framestore, principalement les grands studios de cinéma de Hollywood, auront droit à des avantages fiscaux pouvant représenter jusqu'à 44% de toutes les dépenses effectuées à Montréal et jusqu'à 60% en incluant le crédit d'impôt fédéral. M. Sargent a d'ailleurs expliqué que l'une des deux raisons pour lesquelles Framestore a choisi Montréal, c'est l'existence des généreux crédits d'Impôt, l'autre étant le bassin de main d'oeuvre qualifiée qu'on trouve dans la métropole québécoise. Vive concurrence Montréal était notamment en concurrence avec Toronto, Vancouver et des villes asiatiques pour obtenir le studio. À l'heure actuelle, l'industrie canadienne des effets spéciaux est concentrée à Vancouver. Québec espère que l'arrivée de Framestore à incitera d'autres entreprises du secteur à s'y établir également. Les premières productions auxquelles travailleront les artisans de Montréal, et ce dès le mois de mars, sont RoboCop (Columbia Pictures et MGM), et All You Need Is Kill (Warner Brothers), qui doivent tous deux sortir en 2014. Framestore compte trois studios à Londres, un à New York et un à Los Angeles, où travaillent environ 700 personnes. Si tout va comme prévu, le studio de Montréal sera le plus important de l'entreprise à l'extérieur de Londres d'ici la fin de l'année. Pauline Marois s'est également rendue lundi matin au Foreign & Commonwealth Office pour rencontrer le ministre délégué responsable de l'Amérique du Nord pour le Royaume-Uni, Alistair Burt. Sur l'heure du midi, elle prononcera un discours devant la Chambre de commerce Canada-Royaume-Uni auquel assistera notamment l'ancien premier ministre de Colombie-Britannique, Gordon Campbell, qui est maintenant haut-commissaire du Canada à Londres. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/cinema-framestore-creera-200-emplois-a-montreal/553618
  24. Vu de France..cet article est diffusé mondialement par AFP et repris par des dizaines de journaux dans leur fil infos..bonne pub pour MTL. Igloofest, quand la techno se moque de l'hiver par -30 degrés à Montréal. ..Un visiteur sur quatre vient de l'extérieur de Montréal, dont de nombreux Américains du nord des Etats-Unis qui font le déplacement spécialement, tout comme des Européens ou des hispanophones du sud. "L'an dernier, un groupe est venu en voyage organisé d'Argentine, un peu comme si nous allions en groupe au carnaval de Rio. C'est l'exotisme du climat, j'imagine, qui les attire", ose François Fournier. http://www.lalibre.be/toutelinfo/afp/452313/igloofest-quand-la-techno-se-moque-de-l-hiver-par-30-degres-a-montreal.html
×
×
  • Créer...