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yulymx

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  1. Ben oui,c'est cuit. Mais la seule bonne nouvelle c'est que la Tour Windsor sera vite fully rented si ça continue comme ça et j'espère que CF songera vite à en construire une seconde comme c'est dans leurs plans?
  2. Deloitte + Rio Tinto:il restera +- 140.000 PC sur 495.000 de disponible (hors espaces commerciaux). http://www.cadillacfairview.com/Notesdata/HR/CF_LP4W_LND_WebStation.nsf/page/Cadillac+Fairview+amorce+la+construction+de+la+tour+Deloitte
  3. Rio Tinto Alcan déménage à côté du Centre Bell. Rio Tinto a signé un bail à long terme avec La Corporation Cadillac Fairview Limitée et déménagera son Bureau de Montréal dans la Tour Deloitte, sur l'avenue des Canadiens-de-Montréal, au centre-ville de Montréal en 2015, devenant ainsi un principal locataire de cet immeuble. Les détails de ce bail demeureront confidentiels. Rio Tinto regroupera dans ces nouveaux locaux tous ses employés de Montréal, où ils bénéficieront des mêmes avantages que dans l'immeuble actuel du 1188 rue Sherbrooke Ouest, et de bien d'autres également. L'entreprise occupera les huit étages supérieurs de cette tour de 26 étages, ce qui correspond à une superficie totale de 190 000 pieds carrés. Plus de détails suivront. The signing of this lease coincides with the conclusion of an agreement for the sale of Rio Tinto's current office space at 1188 Sherbrooke Street West in Montreal. Details regarding the sale will be made public in due course. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201307/11/01-4669895-rio-tinto-alcan-demenage-a-cote-du-centre-bell.php Deux conséquences:malheureusement pas de 'tour' RT seule,bien que leur projet n'était pas génial. La Tour Windsor va faire le plein je pense avec Deloitte et RT comme locataire principaux,ce qui va sans doute encourager d'autre projets de bureaux d'aller de l'avant?Dont CF qui a du terrain juste en face. Ou relancer le 900 DM west,accélérer la tour 2 (33 étages) du QDS ou autre chose? Cela fait une hypothèse de levée en tout cas.
  4. CAE signe des contrats totalisant plus de 230 millions de dollars. CAE (TSX:CAE) a annoncé jeudi avoir signé des contrats totalisant plus de 230 millions de dollars avec des transporteurs des Émirats arabes unis et de la Chine. Ces contrats portent sur la fourniture de neuf simulateurs de vol et de neuf dispositifs de formation avec Etihad Airways, le transporteur national des Émirats arabes unis, et avec China Eastern Airlines, l'un des plus importants transporteurs chinois. Les contrats, signés au premier trimestre de l'exercice financier de la société montréalaise, portent à 15 le nombre de simulateurs de vol dont CAE a annoncé la vente depuis le début de l'exercice 2014. Nick Leontidis, président de groupe, Produits de simulation, formation et services associés - Civil de CAE, s'est dit heureux de continuer à développer les relations avec Etihad Airways et China Eastern. James Hogan, président et chef de la direction d'Etihad, a fait valoir que les exigences en matière de formation des pilotes continuent de croître, ajoutant que ces nouveaux simulateurs de vol permettront à la compagnie d'être en bonne position pour la prochaine phase de son expansion. Le contrat avec Etihad porte sur la fourniture de sept simulateurs de vol, de sept dispositifs de formation, de services de mise à niveau et d'un accord exclusif de 10 ans pour des services et de l'équipement de formation. La compagnie aérienne est cliente de CAE depuis 2003. Le contrat avec China Eastern porte sur la fourniture de deux simulateurs de vol de Série CAE 7000. Le contrat inclut également deux dispositifs intégrés d'entraînement aux procédures CAE Simfinity. China Eastern exploite déjà 16 simulateurs construits par CAE. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/07/11/003-cae-contrats-230m-chine-emirats.shtml
  5. Aéronautique: GE inaugure un nouveau centre de R-D à Bromont. - GE Aviation a procédé à l’inauguration de son centre de recherche et développement en robotique, automatisation et instrumentation à Bromont, ce qui entraînera la création de 60 emplois. Il s’agit d’un investissement total de 61,4 millions de dollars (M$), dont 8,4 M$ proviennent d’Investissement Québec et du ministère de l’Économie et des Finances du Québec. Le nouveau centre de R-D de GE Aviation mettra au point «des processus avancés de robotique, des applications logicielles et des éléments de propriété intellectuelle» qui seront exportés vers les installations et les fournisseurs de l’entreprise à travers le monde. «Tout commence avec le désir de prendre des risques et d’innover, de même que par la confiance que nous avons envers nos équipes. L’inauguration d’aujourd’hui porte sur l’accélération de la cadence à laquelle nous innovons, et sur la remise en perspective de la manière dont les produits sont conçus, fabriqués et entretenus au Canada et dans les marchés mondiaux. Grâce au centre de R-D, nous allons concevoir plus de nouveaux moteurs d’ici la fin de la décennie qu’au cours des 30 dernières années. De plus, les moteurs conçus auront une durée de vie utile de 40 à 50 ans», a déclaré le président du conseil et chef de la direction de GE, Jeff Immelt, en conférence de presse dans les locaux de GE Aviation à Bromont. Ce dernier a tenu à souligner l’importance de l’investissement du gouvernement provincial dans la décision de l’entreprise d’implanter son centre de R-D à Bromont: «Quand nous prenons la décision de bâtir une usine, nous nous engageons à long terme. Nous investissons constamment à notre rythme. Toutefois, lorsqu’un gouvernement montre sa volonté d’appuyer l’un de nos projets, c’est un symbole très fort. Ce n’est pas l’aspect le plus important, mais c’est un aspect important», a ajouté M. Immelt. «Grâce à cet investissement, nous allons pouvoir amener l’expertise que nous avons développée depuis une quinzaine d’années dans la fabrication de composantes de moteurs d’avions à un autre niveau. Cela va nous permettre d’exporter notre expertise dans les 80 autres usines de GE Aviation à travers le monde», explique le chef d’usine de Bromont, Philippe Simonato. «De plus en plus, on tente de donner des yeux aux robots, on veut qu’ils possèdent des sens. Tout cela fera partie de nos travaux. Nous possédons déjà des robots ayant un système de vision très performant sans lesquels il aurait été impossible de construire des aubes [des pièces entrant dans la composition des moteurs d’avions]. Nous allons aussi travailler avec de nouveaux matériaux», précise-t-il. M. Simonato affirme que l’usine de Bromont était en concurrence avec d’autres établissements de GE Aviation pour l’obtention du centre de R-D. «Nous avons développé une expertise en robotique au cours des 15 dernières années. Nous possédons déjà plus de 120 robots. C’est ce qui nous a démarqués lorsque le projet est arrivé sur la table», croit-il. Selon lui, GE Aviation compte environ 28 000 employés dans 14 pays. Bonne nouvelle pour l’industrie de l’aérospatiale La nouvelle de la venue du centre de R-D à Bromont a réjoui la présidente-directrice générale d’Aéro Montréal, Suzanne Benoît: «C’est une très bonne nouvelle pour les jeunes qui veulent s’en aller en aérospatiale, car l’entreprise va créer des emplois de très haut niveau. La beauté de ça, c’est que les PME québécoises qui sont des fournisseurs de GE Aviation en robotique et en automatisation vont également rayonner à l’international. C’est une carte de visite extraordinaire pour le développement des affaires et pour nos cerveaux ici, au Québec», dit-elle. La mairesse de Bromont, Pauline Quinlan, était aussi très satisfaite de l’annonce: «L’ouverture du centre vient confirmer la vocation du parc scientifique Bromont, reconnu autant pour la microélectronique que pour la fabrication de produits de pointe. Je suis aussi présidente de la Société de développement économique de Bromont et nous voulons à présent attirer des entreprises satellites pour entourer nos grands donneurs d’ordres», dit-elle. GE possède une usine à Bromont depuis 1982 et y compte un peu moins de 800 employés en incluant ceux du centre de R-D en robotique automatisation et instrumentation. L'usine de Bromont fabrique des composantes de moteurs d’avion, dont les moteurs CFM56 conçus pour le Boeing 737 et l’Airbus 320, et les moteurs GEnx conçus pour le Boeing 787 et le Boeing 747-8. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/aeronautique-et-aerospatiale/aeronautique-ge-inaugure-un-nouveau-centre-de-r-d-a-bromont/559494#.Ud1nh6zOuCg
  6. Facebook a officiellement ouvert un bureau à Montréal mercredi matin. Il s’agit du troisième de l’entreprise à ouvrir ses portes au Canada. Avec seulement deux employés, le bureau montréalais de Facebook est également le plus petit, puisque celui de Toronto compte près de 50 employés et celui de Vancouver, 150. Contrairement au bureau de Vancouver, où des postes d’ingénieurs ont été créées, le bureau de Montréal en sera essentiellement un de vendeurs. «La décision de s’établir a Montréal provient de la demande de nos partenaires, qu’il s’agisse de marques ou d’agences, qui voulaient qu’on soit là physiquement pour les supporter», explique Jordan Banks, directeur général de Facebook Canada. Le mandat du bureau sera de supporter les clients de Facebook établis au Québec, mais aussi d’accompagner ceux du reste du Canada qui souhaitent rejoindre les utilisateurs québécois du réseau social. Sylvain Martel, un ancien directeur de compte chez Mediacom Canada, et Damien Duprat, issu de Facebook France, sont les deux premiers employés du bureau. Aucun autre poste n’est ouvert pour l’instant au Québec, mais il va sans dire que les locaux de Facebook sur la rue University devraient éventuellement accueillir d’autres employés. «On va laisser nos clients déterminer quels types de postes sont nécessaires et on embauchera en conséquence», explique Jordan Banks. Ceux qui souhaitent travailler pour Facebook peuvent surveiller cette page, où toutes les offres d’emploi de Facebook au Canada sont publiées. http://www.lesaffaires.com/blogues/julien-brault/facebook-ouvre-un-tres-petit-bureau-a-montreal/559513#.Ud1lnazOuCh
  7. Le groupe Sogeclair ouvre une filiale dans le Grand Montréal. Le groupe Sogeclair, chef de file international de l'ingénierie de haute technologie, annonce l’ouverture de sa filiale canadienne dans le Grand Montréal. M. Philippe Robardey, président-directeur général de Sogeclair et M. Yves Sagot, président de sa filiale québécoise, en ont fait l’annonce dans le cadre du Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace Paris Le Bourget, en présence de M. Nicolas Marceau, ministre des Finances et de l'Économie du Québec. « Cette nouvelle filiale au Canada nous permettra de nous rapprocher de nos clients et de leur apporter l’ensemble des expertises développées par les entités du groupe. Sur place, nous pourrons écouter nos clients et adapter notre offre en fonction de leurs attentes : mise à disposition d’experts, réalisation d’une étude complète avec engagement de résultat, ou même conception et réalisation d’un sous-ensemble complet. Le Grand Montréal est aussi un point d'accès vers les États-Unis, intéressant dans une perspective de développement de marché auprès des grands joueurs américains », a déclaré M. Philippe Robardey. « Le Québec attire un nombre croissant d’entreprises innovantes, qui se greffent à notre grappe du secteur de l’aérospatiale et la dynamisent. Et très souvent, ces entreprises sont d’origine française », a affirmé le ministre Marceau. « Les nouvelles venues peuvent compter sur un ensemble d’avantages concurrentiels des plus attrayants, à commencer par une main-d’œuvre qualifiée, issue des meilleures écoles, qui soutient les nombreuses innovations proposées dans ce secteur de pointe. Les entreprises peuvent aussi miser sur le soutien du gouvernement du Québec », a-t-il ajouté. « Investissement Québec, avec ses visiteurs internationaux, a pu nous aider dans la construction de notre projet depuis sa genèse. Nous avons obtenu un soutien indéfectible de la part de Montréal International et d’Investissement Québec, qui nous ont activement organisé des rencontres avec les clients, les partenaires et les fournisseurs éventuels pendant notre phase active de prospection. Cette aide a facilité notre installation et continuera de nous accompagner dans le développement de notre filiale », a déclaré M. Yves Sagot. Lors de l’annonce, le ministre Marceau a souligné que « l’entreprise prévoyait recruter une cinquantaine de personnes d’ici trois ans, majoritairement en ingénierie. Ce sont de bons emplois dans un secteur porteur où le Québec continue d’aller de l’avant ». En 2012, l’industrie québécoise de l’aérospatiale se classait au 6e rang mondial quant au volume des ventes, derrière les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, et le Japon. Avec plus de 42 000 emplois et des ventes dépassant 12 milliards de dollars, le secteur aérospatial regroupe une concentration de maîtres d’œuvre, des équipementiers de premier ordre et un réseau de près de 200 PME. « Près de 60 % de la production aérospatiale canadienne est réalisée dans le Grand Montréal. Cette importante présence de l’industrie a permis à la région de devenir un des trois grands centres aérospatiaux du monde, aux côtés de Seattle et Toulouse », a précisé M. Elie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal à Montréal International. À propos de Sogeclair (http://www.sogeclair.com) Établi à Toulouse, le groupe Sogeclair est présent partout dans le monde et compte plus d’un millier d’employés. L’entreprise assure des projets d’envergure d’études et de co-développement pour de grands comptes industriels et elle développe des solutions innovantes de simulation et de réalité virtuelle. Les activités du groupe à l'international représentent aujourd'hui 40 % du chiffre d’affaires. Sa division pour l’aérospatiale est un acteur majeur de ce secteur et elle représente 85 % des activités du groupe Sogeclair. Regroupant plus de 900 collaborateurs, elle compte parmi ses principaux clients les filiales d’EADS, en particulier Airbus, Eurocopter, Aerolia, Premium Aerotec, et d’autres entreprises majeures, dont CAE, Dassault, Safran, Thales et Spirit Aerosystems. Elle est déjà implantée en France, en Allemagne, en Espagne, au Royaume-Uni, et en Tunisie. http://www.montrealinternational.com/le-groupe-sogeclair-ouvre-une-filiale-dans-le-grand-montreal/
  8. LINAGORA annonce l’ouverture à l’automne prochain de sa filiale dans le Grand Montréal. Pour Alexandre Zapolsky, président-directeur général de LINAGORA : « La politique québécoise de soutien à l’innovation et aux entreprises ainsi que la proximité du marché américain ont été des facteurs déterminants dans notre décision. De plus, l’intérêt avoué du gouvernement québécois pour le logiciel libre offre des perspectives très prometteuses pour une entreprise comme LINAGORA. » « L’arrivée dans le Grand Montréal d’une entreprise comme LINAGORA, leader français du logiciel libre, qui se spécialise dans un domaine porteur de l’économie du savoir, met de l’avant le dynamisme de toute la région comme centre de haute technologie », a déclaré M. Élie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal de Montréal International. Déjà implantée dans la Silicon Valley depuis plusieurs années, LINAGORA a décidé d’écrire une nouvelle page de son développement international. La première étape passera par le Québec et le Grand Montréal. Cette décision est le fruit d’un dialogue qui s’est noué depuis près de cinq ans avec Montréal International, Investissement Québec et la Délégation du Québec à Paris. « Les filiales de sociétés étrangères représentent un puissant levier pour le développement économique et le rayonnement de la métropole. On y recense quelque 2 000 établissements étrangers, incluant plus de 300 filiales de sociétés françaises, qui comptent pour 9 % des emplois totaux et 20 % du PIB de la région », a ajouté M. Farah. Dans un premier temps, le leader français du logiciel libre installera deux employés à Montréal. Mais l’ambition est tout autre puisque à l’horizon de 3 ans, LINAGORA projette d’investir 10 M$ et de créer 55 nouveaux emplois au Québec et au Canada. À PROPOS DE LINAGORA (http://www.linagora.com) LINAGORA édite ses propres logiciels Open Source et propose une gamme de services professionnels pour réussir les grands projets du Libre. L’activité d’édition Open Source s’articule autour de 4 offres innovantes : OBM.org : Outils de messagerie et de travail collaboratif ; LinShare : Solutions de confiance numérique et de sécurité ; LinID : Applications de gestion et de fédération des identités ; Petals : L'ESB libre qui s'adapte aux infrastructures étendues et grande échelle. L’offre logicielle de LINAGORA s’accompagne de l’OSSA, l’Open Source Software Assurance, qui propose un catalogue complet de plus de 200 logiciels libres, prêts à l’emploi, sur une plateforme unique, le http://www.08000LINUX.com. Ces logiciels bénéficient d’un support et d’une maintenance garantis contractuellement. L’OSSA, c’est l’Open Source sans risque. Ces offres logicielles sont complétées par une gamme de services professionnels et de formations visant à accompagner les grands utilisateurs de logiciels libres dans le projet de transformation de leur SI. http://www.montrealinternational.com/linagora-le-champion-francais-du-logiciel-libre-simplante-dans-le-grand-montreal/
  9. Bilan positif au Salon Paris-Le Bourget. Le ministre des Finances et de l’Économie, M. Nicolas Marceau, et la ministre déléguée à la Politiqueindustrielle et à la Banquede développement économique du Québec, Mme Élaine Zakaïb, rentrent au Québec satisfaits des retombées du Salon international de l’aéronautique et de l’espace de Paris-Le Bourget. Ils ont vu se créer des partenariats prometteurs, et leur présence a favorisé la concrétisation d’ententes qui auront un impact significatif sur le secteur de l’aérospatiale au Québec. Des investissements privés de l’ordre de 81 millions de dollars, créateurs d’emplois structurants, ont aussi été confirmés. Le Salon international de l’aéronautique et de l’espace de Paris-Le Bourget en était à sa 50e édition cette année. En tout, 1 300 exposants et environ 130 000 visiteurs et professionnels de l’industrie étaient présents à ce rendez-vous, dont une cinquantaine d’industriels et d’organisations québécoises en aérospatiale. Parmi ceux-ci figuraient Bombardier Aéronautique, Pratt & Whitney Canada, Bell Hélicoptère Textron Canada, CAE ainsi que Montréal International et Aéro Montréal, la grappe aérospatiale du Québec. Les ministres étaient aussi accompagnés de représentants du ministère des Finances et de l’Économie, du ministère des Relations internationales, dela Francophonieet du Commerce extérieur, du ministère de l’Enseignement supérieur, dela Recherche, dela Scienceet dela Technologieet d’Investissement Québec. « La forte participation de la délégation québécoise a eu pour effet de confirmer notre leadership dans un marché de haute technologie très innovant. Notre présence à cet évènement prestigieux est essentielle et vient appuyer notre industrie aérospatiale. Elle permet au Québec de profiter pleinement de nombreuses occasions d’affaires dans le domaine de l’aérospatiale. Les investissements privés qui s’y sont concrétisés démontrent la vigueur et l’excellence de notre industrie », a déclaré Nicolas Marceau. « Au cours des derniers jours, nous avons pu faire valoir notre savoir-faire et l’expertise de l’industrie aérospatiale québécoise. Nos entreprises sont dynamiques et constituent des partenaires à privilégier. Avec sa capacité d’innovation, son réseau d’éducation performant et l’excellence de ses centres de recherche, le Québec possède, plus que jamais, un solide pouvoir d’attraction pour les sociétés étrangères », a ajouté Élaine Zakaïb. Des investissements et des emplois Lors de cette mission commerciale, les ministres Nicolas Marceau et Élaine Zakaïb ont annoncé l’implantation au Québec de l’entreprise française ATEM, une entreprise de conception et de fabrication de câbles coaxiaux et d’assemblage RF (radiofréquence) destinés à l’industrie aérospatiale. ATEM Canada rendra disponible au Québec une expertise encore inexistante et permettra la création d’une dizaine d’emplois. Les dirigeants d’AV&R Vision & Robotique, qui se spécialise dans la création de systèmes automatisés d’inspection visuelle et de finition de pièces de turbines à gaz pour les secteurs de l’aéronautique et de l’énergie, ont confirmé la fusion de leurs services avec ceux de la firme d’ingénierie québécoise IMAC Automatisation afin de former le Groupe AV&R. Cette fusion permettra de doubler les effectifs et de faire d’AV&R l’une des plus importantes entreprises spécialisées en robotique dans le monde. De son côté, Aerolia, le numéro un français des aérostructures et important fabricant d’éléments de fuselages d’avions, établira une première usine nord-américaine dans le parc industriel de l’Aéroport international de Montréal-Mirabel. Une entente de principe d’une durée initiale de quinze ans conclue avec Aéroports de Montréal (ADM) prévoit un investissement de 9,5 millions de dollars d’ADM et la création de quelque 150 emplois. Pour accueillir le siège social et les ateliers de fabrication d’Aerolia, ADM construira un bâtiment sur mesure d’une superficie de7 300 mètrescarrésqui sera opérationnel dès janvier 2014. Une entente de collaboration a aussi été annoncée entre l’École nationale d’aéronautique (ENA) du collège Édouard-Montpetit et Aerolia. Elle prévoit, entre autres, qu’Aerolia offrira des stages et embauchera des étudiants diplômés du collège et de l’ENA. Sogeclair, chef de file international de l’ingénierie, a pour sa part rendu publique l’ouverture d’une filiale canadienne dans la région de Montréal qui créera une cinquantaine d’emplois d’ici trois ans. Aéro Montréal lancera un appel de candidatures pour la troisième cohorte de l’initiative MACH, qui optimisera la performance de la chaîne d’approvisionnement aérospatiale québécoise. Elle a également conclu une entente avec le Pôle de compétitivité aéronautique et spatial Skywin pour l’implantation de l’initiative MACH en Wallonie. De plus, Aéro Montréal a signé une entente de collaboration avec Aerospace Cluster in Rhône-Alpes, un regroupement d’entreprises, de laboratoires de recherche et de centres de formation français. AHE, distributeur de pièces en aéronautique, s’implantera dans la région de Montréal et créera quinze emplois en trois ans. Loiretech, qui conçoit et réalise des moules et des outillages pour la mise en forme de matériaux composites, notamment pour le secteur de l’aérospatiale, s’installera au Québec en s’associant avec l’entreprise québécoise Composites VCI. La nouvelle entité, Loiretech Canada, sera établie à Mirabel et créera une dizaine d’emplois dès la première année. Enfin, Sinters America, qui se spécialise notamment dans la conception et la fabrication de systèmes de maintenance et d’outillages pour l’entretien des avions, a mis au point des cartes électroniques pour capteurs manométriques qui seront utilisées par la société française Thales Avionique. En apportant un soutien technique et financier à Sinters America, le gouvernement du Québec a aidé l’entreprise à s’imposer auprès de ce chef de file mondial de l’industrie. « Ces annonces démontrent clairement que le Québec possède un pouvoir attractif important qui incite les investisseurs à s’implanter chez nous. À la lumière des affaires qui ont été conclues ces derniers jours, nous repartons avec la conviction que la mission que nous avons effectuée a été extrêmement profitable. C’est véritablement le reflet du dynamisme des intervenants qui contribuent chaque jour à la force du secteur aérospatial québécois. Il ne fait aucun doute que tous ces projets contribueront à la croissance et à la vitalité de notre industrie », a conclu Nicolas Marceau. http://www.montrealinternational.com/bilan-positif-au-salon-paris-le-bourget/
  10. Sans compter aussi toutes les belles maisons de style Victorien très British et je crois aussi l'animation et le degré de densité de population qui vit encore dans le CV. A part NYC,San Francisco en partie et Boston, combien d'Atlanta,de Dallas ou de Houston,villes très mortes après 18h00? Downtown,des bureaux,souvent pas de métro réel,pas de ville souterraine,quelques tours résidentielles,peu de commerces de proximité,mais pour des maisons il faut aller en banlieue. A Mtl sur Sherbrooke tu marches un peu et tu as des tas de duplex ou de maisons avec une vraie vie de quartier.Sans compter la festivalite assez unique à ce point en Amérique du Nord (et tant mieux car y en a pour tous les gouts). Une ville 4 saisons. Comment est vendue Montréal à l'étranger sur les différents marchés. Justement: http://documents.tourisme-montreal.org/Montreal-Tourism/R-and-D/Statistics/FR/ra-2012-fr.pdf http://infolettres.tourisme-montreal.org/bulletin/2013/bulletin-mb-20130708.html http://www.montrealinternational.com/content/uploads/files/18042013/Bilan_2012_FR_Montreal_International.pdf
  11. Le projet du Square Phillips(33 étages de type Universitaire..résidence ou ?)va peut être alors être abandonné si celui-ci va de l'avant? D'un autre coté des perspectives de profits avec des taux d'occupation en hausse pour les proprios d'hôtels à MTL. Plusieurs joueurs quittent le marché et le projet de Point Zéro avec ACCOR/Pullman est annulé ou reporté sans ACCOR. Maritime est aussi transformé en résidence étudiante.L'hôtel de la Montagne disparait aussi,bien que l'on doive retrouver en principe un hôtel dans le projet Ogilvy? Cela peut aussi espérons donner des idées d'investissements à des chaines d'hôtels?
  12. yulymx

    Griffix - 20 étages (2013)

    Les promoteurs sortent de super rendus(parfois),de brillants sites internet et puis à l'arrivée en 'vrai' c'est 8 fois sur dix bien pire. Une exception pour moi,le Marriott sur RL que je trouve mieux en vrai que sur les rendus pour une fois. L'Altoria sera sans doute une bonne surprise aussi,faut dire qu'il est pas terrible sur le site et que ce qu'on peut deja voir en vrai est pas mal.
  13. Pas de copropriétés donc.5 possibilités alors:résidence 'soleil',résidence universitaire,appart hôtel,appartements à louer (mais ça demande pas mal de transformations) et pourquoi pas,une clinique privée(il suffirait d'aménager quelques étages en blocs opératoires,salles de soins,réveil,administration etc.. les chambres d'un hôtel étant finalement assez proches de chambres d'un hôpital pour de courtes chirurgies d'un jour ou guère plus).On avait bien eu un projet de clinique privée dans Griffintown avec une ou deux tours de 60 étages à l'époque. Jersey ça sent l'argent pas très clean...ils ont peut être été attirés par la réputation de la ville(corruption etc)? Voila un nouveau créneau pour MTL: paradis fiscal...
  14. DCV Holdings, de l'île Jersey, le mystérieux acheteur du Delta Centre-ville. PRIMEUR – Le nouveau propriétaire du Delta Centre-ville est DCV Holdings LP, enregistré à l’île Jersey, a appris LesAffaires.com. Le conglomérat a racheté la compagnie à numéros détenant l’immeuble. Le patron de la bannière de courtage immobilier Sutton-Québec, José Christophe Folla, est maintenant enregistré comme secrétaire de l’entreprise. Mais difficile d’en savoir plus sur les véritables propriétaires de l’hôtel. Le fonds de placement immobilier torontois InnVest n’a pas vendu la tour, située au 777, rue University, mais bien la compagnie à numéros qui la détient. Joint à Toronto, le nouveau président de 3530094 Canada inc. n’a pas voulu donner d’informations sur ses patrons, mais il assure qu’il n’est pas lui-même propriétaire de DCV Holdings. «Je ne suis que le directeur», dit Farrokh Zahedi. «Il y aura un communiqué en temps opportun. D’ici là, je n’ai pas de commentaire à faire», ajoute-t-il. Quand LesAffaires.com lui a demandé si José Christophe Folla, «secrétaire» de l’entreprise à numéros, est actionnaire du conglomérat jersiais, il a répondu qu’il n’avait «pas de commentaires». Dans son communiqué du 3 juillet, InnVest n’a pas spécifié l’identité de l’acheteur, mentionnant simplement avoir vendu l’hôtel à «une coentreprise internationale». Le fonds de placement immobilier a aussi annoncé que le nouveau propriétaire avait l’intention de fermer l’hôtel et de changer la vocation de l’immeuble. Questionné sur l’usage futur du 777 University, Farrokh Zahedi a simplement mentionné qu’il n’abritera pas de copropriétés. Le nouveau patron de la tour dit être retraité, après une carrière dans l’«immobilier commercial». Farrokh Zahedi a ensuite raccroché. José Christophe Folla n’a pas rappelé LesAffaires.com, malgré nos multiples messages laissés à ses bureaux. L’avocat montréalais au dossier, Michel Ménard, n’a pas rappelé LesAffaires.com parce qu’il est en vacances, selon son adjointe. Conglomérat jersiais Selon le Registre des entreprises, DCV Holdings LP appartient à deux autres entreprises enregistrées à la même boîte postale de Saint-Hélier, capitale de Jersey : CSH Management Three Limited et DCV Capital LP. Ces trois sociétés ont été créées en juin, selon le registre des compagnies de cette possession britannique. La petite île anglo-normande de la Manche est largement considérée comme un paradis fiscal et résiste aux pressions de l’Union européenne, qui lui demande d’échanger automatiquement les informations fiscales sur ses ressortissants y ayant ouvert des comptes. Jersey compte moins de 100 000 habitants, mais abrite pour près de 180 G de livres sterling en dépôts, soit plus de 280 G$, selon un rapport récent de l’organisation britannique Tax Justice. InnVest a confirmé la fermeture prochaine du Delta Centre-ville, qui laissera 350 personnes sans emploi. Dans communiqué séparé, le gestionnaire Delta Hôtels et Villégiature a précisé qu’il «n’a pas participé à la décision de vendre ou de fermer l’établissement». http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/dcv-holdings-de-l-ile-jersey-le-mysterieux-acheteur-du-delta-centre-ville/559429#.Udb_XazOvbp
  15. C’est à Montréal que la firme allemande de conseils stratégiques Roland Berger a choisi d’ouvrir son premier bureau au Canada. LesAffaires.com a rencontré son équipe montréalaise et le fondateur de l’entreprise dans le cadre de l’inauguration de leurs nouveaux bureaux dans l’ouest du centre-ville de la métropole. «Montréal nous intéressait parce qu’elle a des industries fortes », répond Roland Berger, l’homme d’affaires qui a fondé l’entreprise qui porte son nom en 1967 à Munich. « Nous croyons aussi que nous avons des affinités culturelles avec le Québec. » Quatrième joueur en importance dans la consultation stratégique, Roland Berger a 51 bureaux dans 36 pays. La firme a commencé son expansion à l’extérieur de l’Europe en Asie au cours des années 1990. Depuis environ deux ans, la firme tente d’accroître sa présence en Amérique du Nord. Deux consultants du bureau parisien, Serge Lhoste et Alexis Gardy, ont travaillé au démarrage du bureau montréalais, il y a un an. Depuis, le bureau a déménagé pour occuper de plus grands espaces. L’équipe est en croissance et aura un visage plus local. « Nous serons une vingtaine d’employées en septembre, prévoit M. Lhoste. La moitié de notre équipe sera canadienne d’ici là. » La force du secteur aéronautique est l’un des éléments qui ont attiré Roland Berger à Montréal. Le fait français joue aussi en faveur d’une firme européenne, croit M. Lhoste. « Le marché n’est pas saturé, commente-t-il. La langue au Québec constitue une difficulté. » Pour la firme, les marchés délaissés représentent des occasions d’affaires, ce qui fait que Montréal a eu un attrait plus grand que Toronto, centre financier du Canada. « Nous n’allons pas où tous nos concurrents vont, ajoute M. Berger. Quand nous avons décidé d’aller en Chine, nous étions les seuls à l’époque. » L’arrivée d’une firme de calibre mondial est une bonne nouvelle pour Montréal, croit Daniel Labrecque, pdg de la banque d’affaires DNA Capital. M. Labrecque a aidé l’entreprise européenne à s’installer au Québec. Roland Berger vient d’aménager à l’étage supérieur de la Maison Masson, l’immeuble de DNA Capital. M. Labrecque espère ainsi que les deux entreprises pourront profiter de la complémentarité de leurs services. « C’est une très bonne chose que Roland Berger ouvre un bureau à Montréal», félicite-t-il. La firme allemande vise la clientèle des entreprises qui génèrent des revenus de plus de 300 M$. Le bureau montréalais met de l’avant ses spécialités dans le secteur de l’aéronautique, des métaux, de l’énergie et des services Un monde plus complexe Les entreprises ont de plus en plus besoin de conseils, car le monde devient « plus complexe », croit M. Berger, qui œuvre dans la consultation depuis plus de 40 ans. « Nous devons composer avec les changements technologiques, le réchauffement climatique, la rareté des ressources et la mondialisation », rappelle-t-il. À court terme, l’enjeu stratégique le plus important est le ralentissement de l’économie dans les pays émergents comme la Chine et le Brésil, selon l’homme d’affaires allemand. À plus long terme, le principal défi stratégique pour les organisations sera de s’adapter à l’évolution des technologies, anticipe-t-il. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/services-financiers/la-firme-de-consultants-roland-berger-choisit-montreal/559405#.UdX_26zOvbo
  16. Niveau corruption et malversations c'est un mal mondial voir les manifs au Brésil et en Turquie.. Rien que pour la France voici la liste des condamnations(tous partis): Il est plus facile de faire une liste de ceux qui ne sont pas encore condamnés que l'inverse: http://www.wikistrike.com/article-liste-des-condamnations-et-mises-en-examen-du-ps-du-parti-de-gauche-des-verts-de-l-ump-et-du-fn-116776009.html no comment
  17. Près de 100 emplois en aéronautique pour Montréal. Le ministre des Finances et de l'Économie du Québec, Nicolas Marceau, a profité du salon aéronautique du Bourget, en banlieue de Paris, pour annoncer différents projets dans ce secteur d'activité qui créeront une centaine d'emplois. L'entreprise française Sogeclair, spécialisée dans la simulation et la réalité virtuelle, ouvrira une filiale canadienne dans la région de Montréal. Elle prévoit embaucher une cinquantaine de personnes d'ici trois ans, surtout dans le secteur de l'ingénierie. Sogeclair explique que sa venue au Québec lui permettra de se rapprocher de ses clients, tout en ayant « un point d'accès vers les États-Unis ». AHE, un distributeur français de pièces, compte aussi ouvrir une division dans la région de Montréal pour desservir le marché nord-américain. Il devrait embaucher une vingtaine de personnes d'ici 2016. « Le Grand Montréal est un des principaux pôles aéronautiques mondiaux et sa communauté d'affaires est vaste et dynamique, a expliqué le président d'AHE, Gérard Ranzato, dans un communiqué. Nous avons accès à un important bassin de main-d'œuvre qualifiée, et sa situation géographique est hautement stratégique pour desservir les marchés canadien et américain ». Le concepteur et fabricant de pièces et de moules Loiretech prévoit aussi s'établir au Québec en créant une coentreprise avec Composites VCI de Saint-Lin-Laurentides. D'ici trois ans, Loiretech Canada souhaite avoir son usine à Mirabel, qui emploiera une vingtaine de personnes. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/06/18/003-quebec-projets-aeronautique-bourget.shtml
  18. Aéronautique: forte présence québécoise au Bourget. L'industrie aéronautique québécoise participe en force au 50e salon du Bourget, qui s'ouvre lundi près de Paris. Le géant Bombardier et CAE, qui auront comme d'habitude leurs propres «chalets» et espaces d'exposition, seront en première ligne, tandis qu'une trentaine de PME seront réunies au pavillon du Québec. L'un dans l'autre, c'est la plus grosse délégation jamais envoyée sur le tarmac de l'aéroport historique du Bourget, ont noté dimanche à Paris le ministre des Finances et de l'Économie, Nicolas Marceau, et la ministre déléguée à la Politique industrielle, Élaine Zakaïb, venus promouvoir la «grappe aérospatiale». «Le Bourget, c'est un gros morceau, a expliqué Mme Zakaïb. Nous avons tenu à être deux ministres pour rencontrer le plus de gens possible pour mettre de l'avant le Québec. C'est important pour le Québec d'être présent de façon distincte.» «Nous avons deux objectifs : permettent à nos entreprises de développer leurs marchés et attirer des investissements au Québec», a renchéri le ministre Marceau, en rappelant le poids économique du secteur, avec ses ventes annuelles de 12,1 milliards $ et ses 42 000 emplois (dont 13 000 ingénieurs). La présence des deux ministres donnera lieu lundi et mardi à une près d'une dizaine d'annonces d'investissements ou d'implantations, des «dossiers qu'on travaille depuis longtemps», note la ministre Zakaïb, et qu'on annonce au Bourget pour obtenir un impact maximum. Ici, chacun mise sur les effets d'annonce, mais à une tout autre échelle lorsqu'il s'agit des grands avionneurs comme Boeing ou Airbus, qui se livrent une lutte sans merci à coup de contrats de plusieurs milliards de dollars. Pour le Québec, les regards se tourneront vers Bombardier et son nouveau CSeries, qui doit effectuer son premier vol la semaine prochaine au Québec et dont on pourra voir une maquette grandeur nature en «statique». L'avionneur aurait déjà en poche 177 commandes fermes pour le jet de 100 à 130 places et plusieurs autres devraient être annoncées cette semaine au Bourget, murmure-t-on. L'industrie aérospatiale québécoise se classe au sixième rang mondial, derrière les États-Unis, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et le Japon. Immense marché civil et militaire, le salon du Bourget, avec ses 1300 exposants et ses 130 000 visiteurs professionnels venus de 45 pays, est le premier rendez-vous mondial de l'industrie aérospatiale. L'enjeu est colossal : on estime que cette année seulement, les compagnies aériennes du monde dépenseront 100 milliards de dollars pour s'équiper ou renouveler leur flotte d'avions http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201306/16/01-4661835-aeronautique-forte-presence-quebecoise-au-bourget.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS3
  19. ALERTE - Le maire de Montréal arrêté MONTREAL - Le maire de Montréal Michael Applebaum a été arrêté lundi matin et devait être entendu dans la journée par les enquêteurs de l'unité anti-corruption, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Son arrestation s'inscrit dans l'enquête sur de multiples affaires de corruption qui secouent la grande ville québécoise depuis plus d'un an et qui ont entraîne la démission du maire précédent le 5 novembre dernier. (©AFP / 17 juin 2013 12h44) http://www.romandie.com/news/n/_ALERTE___Le_maire_de_Montreal_arrete_78170620131246.asp
  20. Le groupe international de services conseils en technologies de l’information et en management Amaris, dont le siège social se trouve à Genève, s’implante à Montréal. Amaris dit viser la création d’une cinquantaine d’emplois dans la métropole au cours des trois prochaines années afin de «renforcer le développement de ses activités en Amérique du Nord». L’entreprise, présente dans plus de 40 villes (surtout en Europe et dans les Balkans), a ses locaux rue Saint-Sacrement, dans le Vieux-Montréal. Amaris possède également des bureaux à New York, Mexico et Sao Paulo. «Le Grand Montréal se positionne comme un relais stratégique pour notre entreprise. Cette ouverture sur le continent nord-américain nous rapproche de nouveaux centres de décision et renforce notre présence auprès de nos clients internationaux», a déclaré le directeur du développement Amérique du Nord d'Amaris, Jean-François Thunet, dans un communiqué. «Le Grand Montréal se différencie par un environnement des plus compétitifs, avec un bassin de recherche R&D parmi les plus dynamiques au monde et de réelles opportunités dans le domaine des technologies de pointe», a-t-il ajouté. Amaris souhaite que son équipe montréalaise contribue au développement de projets en technologies de l’information, en télécommunications et en biotechnologie et pharmaceutique. Montréal International, qui a notamment le mandat d'attirer des investissements directs étrangers dans la région, a accompagné l'entreprise dans son projet d'implantation au Québec. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/amaris-s-implante-a-montreal/558759#.Ubo4vdjDXe6
  21. Mark AC déja sur le point de parcourir le net pour vite vite vite trouver une mauvaise nouvelle....courage..tu vas y arriver.
  22. yulymx

    Montréal attire.

    Coup sur coup, Montréal a obtenu deux importantes récompenses qui démontrent son attrait à l'étranger. Elle vient d'être nommée première ville des Amériques pour l'accueil d'événements internationaux, en plus d'avoir obtenu, le mois dernier, la première place en Amérique du Nord pour le nombre de congrès internationaux accueillis. Il faut parfois se le faire dire par des étrangers pour s'en convaincre: Montréal attire, Montréal séduit. Ce que confirme cet afflux toujours plus grand de visiteurs au Palais des congrès, un bâtiment qui commence toutefois à se faire petit pour tout ce beau monde... Les congressistes font peu de bruit dans la ville, mais ils sont néanmoins de plus en plus nombreux chaque année, comme en attestent les classements de l'Union des Associations internationales (UAI) et de l'International Congress and Convention Association (ICCA), les deux plus importantes organisations du genre. Cette bonne nouvelle, on la doit à une mise en marché agressive, mais surtout à la force d'attraction de la métropole, qui a su profiter de sa singularité. Jonction entre l'Europe et l'Amérique, Montréal est souvent le premier choix des grandes organisations internationales basées à Bruxelles ou Paris. Devant Chicago, Rio, Buenos Aires, Vancouver et New York. Sa réputation, ses sièges sociaux internationaux, ses universités et son centre des congrès en plein centre-ville permettent aussi de faire une différence. Mais le fait qu'elle supplante Toronto pour les congrès internationaux, mais pas pour les réunions américaines, tend à confirmer l'importance des avantages linguistiques et géographiques de Montréal. Cela dit, cette popularité a une conséquence: elle remplit toujours un peu plus le Palais des congrès qui, dès 2015, risque d'atteindre sa pleine capacité. Et pourtant, l'agrandissement du centre des congrès est un projet qui est peu débattu, et son corollaire, le recouvrement de l'autoroute Ville-Marie, est une option qu'on «pellete en avant» depuis des années. Comme si l'on avait de la difficulté à croire que Montréal est assez populaire pour que soit envisagé un second agrandissement du palais... Or c'est justement parce qu'on a vu juste en doublant la superficie du palais vers l'ouest en 2002 qu'on peut se féliciter du positionnement de Montréal, et aussi du succès du Quartier international. Aujourd'hui, les astres semblent vouloir s'aligner pour qu'on aborde enfin le côté est du Palais. Le CHUM a commencé à cicatriser cette plaie béante. Québec a décrété une réserve sur les terrains autour du Palais. Et l'Office de consultation publique vient de recommander le recouvrement de l'autoroute Ville-Marie. Il faut maintenant passer de l'intention à l'action en lançant notamment les études techniques de faisabilité si l'on souhaite que Montréal continue d'être aussi accueillante. http://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/francois-cardinal/201306/11/01-4660216-montreal-attire.php A l'avance,remarque de Mark AC:''mais pas pour les réunions américaines'' C'est un marché(US) à travailler plus mais va falloir augmenter les capacités.
  23. Il faut malgré tout rester vigilant car la France a perdu son Grand Prix(car ils n'ont plus voulu du chantage de Bernie).Bon Monaco fait un peu office de GP de France de facto c'est vrai et c'est un super circuit urbain.Spa en Belgique fort aimé des pilotes est aussi menacé régulièrement et finalement ça finit toujours bien. Par contre l'ami Bernie est très très attiré par les Emirats et autres pays exotiques qui n'ont aucune tradition de F1 mais beaucoup de $$$$$ A terme ça peut se retourner contre ce sport,car les vrais amateurs de ce sport se trouvent en Europe,au Brésil et en Australie(hors MTL).
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