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yulymx

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  1. Voici à quoi ressemblera le futur siège social de Rio Tinto Alcan. PRIMEUR - Le prochain siège social de Rio Tinto Alcan prend forme. Voici les dernières maquettes qu’a réalisées la firme d’architectes new-yorkaise FXFowle pour Westcliff. En 2011, LesAffaires.com rapportait que le promoteur montréalais discutait avec la multinationale pour l’accueillir dans son projet de la Cité internationale. La division avait refusé de confirmer ses discussions avec Westcliff, mais confirmé son intention d’emménager dans un nouvel immeuble flambant neuf, construit selon la norme environnementale LEED. Depuis, Alcan a remis sa décision à maintes reprises, mais a continué de négocier avec Westcliff et de préciser ses besoins. «On a plusieurs options sur la table, mais on se concentre sur l’option de déménager au centre-ville», dit le porte-parole Bryan Tucker. Le site de FXFowle mentionne que la firme a conçu l’immeuble de 350 000 pieds carrés pour le «siège social régional éco-responsable d’une multinationale dans le centre-ville de Montréal». Si la transaction se concrétise avec Westcliff, Rio Tinto Alcan ne louera qu’environ 200 000 pieds carrés dans l’immeuble, laissant le reste de la superficie à d’autres locataires. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/voici-a-quoi-ressemblera-le-futur-siege-social-de-rio-tinto-alcan/557676
  2. Montréal, première ville hôte de congrès organisés par des associations internationales en Amérique du Nord. Montréal obtient la première place en Amérique du Nord quant au nombre de congrès accueillis organisés par des associations internationales, selon le classement 2012 de l'International Congress and Convention Association (ICCA). La métropole rafle ainsi la première position parmi les destinations d'Amérique du Nord, devançant les grandes villes américaines et canadiennes, dont New York, Boston, San Francisco, Washington, San Diego, Chicago, Vancouver et Toronto. Fruit du travail concerté du Palais des congrès de Montréal et de ses Ambassadeurs, de Tourisme Montréal et de leurs partenaires respectifs, le positionnement avantageux de Montréal au sein du classement d'ICCA démontre la capacité de la métropole à répondre aux besoins des grandes associations internationales en matière d'infrastructures, d'accueil et de divertissement. Principal hôte des grandes rencontres internationales se tenant à Montréal, le Palais des congrès attire des milliers de touristes d'affaires chaque année, confirmant ainsi sa position de leader dans l'industrie touristique au niveau mondial. « Les résultats à ce jour sont éloquents! Montréal est une ville dynamique et évolutive qui possède un pouvoir d'attraction indéniable auprès des grandes associations internationales », indique Marc Tremblay, président-directeur général au Palais des congrès. « Le classement 2012 de l'ICCA est une autre grande victoire pour la métropole! Évidemment, l'offre touristique est compétitive, mais encore une fois, Montréal, le Palais et tous les partenaires de l'industrie se démarquent par l'expérience unique offerte aux délégués. » « Véritables moteurs de l'économie et de l'industrie touristique, les congrès internationaux sont d'une importance capitale pour la vitalité de notre métropole. Occasions privilégiées de partage d'idées, de processus et d'innovations avec des délégués du monde entier, ces rencontres sont également une vitrine pour le savoir-faire et la créativité montréalaise », souligne l'honorable Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal. « Quelle fierté que Montréal soit reconnue comme le principal carrefour d'échange pour les voyageurs d'affaires en Amérique du Nord! » « Nous tenons à féliciter tous les acteurs qui ont travaillé en étroite collaboration pour positionner Montréal comme chef de file en Amérique du Nord au classement 2012 de l'ICCA. Ce rang est la preuve que Montréal et la province possèdent des atouts enviables, recherchés par les grandes associations internationales d'envergure ! », a fait savoir Pascal Bérubé, ministre délégué au Tourisme. Pour l'année financière 2012-2013, le Palais des congrès a accueilli un total de 11 congrès internationaux1 et 20 congrès canadiens2, générant près de 118 millions de dollars en retombées économiques pour la métropole. À propos de l'International Congress and Convention Association (ICCA) ICCA représente les principaux spécialistes de l'organisation, du transport et de l'hébergement du milieu des réunions et des événements internationaux. Elle comprend 900 sociétés et organismes membres provenant de 85 pays. Pour plus d'information : http://www.iccaworld.com http://www.newswire.ca/fr/story/1165517/montreal-premiere-ville-hote-de-congres-organises-par-des-associations-internationales-en-amerique-du-nord
  3. http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=aTtuGK7JWWQhttp://quartierinnovationmontreal.com/
  4. Un excellent exemple à suivre comme stade multifonctionnel(sports pro et spectacles)avec toit ouvrant,capacité modulable etc: C'est à Lille en France,une métropole de 1.3 millions d'habitants dans une région qui en compte 6. http://www.grandstade-lillemetropole.com/fr/stade
  5. Le reste, 127,8 millions, doit servir à l'étude de projets. quote Je pense que c'est le montant global pour toutes études d'ici 2023,pour tous les TEC(tramway compris,mais surtout métro,bus,train de l'est etc,lrt pont ch..). Donc la c'est déja plus raisonnable,mais on sait tous que les montants prévus sont TOUJOURS dépassés(rires). Par contre pas toujours besoin de fils au dessus de nos têtes comme tu dis Lindberg,mais c'est assez cher et la mise au point pénible.(APS) L'exemple est BORDEAUX ville(agglo) de +- 900.000 habitants,un grand Québec disons et pas de métro(ni normal ni automatique de type VAL comme souvent en France..Lille,Rennes,Toulouse,Paris en partie etc). ''Le nouveau tramway de Bordeaux fait appel à une technologie innovante, appelée Alimentation Par le Sol (APS) : en centre-ville, son système d'alimentation électrique est « noyé » dans le sol : il est invisible et n'altère donc pas les perspectives architecturales. Ce mode d'alimentation, qui a posé de nombreuses difficultés et engendré des pannes récurrentes au début de la mise en service des rames, semble maintenant bien maîtrisé. Ce système a été adopté pour les tramways d'Angers, de Reims, et pour la deuxième ligne d'Orléans.'' Près de 50 km de rames, un coût de construction de plus d’un milliard d’euro, et désormais plus de 90 stations desservies. C'est moins cher qu'un métro lourd,mais ça reste cher.Faut voir les retombées éventuelles directes et indirectes aussi pour Bombardier par exemple. http://www.venirabordeaux.com/LE-TRAMWAY-UN-ATOUT-MAJEUR-POUR-LE https://fr.wikipedia.org/wiki/Tramway_de_Bordeaux nb:d'un autre coté il serait un peu triste de voir que MTL peut pas se payer de tramways alors que des villes très moyennes comme dit plus haut(Angers,Orléans,Reims) y arrivent...je vous parle d'agglomérations de 150/200.000 habitants.
  6. LA DÉLÉGATION DE L'UPR AU QUÉBEC PUBLIE UNE LETTRE OUVERTE CONTRE LA CONFÉRENCE DE SARKOZY A LA CHAMBRE DE COMMERCE DE MONTRÉAL par François Asselineau - Union Populaire Républicaine (Articles), mercredi 24 avril 2013, 02:53 La Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCM) a annoncé que l'ancien président français Nicolas Sarkozy donnera, le jeudi 25 avril à Montréal, une conférence payante de deux heures accompagnée d'un repas. Le sujet précis de la conférence sera « l’état de l’économie mondiale, les perspectives pour l’Europe, les nouveaux équilibres qui caractérisent la gouvernance mondiale ainsi que l’amitié entre la France et le Québec, et entre la France et le Canada. » [ cf. http://www.ccmm.qc.ca/fr/evenements-reseautage/leader_nicolas_sarkozy/ ] ---------------------------------------------------------------------------------- De 170 € à 600 € par personne pour écouter pendant 2 heures Sarkozy jouer les sages et les experts en économie ! ---------------------------------------------------------------------------------- Les prix des billets vont de 225 dollars canadiens (170 €) pour les membres de la Chambre, à 795 dollars (600 €) pour les non-membres souhaitant occuper l'une des 150 meilleures places et rapporter chez eux une photo individuelle avec M. Sarkozy. [ À titre de comparaison, nous rappelons que le droit d'entrée aux conférences de François Asselineau varie de 0 € à 5 € et que les sommes récoltées ne servent qu'à financer la location de la salle ou des actions militantes, le président de l'UPR ne prenant naturellement aucune rémunération.] Pour faire la promotion de la conférence de Sarkozy - qui devrait rapporter beaucoup d'argent à l'ancien président de la République - la Chambre de commerce de Montréal invite les personnes intéressées à « rencontrer l'homme reconnu pour l'énergie avec laquelle il a dirigé la deuxième puissance économique européenne ». L'événement se déroulera au Palais des Congrès de Montréal. Le nombre des places disponibles n'a pas été précisé par les organisateurs qui ne prévoient pas d'accréditations pour les médias. [source : http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202701409989-nicolas-sarkozy-attendu-a-montreal-pour-une-conference-payante-557917.php ] ------------------------------------------------------------------------------------------- La délégation de l'UPR au Québec a adressé une lettre ouverte à la CCM pour protester contre la tenue de cette conférence payante -------------------------------------------------------------------------------------------- Nos lecteurs trouveront ci-dessous la lettre que la délégation de l'UPR au Québec - composée de 18 expatriés - a envoyée le 23 avril 2013 aux membres du conseil d'administration de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain pour s'indigner de la tenue de cette conférence. Nos adhérents expatriés au Québec ont estimé à juste titre que cette conférence, au tarif d'entrée prohibitif pour le commun des mortels, est une véritable insulte : Insulte à la démocratie, puisque Nicolas Sarkozy n'aura aucun contradicteur face à lui au cours de cette conférence, et que le droit d'entrée est tellement ruineux que seuls les plus riches peuvent envisager d'y participer. Insulte à la justice, puisque Nicolas Sarkozy ose se faire payer grassement pour se pavaner en public alors qu'il est sous le coup de plusieurs mises en examen infamantes. Insulte à la morale, puisque l'on ne compte plus le nombre de victimes de la politique économique, sociale et diplomatique de celui qui a eu l'effronterie de faire ratifier le traité de Lisbonne malgré le Non de 55% des Français à la Constitution européenne. -------------------------------------------------- Nous félicitons nos adhérents expatriés au Québec pour cette lettre ouverte qu'ils vont se charger de diffuser au plus grand nombre possible de journalistes canadiens et que nous allons nous-mêmes diffuser au plus grand nombre possible de journalistes français et étrangers accrédités à Paris. Nous suggérons à tous ceux qui le peuvent d'écrire eux aussi à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain pour faire part également de leur indignation devant cette invitation, et pour soutenir expressément la lettre adressée par la Délégation de l'UPR au Québec. Il suffit pour cela d'écrire à http://www.ccmm.qc.ca/fr/a-propos/contact/ (Il est obligatoire d'indiquer les nom, prénom et courriel). ========================================================= DÉLÉGATION DE L'UNION POPULAIRE RÉPUBLICAINE AU QUÉBEC Objet : Conférence de Nicolas Sarkozy à la CCM Montréal, le 23 avril 2013 À l’attention de Monsieur le Président Luc Sabbatini et de l’ensemble des membres du conseil d’administration de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du conseil d’administration, Comme il est de bon ton de démarrer un propos par une citation, nous choisirons un passage du Discours à la jeunesse que Jean Jaurès fit à Albi, le 30 juillet 1903 : « Le courage,c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe, et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques. » Ce jeudi 25 avril 2013, Monsieur Nicolas Sarkozy tiendra à votre demande une conférence au Palais des congrès de Montréal sur « l’état de l’économie mondiale, des perspectives pour l’Europe, des nouveaux équilibres qui caractérisent la gouvernance mondiale ainsi que de l’amitié entre la France et le Québec, et entre la France et le Canada. » Aussi, apprenez qu’à Montréal, en ce moment même, un groupe d’hommes et de femmes, de tous âges, de toutes conditions, de toutes confessions, de toutes orientations politiques, composé de Françaises et de Français expatriés, mais aussi de Québécoises et de Québécois qui posent sur la France un regard amical,s’est réuni pour s’indigner de la tenue de cette conférence, et ce, pour plusieurs raisons : D’abord, nous souhaitons informer les membres du conseil d’administration que Monsieur Nicolas Sarkozy,qui s’était fait élire en France en 2007 sur la « réduction du déficit », accuse un bilan désastreux : « En cinq ans, la dette publique a augmenté de 500 milliards d'euros, la France a perdu un point de compétitivité, le nombre de chômeurs a progressé de près d'un million, le pouvoir d'achat et la croissance ont stagné et les impôts ont augmenté » (L'Expansion.com, 10 avril 2012). Voilà un curriculum quelque peu différent decelui qui vous a probablement été présenté. Est-ce donc cet « as » de la dette publique, de la hausse des impôts et du chômage qui expliquera aux Québécois les ressorts de l’économie mondiale … ? Ensuite, nous souhaitons informer les membres du conseil d’administration que le Parquet de Paris a ouvert vendredi 19 avril 2013, une information judiciaire contre X pour : « corruption active et passive », « trafic d'influence », « faux et usage de faux », « abus de biens sociaux », « blanchiment, complicité et recel de ces délits », dans le cadre du soutien financier de la Libye à la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy de 2007. Nous respectons bien évidemment le principe de la présomption d’innocence.Cependant, nous ne saurions que trop conseiller à M. Nicolas Sarkozy de se faire discret dans de telles circonstances. Mais encore, nous rappelons aux membres du conseil d’administration que M. Nicolas Sarkozy a été mis en examen le 13 juin 2012 pour « abus de faiblesse » et le 13 février 2013 pour « escroquerie » dans l’affaire Bettencourt. Encore une fois, nous respectons le principe de la présomption d’innocence, mais admettez que ça commence à faire beaucoup. Et alors qu’on s’attendrait naturellement, dans un tel contexte, à ce que ce monsieur fasse profil bas, eh bien pas du tout ! Il parcourt le monde pour donner à prix d’or des conseils de bonne gestion gouvernementale. Tout cela n’est pas sérieux. Pour ne pas nous arrêter en si bon chemin, nous rappelons aux membres du conseil d’administration que le19 novembre 2004, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Économie, des Finances et de l’Industrie et Christian Noyer, alors gouverneur de la Banque de France,ont mis au point un dispositif visant à vendre environ un cinquième des 3 000 tonnes d’or détenues par la Banque de France. Selon le rapport de la cour des comptes du 8 février 2012, la vente des 589 tonnes d’or a dégagé d’importantes plus-values de cession, mais reste une mauvaise opération compte tenu de l’évolution du cours de l’or et du phénomène d’inflation. De plus, et c’est l’essentiel selon nous, nous souhaitons rappeler aux membres du conseil d’administration que le président Sarkozy, alors que le peuple français avait rejeté le traité constitutionnel européen (TCE) le 29 mai 2005 par voie référendaire, a décidé (avec l'approbation du Parti socialiste) de nier la souveraineté populaire en faisant ratifier par voie parlementaire en 2008 le traité de Lisbonne, un texte quasiment identique au TCE. C'est une forfaiture de la plus grande ampleur. M.Nicolas Sarkozy a donc, par un procédé confinant à la dictature, sciemment violé la voix du peuple français. Pour finir, nous rappelons aux membres du conseil d’administration qu’une révision des dispositions sur la responsabilité pénale du chef de l’État, à l’article 68 de la Constitution française, intervenue en février 2007, a substitué à l’antique et belle formule de « haute trahison », l’expression affadie, banale et totalement imprécise de «manquement à ses devoirs manifestement incompatibles avec l’exercice de son mandat ». Nous invitons les membres du conseil d’administration à méditer quelques secondes sur ce dernier point. http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202701409989-nicolas-sarkozy-attendu-a-montreal-pour-une-conference-payante-557917.php En conséquence, nous vous annonçons que nous dénoncerons publiquement toute personne, tout groupe de personnes ou toute institution, qui en connaissance de cause, concèderait injustement à M. Nicolas Sarkozy un statut d'expert économique ou de démocrate suffisamment honorable pour donner des leçons de politique aux Québécois. Compte tenu de la gravité des éléments qui ont été portés à votre connaissance, nous ne pouvons considérer qu’insultante, à tous égards, la tenue de cette conférence à Montréal. Fervents défenseurs de l’amitié entre la France et le Québec, et entre la France et le Canada, nous espérons que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain se ravisera, et respectera ainsi la communauté importante de Français expatriés, qui a trouvé au Québec une terre d’accueil. La moindre des choses serait que M. Sarkozy soit confronté à un ou plusieurs contradicteurs à l'occasion de cette conférence, que des critiques légitimes puissent se faire entendre. Comme nous avons commencé par une citation, terminons par une autre,celle-ci du poète grec Ésope, célèbre pour ses fables : « Les menteurs ne sont jamais plus fanfarons qu'en l'absence de contradicteurs. » Espérant trouver un écho favorable à notre requête, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du conseil d’administration, l’expression de nos salutations distinguées. La délégation de l’Union Populaire Républicaine (UPR) au Québec http://www.u-p-r.fr/
  7. Aérospatial: une société allemande choisit Montréal. PFW Aerospace, une importante société allemande, propriété du groupe Airbus, choisit d’implanter son siège social nord-américain à Montréal, avec la possibilité de création d’une centaine d’emplois directs dans la région. L’annonce a été faite ce matin à l’occasion du salon d’affaires Aeromart Montréal 2013, en présence de la ministre déléguée à la Politique industrielle et à la Banque de développement économique du Québec, Élaine Zakaïb. Spécialiste de services de conception d’ingénierie et de certification dans l’industrie aérospatiale, PFW compte quelque 2 200 employés, affiche un chiffre d’affaires de plus de 335 M$ (ou 250 M d’euros), et des filiales en Europe, en Turquie, en Asie et aux États-Unis, à Seattle en particulier. Qu’à cela ne tienne. Plutôt que d’implanter son siège social à Seattle, où l’entreprise dessert déjà Boeing depuis des années, PFW Aerospace a pris la décision d’implanter son siège social à Montréal. «Comme Montréal est l’une des principales plaques tournantes dans le domaine de l’aérospatiale dans le monde, il nous est apparu tout naturel de venir nous implanter dans la région, a confié Ian Sidsaff, directeur général de PFW Aerospace Canada, nouvelle raison sociale dont le mandat devrait s’étendre à l’ensemble de l'Amérique du Nord. Outre Boeing, l’allemande PFW Aerospace compte parmi ses principaux clients Airbus, EADS et Lufthansa Technik. Au Canada, elle se dit actuellement en discussion avec Bombardier et Aerolia Canada, également déménagée à Montréal l’an dernier. En attendant d’y parvenir, l’entreprise évalue actuellement la possibilité d’implanter, à même son siège social, ses premières activités manufacturières au Canada. De ces installations montréalaise, dont le lieu exact reste à confirmer, PFW accomplirait le travail qui lui est confié par ses clients existants du monde entier, a précisé M. Sidaff en entrevue. Montréal International, qui a le mandat d’attirer dans le Grand Montréal des investissements directs étrangers, est le grand responsabe de l’implantation de cette propriété d’Airbus Germany à Montréal. «Que PFW choisisse la métropole québécoise, comme base de développement du marché nord-américain, vient confirmer la place de choix qu’occupe notre industrie aérospatiale sur la scène mondiale. L’entreprise pourra compter sur une main-d’œuvre qualifiée et un réseau unique de centres de recherche et d’entreprises du secteur pour l’appuyer dans sa croissance», a déclaré Jacques St-Laurent, président-directeur général de Montréal International. Rappelons que Montréal figure parmi les grands centres internationaux, avec Seattle et Toulouse. En 2012, l’industrie québécoise de l'aérospatial regroupait 42 000 employés, affichait des ventes de 12G$, et se classait au 6e rang mondial quant au volume des ventes, derrière les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, et le Japon. Plus de details suivront. http://www.lesaffaires.com/secteurs-...2#.UXagtUqWW3M
  8. Aérospatial: une société allemande choisit Montréal. PFW Aerospace, une importante société allemande, propriété du groupe Airbus, choisit d’implanter son siège social nord-américain à Montréal, avec la possibilité de création d’une centaine d’emplois directs dans la région. L’annonce a été faite ce matin à l’occasion du salon d’affaires Aeromart Montréal 2013, en présence de la ministre déléguée à la Politique industrielle et à la Banque de développement économique du Québec, Élaine Zakaïb. Spécialiste de services de conception d’ingénierie et de certification dans l’industrie aérospatiale, PFW compte quelque 2 200 employés, affiche un chiffre d’affaires de plus de 335 M$ (ou 250 M d’euros), et des filiales en Europe, en Turquie, en Asie et aux États-Unis, à Seattle en particulier. Qu’à cela ne tienne. Plutôt que d’implanter son siège social à Seattle, où l’entreprise dessert déjà Boeing depuis des années, PFW Aerospace a pris la décision d’implanter son siège social à Montréal. «Comme Montréal est l’une des principales plaques tournantes dans le domaine de l’aérospatiale dans le monde, il nous est apparu tout naturel de venir nous implanter dans la région, a confié Ian Sidsaff, directeur général de PFW Aerospace Canada, nouvelle raison sociale dont le mandat devrait s’étendre à l’ensemble de l'Amérique du Nord. Outre Boeing, l’allemande PFW Aerospace compte parmi ses principaux clients Airbus, EADS et Lufthansa Technik. Au Canada, elle se dit actuellement en discussion avec Bombardier et Aerolia Canada, également déménagée à Montréal l’an dernier. En attendant d’y parvenir, l’entreprise évalue actuellement la possibilité d’implanter, à même son siège social, ses premières activités manufacturières au Canada. De ces installations montréalaise, dont le lieu exact reste à confirmer, PFW accomplirait le travail qui lui est confié par ses clients existants du monde entier, a précisé M. Sidaff en entrevue. Montréal International, qui a le mandat d’attirer dans le Grand Montréal des investissements directs étrangers, est le grand responsabe de l’implantation de cette propriété d’Airbus Germany à Montréal. «Que PFW choisisse la métropole québécoise, comme base de développement du marché nord-américain, vient confirmer la place de choix qu’occupe notre industrie aérospatiale sur la scène mondiale. L’entreprise pourra compter sur une main-d’œuvre qualifiée et un réseau unique de centres de recherche et d’entreprises du secteur pour l’appuyer dans sa croissance», a déclaré Jacques St-Laurent, président-directeur général de Montréal International. Rappelons que Montréal figure parmi les grands centres internationaux, avec Seattle et Toulouse. En 2012, l’industrie québécoise de l'aérospatial regroupait 42 000 employés, affichait des ventes de 12G$, et se classait au 6e rang mondial quant au volume des ventes, derrière les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, et le Japon. Plus de details suivront. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/aeronautique-et-aerospatiale/aerospatial-une-societe-allemande-choisit-montreal/556673/2#.UXagtUqWW3M
  9. Après avoir été à la traîne de l’économie canadienne durant la majeure partie de 2012, l’économie du Québec a amorcé 2013 du bon pied. La croissance s’est accélérée à un rythme nettement plus élevé que dans le reste du pays en janvier. Au cours du premier mois de 2013, le PIB du Québec a progressé de 0,9%, par rapport à une hausse de 0,2% dans l’ensemble du Canada, révèle mardi l’Institut de la Statistique du Québec. Ce bond de la croissance fait oublier le recul prononcé de 0,6% observé au cours du dernier mois de 2012. Sur une base annuelle, le PIB de la province a augmenté de 1,9% en janvier par rapport au même mois de 2012. Au Canada, la progression a été de 1%. Gains chez les manufacturiers Bonne nouvelle pour le secteur manufacturier, les fabricants ont enregistré une hausse de la production de 1,8% en janvier. Ce résultat fait suite à un repli de 0,3% observé en décembre. Les services publics ont pour leur part affiché une hausse de 1,5%. L’agriculture, la foresterie, la pêche et la chasse ont noté une observation de 1,6%. En revanche, le secteur de la construction a accusé une baisse de 0,2%. Les ressources naturelles, l’extraction minière, l’exploitation de carrières et l’extraction de pétrole et gaz ont aussi enregistré une baisse de production, de 1,6%. Les ventes au détail progressent Le commerce de détail prend également du mieux dans la province. Statistique Canada a annoncé mardi que les ventes au détail ont augmenté de 0,7% au Québec entre janvier et février. Lisez notre texte pour les résultats de février. Cela fait suite à une hausse de 2,1% observée en janvier dans la province. La performance du secteur du détail au cours des deux premiers mois de 2013 est rassurante, car les commerçants de la province avaient connu un dur mois en décembre. Les recettes des détaillaints avaient en effet fléchi de 2,5% au cours du dernier mois de 2012. La santé du secteur du détail est d'autant plus importante, car d'autres secteurs clés de l'économie, la construction et les exportations, notamment, montrent des signes de faiblesse. Vendredi, l'économiste Hélène Bégin, de Desjardins, a signalé que faute d’une embellie des exportations avant l’an prochain, l’économie du Québec doit compter sur les consommateurs et les entreprises pour maintenir sa croissance. «Les dépenses de consommation et les investissements des entreprises joueront un rôle important afin de maintenir l’économie du Québec en territoire positif», écrit-elle dans une note. http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/l-economie-du-quebec-a-amorce-2013-en-lion/556660#.UXaRs0qWW3N Etonnant pour le secteur de la construction,vu le nombre de grues à Montréal..mais bon ce n'est pas Montréal partout au Québec non plus...ce chiffre va surement s'améliorer avec le début des gros projets au printemps.
  10. Le Grand Montréal au sommet du palmarès American Cities of the Future. Classement American Cities of the Future 2013-2014 du fDi Magazine - Le Grand Montréal obtient la première place parmi les plus importantes métropoles des Amériques pour la meilleure stratégie d'attraction des investissements directs étrangers MONTRÉAL, le 16 avril 2013 /CNW Telbec/ - Le Grand Montréal s'est hissé en première position du classement American Cities of the Future (Villes d'avenir des Amériques) 2013-2014 du fDi Magazine, pour la meilleure stratégie d'attraction des investissements directs étrangers, battant ainsi tous les autres grands centres urbains des Amériques. La métropole québécoise a devancé 126 villes concurrentes de l'Amérique du Nord et du Sud qui ont participé au concours à ce chapitre. C'est l'organisme de développement économique Montréal International (MI), mandataire de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) pour l'attraction des investissements directs étrangers (IDE) dans le Grand Montréal, qui a soumis la candidature montréalaise. La stratégie d'attraction d'IDE de MI, à l'instar de la stratégie de développement économique de la région métropolitaine de Montréal, s'appuie principalement sur ses grappes industrielles, dont celles de haute technologie : aérospatiale, technologies de l'information et des communications, sciences de la vie et technologies de la santé. Le Grand Montréal parmi les meilleures villes d'avenir des Amériques pour l'attraction d'IDE. Au classement général, la métropole du Québec a obtenu la troisième marche du podium, de même qu'une quatrième place, respectivement dans les catégories « meilleure ville d'Amérique du Nord » et « meilleure ville des Amériques » parmi 422 centres urbains. Grâce à la robustesse et à l'ouverture de son économie, à la solidité de ses institutions financières et à la compétitivité de sa fiscalité pour les entreprises, le Grand Montréal a par ailleurs décroché la troisième place dans la catégorie « climat d'affaires » parmi les agglomérations urbaines majeures des Amériques. « La performance exceptionnelle du Grand Montréal dans le classement 2013-2014 des Villes d'avenir des Amériques du fDi Magazine démontre toute la force de l'attractivité de notre métropole, qui repose sur la vitalité de ses secteurs de pointe, l'excellence de ses universités et centres de recherche et le talent de sa main-d'œuvre hautement qualifiée et bilingue. Nous sommes particulièrement heureux et fiers que la qualité de notre stratégie d'attraction d'IDE soit ainsi reconnue par une publication aussi prestigieuse que fDi Magazine », a déclaré Jacques St-Laurent, président-directeur général de Montréal International. À propos des classements du fDi Magazine Le palmarès des Villes d'avenir des Amérique fait partie de la série des classements des Lieux d'avenir du fDi Magazine, lesquels visent à mettre en évidence les destinations les plus prometteuses dans le monde pour les futurs investissements. Les différentes régions du monde sont ainsi évaluées aux deux ans par fDi Magazine, une publication bimensuelle spécialisée dans les investissements transfrontaliers. Le magazine fait partie de la division fDi Intelligence du Financial Times. À propos de Montréal International (http://www.montrealinternational.com) Créé en 1996, Montréal International (MI) est issu d'un partenariat privé-public. Sa mission est de contribuer au développement économique du Montréal métropolitain et d'accroître son rayonnement international. MI a comme mandats d'attirer dans la région métropolitaine des investissements étrangers, des organisations internationales et des travailleurs stratégiques internationaux, ainsi que de promouvoir l'environnement concurrentiel et international du Grand Montréal. L'organisme à but non lucratif est financé par le secteur privé, les gouvernements du Canada et du Québec, la Communauté métropolitaine de Montréal et la Ville de Montréal. Depuis sa création, MI a contribué à l'attraction de 8,7 milliards de dollars d'investissements directs étrangers dans le Grand Montréal, lesquels ont entraîné la création ou le maintien de plus de 47 000 emplois. À ce jour, MI a également contribué à l'établissement de près de la moitié des quelque 60 organisations internationales présentes dans la métropole ainsi qu'à la venue et à la rétention de plus de 7 500 travailleurs stratégiques internationaux. SOURCE : Montréal International Renseignements : Céline Clément Conseillère en communication Montréal International (514) 987-9317 celine.clement@montrealinternational.com http://www.newswire.ca/en/story/1146877/classement-american-cities-of-the-future-2013-2014-du-fdi-magazine-le-grand-montreal-obtient-la-premiere-place-parmi-les-plus-importantes-metropoles-d
  11. C'est assez récent comme interview 04/04/2013 mais malheureusement pas de date officielle.Au moins le projet n'est pas mort si un haut cadre du groupe Hilton en parle. A suivre.
  12. Destination Montréal : cosmopolite, gastronomique et culturelle. À l’approche de son 375e anniversaire – elle le fêtera en 2015 – , la ville de Montréal s’affiche comme toujours plus cosmopolite, gastronomique et culturelle. Une ville ouverte et accueillante pour un nombre croissant d’Européens, et surtout de Français, qui s’y plaisent et n’en repartent plus. Aujourd’hui, ils seraient environ 140 000 à apprécier son mode de vie dynamique et décontracté. En matière d’investissements, les Français auraient d’ailleurs surpassé les Américains en 2011, jusqu’alors partenaires principaux des Canadiens. Il faut dire que l’économie montréalaise, fondée sur les technologies de pointe et le savoir, est forte et stable. Ce qui rassure et séduit. Alors, sous l’impact des voyageurs d’affaires, la plus grande ville francophone après Paris développe son hôtellerie, multipliant rénovations et ouvertures. http://www.voyages-d-affaires.com/economie-tentation-montreal-8096 http://www.voyages-d-affaires.com/interview/l-aerospatiale-doit-rester-une-source-creation-richesse-suzanne-benoit-aero-montreal-8097 http://www.voyages-d-affaires.com/montreal-terre-d-accueil-douce-nouvelle-france-8098 "Les relations de travail sont beaucoup moins pesantes" François Boscher, BDG Law. François Boscher est avocat pour le cabinet BDG Law. Pourquoi avoir choisi de venir travailler à Montréal ? François Boscher — Après des études de droit à Tours, j’y ai exercé la profession d’avocat jusqu’en 1992. Puis je suis parti. J’avais le sentiment que l’évolution des mentalités et la situation économique en France laisseraient peu de place à l’initiative individuelle et rendraient l’exercice d’une profession libérale difficile. Aussi ai-je noué des relations avec un cabinet d’avocats montréalais. Quels sont les avantages d’une immigration en termes professionnels ? F. B. — La France est un pays de paradoxes qui regorge de talents entrepre- neuriaux, mais qui sont découragés par l’application de réglementations désuètes et complexes. Au Canada, les relations de travail, l’administration entre autres, sont beaucoup moins pesantes, bien que le système de protection sociale soit tout à fait décent. L’initiative privée y est respectée et encouragée. Quels conseils donneriez-vous aux Français souhaitant venir s’installer à Montréal ? F. B. — Essayer, lors de différents séjours, de nouer des contacts afin de comprendre les mentalités. Les Québécois sont d’un abord facile, mais les choses peuvent être différentes dans le cadre du travail. En outre, les Nord-Américains protègent beaucoup leur “espace familial”. Ils sont naturellement chaleureux et le premier contact est très facile ; en revanche, cela ne signifie pas qu’une relation étroite et profonde puisse s’installer. Cependant, le Québec favorise l’immigration franco- phone et propose des programmes spécifiques avec la France pour encourager les échanges, notamment dans le domaine universitaire. http://www.voyages-d-affaires.com/hotellerie-montreal-nouveau-depart-8100 Rencontre avec Olivier Chavy, groupe Hilton 4/04/2013] Olivier Chavy est le directeur international des lignes Luxury et Lifestyle du groupe Hilton pour l’Asie-Pacifique, l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique Pourquoi l’arrivée d’un Waldorf Astoria à Montréal ? Olivier Chavy – Montréal est une ville culturellement riche, à la pointe du design, des arts et de la gastronomie. Comme Vancouver et Toronto, Montréal est un lieu clé dans l’expansion de Waldorf Astoria et de Conrad, les marques luxe du groupe Hilton, avec pour toile de fond notre ambition de rester la chaîne hôtelière de luxe qui se développe le plus rapi- dement au monde. En nous implantant à Montréal, nous espérons y apporter un nouveau standard de luxe et de services hôteliers. Quelles nouveautés le Waldorf Astoria apportera-t-il à la scène hôtelière montréalaise ? O. C. – Grâce à un très haut niveau de services, chacun de nos hôtels offre une expérience inégalable. Mais c’est aussi son emplacement sur la rue Sherbrooke, son architecture, ses restaurants et son atmosphère qui feront du Waldorf Astoria Montréal un lieu d’exception. L’hôtel devrait disposer de 250 chambres et résidences, ainsi que de 1 400 m2 d’espaces de réunions, d’un spa et de plusieurs restaurants. Y a-t-il de nouveaux projets de Waldorf Astoria en Amérique du Nord et ailleurs ? O. C. – Depuis 2006, nous sommes passés de cinq à 20 hôtels dans le monde, dont le Trianon Palace, à Versailles. Ces derniers mois, la marque s’est développée à un rythme sans précédent et plusieurs propriétés exceptionnelles ont ouvert, notamment à Chicago et Berlin. Cette expansion va continuer en 2013, avec des ouvertures à Ras Al Khaimah, Amsterdam, Jérusalem, Panama, Dubaï ou encore Pékin. http://www.voyages-d-affaires.com/interview/rencontre-olivier-chavy-groupe-hilton-8101 http://www.voyages-d-affaires.com/interview/l-esprit-des-lieux-montreal-nathalie-bondil-8102 http://www.voyages-d-affaires.com/montreal-guide-pratique-et-bonnes-adresses-8104
  13. Rencontre avec Olivier Chavy, groupe Hilton 4/04/2013] Olivier Chavy est le directeur international des lignes Luxury et Lifestyle du groupe Hilton pour l’Asie-Pacifique, l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique Pourquoi l’arrivée d’un Waldorf Astoria à Montréal ? Olivier Chavy – Montréal est une ville culturellement riche, à la pointe du design, des arts et de la gastronomie. Comme Vancouver et Toronto, Montréal est un lieu clé dans l’expansion de Waldorf Astoria et de Conrad, les marques luxe du groupe Hilton, avec pour toile de fond notre ambition de rester la chaîne hôtelière de luxe qui se développe le plus rapi- dement au monde. En nous implantant à Montréal, nous espérons y apporter un nouveau standard de luxe et de services hôteliers. Quelles nouveautés le Waldorf Astoria apportera-t-il à la scène hôtelière montréalaise ? O. C. – Grâce à un très haut niveau de services, chacun de nos hôtels offre une expérience inégalable. Mais c’est aussi son emplacement sur la rue Sherbrooke, son architecture, ses restaurants et son atmosphère qui feront du Waldorf Astoria Montréal un lieu d’exception. L’hôtel devrait disposer de 250 chambres et résidences, ainsi que de 1 400 m2 d’espaces de réunions, d’un spa et de plusieurs restaurants. Y a-t-il de nouveaux projets de Waldorf Astoria en Amérique du Nord et ailleurs ? O. C. – Depuis 2006, nous sommes passés de cinq à 20 hôtels dans le monde, dont le Trianon Palace, à Versailles. Ces derniers mois, la marque s’est développée à un rythme sans précédent et plusieurs propriétés exceptionnelles ont ouvert, notamment à Chicago et Berlin. Cette expansion va continuer en 2013, avec des ouvertures à Ras Al Khaimah, Amsterdam, Jérusalem, Panama, Dubaï ou encore Pékin. http://www.voyages-d-affaires.com/interview/rencontre-olivier-chavy-groupe-hilton-8101
  14. Canada : le jeu vidéo en transition. En 1997, l'éditeur français de jeux vidéo Ubisoft s'implante à Montréal. Seize ans plus tard, l'entreprise, qui emploie plus de 2 000 personnes dans la ville, y développe ses plus grosses licences, comme les jeux d'action Far Cry 3 et Assassin's Creed, ou le très attendu Watch Dogs. Petits studios ou gros éditeurs, nombreux sont les acteurs du jeu vidéo qui ont choisi de s'implanter au Canada, pays qui continue d'être un modèle de croissance pour cette industrie. D'après le dernier rapport de Technocompétences (.pdf), publié mercredi 10 avril, la cinquantaine d'entreprises québécoises sondées ont fait progresser leurs embauches de 9 % en 2012. Le secteur du jeu vidéo demeure dynamique, "comparativement à l'ensemble de l'économie québécoise à 0,8 % et au secteur des technologies de l'information et des communications à 1,6 %", précise le document. Selon les chiffres de l'Entertainement Software Association of Canada (.pdf), l'industrie locale représenterait désormais, avec 1,7 milliard de dollars canadiens (1,3 milliard d'euros) de chiffre d'affaires et environ 16 000 employés, le troisième marché mondial. Des jeux éducatifs aux superproductions ludiques (dites "triple A"), en passant par les créations de petits studios indépendants, le Canada dispose désormais d'une large vitrine de productions. Les politiques volontaristes en matière de jeu ont aussi permis la création d'un écosystème d'entreprises : capture de mouvement, entreprises spécialisées dans la quête des bugs informatiques, ou même structures chargées de confectionner des sièges adaptés aux expériences immersives. UN MODÈLE ÉPROUVÉ PAR LA CRISE Si les prévisions de croissance se veulent optimistes pour l'année 2013 (entre 5 et 10 %), les commentateurs s'accordent toutefois à penser que le modèle actuel est en phase de transition. "Le début d'un nouveau cycle des consoles de jeu y est pour quelque chose, les coûts de développement d'un jeu AAA sur Playstation 4 seront encore plus élevés que les jeux faits pour la génération actuelle. Peu de studios seront capables de suivre le rythme", prévient David Fugère-Lamarre, cofondateur du studio Illogika, fondé en 2009 à Montréal. Le modèle canadien n'a pas été épargné par la crise. Les studios montréalais de l'éditeur THQ, du studio Visceral Games, propriété d'Electronic Arts, Funcom et Trapdoor ont fermé leurs portes ou fortement réduit leurs activités au cours des derniers mois. Electronic Arts annonce, jeudi 11 avril, de nouveau une importante restructuration à Montréal. Le socle de mesures incitatives, mis en place depuis plus de quinze ans, continue toutefois d'attirer les développeurs et les éditeurs de jeux. "L'idée de ces mesures était de remplacer le secteur manufacturier par d'autres types d'emplois plus qualifiés. Après son introduction en 1997, les élus de tous bords politiques ont maintenu ces mesures", note Denis Langelier, expert de la fiscalité au cabinet d'audit PricewaterhouseCoopers. Le crédit d'impôts multimédia permet de prendre en compte près de 40 % de la masse salariale. Au niveau fédéral et provincial, il existe aussi un crédit d'impôt recherche et développement (R & D). "Ce crédit d'impôt, qui peut être remboursable, a pu atteindre jusqu'à 75 % des frais de personnel pour ce qui concerne les petites et moyennes entreprises", notent les sénateurs français. En 2010, le rapport sénatorial évaluait à 350 millions d'euros, sur dix ans, le niveau des aides consenties par le Québec en faveur de la production de jeux vidéo. Au cas par cas, "Investissement Québec" permet aussi, par exemple, d'obtenir des prêts sans intérêts, si les nouvelles entreprises qui souhaitent s'implanter proposent des garanties sur l'emploi. "Les fonds publics comme le Fonds des médias du Canada permettent la création de jeux aux qualités innovantes. De petits studios comme Minority ont pu recevoir du financement pour leur jeu Papo y Yo, un jeu indépendant très créatif", note David Fugère-Lamarre. CURES D'AUSTÉRITÉ En période de crise, les autorités tentent toutefois d'amender ces dispositifs. "Il ne s'agit pas de tailler à la hache un système qui fait ses preuves depuis plus de quinze ans et a créé beaucoup d'emplois. Mais les autorités resserrent leurs budgets pour atteindre l'équilibre et sabrent les dépenses", explique Denis Langelier. Le budget fédéral présenté fin mars envisageait par exemple l'élimination progressive du crédit d'impôt de 15 % pour les fonds de solidarité travailleurs. "Ce système de contributions permet un apport important pour les jeunes pousses du jeu vidéo ou de logiciel", souligne Denis Langelier. Cette tentative suscite une levée de boucliers des autorités locales. "Les plus gros studios bénéficient de mesures incitatives supplémentaires, en particulier les premières années suivant leur installation dans une province", défend David Fugère-Lamarre. Il y a un an, les autorités ont tenté l'austérité, en revenant en partie sur les aides allouées dans le cadre de la R & D. "Les crédits d'impôts remboursent une partie de l'argent dépensé en salaire, ce qui est surtout avantageux pour les entreprises qui ont le cashflow et les moyens de payer leurs employés à un salaire compétitif", souligne Guillaume Provost, responsable du studio Compulsiongames. "Ces entrées de fonds sont donc prévisibles, ajoute Denis Langelier. Ce qui l'est moins, en revanche, c'est la R & D. L'appréciation par les autorités, liée à l'innovation technologique, est plus subjective." CONCURRENCE MONDIALE ET LOCALE "La situation est différente de province en province, chacune offrant des incitations fiscales différentes, les conditions étant depuis plusieurs années favorables au Québec", nuance David Fugère-Lamarre. "De manière frustrante pour les entreprises canadiennes, les entreprises étrangères s'établissant ici reçoivent souvent davantage d'aides ; les gouvernements de provinces et les fonds d'investissement publics cherchent la création rapide d'emplois bien rémunérés, et l'installation d'un studio étranger est perçue comme étant la meilleure option en ce sens", fait-il valoir. "Nous avons une longue histoire d'entreprises étrangères dans plusieurs industries qui financent leurs activités chez elles par leurs activités et aides au Canada et plient bagages à la seconde où les incitatifs prennent fin, comme General Motors par exemple", assure-t-il. Dans le marché mondial du jeu vidéo, le Canada doit désormais faire face aux dispositifs de nombreux pays. Le dispositif de crédit d'impôt existe aussi en France, et a été reconduit jusqu'en 2017. L'Asie, et en particulier Singapour, multiplie les démarches pour implanter les entreprises du secteur. "Le "brain-drain" se fait chez les Français, mais nous avons aussi un grand nombre d'Américains et d'Anglais qui ont migré vers Montréal", note Guillaume Provost, qui a été employé en France il y a quelques années. "Il y a une grande sécurité économique à Montréal, non pas de par nos politiques de sécurité de l'emploi, comme en France, mais dans la vitalité des entreprises et le nombre grandissant d'opportunités dans le marché du travail", poursuit-il. La concurrence se fait aussi entre les différentes provinces canadiennes. "Nous voyons des entreprises situées dans des provinces où le coût de la vie est moindre, utiliser leur crédit d'impôt pour concurrencer les entreprises des autres provinces au niveau des coûts de développement. Nous voyons aussi des studios fermer dans une province comme la Colombie-Britannique et rouvrir dans une autre comme en Ontario", déplore David Fugère-Lamarre. Laurent Checola http://www.lemonde.fr/technologies/article/2013/04/12/canada-le-jeu-video-en-transition_3158987_651865.html
  15. Emploi: Québec championne canadienne. Ils recoivent beaucoup moins d'immigrants faut dire ,c'est plus facile. Une autre bonne nouvelle pour l’économie de la capitale nationale: la région métropolitaine de Québec se classe première au Canada au chapitre de la création d’emplois au premier trimestre de 2013. Elle enregistre un gain de 9400 emplois par rapport au trimestre précédent et son taux de chômage a reculé à 4,4%. À Montréal, le taux de chômage atteint 7,8% et, parmi les régions métropolitaines canadiennes, il n’est devancé que par Toronto à 8,4%. Le faible taux de chômage à Québec provoque des pénuries de main d’œuvre dans certains secteurs et force les entreprises à recruter à l’international. En 2012 seulement, 343 travailleurs étrangers ont été recrutés lors des missions organisées par QI. La Foire de l’emploi bat d’ailleurs son plein à Québec ce vendredi et ce samedi au Centre de foires. Quelque 160 employeurs tentent de combler 8850 postes. Cela reste une excellente performance pour le Québec en général,avec certaines régions en 'plein emploi' carrément. En Europe le chômage est parfois dans les pays du sud,de 3 à 6 fois plus élevé,jusqu'à 27%(jusqu'à 65% chez les jeunes). Ils en rêvent de telles performances Québécoises,croyez-moi ils signent de suite pour la même chose. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/emploi-quebec-championne-canadienne/556099#.UV88KzdfY4R
  16. Leur communication est très pro,pas comme celle d'autres projets.Bravo.
  17. Le taux de chômage a augmenté de 0,2 point de pourcentage en mars au Canada pour atteindre 7,2% après la perte nette de 55 000 emplois durant le mois. Au Québec, le taux de chômage a augmenté de 0,3 point de pourcentage pour atteindre 7,7%. Une baisse de 16 800 emplois a été enregistrée dans la province. En Ontario, le taux de chômage s'est maintenu à 7,7% en raison de la baisse du nombre de personnes au sein de la population active. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201304/05/01-4637838-le-canada-a-perdu-55-000-emplois-en-mars.php A noter qu'Obama utilise les mêmes méthodes que l'Ontario pour truquer ses sois disant bons résultats sur le chômage: Baisse du taux de chômage américain en mars, malgré un ralentissement des embauches. BAISSE DU NOMBRE DE PERSONNES AYANT UN TRAVAIL Qui plus est, comme en février, le chômage a baissé pour une mauvaise raison : la baisse de la population active, et les chiffres du ministère indiquent que, si le nombre de personnes sans emploi a baissé, le nombre des personnes ayant un travail aussi. Le taux d'activité, mesure de la part des actifs dans la population en âge de travailler, est ainsi tombé à 63,3 %, son niveau le plus faible depuis 1979, indique le gouvernement. People Not In Labor Force Soar By 663,000 To 90 Million, Labor Force Participation Rate At 1979 Levels. Things just keep getting worse for the American worker, and by implication US economy, where as we have shown many times before, it pays just as well to sit back and collect disability and various welfare and entitlement checks, than to work .The best manifestation of this: the number of people not in the labor force which in March soared by a massive 663,000 to a record 90 million Americans who are no longer even looking for work. This was the biggest monthly increase in people dropping out of the labor force since January 2012, when the BLS did its census recast of the labor numbers. And even worse, the labor force participation rate plunged from an already abysmal 63.5% to 63.3% - the lowest since 1979! But at least it helped with the now painfully grotesque propaganda that the US unemployment rate is "improving." http://www.zerohedge.com/news/2013-04-05/people-not-labor-force-soar-663000-90-million-labor-force-participation-rate-1979-le Real March Unemployment Rate: 11.6% Today, we got the laughable news that the unemployment rate declined even as those not in the labor force grew by over 660,000, while the total civilian non-institutional population grew by just 167,000 to 244,995, meaning the actual labor force declined by 496,000. Which is precisely the issue: fudging the labor force participation rate is how the Obama administration has managed to maintain the myth the economy has grown under his leadership for the past 4+ years. It hasn't, and in fact if one renormalizes for the recent long-term average participation rate of 65.8%, one gets a very different number. How different? A difference that is now at a record compared to what is reported. As the chart below shows, a "renormalization" process indicates a massive and record 4% difference between the reported unemployment rate of 7.6%, and what the real unemployment rate is assuming normal growth of the labor force, which in March was 11.6%, up from 11.3% in February, and the highest since August 2012 when it was 11.7%. More importantly, as the real unemployment chart shows, the economy has not improved by one bit since 2009! http://www.zerohedge.com/news/2013-04-05/real-march-unemployment-rate-116
  18. Ca a le look d'un hotel de la Chaine IBIS (Accor)bas de gamme ou un Mercure..
  19. Hollywood dépense plus de 250 millions au Québec. Un film d'action à la Maison-Blanche. Les dernières aventures des Schtroumpfs et du personnage de science-fiction Riddick. Hollywood aime de plus en plus tourner au Québec: en 2012, les studios américains y ont dépassé pour la première fois le cap du quart de milliard de dollars en dépenses. Selon le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ), Hollywood a dépensé 257 millions au Québec en 2012, comparativement à 235 millions en 2011 et seulement 71 millions en 2009. Et la popularité de Montréal est encore appelée à grandir à Hollywood, à en croire le nouveau président de la Guilde des producteurs des États-Unis, Mark Gordon (Grey's Anatomy, 2012, Saving Private Ryan), un habitué des tournages à Montréal. «Je suis un grand partisan des tournages à Montréal», dit-il en entrevue à La Presse Affaires. La preuve? Mark Gordon est en ville pour tourner l'émission pilote de la série télé Gothica pour le réseau ABC, son troisième séjour comme producteur à Montréal après les films Source Code (2011) et The Day After Tomorrow (2004). «Sur The Day After Tomorrow, on a dû dépenser 4 millions en neige! Ce fut un tournage fantastique, ce qui m'a incité à revenir», dit-il. Selon le BCTQ, le Québec est chanceux de compter sur un ambassadeur aussi bien placé à Los Angeles. «Hollywood, c'est un grand village. Quand un producteur a eu une bonne expérience dans une ville, le mot se passe vite», dit le commissaire Hans Fraikin. Si Montréal est aussi populaire à Hollywood, c'est en raison de la qualité de ses lieux de tournage et de ses équipes techniques, mais aussi beaucoup en raison du crédit d'impôt remboursable de 44% sur les dépenses du film ou d'une série télé. «L'avantage des crédits d'impôt au Québec est énorme, dit Mark Gordon, qui donnait hier une conférence à Montréal à l'invitation du BCTQ. Je me sens coupable de faire du travail à l'extérieur des États-Unis, le pays où je vis, mais ils [les gens de l'État de la Californie] ne comprennent pas [l'aspect des crédits d'impôt].» Depuis trois ans, Montréal affiche toutefois complet en matière de grandes superproductions hollywoodiennes comme White House Down en 2012. Soit, la Cité du cinéma compte 18 salles de tournage, mais une seule de plus de 30 000 pieds carrés nécessaires pour tourner un tel film. Le gouvernement Charest avait d'ailleurs demandé un rapport à la SODEC sur le sujet en 2012. «Je pense que ce serait possible d'avoir plus de tournages avec de nouvelles salles, mais est-ce que ça en vaudrait la peine? Pour les équipes de production, oui. Mais pour les gens qui construiraient ces salles?» dit Mark Gordon. Le BCTQ a bon espoir d'améliorer en 2013 son record de 257 millions en tournages étrangers - une somme qui équivaut à la création ou au maintien de 3984 emplois. «Avec le prochain X-Men, c'est bien parti! dit Hans Fraikin. Nous avons encore de la place pour accueillir d'autres tournages, mais surtout des productions de taille moyenne [de 20 à 60 millions] qui n'ont pas besoin des salles de tournage principales.» Le Québec pourrait aussi attirer davantage de séries télé, même si l'argument des crédits d'impôt semble peser moins lourd dans la balance au petit écran. «En télé, certains acteurs veulent tourner à New York et Los Angeles», dit M. Gordon, qui a tourné sa célèbre série Grey's Anatomy à Los Angeles. Malgré le nouveau sommet québécois, la Colombie-Britannique reste de loin la province canadienne la plus populaire à Hollywood avec des dépenses de 1,18 milliard en 2011. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201303/13/01-4630498-hollywood-depense-plus-de-250-millions-au-quebec.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS2
  20. Martin Carrier raconte comment il a attiré Warner Bros. à Montréal. Martin Carrier a tout mis en œuvre pour que Warner Brothers installe un de ses studios de jeux vidéo à Montréal. L’opération séduction et les négociations ont demandé deux ans à cet ancien vice-président d’Ubisoft. Marie-Claude Morin a rencontré Martin Carrier au studio de la Place Dupuis pour qu’il lui raconte ce point tournant. http://www.lesaffaires.com/strategie-d-entreprise/point-tournant/martin-carrier-raconte-comment-il-a-attire-warner-bros-a-montreal/555105
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