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Hercule

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Tout ce qui a été posté par Hercule

  1. Moi aussi je suis tanné du négativisme!!! Focussons sur ce qui va bien et les projets annoncés...
  2. La Rue Saint-Jacques sera vraiment HOT surtout avec la rénovation de la place d'armes l'an prochain. Je crois qu'on devrais aussi refaire l'aménagement de la rue comme on l'a fait pour la rue McGill. En passant, dans l'article de ce matin on parle du Riopelle!!!! Le projet n'est pas mort?????
  3. Alors le Riopelle n'est pas mort?????
  4. C'est beaucoup plus cool magasiner au Centre ville que dans des centres d'achat de banlieu.
  5. Merci beaucoup! Si quelqu'un pouvait prendre des photos du Solono. La construction est très avancée...
  6. Non, un stationnement était prévu dans un premier temps je crois... Pour combien de temps par contre??? mystère!
  7. Les rues et les trotoires sont tellement brisés dans le quartier. C'est gênant avec tous les touristes qui voisinent avec le Centre des congrès tout juste à côté. Les millions de touristes arpentent ces rues souvent casse-gueule. Il me semble que nos amis chinois mériteraient des aménagements hurbains plus actuels. Beaucoup de façades patrimoniales sont aussi négligées.... c'était mon petit 5 minutes de chialage. Moi aussi j'ai hâte de voir ce nouveau complexe commercial construit, surtout si on continue à améliorer les plans... c'est déjà bien.
  8. On peut d'accord avec toi. Il y aurait d'autres secteurs à prioriser....
  9. Éric Clément La députée péquiste d'Hochelaga-Maisonneuve, Louise Harel, et le député du Bloc québécois dans Hochelaga, Réal Ménard, ont proposé, ce mardi matin, à Montréal, la mise en place d'une ligne de tramway sur la rue Ontario, entre le marché Maisonneuve et la Place des Arts. Les deux politiciens, qui ont dit s'exprimer plus au nom de leurs concitoyens qu'en celui de leur parti respectif, ont présenté un mémoire conjoint lors de la dernière journée de consultation publique de la commission municipale qui se penche sur le Plan de transport dévoilé ce printemps. Tous deux ont estimé que le Plan de transport a occulté une desserte de tramway sur la rue Ontario alors que les Montréalais font aussi des déplacements est-ouest et pas seulement nord-sud. Mme Harel a rappelé que jusqu'en 1959, la population du sud-est de Montréal était desservie par un tramway dont l'emprise se trouvait sur la rue Ontario. La ligne proposée, ont fait valoir les deux politiciens, permettrait de relier de grandes institutions culturelles, religieuses, commerciales et touristiques telles que la Maison de la culture Maisonneuve, la Maison de la culture Frontenac, le cégep du Vieux-Montréal, la grande bibliothèque, l'UQAM, l'Ilot Voyageur, la Place des Arts, etc. «La rue Ontario qui se termine présentement en cul-de-sac à l'est de l'ancienne biscuiterie Viau, où se réalise un important projet de développement résidentiel, pourrait se déployer incluant son tramway jusqu'au boulevard de l'Assomption et servir d'appui à la revitalisation de ce secteur urbain», a dit Mme Harel. Pour Louise Harel et Réal Ménard, ce projet de tramway permettra de rendre ce quartier majoritairement francophone plus attrayant pour l'installation de nouvelles familles immigrantes. Plus d'informations demain dans La Presse
  10. On devrait éviter l'étalement urbain et favoriser la densité sur les sites existants.
  11. Hercule

    Club Sommet

    Casperdiny IFB Realty Inc. et Les Appartements Club Sommet Inc. Vu la demande présentée par Casperdiny IFB Realty Inc. (le « demandeur ») auprès de l’Autorité des marchés financiers (l’« Autorité ») le 28 mars 2007 (la « demande »); vu l'article 263 de la Loi sur les valeurs mobilières, L.R.Q., c. V 1.1; . . 20 juillet 2007 - Vol. 4, n° 29 61 Bulletin de l'Autorité des marchés financiers vu la Norme canadienne 14-101, Définitions et les termes définis suivants : « actions » : signifie les actions de catégorie « A » du capital social de Les Appartements Club Sommet Inc. rattachées selon différentes proportions à chacune des unités et auxquelles devront souscrire les acquéreurs d’une telle unité; « bail » : signifie le bail en propriété exclusive qui sera attribué à l’acquéreur d’une unité à l’égard d’un appartement, d’un balcon, d’un espace de rangement ou d’un espace de stationnement intérieur, selon le cas; « immeuble » : signifie l’immeuble de 17 étages portant l’adresse civique 3475, rue de la Montagne, Montréal (Québec) et issue de l’ensemble immobilier « Le Parc Complexe » qui est établi en copropriété divise; « unité » : signifie l’une des 307 unités d’appartement, 155 unités de balcon, 267 unités d’espace de rangement ou 119 unités de stationnement intérieur de l’immeuble, formée des actions et du bail s’y rattachant; vu les pouvoirs délégués conformément à l’article 24 de la Loi sur l’Autorité des marchés financiers, L.R.Q., c. A-33.2; vu la demande visant à dispenser à certaines conditions : 1. le demandeur de l’exigence de prospectus et de l’exigence d’inscription pour le placement des actions auprès des acquéreurs d’une unité, conformément aux informations déposées auprès de l'Autorité des marchés financiers; 2. les propriétaires d’une unité de l’exigence de prospectus et de l’exigence d’inscription pour la revente des actions dans le cadre de la vente ou du transfert d’une unité; (collectivement, la « dispense demandée »); vu les représentations faites par le demandeur. Considérant que la présente décision est rendue dans le cadre de la vente d’unités d’appartement, d’espace de stationnement intérieur, d’espace de rangement et de balcon d’un immeuble résidentiel dans le contexte d’une copropriété par actions. En conséquence, l'Autorité accorde la dispense demandée, sous réserve que la revente des actions aux termes de la présente décision par le propriétaire d’une unité soit considérée comme un placement auquel s’applique l’exigence de prospectus et l’exigence d’inscription à titre de courtier, sauf si cette opération est conforme aux modalités et conditions prescrites dans les statuts et règlements généraux de Les Appartements Club Sommet Inc. et du bail rattaché aux actions en question.
  12. Québec récupère l'îlot Voyageur par Clairandrée Cauchy , Kathleen Lévesque En contrepartie, l'UQAM est sommée de rétablir son équilibre budgétaire Québec vient à la rescousse de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) en lui retirant des mains l'îlot Voyageur, et le gouffre financier qu'il représente. En contrepartie, l'UQAM est sommée de présenter un plan de redressement qui rétablit l'équilibre budgétaire dans les plus brefs délais. «Comme l'université n'a certainement pas démontré sa capacité de gérer un projet immobilier de cette ampleur, nous allons la dégager de cet impact financier et nous allons, en collaboration, trouver un promoteur», a tranché la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, lors d'une rencontre éditoriale avec Le Devoir. Cette décision gouvernementale est survenue à la fin de la semaine, après d'intenses discussions auxquelles a été étroitement associée la ministre des Finances et présidente du Conseil du trésor, Monique Jérôme-Forget. Mardi soir dernier, le conseil d'administration de l'établissement a abordé le dossier du plan de redressement sans qu'un tel scénario soit évoqué. Il était plutôt question des demandes du ministère, formulées la semaine précédente, d'inclure dans le plan de redressement l'impact financier de l'îlot Voyageur et une amorce de remboursement de la dette. Le conseil d'administration avait alors rejeté du revers de la main les exigences de Québec. Visiblement exaspérée, la ministre Courchesne a rencontré hier matin la rectrice par intérim de l'université, Danielle Laberge, ainsi que le vice-président du conseil d'administration, Jacques Girard. «J'ai haussé le ton, ils sauront vous le confirmer. [...] C'est assez! Cela fait plus de neuf mois qu'on a un accompagnement assidu et inédit. Cette façon de travailler devra changer et la rectrice devra comprendre que nous sommes les bailleurs de fonds et qu'il faut que des solutions véritables soient rapidement mises sur la table», a affirmé la ministre. Le gouvernement n'entend pas se satisfaire du plan de redressement présenté par l'UQAM en juin dernier, qui réduit seulement de moitié le déficit accumulé de 303 millions sur une période de cinq ans. «Un plan de redressement, il faut être très clair, c'est un document qui nous fait la démonstration d'un retour à l'équilibre budgétaire. Cela peut être dans trois ans, cinq ans, sept ans ou dix ans», a déclaré Mme Courchesne, soulignant au passage que le consultant de l'UQAM, Lucien Bouchard, est on ne peut mieux placé pour comprendre le concept du déficit zéro. Mardi, le conseil d'administration a pourtant réaffirmé qu'il entendait négocier sur la base des paramètres du plan de redressement présenté en juin. Cet «entêtement» irrite la ministre: «J'ai le sentiment que je suis en train de donner un cours de gestion 101. Je n'en reviens pas!» Mme Courchesne estime que le travail de l'UQAM traîne en longueur et souhaite que les administrateurs prennent leurs responsabilités. «Si le conseil d'administration croit qu'en prenant beaucoup de temps le gouvernement va être obligé de faire un chèque, j'ai de mauvaises nouvelles pour lui. Cela ne se passera pas comme cela. Ils ne sont pas différents des autres universités québécoises», a-t-elle rappelé. Aussi, la ministre prévient que sa «limite est atteinte» et qu'elle a «d'autres possibilités». «Je suis certaine que, dans les autres possibilités que j'ai évoquées ce matin, l'UQAM a compris que j'étais très sérieuse -- et ce n'est pas la tutelle à cette étape.» Concrètement, Québec reprend sous son aile le dossier de l'îlot Voyageur. Cinq constructions distinctes composaient le projet initial de l'îlot Voyageur. Seuls les stationnements souterrains et la gare d'autobus sont presque complétés. Le chantier des résidences étudiantes se limite à la structure de l'édifice. Quant à la tour de bureaux et au pavillon universitaire, ils n'existent que sur des plans d'architecte. L'îlot sera transféré à un promoteur privé. La ministre n'a cependant pas voulu entrer dans les modalités de l'opération, qui comporte des ramifications juridiques importantes vu le contrat liant la firme Busac à l'UQAM. Le trou creusé par l'autre projet immobilier déficitaire, le Complexe des sciences, devra néanmoins être assumé par l'UQAM. L'intervention de Québec est directement liée à l'incidence que pourrait avoir la crise de l'UQAM sur la cote de crédit de l'établissement. Du coup, la capacité d'emprunter du gouvernement pourrait être affectée, estime la ministre. «ll n'est pas question pour nous d'envoyer le signal que ce n'est pas grave et qu'on va continuer à traîner un déficit sans dire comment il sera résorbé. Sur les marchés financiers, c'est totalement inacceptable», a fait valoir Mme Courchesne. Les efforts de compressions exigés de l'UQAM menaceraient la mission universitaire, clament depuis quelques mois les administrateurs. Cet argument n'impressionne pas la ministre, qui exige qu'on lui fasse une démonstration étayée avant de crier au loup. «Soumettez-nous ce plan, nous évaluerons ensemble les conséquences et nous prendrons les décisions appropriées. Arrêtons de dire qu'on va faire sauter la baraque!», a-t-elle répliqué. Cette dernière réitère qu'elle ne souhaite pas amputer la mission de l'université, mais seulement obliger l'établissement à faire face à ses responsabilités. Quant à l'argument du sous-financement chronique invoqué par l'UQAM qui expliquerait en partie la situation précaire de l'université, la ministre Courchesne le réfute. Elle plaide en faveur de l'équité administrative entre les universités. Sur un ton qui ne laisse place à aucune réplique, la ministre de l'Éducation conclut que l'autonomie de l'UQAM «ne veut pas dire qu'on ne doit pas rendre des comptes». La direction de l'université n'a pas souhaité commenter pour l'instant la décision gouvernementale.
  13. c'est pas une question de nombre, la question est de savoir si elle a encore une valeur patrimoniale... Elle a quand même été contruite en 1847 et les églises datant d'avant 1850 sont rares.... Je dis pas de la garder, mais on peut se poser la question... mais faudrait pas réfléchir 10 ans... Des études doivent déjà exister.
  14. Hercule

    Havres

    La Société du Havre de Montréal enclenche les dernières études pour le réaménagement de l'autoroute Bonaventure MONTREAL, le 30 août /CNW Telbec/ - La présidente du conseil d'administration de la Société du Havre de Montréal, Mme Isabelle Hudon, s'est réjouie de la confirmation d'une participation du gouvernement du Québec de 400 000 $ au projet de réaménagement de l'autoroute Bonaventure à l'entrée du centre-ville. L'annonce de cet investissement a été faite aujourd'hui par le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, M. Raymond Bachand, au nom de la vice-première ministre et ministre des Affaires municipales et des Régions, Mme Nathalie Normandeau, en compagnie du maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "La Société du Havre a délibérément fait le choix de s'astreindre à une planification stricte et rigoureuse au terme de laquelle Montréal bénéficiera non seulement d'une entrée de ville prestigieuse, mais également d'un lieu qui favorisera l'attraction d'investissements dans ce nouveau lien entre le centre-ville de la métropole et le fleuve Saint-Laurent. En joignant aujourd'hui ses efforts à ceux de la Société du Havre et de la Ville de Montréal, le gouvernement du Québec nous permet d'accélérer la cadence et de franchir une nouvelle étape cruciale afin que puisse commencer, dès 2009, la préparation des plans et devis pour le réaménagement de l'autoroute Bonaventure à l'entrée du centre-ville", a déclaré la présidente du conseil d'administration de la Société du Havre de Montréal et présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon. C'est en effet au terme de cette phase d'avant-projet que commenceront les travaux d'infrastructures et de voirie, lesquels devraient se terminer en trois ans. Le respect de cet échéancier permettra d'offrir aux Montréalais une nouvelle entrée de ville prestigieuse dès 2012. "En conjuguant rigueur et ambition, c'est donc avec beaucoup de fierté que nous passons à cette importante étape avant le début des travaux. Ce faisant, nous confirmons notre choix collectif d'investir 90 M$ pour ce projet d'envergure plutôt que de dépenser 60 M$ pour maintenir une infrastructure vieillissante", a ajouté Isabelle Hudon. Rappelons qu'en avril dernier, la Société du Havre de Montréal dévoilait les conclusions positives des six études de faisabilité pour la transformation de l'autoroute Bonaventure en grande artère urbaine, à l'entrée du centre-ville. A la lumière de ces résultats, le maire Gérald Tremblay avait immédiatement enclenché l'avant-projet, une phase cruciale qui vise notamment à compléter toutes les analyses relatives aux coûts de construction, à la démolition des structures, à l'amélioration du domaine public, aux mesures de maintien de la circulation et aux moyens à mettre en place pour optimiser le transport collectif dans le corridor Bonaventure. La Société du Havre de Montréal est née dans le sillage du Sommet de Montréal au printemps 2002 avec l'appui financier des trois paliers de gouvernement. Son mandat était de proposer, pour le havre et les espaces qui l'entourent, les grandes lignes d'un plan d'intervention concerté, assorti d'une stratégie de mise en oeuvre et de financement. Au printemps 2004, elle dévoilait son rapport Vision 2025, une proposition pour l'avenir du havre qui s'est concrétisée dans un plan d'intervention réaliste dont la pierre angulaire est le réaménagement de l'autoroute Bonaventure.
  15. Je suis pas contre renflouer la dette, mais là on peux-tu prendre une petite pause??? Il me semble que l'argent va toujours là... On peux-tu faire du développement qui nous donnera pas l'air d'un pays du tiers-monde. Une petite pause sur les paiements de la dette. Je suis pas économiste mais bon...
  16. Cette église date de 1850 je crois... c'est là que le bas blesse. Plus elles sont âgée plus elles sont priorisé pour la sauvegarde... Reste à savoir si elle a encore une valeur patrimoniale. Pour cela il faut juger de sa valeur architecturale extérieure et intérieur, sa confession, l'histoire du bâtiment...
  17. Hercule

    Les 30 ans de la loi 101

    Je pensais que tu venais de Laval...
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