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Hercule

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Tout ce qui a été posté par Hercule

  1. Mty Yul Comment faire pour conserver une façade de 10 étages pour une salle de spectacle. Je ne crois pas que celle-ci soit prévue pour 10 étages...
  2. C'est déprimant cette Saga!!! S'il faut que la partie Sud de soit pas réalisée ca aura l'air pic pic en maudit...
  3. On va survivre à l'édifice Walder..... J'ai presque fait une crise cardiaque en regardant le journal. Quelle bonne nouvelle. Croisons les doigts. 30 étages c'est haut ca va chialer....
  4. Le Devoir 14 juin Tour de 30 étages sur l'îlot Balmoral Le projet de Rogers permettrait le financement d'une place des festivals et d'une nouvelle salle de spectacles L'entreprise canadienne-anglaise de communications Rogers veut s'ancrer au Québec en construisant une tour de bureaux de 30 étages sur le quadrilatère situé à l'ouest de la Place des Arts, à Montréal. Ce projet permettrait le financement et le développement culturel de l'îlot Balmoral avec une immense place des festivals et une nouvelle salle de spectacles, a appris Le Devoir. Des discussions sont en cours entre Rogers et la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), le bras immobilier de la Ville de Montréal, pour la réalisation de ce projet d'envergure. La Société immobilière du Québec (SIQ) est également partie prenante dans ce dossier puisque la partie sud de l'îlot Balmoral lui appartient, alors que la SHDM est propriétaire de la partie nord. Selon les informations recueillies, la tour Rogers s'élèverait à l'angle des rues de Bleury et de Maisonneuve et pourrait permettre de regrouper les divers bureaux de l'entreprise actuellement disséminés à travers Montréal. Au sud, l'édifice Wilder, mal en point faute d'entretien par la SIQ, sera démoli afin de permettre la construction d'une salle de spectacles de 1000 places. Cela comblerait le vide laissé par la disparition du Spectrum, prévue à la fin de l'été. Sur la partie est du site qui longe la Place des Arts, entre les rues Sainte-Catherine et de Maisonneuve, une place publique destinée à accueillir les grands festivals verrait le jour et favoriserait leur pérennité. Ce projet nécessiterait des investissements considérables. Déjà, la Ville de Montréal a prévu 55 millions de dollars en infrastructures municipales dans son plan triennal d'immobilisations. Mais cela ne peut pas suffire. «Notre objectif est de limiter les investissements publics dans le dossier», a expliqué la porte-parole de la SHDM, Stéphanie Gareau. De fait, le projet de Rogers, dont le coût s'élèverait à des dizaines de millions de dollars, est intimement lié au développement culturel de l'îlot Balmoral. Le milieu culturel souhaite depuis longtemps que soit consacrée la vocation du site. De son côté, Rogers voit vraisemblablement tout l'intérêt de créer des liens et de soutenir la culture québécoise, question d'améliorer son image et de s'immiscer dans les plates-bandes de ses concurrents commerciaux. «C'est important pour Rogers d'être associée au milieu culturel, notamment le secteur francophone», s'est borné à commenter Sébastien Bouchard, de Rogers, après avoir insisté pour dire que, pour l'instant, «il n'y a rien à annoncer». Rogers est une entreprise tentaculaire. Elle est présente en téléphonie cellulaire (Fido) et en câblodistribution; elle est également propriétaire de 50 stations de radio, de chaînes de télévision spécialisées, de magazines comme L'Actualité et Châtelaine et même de l'équipe des Blue Jays de Toronto et du stade de baseball Rogers Centre (l'ancien SkyDome). En 2000, Rogers avait tenté une percée au Québec en voulant mettre la main sur Vidéotron et TVA. L'intervention du gouvernement du Québec par le truchement de la Caisse de dépôt et placement avait toutefois bloqué cette transaction et permis à Quebecor d'élargir son empire. Le développement de l'îlot Balmoral est sous la coordination de la SHDM, a précisé la porte-parole de la SHDM, Stéphanie Gareau, ajoutant que les démarches de l'arrondissement de Ville-Marie se font de façon parallèle. Ville-Marie a récemment confié un mandat au consultant Clément Demers pour élaborer un plan particulier d'urbanisme (PPU) qui doit proposer dans le détail une vision d'avenir pour l'îlot Balmoral. Le PPU doit déterminer qui pourra faire quoi, où et comment. «Plusieurs regardent l'îlot comme un terrain extrêmement intéressant pour des projets. Rien n'a été officiellement déposé pour l'instant et rien ne sera étudié avant la remise du plan de développement, le 31 octobre», a récemment soutenu le maire de l'arrondissement, Benoit Labonté, dans un entretien avec Le Devoir. Le projet de Rogers est néanmoins analysé «en fonction des besoins du milieu culturel», a souligné Mme Gareau. Ces «besoins» sont définis dans le cadre d'un protocole d'entente liant la SHDM et l'Équipe Spectra, l'entreprise privée qui orchestre entre autres le Festival international de jazz et les FrancoFolies. Les orientations du protocole sont claires: tout projet sur l'îlot Balmoral doit comprendre la construction d'une salle de spectacles en remplacement du Spectrum et délimiter une place des festivals. Spectra utilise abondamment les terrains vacants de l'îlot Balmoral pendant la période des festivals. De plus, le Spectrum, dont Spectra est locataire depuis 25 ans, doit fermer ses portes en août. L'érection d'un magasin à grande surface Best Buy y est prévue. Après avoir tenté en vain de développer en partenariat un projet d'un complexe comprenant un nouveau Spectrum, Spectra a changé son fusil d'épaule et jeté son dévolu sur l'îlot Balmoral. La SHDM ne cache pas avoir trois projets entre les mains, dont celui de Rogers. Ces projets s'ajouteraient à ceux d'autres promoteurs qui auraient plutôt choisi de solliciter l'arrondissement de Ville-Marie. Depuis 2000, différents projets ont été dessinés, puis abandonnés. Il y a deux ans, la firme Busac, promoteur du controversé îlot Voyageur de l'UQAM, avait des ambitions avec Cadim, la filiale investissement de la Caisse de dépôt et placement, pour le site. La Caisse de dépôt reconnaît avoir travaillé sur le financement du dossier mais soutient l'avoir fermé depuis lors. Busac est aujourd'hui partenaire d'un des trois consortiums qui présenteront un partenariat public-privé pour la construction de la salle de concert de l'OSM. Du côté de la SIQ, aucune position officielle n'a été adoptée. On a même affirmé hier ignorer certains détails du dossier de l'îlot Balmoral, notamment les critères de sélection des projets dont ont convenu Spectra et la SHDM. «La SIQ a acquis ce terrain pour loger la salle de l'OSM et le conservatoire de musique. Les projets du gouvernement ayant changé, le terrain est devenu excédentaire pour nous. On veut en disposer en tenant compte des orientations gouvernementales», s'est limité à dire Martin Roy, de la SIQ. L'îlot Balmoral constitue un des deux pôles de développement prévus pour le Quartier des spectacles. Le projet d'une vitrine culturelle au croisement des rues Sainte-Catherine et Saint-Laurent est sur la planche à dessin de la Ville de Montréal.
  5. Ça ne m'excite pas ce projet là perdu au milieu de nul part...
  6. http://www.habiter.com/fr/le_407.html Quelqu'un a de l'information à propos de l'annexe qu'on pourrait ajouter au 407 McGill? Est-ce un nouveau projet? Si oui, merci de nous donner quelques éléments d'information. Merci!!!
  7. Sur le site du CHUM: 24 mai > CHUM 2010 occupe le terrain : Début des activités de forage et fouilles archéologiques Le CHUM a amorcé des activités de forage ainsi que des fouilles archéologiques, étapes importantes à franchir dans la concrétisation du projet CHUM 2010. Ces activités ont débuté le 22 mai sur le site et aux alentours de l’actuel Hôpital Saint-Luc, notamment dans la portion occupée par le stationnement. Des mesures ont été prises pour assurer le maintien du service de stationnement à même les espaces appartenant au CHUM. Cette phase, d’une durée minimale de six semaines, s’inscrit dans le cadre des travaux qui précèdent la construction des nouvelles installations du futur complexe hospitalier. Les travaux de forage sont d’abord nécessaires à l’étude de caractérisation des sols, étude qui a pour but de déterminer les conditions environnementales et géotechniques des sols sur lesquels sera érigé le futur CHUM. Ainsi, on procédera à la vérification de la qualité du roc au moyen d’échantillonnages de manière à établir la capacité portante pour la nouvelle structure. Des analyses sont également nécessaires afin de connaître le degré de contamination dans les sols, les sédiments et les eaux, et de prendre les mesures de sécurité qui s’imposent le cas échéant. De plus, on tentera d’évaluer le potentiel archéologique du site par des fouilles concentrées principalement sur le quadrilatère situé entre les rues Saint-Denis, Sanguinet, de La Gauchetière Est et Viger Est. Ces fouilles visent à s’assurer que les terrains qui seront occupés par le futur CHUM ne contiennent pas d’artefacts intéressants d’un point de vue archéologique, la terre n’ayant jamais été remaniée à certains endroits. Le CHUM a entrepris de réaliser cette étape en recueillant le maximum d’information sur les phases antérieures d’occupation des sites, suivant ainsi la recommandation du ministère de la Culture et des Communications qui jugera s’il y a lieu d’intervenir de manière plus précise par la suite. D’ailleurs, des recherches historiques ont démontré qu’il y a eu jadis des activités humaines dans ce secteur. Ces étapes sont des procédures normales dans un projet d’envergure tel que celui du CHUM. Elles sont un préalable aux travaux d’excavation et à la construction des nouvelles installations. Rappelons qu’à la suite du dépôt du rapport de l’Office de consultation publique de Montréal (OPCM), le CHUM est en attente des permis de démolition et de construction de la Ville de Montréal.
  8. Une compagnie était sur place aujourd'hui pour évaluer les fondations de l'église. Est-ce qu'on songerait à l'intégrer à l'ensemble finalement? à suivre...
  9. Pour quand la première pelletée de terre? 2008?
  10. combien de calories brulées à la fin de la journée? Merci Gilbert pour les photos
  11. On a le choix: Etre égoiste et conduire tous notre petit char soir et matin à travers la ville ou choisir Kyoto. Montréal devrait montrer l'exemple au reste du monde.
  12. Hercule

    Musée McCord

    Stéphane Baillargeon Édition du vendredi 18 mai 2007 Le Devoir À l'étroit au centre-ville, le musée veut une grande annexe pour déployer sa collection d'histoire canadienne Le nouveau Musée McCord a tout juste 15 ans et se sent très à l'étroit au centre-ville de Montréal. Il souhaite donc ouvrir une grande annexe au Vieux-Port, sur un des grands quais, selon les informations obtenues par Le Devoir.
  13. Hercule

    Vestiges d'Expo 67

    Bravo Max pour ton innitiative! En effet, c'est une honte pour cette jolie fleur.
  14. Le musée Pointe-à-Callière rêve de grandeurs Mario Cloutier La Presse Le musée Pointe-à-Callière aura 15 ans dans deux jours. Pendant deux semaines, l'institution fêtera ce rite de passage en caressant un rêve propre à son âge: grandir. Pointe-à-Callière vise une expansion souterraine et, pourquoi pas? le statut de musée national. «C'est l'un des scénarios qui sont sur le table. Il y a en a peut-être d'autres, mais dans les prochains mois, on sera en mesure de préciser le projet. Nos études s'avèrent déjà prometteuses», a confié la directrice générale, Francine Lelièvre, en marge d'une conférence de presse sur la programmation du 15e anniversaire du musée. Reconnue comme l'âme de l'institution montréalaise, Mme Lelièvre ne tarit pas d'arguments en faveur de la candidature de Pointe-à-Callière au statut de musée national. Le gouvernement de Stephen Harper vient de créer un précédent en octroyant ce statut au tout premier musée national à l'extérieur d'Ottawa, sur les droits de l'homme à Winnipeg. «Pointe-à-Callière étant le seul grand musée d'archéologie au Québec et au Canada, classé d'envergure nationale à six reprises, on pense qu'on est prêts à passer à une autre étape», souligne la directrice. Une étape qui passe par l'agrandissement du musée ou, en fait, par son expansion souterraine sur près de 700 mètres jusqu'à la rue McGill, empruntant l'égout collecteur William. Les études de faisabilité en cours devraient être rendues publiques à la fin de l'été ou au début septembre. «Passer de la rue McGill, où la Ville de Montréal vient d'investir pour la rénover de belle façon, jusqu'à la place Royale, le long de la place d'Youville, c'est un beau projet. On va pouvoir écrire les vestiges de l'histoire de Montréal, mais aussi du Québec et du Canada», décrit le président de la Société du musée, Jean-Yves Leblanc. Il est également d'avis que le musée possède de bons arguments pour convaincre les gouvernements, à Québec et à Ottawa, d'y investir en concrétisant une reconnaissance nationale existant déjà sur papier. «Nous faisons face à de grands questionnements. On fait passer le musée à l'âge adulte, un musée déjà ouvert sur le monde, reconnu comme tel par les gouvernements québécois et canadien. Il y a de la place à Montréal, métropole culturelle, pour un projet d'une telle envergure», souligne-t-il. Pointe-à-Callière reçoit annuellement 4 millions de la Ville de Montréal. Construit pour recevoir 150 000 visiteurs par an, le musée en reçoit le double tous les ans, depuis 2002, réussissant à tripler ainsi ses revenus autonomes. Une Quinzaine festive Quinze activités en 15 jours. Pointe-à-Callière fête son 15e anniversaire avec faste du 17 mai au 5 juin. Le musée tiendra un événement festif extérieur, Histoires gourmandes, les douceurs de Montréal, pour satisfaire les papilles avec de nombreuses dégustations: fudge, bière d'épinette et tire d'érable au menu! Parmi les autres activités: une visite architecturale du musée, un circuit archéologique dans le quartier et des fouilles en direct, À partir du 5 juin, le musée entreprendra sa grande exposition d'été, Premières Nations, collections royales de France, comprenant les collections d'objets amérindiens anciens appartenant au musée du quai Branly à Paris. Cette exposition s'étirera jusqu'au 14 octobre prochain. Et pour conclure le 15e anniversaire à l'automne, une importante exposition, plus d'une centaine d'objets, sur Les Rébellions de 1837 et de 1838.
  15. ton appareil fait de belles photos.
  16. Je vous dis que les archéologues semblent creuser pas mal... Je me demande bien sur quelles fondations ils sont tombés?
  17. L'affiche est installée sur le spectrum pour la location des futurs locaux, il ne manque que le rendu....
  18. Des nouvelles de ce projet? Je me demande si on ne devrait pas garder l'ensemble du terrain pour un édifice plus intéressant et plus volumineux? Je réfléchis à voix haute... lol
  19. J'espère que les deux projets vont s'harmoniser.... sinon ca va faire pique-pique....
  20. Des sous pour les sols contaminés Par ailleurs, le premier ministre Jean Charest avait une bonne nouvelle à annoncer aux municipalités coincées avec plusieurs stations-service désaffectées et autres terrains contaminés. Le nouveau programme Climatsol, successeur du défunt Revi-Sols, donnera 50 millions $ en trois ans aux villes québécoises. Une contribution équivalente est attendue des partenaires, notamment les municipalités, précise le gouvernement. Les villes pourront soumettre des projets visant à transformer les terrains contaminés en parcs, ou « surfaces de végétation », dans le jargon gouvernemental. Le programme Climatsol encouragera aussi la construction de bâtiments verts, qui utilisent les technologies environnementales pour réduire de façon mesurable la consommation d’énergie.
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