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Zax

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Tout ce qui a été posté par Zax

  1. Publié le 22 juin 2009 à 12h48 | Mis à jour à 17h17 Souhaitant mieux coordonner leurs efforts dans la lutte contre les changements climatiques, les groupes environnementaux de la planète ont décidé de se regrouper et de faire de Montréal l'épicentre de cette nouvelle alliance internationale. Le gouvernement Charest, Équiterre et Montréal international ont annoncé lundi la création du tout nouveau secrétariat de la Campagne internationale action climat (CIAC), dont le quartier général s'établira dans la métropole. Ce bureau, où n'oeuvreront que quatre employés, aura pour mandat de coordonner certaines des plus importantes activités militantes à venir aux quatre coins de la planète dans la prochaine année : Bangkok et Barcelone (rencontres préliminaire sur le climat), Pittsburgh (G-20), New York (assemblée des Nations Unies), etc. L'objectif est d'accroître la pression sur une douzaine de pays connus pour leur timide engagement en faveur d'une réduction des émissions de gaz à effet de serre, afin qu'ils s'engagent à ratifier un accord international ambitieux, lors de la Conférence de Copenhague qui se tiendra du 7 au 18 décembre prochain. Nommément, le Brésil, l'Inde, l'Arabie saoudite, la Pologne, le Japon et le Canada se retrouvent dans cette liste. «L'objectif est que ces pays s'entendent sur un accord international, à Copenhague, a précisé la ministre québécoise de l'Environnement, Line Beauchamp. Pour cela, nous devons rejoindre certains États clés, certains États stratégiques, afin de les convaincre de l'importance d'une telle entente.» Idée d'Équiterre L'idée de créer la Campagne internationale action climat a été lancée par Équiterre en 2006. Le Québec a ensuite accepté de verser 300 000 $, l'année suivante, afin qu'elle se concrétise. Après quoi la principauté de Monaco, le gouvernement britannique et certaines grandes fondations internationales ont accepté de se joindre à l'effort, qui se chiffre aujourd'hui à environ 10 millions de dollars. Le gouvernement fédéral, pour sa part, n'a rien versé, ce qui lui a d'ailleurs attiré certaines critiques, lors du point de presse des différents partenaires. La création du secrétariat du CIAC s'inscrit dans une vaste campagne appelée tcktcktck (à prononcer tic, tic, tic, comme une horloge), qui doit prendre de l'ampleur au fur et à mesure que la conférence de l'ONU sur les changements climatiques approchera. Une vingtaine de groupes font partie de cette coalition, dont Oxfam, Greenpeace, le Conseil mondial des églises, Global Humanitarian Forum, Union of Concerned Scientists et le Pew Environment Group. Il existait déjà des regroupements, comme Kyoto plus, Power Up et le Réseau action climat, mais les groupes environnementaux estimaient nécessaire de mettre sur pied une coalition dont l'unique mandat est d'encadrer le travail sur le terrain : manifestations, mobilisation, etc. «Le constat est qu'il manquait quelque chose, à l'international, pour s'assurer qu'il y ait un accord en décembre, qu'il soit ratifié et mise en oeuvre rapidement», a précisé Steven Guilbeault, d'Équiterre. Les bureaux du secrétariat seront situés au centre-ville et déménageront éventuellement dans la future Maison du développement durable, qui sera construite rue Sainte-Catherine, à côté du Théâtre du Nouveau Monde. Par ailleurs, Greenpeace a frappé un grand coup, lundi en Europe, en publiant à la fois une fausse édition du International Herald Tribune (50 000 copies, principalement à Bruxelles) ainsi qu'un faux site web, en tout point pareil à celui du journal (on y retrouve même de fausses publicités, à s'y méprendre). En manchette de cette édition datée du 19 décembre 2009, on aperçoit les chefs d'État de France, Nicolas Sarkozy, et d'Allemagne, Angela Merkel, tout sourire à la suite d'un accord ambitieux survenu à Copenhague...
  2. 19 06 09 source: site Internet de la Ville de Montréal Montréal parmi les cinq villes les plus vertes au monde Montréal a été sélectionné parmi les cinq villes les plus vertes au monde selon Tree Hugger.com, un site internet reconnu comme étant une source d'information centrale et fiable relayant les nouvelles ‘vertes'. Classée au quatrième rang, Montréal partage les honneurs avec Portland en Oregon au premier rang, Fribourg en Allemagne, Zermatt en Suisse et Austin au Texas, qui se classe bon cinquième.Cette nouvelle vient renforcer l'annonce, en début de semaine, de l'arrivée de la carte Géotouristique de Montréal produite par Tourisme Montréal et la Ville de Montréal dans le cadre d'une entente avec la National Geography Society. Montréal est la première grande ville du monde à disposer d'une carte-guide géotouristique urbaine.
  3. La Presse, 4 juin 09 Étant donné la force des arts du cirque à Montréal, l'idée de cet événement, qui se tiendra durant deux semaines en juin et présentera des spectacles dans plusieurs lieux de Montréal, allait pratiquement de soi. Fait exceptionnel, toutes les forces vives du milieu - Cirque du Soleil, Cirque Éloize, Les 7 doigts de la main, la TOHU, l'École nationale de cirque et le regroupement En Piste - collaborent depuis l'automne dernier à mettre sur pied un festival. «Les Européens sont plus au courant du fait que Montréal est une capitale internationale du cirque, que les Montréalais. Il est temps d'en profiter et d'en faire profiter Montréal. Il est temps d'affirmer qui on est, de s'assumer», croit Jonathan Painchaud, fondateur et codirecteur du Cirque Éloize. La fête se voudra accessible avec des spectacles payants et des activités gratuites, un marché pour les diffuseurs et producteurs, des rencontres, conférences et ateliers. Les organisateurs rêvent de présenter un jour un grand défilé, mais on n'y retrouvera pas d'animaux ou de compagnies à la Barnum & Bailey. « Ce ne sera pas un festival où l'on fermera des rues, explique le directeur de la TOHU, Stéphane Lavoie. Au contraire, on pourra jouer dans une salle à Pointe-aux-Trembles ou dans un parc du West Island. On veut que d'autres partenaires s'approprient l'événement : hôtels, restaurants, musées, aéroport. On peut imaginer des menus et des forfaits cirque. Montréal sera complètement cirque.» Beaucoup d'activités auront évidemment lieu à la Cité des arts du cirque à Saint-Michel, mais aussi dans le Vieux-Port de Montréal. Tout ne sera pas prêt cependant en 2010. Le festival compte grandir au rythme de ses possibilités financières, limitées pour le moment. Mais il est trop tôt pour parler budget et programmation, souligne Stéphane Lavoie. Le premier festival s'articulera autour de la présentation des spectacles des finissants de l'École nationale de cirque auxquels assistent déjà les diffuseurs et producteurs étrangers. «On ne part pas de rien, assure Marc Lalonde, directeur de l'École. Il y a plusieurs années de travail derrière la réputation de Montréal. Chacun de nous assurera sa présence à sa façon et un festival représente une occasion de faire des choses autrement.» Des surprises Il faut donc s'attendre à des surprises de la part de nos troupes québécoises qui voyagent partout dans le monde. Belle façon pour le Cirque du Soleil, notamment, de faire taire les critiques qui lui reprochent encore l'absence d'un spectacle permanent à Montréal. «C'est une façon d'y répondre, mais pas la seule, note Gaétan Morency, vice-président au Cirque du Soleil. On a tellement donné de représentations à Montréal en 25 ans et il y en aura encore beaucoup dans les prochaines années. Un festival ouvre la porte à d'autres possibilités.» «Ça va fouetter notre imagination dans le but de présenter quelque chose de différent, ajoute Nassib Samir El-Husseini de la troupe Les 7 doigts de la main. Pour les artistes de cirque, ce sera une merveilleuse fête avec les amis venant du monde entier. On est invités partout, mais on invite rarement. Ce sera le cas désormais.» De son côté, le regroupement national des arts du cirque, En Piste, pilotera dans les prochains mois une étude sur les retombées économiques de l'événement. L'organisme, qui englobe tout le milieu du cirque québécois, s'occupera également de la mise en valeur du festival. «La discipline du cirque en est à une nouvelle étape de développement à Montréal, note la directrice, Suzanne Samson. Tout arrive au bon moment.» La TOHU possède dans ses cartons des spectacles qu'elle ne peut présenter en saison et qui pourront trouver une niche au festival : des formes de cirque plus théâtrales ou petites, le cirque social, de loisir, d'ici et d'ailleurs. Chose certaine, il ne s'agira pas d'une compétition comme le Festival mondial du cirque de demain à Paris. Montage financier Pour l'instant, les organisateurs préparent un premier montage financier du festival. Le projet a été présenté aux instances municipales et a été accueilli favorablement, selon des sources proches du maire Gérald Tremblay, dans le cadre du projet de faire de Montréal une métropole culturelle de calibre international. En février dernier, le ministre du Développement économique, désormais aux Finances, Raymond Bachand, lançait un défi aux créateurs de cirque lors d'un dîner de la Chambre de commerce. «Nous, Québécois, nous avons réinventé l'art millénaire du cirque. Nous avons le Cirque du soleil, le Cirque Éloize, Les 7 doigts de la main, la TOHU, l'École nationale du cirque. À quand un festival mondial de cirque dans les rues de Montréal?» avait-il demandé. En fait, «dès la fondation de la TOHU, en 2000-2001, on parlait d'un festival», souligne Gaétan Morency. Il y a 25 ans qu'il y a un modèle de festival au Québec. Nous travaillons sur une formule adaptée à l'image de la capitale de cirque qu'est Montréal».
  4. moi je n'approuve pas. Il y a assez de ponts et de pylones qui traversent le fleuve. J'opterais plutot pour le tramway qui, du même coup, permetterait de désenclaver le havre de Montréal afin de le développer
  5. allez sur le site de panzini et regardez la photo de michelange panzini. À l'arrière de lui, on voit des rendu de deux tours, il me semble que c'est ceux-la. Le projet n'est donc peut-être pas mort
  6. hum... intéressant mais je me pose une question. Est ce que la forme du bâtiment est rectangulaire ou bien légèrement courbé?
  7. La Presse 20 janvier 2009 Bonnes nouvelles pour les cinéphiles montréalais: le prochain Festival du nouveau cinéma se déroulera une fois de plus à Ex-Centris l'automne prochain et un projet est en gestation pour bâtir un nouveau complexe de deux salles dans le centre-ville de Montréal, qui abriterait notamment le cinéma Parallèle et se consacrerait au cinéma d'auteur, a appris La Presse. Ces nouvelles surviennent une semaine après qu'Ex-Centris eut annoncé qu'il cesserait sa programmation régulière de cinéma à partir du 20 mars, et contraindrait le cinéma Parallèle à quitter ses locaux le 5 avril. Claude Chamberlan, un des instigateurs de ce nouveau projet, espère que le complexe sera inauguré d'ici 12 à 15 mois. «Rien n'est encore confirmé ou signé, mais un consortium prend lentement forme. On a eu des contacts avec les trois ordres de gouvernement (municipal, provincial et fédéral). Tous étaient intéressés. On a aussi eu un bon son de cloche de gens du privé», raconte le fondateur du Parallèle, programmateur du FNC et ancien programmateur d'Ex-Centris. Le mécène Daniel Langlois, président-fondateur d'Ex-Centris et partenaire de longue date de Claude Chamberlan, compte parmi les gens d'affaires impliqués dans le projet. «Daniel (Langlois) s'est montré extrêmement réceptif au projet. Il est prêt à nous prêter main-forte. Le Parallèle, il veut absolument en assurer la bonne santé», assure-t-il. Selon M. Chamberlan, plusieurs distributeurs se sont réjouis de la création d'une nouvelle vitrine pour le cinéma d'auteur, cruciale pour plusieurs films qui prendront l'affiche après la fin de la programmation régulière à Ex-Centris. Lieu «exceptionnel» Le lieu du nouveau complexe a déjà été choisi, mais Claude Chamberlan préfère ne pas le dévoiler pour l'instant. Il assure néanmoins que ce complexe sera situé «près d'Ex-Centris» et qu'il sera «moderne et exceptionnel». Un architecte local de renom s'est déjà lui-même manifesté pour le construire. «Avec lui, la signature architecturale serait prestigieuse», s'enthousiasme-t-il. Selon l'ébauche du projet, le complexe compterait deux salles. L'une d'elles abriterait le Parallèle - un organisme à but non lucratif et subventionné qui existe depuis 41 ans, et qui logeait dans la plus petite salle d'Ex-Centris depuis son inauguration en 1999. Ces deux nouvelles salles offriraient une «qualité égale» à celles d'Ex-Centris, prévoit Claude Chamberlan. «Bien sûr, on n'aurait pas non plus tout leur équipement hyper sophistiqué, précise-t-il. Mais cet équipement n'était pas vraiment exploité pour la présentation de films. Nos nouvelles salles coûteraient donc deux ou trois fois moins cher pour une expérience cinématographique équivalente.» Ex-Centris et le nouveau complexe collaboreraient sur différents projets, ajoute-t-il. M. Chamberlan indique qu'il ne pilotera pas le projet. «L'idéal, ce serait qu'une personne plus jeune prenne les commandes.» Le nouveau complexe compterait d'autres volets pour promouvoir le cinéma d'auteur. «On veut y rattacher un centre pour les jeunes cinéastes qui créent pour le web, un centre de production pour documentaires, vidéos et films à petit budget, et finalement un café pour favoriser les rencontres. J'aimerais aussi rendre l'endroit convivial pour les enfants. Ça permettrait de mieux les sensibiliser à d'autres oeuvres que le cinéma hollywoodien.» Le temps presse Les choses bougent rapidement. C'est seulement mardi dernier qu'on apprenait la fin, en mars, de la programmation régulière de cinéma à Ex-Centris. Les trois salles du complexe du boulevard Saint-Laurent seront reconfigurées et dotées de nouveaux équipements. La nouvelle programmation, axée sur les arts multidisciplinaires et les nouvelles technologies, pourrait commencer vers la fin de l'été. Elle comprendra environ 10% de cinéma, incluant des manifestations ponctuelles comme le FNC. Le festival pourra se tenir à Ex-Centris en dépit du réaménagement des salles, a finalement assuré le propriétaire des lieux, Daniel Langlois, aux organisateurs du FNC. «Il faut avancer rapidement, on n'a pas le choix, lance Claude Chamberlan. Je suis un éternel optimiste. Il n'y a pas de «ça passe ou ça casse». Ça va passer», croit-il. Même si le projet se concrétise, le Parallèle devra quand même se reloger temporairement, entre son déménagement le 5 avril et l'inauguration du nouveau complexe. Une réunion extraordinaire de son conseil d'administration est prévue dans les prochains jours afin de trouver un nouveau lieu
  8. La presse 11 janvier 2009 Contrairement à ce qu'affirmait à La Presse le maire Gilles Vaillancourt, Laval est loin de protéger 5% de son territoire, selon le Conseil régional de l'environnement de Laval, en s'appuyant sur un rapport du gouvernement du Québec. En février 2007, la Direction du patrimoine écologique du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP) a placé la région de Laval au tout dernier rang au Québec pour le pourcentage de son territoire consacré à la protection de l'environnement. Avec 0,73% d'aires protégées, Laval en comptait 6 fois moins que la moyenne québécoise, 20 fois moins que Montréal et 5 fois moins que la Montérégie. «On est rendus à 4,5% ou 5%», affirmait pourtant à La Presse le maire Vaillancourt, dans un dossier publié en décembre. L'enjeu a une certaine importance parce que les aires protégées sont plus difficiles à créer dans le sud du Québec, et c'est la région où il y a le plus de biodiversité dans la province. Et Laval n'est pas en reste à ce chapitre. Par exemple, dans l'ouest de l'île Jésus, la forêt de Sainte-Dorothée - non protégée - abrite sept des huit espèces de chauve-souris du Québec, 139 espèces d'oiseaux, dont une dizaine de rapaces, et aussi le petit polatouche, l'écureuil volant. Appelé à préciser comment Laval arrive à plus de 4% d'aires protégées, Gilles Benoit, assistant directeur au service de l'environnement, explique que la définition de la Ville diffère de celle du MDDEP. «La différence provient de la définition des aires et du terme protégé, dit-il. Par exemple, sur la rivière des Mille-Îles, on a des grandes zones inondables non bâties et non bâtissables. Nous les considérons comme des zones protégées.» Il y en aurait pour 600 hectares, dit-il. «Si la Ville n'en est pas propriétaire, comment peut-elle prétendre que ces aires sont protégées? répond Guy Garand, directeur général du CRE de Laval. Il peut y avoir de la coupe de bois, par exemple.» M. Benoit ajoute qu'une forêt de 43 hectares sauvegardée à Fabreville, dans le nord-ouest de l'île, ne fait pas non plus partie de l'inventaire provincial. Selon M. Garand, il y a une bonne raison: le zonage n'offre pas une protection suffisante. «Le terrain pourrait être dézoné par la simple volonté de l'administration municipale, après consultation», dit-il. Les deux hommes ne s'entendent pas non plus sur la superficie totale des réserves fauniques et naturelles de Laval. M. Benoit en compte pour 200 hectares, et M. Garand un peu plus d'une centaine. Acte de foi Mais la Ville de Laval demande un acte de foi encore plus grand pour 300 hectares de terrains qu'elle possède et qu'elle compte dans sa liste, sans vouloir dire où ils sont. «Ces terrains sont à des endroits stratégiques pour la conservation, dit M. Benoit. On sait que ces terrains vont être en grande partie utilisés à des fins de conservation. On ne spécifie pas où ils sont pour éviter d'être poursuivi pour expropriation déguisée par les propriétaires des terrains voisins.» Ce raisonnement ne tient pas la route, dit Guy Garand. «Comment risque-t-on d'être accusé d'expropriation déguisée, si on agit sur son propre terrain? Je ne comprends pas. En attendant, ils peuvent s'en départir à leur guise. Tout est fait en cachette. Les citoyens ont le droit de savoir où sont dépensés les deniers publics.»
  9. moi je le trouve super ce logo, il me fait penser à une courte-pointe de couleur. Ca représente le dynamisme, la multi-culturalité et l'ouverture d esprit. Moi aussi je trouve que ca rend honneur au design. Pour le slogan, moi j aurais préféré quelque-chose du genre "Montréaliser"
  10. La Presse Canadienne - Cyberpresse Paris 07 octobre 2008 | 08 h 45 Le Grand Prix du Canada ne figure pas dans le calendrier des courses de Formule 1 de 2009, qui a été publié mardi par la Fédération internationale de l'automobile. Les dirigeants du Grand Prix du Canada disent avoir appris par les médias d'information, mardi, le retrait de l'épreuve de Montréal du calendrier 2009 du championnat de Formule 1. Ces dirigeants annoncent qu'ils n'émettront aucun commentaire avant d'avoir parlé aux principaux intéressés, soit la Formula One Management (FOM) et la Fédération Internationale de l'Automobile (FIA). Le calendrier 2009 publié plus tôt en journée par la FIA montre que le Grand Prix du Canada n'y figure pas. Ce calendrier prévoyant 18 courses a été adopté à l'issue d'une réunion extraordinaire du Conseil mondial du sport automobile tenue à Paris. On a prévu la tenue d'une épreuve pour la première fois à Abu Dhabi, aux Emirats arabes unis. En 2008, l'épreuve de Montréal a eu lieu le 8 juin. L'an prochain, un Grand Prix est prévu en Turquie le 7 juin. Aucune ville d'Amérique du Nord ne figure donc au calendrier 2009, le Grand Prix des Etats-Unis ayant été rayé du programme la saison dernière. Le Grand Prix du Canada était inscrit au calendrier sans discontinuer depuis 1987. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, en évalue les retombées économiques annuelles à environ 75 millions $. Le calendrier 2009: 29 mars: Australie 5 avril: Malaisie 19 avril: Bahreïn 10 mai: Espagne 24 mai: Monaco 7 juin: Turquie 21 juin: Grande-Bretagne 28 juin: France 12 juillet: Allemagne 26 juillet: Hongrie 23 août: Europe (Valence/ESP) 30 août: Belgique 13 septembre: Italie 27 septembre: Singapour 11 octobre: Japon 18 octobre: Chine 1 novembre: Brésil 15 novembre: Abou Dhabi
  11. Le futur CHUM sera entouré de cliniques privées La Presse Le vendredi 05 septembre 2008 En plus du complexe de santé privé que le chanteur Garou compte bâtir en face du futur Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM), plusieurs autres cliniques privées s'établiront tout près du futur hôpital universitaire. Contrairement à ce qu'affirme le ministre de la Santé, Yves Bolduc, le CHUM est déjà «en discussion» avec ces établissements privés. Dans son numéro d'hier, le quotidien Le Devoir a annoncé que Garou veut transformer l'actuelle salle de spectacle du Medley, située en face de l'hôpital Saint-Luc, en centre de santé privé. Le chanteur souhaite construire un complexe de 100 millions de dollars qui comprendrait des cliniques, des chambres d'hôtel, des appartements et un restaurant. Le CHUM aurait qualifié ce complexe de «solution». Sans trop vouloir commenter la situation, le CHUM a avoué, hier, que différents promoteurs privés élaborent actuellement des projets de cliniques de santé privées aux environs du futur CHUM. «Nous sommes en discussion avec eux pour établir des partenariats. Mais nous n'avons pas pris de décisions encore», affirme la porte-parole du CHUM, Lucie Dufresne. Alors que le CHUM confirme être en discussion avec plusieurs cliniques privées, le ministre de la Santé, Yves Bolduc, assure que «c'est une illusion de penser qu'on va commencer à transférer des services dans des cliniques privées. Il n'est pas question de diluer le projet du CHUM. Il n'est pas question de commencer à faire des ententes pour transférer des activités du CHUM à des cliniques privées». Or, contrairement à ce que soutient le ministre, le CHUM étudie même la possibilité d'établir un partenariat avec une clinique médicale spécialisée (CMS) affiliée en ophtalmologie. Mais le ministre Bolduc ne semblait pas au courant de cette information, hier. Il est même allé jusqu'à accuser les médias de colporter des ragots sans fondement au sujet du CHUM. «Quand quelqu'un dit quelque chose sans connaître le dossier, ça fait la première page du journal et tout le monde remet en question (le projet), a-t-il dit. (...) Il y a beaucoup de gens qui se positionnent sur le CHUM et qui ne connaissent rien du dossier.» Réactions vives En apprenant que le CHUM sera entouré de cliniques privées, la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) n'a pas tardé à réagir. L'association déplore que le futur CHUM puisse dépendre de cliniques privées pour être fonctionnel. «Le succès du CHUM, un hôpital universitaire, ne peut pas reposer sur des cliniques privées! Ça n'a pas de sens!» plaide le président de la FMSQ, le Dr Gaétan Barrette. Selon lui, si le CHUM ressent le besoin de faire des partenariats avec des cliniques privées, c'est la preuve que le futur hôpital n'aura pas l'envergure pour répondre aux besoins des patients. La Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) voit elle aussi d'un mauvais oeil l'arrivée de complexes de santé privés près du CHUM. «On pousse même l'audace jusqu'à prétendre que la clinique privée fait partie de la solution des problèmes du CHUM. C'est complètement aberrant!» a dit la présidente de la FIQ, Lina Bonamie, dans un communiqué. La Coalition Solidarité Santé estime quant à elle que l'arrivée de cliniques privées autour du CHUM est «le pire des scénarios qui pouvaient arriver». «Qu'un hôpital universitaire soit si ouvert au privé est inquiétant, dit la porte-parole de la Coalition, Claudelle Cyr. On va faire du profit sur le dos de gens malades!» Mme Cyr reconnaît toutefois que la situation était prévisible. «Le conseil consultatif du CHUM est constitué de gens tous très ouverts au privé en santé», dit-elle. Créé en mai 2007, le conseil consultatif du CHUM a pour mission de «favoriser et faciliter l'intégration du CHUM dans les différentes sphères de la société au plan de son développement et de l'organisation des soins de santé». Au sein du comité, on trouve notamment Michel Clair, le président du groupe de santé privé Sedna et Philip O'Brien, le directeur de Viger DMC International inc., organisme qui compte s'établir près du futur CHUM.
  12. La Presse Canadienne Montréal Le jeudi 04 septembre 2008 Après Copenhague, c'est au tour de Montréal d'accueillir la Conférence mondiale sur le vieillissement, un événement d'envergure qui se déroule à tous les deux ans à travers le monde. Cette 9e conférence internationale de la Fédération internationale du vieillissement (FIV) se tient au Palais des congrès du 4 au 7 septembre. Il s'agit de l'occasion pour des spécialistes du monde entier de traiter des enjeux liés au vieillissement. La sécurité, les transports, l'accès au logement, l'isolement social, la protection des droits des aînés et la promotion d'une image positive de la vieillesse figurent parmi les thèmes qui y seront abordés. Cette conférence mondiale compte près de 1000 participants provenant d'une soixantaine de pays. Il s'agit essentiellement de hauts fonctionnaires, d'intervenants sociaux, de professionnels, de représentants des milieux financiers et de gens d'affaires. Plus de 300 conférenciers s'adresseront à eux, sans oublier les ateliers, symposiums et discussions au programme. Cette 9e conférence mondiale sera doublée de l'Expo Vieillissement Design Montréal 2008, un salon qui propose de faire le lien entre vieillissement et design dans une perspective de susciter l'intérêt des designers à trouver des solutions pour surmonter les obstacles qui peuvent croître avec l'âge. Le maintien à domicile des personnes âgées est un enjeu majeur, selon Irene Hoskins, présidente de la FIV et coprésidente de la 9e Conférence mondiale sur le vieillissement. «Pour accroître la proportion d'aînés vivant de façon autonome, il faut des innovations aux systèmes d'éclairage intérieurs, des modifications à la configuration des salles de bain, à la fabrication d'électroménagers et aux normes du bâtiment» a déclarée Mme Hoskins en conférence de presse, jeudi au Palais des congrès. Elle était alors accompagnée de la ministre des Aînés du Québec, Marguerite Blais. La ministre Blais ouvrira la session plénière du vendredi soir, qui portera sur les innovations canadiennes dans le milieu du vieillissement. En conférence de presse jeudi, la ministre a souligné que «le Québec est l'une des sociétés qui vieillit le plus rapidement, la deuxième après le Japon». C'est pourquoi, selon elle, «un certain nombre des défis soulevés correspondent à notre réalité et à notre capacité collective d'y faire face». «La conférence arrive à point nommé», a poursuivi la ministre, faisant notamment référence aux consultations menées l'an dernier auprès des aînés du Québec. «Depuis la conférence de Madrid en 2002, il y a eu cette conscientisation du vieillissement et le Québec est dans cette foulée là», a-t-elle ajouté. Montréal avait accueilli la 4e édition de cette conférence internationale en 1999. L'événement avait donné lieu à la «Déclaration de Montréal» qui avait pavé la voie à l'élaboration du Plan d'action de Madrid, en 2002, portant sur les droits et le bien-être des gens âgés. La prochaine Conférence mondiale sur le vieillissement aura lieu à Melbourne en 2010.
  13. Je ne croyais pas vraiment à ce projet même si je le trouve très intéressant. Par contre, j'ai apercu sur Bird s eye qu'il y a déja des fondations à cette emplacement. Est-ce que ca voudrait dire que le promoteur entend vraiment le construire?
  14. pour ne pas déroger aux règles de mtlurb, voici la source: http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/02/29/002-jazz_n.shtml
  15. UNE MAISON DU JAZZ À MONTRÉALLe plus important festival de jazz au monde aura bientôt sa propre maison. Le lieu, réparti sur huit étages, veillera également au rayonnement de ce genre musical. La Maison du festival de jazz sera aménagée dans l'édifice Blumenthal, au centre-ville de Montréal. Elle abritera notamment: les archives du Festival international de jazz de Montréal (FIJM) un lieu de diffusion pour les artistes locaux de jazz, de blues et de musiques du monde une galerie un café une boutique L'édifice abritera également les services techniques et de sécurité nécessaires à la tenue des événements sur la place des Festivals, qui sera aménagée tout à côté. Aide de Québec Le gouvernement québécois accorde 8,9 millions $ au projet. La Société immobilière du Québec cède au FIJM l'édifice Blumenthal. L'organisme gouvernemental reste propriétaire du terrain, situé dans l'îlot Balmoral, en face du Musée d'art contemporain. La Maison du festival de jazz constitue une des pierres angulaires du futur Quartier des spectacles, qui prend peu à peu forme au centre-ville de Montréal. Le maire de Montréal Gérald Tremblay s'est réjouit de la transformation de l'édifice Blumenthal en Maison du Festival international de Jazz.
  16. J'ai remarqué que le gros immeuble au coin st-denis et du viaduc rosemont a déja subi une transformation ces dernières semaines; soit des vitres bleu flash au centre du building. Une publicité annonce aussi la venue d'un Énergie Cardio dans ce même bâtiment qui ouvrira d'ici un mois
  17. entièrement en désaccord avec ce projet... investissont dans le transport en commun au lieu de bétonné ces magnifiques paysages. De toute facon, je doute que ce projet se réalise...
  18. Zax

    Le Symbiose - 6 étages

    d'accord avec toi mtl yul, j'ai passé 2 semaines en nouvelle-angleterre cet été et j'ai été surpris a quel point l'architecture typique de cette région est respecté. Pourquoi ne pas faire des quartier résidentiel ou des immeubles d'inspiration nouvelle-france ici?? Au lieu de faire ca, on construit un peu n'importe quoi et même des quartiers d'architecture nouvelle-angleterre (comme a ville Saint-Laurent)...c'est vraiment décevant...
  19. hey bien, pourquoi pas? En autant que l'on valorise les terrains en bordure du bassin Peel et qu'on construise des bâtiments de bon goût, je suis pas contre
  20. (D'après PC) - Le cinéma Le Parisien, qui faisait partie du paysage du centre-ville de Montréal depuis des années, ferme ses portes. Le propriétaire de l'entreprise, Les Cinémas Fortune, a vendu la salle mercredi et a mis la clé sous la porte dans le même souffle. Aucune autre information n'a été fournie par le propriétaire qui s'est limité à annoncer la vente et la fermeture dans un communiqué. Jeudi, le cinéma était placardé et des déménageurs étaient à l'oeuvre. Les raisons de la vente ainsi que le nom du nouveau propriétaire de l'immeuble ne sont pas encore connus. Le Parisien avait longtemps été l'épicentre du Festival des films du monde, mais son heure de gloire était passée depuis quelques années. Il était toutefois encore le seul cinéma à diffuser des films en français rue Sainte-Catherine. Famous Players a déjà été propriétaire des lieux. Les Cinémas Fortune est également propriétaire du cinéma Angrignon, dans l'arrondissement montréalais de LaSalle, et de salles à Gatineau (arrondissement de Hull) et à Québec (arrondissement de Sainte-Foy).
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