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  1. Chronique d'un entrepreneur Nicolas Duvernois http://www.lesaffaires.com/blogues/nicolas-duvernois/pourquoi-je-suis-contre-le-salaire-minimum-a-15/590729 Depuis quelques mois, plusieurs acteurs du monde des affaires et du milieu de la politique se sont exprimés en faveur du salaire minimum à 15 dollars. Est-il vraiment réaliste de croire que cette proposition améliorera la situation de centaines de milliers de travailleurs québécois? On ne peut être contre la vertu et s’opposer à l’idée que des gens moins nantis puissent hausser leur niveau de vie. Il est inadmissible qu’une personne se retrouve sous le seuil de la pauvreté en travaillant 40 heures par semaine. Collectivement, nous ne pouvons pas accepter cette situation et devons trouver des solutions au problème. Augmenter le salaire minimum est la solution miracle qui vient spontanément à l’esprit. Je n’y crois pas. Voici pourquoi. Hausser le salaire minimum est l’équivalent de mettre un pansement sur une plaie nécessitant des points de suture. Ça soulage le mal temporairement, mais ça ne règle pas le problème. Le problème n’est pas tant le salaire minimum que le manque de formation qui permettrait a plus d’un million de travailleurs d’accéder à un salaire supérieur. Confucius avait raison. Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson. Dans la majorité des cas, le salaire dépend de nos dernières études. Tant que nous accepterons que les jeunes puissent arrêter l’école au secondaire cinq (et même avant), la situation va perdurer. Pourquoi ne pas rendre obligatoire ne serait-ce qu’une formation professionnelle pour que nos jeunes qui sortent de l’école aient la garantie qu'ils pourront obtenir plus que le salaire minimum? Le calcul est simple. Une meilleure formation mène à un meilleur salaire. Plutôt qu’offrir plus d’argent, pourquoi ne pas proposer quelques avantages aux travailleurs les moins bien rémunérés? Comme des coupons repas pour le midi (comme en France), des cartes de transport en commun à prix réduit, des assurances… Des avantages financiers qui, sans augmenter le salaire minimum, permettront au travailleur d’en avoir plus en poche à la fin du mois. À mon avis, offrir un salaire minimum «confortable» comporte des risques à long terme. On ne veut pas d’une société où le travailleur est satisfait de faire le minimum, on veut une société où le travailleur veut faire mieux. Il ne faut pas faire l’autruche. Ce n’est pas le gouvernement qui paiera pour cette hausse, ses employés gagnant tous plus de 15 dollars l’heure. Et ce ne sont pas les multinationales qui verront la différence dans leurs états financiers. Ce seront les dizaines de milliers d’entrepreneurs à la tête de petites et moyennes entreprises qui paieront la note. L’immense majorité des entreprises au Québec sont de toutes petites entreprises. 99.8% des entreprises de la province sont des PME. Sur les 250 000 qu’on dénombre au Québec, plus de 72% comptent moins de 10 employés. La hausse du salaire minimum aura un effet catastrophique sur ces organisations, puis sur leurs employés eux-mêmes. On ne se cachera pas, pour respecter leur budget, les entrepreneurs auront comme premier réflexe de couper dans les heures de leur personnel. Un salaire minimum qui passe de 10,75$ à 15$ représente une augmentation de 40%. Rare sont les PME qui verront leurs revenus, même sur une période de 5 ans, augmenter autant. Il n’y a pas de solution miracle. Améliorer les conditions de travail de centaines de milliers de travailleurs ne se fera pas en criant «ciseaux». Afin de régler le problème une fois pour toutes, prenons le temps de trouver les meilleures solutions à long terme en impliquant les travailleurs et les employeurs.
  2. Pas d’austérité chez Hydro-Québec Pendant que le gouvernement Couillard propose un gel salarial à ses 540 000 fonctionnaires pour les deux prochaines années, les employés d’Hydro-Québec verront leurs chèques de paie bondir de 7,2 %. Dès le 1er janvier, les salaires de 15 000 travailleurs d’Hydro-Québec seront notamment bonifiés de 4,2 %. En 2016, c’est une hausse de 3 % qui attend les employés de la société d’État. En tout, au cours des quatre prochaines années, les salaires des employés d’Hydro-Québec progresseront de 12,45 %. Ces impressionnantes hausses ont été consenties lors du renouvellement de la dernière convention collective ratifiée il y a un an, en décembre 2013, avec sept des huit syndicats de la société d’État. Pour justifier de telles hausses, Hydro-Québec dit avoir mis fin au controversé régime annuel de primes à la performance offert à ses employés depuis une dizaine d’années. Ce régime de primes était décrié parce qu’Hydro-Québec détient le monopole de la vente d’électricité au Québec et que les objectifs de ce régime étaient trop faciles à réaliser. En 2013 (pour l’année 2012), ce régime a distribué 88 millions $ aux travailleurs d’Hydro-Québec. Pour compenser la fin de ces généreux bonis, la société d’État a toutefois décidé d’ajuster les échelles salariales de ses travailleurs syndiqués à compter du 1er janvier 2015. Prime de 84 M$ Pour l’année 2014 qui se termine, Hydro-Québec dit avoir «gelé» les salaires de ses travailleurs et ne versera pas la fameuse prime au rendement. Or, les travailleurs d’Hydro-Québec ont touché en avril 2014 (pour la dernière fois) la prime dite de rémunération incitative pour la performance financière de la société d’État réalisée en 2013, a appris Le Journal. Cette prime de 84 millions $ équivaut à tout près de 4000 $ par employé ou jusqu’à 4,5 % de leur salaire annuel, soit 1,5 % lorsque les objectifs financiers sont atteints et jusqu’à 3 % en se fondant sur les indicateurs de rendement de l’entreprise. Hydro-Québec persiste à dire que ses travailleurs syndiqués subiront néanmoins un «gel de rémunération» l’an prochain. «Pour 2015, une portion de la rémunération incitative a effectivement été intégrée aux échelles salariales, d’où l’augmentation de 4,2 %», a indiqué hier un porte-parole d’Hydro-Québec, Patrice Lavoie. Les cadres aussi Les travailleurs non syndiqués d’Hydro-Québec ne sont pas en reste. Eux qui ont vu leurs salaires progresser de 1,75 % en 2014, auront droit à une hausse de 2 % en 2015. http://www.journaldemontreal.com/2014/12/17/pas-dausterite-chez-hydro-quebec
  3. Montréal, capitale de l’entrepreneuriat culturel Montréal, avec ses nombreux festivals et spectacles, est reconnue comme une capitale culturelle. Au niveau entrepreneurial, elle n’est d’ailleurs pas en reste: la ville regorge d’industries créatives et le domaine des arts y est florissant. Professeur titulaire à la Chaire d’entrepreneuriat Rogers-J.-A.-Bombardier de HEC Montréal, Louis Jacques Filion en parle avec passion. «Aussitôt qu’on discute d’entrepreneuriat au Québec, il y a une onde négative, commence-t-il par constater. Or, Montréal est une des villes les plus vibrantes de la planète, particulièrement pour ce qui est de l’entrepreneuriat culturel.» Il rappelle, par exemple, que le grand patron de MGM a déjà mentionné que le succès de Las Vegas reposait sur Montréal, puisque 80% des billets qui y sont vendus sont issus de la créativité de la métropole québécoise. M. Filion définit l’entrepreneuriat culturel comme étant composé de gens jouant un rôle d’innovation dans le domaine des arts et de la culture, plus particulièrement par le développement de produits et de services. Le domaine culturel peut par ailleurs prendre plusieursfor*mes: édition, humour, musi*que, danse, jeux vidéos etc. «Montréal est notamment devenue un incontournable pour l’industrie du jeu vidéo, et le modèle de l’humour québécois sert d’inspiration ailleurs dans le monde», souligne le professeur au HEC. «Montréal regorge d’un bassin de travailleurs autonomes de très grand talent, souvent dans le milieu culturel», affirme Éric Fournier, partenaire et producteur exécutif chez Moment Factory et président de la Table d’action en entrepreneuriat de Montréal (TAE). Il ajoute cependant que la métropole a le potentiel d’aller encore plus loin, puisque l’accent est beaucoup plus porté sur la création que sur la diffusion de ce talent. «Il faut passer du talent brut individuel à des regroupements qui vont cumuler ensemble leur talent pour aller vendre à l’étranger», déclare M. Fournier. «Il est temps de sortir de la morosité et de réaliser tout le potentiel de l’entrepreneuriat culturel au Québec!» – Louis Jacques Filion, professeur titulaire à la Chaire d’entrepreneuriat Rogers-J.-A.-Bombardier de HEC Montréal Dans le cadre de ses travaux, la TAE vise d’ailleurs à promouvoir la création de PME par les travailleurs autonomes. Éric Fournier rappelle que même si plus de 80 organismes ont pour vocation de soutenir les entrepreneurs, les règles fiscales en place n’encouragent pas l’entrepreneuriat. Les travailleurs autonomes et sous-traitants dans le milieu culturel sont donc à la merci des projets et ont de la difficulté à s’organiser. Une chose est sûre, il est important de continuer à promouvoir et soutenir l’entrepreneuriat culturel. «Les pays où les arts se développent sont des pays où il y a beaucoup de liberté. Ça amène une dynamique de créativité dans la société et ouvre à la diversité», conclut Louis Jacques Filion. Le goût du risque Éric Fournier rappelle par ailleurs qu’au delà des programmes universitaires formels, l’entrepreneuriat est un état d’esprit. «Oui, les études peuvent aider, mais c’est avant tout quelque chose qui se vit. L’essence de l’entrepreneurship, c’est le gout du risque», mentionne le producteur exécutif chez Moment Factory. Gestion des arts La Chaire de gestion des arts Carmelle et Rémi-Marcoux aux HEC réalise et publie des recherches sur la gestion des arts. Parallèlement, l’université offre aussi plusieurs possibilités de formation en gestion des arts, notamment: DESS en gestion d’organismes culturels Maîtrise en management des entreprises culturelles Maîtrise internationale en management des arts Doctorat en administration, avec profil en marketing et management des arts, industries culturelles et des médias http://journalmetro.com/plus/carrieres/531576/montreal-capitale-de-lentrepreneuriat-culturel/
  4. Serment d'allégeance au syndicat obligatoire pour des étudiants embauchés à La Ronde Le Syndicat des cols bleus regroupés de Montréal vient de semer la colère parmi des parents d'étudiants qui ont obtenu des emplois à La Ronde cet été. Ils sont outrés et scandalisés parce que leurs enfants doivent notamment prêter serment d'allégeance au syndicat. C'est le chroniqueur Éric Duhaime, qui a révélé cette histoire. Des parents ont récemment communiqué avec ce dernier pour dénoncer le fait qu'on avait remis le serment d'allégeance aux jeunes travailleurs de La Ronde en formation le week-end dernier. On peut y lire : «Je promets solennellement et déclare que j'appuierai et obéirai aux statuts et règlements du syndicat et à ceux du Syndicat canadien de la fonction publique et que, tant que je le pourrai, j'aiderai mes camarades membres et leur famille quand ils (elles) seront dans la détresse, que jamais sciemment ou de propos délibéré je ne causerai de tort à un membre du syndicat ou aiderai à d'autres à lui en causer; que je ne recommanderai jamais, pour devenir membre du Syndicat, une personne que je croirais indigne de le devenir. Je reconnais comme membre du Syndicat, que si je ne me conforme pas, sciemment ou de propos délibéré à cette promesse solennelle, je suis exposé aux sanctions prévues à l'article 22 des statuts et règlements de notre section locale.» En voyant ça, des parents ont jugé anormal que des jeunes de 16 ans soit obligé de porter allégeance à un syndicat. En entrevue à l'émission de Mario Dumont, Éric Duhaime a raconté les discussions qu'il a eues avec les parents des jeunes travailleurs de La Ronde. «Après la formation, les jeunes reviennent à la maison et là, les parents constatent qu'on leur a remis le livre du syndicaliste Jean Lapierre qui a défoncé les portes de l'hôtel de ville à coup de bélier il y a quelques années, a-t-il confié. On leur a aussi remis le serment d'allégeance, une déclaration solennelle où les jeunes doivent mettre la main dans les airs et porter serment d'allégeance au syndicat.» «C'est comme si c'était une religion, on aurait vu des curés faire ça à une époque et on se serait scandalisé, a-t-il ajouté. Aujourd'hui, ce sont des leaders syndicaux qui font ça. On est tellement intoxiqué au syndicalisme qu'on trouve que c'est normal. Or, ce n'est pas normal dans une société démocratique que des jeunes soient obligés de poser un tel geste. Un syndicat, c'est supposé être au service des membres et des travailleurs. Ce n'est pas les travailleurs qui sont supposés être au service du syndicat.» Le président du syndicat des cols bleus regroupés de Montréal, Michel Parent, a été invité à réagir à l'émission de Mario Dumont. «Ce serment, ce n'est rien de nouveau, a-t-il dit. Le syndicat existe depuis 70 ans cette année. Ça fait partie des statuts et règlements. C’est pas pire que de faire un serment comme député à la Reine. À La Ronde, la formation à suivre pour les nouveaux employés est négociée dans la convention collective et l'objectif derrière cette formation, c'est d'expliquer quels sont les droits des travailleurs et travailleuses qui pour la plupart sont des jeunes qui commencent sur le marché du travail.» http://www.journaldemontreal.com/2013/06/11/serment-dallegeance-au-syndicat
  5. Voici une photo que j'ai pris des travailleurs dans la grue,
  6. Le 1er avril, la Thaïlande va octroyer une hausse spectaculaire du salaire minimum aux travailleurs des sept provinces les plus riches du pays, dont Bangkok. Conformément à une promesse faite durant la dernière campagne électorale, le gouvernement a décrété que le salaire journalier de base grimpera de 40% pour atteindre 300 bahts, soit environ 10$ CAN. Loin d'être un cas isolé, cette décision des Thaïlandais s'inscrit dans un mouvement qui se généralise en Asie. Des planchers salariaux ont été instaurés ou le seront bientôt en Indonésie, en Malaisie et aux Philippines. D'ailleurs, les autorités de ces pays poussent ouvertement les entreprises à augmenter la rémunération globale et, du coup, le pouvoir d'achat des ouvriers. Évidemment, les employeurs visés ont sorti leur vieux boulier pour calculer l'impact sur leurs coûts de production. Et plusieurs s'arrachent les cheveux. À Kuala Lumpur, la Fédération des employeurs malaisiens soutenait, il y a quelques jours, que 200 000 PME du pays pourraient ne pas survivre à la mise en place, au printemps prochain, d'un salaire minimum mensuel variant, selon les régions, de 800 ringgits (270$CAN) à 1000 ringgits (320$CAN). N'en déplaise aux patrons, cette vague est aussi irréversible qu'un tsunami. Même la très libérale Hong Kong va implanter, à partir du mois de mai, un plancher pour les salaires. «Désormais, dans la région [asiatique], seule Singapour n'en dispose pas», note John Ritchotte, un expert de l'Organisation internationale du travail (ILO). Or, pour cet économiste qui commentait la situation récemment sur le web, cette poussée des salaires touchera l'ensemble de la population de la région. La Chine mène le bal D'où vient cette soudaine générosité envers la main- d'oeuvre asiatique, pourtant réputée malléable? De la Chine principalement, où le mouvement à la hausse des salaires est déjà bien amorcé et inspire les travailleurs du continent. Alors que le salaire moyen annuel dans l'empire du Milieu équivalait à 1050$ US, au début des années 2000, il se situait à 5500$US en 2010, selon la banque française Crédit Agricole. D'autres sources laissent croire qu'il frôlerait maintenant les 6200$US. Et ça grimpe toujours. Selon les experts, deux grands facteurs gonflent les salaires chinois. D'une part, l'offre et la demande: les employeurs chinois ont de plus en plus de problèmes à recruter du personnel, selon des rapports financiers, si bien que les travailleurs disponibles veulent plus d'argent. D'autre part, les pressions ouvrières se multiplient alors que les jeunes travailleurs, non rompus à l'idéologie maoïste de leurs parents, refusent les conditions de travail inadéquates. Les soulèvements des employés de l'équipementier électronique Foxconn et du fabricant de voitures japonaises Honda, notamment, ont été bien documentés en Occident l'an dernier. Or, la colère ne se limite pas à la Chine. Le mois dernier, le Cambodge a été ébranlé par un rassemblement d'ouvriers qui réclamaient de meilleures conditions de travail, manifestation qui a dégénéré et fait plusieurs blessés. Une usine travaillant pour le géant Puma a été touchée par les incidents. L'équipementier sportif allemand a compris le message. Il y a quelques jours, le patron de Puma, Franz Koch, s'est dit prêt à «prendre l'initiative» de discussions pour augmenter les salaires des employés de la compagnie dans toute la région asiatique. Quelque 90% de la production de Puma provient d'Asie. Ses concurrents Adidas et Nike sont tout aussi dépendants de la main-d'oeuvre asiatique. Vite les valises? Pour le moment, rien n'indique que les investisseurs et les entreprises étrangères songent à quitter massivement l'Asie dans ce contexte. Toutefois, certains commencent à revoir leur présence: le fabricant américain de sacs Coach a récemment indiqué qu'il réduira la part de sa production en Chine de 85% à moins de 50%. Des groupes transfèrent aussi des activités à faible valeur ajoutée, comme le textile et le vêtement, au Vietnam ou au Bangladesh où les salaires sont toujours inférieurs. Reste que l'infrastructure industrielle chinoise demeure imposante et peut compenser les hausses salariales par une productivité accrue, affirment des analystes. Mais on comprend mieux pourquoi le premier ministre chinois Wen Jiabao a lancé un vibrant appel, le mois dernier, en faveur d'une révision complète du modèle économique de son pays. Désormais, deux avenues s'imposent: une hausse de la consommation domestique et une montée en gamme de la production. Les travailleurs ont livré un message clair: l'Asie doit changer.
  7. MONTRÉAL - L'affrontement entre les syndicats de la construction et Québec concernant le placement syndical s'est poursuivi à Montréal vendredi. Le projet de copropriétés Le Liguori, qui se trouve dans le quartier Villeray, a été paralysé dès 10 h. Des délégués syndicaux de la FTQ-Construction se sont présentés sur les lieux et ont demandé à une trentaine de travailleurs de quitter le chantier. Seuls quelques ouvriers, dont le travail ne peut être interrompu, sont restés sur place. Les syndicats ont manifesté leur mécontentement relativement au projet de loi 33 du gouvernement Charest qui vise à abolir le placement syndical dans le milieu de la construction. Le Liguori est un projet de 211 unités en copropriété du Groupe immobilier Van Houtte qui se trouve boulevard Crémazie, près de Lajeunesse. Sur l'heure du midi, un autre chantier de construction a été paralysé dans la métropole. Le projet de résidence pour aînés du Groupe Maurice dans le quartier Ahuntsic, Les jardins Millen, a été déserté par les employés. Ailleurs en province Ce n'est pas que Montréal qui a été touchée par ces manifestations des syndicats de la construction vendredi. À Châteauguay, le chantier du prolongement de l'autoroute 30 a lui aussi arrêté. Il semble que tout se soit fait très rapidement, puisque jusqu'à ce midi, tout se déroulait rondement sur le terrain. Il s'agit d'une action éclatante et symbolique, puisque le prolongement de la 30 a été un enjeu électoral important. Le plus important chantier du Saguenay-Lac-Saint-Jean a lui aussi été paralysé. Le projet AP60 de Rio Tinto Alcan, à Saguenay, où travaille un millier d'employés a cessé toute activité dès 8 h le matin. Le syndicat a affirmé que cet arrêt de travail avait lieu pour protester contre le gouvernement, mais la compagnie a dit de son côté que c'est elle qui a fait cesser les opérations, car des travailleurs auraient commis des gestes « non sécuritaires ». Grande démonstration lundi? Le chargé de projet du Liguori a confié à TVA Nouvelles qu'il pourrait y avoir une grande perturbation sur les chantiers de construction de la province, lundi prochain. Il semble que certains grands chantiers, comme celui des hôpitaux du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) et du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), pourraient aussi être touchés. De son côté, la ministre du Travail, Lise Thériault, a appelé les entrepreneurs à porter plainte contre les syndicats auprès du gouvernement ou encore à la Commission de la construction du Québec (CCQ).
  8. Provigo : le siège social se vide aussi 15 novembre 2011 | 18h52 ARGENT Au siège social, ils étaient 1200 employés au tournant des années 2000, ils ne sont plus que 300 après la fermeture du département d’informatique survenue la semaine dernière. « Provigo est l’enfant délaissé de Loblaw » Olivier Bourque Argent Il n’y a pas que les entrepôts montréalais de Provigo qui se vident. Au siège social, ils étaient 1200 employés au tournant des années 2000, ils ne sont plus que 300 après la fermeture du département d’informatique survenue la semaine dernière, a appris Argent. Photo : Agence QMI En tout, environ une centaine de travailleurs évoluaient dans ce secteur. Loblaws a décidé d’impartir ce service vers IBM. Seulement une poignée de travailleurs de Provigo a pris le chemin du bureau montréalais du géant informatique. Cette information a été confirmée par plusieurs sources. «Tout a commencé en 2005. On a perdu les emplois par centaines dans tous les secteurs. Et selon moi, c’est loin d’être terminé», nous a indiqué un ex-employé qui a voulu demeurer anonyme pour éviter de se faire «stigmatiser» dans son secteur professionnel. Selon cet ex-travailleur, les derniers mois ont été particulièrement difficiles. Plusieurs employés devaient accepter d’être rétrogradés. D’autres ont passé des entrevues pour des postes, mais uniquement en anglais et menées par des patrons provenant de Loblaw à Toronto. «Nous avons eu plusieurs patrons qui étaient anglophones. Un d’entre eux était d’ailleurs unilingue anglais. C’était assez désolant», nous a-t-il confié. Questionnée sur ces pertes d’emplois au «siège social» de Provigo situé au 400, boulevard Sainte-Croix, l’entreprise a minimisé la situation. Par courriel, la porte-parole de Provigo Josée Bédard a souligné que 600 employés travaillaient toujours au siège social. Sur place, certains employés d’entreprises qui louent les locaux de Provigo ont confirmé le confinement de l’ancien géant de l’alimentation à quelques étages seulement. L’entreprise fait notamment la location d’une partie de ses installations à l’imprimeur Transcontinental. Courriels inquiétants Par ailleurs, Argent a reçu plusieurs courriels lors des derniers jours et a consulté plusieurs sources. La plupart nous ont confirmé qu’il était périlleux pour eux de s’adresser avec les médias. «Il est maintenant interdit aux employés de parler aux journalistes sous peine de congédiement. C’est rendu l’enfer», a relaté un employé. «Ils n’ont aucun respect du Québec, aucun respect du français, car parfois, on ne peut pas communiquer avec eux si on ne parle pas anglais», a affirmé un autre employé dans un autre courriel.
  9. Plus de quatre employés de Montréal sur dix vivent à l'extérieur de la métropole, a révélé Projet Montréal, jeudi. Et selon son chef Richard Bergeron, ce sont les services aux citoyens qui en souffrent. Le deuxième parti d'opposition à l'hôtel de ville a recueilli des données sur les lieux de résidence des 29 000 employés de Montréal. Résultat : près de 80% des policiers et des pompiers vivent hors de Montréal. La moitié des travailleurs des services centraux habitent en banlieue. Même chose pour 45% des cols bleus. Le recensement révèle que 12 employés vivent à St-Hyacinthe, 30 résident à St-Jérôme. Repentigny est une destination populaire: 205 travailleurs y habitent. D'autres voyagent bien davantage: des employés de Montréal viennent d'aussi loin que Saint-Paul-de-l'Île-aux-Noix, près de la frontière américaine, de Sherbrooke et même de Québec. Richard Bergeron se défend de vouloir lancer la pierre aux travailleurs. Selon lui, c'est la Ville de Montréal qui est à l'origine du phénomène parce qu'elle fournit des stationnements gratuits et des voitures de service à plusieurs travailleurs. Il estime qu'un employé municipal qui habite loin des citoyens qu'il dessert connaîtra beaucoup moins les problèmes locaux qu'un travailleur qui habite sur place. Et par conséquence, ce sont les Montréalais qui font les frais de l'exode des travailleurs. «Le résultat de cette politique de la Ville réduit, abaisse la qualité des services aux citoyens», a dénoncé Richard Bergeron lors d'une conférence de presse. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201003/18/01-4261976-40-des-employes-municipaux-vivent-en-banlieue.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS3
  10. Baisse de la population active: des économistes sonnent l'alarme Publié le 22 juillet 2009 à 15h52 | Mis à jour à 15h55 La Presse Canadienne À défaut d'une croissance de sa force de travail, le Québec s'expose à de graves conséquences préviennent des économistes de Desjardins. Si les récentes données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) et de Statistique Canada prévoient que l'augmentation des taux de natalité et d'immigration vont freiner le déclin de la population québécoise d'ici 2056, les économistes de Desjardins constatent tout de même une baisse de la population active au même moment que le vieillissement de la population s'accentue. En entrevue à La Presse Canadienne mercredi, l'économiste Hendrix Vachon a rappelé que le déclin de la population des 15 à 64 ans devrait s'amorcer dès 2014 et se poursuivre au cours de la décennie suivante. Si rien n'est fait, Desjardins prévoit une diminution de la population active au Québec de 0,1 pour cent à 0,4 pour cent de 2014 à 2021. Les entreprises québécoises devront donc modifier leur façon de faire si elles désirent maintenir leur niveau de productivité d'ici 2021. Mais relever la productivité avec la même quantité de ressources, voire moins de travailleurs, n'est pas une tâche facile. À défaut de pouvoir augmenter la force de travail, les entreprises québécoises devraient notamment investir davantage dans de meilleures technologies, plus performantes, afin de pouvoir augmenter leur productivité, indique M. Vachon. Au cours des dernières années, le Québec a enregistré une hausse moyenne de sa productivité de travail d'environ 1 pour cent par année. Selon les nouvelles prévisions de Desjardins, les gains de productivité nécessaires au maintien d'une croissance du PIB potentiel sont de 2 pour cent d'ici 2021 M. Vachon propose donc à court terme de solliciter un plus grand nombre de travailleurs à se joindre à la population active ou à demeurer sur le marché du travail plus longtemps. Sinon, prévient-il, les problèmes et les défis à relever d'ici les 15 prochaines années vont demeurés entiers.
  11. Le secteur de la construction sort indemne de la crise économique Le Devoir Éric Desrosiers Édition du vendredi 10 juillet 2009 Mots clés : Crise économique, Construction, Économie, Québec (province) 2009 sera la deuxième meilleure année en 32 ans - Les investissements publics prennent la relève du secteur privé Les 140 000 travailleurs de la construction partiront en vacances à la fin de la semaine prochaine. Photo: Jacques Nadeau Les travailleurs de la construction du Québec pourront partir la semaine prochaine en vacances l'esprit en paix. Les programmes d'infrastructures continueront de les garder bien occupés en dépit des effets de la crise sur la construction industrielle et résidentielle. L'industrie de la construction du Québec connaît malgré tout une autre belle année grâce aux investissements en infrastructure du gouvernement. À voir les chiffres des quatre premiers mois de l'année, on ne se croirait pas en pleine crise économique mondiale, a constaté hier la Commission de la construction du Québec (CCQ). Tout indique, en effet, que ses ambitieuses prévisions du mois de décembre de 132 millions d'heures travaillées en 2009 seront atteintes. «L'année dernière fut une année exceptionnelle, et 2009 sera la deuxième meilleure année en 32 ans. Il est difficile de demander mieux», s'est réjoui hier dans un communiqué le président-directeur général de l'organisme, André Ménard. Le maintien d'un tel niveau d'activité dans le domaine de la construction est largement attribuable aux nombreux investissements publics, s'est félicité dans le même communiqué le ministre du Travail, David Whissell. «Le Plan québécois des infrastructures atteint sa vitesse de croisière au bon moment.» L'impact de ces programmes d'infrastructure s'observe notamment en matière de travaux de voirie et de génie, où l'on a rapporté de janvier à avril une augmentation du volume d'activité de 19 % par rapport à l'an dernier. Il s'observe aussi par le fait que les deux tiers de la construction non résidentielle sont actuellement redevables au Québec aux investissements publics. Cet impact positif se fait sentir dans la plupart des régions du Québec. Il profite toutefois particulièrement à celles où se sont mis en branle de grands chantiers liés à l'énergie électrique, comme la Baie-James, qui connaît une hausse d'activité de 21 % cette année, et le Bas-Saint-Laurent-Gaspésie (+ 18 %). La situation se révèle moins brillante dans le secteur du bâtiment industriel, où se concentrent les pertes dans le secteur et où de nombreux grands projets ont été reportés à plus tard par leurs promoteurs privés. On dit cependant avoir bon espoir que ces projets redémarrent aussitôt la reprise économique amorcée, notamment dans les secteurs des mines, des raffineries et des alumineries. Stabilisation du secteur résidentiel Le vaste domaine de la construction résidentielle est aussi touché par la crise, a poursuivi la CCQ, un organisme paritaire chargé d'administrer les conventions collectives de la construction au Québec. Mais le déclin resterait, pour le moment, relativement modeste, avec un recul de seulement 6 % en quatre mois. La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) est venue hier apporter un éclairage différent en dévoilant ses statistiques pour le mois dernier. Elle rapporte ainsi une baisse du nombre de mises en chantier au Québec de 34 800 en mai, en rythme désaisonnalisé annualisé, à 32 600 en juin. Cela porte le recul en un an à 19 %. Cette baisse des derniers mois a toutefois été nettement moins prononcée au Québec que dans l'ensemble du Canada, où la chute depuis le mois de juin 2008 a été de 34 %, observe la SCHL. Selon les plus récentes prévisions de l'agence fédérale, les prochains mois devraient être marqués par une stabilisation du marché et une lente remontée. Cette remontée est déjà entreprise depuis deux mois à la grandeur du pays, mais devrait aussi s'observer au Québec en 2009 et en 2010. Cette tendance devrait se poursuivre ensuite dans la plupart des autres provinces, à l'exception du Québec, où un nouveau léger ralentissement devrait se faire sentir de 2011 à 2013. C'est le temps des vacances Mais tout cela est bien loin. Pour le moment, le monde de la construction québécois se porte beaucoup mieux qu'on n'aurait jamais pu l'espérer, disait hier la Commission de la construction du Québec. Plus de 13 500 nouveaux travailleurs ont rejoint ses rangs l'an dernier et plus de 10 000 devraient pouvoir en faire autant cette année. «Les carrières de la construction offriront de belles perspectives d'emploi, notamment pour les travailleurs qualifiés mis à pied dans les secteurs manufacturier ou primaire», a déclaré André Ménard. Les 140 000 travailleurs de la construction pourront surtout partir l'esprit tranquille pour leurs vacances, qui commenceront le dimanche 19 juillet et devront malheureusement se terminer deux petites semaines plus tard, le 1er août. http://www.ledevoir.com/2009/07/10/258499.html
  12. 700 000 emplois disponibles d’ici 3 ans Agence QMI Julie Charette 08/06/2009 12h08 En vue de combler les 700 000 emplois qui seront disponibles au Québec d’ici 2011, le gouvernement de Jean Charest compte sur les travailleurs spécialisés étrangers. Devant une centaine de gens d’affaires réunis ce matin lors de la première journée des travaux du 5e Forum économique international des Amériques, la ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles, Yolande James, a soutenu que l’immigration était une partie de la réponse aux besoins en main-d’œuvre du Québec. «La diminution de la population active pourrait entraîner un ralentissement de l’activité économique», affirme Mme James en rappelant qu’en 2050 un Québécois sur trois aura 65 ans et plus. L’immigration: «une valeur ajoutée pour le Québec» Confronté au vieillissement de sa population, le Québec doit donc développer des «mesures audacieuses» pour recruter et retenir les travailleurs immigrants. «À l’heure actuelle, plusieurs pays se font concurrence pour attirer les travailleurs», signale la ministre James. Afin de tirer son épingle du jeu, le Québec a mis en place diverses mesures: priorisation du traitement des demandes des travailleurs qualifiés et accélération de leur arrivée au Québec, accompagnement spécialisé, renforcement de la francisation et signature d’une trentaine d’ententes avec des ordres professionnels pour faciliter l’accès des immigrants aux professions réglementées. Le gouvernement Charest souhaite attirer près 50 000 immigrants annuellement. Pour ce faire, il devra accueillir plus de 9000 immigrants supplémentaires au Québec au cours des prochaines années.
  13. Le chômage au Canada à un sommet en 11 ans Publié le 05 juin 2009 à 07h22 | Mis à jour à 11h29 L'Ontario a été la province canadienne la plus durement touchée par la récession pendant le mois de mai, perdant quelque 60 000 ouvriers, la grande majorité étant des travailleurs à temps plein du secteur manufacturier. Ces imposantes pertes à l'intérieur de la province la plus populeuse au pays ont généré un taux de chômage, à l'échelle canadienne, de 8,4%, comparativement à 8,0% en avril. Il s'agit du taux de chômage le plus élevé au Canada en 11 ans. En Ontario, le taux de chômage s'est élevé de 0,7% par rapport à avril 2009 et a atteint 9,4%, soit son niveau le plus élevé en 15 ans. L'emploi est resté inchangé au Québec en mai. Une augmentation du nombre de personnes sur le marché du travail dans la province a cependant fait monter le taux de chômage, qui s'est fixé à 8,7%. Au Nouveau-Brunswick, le taux de chômage a baissé d'un dixième, passant à 8,8%. On a aussi enregistré des hausses de l'emploi au Manitoba, en Nouvelle-Ecosse et en Saskatchewan. Dans l'ensemble du pays, 41 800 travailleurs ont joint les rangs des sans-emploi le mois dernier, haussant le total à 363 000 Canadiens ayant perdu leur boulot depuis le début de la récession, en octobre. Les chiffres seraient encore plus sombres n'eut été de 17 000 embauches à temps partiel. Depuis octobre, il s'est perdu 406 000 emplois à l'échelle nationale, tandis que le nombre de postes à temps partiel a augmenté de 44 000, ce qui tend à démontrer que de nombreux patrons préfèrent réduire le nombre d'heures de leurs employés, plutôt que de les limoger. La récession a également eu des répercussions sur les revenus des travailleurs. Le tarif horaire moyen a connu une hausse de 3,4% en mai par rapport au même mois l'an dernier, la plus petite augmentation en deux ans. Mais alors que les statistiques de mai démontrent que toutes les régions du Canada ont été affectées par la situation économique, aucune n'a été plus durement touchée que l'Ontario, où se sont volatilisés 234 000 emplois depuis octobre 2008. «Bien que l'Ontario réunit 39% de la population en âge de travailler, cette province a enregistré 64% du repli global de l'emploi depuis le début du mouvement du déclin du marché du travail», note Statistiques Canada dans son rapport mensuel. La plupart de ces pertes sont survenues dans le secteur manufacturier, durement affecté par la crise dans l'industrie automobile et par la réduction de la demande en provenance des États-Unis. L'emploi dans le secteur de la fabrication a poursuivi son mouvement en déclin, en baisse de 58 000 en mai, principalement en Ontario. Ce recul a porté à 186 000 les baisses observées depuis octobre. La diminution la plus marquée a été observée dans l'industrie du matériel de transport. En mai, l'emploi a également fléchi dans le secteur du transport et de l'entreposage, de même qu'au chapitre des travailleurs indépendants, effaçant ainsi la progression inscrite en avril. Statistique Canada a cependant noté une hausse des employés du secteur public, de l'ordre de 27 000 employés, surtout en raison de la croissance de l'effectif des administrations publiques. Les emplois d'été commencent en mai pour de nombreux étudiants âgés de 20 à 24 ans. Or, l'activité de ce groupe sur le marché du travail a considérablement fléchi. Le taux de chômage s'est élevé à 18,3% pour ce groupe d'étudiants, comparativement à 15,4% en mai 2008. Voici le taux pour les provinces canadiennes. Le chiffre du mois précédent figure entre parenthèses: - Terre-Neuve et Labrador 15,1 (14,7) - Ile-du-Prince-Edouard 13,1 (12,4) - Nouvelle-Ecosse 8,9 (9,2) - Nouveau-Brunswick 8,8 (8,9) - Québec 8,7 (8,4) - Ontario 9,4 (8,7) - Manitoba 4,9 (4,6) - Saskatchewan 4,9 (5,0) - Alberta 6,6 (6,0) - Colombie-Britannique 7,6 (7,4) Et pour les grandes villes Québécoises : -Saguenay 9,4 (8,9) -Québec 4,4 (4,4) -Trois-Rivières 8,8 (8,9) -Sherbrooke 8,8 (7,6) -Montréal 9,4 (8,9)
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