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  1. mardi 6 octobre 2009 à 11H00 Des cols bleus pris en flagrant délit Une dizaine de cols bleus ont été pris par la Ville de Montréal, alors qu'ils se cachaient afin d'éviter de faire leur travail, a appris le Journal de Montréal. Publié par : Caroline St-Pierre Au cours des derniers mois, la Ville de Montréal a mené des enquêtes qui lui ont indiqué que certains cols bleus se cachaient de façon systématique pendant les heures de travail défrayées par les contribuables. Alors qu'un employé agissait même comme agent immobilier pendant ses heures de travail, d'autres quittaient leur poste en plein milieu de la journée de travail. Le syndicat des cols bleus de Montréal est sans contrat de travail depuis deux ans. Il exige notamment l'embauche de 600 employés permanents. «Avant d'ajouter 600 employés cols bleus, on veut s'assurer à tout le moins que ceux qui sont là travaillent. On a des gens actuellement qui, au lieu d'être au travail, se cachent», a affirmé Jean-Yves Hinse, directeur des relations professionnelles au Service du capital humain de la Ville, en entrevue au Journal de Montréal. La Ville rencontrera aujourd'hui les employés qui ont été surpris en train de se cacher. Les cols bleus en campagne Hier, à moins d'un mois des élections municipales, le syndicat des cols bleus a lancé une campagne lors de laquelle il distribuera un million de dépliants qui dénoncent la désorganisation qui règne au sein de la Ville. Quelque 2000 affiches géantes seront également installées au centre-ville de Montréal. La campagne, dont le slogan est «Nos vrais patrons, c'est vous», abordera en outre la question de la sous-traitance et des compteurs d'eau. (sources: Canoë, Radio-Canada, La Presse, SCPF)
  2. Le mode de paiement de la STM contesté Mise à jour le mercredi 7 août 2013 à 16 h 34 HAE La jeune femme de 24 ans qui a reçu une contravention salée après avoir tenté de payer son passage à bord d'un autobus de la Société de transports de Montréal (STM) avec un billet de 5 $ a engagé un avocat pour se défendre. Les usagers des autobus publics à Montréal sont souvent confrontés à ce problème : impossible de monter à bord si on ne dispose pas de la somme exacte en pièces de monnaie. La semaine dernière, n'ayant pas la monnaie exacte, Pauline Tantost n'avait pas été en mesure de payer son passage puisque les boîtes de perception installées dans les autobus ne peuvent recevoir les billets en papier. Elle est donc montée sans payer, puisque le chauffeur n'a pas voulu accepter son billet même si la jeune femme n'exigeait pas qu'on lui rende sa monnaie. Des inspecteurs de la STM l'ont ensuite expulsée de l'autobus avec son bébé de deux ans et lui ont remis une contravention de 219 $. Son avocat, Kenneth Zigby, compte invoquer la Loi sur la monnaie pour faire annuler la contravention, qui a été suspendue par la STM le temps de faire enquête dans ce dossier. « Nous avons de la technologie qui va de l'avant, et qui prévoit toutes sortes de façons de paiement. Mais on semble oublier que la façon principale de payer, c'est en argent comptant. » — Me Kenneth Zigby « La Loi sur la monnaie prévoit qu'on peut faire des paiements libératoires, soit en pièces de monnaie, ou en billets », affirme Me Zigby. Revoir la façon de faire Par voie de communiqué, le syndicat des chauffeurs d'autobus de la STM a indiqué que l'intervention des inspecteurs dans le cas de Mme Tantost était « fortuite et qu'elle n'a jamais été demandée par le chauffeur ». Ce dernier s'est d'ailleurs dit « désolé de cette situation et espère ne plus y être confronté à l'avenir ». « Nous croyons aussi que cet incident aurait pu être évité si l'employeur accordait une marge de manoeuvre suffisante à tous ses groupes d'employés pour leur permettre une application moins mécanique des règles et consignes enseignées », a déclaré le président du syndicat, Renato Carlone. « Ça peut créer des problèmes de tensions avec la clientèle. On en est bien conscient et ce n'est pas ce que l'on souhaite. Nous, ce que l'on veut, c'est faire notre travail et conduire les gens du point A au point B. » — Stéphane Lachance, porte-parole du syndicat des chauffeurs d'autobus Le porte-parole du syndicat estime d'ailleurs qu'il est grand temps de revoir la façon de percevoir les paiements des usagers et demande à la STM de s'inspirer des systèmes européens, où les chauffeurs n'ont pas à se préoccuper de la question. « Il y a des pays en Europe, et même à Vancouver - le Sky Train en est un exemple - où c'est le paiement sur honneur [qui prime]. Il y a des installations à bord des véhicules et les gens se doivent de valider leur titre de transport. [Le chauffeur] n'a pas de perception à faire », a indiqué Stéphane Lachance. Chez Transport 2000, un organisme qui fait la promotion du transport en commun, on abonde dans le même sens. Si à Paris, Boston, Milan ou Vancouver, les gens peuvent acheter des billets de transports dans des machines qui sont faciles d'accès, pourquoi pas ici? « Ça ne devrait pas relever de la responsabilité du chauffeur d'autobus, qui n'est pas un caissier ou un placier à l'entrée d'un bar », conclut le directeur général de Transport 2000, Normand Parisien. ------------------------------------- :thumbsdown::thumbsdown: http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2013/08/07/006-stm-paiement-avocat-contravention-defense-pauline-tantost.shtml
  3. Serment d'allégeance au syndicat obligatoire pour des étudiants embauchés à La Ronde Le Syndicat des cols bleus regroupés de Montréal vient de semer la colère parmi des parents d'étudiants qui ont obtenu des emplois à La Ronde cet été. Ils sont outrés et scandalisés parce que leurs enfants doivent notamment prêter serment d'allégeance au syndicat. C'est le chroniqueur Éric Duhaime, qui a révélé cette histoire. Des parents ont récemment communiqué avec ce dernier pour dénoncer le fait qu'on avait remis le serment d'allégeance aux jeunes travailleurs de La Ronde en formation le week-end dernier. On peut y lire : «Je promets solennellement et déclare que j'appuierai et obéirai aux statuts et règlements du syndicat et à ceux du Syndicat canadien de la fonction publique et que, tant que je le pourrai, j'aiderai mes camarades membres et leur famille quand ils (elles) seront dans la détresse, que jamais sciemment ou de propos délibéré je ne causerai de tort à un membre du syndicat ou aiderai à d'autres à lui en causer; que je ne recommanderai jamais, pour devenir membre du Syndicat, une personne que je croirais indigne de le devenir. Je reconnais comme membre du Syndicat, que si je ne me conforme pas, sciemment ou de propos délibéré à cette promesse solennelle, je suis exposé aux sanctions prévues à l'article 22 des statuts et règlements de notre section locale.» En voyant ça, des parents ont jugé anormal que des jeunes de 16 ans soit obligé de porter allégeance à un syndicat. En entrevue à l'émission de Mario Dumont, Éric Duhaime a raconté les discussions qu'il a eues avec les parents des jeunes travailleurs de La Ronde. «Après la formation, les jeunes reviennent à la maison et là, les parents constatent qu'on leur a remis le livre du syndicaliste Jean Lapierre qui a défoncé les portes de l'hôtel de ville à coup de bélier il y a quelques années, a-t-il confié. On leur a aussi remis le serment d'allégeance, une déclaration solennelle où les jeunes doivent mettre la main dans les airs et porter serment d'allégeance au syndicat.» «C'est comme si c'était une religion, on aurait vu des curés faire ça à une époque et on se serait scandalisé, a-t-il ajouté. Aujourd'hui, ce sont des leaders syndicaux qui font ça. On est tellement intoxiqué au syndicalisme qu'on trouve que c'est normal. Or, ce n'est pas normal dans une société démocratique que des jeunes soient obligés de poser un tel geste. Un syndicat, c'est supposé être au service des membres et des travailleurs. Ce n'est pas les travailleurs qui sont supposés être au service du syndicat.» Le président du syndicat des cols bleus regroupés de Montréal, Michel Parent, a été invité à réagir à l'émission de Mario Dumont. «Ce serment, ce n'est rien de nouveau, a-t-il dit. Le syndicat existe depuis 70 ans cette année. Ça fait partie des statuts et règlements. C’est pas pire que de faire un serment comme député à la Reine. À La Ronde, la formation à suivre pour les nouveaux employés est négociée dans la convention collective et l'objectif derrière cette formation, c'est d'expliquer quels sont les droits des travailleurs et travailleuses qui pour la plupart sont des jeunes qui commencent sur le marché du travail.» http://www.journaldemontreal.com/2013/06/11/serment-dallegeance-au-syndicat
  4. HBC sort le couperet à Lachine 12 novembre 2009 | 14h55 Mise à jour: 12 novembre 2009 | 18h17 Mathieu Lavallée et Olivier Bourque Argent Le détaillant HBC, maison mère des magasins La Baie et Zellers, décide de fermer boutique à Lachine. Argent a appris que l’entreprise va fermer son centre de distribution du Sud-Ouest de l’île de Montréal le 5 février prochain. L’entreprise élimine du même coup au moins 150 emplois de manutentionnaires et employés de bureau. Le syndicat a confirmé cette information à Argent en après-midi. Ce centre de Lachine est celui qui assure la distribution des articles vendus aux magasins La Baie, Zellers et Déco Découverte du Québec et des Maritimes. C’est maintenant de Toronto que seront acheminés les produits. Le syndicat va se rendre à Toronto d’ici peu de temps afin «de sauver les emplois du Québec». «Nous ne demandons pas d'indemnités à l'heure actuelle à la direction, mais bien de garder le centre de Lachine ouvert», a souligné Stéphane Lacroix, porte-parole de Teamster Canada. Selon lui, l'annonce de la direction aux employés a été une surprise totale. «Les employés sont sous le choc car il n'y a pas eu de signes avant-coureurs. Juste avant Noël, inutile de vous dire qu'il s'agit d'une très mauvaise nouvelle», déplore M. Lacroix. Le syndicat et la direction allaient même amorcer la négociation du contrat de travail des employés qui tombe à échéance en 2010. Le syndicat rappelle qu'à la même époque l'an dernier, HBC avait éliminé des postes de téléphonistes - environ une trentaine. HBC veut rationnaliser ses activités Dans une communication écrite, HBC souligne que cette décision «permet à la compagnie de consolider et de rationaliser ses activités». L'entreprise souligne qu'elle va aider à la transition des employés en vue d'explorer les diverses options possibles «notamment les indemnités de cessation d'emploi et l'aide à la recherche d'emploi». La Compagnie de la Baie d'Hudson affirme qu'elle continue toutefois d'exploiter un entrepôt/centre de distribution à Pointe-Claire. Avec la disparition du centre de Montréal, HBC a maintenant seulement deux grandes centres de distribution, un à Toronto et l'autre à Vancouver.
  5. Petro-Canada n'investira pas 1,3 milliard à Montréal Publié le 09 septembre 2009 à 11h35 | Mis à jour à 11h38 Hélène Baril La Presse (Montréal) Maintes fois reporté, le projet d'expansion de 1,3 milliard de Petro-Canada à sa raffinerie de Montréal est maintenant abandonné par son nouveau propriétaire Suncor. La décision de l'entreprise a été communiquée aux employés, qui ne sont pas du tout surpris. «On savait que ça s'en venait», a commenté hier le président du syndicat qui représente les 300 employés de la raffinerie, Jacques Vanier. Petro-Canada voulait ajouter à sa raffinerie une installation pour traiter le pétrole épais tiré des sables bitumineux de l'Ouest. Un conflit de travail d'une durée de 13 mois et la fusion de Petro-Canada avec Suncor avaient fait en sorte de retarder le projet. La chute du prix du pétrole et la crise du crédit ont aussi obligé les entreprises à revoir leurs projets d'investissements. L'abandon du projet de Petro-Canada et l'intention de Shell de fermer ou de vendre sa raffinerie de Montréal sont de mauvaises nouvelles pour Montréal, qui voit son industrie pétrochimique disparaître petit à petit. Selon le président du syndicat des employés de Petro-Canada, il ne faudrait toutefois pas croire que le projet est mort et enterré. Petro-Canada a déjà investit beaucoup d'argent dans le projet, qui pourrait être relancé lorsque la conjoncture changera.
  6. La Banque Nationale, super banquier des Molson 14 août 2009 | 12h19 ARGENT On savait déjà que la propriété du Canadien était principalement québécoise. Mais les banquiers principaux le seront aussi. Argent a appris que la Banque Nationale (NA) et Desjardins seront les deux principaux financiers derrière la transaction de l’année. Selon des sources dignes de foi, la Financière Banque Nationale pilotera le syndicat bancaire alors que Desjardins sera parmi les principaux prêteurs du groupe. Aucune des deux institutions n’a voulu confirmer ou infirmer cette information. Selon des sources sûres, la Caisse centrale Desjardins prêtera 50 et 75 M$ aux Molson. On ignore quel sera l’ampleur du prêt de la Nationale. Les acheteurs du Canadien sont à la recherche d’un financement de 265 M$, selon toutes vraisemblances. Il s’agit de tout un revirement de situation par rapport à la situation précédente chez le Canadien. Quand l’homme d’affaires américain Georges Gillett avait mis la main sur le Canadien, une institution financière américaine, CIT, menait le syndicat bancaire, et les membres du syndicat étaient principalement des sociétés américaines. Le syndicat bancaire de la Nationale comptera des prêteurs américains. Comme l’a révélé Argent, la semaine dernière, GE Capital sera l’un des prêteurs des nouveaux propriétaires du Canadien qui est bien connue dans son secteur, notamment pour le financement qu'elle offre aux entreprises. Le groupe américain John Hancock, l’un des prêteurs originaux de Georges Gillett, a déjà indiqué aux Molson qu’il souhaitait rester l’un des créanciers des nouveaux acheteurs. La Banque Royale serait également dans le portrait, mais l'institution n'avait pas commenté cette information au moment de publier. Le financement de la très médiatisée acquisition a connu plusieurs rebondissements depuis l’annonce de la vente du club de hockey à la famille Molson, en juin dernier. Argent a appris que BMO souhaitait devenir le leader du syndicat bancaire, mais elle n’a jamais réussi à rallier des prêteurs. L’initiative de BMO a soulevé d’ailleurs la controverse dans les milieux financiers parce que son principal lieutenant québécois, Jacques Ménard, a été celui qui a conseillé Georges Gillett dans la vente du Canadien et de Gillett Entertainment. Le 22 juin, BMO a alors joint l’américaine CIT, qui avait financé la transaction de Georges Gillett au moment de l’acquisition du Canadien en 2001. CIT devait investir 50 M$ dans le syndicat bancaire et BMO et Desjardins devaient en faire de même. Le solde des créances devait provenir du gouvernement par l’entremise d’Investissement Québec. Toutefois, CIT était jusqu’à tout récemment au seuil de la faillite, et cette situation a contraint les Molson à regarder ailleurs. Investissement Québec et les Molson sont toujours en discussion comme cela a été confirmé la semaine passée.
  7. Médias: Fini La Presse du dimanche (Source: Radio-Canada) La direction du journal annonce qu'elle met fin à son édition dominicale dans le cadre d'une réorganisation pour lui faire économiser 26 millions de dollars par année. 2009-06-15 17:52:39 La Presse met fin à son édition du dimanche. C'est ce qu'a annoncé lundi Guy Crevier, président et éditeur de La Presse et président de Gesca, propriétaire du journal, après une rencontre avec les employés. La dernière parution dominicale de La Presse aura lieu le 28 juin. La direction a indiqué que cette décision faisait partie d'un plan de réduction de la structure de coûts de La Presse. L'entreprise a annoncé qu'elle voulait réduire ses coûts de main-d'oeuvre de 13 millions de dollars supplémentaires par année, pour économiser un total de 26 millions annuellement. La direction de La Presse justifie cette décision en affirmant que, malgré la bonne tenue du nombre de lecteurs, le journal est touché par la crise financière et les contributions aux régimes de retraite de l'entreprise. Outre la fin de l'édition du dimanche de La Presse, on ne se sait pas pour l'instant où se feront les autres compressions. Les directions syndicale et patronale doivent se rencontrer d'ici septembre pour établir la suite des choses. « Aucune hypothèse n'est soulevée. On va s'asseoir avec le syndicat et on va regarder quelles sont les hypothèses possibles pour trouver 13 millions », dit Guy Crevier. Les dirigeants syndicaux se disent déçus de l'annonce, mais affirment vouloir d'abord étudier les chiffres et se pencher sur différents scénarios avant de décider de l'attitude à adopter. « M. Crevier a brossé un portrait qui est sombre, qui est difficile. Là, on veut faire des analyses, on veut vérifier tout ça et, vérification faite, s'il le faut, on va collaborer, on va mettre l'épaule à la roue », affirme Hélène de Guise, présidente du syndicat des travailleurs de l'information de La Presse. Pour leur part, les employés affirment qu'ils s'attendaient à une telle nouvelle. « Je ne suis pas déprimé. C'est des nouvelles auxquelles ont s'attendaient. On va se retrousser les manches », dit Vincent Marissal, chroniqueur politique à La Presse. Radio-Canada.ca avec Presse canadienne
  8. Le New York Times va-t-il fermer le Boston Globe ? Publié le 04 mai 2009 à 12h36 | Mis à jour à 12h43 Agence France-Presse Le groupe de presse américain New York Times (NYT) va notifier aux autorités fédérales son plan de fermer le quotidien Boston Globe, devant le refus des syndicats du journal d'accepter un plan d'économies, selon le Washington Post de lundi. Le New York Times a menacé de fermer le quotidien historique de la ville de Boston, qui risque de perdre 85 millions de dollars cette année, si les syndicats du Boston Globe n'acceptent pas des baisses de salaires et autres mesures d'économies d'un total de 20 millions de dollars. Le dépôt officiel de ce préavis légal de 60 jours avant fermeture renforce la possibilité que le Globe disparaisse dans les semaines à venir. En 1993, le groupe New York Times avait racheté le Boston Globe, créé il y a 137 ans, pour 1,1 milliard de dollars. Mais il pourrait s'agir d'une tactique pour forcer les syndicats à accepter des concessions, puisque cette notification n'oblige pas le New York Times à mettre à exécution son projet de fermeture au bout des 60 jours, fait valoir le Washington Post. Le Boston Globe rapporte lundi que les négociations ont été interrompues, après que le plus important syndicat du quotidien, le Boston Newspaper Guild, qui représente quelque 600 travailleurs, et la direction du groupe de presse ont échoué dans leurs négociations marathon. La direction du New York Times a rejeté la dernière proposition du syndicat, qui proposait une réduction de coûts de quelque 10 millions de dollars, indique le quotidien. Selon le Boston Newspaper Guild, cette proposition comportait notamment des réductions salariales de 3,5% pour la plupart des employés, des congés sans solde, une augmentation de l'âge requis pour pouvoir bénéficier d'une retraite anticipée et une diminution des contributions aux retraites. «Ils ont rejeté notre proposition», a affirmé le président du syndicat, Daniel Totten au Globe. «Il s'agit des mêmes tactiques d'intimidation et de pression», a-t-il ajouté, précisant que les négociateurs étaient épuisés et allaient effectuer une pause. «Les négociations sont terminées pour aujourd'hui (...) nous allons nous réunir à nouveau sous peu», a-t-il indiqué. D'autres syndicats, plus petits, ont conclu au cours de la nuit passée un accord provisoire avec la direction, précise par ailleurs le quotidien de Boston.
  9. Les négociations commencent lundi entre Chrysler et le syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile. Chrysler a jusqu'au 31 mars pour conclure une entente afin d'être admissible au soutien financier des deux paliers de gouvernement. Pour en lire plus...
  10. Engagé dans d'âpres négociations avec Chrysler sur une réduction des coûts de main-d'oeuvre, le syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile reste de glace devant des menaces de fermeture. Pour en lire plus...
  11. Scandale à la FTQ SRC Comment le dirigeant du plus gros syndicat de l’industrie de la construction, la FTQ-Construction, a-t-il pu mener un train de vie princier payé par les cotisations des travailleurs? C’est la question qui se pose après qu’Enquête a mis la main sur les comptes de dépense de celui qui a été directeur général de ce syndicat pendant 11 ans. D'après ces comptes, le coût d’un simple repas au restaurant a pu monter jusqu’à 3000 dollars. Plus troublant encore, les journalistes de l'émission ont appris que le dirigeant en question entretient des relations d’affaires avec un homme au lourd passé criminel, Raynald Desjardins, longtemps associé au clan Rizzuto. La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec réclamera les sommes perçues en trop par l'ancien directeur général de la FTQ-Construction, Jocelyn Dupuis. Devant des délégués syndicaux réunis à Québec, le président de la FTQ, Michel Arsenault, a déclaré que l'administration du syndicat est basée sur la confiance, et que cette confiance a été brisée par les abus de Jocelyn Dupuis. « Ceux qui sont en maudit ont raison d'être en maudit », a lancé le chef syndical. Michel Arsenault affirme qu'il va revoir le mode de gouvernance et d'administration de la FTQ-Construction à la suite de cette affaire, qu'il qualifie de « dérapage inadmissible ». M. Arsenault a toutefois refusé de commenter les liens qu'entretient Jocelyn Dupuis avec Raynald Desjardins, un homme au lourd passé criminel qui a longtemps été associé au clan Rizzuto. Il dit n'être qu'un chef syndical et non un chef de police, et que ces questions doivent être posées à la Sûreté du Québec. M. Depuis a démissionné en septembre dernier à la demande expresse de M. Arsenault, qui l'a confronté au sujet de ses dépenses exagérées et de l'enquête dont il faisait l'objet de la part de la SQ. Lors d'un point de presse tenu un peu plus tard en journée, le président de la FTQ-Construction Yves Mercure et son directeur général Richard Goyette ont insisté à plusieurs reprises pour souligner que Jocelyn Dupuis a constitué un cas isolé qui appartient désormais au passé. M. Goyette affirme que dès l'élection de la nouvelle équipe à la tête de la FTQ-Construction, le 12 novembre dernier, tout ce qui concerne les allocations, les salaires et les frais de déplacement a été revu et corrigé afin d'éviter de futurs abus. Preuve supplémentaire de la volonté du syndicat de faire le ménage avec célérité, il ajoute que le congrès à la direction, qui devait se tenir en février 2009, avait été devancé justement pour battre le fer pendant qu'il était chaud. M. Goyette ajoute aussi que c'est de son propre chef qu'il a offert au président de la FTQ, dans une lettre du 18 novembre, de lui montrer les livres comptables du syndicat. Il réfute donc qu'il existe une forme quelconque de tutelle exercée par la FTQ sur la FTQ-Construction. Le président de la FTQ, Michel Arsenault, a néanmoins fait entendre plus tôt, devant les délégués à Québec, qu'il aurait « à l'oeil » l'administration de la FTQ-Construction. Chaque facture devra être justifiée et un système de vérifications trimestrielles sera instauré au sein de son exécutif. Commentant l'attention médiatique autour de cette affaire, il a tenu à souligner que le quart des entreprises vivent des problèmes de ce type et les règlent à l'interne, sans que les médias n'en fassent mention. De son côté, Yves Mercure a tenu à rassurer les membres du syndicat sur le fait que la direction prenait ces événements au sérieux. « C'est pour ça qu'on veut rassurer nos membres, leur dire qu'il y a eu du ménage fait à la FTQ-Construction. On va tout faire pour récupérer les sommes qui appartiennent aux travailleurs et on n'a pas l'intention de protéger personne dans ça. » Les deux hommes ont préféré ne pas commenter davantage la question des éventuelles sommes à récupérer, rappelant qu'une enquête policière est en cours. On promet sinon d'agir en fonction des preuves qui seront amassées. Le nouveau président Yves Mercure a par ailleurs exprimé quelques regrets pour n'avoir pas insisté davantage auprès de M. Dupuis, par le passé, pour qu'il justifie la hausse généralisée des frais de représentation des permanents qu'il avait constatée comme membre de l'exécutif. « Je suis déçu de ne pas avoir été plus loin dans ma recherche à ce moment-là, a-t-il ajouté. Sauf que, par confiance [...], on se disait: ''si le président nous dit ça, c'est correct''. » Un train de vie luxueux Selon 34 rapports de dépenses et 109 factures que Radio-Canada a obtenus, Jocelyn Dupuis a réclamé 125 000 $ en frais de restaurant sur une période de six mois, soit une moyenne de 4753 $ par semaine. Certaines factures font état de soirées bien arrosées, comme une réclamation à La Mise au Jeu du Centre Bell pour 1078 $, dont 630 $ seulement en alcool. Au restaurant Cavalli, la FTQ-Construction a dépensé 24 294 $ en deux mois. Certaines factures sont détaillées, mais la plupart des documents sont des reçus remplis à la main, provenant souvent des mêmes restaurants. Une experte judiciaire en écriture et documents, Yolande Gervais, avait conclu que des reçus du Resto-Pub Ste-Thérèse pour des repas dont le coût variait de 200 $ à 2000 $ avaient en fait été signés par M. Dupuis lui-même, qui utilisait le nom Claudette. La FTQ-Construction est un syndicat de 70 000 membres. Jocelyn Dupuis en a assumé la direction pendant 11 ans avant de quitter ses fonctions en novembre dernier.
  12. Le syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile conclut une entente de principe avec General Motors sur un plan de restructuration pour sauver l'entreprise. Les détails seront connus dimanche Pour en lire plus...
  13. Komatsu va fermer son usine de Candiac Publié le 05 mars 2009 à 18h52 | Mis à jour le 05 mars 2009 à 18h56 La Presse Canadienne Candiac Le constructeur japonais de machinerie lourde Komatsu America a indiqué jeudi son intention de fermer son usine de Candiac à la fin de septembre, supprimant ainsi 245 emplois. L'entreprise a dit vouloir regrouper sa production dans une usine établie aux États-Unis. «La récession à laquelle nous faisons face force Komatsu à prendre ces mesures afin de demeurer une entreprise viable en Amérique du Nord», a déclaré par voie de communiqué le directeur de l'usine, Normand Poitras. De son côté, le Syndicat des Métallos affirme avoir offert l'intervention du Fonds de solidarité FTQ. «Rien à faire, a déclaré par voie de communiqué Richard Boudreault, permanent du Syndicat des Métallos. Le bureau chef à Tokyo a décidé de consolider ses opérations aux États-Unis. Il n'est pas question d'envisager quelque relance que ce soit. Le Québec est encore sacrifié et ce sont plus de 200 bons emplois syndiqués qui disparaissent.» L'usine de Candiac est le seul site de production canadien de Komatsu. L'entreprise a indiqué que les commandes déjà reçues y seront complétées d'ici la fin juin, et que l'usine fermera définitivement à la fin septembre.
  14. La rencontre entre le syndicat et la direction de Maxi devant le conciliateur a mené à une entente, tôt mardi matin. Pour en lire plus...
  15. Le rejet par General Motors Canada d'une aide gouvernementale d'urgence inquiète le syndicat des travailleurs de l'automobile qui craint pour l'avenir de GM au pays. Pour en lire plus...
  16. Les Travailleurs canadiens de l'automobile entreprendront la semaine prochaine des pourparlers avec les trois grands constructeurs américains dans le cadre de la restructuration de leurs activités. Pour en lire plus...
  17. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/200901/25/01-820797-des-contraventions-pour-les-insultes.php «Cochon», «poulet», «mangeux d'beignes»... Les Montréalais pourraient devoir y penser à deux fois avant d'insulter un policier. La Ville étudie la possibilité de sanctionner les injures adressées à ses agents de la paix. Comme il l'a annoncé à la mi-janvier, le conseil municipal doit aussi entériner demain soir une décision pour interdire le port d'un masque pendant les manifestations. De plus, La Presse a appris que la police de Montréal caresse l'idée de remettre des contraventions aux citoyens qui les insultent. Le contentieux de la Ville vérifie actuellement si ce règlement, en vigueur dans d'autres villes du Québec, serait applicable dans la métropole. «Le comité exécutif et nos avocats ont eu une première rencontre à ce sujet en novembre et doivent se rencontrer de nouveau en mars pour faire le point», a indiqué l'inspecteur-chef Paul Chablo, chef de la division des communications au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Au terme de l'analyse juridique, l'administration municipale décidera si elle souhaite modifier le Règlement sur la prévention des troubles de la paix, de la sécurité et de l'ordre publics. Le responsable de la sécurité publique au comité exécutif de Montréal, Claude Dauphin, se dit «sensible» à la question des insultes, mais n'a pas souhaité commenter davantage. «Nous en discuterons sous peu à la Commission de la sécurité publique, a-t-il dit. Il faut suivre toutes les étapes.» «Une notion de respect» La Fraternité des policiers et policières de Montréal a été la première à proposer à la Ville de sanctionner les insultes et injures à l'égard des policiers, selon son président, Yves Francoeur. Le syndicat en fait la demande depuis 2003. «Le but est d'inculquer la notion de respect envers les policiers, une notion qui se perd à Montréal», a affirmé M. Francoeur, en entrevue avec La Presse. Un règlement similaire est déjà en vigueur à Québec, à Sherbrooke et à Trois-Rivières. À Montréal, cela faciliterait le travail des policiers à la sortie des bars, estime le président du syndicat. «Le service de police est obligé d'envoyer des effectifs très importants boulevard Saint-Laurent. Or, si les policiers pouvaient remettre des contraventions à ceux qui les insultent, ça calmerait les ardeurs et ça empêcherait la situation de dégénérer.» Selon M. Francoeur, «il n'y a jamais eu autant de policiers intimidés, victimes de voies de fait et encerclés que depuis deux ans.» Manifestants masqués La Fraternité est également l'instigatrice d'un règlement qui doit être entériné demain soir au conseil municipal. La Ville veut interdire le port de cagoules et le recours à tout autre moyen de se masquer le visage dans les manifestations publiques. Le règlement serait adopté fin février. Le syndicat a formulé sa première demande au tournant des années 2000 après une violente manifestation dans les rues de Montréal. Un policier avait perdu l'usage d'un oeil après avoir reçu un projectile lancé par un manifestant cagoulé. «Logique et bon sens» «À ce moment-là, on n'avait aucun règlement pour intervenir avant que ça dégénère», a indiqué Yves Francoeur, qui souligne que les policiers de Québec bénéficiaient d'un tel pouvoir. En effet, le Règlement pour le bon ordre et la paix dans la Cité de Québec, adopté en 1865, interdit le port d'un masque sur la place publique. La direction du SPVM assure que, si le conseil municipal entérine la décision, les policiers appliqueront leur nouveau pouvoir «avec logique et bon sens». «Les manifestants qui se couvrent le visage d'un foulard en hiver ou qui revêtent un masque de politicien ne représentent aucun risque, a précisé Paul Chablo. À l'opposé, les gens qui portent un masque à gaz sont susceptibles de recevoir une contravention.»
  18. La direction du Journal de Montréal a accusé jeudi le Syndicat des travailleurs de l'information du quotidien (STIJM) de «vouloir conduire la négociation dans une impasse». Pour en lire plus...
  19. Une entente de principe vient d'être conclue avec le syndicat des employés de la raffinerie de l'est de Montréal en vue du renouvellement de la convention collective. Pour en lire plus...
  20. Après plus d'un an de lock-out, les 260 employés de la raffinerie de l'est de Montréal voient la lumière au bout du tunnel. Pour en lire plus...
  21. Le Canadien Pacifique élimine 600 emplois * Presse Canadienne, * 10:56 Le Canadien Pacifique adopte des mesures de réduction de ses coûts, dont l'élimination de 600 emplois syndiqués au sein de son personnel, afin de faire face aux conditions économiques actuelles difficiles. Le transporteur ferroviaire réduit également son budget pour les déplacements d'affaires par avion en favorisant dorénavant les conférences téléphoniques et par Internet, suspend les primes et élimine les six jours de congés flottants de ses employés de bureau, rapporte le Globe And Mail. "En tant qu'équipe de direction, nous faisons des choix pour des raisons d'affaires que nous préférerions ne pas faire, si nous n'avions que les personnes à considérer, a affirmé Fred Green, chef de la direction, dans un message aux employés. "Ils (les choix) ne sont pas fait à la légère et ne sont pas à courte vue. Ils peuvent être impopulaires, mais lorsque nous aurons passé à travers (la période actuelle), et je sais nous le ferons, ce sera grâce aux décisions que nous avons prises aujourd'hui." M. Green a rencontré des employés à l'hôtel de ville de Calgary mardi dans le cadre d'une série de rencontres commencées vendredi dernier. La suppression d'emplois _ 600 sur un total de 16 000 _ touche les membres de la Conférence ferroviaire Teamsters Canada, les employés à l'entretien de la voie membres du syndicat des Teamsters et les travailleurs qualifiés, tels que les mécaniciens et les électriciens, membres du syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile.
  22. Les syndiqués, qui ont refusé en bloc les premieres demandes, craignent le décret d'un lock-out des le debut de 2009. Pour en lire plus...
  23. Pour faciliter la restructuration des trois constructeurs automobiles, le syndicat Le UAW s'est dit prêt à accepter des modifications des conventions d'entreprises qui le lient à General Motors, Ford et Chrysler. Pour en lire plus...
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