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  1. Loto-Québec rénovera le Casino de Montréal au coût de 100 millions Le Devoir Kathleen Lévesque Édition du mardi 17 mars 2009 Mots clés : rénovation, Loto-Québec, Casino, Montréal, Québec (province) Après avoir jonglé avec l'idée d'agrandir ou de déménager le Casino de Montréal, Loto-Québec doit se rabattre sur un projet de rénovation. Quatre ans après avoir enterré le virage récréotouristique que représentait le projet de 1,18 milliard du Bassin Peel, Loto-Québec vient de soumettre pour approbation au gouvernement du Québec un projet de restauration des installations de l'île Notre-Dame d'au moins 100 millions. Le président des opérations de la Société des casinos, Claude Poisson, estime que «cet établissement [...] a besoin qu'on lui donne un second souffle». C'est ce que M. Poisson a souligné hier dans une allocution faite devant le Cercle canadien. «Les lieux actuels nécessitent des améliorations pour maintenir leur qualité et pour que le Casino puisse mieux répondre aux besoins et aux attentes de la clientèle», a-t-il précisé sans toutefois donner de détail sur le projet. Tout au plus a-t-il précisé que les changements toucheraient notamment les systèmes mécaniques du bâtiment et les aires de jeu. Il a toutefois donné l'assurance que l'offre de jeu demeurerait inchangée. La Société des casinos collabore par ailleurs avec une autre filiale de Loto-Québec, Ingénio, pour développer et offrir de nouveaux jeux à la clientèle. Il s'agit notamment de tables de jeux électroniques. En 2005, le p.-d. g. de Loto-Québec, Alain Cousineau, faisait la promotion du déménagement du Casino de Montréal aux abords du quartier Pointe-Saint-Charles et soutenait qu'il ne pouvait y avoir de solution de rechange. M. Cousineau refusait également d'envisager un agrandissement de l'édifice actuel. Quant à une rénovation, cela nécessiterait au bas mot un investissement de 80 millions, arguait-il. Le projet du Bassin Peel a été largement critiqué, et le principal partenaire, le Cirque du Soleil, s'est retiré de l'aventure. «Le statu quo aura un coût appréciable sur les bénéfices nets du Casino de Montréal, donc sur les dividendes versés au gouvernement», prévenait alors M. Cousineau. Par ailleurs, le salon de jeu de Mont-Tremblant transformé en projet de casino, doit ouvrir ses portes le 24 juin prochain. Quant aux deux autres salons de jeu qui cohabitent avec un hippodrome (Québec et Trois-Rivières), aucune réflexion n'aurait cours actuellement pour en faire à terme des casinos, a dit Claude Poisson. http://www.ledevoir.com/2009/03/17/240010.html (17/3/2009 10H33)
  2. Salut, Je suis encore nouveau sur le forum, mais je tenais à partager un lieu que j'ai découvert récemment. Étant donné que ce lieu est méconnu, j'ai voulu en faire un jeu. Mouhahaha. Alors devinez où se trouve ce lieu! Indice: ce n'est pas un parc ou un parc-nature reconnu et ça se situe dans la ville de Montréal.
  3. Le jeu s'appelle Megapolis et il y a déjà depuis quelques mois des édifices montréalais -essentiellement des pavillons d'Expo 67 et le Stade Olympique. Le pavillon de l'Ontario pastiché : Habitat 67 presque méconnaissable : Le pavillon de la France/Casino de Montréal pastiché : Le Stade Olympique : Le 1000 qui existe depuis plus de deux ans : Le 2-22 : Et voici toute une collection mise en ligne aujourd'hui : Dans mes environnements : en premier lieu le Château Champlain qui dans le jeu s'appelle "L'hôtel de Montréal" Le 1250 qui prend le nom de Tour Marathon Puis les tours "Bureau de l'entreprise de télécommunications" (Aon), la tour "Bureau du boulevard de Maisonneuve" et finalement la "Tour McGill".
  4. Une Symphonie du jeu video de Montreal presentee par l'Orchestre Metropolitain pour le 375e MONTRÉAL, le 9 juin 2016 /CNW Telbec/ - L'Orchestre Métropolitain, en collaboration avec l'Alliance numérique, présentera en novembre 2017 la Symphonie du jeu vidéo de Montréal dans le cadre des festivités du 375e anniversaire de Montréal ; un spectacle multimédia durant lequel les musiciens de l'Orchestre interpréteront les thèmes de jeux vidéo marquants qui ont été produits à Montréal. Les compagnies de jeux vidéo de Montréal sont invitées dès maintenant à soumettre les trames sonores de leurs jeux pour que celles-ci figurent à la programmation du concert. La sélection finale sera dévoilée à l'automne 2016. « L'Orchestre Métropolitain est fier de présenter cet événement multimédia de grande envergure, à l'image du dynamisme de l'industrie du jeu vidéo de Montréal, a dit Jean Dupré, président et directeur général de l'Orchestre Métropolitain. C'est pour nous l'occasion de décloisonner les formes d'arts et de présenter la musique symphonique dans un contexte nouveau et hautement stimulant ! C'est d'autant plus une grande joie pour l'Orchestre de mettre en valeur le talent créatif des compagnies de jeux vidéo qui font partie intégrante de l'identité de la ville de Montréal. » Le spectacle aura également tout un pôle interactif : en synchronisme avec l'Orchestre, seront projetées sur grand écran des séquences des jeux vidéo. Afin d'ajouter une dimension interactive au concert, une personne du public sera invitée à monter sur scène pour jouer en direct à un jeu vidéo. Sa performance sera projetée et sera accompagnée simultanément par l'Orchestre. « L'Alliance numérique est heureuse d'appuyer l'initiative de la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. Nous sommes enthousiastes quant au succès de cette spectaculaire initiative dans le cadre des festivités du 375e anniversaire de Montréal et invitons les compagnies de jeux vidéo à participer en soumettant leurs musiques. Ce projet offrira une belle visibilité au savoir-faire et à la créativité nécessaires à la création des jeux vidéo de qualité qui font la renommée de notre industrie. », a déclaré Catherine Émond, directrice des services aux membres de l'Alliance Numérique, qui représente les studios de jeu vidéo du Québec. Le concert sera dirigé par la chef Dina Gilbert. Une œuvre originale du compositeur de jeu vidéo Maxime Goulet, initiateur du projet, sera présentée. Composée spécialement et exclusivement pour le concert, cette œuvre servira de thème musical pour la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. Pour guider le spectateur d'un jeu à l'autre, un maître de cérémonie interagira avec le public et fera des liens entre les différentes musiques interprétées par l'Orchestre en dévoilant les caractéristiques recherchées par les auteurs des pièces originales dans le contexte de l'expérience de jeu projeté. La Symphonie du jeu vidéo de Montréal offre aux entreprises de jeux vidéo ayant un studio à Montréal l'opportunité de prendre part à cet événement unique en son genre en soumettant une à la programmation du concert. Pour ce faire, les entreprises sont encouragées à remplir le formulaire sur le site web de la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. « Ce spectacle original et exclusif représente un exemple probant de la programmation du 375e anniversaire de Montréal, a déclaré Alain Gignac, directeur général de la Société du 375e anniversaire de Montréal. La vivacité de la métropole sera célébrée à travers cet alliage entre la puissance d'un orchestre symphonique et l'univers immersif et interactif du jeu vidéo. Une soirée mémorable à ne pas manquer », a conclu M. Gignac. « Voilà l'esprit du 375e anniversaire de Montréal ! Quelle étonnante et intéressante initiative entre l'Orchestre Métropolitain et l'Alliance numérique ! Les compagnies de jeux vidéo de Montréal nous démontreront encore une fois leur volonté d'ouvrir grandes leurs portes aux citoyens, leurs forces créatives et leur attachement à la métropole », a souligné le maire de Montréal, Denis Coderre. « Le gouvernement du Québec est fier de soutenir la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. En concevant ce concert interactif inédit, l'Orchestre Métropolitain confirme la capacité des promoteurs montréalais d'innover pour mettre en lumière le talent de nos musiciens et créateurs. Cet événement original contribuera à la reconnaissance de notre métropole comme chef de file mondial dans le secteur du multimédia », a fait savoir le ministre des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de Montréal, M. Martin Coiteux. À propos de l'Orchestre Métropolitain Toujours composé de musiciens d'ici, majoritairement formés au Québec, l'Orchestre Métropolitain est un organisme de calibre international voué au rayonnement de la musique symphonique d'ici et d'ailleurs, au service de toute la communauté métropolitaine de Montréal et de ses divers organismes culturels. Sous la direction artistique de Yannick Nézet-Séguin depuis 2000, la renommée de l'Orchestre Métropolitain n'a cessé de croître et d'évoluer -- à Montréal, au Québec, au Canada et à l'étranger. À propos de l'Alliance numérique Depuis sa création en 2001, Alliance numérique constitue le réseau d'affaires de l'industrie des nouveaux médias et des contenus numériques interactifs du Québec. L'Alliance compte plus de 100 membres actifs dans le secteur du jeu vidéo et du divertissement numérique interactif. Elle soutient leur développement en leur offrant une gamme étendue de services et d'activités. Elle multiplie aussi les partenariats, les rencontres et les échanges sur les scènes nationale et internationale afin de favoriser la croissance, la compétitivité et le rayonnement de l'industrie, dans le respect de tous ses intervenants. L'Alliance agit également à titre d'interlocuteur privilégié de l'industrie auprès des pouvoirs publics. À propos du 375e de Montréal La Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal est un organisme sans but lucratif qui a pour mission d'organiser les festivités et contributions socio-économiques qui marqueront le 375e anniversaire de Montréal en 2017. Privilégiant la mise en valeur de l'expertise montréalaise, elle agit comme un catalyseur des forces dans la réalisation de son mandat : mobiliser la communauté, mettre en œuvre une stratégie de financement, administrer de façon rigoureuse les fonds recueillis, élaborer une programmation de qualité et assurer la promotion des festivités. Animée par la volonté de créer des ponts, elle compte sur l'appui d'un conseil d'administration, d'un conseil des gouverneurs et de plusieurs comités. La Société bénéficie du soutien financier de la Ville de Montréal, du gouvernement du Québec et de 10 Grandes Montréalaises. À propos de Maxime Goulet, compositeur Maxime Goulet a composé plus de 25 trames sonores de jeux vidéo dont Warhammer 40,000: Eternal Crusade, Roller Coaster Tycoon World, The Amazing Spider-Man, Dungeon Hunter-I, II, III, IV, Shrek Forever After, Brothers in arms 2: Global Front, Brothers in Arms 3: Sons of War. Il est également le créateur de la Symphonie du jeu vidéo de Montréal. Ses œuvres de musique classique, dont Chocolats symphoniques, ont été jouées à travers le Canada, aux États Unis, en Europe et en Amérique du sud, par des ensembles tels l'Orchestre Métropolitain, l'Orchestre symphonique de Montréal, Angèle Dubeau, l'Orchestre symphonique de Vancouver, l'Orchestre philharmonique de Calgary et l'Orchestre du Centre national des Arts. À propos de Dina Gilbert, chef d'orchestre Reconnue pour son énergie, sa précision et sa polyvalence, Dina Gilbert aborde avec passion le grand répertoire symphonique tout en accordant une place importante à la création musicale. Originaire de la Beauce, Dina Gilbert est fondatrice et directrice artistique de l'Ensemble Arkea, un orchestre de chambre montréalais proposant des interprétations innovantes de la musique orchestrale. Avec cet ensemble, elle a collaboré à maintes reprises avec de jeunes compositeurs canadiens, créant plus d'une trentaine d'œuvres en plus de prendre part à plusieurs enregistrements de musiques de films et de jeux vidéo. Depuis avril 2013, elle occupe le poste de chef assistante de l'Orchestre symphonique de Montréal et du Maestro Kent Nagano. Au cours de la saison 2015-16, Dina Gilbert a fait ses débuts avec le Toronto Symphony Orchestra, l'Orchestre Métropolitain et le Sudbury Symphony Orchestra. À l'été 2016, elle fera ses débuts à l'Orchestre philharmonique de Radio France et elle dirigera la première mondiale de la présentation du film Le violon rouge, avec orchestre live et la soliste Lara St. John au Festival de Lanaudière. Dina Gilbert - Home | Accueil Pour en savoir plus sur ce projet : sjvm.ca. Pour plus d'information sur les célébrations du 375e anniversaire de Montréal : 375mtl.com ou visitez notre salle de presse pour des images supplémentaires. Trouvez tout dans notre salle de presse virtuelle ici : Salle de presse | 375mtl.com SOURCE Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal Renseignements : Source Orchestre Métropolitain : Laurie-Anne Riendeau, Responsable des relations publiques, T 514 598-0870, poste 27, C 514 467-2320, lariendeau@orchestremetropolitain.com; Source 375MTL : Isabelle Pelletier, 514 238-4178
  5. Je vais continuer à partager avec vous les p'tits projets de mon quartier! Le 277 Mont-Royal Est, en construction depuis quelques mois déjà! Un beau petit projet qui s'intègre plutôt bien dans son environnement! Je me demandais pendant longtemps quel serait le revêtement, puisqu'il y a un petit jeu avec les fenêtres. Finalement : Grosses plaques de pierres grises! C'est très bien. Un commerce au RDC vient d'ouvrir. Un resto/take-out libanais! Incroyablement bon et peu cher!
  6. Fin de non-recevoir de citoyens au projet d'hippodrome à Laval Karim Benessaieh La Presse Après les organismes communautaires de Pointe-Saint-Charles, au tour des jeunes mères de Laval de partir en croisade contre un projet de Loto-Québec. Cette fois, c'est l'arrivée d'un hippodrome et d'un salon de jeu de 1300 appareils dans un secteur rural de Laval qui suscite la mobilisation générale. Le vaste champ à la croisée des autoroutes 440 et 13, à Sainte-Dorothée, dans un magnifique coin champêtre, est un des endroits privilégiés pour la construction d'un nouveau complexe de jeu baptisé Ludoplex. Et les résidants du coin, une dizaine de mères en tête, n'en veulent pas. Elles affirment avoir accumulé quelque 6500 signatures en guise de protestation. «Laissez-nous la nature, on est ici pour ça, lance Carole Poirier, une des trois leaders du mouvement. J'ai choisi cet endroit parce que c'était familial; je ne veux pas élever mes enfants dans le béton.» On n'a toujours aucune confirmation officielle de l'endroit choisi pour ce complexe. Tant du côté de Loto-Québec que du promoteur privé de l'hippodrome, Attractions hippiques, propriété du sénateur libéral Paul J. Massicotte, on se montre discret. Quatre emplacements avaient été identifiés l'automne dernier, à Boisbriand, à Blainville et à Laval. Les municipalités de Boisbriand et Blainville ont adopté en janvier dernier une résolution s'opposant fermement à l'arrivée de ce projet. Un des terrains lavallois, une immense carrière abandonnée près du palais de justice, serait nettement plus coûteux à aménager, une facture supplémentaire de près de 100 millions, selon le sénateur Massicotte. Restent les terres agricoles à Sainte-Dorothée, à l'intersection de deux axes routiers fréquentés. Rien pour le quartier Selon la fiche technique rendue publique par Loto-Québec, on offrira 1300 «positions de jeux» - essentiellement des appareils de loterie vidéo - et divers restaurants, bars et terrasse totalisant un millier de places. L'hippodrome sera quant à lui exploité par Attractions hippiques, qui gérera également les paris mutuels. L'achalandage serait de cinq à 6000 personnes par jour, le projet créerait 320 emplois dont 60 % à temps complet et le tout serait prêt fin 2008. L'investissement serait de 99 millions. Ces arguments n'ébranlent guère les opposantes. «On est inquiètes : un salon de jeu, ça amène une clientèle peu appréciée dans un quartier résidentiel, estime Marie-Claude Brouillette, la deuxième organisatrice. On aimerait bien avoir quelque chose qui correspond plus à nos valeurs.» Sainte-Dorothée, estime Carole Poirier, a besoin de bien des infrastructures avant de se doter d'un pareil complexe de jeu. «De l'espace pour nos écoles, une cité des jeunes, par exemple. Et on n'a même pas de piscine intérieure.» «Immoral» Les contestataires ont pris connaissance avec ironie des propos du sénateur Massicotte qui a précisé que Loto-Québec visait une clientèle «plus jeune» dans les hippodromes en leur offrant un divertissement à caractère familial. «C'est immoral», soutient Sonia Verreault, la troisième chef du groupe. «Quand j'entends cet argument familial, j'ai de la misère, ajoute Mme Poirier. L'enfant va se baigner dans la piscine pendant que son père va aller perdre l'argent du loyer, c'est ça qu'on veut?» La sortie en février dernier de 18 directions de la santé publique, qui qualifiaient de «situation préoccupante» la combinaison d'hippodromes et de salons de jeu, est venue confirmer leurs craintes. Pétition à la ministre Courchesne Après plus de deux mois de mobilisation, les trois jeunes mères - qui ont enrôlé près de 70 bénévoles - poseront aujourd'hui leur premier geste officiel. Leur pétition sera déposée au bureau de la députée du coin, la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, Michelle Courchesne. Il a été impossible de joindre cette dernière hier. Dans une entrevue il y a deux semaines au Devoir, Mme Courchesne a assuré ses électeurs de Sainte-Dorothée qu'elle se ferait l'«écho» de leur mécontentement. «On ne peut pas s'imaginer qu'un tel équipement vienne s'installer dans un quartier sans tenir compte de l'avis de la population. En 2007, c'est impensable.» Rendez-vous ensuite ce soir à l'assemblée municipale de Laval, où les opposants interpelleront le maire Gilles Vaillancourt. Et ensuite? «On va contacter les partis d'opposition, on va essayer de faire bouger ce gouvernement minoritaire, répond Carole Poirier. Dans Pointe-Saint-Charles, ils ont réussi.»
  7. Bonjour à tous... Comme annoncé précédemment, la Drink Culture TV, première web TV québécoise consacrée au vin et à la culture du vin à Montréal, organise un jeux-concours avec le festival POP MONTREAL. A gagner : des invitations pour le show de KARKWA ainsi que des rencontres d'artistes avec RADIO RADIO... Comment jouer ? Rien de plus simple. Rendez vous sur le site de la Drink Culture TV sous la rubrique ''Jeu Pop'' (http://drinkculture.tv/jeu-pop/), et inscrivez uniquement votre mail. Celui-ci sera utilisé pour un tirage au sort le 24 septembre. Je vous souhaite déjà bonne chance et vous dis à bientôt au Festival POP MONTREAL. Drink Culture TV http://www.drinkculture.tv
  8. 700 000 emplois disponibles d’ici 3 ans Agence QMI Julie Charette 08/06/2009 12h08 En vue de combler les 700 000 emplois qui seront disponibles au Québec d’ici 2011, le gouvernement de Jean Charest compte sur les travailleurs spécialisés étrangers. Devant une centaine de gens d’affaires réunis ce matin lors de la première journée des travaux du 5e Forum économique international des Amériques, la ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles, Yolande James, a soutenu que l’immigration était une partie de la réponse aux besoins en main-d’œuvre du Québec. «La diminution de la population active pourrait entraîner un ralentissement de l’activité économique», affirme Mme James en rappelant qu’en 2050 un Québécois sur trois aura 65 ans et plus. L’immigration: «une valeur ajoutée pour le Québec» Confronté au vieillissement de sa population, le Québec doit donc développer des «mesures audacieuses» pour recruter et retenir les travailleurs immigrants. «À l’heure actuelle, plusieurs pays se font concurrence pour attirer les travailleurs», signale la ministre James. Afin de tirer son épingle du jeu, le Québec a mis en place diverses mesures: priorisation du traitement des demandes des travailleurs qualifiés et accélération de leur arrivée au Québec, accompagnement spécialisé, renforcement de la francisation et signature d’une trentaine d’ententes avec des ordres professionnels pour faciliter l’accès des immigrants aux professions réglementées. Le gouvernement Charest souhaite attirer près 50 000 immigrants annuellement. Pour ce faire, il devra accueillir plus de 9000 immigrants supplémentaires au Québec au cours des prochaines années.
  9. Pour le Fonds monétaire international, il ne fait pas de doute que le Canada a su, jusqu'ici, tirer son épingle du jeu en évitant que l'économie canadienne ne soit heurtée de front par la crise économique mondiale. Pour en lire plus...
  10. Loto-Québec se joue du ralentissement Publié le 29 janvier 2009 à 06h22 | Mis à jour à 06h25 (Montréal) Pendant que les grandes capitales du jeu comme Las Vegas, Atlantic City et Macao sont désarçonnées par les secousses de l'économie, Loto-Québec n'a pas perdu pied. Visiblement, les Québécois continuent de tenter leur chance. Selon des données fournies à la demande de La Presse Affaires, le chiffre d'affaires regroupé des casinos de Montréal, Lac-Leamy (Gatineau) et Charlevoix est de 193 millions de dollars, un résultat légèrement supérieur par rapport aux années précédentes. Les casinos ont enregistré de tels revenus en dépit d'une baisse de la clientèle dans les trois maisons de jeu. Loto-Québec attribue cette baisse à une refonte des promotions visant les visiteurs par autobus. Le total des visiteurs est passé sous la barre des 2,3 millions au cours de la période, un total moins bon que celui des quatre dernières années pour ce trimestre. Les casinos de la société d'État avaient notamment attiré 2,7 millions de personnes au cours des trois derniers mois de 2006, et 2,65 millions l'an dernier (sur une période exceptionnelle de 14 semaines au lieu de 13). Le Québec à l'abri Reste que la stabilité du chiffre d'affaires rassure Loto-Québec. «Le Québec ne vit pas les bouleversements que vit actuellement l'industrie mondiale des casinos», constate Jean-Pierre Roy, directeur des relations de presse de la société d'État. Vers la fin de 2008, des analystes faisaient pourtant état d'un des pires déclins de l'histoire des casinos. En octobre seulement, les casinos de Las Vegas ont rapporté une baisse de 26% de leurs revenus de jeu par rapport à l'année précédente. «Il y a moins d'argent dans l'économie, donc moins d'argent à jouer, c'est aussi simple que cela», a expliqué à La Presse Affaires le directeur du Centre de recherche sur le jeu de l'Université du Nevada à Las Vegas, David Schwartz. Il faut dire que les grandes capitales du jeu sont des destinations touristiques en soi, ce qui implique souvent des dépenses de transport, d'hébergement et de location. Pour plusieurs clients, le jeu n'en vaut plus la chandelle. Ainsi, en septembre 2008, Las Vegas a accueilli 10% moins de visiteurs qu'un an plus tôt. Pierre Martel, joueur de poker et président de Gestion Poker Tour, revenait d'ailleurs de Vegas quand La Presse Affaires l'a joint. «Plusieurs endroits ont baissé leurs prix d'entrée de tournois. Il y a moins de joueurs, les grands casinos s'ajustent.» Sauf que les prix remis aux gagnants sont moins intéressants. Mais il y a un avantage. «Les casinos commencent à être un peu plus dynamiques sur les prix des chambres par exemple, note M. Martel. Il va y avoir un réajustement pour cela.» Loteries: ce n'est pas le nirvana Pendant que les casinos souffrent, les ventes de loteries se maintiennent. Elles augmentent même dans la moitié des États américains. Au Québec, les ventes de loteries ont légèrement diminué au troisième trimestre de 2008. De 477 millions en 2007 (montant ramené sur une période de 13 semaines), elles sont passées à 453 millions cette année. Selon Loto-Québec, cela ne permet pas de prouver que la situation économique affecte ses revenus, d'autant plus qu'il est hasardeux d'analyser les revenus sur une période trimestrielle en raison de la variation des gros lots, souligne Jean-Pierre Roy. Or, les revenus des neuf premiers mois de 2008 étaient assez stables, note M. Roy. «On n'exclut pas que la situation économique puisse avoir un effet, mais les chiffres semblent nous montrer que ce n'est pas le cas, dit le porte-parole. Nous pensons que le client a des choix budgétaires à faire, mais que la loterie ne fera pas partie de ses premières coupes, car elle amène la possibilité, même faible, de gagner une grosse somme d'argent.» «D'un autre côté, des gens me disent que ce doit être le nirvana pour les loteries, en raison de l'espoir des clients d'améliorer leur situation, ajoute M. Roy. Ce n'est pas le cas non plus.» Impact de la crise Selon Claude Boutin, psychologue au Centre québécois d'excellence sur la prévention et le traitement du jeu de l'Université Laval, il n'existe pas d'études spécifiques sur la consommation de jeux de hasard en période économique. Mais on peut émettre certaines hypothèses, selon lui. «En général, on pourrait s'attendre qu'une population qui n'est pas à haut risque diminue sa consommation», dit-il. Il faudra analyser les résultats de Loto-Québec sur toute la période de la récession pour voir si cette hypothèse se confirme ou non. Pour l'instant, il faut s'en tenir à la réponse négative
  11. L'activité en fusions et acquisitions a lourdement chuté en 2008. Mais certains cabinets d'avocats canadiens ont réussi à tirer leur épingle du jeu. Pour en lire plus...
  12. L'an prochain, le Québec tirera son épingle du jeu de massacre de l'économie mondialisée, mais cela n'ira pas sans meurtrissures. Pour en lire plus...
  13. C'est difficile à croire, mais oui, il y a des titres boursiers qui enregistrent un rendement exceptionnel depuis le début de l'année. Alors que le principal indice de la Bourse de Toronto a encore perdu 5,04% en novembre contre 5,32% pour le Dow Jones de New York, Stéphane Paquet et Philippe Mercure nous présentent des titres américains et canadiens qui font plus que tirer leur épingle du jeu. Pour en lire plus...
  14. La Caisse de dépôt et placement a vendu des actifs financiers en octobre afin de «protéger le capital des déposants», a-t-elle répondu hier à un reportage gênant dans la presse d'affaires torontoise. Pour en lire plus...
  15. Le Tribunal de première instance des Communautés européennes a rejeté mercredi les efforts faits par Lego afin de préserver la marque de commerce de son jeu de construction. Pour en lire plus...
  16. Le fournisseur d'information financière a annoncé mercredi des résultats trimestriels en hausse en dépit des turbulences sur les marchés financiers. Pour en lire plus...
  17. Les fonds communs ont bien failli encaisser le pire mois de leur histoire. Mais la remontée éclair des derniers jours d'octobre, ainsi que le jeu des devises, ont amorti leur chute. Pour en lire plus...
  18. La direction réplique à une grève de quelques heures déclenchée mercredi par les syndiqués de la sécurité. La maison de jeu demeure ouverte durant ce conflit de travail. Pour en lire plus...
  19. Montréal, ville la plus chère du Monopoly Monde 20 août 2008 - 07h45 LaPresseAffaires.com Michel Munger Bonne nouvelle pour l'ego des Montréalais: la ville hérite de la place immobilière la plus chère du jeu Monopoly Monde que va lancer le fabricant Hasbro (HAS) le 26 août. Montréal remplace la Promenade et rejoint Riga (capitale de la Lettonie) pour occuper les places de couleur marine situées près de la case Go. La métropole québécoise a remporté cet honneur après un vote international de six semaines qui a déterminé 20 des 22 villes du Monopoly Monde. Aussi, le Canada voit toutes ses villes candidates atterrir sur la planchette du jeu. Vancouver remplace l'Avenue New York, se joignant à Shanghai et Rome au sein du groupe orange. Toronto remplace pour sa part l'Avenue Virginie, partageant les cases magenta avec Kiev et Istanbul. Le vote a suscité beaucoup d'intérêt car plus de 5 millions de votes ont été enregistrés pour 70 villes candidates. En plus de remplacer les cases traditionnelles et d'adopter une thématique internationale pour ses cartes Chance et Caisse commune, Hasbro met l'énergie solaire et éolienne à la place des compagnies d'aqueduc et d'électricité. Le jeu sera disponible en 37 langues dans 50 pays dès le 26 août. Parions que les ventes montréalaises et canadiennes seront bonnes... Les 22 villes du Monopoly Monde - Marine : Montréal et Riga - Vert : Le Cap, Belgrade et Paris - Jaune : Jérusalem, Hong-Kong et Beijing - Rouge : Londres, New-York et Sydney - Orange : Vancouver, Shanghai et Rome - Magenta : Toronto, Kiev et Istanbul - Bleu pâle : Athènes, Barcelone et Tokyo - Brun : Taipei et Gdynia
  20. Bonne nouvelle pour l'ego des Montréalais: la ville hérite de la place immobilière la plus chère du jeu Monopoly Monde que va lancer le fabricant Hasbro. Pour en lire plus...
  21. Montréal, Hollywood en moins vulgaire Lorsque Next, le magazine du quotidien Libération, se penche sur "ceux qui aujourd'hui dessinent notre futur", il s'arrête à Montréal, où fleurit l'industrie du jeu vidéo, nourrie aux programmes d'aide gouvernementale et aux bonnes tables de la ville. "Depuis une dizaine d'années, Montréal est devenue l'une des places fortes du multimédia et notamment du jeu vidéo. Les plus grands éditeurs y possèdent leurs studios, des cursus universitaires forment les professionnels de demain et il ne se passe pas une semaine sans qu'un Français, un Anglais ou un Américain ne pose ses valises à Montréal pour y travailler. Montréal, c'est la nouvelle Hollywood avec quelques dizaines de degrés de moins en hiver et sans les limousines vulgaires de la côte ouest. Et, le soir, tout ce bon monde se croise dans les bars à néons de la rue Sainte-Catherine, dans les concerts d'Arcad Fire et de Malajube ou dans les lounges hypes du boulevard Saint-Laurent. Sans oublier le Pied de cochon [rue Duluth], mais pas tous les soirs", s’extasie Next dans un reportage dans cet Éden ludique, de la bringue et des univers virtuels. "Et pourtant, ce n'était pas gagné d'avance", poursuit Next. "En 1998, le premier ministre du Québec, Lucien Bouchard, lance la Cité du multimédia, un programme visant avant tout à redynamiser le Faubourg des Récollets, quartier d'usines et d'entrepôts tout près du centre-ville qui, depuis les années 1960, avait salement souffert des délocalisations et de l'extinction de certaines branches industrielles. Les immeubles sont réhabilités, rendus aptes à l'activité tertiaire et, surtout, le gouvernement offre un joli cadeau aux investisseurs étrangers sous forme d'un crédit d'impôts. Concrètement, il s'engage à rembourser à hauteur de 40 % des salaires à concurrence de 15 000 dollars canadiens par salarié. Cela prend la forme d'un crédit d'impôts remboursable égal à 40 % de chaque personne travaillant dans le secteur du multimédia. Et pour faire bonne mesure, le gouvernement s'engage à ce que cette incitation soit renouvelée jusqu'en décembre 2010. Pas besoin d'en rajouter, toute l'industrie a pigé l'aubaine. D'autant que c'est exactement le moment où le jeu vidéo cesse d'être une affaire de bricoleurs dans des garages et commence à se structurer en grands éditeurs capables de mettre plusieurs centaines de milliers de dollars sur la table pour créer un jeu. En quelques mois, les demandes affluent et les structures gouvernementales de Montréal n'hésitent pas à lancer des invitations aux studios américains, français ou anglais. Les fonderies du début du XXe siècle au nom pittoresque, Darling Brothers ou Ives & Allen, sont désormais les locaux des Microïd, TeamSoft, DotCom ou Cryo." Pour Next, c'est comme si le clinquant du jeu vidéo avait dépoussiéré la ville. "Du coup, en l'espace de dix ans, Montréal a changé de visage. Ville jeune, moderne et plutôt branchée. Sans toutefois effacer totalement les réminiscences un peu provinciales de certains quartiers. Le long du boulevard Saint-Laurent, à deux pas des studios Ubisoft, les grandes bâtisses de brique, vestiges de l'industrie textile démantelée dans les années 1970, les boutiques qui n'ont pas bougé d'un pouce depuis les années 1950, ont encore un charme vieillot qui s'acclimate bien de la floraison des bars à DJ où de jolies filles servent des cocktails cubains ou brésiliens." 21:39 Publié dans Amériques | Lien permanent | Commentaires (1) | Envoyer cette note | Tags : Québec, Montréal, multimédias Commentaires La cité des médias est superbe et il y a tant de choses à voir... Il y a aussi la CAE pour le training par vol simulé. Montréal est une ville très dynamique. Elle me fait penser en plus tranquille à New-York pour son cosmopolitisme et sa vie nocturne ou diurne intense. Le milieu de la mode est très dynamique, les restos, les concerts, et les belles longues ballades à vélo. Hummmmm, miam miam!!! Montréal est la ville où il fait bon vivre. Le bilinguisme sinon le tri, le 4, le 5 linguisme et plus, c'est passionnant. À chaque coin de rue et chez les montréalais, la joie de vivre et de s'éclater dominent. Son aspect francophone devra être préservé coûte que coûte car c'est ce qui fait son absolu charme. Montréal est la ville où il fait bon y être pour toujours. Merci de rappeler que Montréal est en pleine vibration/connection avec le monde entier. Ecrit par : Bibi | 15.11.2007
  22. La Presse Le lundi 28 mai 2007 Tous les enfants ne sont pas égaux quand vient le temps de s'amuser au parc, révèle une enquête exclusive menée par Actuel. Tandis que certains arrondissements bénéficient de belles aires de jeu toutes neuves, d'autres doivent se contenter de vieux modules désuets, peu entretenus, souvent carrément dangereux. Surprise: ça ne sont pas toujours les plus riches qui ont les plus belles structures. Près de trois structures de jeu sur cinq ont été construites il y a plus de 10 ans dans la région de Montréal. C'est dire que plus de la moitié des aires de jeu en ville et en banlieue ne rencontrent pas les normes de sécurité actuelles. Attention: danger, crient certains experts et parents interrogés. «Faute d'investissements majeurs au cours des dernières années, la majorité des aires de jeu au Québec sont hors normes, dénonce Patrick Lafleur, directeur général de l'Association québécoise du loisir municipal. Le fait d'avoir un équipement désuet est une problématique alarmante.» Au mini parc de l'Épée, à Outremont, un grand trou accueille les enfants en plein milieu de l'aire de jeu. La surface de revêtement est déchirée depuis des semaines. Les poutres qui entourent le parc sont pourries, et de gros clous en ressortent. Dans Villeray, au parc Gabriel Sagard, il manque carrément une planche au petit pont du module. L'an dernier, un enfant y est tombé. Faute de sable en quantité suffisante, le béton des piliers de la structure est aussi à découvert. À Rivière-des-Prairies, au parc Sainte-Marthe, un espace carré est envahi d'herbe. Peut-être, jadis, trônait là un carré de sable. Sur le Plateau-Mont-Royal, au parc Louis-Reitman, on a réinstallé au printemps une balançoire complètement défoncée l'année d'avant. Aux quatre coins de la ville, il n'est pas rare de trouver des glissoires manquantes, un barreau absent, ou du sable visiblement mal entretenu, habité par les excréments des animaux du coin. Si certains arrondissements ou villes entretiennent leurs parcs quotidiennement (Anjou, Montréal-Nord, Pierrefonds, Plateau, Dorval et Laval), d'autres, comme Montréal-Est Ahuntsic et Pointe-Claire, n'y passent qu'une fois par année, ou pour des interventions «ponctuelles». Pire: à Outremont, il n'y a carrément pas de politique d'entretien des aires de jeu. Bien sûr, la situation a déjà été pire. Bien pire. Tous les experts interrogés s'accordent pour confirmer que la métropole a fait un travail énorme depuis quelques années. «Nous avons mis beaucoup l'accent sur les surfaces amortissantes, et là-dessus, la Ville de Montréal semble avoir travaillé très fort», indique Sylvie Melsbach, responsable du dossier des aires de jeu au Regroupement des CPE de la Montérégie. «Il y a eu des efforts pour corriger les pires situations, mais cela ne veut pas dire qu'il n'en reste pas», ajoute Diane Sergerie, membre du comité d'experts de SécuriJeunes Canada. Il faut dire que les investissements ont été inégaux. Tandis que Côte-des-Neiges/Notre-Dame de Grâce a réaménagé 28 parcs entre 2002 et 2007, Montréal-Est n'a littéralement pas touché à ses aires de jeu. Conséquence: «en cinq ans, on est passé d'une situation où la majorité des parcs étaient hors normes, à une situation où certaines aires de jeu sont très conformes, alors que d'autres sont très peu conformes», indique David Fortier, agent de planification, spécialisé en prévention des traumatismes (notamment dans les aires de jeu), à l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Les normes des aires de jeu sont dictées par l'Association canadienne de normalisation (CSA), un organisme sans but lucratif qui définit les critères à respecter (hauteurs des structures, barrières de protection, surfaces protectrices, taille des ouvertures) dans la conception et l'entretien des aires de jeu. Une étude menée par l'Université de Toronto a d'ailleurs révélé que sur quatre ans, les blessures avaient baissé de 49% dans les aires de jeu des écoles qui s'étaient conformées aux normes CSA; 520 blessures ont ainsi été évitées, estiment les chercheurs. Le hic? Ces normes, souvent contraignantes et coûteuses à appliquer, n'ont pas force de lois. «Ce sont des normes de bons près de famille, résume Patrick Lafleur. Si demain matin, on obligeait toutes les villes à appliquer ces normes, les parcs fermeraient.» Prendre les grands moyens C'est l'histoire d'une mère de deux jeunes enfants qui n'ose plus aller dans le parc de son quartier. «C'est vraiment pas sécuritaire», dit-elle. Louise Lippe, de Villeray, en a gros sur le coeur. «L'air de jeu est dans un état terrible», confie-t-elle. Le parc en question, baptisé Gabriel Sagard, est à deux pas de chez elle. La dernière fois qu'elle y est passée, la plaque du parc avait été décrochée. Il manque de sable, les piliers en béton de la structure sont dénudés, la première marche de l'escalier, faute de sable en quantité suffisante, est beaucoup trop haute, et il manque carrément une planche au petit pont. En guise de barrière de protection, on a placardé une vulgaire plaque de contreplaqué sur le module. «Ça fait dur, dit-elle.» Tous les parents du coin se disent d'ailleurs la même chose: «Ça n'a pas de sens. C'est rendu qu'on n'ose pas aller au parc près de la maison», dit celle qui songe à lancer une pétition pour «son» parc. Interrogé par La Presse la semaine dernière, le chargé de communications de l'arrondissement, Claude Raymond, a d'abord affirmé ne pas «avoir eu vent de quoi que ce soit» au sujet de ce parc. Vérification faite, il a ensuite promis que les réparations seraient effectuées aujourd'hui (lundi) au plus tard. Pour faire bouger les choses, certains parents prennent aussi les grands moyens. C'est ainsi que des parents de Rivière-des-Prairies ont mis sur pied un comité de travail en 2003, avec des représentants de la ville, de la police, des CPE du coin, chapeautés par l'Initiative 1,2,3 go! de Centraide (visant la promotion locale du développement et de la santé des tout-petits), afin de dresser un portrait de l'état des lieux. Ils ont fait le tour de tous les parcs de leur quartier, afin de pondre un important document, ciblant, photos à l'appui, toutes les réparations à faire. Résultat? «Oui, il reste encore des choses à faire, mais on a bien entamé le travail», signale Véronique Moreau, coordonnatrice de l'Initiative 1,2,3, go! à Rivières-des-Prairies. À Longueuil, un groupe de parents vient de se lancer dans le même travail, et s'apprête à évaluer les 69 parcs du Vieux-Longueuil. Il faut dire que pour obtenir gain de cause, il faut non seulement du temps, mais beaucoup de patience. Nathalie Michellod, du Plateau-Mont-Royal, en sait quelques chose. Elle se bat depuis des années pour revitaliser «son» parc, Jean-Jacques-Olier. Clôture, sable, vitesse dans la rue, lumières la nuit: «il faut toujours appeler la ville. Cela prends des mois et des mois. J'ai l'impression d'être toujours en train d'appeler!» dit celle qui tente maintenant d'aménager un nouveau parc dans le quartier, fermé la nuit et les fins de semaines. «On veut un parc sécuritaire, aux normes, et adapté à nos besoins.» Où sont les nouveaux parcs? Nous avons sondé Montréal (et ses 19 arrondissements), les 15 villes reconstituées, Laval et Longueuil, histoire de savoir combien d'aires de jeu ont moins de 10 ans. (voir la carte ci-contre) À noter: + : Baie d'Urfé et Mont-Royal, où 100% des parcs sont tout neufs (moins de 10 ans). - : Montréal-Est, Saint-Anne de-Bellevue et Westmount, où 100% des parcs sont vieux (plus de 10 ans).
  23. 25 avril 2007 Scène un prise deux. L’arrondissement de Rosement poursuit sa lutte aux vieux canards à spring et structures de jeu moches. On investira 2 M$ dans quatre parcs de Rosemont–La Petite-Patrie. Comme l'année dernière, le maire André Lavallée a convié le Journal de Rosemont–Petite-Patrie à une tournée dans les parcs du coin, ceux qui feront l'objet de travaux. Cette fois, on vise essentiellement les aires de jeu destinées aux enfants de 5 à 12 ans. Tour du proprio On grimpe à bord de la minifourgonnette de l’arrondissement. Jacques Savard, directeur des travaux publics, prend le volant. Premier arrêt, le parc Beaubien – rue Beaubien, entre la 6e Avenue et la 9e Avenue. Les modules de bois peints en brun, d’une autre époque, feront bientôt place à de rutilants modules. Là, c’est surtout la petite pataugeoire, dans le décor rosemontois depuis les années 1950, et le Chalet des baigneurs qui seront retapés. La pataugeoire conservera la même superficie mais accueillera une nouvelle structure avec des jets d’eau variés. Le petit bassin sera muni d’un système de filtration afin d'assurer la salubrité de l'eau. Le contour de béton et d’asphalte fera place à un nouveau revêtement. L’endroit sera aussi clôturé. Fini les baignades improvisées pour toutou, espère le maire de Rosemont–La Petite-Patrie. Le parc Beaubien se taille la part du lion de toute cette seconde phase du plan de revitalisation des aires de jeu de l’arrondissement: 700 000 $ sont prévus au budget. Les travaux débuteront à la fin de la saison estivale. Parc de la Louisianne On remonte. Direction: le parc de la Louisiane – 31e Avenue et Beabien où l'aire de jeu pour les enfants de 5 à 12 ans sera réaménagée. André Lavallée profite du trajet pour parler du parc Jean-et-Éva-Tremblay, situé dans le secteur Angus, près de la rue Rachel. L’endroit s'est développé il y a une quinzaine d’années, faisant grimper du coup le nombre de bouts de chou dans le secteur. D'où la nécessité de remplacer les structures fatiguées, juge-t-on. Soccer au parc Père-Marquette Le maire Lavallée espère pouvoir refaire entièrement le terrain de soccer du parc Père-Marquette, travaux évalués à 500 000 $. L’arrondissement complète actuellement le montage financier et croise les doigts afin de dégotter, d'ici la fin de l’année, les fonds nécessaires. Plus qu'un vœu pieux, cette réfection est inscrite au plan triennal de l'arrondissement, dans sa planification pour 2007-2009. Des parcs et des sous Les investissements dans les parcs s'inscrivent en droite ligne avec le plan familial des élus locaux qui souhaitent faire de l’arrondissement un petit nid douillet pour tous. Pour que le financement soit à la hauteur des attentes, André Lavallée évalue la possibilité d’élargir le spectre des sources de financement. Pourrait-on courtiser le secteur privé ou compter sur des projets d’entreprises visant l'aide à la communauté, par exemple, afin de les mettre à contribution dans nos parcs? La formule n’est pas définie, mais oui, on réfléchit à différentes stratégies, expose le maire. «Montréal et le gouvernement du Québec contribuent financièrement aux efforts de l'arrondissement. Nous envisageons aussi des partenariats [privés] mais avec des règles très claires», dit-il. Par exemple, pas de privilège pour un promoteur qui déciderait d’investir dans du mobilier urbain, signale André Lavallée. Plantation d'arbres Détour par le parc Lafond. Les petits rigolos qui coupent à travers le parc avec leur voiture, sur le sentier piéton aménagé dans le prolongement de la 15e Avenue, frapperont un mur... de bois. Une cinquantaine d'arbres seront plantés. Avant le terminus, la fourgonnette passe devant la piscine du parc du Pélican, à l'angle de Masson et de la 1re Avenue. Un véritable champ de bataille où s'active encore l'artillerie lourde. L'été dernier, on y a entrepris des travaux de l'ordre de 1,7 M$. «On est dans les temps, on respecte le budget. Les travaux intérieurs et extérieurs ont suivi leur cours cet hiver et la piscine ouvrira comme prévu pour la saison», promet Jacques Savard. L'année dernière, l'arrondissement a investi 8 M$ dans huit de ses parcs. On a principalement rajeuni les aires de jeu pour les enfants de 2 à 5 ans, injecté 3 M$ pour le nouveau parc Jean-Duceppe – sur le site du Technopôle Angus – et investi 2,1 M$ dans le parc Étienne-Desmarteau.
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