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  1. Canada ranks 2nd among 10 countries for cost competitiveness, says KPMG THE CANADIAN PRESS 03.29.2016 TORONTO - Accounting giant KPMG says Canada has proven to be second most competitive market in a comparison test of 10 leading industrial countries. In its report, KPMG says Canada lags only behind Mexico when it comes to how little businesses have to pay for labour, facilities, transportation and taxes. The report, which compared the competitiveness of a number of western countries along with Australia and Japan, found that a high U.S. dollar has helped Canada stay affordable despite rising office real estate costs and lower federal tax credits. When it comes to corporate income taxes, it found that Canada, the U.K. and the Netherlands had the lowest rates overall due to tax incentives to support high-tech and research and development. KPMG also looked at the competitiveness of more than 100 cities worldwide. It ranked Fredericton, N.B., as the most cost-effective city in Canada due to low labour costs and continued low costs for property leases. Montreal topped the list among 34 major cities in North America, followed by Toronto and Vancouver. The three Canadian cities beat out all U.S. cities. Although there have been concerns over the impact of a weakening loonie on the economy, having a low Canadian dollar has actually been "a driver in improving Canada's competitiveness and overall cost advantage," KPMG said. As a result, that has made it more attractive for businesses to set up shop north of the border than in the U.S., it said. http://www.montrealgazette.com/business/canada+ranks+among+countries+cost+competitiveness+says+kpmg/11817781/story.html
  2. Enfin une bonne nouvelle *** Le secteur manufacturier retrouve son niveau d'avant 2008 http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/manufacturier/le-secteur-manufacturier-retrouve-son-niveau-d-avant-2008/568948 C’est une bonne nouvelle qu’avait à annoncer ce matin les Manufacturiers et Exportateurs du Québec : le secteur manufacturier a retrouvé en mars le niveau d’avant la crise économique mondiale de 2008. La création de PME ou leur expansion fait moins de bruit que la fermeture de grosses usines comme Electrolux, à L’Assomption, mais les dernières statistiques montrent un dynamisme certain. Si les ventes de biens manufacturiers au Canada, en mars, ont augmenté de 216 M$ pour atteindre près de 51 G$ (milliards de dollars), c’est essentiellement parce les ventes au Québec ont cru de 243 M$ au cours du même mois. Cette augmentation au Québec suit une légère baisse de 15 M$ en février et une hausse de 355 M$ en janvier. Ce qui a permis au secteur manufacturier québécois de retrouver son niveau de ventes de 12 G$ de 2007. En 1994, à l’aube de l’Accord de libre-échange nord-américain, l’ALENA, les ventes manufacturières au Québec se chiffraient à 7 G$. Cet accord allait fournir une poussée d’adrénaline au secteur manufacturier dont les ventes ont grimpé à 12 G$ au début du 21e siècle. La période 2001 à 2007 en a été une de relative stabilité. Puis, la crise de 2008 a amputé 2 G$ de ventes au bilan de 2009. Il aura donc fallu quatre ans pour récupérer ces 2 G$. Audrey Azoulay, directrice des affaires publiques et relations gouvernementales de MEQ, se réjouit de cette bonne nouvelle mais préfère attendre avant de sabrer le champagne. «La baisse du dollar canadien a sans doute à voir avec la bonne performance du secteur manufacturier. La question est de savoir comment va évoluer notre dollar au cours des prochains mois. Et puis, le faible coût de l’énergie aux États-Unis, surtout à cause de l’exploitation massive du gaz de schiste, fait un dure concurrence à nos entreprises.»
  3. Finalement, la catastrophe annoncée par les doomsayers ne s'est pas concrétisée. La crise étudiante n'a pas empêché les touristes de venir......Tant mieux! http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/quebec/montreal/201210/13/01-4582997-ete-record-pour-le-tourisme-a-montreal.php?fb_action_ids=10152177053535564&fb_action_types=og.recommends&fb_source=other_multiline&action_object_map=%7B%2210152177053535564%22%3A454736937899116%7D&action_type_map=%7B%2210152177053535564%22%3A%22og.recommends%22%7D&action_ref_map=%5B%5D&utm_source=All&utm_campaign=Revue+de+presse+du+Quartier+des+spectacles-+lundi+15+octobre+2012&utm_medium=email
  4. jesseps

    SAQ lawsuit

    CJAD This should be an interesting case to watch. We know that we are being screwed.
  5. http://www.nytimes.com/2011/03/03/greathomesanddestinations/03gh-househunting-1.html?_r=1&adxnnl=1&adxnnlx=1299593719-+xlaQH3kS13uLe9aveRW4A
  6. The Ville Marie borough has given the go-ahead for a major facelift of the Helene de Champlain pavilion on St. Helen's Island - the building that until a six months ago housed the Helene de Champlain Restaurant. It will undergo a 10-million dollar expansion and upgrade this fall. After the facelift it will house a restaurant affiliated with the prestigious Relais et Chateaux chain as well as a cooking school and library. http://www.cjad.com/node/1174275
  7. Un Québec souverain devrait envisager le dollar américain 17 février 2010 | 18h38 Argent Dans l'éventualité où le Québec devenait souverain, ce nouveau pays devrait envisager d'adopter comme devise le dollar américain, selon Jean-François Lisée, directeur exécutif du Centre d'études et de recherches internationales (CERIUM). À son avis, l'importance grandissante du pétrole dans l'économie canadienne risque d'avoir des conséquences pour les provinces qui ne produisent pas l'or noir, en causant des pertes d'emplois dans le secteur manufacturier. Selon des études d'économistes d'Ottawa, d'Amsterdam et du Luxembourg citée par M. Lisée, le pays a déjà perdu 54 % de ses emplois manufacturiers depuis cinq ans, soit environ 55 000 emplois au Québec. En fait, le pays pourrait être victime du mal hollandais, dont le principe veut qu'un État misant beaucoup sur l'exportation de ses ressources naturelles fait ainsi augmenter la valeur de sa devise, ce qui nuit à ses autres exportations. Qu'il provienne du large de Terre-Neuve-et-Labrador ou des sables bitumineux de l'Alberta, plus le Canada exportera du pétrole affirme M. Lisée, et plus le huard va s'apprécier. Selon les prévisions, la production pétrolière du Canada devrait doubler dans la prochaine décennie, et doubler une fois de plus la décennie suivante. Ce qui laisse une perspective sombre pour des provinces comme le Québec. « Pour des compagnies comme Bombardier ou bien d'autres qui exportent leurs produits en dollar canadien, plus la valeur du dollar augmente, et plus il est difficile d'exporter », explique-t-il. « Être une province productrice de pétrole, c'est merveilleux d'un point de vue économique. Mais être une province, même de services, dans un pays producteur de pétrole, c'est autre chose. L'augmentation du dollar n'est pas un atout, mais un obstacle, et c'est sans compter l'augmentation du prix du pétrole », poursuit-il. Aussi longtemps qu'une province fait partie du Canada, la question d'adopter le dollar américain ne se pose pas et il faut s'adapter en conséquence, précise M. Lisée. Mais à son avis, un Québec indépendant devrait se poser la question, d'autant qu'il faut exclure la création d'une monnaie locale. Landry : «La fédération canadienne appauvrit le Québec»17 février 2010 | 17h09 Argent Une journée après la sortie très médiatisée de Lucien Bouchard contre le Parti Québécois et l’option souverainiste, l’ex-premier ministre Bernard Landry a livré aujourd’hui un plaidoyer pour l’indépendance alors qu’il croit que la fédération canadienne appauvrit le Québec. En entrevue avec Argent, M. Landry qui a dirigé la province de 2001 à 2003 a estimé que le contexte de mondialisation fait en sorte que le Québec doit marcher «plus que jamais vers la souveraineté». À lire également : Un Québec souverain devrait envisager le dollar américain «Pour qu’elle soit vivable et qu’on puisse la réguler, la mondialisation doit être sous la surveillance des organisations internationales. Et qui siège dans ces organisations ? Les États membres des Nations Unies», a estimé M. Landry très en verve. Il a pris pour exemple la dernière Conférence sur l’environnement de Copenhague où plusieurs divergences sont apparues entre Ottawa et le Québec sur les émissions de gaz à effet de serre. «On l’a vu à Copenhague, le cancre qui est le Canada parle au nom du Québec qui est le premier de classe. C’est comme cela à l’OMC et c’est comme cela partout», a-t-il indiqué. Cela fait en sorte que le Canada impose souvent des choix aux Québécois qui ne sont pas en concordance avec les besoins et ses aspirations, constate-t-il. «Est-ce que le Québec achèterait des chars d’assaut et des avions de combat ? Est-ce que le Québec serait en Afghanistan ? Je crois qu’on contribuerait à la paix mondiale mais en fabriquant des hôpitaux de campagne, on ferait des missions humanitaires. Mais on ne se comporterait pas comme une grande puissance et le Canada n’en est pas une», a-t-il dit. Situation alarmante du Québec dans le Canada Encore plus préoccupante est la situation du Québec à l’intérieur du Canada croit l’ancien chef du Parti Québécois, position qu’il a occupé de 2001 à 2005. «On envoie 50 % de nos taxes et impôts à Ottawa comme une province et on a la responsabilité de la santé, de l’éducation et de l’aide sociale. J’ai été ministre des Finances du Québec et ce n’est pas vivable», a-t-il indiqué. Selon lui, il s’agit même d’une position largement partagée par plusieurs grands argentiers du Québec dans l'histoire récente. «On se rappelle que Gérard D. Lévesque (ancien ministre libéral des Finances) disait : ‘Ottawa nous étrangle’. Yves Séguin un autre Libéral affirmait aussi : ‘Ottawa nous vampirise’. Donc on se fait étrangler, vampiriser et on va se dire : ‘Ce n’est pas grave, ce n’est pas urgent’. Il faut se réveiller», a-t-il estimé. Le système de péréquation instaurée au Canada et dont le Québec profite ne trouve pas non plus grâce aux yeux de M. Landry. «Le Canada ne marche pas. La péréquation date de 40 ans. On était une province pauvre à ce moment et on en est encore une. Et même l’Ontario va en toucher. Mais qu’est-ce que c’est cette fédération ?», s’est-il demandé. M. Landry croit que le Québec a tout le potentiel économique pour aller vers la souveraineté. Selon lui, l’industrie du jeu vidéo – 6000 emplois à Montréal – et l’hydroélectricité sont des pierres angulaires du développement économique québécois. «On a tout. On a l’intelligence, la créativité, Bombardier, SNC-Lavalin et les richesses naturelles. Qu’est-ce qui nous faut de plus ?», a-t-il lancé. Du côté politique, M. Landry affirme que la sortie de M. Bouchard est «désolante» et qu’elle envoie un message contradictoire au Canada et à la communauté internationale. Il affirme être encore passionné par la souveraineté et il souhaite encore «mener le combat». «Je n’arrête jamais d’en parler. Je respecte les adversaires. Et je suis sûr que cette cause est celle du destin du Québec et que cela va se faire un jour… J’espère le plus tôt possible», a indiqué M. Landry.
  8. Vers une période soutenue de croissance au Canada Publié le 25 mai 2009 à 16h19 | Mis à jour à 16h22 La Presse Canadienne, Ottawa Les Canadiens peuvent s'attendre à une période soutenue de solide croissance au cours de la décennie à venir, mais cette période sera différente de la plus récente qui s'est soldée par un effondrement de l'économie, selon un rapport de la Banque CIBC.(T.TCM) La prochaine décennie verra l'économie mondiale changer de façon fondamentale, mais aura aussi des airs de déjà-vu pour le Canada puisque l'ouest du pays retrouvera sa place au premier plan, le dollar canadien sera fort et la valeur des actions montera en flèche, affirment les économistes de la CIBC. L'économie canadienne dépendra moins des consommateurs ou des Etats-Unis, ce qui constituera pour elle le plus important changement, ont écrit dans leur rapport les économistes Avery Shenfeld et Benjamin Tal. Dans l'ensemble, les deux spécialistes dressent un portrait rose d'une décennie qui se mettra en branle lentement l'an prochain, mais qui démarrera vraiment grâce à la croissance mondiale et la poussée de la demande des consommateurs dans les économies émergentes comme la Chine et l'Inde, de même que dans les pays riches en pétrole comme les nations membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et la Russie. «Je suis optimiste, en particulier par rapport à ceux qui disent que l'économie s'est enfoncée dans un trou si profond (...) que nous allons en payer le prix», a indiqué M. Shenfeld, économiste principal à la CIBC. «Ce n'est pas parce que la croissance de la dernière décennie reposait de façon exagérée sur un effet de levier que nous sommes condamnés à une lente décennie de croissance mondiale», a-t-il ajouté. L'économie du Canada sera stimulée par les exportations, en particulier celles des produits de base, dont les prix retrouveront une partie de leur lustre grâce à la hausse de la demande dans les marchés en pleine croissance. «Nous n'allons pas rompre nos liens avec l'économie américaine, mais la nature de ce que nous vendons dans le monde sera beaucoup plus déterminée par la demande en provenance de l'Extrême-Orient. Même (dans le cas des matières premières) que nous vendons aux Etats-Unis, les prix seront davantage déterminés par l'Extrême-Orient», a indiqué M. Shenfled. La baisse de l'importance des Etats-Unis aura un impact sur le dollar américain, qui perdra 20 pour cent de sa valeur au cours de la décennie, selon le rapport. En contrepartie, la valeur du huard sera de nouveau supérieure à celle du dollar américain. Cela aura un effet négatif sur le secteur manufacturier du Canada central et les exportations de produits forestiers, mais profitera au secteur des ressources de l'Ouest.
  9. Ottawa 4,2 M$ octroyés à 12 organismes artistiques montréalais La Presse Canadienne Lia Lévesque 24/04/2009 12h56 Le gouvernement fédéral, qui avait fait des compressions de 45 millions $ dans divers programmes culturels, juste avant l'élection, vient d'annoncer l'octroi de 4,2 millions $ à 12 organismes artistiques de la région de Montréal. Le ministre du Patrimoine canadien James Moore s'est déplacé à Montréal, aujourd'hui, pour en faire l'annonce, devant plusieurs représentants des groupes visés. Cette somme est versée par Ottawa en proportion des dons reçus de la part des entreprises privées par ces mêmes organismes. Ainsi, pour chaque dollar recueilli de la part des entreprises privées par ces organismes, Ottawa verse 72 cents, a précisé le ministre Moore. Au cours d'une rencontre avec la presse, le ministre Moore a précisé qu'il s'agissait-là d'une amélioration par rapport à l'an dernier, alors que son ministère avait attribué 52 cents pour chaque dollar recueilli du privé. Parmi les 12 organismes ainsi soutenus, on note les Grands Ballets canadiens, l'Orchestre symphonique de Montréal, l'Ecole nationale de théâtre, l'Ecole nationale du cirque, le Festival international de Lanaudière, l'Orchestre de chambre I Musici, la Compagnie Jean Duceppe et les Jeunesses musicales du Canada. Interrogé à savoir si cet appui financier devait permettre de compenser en partie les compressions de 45 millions $ dans les programmes culturels, notamment ceux comme Routes commerciales qui soutiennent les tournées à l'étranger, le ministre Moore a nié que son gouvernement ait réduit les sommes affectées à la culture. «C'est vrai qu'il y avait des programmes inefficaces, par exemple Routes commerciales, qui a coûté 5 millions $ pour livrer 2 millions $ de bénéfices. Alors c'était un programme qui était franchement irresponsable de continuer. Alors on n'a pas continué le programme, mais on a continué avec nos investissements sans précédent pour aider nos artistes, ici au Canada et à l'étranger», a commenté le ministre Moore. Des organismes présents à la conférence du ministre se sont toutefois montrés plus critiques.
  10. La Caisse de dépôt et placement dévoile une perte globale de 39,8milliards de dollars en 2008 attribuable essentiellement aux fluctuations du dollar canadien et à l'importante détention de papiers commerciaux. Pour en lire plus...
  11. La compagnie montréalaise attribue essentiellement ce redressement à la dépréciation rapide du dollar canadien au deuxième trimestre. Pour en lire plus...
  12. http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/alain-dubuc/200812/21/01-812280-recession-le-mystere-quebecois.php Alain Dubuc, collaboration spéciale La Presse Le Québec résiste mieux à la crise mondiale que les États-Unis, ou que son éternelle rivale ontarienne. L'emploi a augmenté en novembre au Québec quand il plongeait en Ontario. Les spécialistes prévoient une récession technique pour le Québec, tandis que l'économie ontarienne sera clairement en recul. Comment se fait-il que notre économie, dont la performance n'est pas exceptionnelle, semble vouloir s'en tirer relativement bien, ou plutôt moins mal? Je vous propose les fruits de ma réflexion sur le sujet, et quelques pistes d'explication de l'exception québécoise. Le bouclier canadien. Il y a d'abord un phénomène canadien, dont le Québec profite comme la plupart des régions, à l'exception notable de l'Ontario. Le Canada résiste à la crise mieux que la plupart des pays industrialisés notamment parce que son système bancaire a échappé aux pires dérapages. Ici, les consommateurs n'ont pas été appauvris par du chômage massif ou une crise de l'immobilier. Les gens sont inquiets et prudents, mais ils ont autant d'argent dans leurs poches que l'an dernier, ce qui explique qu'il n'y a pas eu d'effondrement de la demande domestique. Les limites de la dépendance. Le choc de la crise pour le Québec s'exprime surtout par nos exportations vers les États-Unis, notre principal marché extérieur qui compte pour le quart de notre activité économique. Mais même en récession, les Américains continuent d'acheter. Durant les 10 premiers mois de cette année, les exportations québécoises ont augmenté de 2,5%. C'est moins que d'habitude, certaines industries sont plus touchées, mais ce n'est pas une chute. N'oublions pas non plus qu'une baisse de 1% de nos exportations vers les États-Unis représente seulement un recul de 0,25% de notre PIB. Le facteur temps. Une partie du choc de la crise américaine a déjà été absorbée. La crise immobilière et l'effondrement de l'industrie de la construction ont frappé il y a deux ans, avec un impact majeur sur notre industrie forestière. De la même façon, l'industrie manufacturière a été mise à mal par la hausse brutale du dollar canadien en 2006 et 2007, avec des pertes d'emplois importantes. Tant et si bien que les entreprises qui ont survécu à ce choc sont en bonne position pour résister. La dévaluation du dollar. L'impact négatif de la contraction de la demande américaine a été compensé par la dévaluation importante du dollar canadien. À parité en début d'année, il est maintenant aux alentours de 80 cents. Cela peut permettre à nos exportateurs de réduire leurs prix aux États-Unis, et de maintenir leur volume de ventes. La structure industrielle. Les industries sont affectées très différemment par la conjoncture. L'automobile est en crise, l'aérospatiale est encore en essor. L'Ontario, où se concentre l'industrie automobile, est donc frappée de plein fouet. Tandis qu'au Québec, grâce à l'aéronautique, les ventes manufacturières étaient en hausse au Québec en octobre. Notre médiocrité relative. Les régions canadiennes les plus touchées sont celles qui ont connu l'euphorie économique des dernières années. L'Alberta est touchée par la baisse du prix du brut. Toronto, notre capitale financière, a roulé sur l'or en profitant abondamment de la frénésie financière. Parce qu'elle n'a pas connu de sommet, Montréal, qui n'est ni un grand centre financier ni un producteur pétrolier, ne peut pas tomber de haut. On le voit par le prix des maisons, qui augmente encore à Montréal, mais pas à Toronto ou à Calgary. Le déclin démographique. Le Québec arrive au stade où sa population active va baisser. On connaît donc des pénuries d'emplois dans plusieurs industries, régions et métiers. Cette rareté de la main-d'oeuvre permet d'atténuer l'impact de la tourmente sur le marché du travail. Les politiques gouvernementales. Tout le monde parle de l'importance d'injecter des fonds publics pour contrer le ralentissement, notamment par des travaux d'infrastructure. Le problème, c'est que les bulldozers risquent de se mettre à rouler quand la récession sera terminée. Sauf au Québec où le gouvernement Charest a annoncé il y a un an et demi un très vaste programme d'infrastructures qui a atteint son rythme de croisière à temps pour atténuer les effets du ralentissement. Ces facteurs permettent de comprendre pourquoi le Québec a mieux résisté jusqu'ici. Est-ce que cela signifie que le choc de la crise sera moins fort ici, ou qu'il sera seulement retardé? Je penche pour la première hypothèse. Et c'est ma façon de vous souhaiter de joyeuses Fêtes.
  13. Selon Jean-Marc Bourgineau, analyste de marché chez Jitney Trade, le huard serait bien près d'arrêter sa chute. Pour en lire plus...
  14. Les Bourses nord-américaines sont en territoire négatif après l'annonce de pertes d'emplois massives aux États-Unis et au Canada en novembre. Le pétrole et le dollar canadien suivent la tendance baissière. Pour en lire plus...
  15. Toute cette incertitude qui secoue le pays depuis quelques jours ne pèse pas très lourd sur le dollar canadien, estiment deux économistes. Pour en lire plus...
  16. Pour le sixième mois d'affilée, le dollar canadien a faibli face au billet vert en novembre. Pour en lire plus...
  17. Les prix de ces produits sont demeurés inchangés au Canada en octobre par rapport à septembre, la forte dépréciation du dollar canadien ayant annulé l'effet négatif de la baisse des prix du pétrole raffiné. Pour en lire plus...
  18. Le sauvetage n'a pas suscité l'enthousiasme en Bourse seulement. La décision du gouvernement américain profite largement du dollar canadien et au pétrole lundi. Pour en lire plus...
  19. Vers 12h30, le huard perdait 2,15 cents US pour pointer à 77,68 cents US. La montée du dollar américain et la baisse marquée du prix du pétrole «n'aide sûrement pas» le huard. Pour en lire plus...
  20. Le dollar canadien s'échangeait à 85,22 cents US lundi, à l'ouverture des marchés, en hausse de 1,04 cent par rapport à la clôture de vendredi dernier. Pour en lire plus...
  21. Les exportations du Québec profiteront de la baisse du huard 7 novembre 2008 - 06h42 La Presse Vincent Brousseau-Pouliot Le Québec devrait voir ses exportations augmenter de 1% l'an prochain en raison de la faiblesse du dollar canadien. Cette année, les exportations du Québec subiront une baisse de 4%, selon les prévisions d'Exportation et développement Canada (EDC). «La légère hausse prévue des exportations du Québec en 2009 découlera en grande partie de la dépréciation prévue de 10% du dollar canadien, mais quand on ne tient pas compte de l'indice du taux de change, les prévisions des exportations de la province sont considérablement plus faibles», a dit hier Peter Hall, économiste en chef de EDC par voie de communiqué. La société d'État fédérale prévoit que les exportations canadiennes resteront stables en 2009, après avoir augmenté de 1% en 2008. Les secteurs de l'énergie (-9%) et des biens de consommation (-5%) seront particulièrement touchés l'an prochain. Conséquence de la récession prévue aux États-Unis, le Canada verra ses exportations en sol américain diminuer de 2% l'an prochain. Elles sont restées stables en 2008.
  22. Le Québec devrait voir ses exportations augmenter de 1% l'an prochain en raison de la faiblesse du dollar canadien. Pour en lire plus...
  23. La ralentissement fait mal aux cours du pétrole et par ricochet au dollar canadien. Tout près de la mi-journée, le baril de «light sweet crude» s'échangeait à 60,75 $, en baisse de 4,55 $. Pour en lire plus...
  24. Les prix du pétrole rebondissaient mardi à l'ouverture des échanges à New York soutenus par la hausse des marchés actions européens et le recul du dollar. Pour en lire plus...
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