Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'besoin'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

Aucun résultat à afficher.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

20 résultats trouvés

  1. Swatow transformera le Quartier chinois 6 septembre 2007 - 06h00 La Presse Éric Clément Photo fournie par Alain Hui de Hui architecte L'édifice Swatow de six étages et deux sous-sols sera construit à la place du bâtiment actuel de deux étages situé au 998, boulevard Saint-Laurent, et dont les deux terrains adjacents, situés entre la rue Clark et le boulevard, sont inoccupés. Ce bâtiment, qui abrite un commerce d'importation de produits asiatiques (Swatow import-export inc.), appartient à M. Cheung. Celui-ci a décidé d'agrandir son magasin et de se lancer dans l'immobilier en créant Développement Swatow pour construire le centre commercial et louer des espaces à des commerçants et des entrepreneurs. «Il y a beaucoup d'immigrants investisseurs chinois qui veulent ouvrir leur commerce ou leur entreprise dans le Quartier chinois et ils manquent d'espace donc je pense que le centre commercial va combler un besoin et apporter quelque chose de nouveau dans le quartier», dit M. Cheung. Au premier sous-sol du Swatow, il y aura un quai de chargement et 36 places de stationnement. Le deuxième sous-sol sera occupé par un gros supermarché alimentaire. Au rez-de-chaussée, il y aura un foyer et des commerces de grande surface, tandis que les deuxième, troisième et quatrième étages seront réservés aux petites boutiques. Des bureaux professionnels occuperont le 5e étage tandis qu'un restaurant chinois panoramique d'une centaine de places se trouvera au dernier étage, où un couronnement chapeautera le bâtiment. «On pourra voir les feux d'artifice du pont Jacques-Cartier depuis le restaurant panoramique», dit l'architecte du projet, Alan Hui. Les travaux devraient commencer au début de l'an prochain afin que l'édifice soit prêt pour les fêtes de fin d'année de 2008. Ce projet de 20 millions déroge, en ce qui concerne la hauteur, au Règlement d'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie, les bâtiments du quartier étant principalement de trois ou quatre étages. L'édifice de 23 m de hauteur sera le plus haut du quartier. De plus, la grandeur et la forme des fenêtres du projet ne sont pas du même style, tant s'en faut, que l'architecture locale du Quartier chinois, notamment avec celui du bâtiment situé juste au sud du projet et dont la valeur patrimoniale est notable, même s'il aurait besoin d'être restauré. L'arrondissement a toutefois donné son accord au projet en autant que le promoteur place le 6e étage du bâtiment légèrement en retrait et travaille un peu plus l'aspect de la façade donnant sur Saint-Laurent. De plus, l'administration du maire Labonté a demandé au promoteur de prévoir un quai de chargement en sous-sol pour éviter une congestion régulière de la rue Clark près de la rue Viger. Le directeur de l'Aménagement urbain et des Services aux entreprises de Ville-Marie, Pierre Sainte-Marie, explique que le promoteur devra faire des améliorations à son projet s'il veut avoir rapidement le permis de construire. «Ce projet particulier d'urbanisme a été approuvé au conseil d'arrondissement du mois d'août et la prochaine étape, c'est en effet la révision architecturale, dit-il. Le comité consultatif d'urbanisme devra être satisfait du traitement architectural apporté pour que ça s'intègre bien au boulevard Saint-Laurent.»
  2. Les condominiums Les Cours Mitchell sont situés dans l’arrondissement de Saint-Laurent, à moins d’une minute à pied du métro Du Collège. Ce quartier qui compte plus de 400 ans d’histoire est desservi par un réseau important d’autoroutes, de métros, de trains et d’autobus qui facilitent les déplacements vers le centre-ville et partout ailleurs sur l’île et en banlieue. Plusieurs parcs sont aménagés à proximité et le quartier compte de nombreux commerces, ainsi que tous les services utilitaires dont vous aurez besoin. L’architecture des Cours Mitchell est pensée en harmonie avec l’arrondissement de Saint-Laurent, développant ainsi un solide lien avec le voisinage. Les bâtiments sont construits en styles distinctifs selon un plan d’intégration donnant accès à de merveilleux jardins paysagers et espaces verts dans un environnement paisible. Plusieurs condominiums offrent même un point de vue sur le mont Royal ! http://www.coursmitchellphased.com/fr/
  3. Bon bien j'ai pas trouve d'autre place ou mettre cela mais il y a des travaux de réfection dans ce parc et c'est tant mieux il en avait de besoin ! Le mur était tout détruit. De plus des arbustes ont été ajoute a la place du gazon qui arrivait pas a pousser.
  4. J'ai vu hier le panneau pour un petit projet de 9 condos, incluant un usage commercial au rez-de-chaussé, au coin de la rue Henri-IV et du boulevard Saint-Laurent avant d'arriver dans la Petite-Italie. Ça me semble bien à première vue, j'avoue que ce secteur en a bien besoin. http://www.lehenri-iv.com/p/accueil.html
  5. Voilà une confirmation de l'information que Malek nous avais partager! Le Complexe sportif Guimond verra le jour Deux nouvelles glaces pour le hockey Courrier Laval par Sylvain Lamarre Article mis en ligne le 16 juin 2009 à 14:23 Un nouveau joueur vient de s’ajouter dans le dossier du manque d’heures de glace à Laval. Le Groupe Guimond construit un complexe de deux glaces au coût de 5,5 millions. Les travaux de construction ont débuté le 18 mai dernier. Le nouvel amphithéâtre sera situé du côté Nord de l'autoroute 440, entre l'autoroute 13 et le boulevard Labelle. Le Complexe sportif Guimond, qui comptera deux glaces de petite dimension (60 pieds X 130 pieds), devrait voir officiellement le jour à la mi-septembre. Outre les deux glaces, le projet abritera une salle de préparation physique, une salle de musculation, huit vestiaires dédiés aux équipes sportives, une salle de projection, un restaurant santé, une boutique, une glace synthétique, etc. «Nous avons voulu créer un centre de développement pour le hockey», précise Éric Guimond du Groupe Guimond, lors d’un entretien téléphonique accordé au Courrier Laval Entraîneur à Vimont, Éric Guimond a eu la brillante idée de construire un aréna. «J’étais tanné de me lever tôt et d’aller faire des pratiques ailleurs qu’à Laval. J’ai lancé l’idée de construire un deux glaces. Nous allons régler le problème», précise-t-il. «J’ai encore dix ans de bénévolat à donner au hockey et je veux le faire à Laval», poursuit-il. Ce bénévole a la profonde conviction que le Complexe sportif Guimond offrira un nouveau souffle aux équipes de hockey. «Nous manquons de glace à Laval pour le hockey, le patinage artistique, le patinage de vitesse et la ringuette. Le besoin était là.» 500 heures pour Hockey Laval Les responsables d'organisations de hockey mineur de Laval auront à leur disposition, dès septembre, deux nouvelles patinoires intérieures d'entraînement. Hockey région Laval a d’ailleurs signé un contrat de location de 500 heures de glace pour ses équipes lavalloises. Le président de l'organisme sportif, Michel Demers, affirme que l'arrivée de ce complexe vient combler un besoin. «Nous avons besoin de glace. Nous ne faisons plus affaire avec Bourassa, car cette région est devenue Montréal. Nous avons besoin de glaces demain matin.» Éric Guimond avoue qu’il n’a pas encore fait de publicités et que déjà le projet fonctionne à plein régime. «Je croyais que nous aurions un peu de difficulté à louer les heures, mais nous sommes remplis à 80%. Une Ligue de 3 contre 3 a vu le jour. La demande est forte.» Le Groupe Guimond n'a reçu aucune subvention pour réaliser ce complexe. Le Groupe Guimond a notamment construit le fameux Complexe sportif de soccer Bois-de-Boulogne en août 2004.
  6. Selon un rapport de la CREPUQ Les universités du Québec ont besoin de rénovations Agence QMI Jean Nicolas Aubé 08/06/2009 09h45 Après avoir été négligées pendant une trentaine d’années, les infrastructures des universités du Québec auraient actuellement besoin de plus de 1,5 milliard de dollars en rénovations. Selon un rapport commandé par le ministère de l’Éducation (MEQ), les 18 universités québécoises auraient précisément besoin de 1, 542 300 $ afin de ramener l’état de leurs infrastructures à un niveau jugé acceptable. Le rapport réalisé l’année dernière par la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ) recommande rien de moins que 5771 interventions soient rapidement réalisées dans les universités de la province. Du nombre on parle par exemple de systèmes de ventilation désuets, de toitures qui fuient ou de façades d’édifices qui perdent des morceaux. L'étude avance même que, vu le très mauvais état des infrastructures, il faudrait investir 100 millions $ chaque année pendant quinze ans afin de remettre en état les immeubles des 18 universités québécoises. Montréal au sommet de la liste Parmi tous les établissements universitaires du Québec, c’est principalement ceux de Montréal qui sont dans le besoin selon les résultats de l’étude publiée ce matin dans La Presse. En fait, sur les six établissements requérant le plus grand nombre d’interventions au Québec, cinq sont montréalais. On retrouve en première position, avec 622 millions $ de rénovations requises, l’Université McGill. Elle est suivie de près par l’Université de Montréal, l’Université Laval à Québec, la Polytechnique, l’Université Concordia et l’UQAM. Fait à noter, les deux tiers des travaux répertoriés dans cette étude doivent être réalisés immédiatement ou d’ici deux ans. Québec consacre actuellement 42 millions $ par année à l'entretient et à la rénovation de ses infrastructures universitaires. Les données de cette étude datent de 2007. Elles n’avaient jamais été rendues publiques par le MEQ.
  7. Un urgent besoin de liquidités pourrait inciter AbitibiBowater à vendre ses actions dans la centrale McCormick de Baie-Comeau au géant de l'aluminium Alcoa. Pour en lire plus...
  8. Je suis à la recherche d'une photo datant des années 80 et d'un peux d'information général. Les plus âgés pourront m'aider ici. Vous rappelez vous de l'édifice qui enjambait le boulevard de Maisonneuve, je crois à la hauteur de Drummond ou de la Montagne. je ne m'en rappel que vaguement. Quel était la vocation et le nom de cet édifice et quelqu'un a-t'il une photo de ça. Ma conjointe ne s'en rappel pas du tout et comme moi elle est en début trentaine mais elle n'arrive pas à s'en rappeler. J'ai besoin des gars ici pour pouvoir prouver que j'ai raison. Allez les boyz, de l'aide.
  9. La banque centrale américaine doit inventer «des mécanismes alternatifs» maintenant que ses taux directeurs ont été ramenés à pratiquement zéro. Pour en lire plus...
  10. Votre mariage s'en va à vau-l'eau. Votre voisin vous fait des misères. Votre entrepreneur vous laisse en plan. Votre fils fait une bêtise. Vers qui se tourner quand le besoin juridique se fait sentir? Pour en lire plus...
  11. Paolo Oliveira, propriétaire du Café Méliès, sur le boulevard Saint-Laurent, n'a pas vraiment besoin de consulter les cours de la Bourse pour savoir si les marchés sont à la baisse. Pour en lire plus...
  12. Intégration difficile des immigrés au marché du travail 21 novembre 2008 - 06h37 La Presse Vincent Brousseau-Pouliot Déclenchée sur fond de crise financière, la campagne électorale québécoise accorde une grande place à l'économie. Comme les partis politiques ont décidé d'en faire leur principal enjeu électoral, La Presse Affaires leur pose cette semaine cinq grandes questions économiques. Aujourd'hui : faut-il augmenter l'immigration afin de régler la pénurie de main-d'oeuvre ? Carlos Leitao est né au Portugal. Il a suivi ses parents au Québec à l'âge de 17 ans. Trente-cinq ans plus tard, il est l'un des économistes les plus réputés de sa terre d'adoption - l'agence Bloomberg le place même au deuxième rang des meilleurs économistes en Amérique du Nord! S'il y a un économiste qui devrait penser que l'immigration peut régler le problème de pénurie de main-d'oeuvre au Québec, c'est bien lui. Et pourtant, l'économiste en chef de la Banque Laurentienne ne croit pas à cette théorie. «Il faut augmenter le nombre d'immigrants, mais pas pour régler la pénurie de main-d'oeuvre, dit Carlos Leitao. J'ai une vision plus humaniste de l'immigration. Pour la pénurie de main-d'oeuvre, la solution numéro un reste la formation de la main-d'oeuvre. Dans ce contexte-là, on peut toujours aller chercher des immigrants dans des domaines spécialisés, mais l'immigration ne réglera pas la pénurie de main-d'oeuvre de façon générale.» Carlos Leitao sait de quoi il parle. Pendant qu'il faisait ses études en économie, ses parents gagnaient honorablement leur vie dans l'industrie du vêtement et de la construction. Aujourd'hui, la famille Leitao aurait beaucoup plus de difficulté à joindre les deux bouts dans la même situation. «L'économie québécoise a beaucoup changé au cours des 35 dernières années, dit-il. Quand mes parents sont venus au Québec, il y avait plein d'emplois non spécialisés avec lesquels il était tout à fait faisable de mener un niveau de vie décent. Ce genre d'emplois est très rare aujourd'hui.» Les plus récentes statistiques concluent que l'intégration des immigrants au marché du travail se fait plus difficilement au Québec que dans le reste du Canada. Selon Statistique Canada, le taux de chômage chez les immigrants est supérieur de 1% au taux de chômage moyen des Canadiens en 2007 (7,0% pour les immigrants canadiens contre 6,0% pour les Canadiens en général). Au Québec, l'écart est de 3,3% (10,5% pour les immigrants québécois contre 7,2% pour les Québécois en général). Selon une étude du professeur Pierre Fortin, les nouveaux arrivants au Québec (moins de cinq ans de séjour) ont beaucoup plus de difficultés à trouver un emploi que ceux qui s'établissent en Ontario. Chez les minorités visibles (arabe, africaine, sud-asiatique, orientale, etc.), l'écart du taux de chômage des immigrants par rapport à celui de la population en général est de 16% au Québec contre 6% en Ontario. Quant aux immigrants de race blanche, l'écart par rapport à la moyenne provinciale est de 11% au Québec contre 4% en Ontario. «La situation économique des immigrants au Québec est tragique comparativement à celle des autres provinces du pays, dit Pierre Fortin, qui enseigne l'économie à l'UQAM. Le Québec intègre très mal ses immigrants à son économie.» Même si le taux de chômage des immigrants est plus élevé que la moyenne québécoise, le gouvernement Charest soutient que les choses s'améliorent. L'an dernier, le taux de chômage des immigrants québécois est passé de 12,0% à 10,2%. Les immigrants arrivés au Québec depuis moins de trois ans font encore mieux: leur taux de chômage a diminué de 13,4% à 10,7% l'an dernier, selon les chiffres d'Emploi-Québec. Au cours des prochaines années, le gouvernement Charest espère attirer environ 9000 immigrants supplémentaires au Québec - ce qui porterait le total à 50 000 nouveaux arrivants annuellement. Un contingent qui comblerait une partie des 700 000 emplois disponibles au Québec d'ici 2011. «Si nous ne réglons pas la pénurie de main-d'oeuvre, ça peut signifier une décroissance économique pour le Québec», dit le ministre québécois de l'Emploi et de la Solidarité sociale Sam Hamad, lui-même né à Damas, en Syrie. Selon la plupart des économistes, l'idée du gouvernement Charest d'accepter plus d'immigrants ne règlera pas le fond du problème: l'intégration difficile des immigrants au marché du travail québécois. «Il y a encore beaucoup de contraintes qui font en sorte que des immigrants médecins ou ingénieurs ne sont pas capables de pratiquer leur métier au Québec, dit Yves St-Maurice, économiste en chef adjoint du Mouvement Desjardins. Faire immigrer des médecins de l'extérieur pour les faire travailler dans un Tim Hortons, ça ne donne rien.» Mauvaise nouvelle pour les futurs immigrants québécois: leur intégration risque de continuer d'être difficile au cours des prochaines années. Le problème: ils sont surqualifiés! Près de la moitié - 48% en 2006 - des immigrants québécois détiennent une formation universitaire. Or, le Québec aura surtout besoin de nouveaux travailleurs dans les secteurs techniques d'ici 2011. Selon les prévisions d'Emploi-Québec, le Québec formera suffisamment de diplômés universitaires afin de combler les emplois universitaires disponibles sans l'apport de l'immigration. Le ministre Hamad tempère les conclusions de son ministère. Selon lui, il y a un besoin urgent d'immigrants qualifiés dans certains domaines universitaires comme l'ingénierie. «Nous avons besoin d'ingénieurs au Québec à l'heure actuelle, dit-il. Et avec les travaux d'infrastructures qui auront lieu au cours des prochaines années, il faudra des ingénieurs supplémentaires.» Conscient des défis entourant l'intégration des immigrants, le ministre Hamad fait valoir que le Québec a modifié ses critères d'évaluation des demandes d'immigration afin de mieux refléter les besoins de son marché du travail. «Nous croyons que l'immigration peut combler nos besoins de main-d'oeuvre», dit-il. L'économiste Pierre Fortin n'est pas d'accord avec les conclusions du ministre Hamad. «Avant d'augmenter le nombre d'immigrants, qu'on concentre plutôt nos efforts sur ceux qui sont déjà chez nous, dit-il. Nous sommes déjà débordés de néo-Québécois qu'on est incapable d'intégrer.» POUR Le Québec a besoin de 700 000 nouveaux travailleurs d'ici 2011. Près de la moitié des immigrants québécois ont un diplôme universitaire. CONTRE L'intégration des immigrants au marché du travail se fait plus difficilement au Québec que dans le reste du Canada. Au cours des prochaines années, le Québec aura surtout besoin de nouveaux travailleurs dans les secteurs techniques et non dans les secteurs universitaires. LA PÉNURIE DE MAIN-D'OEUVRE EN CHIFFRES 2012 Début de la crise de la pénurie de main-d'oeuvre (la population d'âge actif commencera alors à décliner au Québec...) 700 000 Nombre d'emplois à combler au Québec d'ici 2011 246 000 Nouveaux emplois engendrés par la croissance économique d'ici 2011 454 000 Emplois disponibles à la suite de départs de la retraite d'ici 2011 L'IMMIGRATION EN CHIFFRES 26 509 Nouveaux immigrants au Québec en 1998. 46 300 Nouveaux immigrants au Québec en 2007. 50 000 Pourcentage des immigrants québécois qui sont des immigrants économiques (en 2006). 41%
  13. Cette industrie a besoin d'une aide immédiate de l'État pour espérer survivre et n'est pas en état d'attendre fin janvier que Barack Obama s'installe au volant de la première économie mondiale. Pour en lire plus...
  14. L’institution dit qu’elle «fournira des liquidités au besoin afin de soutenir la stabilité du système financier canadien et le fonctionnement des marchés financiers». Pour en lire plus...
  15. Comme les prix de l'essence sont clairement affichés à la vue de tous, il faut être «naïf» pour croire que les détaillants ont besoin de recourir à la collusion, a lancé le PDG Alain Bouchard. Pour en lire plus...
  16. L'industrie de la construction du Manitoba aura besoin de 10 000 nouveaux travailleurs d'ici 2016. Pour en lire plus...
  17. Fannie Mae et Freddie Mac, les deux géants américains du refinancement hypothécaire en difficultés, se sont dits dimanche «reconnaissants» des mesures annoncées par le Trésor et la Réserve fédérale, tout en répétant ne pas avoir besoin de capitaux dans l'immédiat. Pour en lire plus...
  18. La Banque mondiale estime que les pays pauvres nécessiteront une aide de 6 milliards de dollars par année. Pour en lire plus...
  19. Le professeur Jean-Marc Suret soutient que l'économie québécoise n'a plus besoin de ces fonds parce que le capital de risque abonde. Pour en lire plus...
  20. Presse Canadienne 05/03/2007La Fédération canadienne des municipalités et son Caucus des maires des grandes villes pressent le gouvernement du Canada d'adopter une stratégie nationale de transports en commun comportant des mesures concrètes pour s'attaquer aux changements climatiques, mais également pour accroître la compétitivité des villes et améliorer la qualité de vie. L'Association canadienne du transport urbain estime que les réseaux de transports en commun du pays ont besoin de 20,7 milliards $ pour leurs infrastructures d'ici à 2010. Gérald Tremblay, maire de Montréal, croit que le transport en commun accroît l'attractivité et la compétitivité des régions métropolitaines. Il rappelle que le secteur des transports représente 30 pour cent des émissions de gaz à effet de serre du Canada, et les véhicules particuliers produisent, à eux seuls, 70 pour cent des émissions de ce secteur. Compte tenu qu'un autobus peut transporter autant de passagers que 50 voitures et qu'il pollue 18 fois moins, il serait logique de convaincre les Canadiens de ranger leur voiture et de prendre les transports en commun, selon les maires. Les maires reconnaissent que le gouvernement fédéral investit déjà dans les transports en commun, mais ils soutiennent que les besoins sont de beaucoup supérieurs aux gestes fédéraux consentis. Les maires demandent aussi d'intégrer l'aménagement du sol et la planification des transports, d'adopter des mesures pour inciter la population à choisir les transports en commun, de mener des recherches pour stimuler l'utilisation des transports en commun et de mettre en oeuvre des mesures de reddition de comptes visant tous les ordres de gouvernement. L'Association canadienne du transport urbain estime que les réseaux de transports en commun du pays ont besoin de 20,7 milliards $ pour leurs infrastructures d'ici à 2010.
×
×
  • Créer...