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  1. Quelle bonne nouvelle! J'ai toujours trouvé ridicule que les commerces soient fermés le samedi soir alors qu'il y a foule sur Ste-Catherine. Publié le 24 novembre 2008 à 11h10 | Mis à jour à 11h16 Heures d'affaires prolongées en fin de semaine Éric Clément La Presse Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, et le ministre du Développement économique, de l'Innovation et des Exportations, Raymond Bachand, ont annoncé ce lundi matin la prolongation des heures d'affaires des commerces du centre-ville de Montréal jusqu'à 20h la fin de semaine dans le but de soutenir le développement économique du coeur de la métropole. Le territoire d'application de cette nouvelle mesure est compris entre l'avenue Atwater à l'ouest, la rue Saint-Urbain à l'est, la rue Sherbrooke ouest au nord et la rue Saint-Antoine au sud. Entre De La Montagne et De Bleury, la zone où cette mesure s'applique va jusqu'à la rue Saint-Jacques voire jusqu'à la rue Notre-Dame ouest pour la zone située entre l'autoroute Bonaventure et la rue de la Montagne.Le maire Tremblay en avait fait la demande à Québec afin d'appuyer la vitalité économique de ce secteur qui comprend 3000 commerces. André Poulin, directeur général de l'organisme Destination centre-ville, qui représente des commerçants, estime qu'avec cette mesure, le centre-ville «pourra mieux desservir sa clientèle».
  2. Le mot et le concept «équitable» ont beau être à la mode, ils n'en demeurent pas moins ambigus pour certains. S'agit-il de produits essentiellement biologiques, de produits achetés dans la communauté qui les produit ou d'un bien provenant d'un pays en voie de développement? C'est un peu tout cela. Pour en lire plus...
  3. Le promoteur immobilier Luc Poirier demande à Québec de prendre une décision rapidement dans le dossier du développement immobilier sur l'île Charron, à Longueuil. Dans une sortie en règle contre «l'immobilisme du gouvernement», Luc Poirier dénonce le manque de vision de la ministre de l'Environnement, Line Beauchamp, qui a imposé un moratoire de deux ans sur le projet, en novembre 2007. Ce moratoire avait pour objectif de permettre au gouvernement de mener des études d'impact environnemental sur le terrain de 20 hectares jouxtant le parc national des Iles-de-Boucherville, sur la Rive-Sud de Montréal.Selon M. Poirier, le gouvernement aurait déjà entre ses mains les résultats de ces études. Il serait donc en mesure de prendre une décision. Pourtant, aucune rencontre n'a été prévue avec le promoteur qui dit avoir présenté un projet novateur et visionnaire en termes de développement durable, notamment par l'utilisation de la géothermie, de toits verts et par le développement du transport en commun. M. Poirier dit faire les frais de l'ambivalence de Québec en devant payer des taxes sur le terrain sans pouvoir le développer, ni le vendre. Il affirme vouloir profiter de la présente campagne électorale pour pousser la ministre Beauchamp à prendre une décision. Rappelons qu'Investissements Luc Poirier a acquis le terrain de l'île Charron de Desjardins Sécurité Financière, en 2006. La transaction avait alors fait l'objet de vives critiques de la part d'organisations environnementales qui craignaient l'arrivée de milliers d'habitants sur cette île où vit notamment une importante population de cerfs de Virginie. Luc Poirier prévoit y construire environ 2500 unités d'habitation. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/200811/21/01-803129-ile-charron-le-promoteur-veut-une-decision-rapide.php
  4. Le CP a indiqué jeudi qu'il réduira ses dépenses en capital l'an prochain d'environ 200 M$ et qu'il suspendra le développement de son réseau nouvellement acquis au Wyoming. Pour en lire plus...
  5. L'Union européenne, les États-Unis et le Japon sont entrés en récession ainsi que les autres pays développés, constate l'Organisation pour la Coopération économique et le développement. Pour en lire plus...
  6. Au moment où l'Allemagne entre officiellement en récession, l'Organisation de coopération et de développement économiques prévoit que l'économie se contractera aux États-Unis, dans la zone euro et au Japon en 2009. Pour en lire plus...
  7. Le ministre du Développement économique prévient l'entreprise d'assemblage de camions qu'elle pourrait devoir rembourser l'Ontario si elle met à pied des travailleurs. Pour en lire plus...
  8. Aujourd'hui, les banques hongroises restreignent les prêts au moment où les investisseurs sortent leur argent des marchés en développement de l'Europe de l'Est et tandis que les devises de la région plongent. Pour en lire plus...
  9. Les principaux projets de développement miniers prévus sur la Côte-Nord au cours des prochaines années devraient se réaliser malgré la crise financière et la chute des titres des ressources naturelles en bourse. Pour en lire plus...
  10. L'engouement des Français pour le Québec se confirme › Le ministère du tourisme du Québec intensifie ses actions sur le marché français. Ainsi pour l’année 2008, le budget consacré à la publicité, à la promotion commerciale et au workshop Destination Québec 2008 s’élève à plus de 1,6 million d'euros. Résultat, depuis l’année 2004, le nombre de touristes français, entrés directement au Québec via les aéroports de Montréal et de Québec, a connu une progression de 8,3 %. Pour la période de janvier à août 2008, la destination enregistre avec 221.846 visiteurs une hausse de 15,3 % par rapport à 2007. A lui seul, le mois d’août, réputé pour la plus forte fréquentation annuelle, a fait un bond de 31 %. Pour continuer sur cette lancée, le Québec se tourne vers de nouveaux objectifs de développement comme le marché des croisières, le Grand Nord ou le développement durable. Le Québec organise aussi ses rencontres professionnelles se tiendront à Paris, le 18 novembre et, pour la première fois à Lyon, le 19 novembre. À Paris, le workshop réunira environ 50 professionnels du tourisme québécois, à la Maison de la Mutualité. A Lyon, une quarantaine d’exposants accueilleront les acheteurs sur un bateau (La Plateforme).
  11. Source: Les Affaires L'éditeur de logiciels Avanquest ouvre à Montréal L'éditeur français de logiciels Avanquest Software annonce l'ouverture d'une filiale canadienne à Montréal, ce qui devrait créer une centaine de postes d'ingénieurs au cours des trois prochaines années. Le nouveau centre de recherche et développement s'ajoutera aux installations d'Avanquest situées en France, aux Etats-Unis et en Chine. Dans un communiqué, Avanquest présente le Canada comme un "véritable vivier de jeunes informaticiens à la pointe des technologies de nouvelle génération", notamment dans les domaines du multimédia et du web. La filiale montréalaise prendra en charge une partie des projets qui constitueront "la pierre angulaire de la stratégie 2008-09 du groupe", a indiqué le président-directeur général et cofondateur d'Avanquest, Bruno Vanryb. Les employés montréalais travailleront à mettre au point des composants logiciels dans les domaines de la mobilité, des utilitaires et de la sécurité, à créer des sites et des contenus web pour soutenir et accroître les ventes en ligne, de même qu'au développement d'un projet internet destiné à renforcer la relation d'Avanquest avec les utilisateurs de ses logiciels. La filiale montréalaise envisage d'embaucher 15 ingénieurs d'ici la fin de l'année. Elle vise un total de 50 employés d'ici la fin 2009 et de 100 à la fin de sa troisième année d'existence.
  12. L'éditeur Avanquest ouvre une filiale à Montréal 21 octobre 2008 - 15h58 Presse Canadienne L'éditeur français de logiciels Avanquest Software annonce l'ouverture d'une filiale canadienne à Montréal, ce qui devrait créer une centaine de postes d'ingénieurs au cours des trois prochaines années. Le nouveau centre de recherche et développement s'ajoutera aux installations d'Avanquest situées en France, aux États-Unis et en Chine. Dans un communiqué, Avanquest présente le Canada comme un «véritable vivier de jeunes informaticiens à la pointe des technologies de nouvelle génération», notamment dans les domaines du multimédia et du web. La filiale montréalaise prendra en charge une partie des projets qui constitueront «la pierre angulaire de la stratégie 2008-09 du groupe», a indiqué le président-directeur général et cofondateur d'Avanquest, Bruno Vanryb. Les employés montréalais travailleront à mettre au point des composants logiciels dans les domaines de la mobilité, des utilitaires et de la sécurité, à créer des sites et des contenus web pour soutenir et accroître les ventes en ligne, de même qu'au développement d'un projet internet destiné à renforcer la relation d'Avanquest avec les utilisateurs de ses logiciels. La filiale montréalaise envisage d'embaucher 15 ingénieurs d'ici la fin de l'année. Elle vise un total de 50 employés d'ici la fin 2009 et de 100 à la fin de sa troisième année d'existence.
  13. Le fabricant canadien de moteurs d'avions en a fait l'annonce lundi. Cet argent ira aux activités de recherche et développement de l'entreprise. Pour en lire plus...
  14. Recherche et développement Pratt & Whitney annonce un investissement de 360 M$ Mise en ligne 20/10/2008 14h41 Recherche et développement - Pratt & Whitney annonce un investissement de 360 M$ http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/10/20081020-144124.html ARGENT Pratt & Whitney Canada (P&WC) annonce un investissement de plus de 360 millions $ en recherche et développement dans la région de Montréal. Cet investissement s'échelonnera sur trois ans. Investissement Québec offrira une aide remboursable de 125 millions $ à l'entreprise, a confirmé le ministre du Développement économique, Raymond Bachand. «Cette aide remboursable contribuera au maintien de nos activités R&D dans la région montréalaise et à l'économie québécoise», a déclaré le premier vice-président de P&WC, John Saabas. L'entreprise, dont le siège social est situé à Longueuil, souhaite améliorer sa technologie pour construire des moteurs d'avions «qui dépasseront les normes environnementales les plus exigeantes». «Grâce à nos investissements soutenus en R&D, nous avons mis en marché plus de 65 nouveaux moteurs au cours des 15 dernières années, ce qui est une grande réalisation», a ajouté M. Saabas. Les principaux centres de recherche et développement de l'entreprise sont situés à Longueuil et à Mississauga. L’entreprise y emploie quelque 1 500 ingénieurs.
  15. Cette annonce survient après la décision par le gouvernement du Québec d'accorder à l'entreprise une aide remboursable pour la recherche et le développement. Pour en lire plus...
  16. La Banque européenne de reconstruction et de développement (BERD) a indiqué dimanche qu'elle n'enquêtera pas sur la récente embauche de Piroska Nagy, une économiste qui figure au centre de l'enquête visant le directeur du FMI Dominique Strauss-Kahn. Pour en lire plus...
  17. C'est ce que croit Raymond Bachand, ministre du Développement économique. Il précise toutefois qu'il ne faut pas s'attendre à une croissance fulgurante de l'économie québécoise. Pour en lire plus...
  18. Le Devoir 14 juin Tour de 30 étages sur l'îlot Balmoral Le projet de Rogers permettrait le financement d'une place des festivals et d'une nouvelle salle de spectacles L'entreprise canadienne-anglaise de communications Rogers veut s'ancrer au Québec en construisant une tour de bureaux de 30 étages sur le quadrilatère situé à l'ouest de la Place des Arts, à Montréal. Ce projet permettrait le financement et le développement culturel de l'îlot Balmoral avec une immense place des festivals et une nouvelle salle de spectacles, a appris Le Devoir. Des discussions sont en cours entre Rogers et la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), le bras immobilier de la Ville de Montréal, pour la réalisation de ce projet d'envergure. La Société immobilière du Québec (SIQ) est également partie prenante dans ce dossier puisque la partie sud de l'îlot Balmoral lui appartient, alors que la SHDM est propriétaire de la partie nord. Selon les informations recueillies, la tour Rogers s'élèverait à l'angle des rues de Bleury et de Maisonneuve et pourrait permettre de regrouper les divers bureaux de l'entreprise actuellement disséminés à travers Montréal. Au sud, l'édifice Wilder, mal en point faute d'entretien par la SIQ, sera démoli afin de permettre la construction d'une salle de spectacles de 1000 places. Cela comblerait le vide laissé par la disparition du Spectrum, prévue à la fin de l'été. Sur la partie est du site qui longe la Place des Arts, entre les rues Sainte-Catherine et de Maisonneuve, une place publique destinée à accueillir les grands festivals verrait le jour et favoriserait leur pérennité. Ce projet nécessiterait des investissements considérables. Déjà, la Ville de Montréal a prévu 55 millions de dollars en infrastructures municipales dans son plan triennal d'immobilisations. Mais cela ne peut pas suffire. «Notre objectif est de limiter les investissements publics dans le dossier», a expliqué la porte-parole de la SHDM, Stéphanie Gareau. De fait, le projet de Rogers, dont le coût s'élèverait à des dizaines de millions de dollars, est intimement lié au développement culturel de l'îlot Balmoral. Le milieu culturel souhaite depuis longtemps que soit consacrée la vocation du site. De son côté, Rogers voit vraisemblablement tout l'intérêt de créer des liens et de soutenir la culture québécoise, question d'améliorer son image et de s'immiscer dans les plates-bandes de ses concurrents commerciaux. «C'est important pour Rogers d'être associée au milieu culturel, notamment le secteur francophone», s'est borné à commenter Sébastien Bouchard, de Rogers, après avoir insisté pour dire que, pour l'instant, «il n'y a rien à annoncer». Rogers est une entreprise tentaculaire. Elle est présente en téléphonie cellulaire (Fido) et en câblodistribution; elle est également propriétaire de 50 stations de radio, de chaînes de télévision spécialisées, de magazines comme L'Actualité et Châtelaine et même de l'équipe des Blue Jays de Toronto et du stade de baseball Rogers Centre (l'ancien SkyDome). En 2000, Rogers avait tenté une percée au Québec en voulant mettre la main sur Vidéotron et TVA. L'intervention du gouvernement du Québec par le truchement de la Caisse de dépôt et placement avait toutefois bloqué cette transaction et permis à Quebecor d'élargir son empire. Le développement de l'îlot Balmoral est sous la coordination de la SHDM, a précisé la porte-parole de la SHDM, Stéphanie Gareau, ajoutant que les démarches de l'arrondissement de Ville-Marie se font de façon parallèle. Ville-Marie a récemment confié un mandat au consultant Clément Demers pour élaborer un plan particulier d'urbanisme (PPU) qui doit proposer dans le détail une vision d'avenir pour l'îlot Balmoral. Le PPU doit déterminer qui pourra faire quoi, où et comment. «Plusieurs regardent l'îlot comme un terrain extrêmement intéressant pour des projets. Rien n'a été officiellement déposé pour l'instant et rien ne sera étudié avant la remise du plan de développement, le 31 octobre», a récemment soutenu le maire de l'arrondissement, Benoit Labonté, dans un entretien avec Le Devoir. Le projet de Rogers est néanmoins analysé «en fonction des besoins du milieu culturel», a souligné Mme Gareau. Ces «besoins» sont définis dans le cadre d'un protocole d'entente liant la SHDM et l'Équipe Spectra, l'entreprise privée qui orchestre entre autres le Festival international de jazz et les FrancoFolies. Les orientations du protocole sont claires: tout projet sur l'îlot Balmoral doit comprendre la construction d'une salle de spectacles en remplacement du Spectrum et délimiter une place des festivals. Spectra utilise abondamment les terrains vacants de l'îlot Balmoral pendant la période des festivals. De plus, le Spectrum, dont Spectra est locataire depuis 25 ans, doit fermer ses portes en août. L'érection d'un magasin à grande surface Best Buy y est prévue. Après avoir tenté en vain de développer en partenariat un projet d'un complexe comprenant un nouveau Spectrum, Spectra a changé son fusil d'épaule et jeté son dévolu sur l'îlot Balmoral. La SHDM ne cache pas avoir trois projets entre les mains, dont celui de Rogers. Ces projets s'ajouteraient à ceux d'autres promoteurs qui auraient plutôt choisi de solliciter l'arrondissement de Ville-Marie. Depuis 2000, différents projets ont été dessinés, puis abandonnés. Il y a deux ans, la firme Busac, promoteur du controversé îlot Voyageur de l'UQAM, avait des ambitions avec Cadim, la filiale investissement de la Caisse de dépôt et placement, pour le site. La Caisse de dépôt reconnaît avoir travaillé sur le financement du dossier mais soutient l'avoir fermé depuis lors. Busac est aujourd'hui partenaire d'un des trois consortiums qui présenteront un partenariat public-privé pour la construction de la salle de concert de l'OSM. Du côté de la SIQ, aucune position officielle n'a été adoptée. On a même affirmé hier ignorer certains détails du dossier de l'îlot Balmoral, notamment les critères de sélection des projets dont ont convenu Spectra et la SHDM. «La SIQ a acquis ce terrain pour loger la salle de l'OSM et le conservatoire de musique. Les projets du gouvernement ayant changé, le terrain est devenu excédentaire pour nous. On veut en disposer en tenant compte des orientations gouvernementales», s'est limité à dire Martin Roy, de la SIQ. L'îlot Balmoral constitue un des deux pôles de développement prévus pour le Quartier des spectacles. Le projet d'une vitrine culturelle au croisement des rues Sainte-Catherine et Saint-Laurent est sur la planche à dessin de la Ville de Montréal.
  19. Le géant américain de l'informatique Microsoft a procédé à l'ouverture officielle de son premier centre de développement canadien en banlieue de Vancouver. Pour en lire plus...
  20. Par la facturation des sacs à usage unique, la société d'État espère recueillir des fonds pour des organismes qui oeuvrent dans le domaine du développement durable. Pour en lire plus...
  21. La firme de design et de fabrication aéronautique Héroux Devtek, de Longueuil, obtiendra ce matin un appui financier fédéral de près de 30 millions de dollars à son projet de recherche et développement sur les trains d'atterrissage de l'avenir. Pour en lire plus...
  22. L'Organisation de la coopération et du développement économiques estime que l'Europe est désormais plus proche d'une récession que les États-Unis. Pour en lire plus...
  23. Vents favorables au port de Montréal 28 août 2008 - 06h45 La Presse Hugo Fontaine La vision de développement durable du nouveau PDG du port de Montréal, Patrice Pelletier, intéresserait le port de Rotterdam. Alors que le port de Montréal a connu un premier semestre qui surpasse les résultats de l'année record 2007, le port de Rotterdam s'intéresse à la vision de développement durable du président-directeur général, Patrice Pelletier. Une collaboration pourrait naître entre le plus grand port d'Europe et l'un des ports à la plus forte croissance de la côte est américaine. Dans une période où l'économie vacille, le trafic cumulatif de conteneurs a augmenté de 7,9% au port de Montréal durant le premier semestre. Le port ne prévoyait qu'une croissance de 4 à 5%, selon ce qu'a indiqué Patrice Pelletier à l'occasion d'une entrevue avec La Presse Affaires. Le trafic total, quant à lui, a augmenté de 7%. «Cela nous place en excellente position en Amérique du Nord», précise le dirigeant. Pour expliquer cette forte croissance, M. Pelletier évoque l'augmentation de la cadence de la nouvelle liaison Valence-Montréal exploitée par MSC. Le trafic depuis les Caraïbes, notamment en provenance du port de transbordement de Freeport (Bahamas) est aussi en augmentation. La croissance est telle que l'administration portuaire, Patrice Pelletier en tête, ne peut que maintenir le rythme dans le plan de développement du port, qui s'échelonne sur 12 ans et devrait permettre de tripler la capacité du port. Déjà, le réaménagement des terminaux va bon train en 2008. L'Administration portuaire explique aussi son plan d'action à ses partenaires commerciaux et aux gouvernements, en espérant que cela se transforme en 2009 en expression d'intérêt pour investir. Une vision qui séduit Si l'expansion de la capacité du port est un défi, il en existe un autre qui compte beaucoup aux yeux de Patrice Pelletier. «Il faut gérer le port avec une stratégie de développement durable, explique-t-il. C'est d'une complexité certaine, mais pour moi ça veut dire de pouvoir développer le plan de croissance du port en atteignant un équilibre entre les impacts économiques, sociaux et environnementaux.» «J'essaie d'influencer le mode de gestion même de l'organisation, poursuit M. Pelletier. Ça va au-delà de l'écologie.» Ainsi, M. Pelletier associe à son concept de développement durable les solutions à la pénurie main-d'oeuvre à venir, ou encore l'engagement des communautés et des différents partenaires. Sans oublier la croissance du port et la protection de l'environnement. Patrice Pelletier a présenté sa vision sur différentes tribunes, dont au World Ports Climate Conference de Rotterdam, le 10 mai dernier. L'idée a été bien reçue, soutient-il. «La direction de la stratégie de Rotterdam nous a dit qu'elle a entendu notre message et qu'elle aimerait collaborer avec nous.» Il est encore trop tôt pour savoir quelle exacte forme prendra cette collaboration, mais elle aurait un objectif relié à l'implantation d'un mode de gestion de développement durable. «J'ai pensé à un jumelage de personnel comme façon effective de le faire, dit M. Pelletier. J'ai demandé à ma division environnement de réfléchir à une mission pour établir les jalons de la collaboration.» Selon M. Pelletier, Rotterdam peut donner à Montréal les exemples de choses à faire et à ne pas faire. «À Rotterdam, on peut presque voir une projection de ce qui pourrait arriver chez nous, même si c'est un plus gros port. La collaboration nous permettrait de voir concrètement où ils sont rendus, les problématiques qu'ils ont, comment les éviter.» «Dans le sens positif, on peut aussi voir ce qui peut être fait sur le plan du développement durable, ajoute-t-il. Et c'est vrai aussi dans l'autre sens. Je crois que c'est ce qui les a intéressés.» «Vulgariser» le port À la fin de l'automne 2007, après une réflexion de la haute direction sur la mission et la stratégie, le Port de Montréal prenait la résolution de se rapprocher de la communauté citoyenne. «Les gens n'ont jamais vu le port, dit Patrice Pelletier. Les gens ne savent pas ce qu'il y a derrière cette fameuse clôture qui sépare la ville du port.» C'est là qu'est née l'idée de Port en ville, une journée portes ouvertes qui aura lieu dimanche le 31 août (http://www.portenville.ca). Pour M. Pelletier, la journée est une première étape d'une stratégie pour «vulgariser» le port. «Les gens ne savent pas que quand ils vont chez Ikea, chez Wal-Mart, quand ils prennent une bouteille de vin italien, ce qu'ils achètent passe par le port. Il faut aussi expliquer les bénéfices économiques et environnementaux. Mais la première étape, c'est que les gens voient ce qu'est le port.
  24. Alors que le port de Montréal a connu un premier semestre meilleur que l'année record 2007, le port de Rotterdam s'intéresse à la vision de développement durable du PDG Patrice Pelletier. Pour en lire plus...
  25. La venue à Fort McMurray de l'investisseur et du mécène n'est pas passée inaperçue. L'exploitation des ressources et le développement régional étaient au menu de la visite. Pour en lire plus...
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