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  1. Bellus Santé risque d'être expulsée du NASDAQ parce que sa capitalisation boursière est trop faible. Un symptôme qui illustre à quel point la crise du crédit fait mal. Pour en lire plus...
  2. Le groupe bancaire espagnol Santander semblait dimanche soir sur le point de conclure un accord lui donnant le contrôle total de la banque américaine Sovereign, affaiblie par la crise des prêts immobiliers à risque, selon le site internet du Wall Street Journal. Pour en lire plus...
  3. La crise qui secoue Wall Street rappelle aux autorités chinoises qu'il y a un risque à ouvrir son système financier au monde. Pour en lire plus...
  4. Les as en capital de risque ont davantage une réputation de requins que de bons samaritains. Ils sont pourtant nombreux à vouloir redonner aux oeuvres de charité, en autant que leur argent soit bien administré. Pour en lire plus...
  5. Le Québec parmi les champions mondiaux du capital de risque 26 septembre 2008 - 07h17 La Presse Hugo Fontaine Le Québec est l'un des meilleurs endroits de la planète pour qui veut bénéficier de capital de risque. Selon les données les plus récentes (2005-2007) de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ), le capital de risque investi au Québec représente une part de 0,21% du produit intérieur brut (PIB), ce qui place la province au cinquième rang mondial, devancé seulement par Singapour, Israël, les États-Unis et Hong-Kong. Le cinquième rang représente un recul de trois positions pour le Québec par rapport à la période 1997-1999. Cela est sans doute explicable par le boom économique en Asie qui a propulsé Hong-Kong et Singapour, selon Pascasie Nikuze, économiste à l'ISQ. Sur une base nord-américaine, seulement deux États américains économiquement comparables ont fait mieux que le Québec, soit le Massachusetts et le Maryland. Au total, le capital de risque québécois représente une moyenne annuelle de 528 millionsUS, pour la période 2005-2007. L'ISQ apporte toutefois une petite touche négative au portrait du capital de risque au Québec. "Alors que les sommes investies ont explosé dans plusieurs pays de l'OCDE et ailleurs dans le monde (Grèce, Chine, Norvège, Italie, Portugal, etc.) entre 1997-1999 et 2005-2007, avec des taux dépassant 1000%, cette augmentation s'est établie à seulement 18,2% au Québec (comparativement à 19,8% en Ontario et 21,6% au Canada), signe peut-être de la maturité de l'industrie." 189 bénéficiaires En 2007, 189 entreprises québécoises ont reçu du financement de capital de risque. C'est beaucoup moins que les 454 entreprises qui en ont profité en 2000, quelques mois avant l'éclatement de la bulle technologique, mais c'est quand même une bonne part du total canadien (412 entreprises). Plus de la moitié des investissements québécois en capital de risque (2005-2007) ont été dirigés vers des entreprises existantes plutôt qu'à des entreprises en création. Le secteur qui en a le plus bénéficié est celui des sciences de la vie (40%), suivi des technologies de l'information et des communications (35,7%). L'Ontario, pour sa part, consacre près des trois quarts de ses investissements en capital de risque aux technologies de l'information et de la communication (TIC), laissant le secteur des sciences de la vie loin derrière (17,2%).
  6. Si la crise de crédit et la crise financière qui ont fait trembler l'immobilier américain et Wall Street finissent par avoir un impact sur le crédit au Canada, cet impact se fera sentir d'abord et avant tout sur la demande plutôt que sur l'offre. Pour en lire plus...
  7. Les institutions financières nippones, longtemps critiquées pour leur manque de créativité financière, ont volé au secours de Wall Street à la faveur de la crise financière, mais cette percée à l'étranger risque d'être compliquée par le choc culturel, avertissent les analystes. Pour en lire plus...
  8. Le président de la Réserve fédérale américaine, Ben Bernanke, a affirmé mardi devant une commission parlementaire que les États-Unis risquent de plonger dans la récession si le Congrès refuse d'adopter le plan de sauvetage du secteur financier voulu par l'administration Bush. Pour en lire plus...
  9. Lehman Brothers au bord de la liquidation, Merrill Lynch contrainte à se faire racheter, AIG cherchant frénétiquement à lever des fonds nouveaux: trois des plus grosses institutions financières américaines étaient en plein désarroi dimanche, à quelques heures d'une ouverture à haut risque des marchés boursiers. Pour en lire plus...
  10. Dernière victime en date de la crise des prêts hypothécaires à risque, Lehman Brothers a lancé une opération survie, mais il pourrait bien être dépecé d'ici dimanche soir. Pour en lire plus...
  11. Le risque qu'une crise semblable à celle que vivent Fannie Mae et Freddie Mac se produise au Canada est très peu probable, estiment des experts consultés par La Presse Affaires. Pour en lire plus...
  12. La deuxième vie de l’usine sherbrookoise de fabrication de bâtons de hockey, Sherwood-Drolet, risque d’être très courte. Elle pourrait fort bien ne pas survivre à l’été. Pour en lire plus...
  13. General Motors rappelle 944 000 voitures, tout-terrain et camions principalement vendus aux États-Unis, en raison d'un risque d'incendie. Pour en lire plus...
  14. La crise des crédits hypothécaires à risque fait une victime de format géant, la banque suisse séparant ses activités. Pour en lire plus...
  15. La gestion du crédit devra se réinventer 8 août 2008 - 20h57 La Presse Rudy LeCours Il y a un an aujourd’hui, BNP Paribas annonçait le gel des retraits de trois fonds investis dans les prêts hypothécaires à risque. Il y a un an aujourd’hui, BNP Paribas déclenchait ce qui semble encore la plus importante crise de liquidités depuis la Grande Dépression. En annonçant le gel des retraits de trois fonds investis dans les prêts hypothécaires à risque, elle sonnait le glas d’un mode de gestion des risques rattaché au crédit depuis le début de la décennie, sous l’impulsion de Wall Street. Il a fallu pas moins de trois semaines à une trentaine de mathématiciens pour dénouer l’écheveau: quelle valeur réelle donner aux trois fonds de BNP Paribas, compte tenu de l’effondrement du marché hypothécaire à risque (subprime) aux États-Unis? Réalisant la gravité de la situation puisqu’elles étaient presque toutes dans la même galère, les banques se sont soudainement méfiées les unes des autres. Plus question de se prêter au taux souhaité par les banquiers centraux puisque l’argent avancé aujourd’hui ne sera peut-être pas remboursé le lendemain. Toute la machine financière s’est enrayée, faute de liquidités, comme un moteur sans huile. Devant la gravité de la situation, la Banque centrale européenne a débloqué des lignes de crédit évaluées à 148 milliards de dollars américains dans les heures qui ont suivi l’annonce. Le lendemain, la Réserve fédérale américaine injectait 38 milliards de liquidités sur son marché bancaire. Il s’agissait du premier d’une longue série de mesures d’urgence pour tenter de rétablir un peu de confiance dans le système. Selon Frank Milne, professeur à l’Université Queen’s de Kingston et nouveau conseiller spécial à la Banque du Canada, la crise présente n’en est pas une de liquidités. Il s’agit du retour brutal des risques de crédit à long terme au bilan des institutions financières. Depuis des années, elles les délocalisaient dans des filiales, souvent nichées dans des paradis fiscaux. Ces filiales saucissonnaient ces risques de crédit en tout genre dans des produits financiers à courte échéance (comme du papier commercial), d’une complexité et d’une opacité telle qu’elles auraient été incapables de les expliquer à ceux à qui elles les vendaient. Les investisseurs mal informés les achetaient, à la fois attirés par un rendement légèrement supérieur à celui des bons du Trésor et rassurés par la bonne note de crédit accordée par les grandes agences. À leur échéance, ces titres étaient remplacés par une nouvelle émission de même nature de sorte que l’émetteur continuait de refiler son risque et de reprêter à long terme le produit de la vente de ces titres à court terme. La roue tournait. Certaines banques américaines et européennes ont ainsi pu prêter le même dollar de 20 à 30 fois. Devenus méfiants après l’annonce de BNP Paribas, les investisseurs ont boudé les nouvelles émissions. Tout le marché de la titrisation du risque et de l’activité bancaire hors bilan s’est dès lors évanoui. Pour les institutions financières, cela signifiait la reprise soudaine de toutes ces créances, bonnes ou mauvaises, et autant d’argent en moins à prêter. Le fiasco de ce modèle mis au point par des mathématiciens est attribuable en partie à la fausse prémisse voulant que la croissance soit continue, permettant le financement des risques à long terme comme un prêt hypothécaire par des titres de dettes à courte échéance, sans cesse renouvelables. L’effondrement du marché de l’habitation aura montré sa fausseté. «Les répercussions sont loin d’être terminées», prévient M. Milne, dans son analyse Anatomy of the Credit Crisis : The Role of Faulty Risk Management Systems (Anatomie de la crise du crédit : le rôle des systèmes erronés de gestion du risque) publiée dernièrement par l’Institut C.D. Howe. Il y décortique avec soin le rôle des institutions financières, des acheteurs de produits financiers structurés et des agences de notation de crédit dans le fouillis financier présent. Il met en lumière sa symbiose funeste avec l’économie réelle. «À mesure que se poursuit la crise et que devient apparente sa nature systémique, l’évaluation des pertes grimpe. Elle s’étend des prêts hypothécaires dans leur ensemble, aux cartes de crédit, aux prêts immobiliers commerciaux, etc.», écrit M. Milne. En fait, ce qui demeure troublant, c’est que personne ne connaît l’envergure des pertes à venir des grandes institutions financières, à mesure qu’elles reprennent les produits structurés qu’elles ou leurs filiales ont émis et dont personne ne veut plus. Il n’existe pas de valeur marchande pour ces titres puisqu’il n’y a plus de marché. Depuis août, les radiations s’élèvent à près de 500 milliards de dollars. Des prévisions réalistes comme celles du Fonds monétaire international voient la note grimper à 1000 milliards. On serait donc à mi-chemin de la crise. Des scénarios plus pessimistes évaluent le dégât plutôt à 3000 milliards, compte tenu de son effet domino sur des créances jugées bonnes jusqu’ici. Devant ces pertes, les institutions doivent réunir des capitaux pour redorer leur bilan, mais les investisseurs sont réticents et gourmands. Jusqu’ici, elles ont amassé quelque 400 milliards d’argent frais, soit 100 de moins que le capital pulvérisé. C’est autant d’argent en moins à prêter. Emprunter coûte plus cher qu’il y a un an aux États-Unis, même si la Réserve fédérale américaine a fait passer son taux directeur de 5,25 % à 2,0 %. Le retour à une situation plus normale, c’est-à-dire sans les contraintes actuelles ni le laxisme qui a abouti au présent bourbier, paraît possible quand le marché américain de l’habitation aura atteint le creux de la grave crise qu’il traverse. Entre-temps, une crise en nourrit une autre. Plus se déprécient les propriétés résidentielles, plus grandit le nombre de prêts hypothécaires qui excèdent leur valeur. Plus se gonfle celui des prêts défaillants et plus se multiplient les saisies qui font à leur tour baisser le prix des maisons. Et la vrille continue.
  16. Le numéro un de la recherche sur Internet envisage d'investir dans de jeunes sociétés, comme le font souvent les géants du secteur technologique. Pour en lire plus...
  17. C'est la première fois que des chiffres aussi précis sont avancés pour décrire le potentiel énergétique du Grand Nord. Cela risque d'ajouter de la pression sur le contrôle de cette région. Pour en lire plus...
  18. Les économistes de la Banque Scotia estiment que le chemin vers la reprise sera long après la crise des prêts hypothécaires à risque. Pour en lire plus...
  19. Ce bassin Madeleine est considéré comme l'un des secteurs de l'Est canadien présentant le potentiel le plus élevé au chapitre du gaz naturel, avec un coefficient de risque peu élevé. Pour en lire plus...
  20. Dans cette dernière entrevue avec La Presse Affaires, le spécialiste de la gestion parle de cette maladie qui conduit à faire tout toujours plus vite, au risque de sacrifier la qualité; à se perdre dans les détails en oubliant le sens et la vue d'ensemble sur le travail. Pour en lire plus...
  21. Cette décision fait suite à la publication d'un rapport soulignant l'existence de 10 000 à 12 000 essieux de wagons de train potentiellement défectueux. Pour en lire plus...
  22. Quel que soit le type de régime de retraite, ce sont toujours les employés qui en portent le gros du risque en bout de piste, contrairement aux idées reçues, montre une nouvelle recherche. Pour en lire plus...
  23. Le Bureau de la sécurité des transports soutient qu'environ 43 000 essieux montés par l'atelier Transcona comportent un risque de défaillance. Pour en lire plus...
  24. La quatrième banque commerciale américaine remplace son PDG, Ken Thompson, qui a fait perdre à l'institution 11,5 milliards de dollars de capitaux depuis le début de l'année, dans la foulée de la crise des prêts hypothécaires à risque. Pour en lire plus...
  25. Le professeur Jean-Marc Suret soutient que l'économie québécoise n'a plus besoin de ces fonds parce que le capital de risque abonde. Pour en lire plus...
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