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  1. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201410/23/01-4811785-satellite-encore-un-peu-de-montreal-dans-lespace.php
  2. L'INRS choisit Laval Violaine Ballivy La Presse Montréal? Laval? Entre les deux, le coeur de l'INRS ne balance plus. Il a craqué pour la banlieue. Le conseil d'administration de l'Institut national de recherche scientifique a décidé que son nouveau pavillon consacré aux nanotechnologies devra être érigé à Laval, a appris La Presse. Un ambitieux projet de 75 millions de dollars. Déterminé à réunir son équipe de chercheurs du secteur des télécommunications, situé au centre-ville de Montréal, avec celle de secteur de l'énergie et des matériaux, installée à Varennes, l'INRS avait envisagé sérieusement de s'implanter sur le campus que l'Université de Montréal veut développer à l'ancienne gare de triage d'Outremont. Mais une analyse plus approfondie du dossier a convaincu l'INRS de privilégier plutôt un agrandissement de ses installations de Laval, où se trouve déjà l'Institut Armand Frappier, spécialisé dans le domaine biomédical. «Notre choix est d'abord et avant tout scientifique, a expliqué à La Presse Charles Lapointe, directeur général de l'INRS. On s'aperçoit que nos recherches dans le secteur des télécommunications auront beaucoup plus d'applications dans le secteur biomédical que prévu. Il nous a semblé très clair que réunir notre secteur biomédical avec celui des nanosciences allait de soi. C'est une vision d'avenir qu'on ne pouvait pas évacuer.» Des lasers que les scientifiques comptaient consacrer au développement des appareils de télécommunications, par exemple, s'avèrent finalement plus utiles en médecine, dans les systèmes d'imagerie médicale. Il faut dire aussi que, dès le départ, la candidature de Laval a toujours semblé avoir une bonne longueur d'avance sur celle de son rival. D'abord côté budget. L'INRS réalisera des économies substantielles en s'installant sur le boulevard des Prairies, puisqu'elle y possède déjà les terrains où sera construit le nouveau pavillon. Puis, côté environnemental. La science des nanotechnologies - de l'infiniment petit - nécessite un milieu sismique parfaitement stable qui n'aurait pu être garanti à Outremont en raison du va-et-vient sur la voie ferrée. Déception à l'Université de Montréal L'Université de Montréal avait déployé beaucoup d'efforts pour séduire l'INRS et le convaincre de s'installer auprès d'elle. «Nous sommes déçus parce qu'on avait un beau projet de partenariat qui permettait des synergies intéressantes entre nos chercheurs», a commenté hier Sophie Langlois, porte-parole de l'établissement montréalais. Selon Mme Langlois, ce revers n'aura pas d'impact important sur le projet du campus d'Outremont. «Il y avait des choses intéressantes à développer en complémentarité, mais cela ne nous empêchera pas de poursuivre le projet.» Ce choix arrêté, les administrateurs de l'INRS s'échinent maintenant à peaufiner le montage financier du projet, dont le coût est estimé à 75 millions. Destiné à la fois à la recherche et à l'enseignement, l'établissement compte sur des subventions du ministère de l'Éducation, du ministère du Développement économique du Québec et Développement économique Canada. Charles Lapointe est pressé. La construction de cet édifice doté de laboratoires spécialisés s'annonce complexe et nécessitera au moins 18 mois de travaux. Or, «je compte bien procéder à la visite officielle en 2010.» Le nouveau pavillon regroupera aussi un peu plus de 300 chercheurs, techniciens et étudiants. Ce déplacement vers Laval représente la dernière étape du projet de l'INRS de regrouper en quatre endroits seulement ses huit centres de recherches afin de créer des pôles mieux définis et d'améliorer sa compétitivité à l'échelle mondiale. Peu de temps avant Noël, les bureaux de l'INRS situés à Pointe-Claire, qui accueillaient 125 chercheurs et, entre autres, le renommé laboratoire antidopage de Christiane Ayotte, ont aussi été rapatriés à Laval. Ce projet a coûté à lui seul 20 millions. http://www.cyberpresse.ca/article/20080214/CPACTUALITES/802140727/1019/CPACTUALITES
  3. L'équipementier canadien Nortel Networks, menacé de faillite et de démantèlement, a enregistré une perte nette de 5,8 milliards $ en 2008, en hausse de près de 600% par rapport à un an plus tôt. Pour en lire plus...
  4. Le gouvernement québécois vient d'infliger toute une gifle à Bell Canada en octroyant à sa concurrente Telus un contrat de presque 1 milliard de dollars qui couvrira une bonne partie des besoins de télécommunications de l'État. Pour en lire plus...
  5. Le géant des télécommunications a annoncé que ses dépenses en immobilisations devraient être supérieure à celles prévues pour l'année en cours. Pour en lire plus...
  6. J'ai hâte de voir comment les bourses vont réagir. On pensait l'action basse ? Bien hâte de voir jusqu'où elle va tomber aujourd'hui. Et pensez-vous que c'est une bonne nouvelle pour Montréal ? Ou Bell avait déjà commencé le déménagement de ses cadres vers Toronto ? ------------------ Transaction de 52G$ BCE: la vente avorte 11 décembre 2008 - 05h48 Transaction de 52G$ - BCE: la vente avorte http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/12/20081211-054846.html BCE réclame les frais de résiliation de 1,2G$ ARGENT, d'après THE CANADIAN PRESS Le projet de rachat du géant canadien des télécommunications BCE (BCE) n'aura finalement pas lieu, a annoncé jeudi un groupe d'acheteurs potentiels mené par par le Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l'Ontario (Teachers). Le cabinet comptable KPMG a déterminé que BCE n’a pas rencontré une condition essentielle à la réalisation de la transaction, évaluée à 52G$. Selon le cabinet comptable, BCE a échoué à un test de solvabilité, une condition indispensable à la réalisation du rachat du géant des télécommunications par Teachers et ses partenaires américains. La mort de ce qui aurait été l’une des plus importantes prises de contrôle du pays ne sera pas un choc pour les marchés, qui anticipaient largement ce dénouement depuis quelques semaines. KPMG avait fait savoir le 26 novembre dernier que BCE ne passait pas le test. BCE a par la suite embauché la firme PriceWaterhouseCoopers pour réaliser un autre test, qui s’est avéré positif. La rumeur veut que BCE a voulu faire pression sur KPMG, en vain. Le titre de BCE avait plongé de 13,10$ pour clore à 25,25$ le jour après l’annonce de KPMG. Mercredi, l’action a fermé en hausse de 2,3% ou 0,52$ à 23,02$ à la Bourse de Toronto, très loin de l’entente de rachat fixée à 42,75$.
  7. L'industrie canadienne des télécommunications résistera au ralentissement attendu pour 2009 et 2010, malgré une croissance qui pourrait connaître un creux de dix ans. Pour en lire plus...
  8. Malmené par le ralentissement économique mondial, le géant des télécommunications ATT annonce la suppression de milliers d'emplois au cours des prochaines semaines. Pour en lire plus...
  9. «Ted Rogers fut un grand visionnaire des télécommunications, pour qui le mot risque n'existait pa»", s'est remémoré André Chagnon, ex-président fondateur de Vidéotron, huit ans après un projet avorté de fusion multimilliardaire. Pour en lire plus...
  10. Le géant canadien des télécommunications va investir 100 M$ sur trois ans dans le créneau de la santé en lançant une nouvelle marque, Telus Solutions en santé, basée sur l'expertise d'Emergis. Pour en lire plus...
  11. Le géant des télécommunications Canwest Global déclare des pertes nettes de plus de 1 milliard de dollars à son quatrième trimestre. Pour en lire plus...
  12. Le cours des actions de l'entreprise a augmenté de plus de 27% après que l'entreprise eut annoncé avoir été choisie à titre de fournisseur par l'un des géants mondiaux des télécommunications. Pour en lire plus...
  13. Bénéficiant d'une forte augmentation des abonnements dans le sans-fil au troisième trimestre, le géant des télécommunications est assez confiant pour hausser son dividende de 5,6%. Pour en lire plus...
  14. Le géant canadien des télécommunications réduit ses prévisions de croissance, prévoit de nouvelles mises à pied et la vente de certains actifs. Pour en lire plus...
  15. Dans le cadre de cette entente, la société de télécommunications fournira et installera notamment le nouveau système de téléphonie par Internet de la ville. Pour en lire plus...
  16. Le contenu de Quebecor sera un élément clé dans le sans-fil 9 septembre 2008 - 18h41 La Presse Canadienne Ross Marowits Le conglomérat Quebecor (QBR.B) garde pour lui la stratégie qu'il entend employer à titre de nouveau joueur de l'industrie canadienne des communications sans fil, mais son président et chef de la direction, Pierre Karl Péladeau, a fait valoir à Toronto, mardi, que ses journaux pourraient livrer un important contenu à d'éventuels partenaires dans ce secteur. «Nous sommes certainement en bonne position pour envisager toute négociation, en plus de quoi nous avons la capacité de donner accès au Québec aux autres opérateurs qui auront besoin d'une sorte de réseau», a déclaré M. Péladeau dans le cadre d'une conférence sur les télécommunications. La société montréalaise a récemment dépensé presque 450 millions $ afin de faire l'acquisition de 40 mégahertz de fréquences du spectre sans fil au Québec, en plus de 100 millions $ pour acquérir d'autres fréquences dans le sud de l'Ontario, soit des secteurs fortement peuplés dans lesquels se trouvent certaines des plus grandes villes au pays. Malgré le fait qu'elle ait abandonné son projet initial de développement d'une plateforme nationale, la société compte consacrer entre 800 millions $ et 1 milliard $, au cours des trois à quatre prochaines années, à la mise en service de son propre service sans fil. Le financement de ce service sera assuré au moyen de ressources internes et d'une émission d'obligations ayant eu lieu plus tôt cette année. Le propriétaire d'importants journaux de langue française à Montréal et Québec, en plus de journaux de langue anglaise dans d'autres parties du pays, a affirmé qu'il serait en mesure d'offrir du «contenu de première classe» aux services d'accès à Internet sans fil, expliquant déjà le faire sur une base quotidienne. En plus du Toronto Sun et d'autres quotidiens de Sun Media à Ottawa, Winnipeg, Calgary et Edmonton, Quebecor Media possède le London Free Press, dans le sud de l'Ontario, et plus de deux douzaines de quotidiens supplémentaires, pour la plupart acquis au moment du rachat d'Osprey Media. «Avec tous nos actifs à travers le Canada, nous pouvons mettre des choses intéressantes sur la table», a affirmé M. Péladeau à des analystes. Le service de télécommunications sans fil de Quebecor au Québec sera inclus avec les services de télévision par câble, de téléphonie et d'accès à Internet déjà assurés par Vidéotron. À la Bourse de Toronto, mardi, le cours de l'action de Quebecor a terminé la journée à 27,76 $, en hausse de 25 cents par rapport au précédent taux de clôture.
  17. Bell qui pleure, Vidéotron qui rit * Jérôme Plantevin, Journal LesAffaires * 24 août 2008 Si Bell en arrache, son principal rival québécois, Vidéotron, a le vent dans les voiles. Il n'y a pas si longtemps, le câblodistributeur était mal aimé. Mais, en cinq ans, il a réussi à renverser la situation. "On est loin du Vidéotron qui s'attirait de la mauvaise presse en mettant ses employés en lock-out", reconnaît Iain Grant, analyste en télécommunications au SeaBoard Group. Depuis la fin de ce confilt de travail, en 2003, la croissance de l'entreprise est au rendez-vous : ses revenus annuels sont passés de 862,8 millions de dollars à 1,55 milliard en 2007. Le nombre d'employés a explosé, passant de 2 300 à 4 000 aujourd'hui. C'est sans compter les 875 postes que le câblodistributeur cherche à combler. Quel est le secret de Vidéotron ? "Sa direction", répond Iain Grant. Selon l'analyste. le président et chef de la direction de Vidéotron depuis juin 2003, Robert Dépatie, a réussi son plan de redressement. "Il faut reconnaître la valeur des employés qui, malgré le lock-out, ont adhéré au plan de M. Dépatie." Le virage opéré par M. Dépatie, son équipe et ses employés a été profond. "Nous avons changé notre structure et notre mentalité. Cela nous a donné une flexibilité opérationnelle accrue", explique Isabelle Dessureault, vice-résidente, affaires corporatives, du câblodistributeur. "Nous avons réduit les niveaux décisionnels, pour que moins de gens soient impliqués dans la prise de décisions. Nous avons également fait appel à des sous-traitants, poursuit Mme Dessureault. Nous avons mis fin au travail "en silo". Désormais, chaque division partage des services communs comme le service à la clientèle ou l'équipe technique." De plus, Vidéotron a beaucoup investi dans ces centres d'appels ainsi que dans la formation de ses techniciens et préposés, selon Mme Dessureault. Cela a réduit le temps d'attente des clients au téléphone. "Nous avons tout fait pour suivre le niveau de satisfaction de notre clientèle au jour le jour avec la mise en place d'indicateurs divers comme la courtoisie et la qualité des explications fournies par le technicien ou par le préposé au centre d'appels." L'entreprise a offert un bouquet complet de services résidentiels de télécommunications, le fameux four-play offert par un seul fournisseur qui agit comme guichet unique et n'envoie qu'une seule facture. La technologie utilisée par Vidéotron, le câble, nécessite moins d'investissements que les fils de cuivre de Bell pour fournir à grande échelle de hautes vitesses Internet. En téléphonie, les règles imposées à Bell par le CRTC ont permis à Vidéotron de pénétrer rapidement le marché sans que Bell contre-attaque immédiatement au niveau des prix.
  18. Les compagnies de téléphone pourront augmenter leurs tarifs sans demander l'approbation du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes, le CRTC. Pour en lire plus...
  19. Le géant canadien des télécommunications essuie une perte de près de 46% de son bénéfice net au deuxième trimestre. Pour en lire plus...
  20. Le fabricant américain d'équipements de télécommunications rapporte des profits de 40 cents par action à son quatrième trimestre, un cent de plus que les prévisions. Pour en lire plus...
  21. D'après The Globe and Mail, les banques remettent en cause les ententes signées avec Teachers pour l'achat du géant canadien des télécommunications. Pour en lire plus...
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