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  1. Et bien, il me semble que j'avais entendu qu'il voulait même rester jusqu'aux prochaines élections via Radio-Canada : Richard Bergeron quitte la direction de Projet Montréal Mise à jour le lundi 27 octobre 2014 à 8 h 26 HAE Le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, quitte la direction du parti. Il en fera l'annonce à 11 h ce matin en compagnie de celui qui deviendra le chef intérimaire. On ignore toutefois qui lui succédera. Après les élections municipales en novembre dernier, Richard Bergeron avait dit qu'il quitterait éventuellement la formation qu'il a lui-même créée. Mais il avait déclaré récemment qu'il pourrait aussi rester, puisqu'il aimait le travail que lui a confié le maire Denis Coderre. En février dernier, le nouveau maire de Montréal lui a en effet confié la direction du dossier du recouvrement de l'autoroute Ville-Marie, dans l'est du centre-ville de Montréal. Richard Bergeron est l'un des principaux idéateurs de ce projet, qui consiste à recouvrir la tranchée formée par l'autoroute Ville-Marie afin d'y aménager des espaces verts et des places publiques.
  2. MtlMan

    Coderre maire?

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-canadienne/201009/28/01-4327537-coderre-reflechit-a-son-avenir.php
  3. http://affaires.lapresse.ca/economie/energie-et-ressources/201210/01/01-4579266-le-plan-nord-est-enterre.php Plus ce genre de nouvelles se multiplient et plus je vais trouver le temps trés long les prochaines élections... Ps:je ne suis pas autorisé a poster dans la section politique je n'ai pas assez de posts.
  4. MtlMan

    L'esprit des lois

    Peu importe comment ils veulent spinner ça, c'est croche. Point. Pis à ça on peut rajouter la petite magouille de Jason Kenney qui se sert de matériel public pour faire son prosélytisme partisan. Avec une majorité, vous pensez vraiment qu'ils vont s'empêcher de piger dans la caisse? Surtout que la tendance conservatrice à l'idéologisme zélé les pousse inévitablement à justifier, dans leur esprit du moins, toutes les manoeuvres pcq, après tout, "la fin justifie les moyens". Des boutons libéraux se pointent sur leur visage. Attention à la crise d'acné! http://www.cyberpresse.ca/place-publique/editorialistes/andre-pratte/201103/04/01-4376141-lesprit-des-lois.php
  5. Yves Boisvert le 8 novembre 2010 La Presse En écoutant le dernier épisode d'Enquête, on pourrait être absolument découragé du délabrement de la démocratie municipale au Québec. Il y a de quoi. Mais réjouissons-nous tout de même: la pourriture municipale est exposée. On a des noms, des dates, des faits. Ce qui ressort de cette série déprimante de portraits municipaux, c'est l'insignifiance des institutions de contrôle. Le Directeur général des élections manque toujours de preuve, le ministère des Affaires municipales est mou et tout continue comme avant. «Tout le monde» sait comment ça fonctionne... rien n'arrive. Comment se fait-il qu'encore une fois, ce sont des journalistes qui font le travail? On a vu, à visage découvert, l'entrepreneur Jean-Guy Ouellet dire à la caméra de Radio-Canada que le maire de Mascouche, Richard Marcotte, lui a demandé une maison gratuitement en échange d'un droit de construire. Rien que ça! On a vu le député péquiste de Masson, Guillaume Tremblay, dire qu'il a été intimidé par l'entrepreneur Normand Trudel, proche du maire de Mascouche. On n'a pas eu la version de MM. Marcotte et Trudel, qui ont refusé de répondre aux questions. En attendant, le reportage nous apprend que le maire de Mascouche a acquis pour 100 000$ deux copropriétés dans un nouveau complexe, copropriétés qu'il a revendues assez rapidement avec des profits de 35 000$ et 45 000$. Il a du flair, le maire. Se plaçait-il en conflit d'intérêts en achetant des copropriétés autorisées par son administration municipale? Ah, ça, on le saura quand la loi 109 aura été adoptée et un Code d'éthique des municipalités mis en vigueur, n'est-ce pas... Un code, c'est bien. Un sens de l'éthique, c'est mieux. *** La femme du maire de Sainte-Julienne, Marcel Jetté, travaille pour le cabinet d'avocats Dunton Rainville. Ce même cabinet a obtenu des contrats de la Ville. Ce n'est pas un crime, mais on aurait aimé voir le maire au moins reconnaître le début d'une apparence de conflit d'intérêts. C'était trop demander. Dunton Rainville, d'ailleurs, est un joueur majeur dans le monde municipal dans la grande région de Montréal. Dans plusieurs municipalités, le cabinet a des contrats de gestion des relations de travail et des mandats en droit municipal. Bien plus troublant encore, on voit que le monde municipal a conçu des stratégies pour soustraire au regard du public un certain nombre de projets. À Laval, où le monarque Gilles Vaillancourt règne depuis 21 ans, il n'y a aucun conseiller municipal de l'opposition. Zéro. Et le conseil municipal n'aime pas trop la contestation. La Ville a confié à un organisme à but non lucratif le projet d'une «Cité de la culture et des sports», évalué à près de 100 millions. Même s'il est dirigé par des hauts fonctionnaires de la Ville, l'organisme fonctionne hors du champ d'examen public. Enquête nous dit également que son conseil est composé de fonctionnaires municipaux. Son porte-parole est un avocat de Dunton Rainville payé par la Ville. S'il est vrai que les fonds injectés dans le projet sont publics à 80%, au nom de quoi permettrait-on que cet organisme ne soit pas public? *** Il y a 1104 municipalités au Québec. La moitié des maires y sont réélus par acclamation. Ils ne doivent pas être si mauvais. Mais là où il y a des élections, moins de la moitié des électeurs inscrits vont voter. L'intérêt et la surveillance des citoyens n'y sont tout simplement pas. On ne sera donc étonné qu'à moitié de voir la mollesse du ministère des Affaires municipales et du Directeur général des élections du Québec. Le meilleur exemple étant les élections clés en main?: comment des firmes de professionnels organisent des élections dans la région de Montréal en échange de contrats. Tout le monde le sait, on connaît les noms, on a les photos... un rapport a été fait là-dessus il y a bientôt 10 ans... mais personne n'a jamais été accusé. Manque de preuve hors de tout doute. Les projets de loi présentement à l'étude à Québec vont resserrer les règles. De nouveaux vérificateurs sont déjà à l'oeuvre pour enquêter sur les contrats municipaux. Mais ce n'est pas assez. Il faut centraliser dans un seul organisme la surveillance de la démocratie municipale, manifestement malade, et envoyer un signal clair. Tout comme les informations sur les contrats et appels d'offres - en ce moment disponibles ville par ville. Pourquoi un trottoir coûterait plus cher à Montréal qu'à Brossard? Les prix, les noms, les contrats doivent être connus de tous et facilement comparables. Voyez comment les prix des travaux municipaux ont chuté à Montréal. Pourquoi? Parce que les magouilleurs se sentent surveillés. À défaut de restaurer la vie démocratique municipale, qu'au moins on restaure la concurrence honnête. Ce sera déjà ça.
  6. Publié le 17 août 2009 à 14h33 | Mis à jour à 14h38 Élections: Jacques Goyette veut Longueuil en tête Éric Clément La Presse Le chef du Parti municipal de Longueuil (PML), Jacques Goyette, a dévoilé ce lundi après-midi en conférence de presse un ambitieux programme électoral surnommé «Longueuil en tête». M. Goyette a dit vouloir poursuivre le développement de Longueuil en «respectant le cadre budgétaire de la Ville» et il s'est engagé à obtenir un milliard de nouveaux investissements à Longueuil d'ici quatre ans. Rappelant que Longueuil a été reconnue comme étant au premier rang des villes les mieux gérées au Québec et également en tête au Canada pour le plus bas taux résidentiel moyen, le chef du PML a dit que la grande ville de la rive-sud va se doter d'un Plan de transport global comprenant l'ajout de six stations de métro, le redéveloppement du boulevard Taschereau avec notamment un tramway, la construction d'un système léger sur rail (SLR) dans l'axe du pont Champlain et la création d'un service de vélos en libre-service Bixi. Répondant aux questions des médias, M. Goyette a dit qu'il avait confiance que des annonces soient faites prochainement en ce qui a trait au transport en commun régional. Le candidat qui veut succéder au maire Claude Gladu veut aussi implanter, comme à Montréal, un centre d'appels téléphoniques 311, pour permettre de répondre aux questions des citoyens sept jours sur sept. Il veut aussi accroître l'accessibilité des élus en instaurant partout dans la Ville des façons d'améliorer les communications entre la classe politique et les citoyens. Il a rappelé qu'il veut faire adopter par le conseil municipal un code d'éthique pour tous les élus et ce, dans les six mois suivant son éventuelle élection. «Je demande aux Longueuillois et aux Longueuilloises de prendre le temps de lire les programmes et de se faire leur propre idée, et surtout d'aller voter le 1er novembre prochain en ayant eux-aussi Longueuil en tête.» M. Goyette a-t-il chiffré l'ampleur de ses promesses? Non. Mais le chef du PML dit que chaque promesse a été évaluée. «Nos engagements sont réalistes, dit-il. Bien des projets vont se faire avec d'autres instances gouvernementales afin que Longueuil puisse profiter, comme les autres grandes villes, de grands projets.» Le programme de Jacques Goyette peut être consulté à http://www.equipejacquesgoyette.com.
  7. Tremblay seul dans la course Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 16/02/2009 05h17 - Mise à jour 16/02/2009 11h33 Gérald Tremblay semble bien en selle la mairie de Montréal. À l'aube d'une année électorale qui pourrait lui donner un troisième mandat à la mairie de Montréal, Gérald Tremblay semble complètement seul dans la course, selon un sondage Léger Marketing réalisé pour le compte du Journal de Montréal. Le maire de Montréal éclipse totalement ses deux adversaires déclarés, Benoît Labonté et Richard Bergeron. Les résultats du sondage sont particulièrement catastrophiques pour le chef de l'opposition et nouveau chef de Vision Montréal, Benoît Labonté. Avec seulement 4 % des intentions de vote, il se retrouve derrière le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. «Benoît Labonté doit démontrer qu'il est une alternative sérieuse au maire Tremblay. Mais actuellement, pour les Montréalais, il n'y a pas de réelle alternative», analyse le sondeur Jean-Marc Léger. Car la principale force du maire sortant, c'est sa popularité. «Il est très populaire. Les autres sont accueillis dans l'indifférence actuellement», ajoute-t-il. Des inconnus De fait, les deux adversaires de Tremblay sont totalement inconnus de la majorité de la population. Trois personnes sur cinq ne connaissent par Benoît Labonté et seulement une personne sur cinq dit connaître Richard Bergeron, qui était pourtant candidat à la mairie aux dernières élections de 2005. Il avait fini avec 9%des voix. Est-ce possible que l'un des deux réussissent à surprendre Gérard Tremblay au fil d'arrivée? «Rien n'est impossible. Il peut se passer bien des choses d'ici les élections. Mais si des élections avaient lieu maintenant, Gérald Tremblay l'emporterait haut la main», indique M. Léger. Vision Montréal en déroute Le sondage tombe bien mal pour Benoît Labonté qui essaie tant bien que mal de maintenir l'unité de son parti Vision Montréal. Depuis l'automne dernier, au moins quatre personnalités de premier plan du parti ont claqué la porte: Robert Laramée, Claire Saint-Arnaud, Pierre Minville et, plus récemment, Christine Hernandez. Élu maire de l'arrondissement Ville-Marie sous la bannière du parti de Gérald Tremblay en 2005, Benoît Labonté a claqué la porte en septembre 2007 et rejoint Vision Montréal, l'ancien parti de l'ex-maire Pierre Bourque. Il a été nommé chef de Vision Montréal en mai dernier. Si Gérald Tremblay est élu pour un troisième mandat, il sera le premier à réussir l'exploit de-puis Jean Drapeau. Ni Jean Doré ni Pierre Bourque n'ont réussi à se faire élire trois fois.
  8. Voici les sujets qu'il faudra surveiller en 2008: Aeromart: Salon de l'aviation, première fois en Amérique du nord Aloft PET: ouverture Autoroute Bonaventure: Dépôt de l'étude d'avant projet Autoroute 25: début de la construction Autoroute 30: soumission des 3 candic Budget provincial. Budget fédéral. CHUM - appel d'offre pour la construction de la tour Crystal de la Montagne: ouverture CSeries: décision de Bombardier Déménagement des 3000 employés de Bell à l'ïle des soeurs. Déménagement de l'Hippodrome de Montréal Élections provinciale? Élections fédérales? Éolien: choix des soumissionaires par le gouvernement du Québec. Hilton Garden Inn: Ouverture. Hotel-Complexe Chateau Viger : début des travaux Lien Centre-ville - Aéroport P.E.T. Dépôt des études de coûts et appel d'offres; Locations de vélos Montréal. Mariott PET: ouverture Marque de commerce de Montréal: choix final MUHC: dépôt du budget et des détails du projet Nombres de naissance au Québec en 2007 Ouverture Stade Saputo Place Norman-Bethune: réfection Phase 1 Quartier des spectacles Reconstruction de la Place d'Armes Ritz Carleton, début des travaux de rénovations; STM: cartes à puces Swatow: ouverture Vistal 1: ouverture Westin: ouverture N'hésitez pas à en suggérer dans ce fil.
  9. Voyant les politiciens promettre de l'aide aux secteurs manufacturier, de la santé et de l'éducation, des acteurs du secteur des technologies de l'information (TI) s'estiment négligés par la campagne électorale. Pour en lire plus...
  10. En pleine tourmente financière, le marché du travail a lâché pied aux États-Unis alors qu'il l'avait encore au Canada, grâce aux élections fédérales. Pour en lire plus...
  11. Après l'euphorie provoquée par les élections américaines, les marchés boursiers ont tous clôturé en forte baisse. Pour en lire plus...
  12. L'idée que l'élection d'un nouveau président américain serait généralement le prélude à une montée du Dow Jones ne peut pas servir de stratégie, selon Jean-Marc Bourgineau, analyste chez Jitney Trade. Pour en lire plus...
  13. Publié le 06 octobre 2008 à 07h03 | Mis à jour à 07h20 Jacques Parizeau veut entendre parler de souveraineté Violaine Ballivy La Presse La souveraineté du Québec devra occuper l'avant-scène du programme du Parti québécois durant la prochaine campagne électorale, estime l'ancien premier ministre Jacques Parizeau. Alors que des rumeurs voudraient que Jean Charest déclenche des élections cet automne, Jacques Parizeau a déclaré hier que le Parti québécois doit établir dès maintenant et très clairement ses intentions, en n'hésitant pas à faire de la question nationale son principal enjeu électoral. «Le Parti québécois a une sale habitude depuis bien des années: à l'approche des élections, le débat commence à savoir si on va parler de souveraineté ou bien si on va mettre cela sur la glace (...) pour avoir accès à un plus grand nombre d'électeurs.» Jacques Parizeau s'inquiète des conséquences d'un tel discours. «On ne peut pas dire «je suis souverainiste mais un peu moins de ce temps-ci parce qu'on s'en va en élection. Et dès que l'élection sera passée, on le sera davantage.» On finit par perdre la confiance des gens.» «Le moment où l'on s'est le plus rapprochés de la souveraineté, c'est en 1995, et la campagne électorale de 1994 avait porté essentiellement sur la souveraineté», a-t-il relevé. Jacques Parizeau croit aussi que, maintenant que Pauline Marois a «réglé une fois pour toute la question de la date d'un référendum», le parti est en meilleure posture. Selon lui, l'obligation de tenir un référendum au cours du premier mandat d'un gouvernement péquiste était un «corset», une «mauvaise idée» que le parti traînait depuis 1976. «Il est tout à fait possible qu'il y ait deux élections l'une après l'autre. Ce n'est écrit nulle part qu'il y a forcément un long moment entre deux élections et qu'on a le temps de faire un référendum là-dedans. Il fallait régler cette affaire.» Il a déploré que certains aient décelé dans les propos de Mme Marois une intention cachée de mettre en veilleuse la souveraineté. «Elle ne l'a pas écartée», a-t-il dit à plusieurs reprises M. Parizeau n'a pas voulu spéculer sur la possibilité d'élections provinciales à l'automne, alors qu'il participait justement à l'assemblée d'investiture de sa femme, Lisette Lapointe, dans la circonscription de Crémazie. Il a tout de même exhorté les troupes péquistes à commencer à se mobiliser: «Quand M. Charest décidera qu'il veut des élections, on sera en élections. Soyons prêts.» L'ancien premier ministre n'a pas voulu se prononcer sur le déroulement de la campagne électorale fédérale.
  14. La candidate indépendante dans la circonscription de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques propose une stratégie pour contrer les effets de la hausse vertigineuse du prix du carburant. Pour en lire plus...
  15. La Chambre des notaires du Québec est divisée par une bataille juridique. Au coeur du litige: les élections qui ont porté Denis Marsolais à la présidence le 10 avril dernier. Pour en lire plus...
  16. Au moment où des élections fédérales agrémenteront vraisemblablement l'automne canadien, les investisseurs et les acteurs du marché boursier du pays garderont un oeil sur l'élection qui aura lieu de l'autre côté de la frontière. Pour en lire plus...
  17. Quebec Tories swapped ad expenses, Elections Canada alleges TIM NAUMETZ The Canadian Press July 22, 2008 at 9:26 AM EDT OTTAWA — The Conservative Party shifted thousands of dollars in advertising expenses from two of its top Quebec candidates to other Quebec candidates who had more spending room in their 2006 federal election campaigns, the lawyer for Elections Canada has suggested. A former financial officer for the party confirmed last month in a court examination that expenses incurred by Public Works Minister Christian Paradis and former foreign affairs minister Maxime Bernier were assigned to other candidates. But former chief financial officer Ann O'Grady said the expenses were “prorated” to the other candidates because the firm that placed the television and radio ads billed Mr. Paradis and Mr. Bernier for higher amounts than their campaign agents originally committed. Elections Canada lawyer Barbara McIsaac probed Ms. O'Grady over records involving an eventual claim for $20,000 in radio and TV advertising by Mr. Paradis and $5,000 in advertising claimed by Mr. Bernier. The financial statements and invoices – filed in a Federal Court case concerning $1.3-million in questionable Conservative ad expenses – also showed that Mr. Bernier and Mr. Paradis paid a fraction of the ad production costs compared with other Tory candidates. Mr. Bernier and Mr. Paradis are among 67 Conservative candidates whose advertising expenditures are under investigation by the federal elections commissioner. Agents for some of the candidates took Chief Electoral Officer Marc Mayrand to Federal Court after he refused last year to reimburse the expenditures on grounds that they did not qualify as local candidate expenses. The Commons ethics committee is also conducting an inquiry into the bookkeeping, which Elections Canada alleges allowed the Conservative party to exceed its national campaign spending limit by more than $1-million. The Canada Elections Act prohibits candidates from absorbing or sharing the election expenses of other candidates. NDP MP Pat Martin, a member of the ethics committee, said if the party did shift expenses from Mr. Bernier and Mr. Paradis to other candidates it would add an entirely new dimension to the controversy. “I can't get (fellow NDP MP) Judy Wasylycia-Leis to put $5,000 of my expenses into her expenses,” Mr. Martin said. “That's absolutely not allowed.” In a sworn cross-examination last month, the transcript of which was subsequently entered in the Federal Court file, Ms. McIsaac pressed Ms. O'Grady about advertising and ad production costs that were transferred from Mr. Bernier and Mr. Paradis to other candidates. Ms. McIsaac challenged Ms. O'Grady's explanations that the expenditures were reassigned because the candidates had been mistakenly invoiced for more than the amounts their official agents originally committed for the campaign. “I'm going to suggest to you that Mr. Bernier was less than $2,590 from his spending limit and that he couldn't afford to put the additional amount into his return,” Ms. McIsaac said to Ms. O'Grady. “That would be total supposition,” Ms. O'Grady responded. “Who knows what else would have been going on at the time? I can't comment on how Mr. Bernier ran his campaign.” In the case of Mr. Paradis, Ms. O'Grady conceded that the candidate had originally committed his campaign to a media buy totalling $30,000, was eventually invoiced $29,766 and subsequently received a “credit note” of $10,000 that was reallocated to another candidate, Marc Nadeau. “Now, again, the reason for this was that Mr. Paradis had reached his limit with respect to spending as well, is that correct?” Ms. McIsaac asked. “He had to allocate some of his money to Mr. Nadeau, did he not, because he was close to his limit?” “I would not know that,” replied Ms. O'Grady, who replaced former Tory chief financial agent Susan Kehoe several months after the election. Ms. McIsaac also questioned Ms. O'Grady over the fact that Mr. Bernier paid no production costs for his share of the advertising. Mr. Paradis paid only $233.93 for his share, even though Ms. McIsaac said other candidates paid $4,500 each for production costs.
  18. Quebec opposes Harper proposals to alter Senate BILL CURRY From Thursday's Globe and Mail June 5, 2008 at 5:12 AM EDT OTTAWA — Quebec is threatening to haul Ottawa before the Supreme Court of Canada over what it believes are unconstitutional Senate reform measures proposed by the Harper government. Raising the ghost of the failed Meech Lake accord, Quebec Intergovernmental Affairs Minister Benoît Pelletier said the Senate reform proposed by Brian Mulroney in 1987 was preferable to Stephen Harper's two Senate reform bills, which require provincial residents to elect candidates from which Ottawa would pick. The Meech agreement gave provincial governments the power to fill Senate vacancies as an interim measure toward larger reform. Appearing before a House of Commons committee studying the proposed changes, Mr. Pelletier said the Meech model would be more in line with the Senate's original mandate to represent provincial interests. All three parties in Quebec's National Assembly oppose the two federal Senate reform bills and want them scrapped immediately, he said. Failing that, Mr. Pelletier said Ottawa should at least clear up questions of the measures' constitutionality with a reference to the Supreme Court. As a last resort, Quebec will consider taking the issue before Canada's highest court. "It's an option we have to look at," he said, pointing out that Quebec would not have joined Confederation had it not been for the assurance of a strong Senate voice. "It's an institution that goes to the heart of the federal compromise of 1867," Mr. Pelletier told MPs. The government legislation, known as Bill C-20, spells out a system in which elections would be held in each province to produce a list of names for the federal government to choose from in appointing senators to fill vacancies. It is separate from a second Conservative bill, C-19, which seeks to replace the current system where senators are appointed with term limits of eight years. Quebec's presentation in Ottawa on Senate changes took place the same week the province slammed the Harper government over its policies on climate change. Quebec Premier Jean Charest and Ontario Premier Dalton McGuinty announced they would be going it alone with a cap-and-trade system aimed at reducing greenhouse-gas emissions. The increasing polarization between Central Canada and the federal government is in contrast to recent developments in Western Canada. Premier Brad Wall's new conservative-minded Saskatchewan Party government recently said it hopes to introduce legislation this fall that would allow for provincial elections of Saskatchewan senators. The process would be similar to the one already in place in Alberta, which has already sent two elected senators to Ottawa. The NDP government in Manitoba is also moving in that direction, with plans to hold provincewide hearings to consult residents on how to elect senators. British Columbia Premier Gordon Campbell has said he'd prefer to see the Senate abolished, but could support Senate elections provided Ottawa pays for them. The one elected Alberta senator who is still in the second chamber, Bert Brown, has been touring provincial and territorial capitals to get others onside. Mr. Pelletier later told reporters that even if the Conservative bills go nowhere, Quebec's concerns could materialize if many other provinces start holding their own Senate elections to produce names from which the Prime Minister would choose. "That would completely change the Senate and would confirm our point," he said. "This reform is so important that it should follow the formal rules of the Constitution." http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/RTGAM.20080605.wsenate05/BNStory/National/home
  19. Naissance officielle d'Affiliation Montréal Le chef d'Affiliation Québec, Allen Nutik Les anglophones et allophones du Québec auront un parti pour les représenter aux prochaines élections provinciales. Le directeur général des élections du Québec a en effet autorisé officiellement lundi la création du parti Affilliation Québec, fondé par des anglophones de l'ouest de l'île de Montréal. Selon le chef d'Affiliation Québec, Allan E. Nutik, son parti offre une représentation aux minorités linguistiques du Québec, notamment aux anglophones. En occupant l'ancien créneau du défunt Parti Égalité, la nouvelle formation politique espère faire des gains parmi les anglophones et les allophones déçus du Parti libéral du Québec et ceux qui ne se reconnaissent pas dans le programme de l'ADQ et du PQ. Des partis qui n'offrent rien aux minorités linguistiques de la province, selon Allen Nutik. Le chef d'Affiliation Québec, qui devient le 16e parti officiel de la province, prévoit présenter six ou sept candidats aux prochaines élections provinciales. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/01/22/004-affiliation-quebec_n.shtml
  20. Un Canada désuni pour un Québec fort? 28/09/2007 14h12 Ottawa est régulièrement critiqué par les Québécois pour ses tendances centralisatrices. La parade aurait été trouvée: partager le pouvoir entre les différents partis politiques. Et de trois! Après les élections fédérales puis provinciales qui ont toutes les deux porté au pouvoir des gouvernements minoritaires, voilà que les élections partielles de lundi dernier au Québec fragmentent à leur tour le vote et donc le pouvoir. Trois circonscriptions étaient en jeu et trois partis différents ont réussi à faire élire l’un des leurs, soit un bloquiste, un conservateur et un néo-démocrate. Pas de quoi envisager un raz-de-marée pour qui que ce soit lors de prochaines élections générales. D’autant que le Québec sort renforcé du partage des pouvoirs, les principaux partis cherchant à lui plaire. Le Winnipeg Sun l’a bien remarqué et refuse d’accorder trop d’importance à la victoire de Thomas Muclair et du NPD dans Outremont. «N’y voyez pas une transformation du paysage politique au Québec.» Le NPD pourrait pourtant prétendre à de nouveaux succès au Québec. C’est un parti de gauche, il a reconnu que le Québec formait une nation en 1960 et son droit à l’autodétermination en 1970. Néanmoins, «le NPD reste perçu au Québec comme centralisateur, personnalisant l’idée paternaliste qu'"Ottawa a raison".» Et c’est maintenant au tour des libéraux d’être mal reçu au Québec. Les élections de lundi l’ont confirmé et désormais on s’interroge sur les causes de leur déroute. «Plusieurs libéraux soulignent le mauvais effet toujours produit par le scandale des commandites. D’autres s’en prennent à Stéphane Dion et à Jean Charest», écrit The Gazette. Mais peu importe la cause directe, les libéraux ne font plus recette au Québec. Ils ne sont plus le parti à qui revient presque naturellement le pouvoir au Canada comme durant les 13 ans de l’ère Chrétien et Martin. Ils traînent eux aussi cette image de parti centralisateur. «Ils n’ont pas su changer leur image avec l’arrivée à leur tête de Stéphane Dion», affirme en substance Nik Nanos de l’institut de sondage SES Research, rencontré par The Gazette. Mais au-delà des problèmes d’images des uns et des autres, faut-il y voir une méfiance québécoise envers la concentration du pouvoir? Si oui, l’avertissement vaut pour tout le monde, les électeurs québécois ne sont pas prêts de voter en bloc pour un même parti.
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