Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'quils'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. L'entrevue - Le starchitecte de l'échelle humaine Le Devoir Jérôme Delgado Édition du lundi 24 novembre 2008 Mots clés : Sharp Centre, architecture, Will Alsop, Construction, Ontario (province), Canada (Pays) Le Britannique Will Alsop a signé un «manifeste urbain» à Toronto L'architecte britannique Will Alsop, photographié au Centre canadien d'architecture, à Montréal. Photo: Jacques Grenier Alors que Montréal s'enorgueillit tout juste d'avoir déniché son starchitecte, Paul Andreu, Toronto, elle, en a déjà plus d'un. Parmi eux, notons la canadian star Frank Gehry, dont on vient d'inaugurer la version renouvelant l'Art Gallery of Ontario; Daniel Libeskind, auteur de la transformation récente du Royal Ontario Museum; et Will Alsop, qui y a même ouvert un bureau après la réalisation, en 2004, d'une oeuvre phare, le Sharp Centre, annexe flottante, littéralement, de l'Ontario College of Art & Design (OCAD). Dans la course effrénée qu'elles se livrent, les villes du monde jouent désormais la carte de l'architecture grandiose. Pour faire parler d'elles et attirer touristes et billets verts, elles rêvent d'une dream team du bâti. Et pourquoi pas? demande Will Aslop, architecte de Londres et du monde avec ses bureaux à Marseille, Shanghaï et Singapour. Et désormais à Toronto, qui compte déjà sur d'autres de ses oeuvres telles que les WESTside Lofts, livrés en 2006, et un complexe pour l'industrie du cinéma, le Filmport, encore à venir. Des réalisations qui entrent dans la catégorie «icônes». «Je ne comprends pas, dit-il, que des gens puissent être contre l'idée de bâtiments icônes, contre le monde des starchitectes. C'est ridicule. C'est comme être contre l'idée d'avoir des footballeurs de première classe. Si tu possèdes une équipe, tu espères avoir de très bons joueurs, c'est tout.» Will Alsop est une figure internationale, statut confirmé par le prestigieux prix Stirling, le Booker Prize de l'architecture, qu'il recevait en 2000 pour sa bibliothèque Peckham de Londres. Il était de passage à Montréal début octobre. Non, assure-t-il, il n'a aucun projet en vue pour nous. C'est le Centre canadien d'architecture qui l'a invité à donner une conférence en marge de l'exposition Will Alsop: OCAD, un manifeste urbain, qui arrivait alors à terme. Manifeste urbain, oeuvre phare ou, dans le langage commun, «dessus de table» (tabletop), le pavillon de l'OCAD conçu par Alsop et consorts (la firme torontoise Robbie/Young + Wright) frappe l'imaginaire. Et plaît, si l'on se fie à cet homme qui photographie le bâtiment de chez lui, tous les jours. Il faut dire qu'avec ses parois extérieures en damier et surtout avec sa place bien dans les airs (à la hauteur d'un neuvième étage), le Sharp est inévitable. Posé sur de grandes pattes bleues, le bâtiment est accessible, des yeux. Pour y pénétrer, il faut passer par le vieil édifice de l'Ontario College of Art & Design. «La plupart des gens ne regardent pas vers le haut. Ils ne voient que les neuf ou dix premiers mètres, la rue, les façades», dit-il à un moment de l'entrevue qu'il nous a accordée, rue Sherbrooke, dans un hôtel chic et mesuré, à son image. Alsop n'a jamais compris cette attitude généralisée, mais, à Toronto, il s'est donné les moyens de faire lever la tête: comme il le résume brutalement, «il n'y a rien avant 26 mètres». C'est une solution, soutient-il, qui découle d'un processus basé sur l'écoute et la contribution de tout un chacun. «J'organise des ateliers où j'invite le public à travailler. Qu'ils peignent, qu'ils dessinent, qu'ils s'imaginent en architectes. Et je vole leurs idées. C'est un bel arrangement!» Le commentaire, sérieux, est accompagné d'un grand rire. Mais on imagine mal Will Alsop commettre des larcins. Il est plutôt rassembleur, homme affable et d'agréable compagnie, doté d'un humour incisif. Ces rencontres avec une foule bigarrée -- dans le cas de l'OCAD avec étudiants, enseignants, résidents... -- lui servent de véritable brainstorming dans lequel il plonge volontiers. «Les dessins sont affichés dans le studio, précise-t-il. Je garder un oeil dessus. C'est très bon, c'est comme mettre du bruit dans le système.» L'idée de bâtir après 26 mètres vient des gens, assure par ailleurs l'architecte. Garder accessible le parc adjacent était une de leurs demandes. Une mauvaise perception Malgré son statut et son plaisir de jouer parmi l'élite, Alsop refuse de voir son métier comme un bal réservé à un glamour bien-pensant, à des génies dont la tête déborde d'imagination et d'innovation. «Beaucoup pensent, comme Le Corbusier, que le point de départ est une page blanche. Je pense qu'il n'a jamais travaillé comme ça. Chaque fois, il partait du projet précédent.» Will Alsop peut parfois se montrer peu tendre à l'égard du milieu de l'architecture, lui qui a oeuvré dans une période noire de l'architecture anglaise, les années 1990, où «il n'y avait aucune planification, aucune méthode». Si l'on est si prompt à critiquer la starchitecture, c'est qu'une mauvaise perception circule. Et cela déplaît à Alsop parce que cette mauvaise image est alimentée par une majorité de mauvais architectes. «Selon moi, 90 % des architectes ne sont pas bons. C'est une chose difficile à dire. Mais ils ne sont pas intéressés par l'architecture. Ils sont là parce que leurs parents leur ont dit qu'il s'agissait d'une belle profession, parce qu'ils aiment jouer au golf avec leurs clients. Ce sont eux, c'est par eux qu'est arrivée cette opposition à l'architecture icône. Ils savent eux-mêmes qu'ils ne sont pas bons.» Un piédestal de grandeur L'architecture, à ses yeux, gagne à descendre de son piédestal de grandeur. Il travaille à un rythme humain, lui, le starchitecte qui préfère Marseille à Paris -- «On ne m'a jamais invité à construire dans Paris, c'est pour ça que je ne l'aime pas», dit-il en riant. Dans son plus vaste bureau, celui à Singapour, travaillent 60 personnes, alors que Norman Forster, par exemple, en emploie 1800 à Londres. Ses déplacements en Europe, il les fait en train. Et selon lui, pour qui un des grands plaisirs est «de s'asseoir et ne rien faire», éliminer les bancs publics est une grossière erreur. «C'est sur le ton de la confidence que je travaille. Ma compréhension du lieu me sert à mieux comprendre l'architecture.» Mieux comprendre les lieux, une ville et sa population signifie aussi accepter de raser certaines horreurs. Manchester serait sortie gagnante de la destruction d'un central commercial et d'un environnement qu'Alsop affuble d'un assassin «ugly». «Aujourd'hui, la ville est fantastique. Il y a un vrai buzz qui n'existait pas avant.» New York et ses tours? Vous l'aurez compris, Will Alsop voit du bon dans l'effondrement du World Trade Center, un lieu qui lui semblait déconnecté de la rue. «C'est certainement une grande tragédie parce qu'il y a eu beaucoup de morts. Mais si les édifices avaient été vides, ça aurait été une bonne affaire.» *** Collaborateur du Devoir http://www.ledevoir.com/2008/11/24/218294.html (24/11/2008 9H41)
  2. Les deux principaux promoteurs du plan de sauvegarde du système financier - Henry Paulson et Ben Bernanke - se retrouvent sur le grill alors qu'ils doivent justifier l'abandon de la stratégie initiale de ce plan. Pour en lire plus...
  3. Wow quel changement depuis qu'ils ont enlevé la vieille peinture sur la brique !
  4. Au rythme où vont les choses, les profits annuels d'Hydro-Québec seront à ce point importants qu'ils pourraient permettre à Monique Jérôme-Forget de garnir à nouveau le fond de sa «sacoche». Pour en lire plus...
  5. Le groupe allemand a confirmé jeudi ses objectifs pour son exercice annuel 2008-09, tout en reconnaissant qu'ils étaient devenus «plus ambitieux». Pour en lire plus...
  6. mtlurb

    Parlez d'argent!

    Comment les couples instaurent-ils la gestion de leurs finances ? «Spontanément, les gens nous disent que les choses se sont mises en place naturellement, qu'ils n'en avaient jamais vraiment parlé, qu'ils ont décidé à un moment donné de partager certains comptes...», relate Hélène Belleau. Pour en lire plus...
  7. L'organisme environnementaliste dénonce les géants canadiens de l'alimentation au détail Loblaws, Provigo et Maxi à cause de l'appui qu'ils accorderaient à des pratiques de pêches destructrices. Pour en lire plus...
  8. L'ambassadeur du Canada aux États-Unis signale que les Américains ont rapidement réalisé l'ampleur de leur crise financière et qu'ils ont agi en conséquence. Pour en lire plus...
  9. Pour la plupart des économistes, le Québec ne gagne rien en vendant son électricité pour faire des lingots d'aluminium à 4 cents le kilowattheure. Pour en lire plus...
  10. Les dirigeants du groupe des huit pays les plus industrialisés ont annoncé mercredi qu'ils se réuniraient à nouveau rapidement pour mettre au point des stratégies afin de faire face à la crise financière mondiale. Pour en lire plus...
  11. La crise financière et la volatilité sur les marchés boursiers ont inquiété des investisseurs à un point tel qu'ils ont revendu à bas prix leur participation à des fonds communs. Pour en lire plus...
  12. Rejet du plan Paulson : pourquoi? * René Vézina, Les affaires * 07:33 Blogue : À l'époque, on entendait parler du grand soir rouge. C'était le rêve d'une certaine gogauche, pourquoi il valait mieux tout raser pour mieux reconstruire. Allait en surgir un ordre nouveau. La gogauche est devenue la droite ultraconservatrice avec ses amis libertariens. À leurs yeux, l'intervention de l'État dans l'économie est diabolique et rien ne remplace le cours naturel des choses. S'il faut qu'une société s'écroule, qu'elle s'écroule. On verra après. C'est, entre autres, ce que défend un économiste de Harvard, Jeffery Miron -libertarien-, dont vous pouvez retrouver les propos acides sur CNN.com : pour lui, « Mieux vaut des faillites que des sauvetages ». C'est en bonne partie ce qui a conduit un troupeau de Républicains à voter contre le plan Paulson, hier, ce qui a précipité les bourses mondiales dans la tourmente ; encore qu'en Asie, la chute a été moins brutale, et on voit même des remontées en Europe. Il faut dire que les pronostics sont meilleurs, pour aujourd'hui, en Amérique du Nord. Les autres opposants au plan l'ont fait simplement parce qu'ils s'en vont en élection et qu'ils ont peur de vexer leurs commettants. Des idéologues et des peureux sont en train de jouer à la roulette russe avec l'économie du continent. Est-ce à dire que ce plan était parfait ? Sûrement pas. Même pas satisfaisant. Mais une situation d'urgence demande une réponse urgente. Et vous savez quoi ? De toute façon, le gouvernement américain va les pomper, ces centaines de milliards de dollars dans les firmes en difficulté. C'est ce que va continuer à faire la Fed. Mais sans les balises qui auraient autrement encadré ses interventions : l'État ne pourra exiger de contreparties, pas de protection pour les propriétaires de maisons, pas de limites à la rémunération, pas de propriété partielle des firmes rescapées, etc. Ce sera du cas par cas. Voilà pourquoi le laisser-faire est hautement risqué. La peste soit des Maria Goretti de l'économie, qui préfèrent dire non et risquer de tout perdre pour ne pas entacher leur vertu.
  13. Une étude suggère que les deux tiers des travailleurs à l'orée de la retraite croient qu'ils disposeront de suffisamment de ressources financières une fois qu'ils auront cessé de travailler. Pour en lire plus...
  14. À plusieurs reprises, les dirigeants le groupe franco-néerlandais ont fait savoir qu'ils observeraient toutes les opportunités se présentant à eux. Pour en lire plus...
  15. Les deux organismes de financement hypothécaire viennent de vendre pour 3 G$ US de titres de dette de court terme, ce qui donne à penser qu'ils peuvent se financer sans aide du gouvernement. Pour en lire plus...
  16. Les quelque 42 analystes de la Banque du Canada sont sévèrement critiqués par des experts indépendants, qui déplorent qu'ils soient mal dirigés et sous-payés. Pour en lire plus...
  17. mtlurb

    Réunion 101

    Une mer de travailleurs roulent des yeux ou soupirent chaque fois qu'ils sont convoqués à une nouvelle réunion. Quand ils ne grognent pas. Pour en lire plus...
  18. L'Association des hôtels du grand Montréal lance un appel pressant aux employés afin qu'ils se prononcent au plus tôt sur les propositions patronales. Pour en lire plus...
  19. Confrontées à la hausse fulgurante du coût du kérosène, British Airways et Iberia annoncent qu'ils discutent d'une fusion. Pour en lire plus...
  20. Un groupe d'investisseurs veut intenter un recours collectif alors qu'ils accusent l'institution d'avoir manqué de transparence quant à son exposition aux «subprime». Pour en lire plus...
  21. Les États-Unis offrent de plafonner à 15 milliards de dollars par an les subventions qu'ils accordent aux agriculteurs afin de débloquer les discussions à l'OMC. Pour en lire plus...
  22. En février, la province a autorisé les Albertains à vendre l'excédent de l'électricité qu'ils produisent. La pratique reste marginale. Pour en lire plus...
  23. La Cour suprême s'est prononcée hier en faveur du congédiement par Hydro-Québec d'une employée malade qui avait manqué 960 jours de travail entre 1994 et 2001. Le jugement, qui rappelle que les employeurs doivent faciliter la vie aux employés malades, souligne qu'ils n'ont pas pour autant à «modifier de façon fondamentale les conditions de travail d'un salarié». Pour en lire plus...
  24. De plus en plus de pêcheurs au Nouveau-Brunswick partent chercher du travail dans l'Ouest canadien pour compenser les pertes qu'ils subissent en pratiquant la pêche. Pour en lire plus...
  25. «Le Québec est le paradis du recours collectif», entend-on, pour signifier qu'ils sont trop facilement autorisés et trop nombreux. Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...