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  1. Le gouvernement Harper déposera un budget déficitaire de 34 G$ pour la prochaine année financière, 2009-2010, selon un haut responsable du gouvernement. Pour en lire plus...
  2. Barack Obama a des visées extrêmement ambitieuses en matière d'énergie. «Il veut réduire de 80% les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050. Il propose un investissement de 150 milliards sur 10 ans qui pourrait entraîner la création de 5 millions d'emplois et mettre fin aux importations d'énergie du Moyen-Orient et du Venezuela», expose Pierre Lapointe, stratège de la Financière Banque Nationale. Pour en lire plus...
  3. Barack Obama s'est engagé à rendre les soins de santé accessibles à tous les Américains. Il veut améliorer le système de santé en investissant dans les technologies de l'information, dans la prévention et dans la coordination des soins. Cette cure de jouvence devrait coûter entre 50 et 65 milliards US, rapporte Pierre Lapointe, stratège de la Financière Banque Nationale. Pour en lire plus...
  4. Dix ans après être né de la fusion de Citicorp et Travelers, l'ancien numéro un du secteur bancaire américain va se scinder en deux dans l'espoir de sauver les meubles. Pour en lire plus...
  5. Les injections massives de fonds publics pour venir en aide au secteur bancaire se poursuivent aux États-Unis. Le Trésor américain injecte cette fois 20 milliards $US dans la première banque du pays. Pour en lire plus...
  6. Les marchés boursiers ont clôturé en hausse, jeudi, les investisseurs ayant une meilleure idée de l'aide financière que l'administration Obama compte rendre disponible. Pour en lire plus...
  7. La Bank of China lance un sombre avertissement car les prêts non performants s'accumulent et les problèmes profonds à l'origine de la récession n'ont pas été réglés. Pour en lire plus...
  8. Comme une fleur qui réussit à pousser au milieu d'un ouragan, le nouveau CELI connaît un bon démarrage malgré la crise financière. Pour en lire plus...
  9. Le ratio de solvabilité du régime de retraite moyen a reculé de 27% en 2008, passant de 96% en début d'année à 69% vers la fin. Pour en lire plus...
  10. La crise financière et boursière a coûté plus d'un milliard de dollars en perte de valeur au Fonds de solidarité FTQ, l'équivalent de 15% en quelques mois. Pour en lire plus...
  11. On peut affirmer sans trop douter que 2008 a été une année de crise. Des scandales à la crise financière, en passant par la chute des Bourses, l'année aura été une des plus difficiles depuis la Grande Dépression. Pour en lire plus...
  12. Le président élu américain Barack Obama a choisi Mary Schapiro, chef de l'autorité américaine de régulation de l'industrie financière (Finra), pour prendre la tête de la SEC, l'autorité de régulation des marchés financiers Pour en lire plus...
  13. Chrysler, en attente d'une éventuelle aide financière de Washington, annonce la mise en chômage technique te toutes ses usines pour une durée d'un mois. Ford prolonge pour sa part la fermeture d'une dizaine d'usines d'assemblage. Pour en lire plus...
  14. Publié le 17 décembre 2008 à 07h09 | Mis à jour à 07h12 1929, vraiment? Alain Dubuc, collaboration spéciale La Presse Les ventes de Noël n'ont pas flanché en cette fin d'année. C'est ce que constatent les commerçants dans toutes les régions du Québec. Cette nouvelle a suscité une certaine consternation. Comment se fait-il que les consommateurs se comportent comme si de rien n'était quand nous sommes frappés par la pire crise depuis la Grande dépression de 1929? La réponse est assez évidente. Nous ne sommes pas en 1929. Les États-Unis, le monde entier, et donc le Canada et le Québec, ont été ébranlés par une crise financière dont la profondeur rappelle effectivement celle de 1929. Cette crise financière a affecté gravement l'économie réelle. Mais la récession qui en résulte n'a rien à voir, ni par sa forme ni par son ampleur, avec la Grande dépression. Et les comparaisons avec ce que nos parents ou nos grands-parents ont pu vivre dans les années 30 ne tiennent pas la route. Ce qui se passe est extrêmement inquiétant. Mais il faut aussi constater que le Canada, malgré sa proximité et son intégration avec les États-Unis, s'en tire manifestement mieux que son voisin du Sud, et que les impacts sont très inégaux au sein du pays. L'Ontario, par exemple, est très ébranlé. Le Québec résiste. Il suffit de regarder autour de nous pour voir que nous ne sommes pas en période de grand marasme. L'emploi a augmenté en novembre au Québec, quand c'est une des premières choses qui plonge quand ça va mal. Les ventes de Noël tiennent le coup. Le prix des maisons baisse au Canada, mais pas au Québec, selon les prévisions de Remax. Les expéditions manufacturières québécoises étaient en hausse en octobre. C'est parce que le tsunami ne nous a pas encore frappés, diront les pessimistes. Mais il arrive, c'est inévitable. Cette crainte, légitime, est très répandue. Elle appelle cependant deux remarques. Il faut d'abord se demander pourquoi le Québec a réussi jusqu'ici à résister à la débâcle. Les États-Unis sont entrés officiellement en récession il y a un an, et leurs problèmes, comme l'éclatement de la bulle immobilière, ont commencé bien avant. Ce n'est pas un miracle ou un hasard providentiel. Je crois plutôt que des facteurs concrets et tangibles sont à l'oeuvre. J'y reviendrai dans ma chronique de vendredi. Il faut ensuite rappeler que la grande majorité des spécialistes ne s'attendent pas à un tsunami. Les quatre experts interrogés pour les boules de cristal de La Presse, publiées il y a deux semaines, prévoient une récession technique pour le Québec. Un recul léger au dernier trimestre de 2008 et au premier trimestre de 2009, suivi par une modeste remontée pour la fin de l'année. Une stagnation plutôt qu'un effondrement. Le Québec fera mieux que la moyenne canadienne, plombée par l'Ontario. Le plus étonnant, c'est que selon ces boules de cristal, l'emploi va continuer à augmenter en 2009, quoique lentement. Le taux de chômage grimpera un peu, de 7,1% à 8,1-8,2%, pour retrouver les niveaux d'il y a deux ou trois ans. C'est déplorable, mais ce n'est certainement pas 1929. À titre de comparaison, la récession de 1990 avait fait perdre au Québec 110 000 emplois, et le taux de chômage était passé de 9,6% à 13,2%. Il avait ensuite fallu sept ans pour retrouver les emplois perdus. La récession, c'est ce que nous vivons en ce moment. Nous en avons probablement déjà traversé trois mois sur six. L'impact est très variable d'une industrie à l'autre. Il y a des mises à pied. Mais il y a surtout de l'incertitude et de la peur. Peur de perdre son job, peur que ça aille mal. Ce qui explique la perte de confiance et la prudence. Nous sommes effectivement en terre inconnue. La crainte est d'autant plus justifiable que les spécialistes ont révisé plusieurs fois leurs prévisions à la baisse. Nous ne savons pas si la crise financière nous réservera d'autres mauvaises surprises. Ou si les États-Unis vont être capables de rapidement rebondir. On ne peut donc pas exclure catégoriquement l'hypothèse d'une aggravation de la crise. Mieux vaut être prudents et se préparer au pire. Cette même obligation de prudence doit jouer aussi dans l'autre sens, notamment pour éviter d'agiter des scénarios de catastrophe. Il ne s'agit pas d'être jovialistes, mais d'essayer dans la mesure du possible de donner l'heure juste, en faisant confiance à la science, malgré ses limites, en tenant compte des faits, en faisant un effort d'équilibre.
  15. La crise financière retarde l'obtention de financement, ce qui force la compagnie de Québec à faire des mises à pied temporaires. Pour en lire plus...
  16. La crise financière n'a pas épargné le monde du sport, parfois touché de plein fouet par les soubresauts des Bourses, à l'image des clubs de football anglais. Pour en lire plus...
  17. Le marché canadien de la revente résidentielle a fini par subir de plein fouet les contrecoups de la tempête économique et financière. Pour en lire plus...
  18. La Banque du Canada émet l'avis que la crise financière internationale pourrait durer encore longtemps au point de créer d'importants problèmes économiques au pays, dont la perte de propriétés par des Canadiens. Pour en lire plus...
  19. La branche canadienne de Chrysler menacerait de fermer ses deux usines ontariennes, si elle ne reçoit pas d'Ottawa et de Toronto quelque 1,6 milliard de dollars d'aide financière. Pour en lire plus...
  20. Chrysler Canada aurait tout récemment averti qu'à défaut d'aide financière de 1,6 G$ CAN des gouvernements, elle pourrait fermer deux usines d'assemblage en Ontario. Pour en lire plus...
  21. Le ministre des Finances a affirmé qu'il croyait être «capable» de répondre aux demandes d'aide financière des trois grands constructeurs automobiles qui totaliseraient 6,8 G$. Pour en lire plus...
  22. Un expert en informatique financière vient de passer au crible le portefeuille public de la Caisse de dépôt et obtient des résultats surprenants. Pour en lire plus...
  23. L'une des principales banques canadiennes voit son bénéfice net s'effondrer de 67%, à 315millions de dollars, au 4e trimestre, en raison, entre autres, de la faillite de la banque Lehman Brothers. Pour en lire plus...
  24. La Commission de la construction du Québec prévoit que son industrie parviendra à se maintenir malgré la crise financière en raison des investissements gouvernementaux dans les infrastructures. Pour en lire plus...
  25. Fragilisée depuis le début de la crise financière, RIM voit son action chuter lourdement mardi et son titre a chuté de 70% depuis juin. Pour en lire plus...
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