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  1. E-Trade Canada, qui compte 190 employés et gère des actifs totalisant 4,7 G$ pour ses clients, est un des principaux systèmes non bancaires de courtage pour les investisseurs individuels. Pour en lire plus...
  2. Cossette Communication a annoncé à ses employés vendredi dernier qu'elle avait mis la main sur le compte publicitaire du gouvernement du Québec. Pour en lire plus...
  3. Depuis l'éclatement de la crise du crédit l'été dernier, les épargnants ont laissé beaucoup d'argent dormir dans leur compte. Pour en lire plus...
  4. À la suite de pressions du gestionnaire The Ethical Funds, le détaillant compte rendre public le code d'éthique auquel elle soumet ses fournisseurs. Pour en lire plus...
  5. Boehringer Ingelheim finalise un agrandissement à Laval Denis Lalonde, LesAffaires.com 11:29 La pharmaceutique allemande Boehringer Ingelheim a finalisé un agrandissement de 36 millions de dollars à ses laboratoires de Laval, ce qui permettra à l’entreprise d’embaucher 40 chercheurs supplémentaires. L’équipe de Boehringer Ingelheim à Laval compte déjà 150 chercheurs et travaille à la recherche sur le traitement de maladies infectieuses telles l’hépatite C et le sida, maladies pour lesquelles il n’existe actuellement aucun traitement ni vaccin satisfaisants. Au Canada, Boehringer Ingelheim compte 715 employés. En plus de ses installations de Laval, l’entreprise possède trois autres centres de recherche principaux, situés à Biberach (Allemagne), à Ridgefield (États-Unis) et à Vienne (Autriche). La multinationale fondée en 1885 compte 39 800 employés dans 47 pays, incluant 3 300 scientifiques. Son siège social est basé à Ingelheim, en Allemagne.
  6. La chaîne Pharmaprix prévoit poursuivre sa croissance au Québec Il y a 1 jour TORONTO — La plus importante chaîne de pharmacies au Canada, Shoppers Drug Mart (TSX:SC), estime être en mesure de prendre encore plus de place au Québec - où elle exploite la bannière Pharmaprix -, ainsi que dans l'Ouest et en Ontario, a déclaré jeudi le chef de la direction de l'entreprise, Jurgen Schreiber, lors de l'assemblée générale annuelle des actionnaires. Il y a un an, l'entreprise torontoise venait d'inaugurer son 1000e établissement. Elle en compte maintenant 1095, dont 551 en Ontario, mais l'essentiel de cette croissance a été générée au Québec. "A la fin de 2006, nous avions 102 magasins au Québec. Nous en avons maintenant 140. C'est un changement important", a dit Jurgen Schreiber. Le Québec est un marché en pleine croissance pour Shoppers, mais la compagnie doit composer avec la concurrence féroce du Groupe Jean Coutu (TSX:PJC), qui compte 330 établissements au Québec, en Ontario et au Nouveau-Brunswick, et qui contrôle près du tiers de l'importante chaîne américaine Rite Aid. Ailleurs au pays, Shoppers lutte contre le groupe Katz, qui détient 1800 pharmacies au Canada et aux Etats-Unis. Si Katz compte plus d'établissements que Shoppers, il embauche trois fois moins d'employés (15 000 contre 47 000) et génère environ 1 milliard $ de moins en revenus annuels. M. Schreiber a ajouté que le Québec représente un marché de plus en plus lucratif pour Shoppers Drug Mart, puisqu'il s'agit "de la deuxième province en importance (au chapitre de la population) et que les marchés de la santé et des prescriptions y sont très développés". C'est pour cela, dit-il, que son entreprise accorde autant d'importance à la Belle Province. En Ontario, la province la plus peuplée du pays, on retrouve un établissement de Shoppers par 25 000 habitants. M. Schreiber croit que sa compagnie peut faire encore mieux et augmenter sa pénétration grâce à la popularité de son nom. Au Québec, le ratio est d'environ un établissement par 60 000 personnes, contre un par 35 000 personnes dans l'Ouest. "Nous avons encore devant nous au moins cinq années d'ouvertures de nouveaux magasins, de rénovations de magasins et d'agrandissements de magasins", a-t-il lancé aux actionnaires. La semaine dernière, Shoppers Drug Mart a dévoilé un bénéfice de 101 millions $ au premier trimestre, en progression de 19 pour cent par rapport aux 85 millions $ engrangés un an plus tôt. Ses ventes pendant cette période ont été de 2 milliards $, contre 1,8 milliard $ l'année précédente. Jeudi après-midi, le titre de Shoppers valait 54,46 $, en hausse de 13 cents, à la Bourse de Toronto.
  7. Aérospatiale: AAA Canada arrive à Montréal L’entreprise ouvrira ses portes en mai et compte créer une centaine d’emplois durant sa première année d’activité. La française AAA et la québécoise Drakkar Ressources Humaines s’associent pour créer AAA Canada, une firme de sous-traitance dans le domaine de la production industrielle en aérospatiale qui s’installera dans le Technoparc Montréal. L’entreprise ouvrira ses portes en mai et compte créer une centaine d’emplois durant sa première année d’activité. Il s’agit d’un investissement de 5 millions de dollars sur cinq ans. http://www.lesaffaires.com/article/0/aeronautique-et-aerospatial/2008-04-09/475622/aerospatiale-aaa-canada-arrive-a-montreal.fr.html
  8. Les restaurants Kelsey's ferment leurs portes au Québec 12 mars 2008 - 11h37 LaPresseAffaires.com Michel Munger Agrandir Les restaurants Kelsey's offrent un concept de bar et grill pour des clients qui cherchent à manger dans une ambiance conviviale et informelle. Photo: kelseys.ca Grossir caractèreImprimerEnvoyer .a{float:left;padding:0px 15px 10px 0px;text-align:center;width:175;} Les 12 restaurants Kelsey's disparaîtront de la carte au Québec dès le 15 mars et 414 emplois sont touchés, a appris LaPresseAffaires.com. Insatisfaite du rendement de la chaîne dans la Belle Province, la maison-mère Cara a décidé d'y mettre la hache. Josée Béliveau, directrice de compte chez Edelman Relations publiques, confirme la nouvelle. «Disons que le concept offert par la chaîne n'a pas vraiment trouvé preneur auprès des Québécois», explique-t-elle. Les restaurants Kelsey's offrent un concept de bar et grill pour des clients qui cherchent à manger dans une ambiance conviviale et informelle. Ses rivales immédiates sont les bannières Boston Pizza et Casey's. «Les restaurants étaient surtout présents en banlieue, rappelle Mme Béliveau. Il y avait un restaurant à Anjou et un à St-Laurent, mais les autres étaient situés à des endroits comme Longueuil, Laval et St-Bruno. C'était une clientèle familiale qui était visée.» Kelsey's compte plus d'une centaine d'emplacements au Canada et elle célèbre son 30e anniversaire cette année. La chaîne est surtout présente en Ontario. Ancienne propriétaire de la chaîne de cafés Second Cup, la société Cara, de Mississauga, exploite aussi la bannière Harvey's au Canada. C'est aussi un traiteur pour 60 transporteur aériens. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080312/LAINFORMER/80312130/5891/LAINFORMER01
  9. Le jeudi 14 février 2008 Montréal passe aux actes Sébastien Rodrigue La Presse La Ville de Montréal commence ce printemps le réaménagement des intersections les plus dangereuses pour les piétons. Il y aura, entre autres, davantage de feux à décompte numérique, du marquage supplémentaire et des trottoirs élargis pour faciliter les traversées. L'administration municipale avait déjà annoncé cette mesure dans son plan de transport. Le responsable du transport au comité exécutif, André Lavallée, a confirmé hier des dépenses annuelles de 6 à 9 millions pour le réaménagement d'environ 500 intersections sur une période de 10 ans. M. Lavallée a aussi indiqué que son administration entendait réduire à 40 km/h la vitesse maximale dans les rues résidentielles de l'île de Montréal d'ici la fin 2008. Le gouvernement provincial doit modifier la législation pour le permettre. M. Lavallée précise que la vitesse sera alors de 40 km/h partout, sauf où des panneaux indiqueront 50 km/h. La Ville compte donc revoir l'aménagement de 64 carrefours cette année. Le chemin de la Côte-des-Neiges sera notamment visé entre le chemin Queen Mary et la rue Jean-Talon. La rue Notre-Dame Est ainsi que plusieurs rues des arrondissements du Plateau-Mont-Royal, de Rosemont-La Petite-Patrie et de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension sont aussi touchées. Plusieurs types d'aménagement ont été retenus. Les trottoirs seront notamment élargis pour ralentir les voitures et diminuer le temps de traverse des piétons. La visibilité pourra aussi être améliorée avec des interdictions de stationnement au coin des rues. Il y a aura aussi la modernisation de feux de circulation, notamment par l'implantation de «feux en aérien», visible au milieu de la chaussée. La Ville s'est inspirée des conclusions de la Direction de la santé publique pour déterminer les carrefours les plus problématiques. Le nombre d'accidents avec blessés ainsi que le nombre d'accidents selon le flot de véhicules ont été pris en compte. Montréal compte environ 15 000 intersections. Il y a 2400 intersections avec des feux de circulation et seulement le tiers ont des feux à décompte numérique pour les piétons. On recense en moyenne cinq accidents quotidiens impliquant des piétons dans la métropole. Selon André Lavallée, la nouvelle brigade policière affectée à la circulation donne aussi des résultats. Pour l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie, le nombre de contraventions est ainsi passé de 20 000 à 38 000 entre 2005 et 2007. Montréal dévoilera plus tard cet hiver le bilan complet. http://www.cyberpresse.ca/article/20080214/CPACTUALITES/802140711/1019/CPACTUALITES
  10. Saputo acquiert Alto Dairy Cooperative pour 160 millions $ US Il y a 3 jours MONTREAL - Le géant canadien des produits laitiers Saputo (TSX:SAP), soucieux d'accroître sa présence sur le marché américain, a conclu une entente de 160 millions $ US en vue d'acquérir les activités d'Alto Dairy Cooperative, entreprise située à Waupun, dans l'Etat du Wisconsin. Alto, dont les ventes se sont élevées à quelque 378 millions $ US, en 2007, compte deux usines, l'une à Waupun, l'autre à Black Creek, également au Wisconsin. Elle emploie 467 personnes. La transaction, approuvée par le conseil d'administration d'Alto, demeure sujette à l'approbation des autorités américaines en matière de concurrence et à celle des membres de la coopérative américaine, qui se prononceront en assemblée le 27 février. L'acquisition sera réalisée sur une base au comptant, sans endettement, par l'utilisation des crédits bancaires disponibles, a précisé Saputo, mardi. Alto produit des fromages de type mozzarella, provolone, cheddar, monterey jack, muenster, fontina et gouda - ainsi que du lactosérum, produits commercialisés à l'échelle nationale sous une variété de marques nationales et privées. Manon Goudreault, directrice des communications chez Saputo, a indiqué que l'entreprise avait été approchée par Alto au sujet de la possibilité de conclure une transaction. "Ils cherchaient à vendre leurs activités, a-t-elle affirmé. Cette transaction fait vraiment partie de notre orientation stratégique et elle va nous aider à développer nos activités principales aux Etats-Unis. "Cela va également nous aider à croître aux Etats-Unis et à y avoir une présence accrue." Saputo compte 15 usines aux Etats-Unis, incluant au Wisconsin et en Californie. "Nous sommes toujours à la recherche d'occasions afin de croître, mais nous ne mettrons jamais en danger 54 ans d'affaires juste pour faire une acquisition", a indiqué Mme Goudreault. "Lorsque nous faisons une acquisition, c'est parce qu'elle est stratégique, qu'elle va permettre à l'entreprise de croître et qu'elle va ajouter de la valeur pour les actionnaires." En avril dernier, Saputo a complété l'acquisition, pour 216 millions $ US, des activités de fabrication de fromage de la coopérative américaine Land O'Lakes, située en Californie. A la Bourse de Toronto, mardi après-midi, le cours de l'action de Saputo était de 27,01 $, en hausse de 54 cents ou 2,04 pour cent par rapport à la veille. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5iNNFTr9JN_AyHgSq2o9cW4YWIZwA
  11. Genivar acquiert une société de conception et ingénierie, en Ontario Il y a 8 heures MONTREAL - Le société montréalaise de génie et de conseil Genivar a annoncé, mardi, qu'elle achète l'ontarienne Transenco, qui fait de la conception d'infrastructure, notamment pour les routes, les autoroutes, ponts et systèmes de transports publics. Genivar, qui est constituée en fonds de revenu, précise que Transenco a été fondée en 1994 et compte une vingtaine d'employés dans ses bureaux situés dans trois localités de l'Ontario; elle compte parmi ses clients le ministère provincial des Transports, des municipalités et des promoteurs. La direction de Genivar souligne que les besoins en infrastructures au Canada "sont très importants" car les gouvernements investissent beaucoup pour réhabiliter les routes et autres infrastructures. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5hrMraUFaGxvTw8PpbiwNLcpc4Nrw
  12. Le vendredi 30 novembre 2007 Montréal adhère au club sélect du Réseau des villes gourmandes. La ville côtoie ainsi d'autres membres réputés de par le monde pour leur gastronomie.Ce réseau est une initiative de Lyon, qui a une longue tradition gastronomique. La ville française a lancé l'invitation à une vingtaine d'autres de par le monde. Parmi celles-ci, Madrid, Milan, Bruxelles et Leipzig représentent l'Europe. Guangzhou, Yokohama et Osaka représentent l'Asie. De notre côté de l'Atlantique, Montréal côtoie Philadelphie, Sao Paulo et Las Vegas notamment. Le réseau ne devrait pas dépasser le nombre d'une vingtaine de villes au total. Il en compte déjà 18. Montréal est la seule ville canadienne sélectionnée. Un choix qui n'est probablement pas étranger au fait que le magazine Gourmet avait offert à Montréal une vitrine importante dans son édition du printemps 2006. «Lyon a lancé ses invitations d'après la réputation gastronomique des villes», indique Pierre Bellerose, porte-parole à Tourisme Montréal. Cette organisation représentera la ville lors de la première rencontre prévue en février, à Gênes, en Italie. Créé en septembre, le réseau se veut avant tout un lieu d'échange. «Ça se fera à plusieurs niveaux. Par exemple, l'échange de cuisiniers ou des meilleures façons de faire la promotion de la gastronomie», dit M. Bellerose. Selon lui, l'invitation est un signe de la qualité de la gastronomie à Montréal et un résultat des efforts de promotion faits dans ce domaine. Le réseau permettra de promouvoir à l'échelle internationale Montréal en tant que destination gastronomique. Tourisme Montréal compte par ailleurs mettre sur pied un comité local en lien avec ce réseau. Il regrouperait des gens spécialisés dans le domaine, notamment des établissements d'hébergement, l'Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec et la Société des alcools du Québec. Le tourisme gastronomique existe déjà à Montréal. Sans être la raison d'une visite, il demeure incontournable une fois sur place. «Ça fait partie de l'expérience touristique à vivre à Montréal», estime M. Bellerose.
  13. 25 octobre 2007 Le nombre de fonctionnaires va en diminuant, l'espace pour les loger peut être réduit. C'est dans cette logique que le gouvernement québécois officialisera en fin de semaine la mise en vente du 500, René-Lévesque Ouest, à Montréal. Deux autres édifices, à Québec ceux-là, passeront aussi aux mains du privé. Il s'agit du J.-A.-Tardif et de Place Québec. Dans les trois cas, il s'agit d'édifices qui ne sont pas entièrement occupés par du personnel à l'emploi de l'État québécois. Au bureau de la ministre des Finances, qui avait fait état de ces ventes à venir dans son budget du printemps, on répète que «le gouvernement a décidé de se concentrer sur sa mission essentielle». Et comme ces trois édifices sont les trois seuls qui hébergent aussi des locataires privés, Québec n'a pas l'intention d'en vendre d'autres, indiquait-on mercredi. Pour le moment, Québec entend garder ses fonctionnaires dans les locaux mis en vente. À terme, certains devront toutefois déménager dans d'autres locaux. Les gains de la vente de ces édifices, avait annoncé la ministre Monique Jérôme-Forget au printemps, seront versés au fonds des générations, qui vise à alléger le poids de la dette croissante du Québec. Mercredi, à son bureau, on n'a pas voulu estimer quels pourraient être ces gains. Le dossier de Place Québec est celui qui devrait déboucher le plus tôt. Le processus de vente est suffisamment avancé pour espérer une conclusion «d'ici les Fêtes», explique Martin Roy, porte-parole de la Société immobilière du Québec, qui gère les édifices gouvernementaux. En plus de bureaux gouvernementaux, l'édifice compte une galerie commerciale et un grand stationnement. À Montréal, le 500, René-Lévesque Ouest, qui compte 26 étages, abrite notamment la Commission des normes du travail et celle des lésions professionnelles en plus de l'Agence des partenariats publics-privés. Les courtiers J.J. Barnicke et Michel Duclos ont été retenus pour la SIQ.
  14. voici un article qui parle de la résurection de Lacoste en amérique du nord, et un passage intéressant sur Montreal http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20071018/LAINFORMER/710180843/5891/LAINFORMER01 un extrait de l'article Une expansion qui tire à sa fin au Canada Lacoste a amorcé son retour au Canada en inaugurant une boutique chez Ogilvy rue Sherbrooke, en 1999. Le petit crocodile, qui compte aujourd'hui 12 boutiques au pays, n'a pas tardé à connaître du succès auprès des consommateurs canadiens. Entre 2001 et 2007, le chiffre d'affaires de Lacoste Devanlay Canada est passé de 3,2 à 28,7 millions de dollars. Il s'agit d'une hausse de 798% en six ans. Au cours de la dernière année, la croissance a été plus modeste (+6,04%). Heureusement, s'exclament les dirigeants de Lacoste au Canada. «Dieu merci, nous n'avons pas doublé nos ventes depuis un an comme ce fut parfois le cas au cours des dernières années», dit Dominique Bouchard, qui n'aurait pas pu continuer au même rythme fou. Lacoste compte trois boutiques au Québec, situées aux Ailes de la mode à Montréal, au Carrefour Laval et à Place Sainte-Foy dans la Vieille Capitale. La société n'a pas de projets d'expansion en vue au Québec. Plutôt un déménagement: elle cherche actuellement un nouveau local rue Sainte-Catherine pour sa boutique des Ailes de la mode - un «emplacement plutôt nul», dit Dominique Bouchard en toute franchise. Lacoste compte inaugurer deux autres boutiques à Calgary et Ottawa d'ici 2010. Après, finie l'expansion canadienne. Lacoste ne voudra plus de nouveaux clients. «Nous allons être chanceux si nous parvenons à nous maintenir, dit Dominique Bouchard. C'est dangereux de vouloir saturer le marché. La plupart des marques tombent après 10 ans. Nous, nous allons essayer de nous maintenir. Nous pensons atteindre un équilibre avec 14 boutiques et entre 250 et 300 points de vente dans les magasins de commerce au détail.» Et cette fois, la société Lacoste jure qu'elle veillera sur son petit crocodile, à qui elle promet une longue vie en Amérique du Nord.
  15. Montréal perdrait le siège social d'un centre international du film jeunesse Il y a 17 heures MONTREAL - Montréal perdrait le siège social du Centre International du Film pour l'Enfance et la Jeunesse (CIFEJ) en raison de la décision d'Ottawa de mettre fin à son soutien financier. La directrice exécutive du CIFEJ, Jo-Anne Blouin, devrait en faire l'annonce officielle à Amsterdam mardi à l'occasion de l'Assemblée générale de l'organisation. Dans un communiqué diffusé lundi, Mme Blouin a indiqué trouver que l'arrêt du financement du gouvernement fédéral étaient difficile à justifier compte tenu que les sommes demandées étaient petites et que le centre contribuait au rayonnement du pays. Créé en 1955, le CIFEJ est basé à Montréal depuis 1990. Son réseau d'adhérents compte environ 150 membres dans 57 pays.
  16. Zimmer achète Orthosoft 24 août 2007 - 11h14 Presse Canadienne Agrandir Le docteur Louis Philippe Amiot est un des grands patrons d'Orthosoft. La montréalaise Orthosoft (OSH) sera vendue à l'américaine Zimmer Holdings (ZMH). Les deux parties ont signé une entente, ont-elles annoncé jeudi. La société spécialisée en logiciels et instruments pour la chirurgie orthopédique par ordinateur a vu son titre bondir de plus de 60% vendredi matin à la Bourse de croissance TSX. Zimmer entend maintenir les activités actuelles d'Orthosoft à Montréal. La société américaine intégrera l'entreprise achetée dans sa structure existante. Orthosoft, dont le siège social est situé dans le Vieux Montréal, compte actuellement 81 employés, la plupart affectés à la vente et au développement de produits. De son côté, Zimmer est basée à Warsaw, en Indiana. Elle est spécialisée dans la fabrication et la commercialisation d'implants orthopédiques de reconstruction et d'implants rachidiens, d'appareils de traumatologie et de produits chirurgicaux orthopédiques connexes. Zimmer est active dans plus de 24 pays, et vend des produits dans plus de 100 pays. En 2006, le chiffre d'affaires de Zimmer s'est établi à environ 3,5 G$.
  17. 22/06/2007 Vous fréquentez peut-être déjà plusieurs hotspots sans même le savoir. Ce sont ces endroits en ville où l’on peut se connecter gratuitement à l’internet, sans se sentir pirate pour autant. C'est l’organisme une Île sans fil qui permet cette fabuleuse connexion. Une Île sans fil est un organisme à but non lucratif qui travaille depuis trois ans à développer une infrastructure de communication gratuite à travers la ville. Plusieurs cafés, restaurants, bars et parcs sont maintenant membres d’ISF et fournissent ainsi l’internet gratuit à leur clients, grâce à la technologie WiFi Dog, un logiciel créé par les pionniers d’une Île sans fil. ISF compte déjà 40 000 usagers. Plusieurs d'entres eux n'ont carrément pas l'internet à la maison et utilise le café du coin, qui offre l'internet gratuit, comme bureau de travail. Pour avoir la connexion, les commerçants doivent acheter l’équipement WiFi, d’environ 100$, et payer les frais d’adhésion à Île sans fil de 50 $ par année, qui couvre l’installation et l’entretien technique. Des coûts minimes qui font la popularité d’île sans fil auprès de ses clients. «Il y a eu des milliards de capital de risque d’investis dans différents projets de réseau sans fil un peu partout dans le monde, mais il n’y a pas grand chose qui en est resté. Nous, nous avons survécu parce qu’nous avons un modèle d’affaire fonctionnel. Oui ça nous fait moins de revenus directs, mais ça fait beaucoup plus d’usagers», explique Benoit Grégoire, un membre actif d'ISF. ISF est entièrement gérée par des bénévoles, des passionnés d'informatique de tous âges. «Aussitôt qu'un nouveau hotspot est branché, ça me donne un rush, ça me rend heureux. Je suis vraiment un geek né!», raconte Jeff Schallenberg, ingénieur pour Île sans fil. Grâce à Île sans fil, Montréal se classe parmis les cinq villes dans le monde les plus branchées, en terme de connection internet communautaire. L'organisme espère que l'internet deviendra un jour partie intégrante de la structure de la ville de Montréal.
  18. Presse Canadienne Le dimanche 22 avril 2007 La Fédération québécoise des municipalités a amorcé sa démarche pour élaborer sa future politique sur le développement durable. L'initiative intervient dans le contexte de la Loi québécoise sur le développement durable, adoptée au printemps 2006, établissant que le gouvernement pourra déterminer le moment où les municipalités devront élaborer un plan d'action et des objectifs en matière de développement durable. Avec l'aide d'experts et de professionnels, la Fédération québécoise des municipalités veut donc établir les grandes lignes à considérer en termes de responsabilités municipales liées au développement durable. Outre les élus et les fonctionnaires municipaux, des représentants du monde des affaires et de différentes organisations des secteurs de l'environnement, de l'agriculture, des transports, de la santé et de l'éducation, seront mis à contribution. Les élus municipaux veulent mettre en place une nouvelle façon de faire, qui tienne compte à la fois fois de l'obligation de livrer des services à la population, tout en y intégrant les principes de développement durable. La Fédération dit répondre à la pression des citoyens, qui voient dans le développement durable une priorité pour les générations futures. Un colloque aura lieu en juin prochain. Des recommandations seront par la suite acheminées au congrès de la Fédération, en septembre.
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