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francely57

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Tout ce qui a été posté par francely57

  1. Le déficit atteint déjà trois milliards Tommy Chouinard La Presse Publié le 23 septembre 2009 à 14h25 | Mis à jour à 16h06 (Québec) Québec se dirige vers un déficit plus élevé que prévu. Trois mois seulement après le début de l'année financière, le déficit atteint déjà trois milliards de dollars. Or, le gouvernement Charest avait prévu un trou de 3,9 milliards pour toute l'année. Le rapport mensuel des opérations financières, rendu public par le ministère des Finances aujourd'hui, indique que le déficit budgétaire s'élève à trois milliards de dollars au 30 juin. Les revenus du gouvernement atteignent 15,6 milliards, un niveau similaire à celui de la même période l'an dernier. Mais les dépenses (18,6 milliards) ont bondi d'un milliard. Elles ont surtout augmenté aux ministères de la Santé (546 millions), de l'Éducation et de la Culture (168 millions). D'avril à juin, le déficit cumulatif s'élève à trois milliards. Notons qu'en début d'année financière, les revenus sont généralement moins importants. «Conformément à la tendance historique, les résultats cumulatifs pour les trois premiers mois de l'année indiquent un excédent des dépenses par rapport aux revenus. L'écart mensuel devrait diminuer progressivement au cours des prochains mois», peut-on lire dans le document du ministère des Finances. Il n'en demeure pas moins que le rapport envoie un signal inquiétant sur l'état des finances publiques. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/200909/23/01-904803-le-deficit-atteint-deja-trois-milliards.php
  2. francely57

    Montréal vs. Toronto

    ..on dirait qu'Yves Boisvert répond à Yarabundi et d'autres qui ont écrit ici... ce que j'ai mis en rouge est très très très familier, on dirait mot pour mot.... Comment Toronto peut inspirer Montréal Yves Boisvert La Presse Publié le 22 septembre 2009 à 15h57 | Mis à jour le 22 septembre 2009 à 15h59 Un des grands clichés de la vie politique québécoise consiste à dire que Toronto a sur Montréal l'avantage d'être à la fois la ville la plus importante de l'Ontario ET le siège de la capitale provinciale. Autrement dit, on présume que, comme l'hôtel de ville de la métropole est à une petite marche de Queens Park, la complicité règne de toute éternité entre le maire de Toronto et le premier ministre ontarien. Ah! Si seulement les sous-ministres et les autres fonctionnaires de Québec comprenaient les réalités montréalaises, s'ils vivaient ici, tout irait tellement mieux, nous disent les "décideurs" montréalais. Oubliez ça, vous diront les gens de l'hôtel de ville de Toronto. Les quelques centaines de mètres à franchir dans la rue University pour aller de l'hôtel de ville torontois au parlement ontarien sont chargés d'autant de malentendus, d'incompréhension et de méfiance que les 260 km de l'autoroute 20 qui vous mènent de la rue Notre-Dame à l'Assemblée nationale. " On a historiquement été tenus pour acquis par le gouvernement provincial, à qui il a toujours fallu aller quêter des permissions ", me dit un conseiller du maire David Miller. " On vous revient là-dessus bientôt! " disait-on et six mois, un an plus tard, les fonctionnaires revenaient, ou ne revenaient pas, selon leur bon plaisir. Au tournant de l'an 2000, les relations étaient si mauvaises entre Mel Lastman, le maire, et Mike Harris, le premier ministre, que quelques comiques au conseil municipal plaidaient pour la séparation de Toronto. Pourquoi sans cesse plus de responsabilités coûteuses, mais aucun pouvoir accru? Par quel moyen changer radicalement les rapports entre la capitale et la métropole, pour sortir du cercle vicieux de la quasi-tutelle? Personne ne voyait d'issue parce que, comme au Québec, donner l'impression de faire plaisir à la grande ville n'était pas rentable politiquement. À l'affrontement classique, on a préféré la stratégie de l'encerclement. Créer un mouvement qui allait rallier les grandes villes, les gens d'affaires et les universitaires autour de l'idée que le succès économique du pays passe par les grandes villes. Dieu sait qu'on a entendu le refrain depuis cinq ans dans les médias, les chambres de commerce, les colloques universitaires. C'est un mouvement international, bien entendu. Mais au Canada, ce mouvement est parti ici, pas loin du 11e étage de l'hôtel de ville de Toronto, dans le bureau de Phillip Abrahams. Il ne s'en vante pas, mais M. Abrahams, le discret directeur des relations intergouvernementales, est un des architectes de ce mouvement. Son bureau arbore fièrement l'affiche de l'association des grandes villes (canadascities.ca). Quoi de mieux pour unir tout le monde dans ce pays improbable qu'une scène de hockey en plein air? "Nous avons organisé des réunions, des colloques, le public a été mobilisé quant à l'importance des villes comme moteur économique", dit-il. Bien sûr, les enjeux sont communs aux grandes zones urbaines : transport, infrastructures, services sociaux, police, etc. Mais si les gens de Toronto ont parti ce mouvement, c'était pour des fins bien locales. David Miller, simples conseiller à l'époque, était un grand promoteur de ce projet. "Autrefois, on demandait à la province: voulez-vous nous donner un nouveau pouvoir? Et ils répondaient non. Nous avons décidé de leur dire : voulez-vous venir travailler avec nous? dit-il avec un sourire de satisfaction. Au départ, ils n'ont pas répondu. Quand les libéraux (de Dalton McGuinty) sont arrivés au pouvoir en 2003, nous leur avons écrit encore. On n'a pas eu de réponse. Puis soudainement, dans une entrevue de fin d'année, le premier ministre a déclaré qu'il cherchait des idées pour Toronto. Nous lui avons envoyé une autre invitation." Miller a été élu maire en 2003. Il a invité les maires des 10 plus grandes villes et a invité le premier ministre de l'Ontario à leur adresser la parole. Ce n'était pas gratuit. Tranquillement, la sensibilisation se faisait, les esprits se rapprochaient Il fut décidé que des fonctionnaires de la ville et de la province travailleraient ensemble à l'élaboration d'une charte pour Toronto. "Tout le monde est arrivé à ces rencontres avec ses préjugés. On a passé les quatre premiers mois simplement à s'entendre sur le sens des mots et à apprendre à se faire confiance." De ces rencontres est né un rapport qui recommandait de donner les pleins pouvoirs à la Ville de Toronto. Puis la Loi sur Toronto, entrée en vigueur le 1er janvier. Au lieu d'avoir les pouvoirs que le gouvernement lui donnait explicitement, la Ville a maintenant tous les pouvoirs sauf ceux qui sont dans une liste d'exceptions. "On n'a pas eu tout ce qu'on demandait, mais bien franchement, on ne pensait jamais avoir tout ce qu'on a eu! Une liste d'exceptions, avec le temps, on peut la faire diminuer. Nous avons complètement renversé les choses." Un exemple : Queens Park n'a aucune objection à ce que Toronto négocie directement avec le fédéral pour obtenir sa part de la TPS. Ça lève les objections constitutionnelles. Les pouvoirs de taxation locale sont accrus, comme plusieurs autres, dont les avantages fiscaux que la Ville peut décider d'octroyer. Bref, plus d'oxygène politique. Et en prime, une bonne entente totalement inédite entre la Ville et la province. "Ces relations sont capitales, le futur de la ville en dépend." De tout cela, dit-il, Toronto émerge non plus comme une municipalité, mais comme un "gouvernement" à part entière, arrivé à maturité. Ça ne règle pas tout, mais ça met la table pour les étapes à venir, où il sera question de partager les revenus fiscaux des projets de construction avec la province, et la taxe fédérale avec Ottawa. Voici, après ces cinq ou six ans de travail de fond, Toronto et Queens Park à peu près alliés. Le maire de Montréal a raison d'en espérer autant. L'exemple torontois nous montre à tout le moins que même en partant de loin, avec un lent travail de fond, on n'est pas condamné à tourner en rond éternellement dans les relations Québec-Montréal. http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/yves-boisvert/200909/22/01-904444-comment-toronto-peut-inspirer-montreal.php
  3. La ponctualité, d'un bus à l'autre par Nathalie Villeneuve Courrier Laval Article mis en ligne le 21 septembre 2009 à 15:39 Cinq minutes d'attente, pas une minute de plus. Avec le nouveau système d'information en temps réel de la Société de transport de Laval, on fera la promotion de la garantie offerte aux utilisateurs. Une exclusivité, dans la région métropolitaine. Lancée il y a quelques années, la garantie de ponctualité de la Société de transport de Laval (STL) était valide, à l'origine, pour les retards de plus de 7 minutes. Grâce au nouveau système de localisation GPS de la Société et au système d'information en temps réel qui sera bientôt offert aux voyageurs, le retard d'un bus sera facilement vérifiable. Dans ce nouveau contexte, la STL s'engage à rembourser un client qui l'exigera, après avoir attendu plus de cinq minutes à un arrêt. Unique «C'est la seule garantie du genre au Canada», affirme M. Giard. À la Société de transport de Montréal (STM), tout comme au Réseau de transport de Longueuil (RTL), la révolution de l'information en temps réel n'a pas encore eu lieu. Et on n'offre pas de garantie de ponctualité. Les trois sociétés de transport de la région métropolitaine tiennent registre de leur taux moyen de ponctualité. Les marges diffèrent cependant, d'un endroit à l'autre. À Laval, l'objectif est de ne pas arriver à l'avance à un arrêt et de ne pas dépasser cinq minutes de retard. Le taux de ponctualité est de 92%. À Montréal, l'intervalle admis est d'une minute d'avance à trois minutes de retard. Les bus montréalais respectent cette norme dans 82,7% des cas. Les nombreux chantiers de la métropole influencent le résultat, fait remarquer Isabelle Tremblay, porte-parole de la STM. Lorsqu'on utilise la norme montréalaise, les autobus de Longueuil obtiennent un taux de 94%. http://www.courrierlaval.com/article-379570-La-ponctualite-dun-bus-a-lautre.html
  4. 22 septembre 2009 (Journée sans voiture) depuis Ste-Catherine/University depuis UrbanBehaviour sur Ste-Catherine depuis le Trou Spectrum observez l'alignement des buildings il y a une grande fente à droite, alignée avec le top du voisin de près reflet du Hilton dans Louis-Bohème la fente est sur ce coin-là des blocs prêts à monter
  5. (je suis pas sûr si la mezzanine du 1er étage compte comme le 2e?) 4 étages de haut, ils commencent tout juste à travailler sur le 5e plancher 22 septembre 2009 dans le canyon Maisonneuve (commence à être visible depuis City Councillors) depuis University depuis McGill College
  6. 22 septembre 2009 depuis le coin de la Place des Arts depuis l'OSM toujours depuis l'OSM le fameux SPVM (gauche)
  7. 22 septembre 2009 ils ont rajouté la grande bannière, ça fait moins ghetto en attendant
  8. ...Jarry actually, it really does look like a cleaned up métro Jarry
  9. 2 questions (peut-être qu'AlainS saurait quelque chose là-dessus) : 1- est-ce que l'ordre vraissemblable des prolongements (bleue avant les autres) veut dire que Bois-Franc est retardé de plusieurs années? ou bien ce sera quand même fait longtemps avant la boucle? 2- est-ce que le "un métro sur 2" sera répété, disons à Côte-Vertu, pour créer une zone basse fréquence entre Côte-Vertu et Henri-Bourassa? ou bien le "un métro sur 2" et toutes les affaires construites à Henri-Bourassa deviendront inutiles?
  10. ^ en regardant de vieilles photos.. en 2004-2005 on en voyait 4 assez proches sur Maisonneuve (Lépines X2, Roc Fleuri, Concordia?) (il y a aussi l'Îlot Voyageur en 2007, mais disons que ça compte pas...) petit update de Toronto Nouvelle grue au centre-ville, pour Burano, 48 étages photo de TO City of Light de urbantoronto.ca en avant : 18 York, 26 étages (bureaux) en arrière : Telus Tower, 30 étages (bureaux); Maple Leaf Square, 54 et 50 étages photo de drum118 de urbantoronto.ca en avant : Uptown Residences, 48 étages; CrystalBlu, 36 étages en arrière-gauche : Casa, 46 étages photo de drum118 de urbantoronto.ca en avant : Shangri-La, 65 étages milieu : Boutique Condos, 35 étages en arrière-gauche : Festival Tower, 42 étages photo de alan hyland de flickr ...évidemment, il y a aussi Trump, Ritz-Carlton, X Condo, Marylin, etc. etc. etc.
  11. ...cet angle paraît pas mal mieux, même si la photo est un peu vieille (plein de buildings absents sur l'île des Soeurs) photo de E.2 de flickr ( ) avec cet angle/zoom, Radio-Canada (gauche) a pas l'air si loin du paquet de gratte-ciel
  12. Hein, c'est vraiment la plus haute tour en train de monter dans la province? (je pensais qu'il y avait d'autres trucs de 20-25+ étages sur l'île des Soeurs)
  13. Merci pour l'information, EBC Construction 18 septembre 2009, devant le Arts Building au milieu d'une longue liste d'investissements dans différents buildings de McGill; le total est dans les ~265 millions $
  14. ^ j'avais pas remarqué les photos de cprail (elles sont plus pertinentes que les miennes) 18 septembre 2009
  15. S'il y avait pas d'hiver, le building serait fini dans comme 4 mois...? 17 septembre 2009, depuis McGill College 18 septembre 2009 en descendant Metcalfe le Coin en montant Mansfield
  16. ^ autobus? loin d'être inutile. Le mois dernier, la STL a doublé la fréquence de 12 lignes de bus achalandées, dont 10 à Montmorency (2 à Côte-Vertu). Ça paraît pas à cause du manque de stationnement étagé, mais la station Montmorency (sa conception, son emplacement, etc.) est complètement vendue aux automobiles, ce qui rend son utilisation désagréable pour ceux qui sont pas en auto. Mais en même temps, puisqu'il manque du stationnement étagé, son utilisation est désagréable pour les gens qui tentent de stationner là pendant les heures ouvrables.
  17. tu veux dire avec Gilbert et moi? Si je me trompe pas, à la 2e consultation il y avait : Habsfan, Gilbert, francely57 et rufus96. À la 1re consultation, je sais pas...?
  18. Charest: «un point de non-retour» dans le prolongement du métro Lia Lévesque La Presse Canadienne Montréal Publié le 16 septembre 2009 à 16h08 | Mis à jour à 18h05 Le projet de prolongement du métro dans la région de Montréal a franchi une étape «irréversible» mercredi lorsque le gouvernement du Québec a annoncé la création d'un bureau de projet pour le mener à bien. Le premier ministre Jean Charest, qui participait à l'annonce aux côtés de sa ministre des Transports Julie Boulet, des maires de Montréal, Laval et Longueuil, Gérald Tremblay, Gilles Vaillancourt et Claude Gladu, a laissé entendre que cette fois, ce serait la bonne. Il a en effet qualifié son annonce de «point de non-retour», d'«engagement ferme du gouvernement» et, en anglais, d'annonce «irréversible». Le projet, pour le moment très préliminaire, vise à prolonger la ligne bleue du métro vers l'est, de la station Saint-Michel vers Anjou; à prolonger la ligne jaune plus loin dans Longueuil et la ligne orange plus loin à Laval pour en faire une boucle qui reviendrait vers la station Côte-Vertu à Montréal. C'est le prolongement de la ligne bleue vers Anjou qui sera la première étape du projet, parce qu'elle est la plus avancée. On en parle en effet depuis plus de 20 ans. Le maire Tremblay a d'ailleurs précisé qu'un tunnel y avait déjà été creusé, donc que ce prolongement pourrait plus rapidement se concrétiser. Reste que les Longueuillois, Lavallois et Montréalais du nord-est sont encore loin de descendre l'escalier mécanique qui mènera à la station près de chez eux. Il y aura encore plusieurs étapes à franchir. La ministre Boulet parlait de «fournir des hypothèses de calendrier réalistes sur 10 ans». Et le bureau de projet a un mandat de trois ans pour procéder à l'analyse des coûts et bénéfices du projet, suggérer le nombre de stations à construire, leur localisation, le tracé à suivre, définir les besoins en matériel roulant et, surtout, estimer les coûts d'immobilisation et d'exploitation et fournir un calendrier de réalisation. Dans le cas du prolongement récent du métro à Laval, il y avait eu un important dépassement de coûts, que l'onavait justement attribué à de mauvaises estimations de départ. Le bureau de projet disposera d'un budget de 12 millions $ pour mener à bien ses travaux. Le métro demeure très populaire dans la région de Montréal, bien que les usagers se plaignent des pannes, souvent dues à l'usure du matériel. L'achalandage a crû de 6,5 pour cent de 2007 à 2008, soit 13 000 000 de déplacements de plus qu'en 2007. A Laval, on enregistre 60 000 passages par jour, soit 20 pour cent de plus que ce qui avait été prévu, a souligné la ministre Boulet. «Le métro, c'est important pour tout le Québec», a lancé le maire Tremblay, soulignant que le matériel roulant est construit à La Pocatière et qu'il contribue à faire rouler l'économie. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/200909/16/01-902510-charest-un-point-de-non-retour-dans-le-prolongement-du-metro.php
  19. Limite à 40 km/h: les premiers panneaux installés en octobre Catherine Handfield La Presse Publié le 15 septembre 2009 à 18h27 | Mis à jour le 15 septembre 2009 à 18h34 L'implantation de la limite de vitesse de 40 km/h dans les rues résidentielles locales de Montréal débutera en octobre. Le projet sera d'abord testé dans cinq arrondissements: Pierrefonds-Roxboro, Saint-Laurent, Lachine et Rosemont-La Petite-Patrie, de même que dans deux secteurs de Ville-Marie. Le règlement sera soumis à la fin du mois de septembre aux conseils des arrondissements ciblés. Les panneaux y seront posés graduellement entre la fin d'octobre et le début de janvier, a indiqué André Lavallée, responsable du transport au comité exécutif de la Ville de Montréal. «Nous avons décidé de commencer avec ces cinq arrondissements parce qu'ils possèdent des caractéristiques qui vont nous permettre de rencontrer toutes les situations possibles à Montréal», a expliqué M. Lavallée. L'implantation sera par la suite complétée dans l'ensemble de la Ville de Montréal. D'ici la fin de 2010, la limite de vitesse sera abaissée de 50 à 40 km/h dans toutes les rues résidentielles locales de Montréal, prévoit André Lavallée. Le projet est lancé avec quelques semaines de retard sur l'échéancier annoncé cet été par M. Lavallée. En juillet, il avait indiqué que les premiers panneaux seraient posés «d'ici la fin de l'été». «La seule chose qui est en cause, c'est le temps nécessaire pour préparer le règlement, a expliqué M. Lavallée. Je m'attendais à ce que ça me soit présenté plus tôt. En fait, j'ai toujours eu l'objectif que ce soit déjà fait depuis deux ans...» La demande initiale de la Ville avait été déposée à l'automne 2006 en commission parlementaire. L'administration du maire Gérald Tremblay souhaitait alors que la limite de 40 km/h devienne la vitesse «par défaut» dans l'ensemble des rues résidentielles. Le ministère des Transports n'a pas donné suite à cette demande en raison de diverses considérations techniques. La solution de la signalisation par secteur a finalement été retenue. On trouvera des panneaux à l'entrée des secteurs où la limite de 40 km/h sera en vigueur. «L'affichage va être clair et je m'attends à ce que la réglementation soit respectée», a dit André Lavallée, précisant qu'une campagne de communication sera déployée pour informer les citoyens. Le budget est d'environ 2,75 millions. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200909/15/01-902092-limite-a-40-kmh-les-premiers-panneaux-installes-en-octobre.php
  20. Une signature visuelle pour les taxis Sara Champagne La Presse Publié le 16 septembre 2009 à 07h51 | Mis à jour à 08h51 Sans être jaune vif comme à New York, les taxis de Montréal se démarqueront bientôt de ceux des grandes villes du monde. Dans une entente que le Bureau du taxi et du remorquage de Montréal a qualifiée d'«historique», l'administration Tremblay a annoncé hier que les taxis montréalais auront une signature visuelle, avec de l'affichage publicitaire, en plus de passer au vert d'ici à l'automne prochain. Le 16 novembre prochain, les principaux acteurs de l'industrie du taxi à Montréal entendent se rencontrer pour décider des modalités du déploiement du projet. Sans être entièrement repeints, les taxis auront une signature commune trouvée au moyen d'un concours orchestré par le Bureau du taxi et le Bureau de design Montréal. Quant à l'affichage publicitaire, il sera encadré pour répartir les revenus et empêcher l'affichage sauvage. Une nouvelle norme permettra par ailleurs aux chauffeurs d'accéder à des crédits carbone au moyen de cotes or, argent ou bronze, ce qui se traduira par des revenus supplémentaires. «Les chauffeurs de taxi sont des ambassadeurs de Montréal, une carte de visite, explique André Lavallée, responsable du plan de transport au comité exécutif de la Ville. On veut que les gens ressentent une sorte de «oumph» en voyant nos taxis. Toute la signalisation autour des bornes et des débarcadères sera également redéfinie.» Au Bureau du taxi, le responsable, Richard Boyer, affirme que l'industrie tente depuis 15 ans de s'entendre pour permettre l'affichage publicitaire sur les voitures. «Contrairement à Toronto ou à New York, l'industrie est artisanale à Montréal, explique-t-il. C'est-à-dire que de 70 à 80 % des propriétaires de taxis sont aussi chauffeurs. Le plus gros propriétaire possède une soixantaine de véhicules.» Il y a une quinzaine d'années, un projet-pilote de quelques mois avait révélé que l'affichage publicitaire trouverait des preneurs à Montréal. Mais, faute de consensus dans une industrie où chacun a l'habitude de faire cavalier seul, la publicité sur les voitures n'avait pas fait son apparition. À trois jours du déclenchement officiel de la campagne électorale municipale, l'administration Tremblay n'a pas manqué de souligner que l'uniformisation des taxis est inscrite dans le plan de transport de Montréal. Le Bureau du taxi Le Bureau du taxi, créé en 1986, est issu de la volonté du gouvernement du Québec de décentraliser les responsabilités liées au contrôle de l'industrie du taxi. En 1987, le Bureau a ouvert officiellement ses portes avec le mandat de travailler en lien direct avec l'industrie. De là est née une table de concertation. Depuis 1995, le Bureau du taxi est mandataire de la Société de l'assurance automobile (SAAQ), ce qui lui permet d'offrir un comptoir unique à sa clientèle taxi. Ce service, aussi offert à la population du territoire, lui permet d'obtenir des revenus complémentaires. Depuis 2003, le Bureau a étendu sa compétence aux activités de dépannage et de remorquage à Montréal. - Sara Champagne http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200909/16/01-902248-une-signature-visuelle-pour-les-taxis.php
  21. Ouais les gens ne comprennent pas qu'un prolongement du métro n'est pas nécessairement la bonne solution immédiate... La ligne orange entre Berri-UQAM et Jean-Talon, et la ligne verte entre McGill et Pie-IX sont pratiquement saturées pendant plusieurs heures chaque jour. Un simple prolongement sans augmenter la capacité(ou les alternatives) au centre finirait par repousser des milliers d'usagers, tellement le métro est plein. ...si on était plus riches, on aurait pu doubler les tunnels à ces endroits (genre un normal et un express)...
  22. Il y a beaucoup plus d'ordre à Montmorency (i.e. la jungle avec plein d'autos stationnées n'importe comment partout) qu'il y a 1-2 ans... mais bon... 3 septembre 2009 Trouvez l'autobus
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