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  1. Le projet 3195 Dickson propose 10 condos de 1, 2 et 3 chambres, de 775 à 1550 pieds carrés, entre les stations de métro Cadillac et Assomption, dans Mercier. Situé à proximité de services et commodités, le 3195 Dickson est un projet accessible à de nombreux budgets. Inclus: Terrasses et balcon privé Choix de couleur de plancher, armoire et comptoir (condo personnalisé) Finition de qualité Possibilité de personnaliser son condo en ajoutant ou en enlevant des pièces Occupation printemps 2014 Plus d'information à la page: http://www.leshabitationsjuliens.com
  2. Youtube video: Site: http://www.condosleparc.com Combinez l'énergie pétillante de Montréal à l'apaisement que peut procurer une vaste étendue de verdure. Le résultat : Condos Le Parc. Un oasis urbain, en plein cœur de l'arrondissement Saint-Léonard. L'idée derrière le projet est bien claire : avoir l'opportunité de vivre dans un espace vert moderne et stylé, ayant une multitude d'accès à tous les divertissements de la ville et donc, une infinité de possibilités. •133 unités (3 ½, 4 ½ et 5 ½) •Plafonds d'une hauteur de 9 pieds •Stationnements intérieurs/extérieurs •Salle d'entrainement •Comptoirs en pierre •Chambre froide privée •L'accès à un immense parc privé Condos Le Parc, c'est pour tous ceux voulant profiter de la vie, tout en ayant l'esprit tranquille ! Bureau des ventes 7930 Boul. Viau, Montreal, QC H1R 4A2 Lundi – Mardi – Mercredi : 14h à 20h Samedi – Dimanche : 13h à 17h Téléphone : 514-524-6565 Info : info@condosleparc.ca [ATTACH=CONFIG]2818[/ATTACH]
  3. Le 2245 Jean-Talon offre 10 condos de 1 ou 2 chambres, de 865 à 1070 pieds carrés, à deux pas des stations de métro Fabre et D'Iberville, dans Rosemont. Situé à deux pas d'un parc, de nombreuses école et services, le projet est idéal pour les jeunes familles qui cherchent un environnement de vie paisible et à la fois bien situé. Caractéristiques: Terrasses et balcon privé Choix de couleur de plancher, armoire et comptoir (condo personnalisé) Finition de qualité Possibilité de personnaliser son condo en ajoutant ou en enlevant des pièces Occupation automne 2014 Plus d'information à la page: http://www.leshabitationsjuliens.com
  4. Bonjour à tous, Je voulais vous aviser qu'une des entreprises pour lesquelles je travaille offre une promotion jusqu'à la fin du mois d'avril sur les tours d'hélicoptère du centre-ville de Montréal. J'ai cru lire à quelques reprises que certains membres du forum s'interessait à la possibilité de faire une telle activité. Il serait encore plus avantageux d'y aller en groupe. Voici quelques détails de l'offre: - Un vol privé de 20 minutes au-dessus de Montréal en hélicoptère. Choisissez parmi deux offres: -Offre #1: 99$ pour un vol privé pour 1 personne (valeur 313$) -Offre #2: 249$ pour un vol privé pour 3 personnes (valeur 940$) -Vues à couper le souffle sur le Mont-Royal, la Ronde, le Parc Olympique et le Centre-Ville. -Pilotes accueillants et expérimentés de l'entreprise Helicraft. (Saint-Hubert) -10% de la valeur d'achat versé en don à la SPCA. Pour plus de détails vous pouvez voir l'offre complète ici. Merci ! Si vous avez de questions je suis là.
  5. Si ceci n'existe pas déjà, je propose un fil 'sticky' pour poser nos questions ou expliquer des façons de faire sur le blog. Au lieu d'envoyer nos questions en privé aux modérateurs, nous pourrions ainsi tous bénéficier des informations ou clarifications et partager les expertises de chacun.
  6. Salut tout le monde, Je recherche deux modérateurs pour la Carte des projets (celle qu'on vois dans le menu en haut). Elle commence à être désuète (surtout avec l'avalance de nouveaux projets) et une bonne mise à jour serais la bienvenue. À ceux qui sont intéressés répondre au fil ou envoyer un message en privé! Merci, Malek
  7. Bonjour. Je suis un jeune photographe diplômé depuis janvier. Ma passion est l'architecture, et je compte orienté ma carrière de photographe vers ce domaine. Voilà pourquoi je cherche un/une architecte avec lequel je pourrais avoir accès à ses projets pour pouvoir garnir mon portfolio. J’offrais en retour des photos pour votre site web. Si vous être intéressé, contactez moi en message privé. Merci et bonne journée !
  8. J'avais envie de parler de Montréal !!!! Enfin, je veux dire de parler de ce qui se passe ou ne se passe pas à Montréal pour que l'on puisse canaliser nos énergies et partager nos réflexions sur la situation actuelle du développement de la ville. Il me semble qu'il y a beaucoup de projets en construction ou sur le point de l'etre ce qui est une bonne chose mais il y a aussi plusieurs frustrations qui nous laissent sur notre appétit. Je tiens à rappeller les nombreux projets qui sont encore en attente ou retardé comme le CHUM, Turcot, Bonaventure, Radio-Canada, l'Ilot voyageur, le 2-22, le site du Spectrum, le coin St-Laurent et De Maisonneuve, le projet du Faubourg St-Laurent, la rue Notre-Dame, le Silo no 5, l'autoroute Ville-Marie (sa couverture à l'est), Gare Viger, le train rapide pour l'aéroport, l'extension du métro, le Tramway en plus de quelques (voir plusieurs) terrains vacants qui ne trouvent pas preneur pour des raisons que j'ignore etc... Alors, devrions nous etre satisfait de ce qui se passe ou non ? Tant au niveau des infrastructures, du transport en commun, du développement privé, des institutions que de la qualité de vie en générale (parc, rue piétonne, culture, festival, cout de la vie etc...) Pour ma part je suis content mais je trouve que l'on pourrait encore faire un peu mieux, histoire de rattraper le temps perdu ou rien ne se passait. J'ai des exemples mais je vais attendre avant de les mentionner. Et vous, qu'en pensez-vous ?
  9. Nathalie Elgrably-Lévy Économiste sénior, Institut économique de Montréal «De l’audace, de l’audace; en toute occasion, de l’audace». Cette citation d’Edmund Spenser, poète anglais du XVIe siècle, aurait pu tout aussi bien être prononcée par les ténors du front commun syndical. Alors que l’économie reste fragile, que le chômage atteint 8,4% et que le déficit et la dette compromettent notre croissance économique et le niveau de vie de nos enfants, le front commun réclame sans vergogne des augmentations salariales de 11,25% sur trois ans, soit 3,2 milliards $, rien de moins! Évidemment, les chefs syndicaux s’empressent de proposer à l’État des moyens pour financer cette dépense additionnelle. Ainsi, Mme Carbonneau recommande d’augmenter les impôts de 900 millions $ et de renoncer au plafonnement des dépenses et aux efforts de retour à l’équilibre budgétaire, autant de suggestions qui ne pourront qu’aggraver la situation actuelle. Manifestement, elle juge que la santé économique de la province, les perspectives d’avenir de millions de Québécois et la compétitivité de nos entreprises passent après la satisfaction de ses membres. Belle solidarité! Ainsi, le front commun suggère des moyens de trouver les fonds nécessaires, mais il n’explique pas pourquoi Québec, donc les contribuables québécois, devrait accepter de telles hausses salariales. Après tout, puisque le front commun nous demande de consentir des sacrifices et de nous montrer généreux, ne devrions-nous pas à notre tour exiger de lui qu’il défende la légitimité de ses ambitieuses revendications? On nous répondra que les employés de l’État travaillent dur. Admettons! Mais cela n’est pas une justification, car ceux du secteur privé, qui travaillent autant, sinon davantage, n’oseraient même pas rêver à de telles augmentations. S’agit-il d’indexer la rémunération pour tenir compte de la hausse du coût de la vie? Nullement, puisque celle-ci, telle que mesurée par Statistique Canada, fut d’à peine 0,6% en 2009. Les employés de l’État seraient-ils défavorisés? Bien au contraire! Selon l’Institut de la statistique du Québec, les employés du secteur public ont touché en 2008 un revenu hebdomadaire moyen 29% plus élevé que celui de leurs homologues du secteur privé, alors qu’ils travaillent 73 heures de moins par année. Quant aux avantages sociaux et à la sécurité d’emploi, il n’existe pas de données pour l’ensemble du secteur privé, mais il est raisonnable de penser que les travailleurs des PME québécoises sont moins gâtés que ceux de la fonction publique. Les hausses salariales de 11,25% seraient-elles alors justifiées par une hausse proportionnelle de la productivité des employés de l’État? Voilà qui serait difficile à croire! Pour l’ensemble de l’économie, la productivité n’a augmenté que de 0,8% par année de 1981 à 2008. Alors, je pose de nouveau la question. Pourquoi devrions-nous accepter des augmentations aussi considérables et payer nettement plus cher pour obtenir les mêmes services? Pourquoi un travailleur du secteur privé qui n’a ni sécurité d’emploi ni régime de retraite et dont la rémunération atteint à peine 77% de celle de son collègue de la fonction publique devrait-il faire les frais de la folie des grandeurs du front commun? Il fut un temps où le syndicalisme réalisait de grandes choses et contribuait au développement de la société. Mais ce temps est révolu. Il a obtenu la création d’une catégorie de travailleurs jouissant de privilèges sans rapport avec leur productivité. Il a aussi réussi à obtenir que les contribuables se plient aux exigences des chefs syndicaux. Est-il donc incongru de demander aux dirigeants du front commun de respecter la capacité de payer de la population? http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/02/20100204-054803.html :applause:
  10. Dévoilement de l'étude "La culture à Montréal: impacts économiques et financement privé" MONTRÉAL, le 20 nov. /CNW Telbec/ - La Chambre de commerce du Montréal métropolitain dévoile aujourd'hui les résultats de son étude intitulée : La culture à Montréal : impacts économiques et financement privé. Réalisée dans la foulée du Rendez-vous novembre 2007 - Montréal, métropole culturelle, cette analyse illustre, avec des données concrètes, la puissance du secteur culturel comme levier de développement économique pour Montréal et dresse un portrait synthétique de la contribution du secteur privé. "En réalisant cette étude sur les impacts économiques du secteur culturel à Montréal, nous avions la volonté de contribuer à une meilleure compréhension collective de cet atout incomparable pour la métropole. Nous souhaitions également nous doter d'un outil rigoureux et reproductible dans le temps. En effet, l'étude a été conçue de façon à servir de jalon pour suivre l'évolution de ce secteur hautement stratégique pour Montréal, de même que l'implication du secteur privé à son financement au fil des ans", a déclaré Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. "Je me réjouis que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain dévoile aujourd'hui une analyse qui démontre "chiffres en main" la place importante qu'occupe la culture dans l'économie de la grande région de Montréal. Ce document constituera assurément un ajout positif dans notre réflexion sur les façons de préparer l'avenir pour les multiples acteurs culturels de la métropole", a pour sa part dit Christine St-Pierre, ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine. À la lumière des résultats qui émanent de l'étude, la Chambre tire les trois grands constats suivants : 1. Un secteur économique vigoureux et en croissance "Le secteur culturel est un créateur d'emplois important avec près de 100 000 personnes qui y œuvrent dans le Grand Montréal. Il s'agit là d'un nombre d'emplois supérieur à celui généré par les grappes des sciences de la vie et de l'aérospatiale combinées. Qui plus est, l'emploi y croît trois fois plus rapidement que pour l'ensemble des autres secteurs économiques et ces emplois en culture ont un effet de levier plus grand que la moyenne sur la création d'emplois indirects", a indiqué Michel Leblanc. "Parmi les données économiques qui méritent d'être soulignées, mentionnons que le secteur culturel montréalais génère des retombées économiques totales de 12 milliards de dollars, dont près de huit milliards en retombées directes, ce qui représente 6 % du PIB de la métropole. C'est énorme!", a ajouté Michel Leblanc. 2. Un "cœur créatif" fragile "Malgré la vigueur dont témoignent les données économiques du secteur culturel montréalais, il faut se garder d'être complaisants. Le "cœur créatif culturel" de Montréal - le secteur artistique - est fragile. En effet, quand on observe le sous-secteur qui est au centre du foisonnement culturel montréalais, soit les artistes, auteurs et interprètes, on se rend compte qu'il demeure généralement précaire. Cette catégorie de travailleurs a des revenus représentant la moitié du salaire moyen à Montréal, et près de 20 000 $ en deçà du revenu moyen en culture", a précisé Michel Leblanc. 3. Une implication notable, mais inégale, du secteur privé "En culture, le secteur privé est un joueur important. Quand on analyse le budget des organismes culturels en lien avec le Conseil des arts de Montréal, on constate que le financement privé est de l'ordre de 21 %. Cependant, les engagements dans le domaine des arts ont souvent une portée qui varie grandement selon la taille des organismes et leur secteur d'activité. Cela met en lumière un enjeu majeur : comment favoriser une meilleure collaboration entre les entreprises et les organismes culturels ? Et comment faire en sorte que le "cœur créatif" soit encore mieux appuyé ? Cette étude représente autant un témoignage du dynamisme économique de notre secteur culturel qu'un appel à la mobilisation des gens d'affaires en sa faveur. À nous maintenant de poursuivre nos efforts pour développer des stratégies de renforcement afin que notre secteur culturel se développe davantage et contribue pleinement à la création de richesse", a conclu Michel Leblanc. Faits saillants de l'étude - En 2008, on recensait 96 910 emplois directs, une croissance annuelle de 4,6 % en 10 ans, soit presque trois fois plus que la moyenne globale du marché du travail, qui était de 1,7 % sur la même période. - Les retombées économiques annuelles totales (directes et indirectes) du secteur de la culture à Montréal sont évaluées à 12 milliards $. La contribution directe à l'économie est de 7,8 milliards $, soit environ 6 % du PIB de la grande région de Montréal. - Le salaire moyen des artistes, auteurs et interprètes est de 24 400 $. Cette catégorie d'emploi est la moins bien rémunérée du secteur culturel, soit à peine plus que la moitié (55 %) du salaire moyen dans le secteur culturel (44 000 $). - Les 294 organismes artistiques constituant l'échantillon analysé par le Conseil des arts de Montréal sont financés à 21 % par le privé, soit 14 % en dons et 7 % en commandites. Cette proportion varie beaucoup en fonction du budget ainsi que du domaine d'activité des organismes. Cette étude de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain a été réalisée grâce au soutien financier du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec ainsi qu'à la collaboration de Culture Montréal et du Conseil des arts de Montréal. Hyperlien à l'étude : http://www.ccmm.qc.ca/financement_culture
  11. Arrondissement Ville-Marie à 5 minutes à pied du métro (angle d’Iberville et De Rouen) backgroundMaisons de ville Garage • mezzanine • toit-terrasse privé Climatiseur et système d’alarme Options d’aménagement • unités de coin 1474 et 1482 pi.2 (137 m2) automne 2009 325 000 $ à 365 000 $ taxes incluses. http://bati.ca/
  12. L'illusion tranquille: l'efficience des PPP Christian Bordeleau, Doctorant à la School of Public Policy and Administration de Carleton University à Ottawa. L'auteur a reçu la bourse d'excellence du Fonds commémoratif Louise-Montpetit-Morrisseau en administration publique et la bourse de doctorat du Fonds québécois de recherche sur la société et la culture. Le Devoir Édition du lundi 10 août 2009 Mots clés : Turcot, Gestion, PPP, Construction, Gouvernement, Québec (province) Après plus d'un an de contestations et d'avis défavorables en ce qui a trait à la formule des PPP dans divers projets, la ministre des Transports, Julie Boulet, a finalement répudié publiquement -- le 24 juillet dernier -- l'application de la formule PPP à l'échangeur Turcot «étant donné que c'est un dossier très complexe, avec beaucoup de partenaires». Les intérêts corporatifs ayant perdu cette bataille d'influence, la présidente de la Fédération des chambres de commerce du Québec, Françoise Bertrand, probablement dans l'espoir d'éviter la contagion, signe un billet intitulé «Des PPP qui fonctionnent bien!» (sic) (Le Devoir, 28 juillet 2009). Mis à part l'enthousiasme débordant de Mme Bertrand pour les intérêts privés qu'elle représente, il y a lieu de se demander quelles sont les prémisses du modèle des PPP qu'elle chérit tant. En effet, il est inquiétant de voir sans cesse des assertions grossières quant à l'efficience des PPP sans aucune remise en question -- et ce, dans plusieurs médias nationaux -- et il est temps de se questionner, pour peu que cela soit possible ici, sur la validité empirique de cette rhétorique économique. Nouvelles doxa en matière de réalisation d'infrastructures publiques La première prémisse des PPP postule que l'utilisation du libre marché permet l'obtention d'une réalisation de projet plus efficiente. Premièrement, le marché n'a aucune efficience sui generis, et la crise économique que nous traversons en est la preuve tangible. Sa supériorité est illusoire, car sa seule force réside dans l'abstraction des externalités (ex.: la pollution ou les maux sociaux). Sur une échelle absolue et durable, le marché est sous-efficient sans une régulation forte et structurante, ce qui permet la modulation de cette déficience reconnue. Seuls quelques dogmatiques personnages en sont encore à proposer l'efficience des mécanismes du libre marché à «l'état naturel» (c.-à-d. le «laisser-faire») comme solution aux problèmes sociaux, et les États qui se drapaient jadis dans l'arrogance de ce paradigme font aujourd'hui amende honorable. La recherche de pointe en science politique a bien démontré que sans coordination (c.-à-d. régulation) le résultat des agrégations individuelles est sous-optimal pour le groupe (c.-à-d. les citoyens). Alors que 47 millions d'Américains sont sans assurance maladie dans un système entièrement contrôlé par le libre marché, Joseph Stiglitz, Prix Nobel d'économie et ex-vice-président de la Banque mondiale, affirmait le 9 janvier dernier que l'on ne pouvait plus se fier au marché, que cette idéologie était -- comme bien d'autres -- révolue. Le président Obama tente d'ailleurs de sortir le pays de cette douve. Que l'on se le tienne pour dit, le marché sur lequel «s'assoient les PPP» n'a pas «d'efficience transcendantale». Pas de gaspillage, vraiment? La deuxième prémisse postule que le marché fait toujours une allocation optimale des ressources en raison de la concurrence. Ainsi, le «client» (c.-à-d., dans le cas des PPP, le gouvernement) en «a toujours plus pour son argent». Le schème privé serait donc supérieur au schème de réalisation public, car il n'y aurait pas de «gaspillage». Si cela était vraiment le cas, on peut se demander où réside l'efficience promise par le marché dans les 18,3 milliards qu'il s'est «alloués» -- à même les fonds de secours gouvernementaux -- en primes de performance, d'excellence et en options prestigieuses -- permettant aux spéculateurs de Wall Street d'attendre la fin de la crise financière dans des résidences champêtres à «skier et bien manger»! Ces événements tangibles devraient rappeler à la population la déficience des mécanismes du marché même dans l'allocation de ses propres ressources. Pour preuve s'il en faut une, l'échec spectaculaire du métro londonien géré en PPP a été qualifié de «sous-performance pathétique» par le Comité des transports de la Chambre des communes en 2008. Après la réalisation de seulement 40 % du projet, le public doit éponger la dette de deux milliards laissée par Metronet à la suite de l'allocation de «contrats surpayés à ses propres actionnaires» (House of Commons, 16 janvier 2008). Pour en finir avec un mythe Il faut comprendre que la prétendue «compétitivité» des mécanismes du privé sur le secteur public ne s'exerce que par le rejet des externalités sur autrui; une problématique très bien connue dans les études sur l'environnement et en matière de solidarité sociale. Comprise de cette façon, la compétitivité peut donc se mesurer par le rejet maximum des externalités -- lorsque l'on compare avec un concurrent qui n'est pas en mesure d'externaliser (ou disposé à le faire) tout autant -- dans une sorte de course au nivellement vers le bas. C'est sur cet axe que la prétendue compétitivité du privé joue contre le gouvernement, car ce dernier ne peut pas suivre le marché dans l'externalisation extrême. Pour illustrer simplement, les évasions à répétition de prisonniers des pénitenciers britanniques gérés en PPP ne sont pas des externalités qui ont été considérées acceptables par la collectivité et cette dernière n'était pas prête à prendre ce risque pour économiser sur le salaire de quelques gardiens. Alors que le partenaire privé cherche à «couper au maximum» pour augmenter son rendement, dans une société démocratique, on se rend rapidement compte de la limite du dogme de l'efficience en matière de gouvernance. Lorsque l'on s'attarde à la concurrence réelle, on peut constater qu'elle est quasi inexistante dans le contexte de mégaprojets, et ce, particulièrement au Québec. Avec la monopolisation croissante de nombre de secteurs économiques, l'argument d'une concurrence accrue à long terme est imaginaire, surtout que l'on assiste actuellement à des «mariages» d'entreprises dans des «consortiums». Qui plus est, au Québec, dans un contexte où les firmes de génie se comptent sur les doigts de la main et où tout le monde se connaît, le taux horaire, des uns comme des autres, n'est pas un secret de Polichinelle, et ce, particulièrement lorsque tout le monde suit les mêmes devis gouvernementaux. En fait, cette concurrence -- telle qu'elle est conceptualisée dans la rhétorique du marché -- est plutôt une version «édulcorée» et «faiblichonne». Dans ce contexte, les firmes recherchent constamment une «rotation» dans l'allocation des contrats à l'aide de nombreux lobbyistes, de contributions électorales et de «bons amis»; les problèmes éthiques ne sont jamais loin derrière. C'est pour cela que le président de SNC-Lavalin, Jacques Lamarre, multipliait «les coups de fil», allant jusqu'à effectuer son propre lobbying, pour que ce soit «son tour» avec le PPP Turcot (La Presse, 22 octobre 2008); il devra maintenant se trouver un nouveau projet! Gros biscuit pour un risque aussi réduit Contrairement à ce que certains tentent de laisser croire aux citoyens, les «consortiums» ne sont pas des regroupements spontanés de passionnés du «service à la clientèle» (c.-à-d. les citoyens dans le jargon réducteur des PPP); ce sont des holdings financiers, recherchant une rente étatique sécurisée, en finançant des projets publics garantis sur des décennies. Ces «bassins de liquidités» sont à la recherche constante de projets rentiers rapportant des intérêts à deux chiffres -- sans les risques assortis habituellement à cette gamme de taux; c'est dans ce contexte que le concept des PPP est très alléchant et que le public doit être extrêmement vigilant, de surcroît, lorsqu'un gouvernement complaisant siège. À l'inverse de ce qui est propagé par certains, le risque n'est pas «assumé» par le consortium, mais il est simplement évalué et inclus dans la facture totale; l'économie est donc factice «bon temps» et les Britanniques, parmi tant d'autres, ont appris à la dure ce que signifie «mauvais temps»: une prise de risque totale de l'État. Ce dernier ne peut pas laisser en friche un métro, un hôpital, une prison ou un pont que le «partenaire» a abandonné en cours de réalisation de projet. Encore heureux que la crise financière soit survenue avant que l'entente du PPP Turcot n'ait été signée! Mme Bertrand ne s'inspire pas de l'état de la recherche empirique dans son apologie sur les PPP, mais semble plutôt éprise, comme bien d'autres, d'une version libérale d'Alice au pays des merveilles! http://www.ledevoir.com/2009/08/10/262213.html
  13. Montréal Gestion des parcomètres: la Ville se prive de revenus, selon une étude Mise à jour : 26/05/2009 19h39 Les parcomètres poussent comme des champignons à Montréal. Si le système mis en place en 1994 coûte cher aux automobilistes, il l’est davantage pour la Ville. Il y a 15 ans, la Ville de Montréal a privatisé la gestion des parcomètres en la confiant à la Chambre de commerce. Chaque fois qu’un dollar est inséré dans un parcomètre, 20 sous tombent sur le comptoir de la Chambre de commerce. Selon les auteurs d’une étude, en délaissant la gestion des parcomètres depuis 15 ans, la Ville s'est privée de revenus de 16 millions et demi de dollars. Depuis que la Ville a confié la gestion des parcomètres, pour une période de 30 ans, à la Chambre de commerce, les revenus sont passés de 17 à 50 millions de dollars; une augmentation de 297%. Entre 2005 et 2006, ils ont grimpé de 36%; 52% entre 2006 et 2007.
  14. La Suède, durement frappée par la récession mondiale, versera dorénavant qu'un salaire fixe aux dirigeants des entreprises publiques du pays. Le secteur privé est invité à discuter «de niveaux de rémunération raisonnables». Pour en lire plus...
  15. Dans quelques jours le forum va redevenir lisible qu'aux membres. Qu'en pensez-vous?
  16. Aux prises avec des difficultés financières, les dirigeants de l'entreprise pourraient décider de demander la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies. Pour en lire plus...
  17. Un déficit record de 1200 G$ US attendu aux États-Unis 7 janvier 2009 - 10h38 Agence France-Presse Le déficit budgétaire des États-Unis pour l'exercice 2008-09 devrait atteindre le montant exceptionnel de 1200 G$ US, soit 8,3% du PIB, a indiqué mercredi le bureau du Budget du Congrès américain (CBO). En comparaison, le déficit budgétaire des États-Unis pour l'exercice 2008 (clos à la fin de septembre) a atteint 438 G$ US, soit 3,1% du produit intérieur brut (PIB). Les chiffres du CBO ne prennent pas en compte le plan de relance massif de l'économie américaine voulu par la future administration Obama et les démocrates du Congrès. Ce plan pourrait coûter jusqu'à 775 G$ US, peut-être plus après l'examen du texte devant les deux chambres du Congrès. Selon le rapport du CBO, le déficit tomberait à 4,9% du PIB en 2010 pour revenir aux alentours de 700 G$ US, ce qui resterait encore l'un des chiffres les plus élevés de l'histoire des États-Unis. Mardi, le président élu Barack Obama avait averti que le chiffre de 1000 milliards allait probablement être atteint. «Mon équipe budgétaire m'a mis au courant. Peter Orszag (futur directeur du budget à la Maison-Blanche) prédit qu'au rythme actuel nous aurons 1000 G$ US de déficit avant même d'entamer le prochain budget», avait dit le futur président lors d'une conférence de presse. «Nous aurons potentiellement 1000 G$ US de déficit pour les années à venir, même avec le redressement de l'économie auquel nous travaillons», avait estimé M. Obama. Le CBO est un organisme indépendant des partis qui est chargé au Congrès américain de fournir des analyses économiques afin d'aider les parlementaires à prendre des décisions dans le domaine budgétaire. Cet organisme emploie environ 230 personnes, dont une majorité d'économistes experts en administration publique. _________________________________________________________________________________ Le secteur privé américain perd 693 000 emplois 7 janvier 2009 - 09h19 Agence France-Presse Le marché de l'emploi continue de se dégrader à un rythme effréné aux États-Unis, où le secteur privé a détruit 693 000 emplois en décembre. C'est du moins ce qu'indique l'étude du cabinet en ressources humaines ADP publiée mercredi. L'ampleur des pertes d'emplois est très nettement supérieure à celle que prévoyaient les analystes, qui tablaient sur 493 000 suppressions de postes. Elle semble annoncer un très mauvais rapport officiel sur l'emploi, alors que les chiffres de novembre avaient déjà été désastreux (553 000 emplois détruits). Ce rapport, qui couvre à la fois l'emploi dans le secteur privé et le secteur public, doit être publié vendredi par le département du Travail. ADP a par ailleurs revu en forte hausse son estimation du nombre d'emplois supprimés en novembre dans le secteur privé, à 476 000 (au lieu de 250 000). Cette révision du mois passé ainsi que la différence avec les prévisions des économistes pour décembre doivent néanmoins être interprétées avec prudence, ADP ayant changé profondément la méthode et le modèle statistique qu'il utilise pour son enquête afin de se rapprocher le plus possible de la façon dont procède le ministère.
  18. Le marché de l'emploi continue de se dégrader à un rythme effréné aux États-Unis, où le secteur privé a détruit 693 000 emplois en décembre. Pour en lire plus...
  19. La dégradation du marché de l'emploi continue de s'accélérer avec la perte de 250 000 emplois en novembre, selon l'étude du cabinet en ressources humaines ADP. Pour en lire plus...
  20. De leur arrivée en jet privé à leur demande de chèque en banc, la visite des PDG des trois grands de l'automobile à Washington aura été un désastre. Pour en lire plus...
  21. Le secteur privé américain a détruit 157 000 emplois en octobre, après en avoir supprimé 26 000 en septembre (chiffre révisé), selon l'étude du cabinet en ressources humaines ADP publiée mercredi. Pour en lire plus...
  22. Beaucoup de lecture, je suis surpris que personne ai posté ça encore. Sources: Argent Canoe 10 Chantiers pour Montréal http://argent.canoe.com/dixchantierspourmontreal/ En perte de Vitesse depuis 50 ans http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-143538.html Les 10 chantiers de l'institut économique de Montréal http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-143404.html Tourisme Médical http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-143307.html Vendre les HLM http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-143205.html Étudiant Étranger http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-143043.html Implanter la concurrence dans les transports en commun http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142927.html Mont-Royal et Secteur privé http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142831.html Cosmopolitisme http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142738.html Péages sur le réseau routier http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142608.html Vendre le stade et l'hippodrome http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142503.html Augmenter la productivité des employés municipaux http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142354.html Autonomie Fiscale http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142231.html Entrevue avec l’Institut économique de Montréal http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142047.html
  23. Au lendemain de l'annonce présidentielle d'un projet de nationalisation du système privé de retraite, l'indice dégringolait de 17,4% à 863,9 points, après une chute de 11% mardi. Pour en lire plus...
  24. Halle Berry s'achète une résidence au Québec Le 21 octobre 2008 - 10:28 | Julie Rhéaume Halle Berry viendrait tout juste de s'acheter une résidence d'une valeur de 1,6 million $ sur le bord d'un lac privé de Saint-Hippolyte, dans les Laurentides. Ce domaine de près de 3 millions de pieds carré est situé à une heure de Montréal. Le Journal de Montréal fait part de l'information. La paroisse de Saint-Hippolyte est un petit village de 7 352 âmes, rappelle le quotidien. La maison, dessinée par un architecte en 1998, est située sur le bord du lac Molson. On peut notamment pêcher la truite dans ce lac privé de cinq acres. On trouve six pièces dont trois chambres, une salle d'eau et une véranda dans la résidence. Dans le site Internet Sotheby's, on demandait 1.850.000 $ pour la propriété. Celle-ci s'est plutôt vendue 1,6 million $ le 19 septembre selon le Registre foncier du Québec, indique le journal. L'achat s'est fait par l'entremise d'une compagnie à numéro québécoise. Le nom de Jeffrey Wolman est lié à cette société. L'homme agit comme conseiller financier auprès de Berry dans l'achat de propriétés, entre autres, rapporte le quotidien. «Je ne peux pas dévoiler de renseignements personnels sur mes clients», a répondu M. Wolman au Journal de Montréal, hier, lorsque joint à Los Angeles. Rappelons que Halle Berry fréquente le mannequin d'origine montréalaise Gabriel Aubry. Le couple a eu une fillette, Nahla Ariela Aubry, en mars. Ces dernières années, l'actrice a souvent accompagné son homme dans la métropole, là où il possède un condo. http://www.showbizz.net/articles/20081021102854/halle_berry_sachete_une_residence_quebec.html
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