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  1. Pendant ce temps, au Québec et au Canada, on recule. Accord de l'UE pour réduire de 40% ses GES d'ici 2030 JEAN-LUC BARDET Publié le 23 octobre 2014 à 19h20 Les dirigeants européens ont trouvé un accord vendredi sur un plan climat ambitieux pour mettre l'Europe en position de leader mondial dans la lutte contre le réchauffement de la planète. L'Union européenne prévoit une réduction d'au moins 40% de ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 par rapport à 1990. «Accord! Au moins 40% de réduction d'ici 2030. Accord du Conseil européen sur une politique énergétique et de climat la plus ambitieuse au monde», a écrit le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, sur son compte Twitter. Les 28 chefs d'État et de gouvernement se sont aussi entendus sur deux autres objectifs: porter la part des énergies renouvelables à 27% de la consommation et faire 27% d'économies d'énergie, a précisé M. Van Rompuy. Le premier est contraignant, mais à l'échelle de l'UE, pas de chaque Etat membre, et le deuxième objectif ne l'est pas. Les Européens, poussés notamment par l'Espagne et le Portugal, ont aussi décidé d'augmenter les «interconnexions» entre réseaux électriques au sein de l'Union, à 15% d'ici 2030, a précisé M. Van Rompuy. «C'est une bonne nouvelle pour le climat, les citoyens, la santé et les négociations internationales sur le climat à Paris en 2015», a estimé M. Van Rompuy, assurant que cela créerait «des emplois durables» et de la «compétitivité». L'accord a été obtenu à l'issue de discussions ardues qui ont duré près de huit heures à Bruxelles. C'est «un accord très ambitieux pour la planète. L'Europe montre l'exemple», s'est réjoui le président français François Hollande, qui accueillera la conférence de Paris fin 2015. «S'il n'y a pas d'accord» entre Européens, «comment convaincre les Chinois ou les Américains ?», avait-il demandé à son arrivée au sommet. Mécanismes de soutien La question du partage du fardeau était centrale entre les pays pauvres, principalement de l'est de l'Europe, qui dépendent encore largement des énergies fossiles comme le charbon, et les plus riches qui s'appuient sur le nucléaire ou sont déjà bien engagés dans la transition énergétique. Les premiers, emmenés par la Pologne, ont obtenu un «paquet de compensations» pour les aider à moderniser leur système énergétique, a indiqué une source européenne. Des mécanismes de soutien vont être créés à partir du système des quotas européens d'émission de CO2, notamment un fonds alimenté par une petite partie (2%) des ventes de ces certificats. De leur côté, l'Espagne et le Portugal exigeaient de meilleures interconnexions avec les réseaux énergétiques européens, un sujet qui provoque des frictions depuis des années entre l'Espagne et la France. Les Espagnols attendent notamment des financements dans le plan d'investissements de 300 milliards d'euros que doit présenter d'ici la fin de l'année la nouvelle Commission Juncker. L'amélioration des interconnexions fait partie des outils pour accroître l'indépendance énergétique de l'UE, un enjeu rendu encore plus crucial par la crise en Ukraine et les menaces sur l'approvisionnement en gaz russe. Vendredi sera consacré à l'économie et aux moyens de doper la croissance, à quelques jours de l'entrée en fonction de la Commission Juncker, qui en a fait sa première priorité. La discussion, entamée à 28, sera suivie d'un mini-sommet de la zone euro qui pourrait être animé par le débat sur les règles budgétaires européennes, au moment où les projets de budget de la France et de l'Italie sont sur la sellette de la Commission. http://www.lapresse.ca/actualites/environnement/201410/23/01-4812075-accord-de-lue-pour-reduire-de-40-ses-ges-dici-2030.php
  2. Hausse des exportations du Québec en septembre. Bonne nouvelle économique pour le Québec: les exportations y ont crû, en septembre 2013, tant à l'international que vers les États-Unis, vers l'Europe et vers l'Asie, a fait savoir mercredi l'Institut de la statistique du Québec. Ainsi, les exportations vers les États-Unis ont crû de 7% en septembre dernier - celles-ci représentent près de 71% de l'ensemble des exportations du Québec. Parmi les produits en forte croissance, on retrouve les aéronefs. Les exportations internationales du Québec ont augmenté de 3,9% en septembre, comparativement à seulement 1,7% pour le Canada. Pour les neuf premiers mois de 2013, le volume cumulatif de ces exportations est plus élevé de 4,5% qu'à la période correspondante de 2012. Les exportations vers l'Europe ont crû de 9,3% - celles-ci représentent 11% de l'ensemble des exportations. Encore là, les aéronefs arrivent en tête de liste, suivis des moteurs d'aéronefs et du matériel de transport autre. Les exportations vers l'Asie ont connu une hausse de 24,6% -elles comptent pour près de 9% des exportations du Québec. Parmi les produits les plus exportés, on retrouve les aéronefs, les machines destinées au commerce. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201311/20/01-4712713-hausse-des-exportations-du-quebec-en-septembre.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS4
  3. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/03/11/009-ostc-bureaux-marceau.shtml À écouter le reportage à l'émission Classe économique de la Première Chaîne: http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2013/CBF/2013-03-11_18_30_00_classeecono_0000_128.asx Écoutez bien à la fin du reportage: on parle du classement du Global Financial Center Index, qui classait Mtl au 17e rang mondial de la finance l'an passé. Eh bien, le dévoilement de la liste 2013 du GFCI aura lieu cette année le 25 mars à Montréal! C'est peut-être signe d'une nouvelle progression? On verra!
  4. Publié le 21 février 2010 à 05h17 | Mis à jour à 05h17 Vers une Europe fédérale? André Pratte Cyberpresse La crise financière grecque et l'incertitude qu'elle fait peser sur l'euro a relancé la réflexion au sujet l'intégration européenne. Depuis plusieurs années, des économistes affirmaient qu'une union monétaire devait s'appuyer sur une politique économique coordonnée, sur une banque centrale disposant de moyens pour agir et sur un système de transferts permettant de modérer les écarts de richesse entre les pays membres. La crise grecque semble confirmer leurs dires. Le président français, Nicolas Sarkozy, soutient depuis la crise financière mondiale que l'Union européenne devrait se doter d'un «gouvernement économique». Il y a quelques jours, l'idée a reçu pour la première fois le soutien, au moins verbal, de l'Allemagne. Comme tout ce qui concerne l'intégration européenne, il y a encore loin de la parole aux actes. N'empêche, la volonté d'une meilleure coordination des politiques économiques et budgétaires croîtra chaque fois qu'une crise locale affaiblira la devise européenne. Déjà, les pays riches de l'Union exercent de fortes pressions sur le gouvernement grec pour qu'il mette en place un plan d'austérité très dur. Selon un acteur expérimenté de la scène européenne, l'ancien premier ministre belge Jean-Luc Dehaene, l'Union européenne est à un tournant. Invité à Montréal par le think tank L'Idée fédérale (dont l'auteur de ces lignes est un des fondateurs) et par le Conseil de relations internationales de Montréal (CORIM), M. Dehaene a expliqué sa vision des choses devant quelque 250 personnes. De dire ce député du Parlement européen, l'Europe devra de plus en plus «parler d'une seule voix» si elle veut conserver son influence: «À l'heure du G20, alors que des puissances émergentes comme la Chine, l'Inde et le Brésil jouent un rôle de plus en plus important, l'Europe ne peut pas se permettre d'être représentée par plusieurs acteurs: la France, la Grande-Bretagne, la Commission européenne...» Il n'y a pas que les difficultés budgétaires de la Grèce qui devraient amener les Européens à changer leurs façons de faire. C'est aussi le cas d'autres dossiers réglés à l'international, par exemple les changements climatiques. Jean-Luc Dehaene raconte que les politiciens européens ont été traumatisés par une photo prise à la conclusion de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques, photo où on voit réunis les principaux auteurs de l'entente finale: aucun dirigeant européen n'y figure... L'Union européenne doit donc envisager une plus grande intégration. Cette intégration se fera nécessairement à l'aide de «techniques fédérales» mais, affirme l'ancien premier ministre belge, «l'Europe ne sera jamais un État fédéral». L'UE est tout simplement trop complexe: «Imaginez un candidat à la présidence de l'Europe: il devrait faire campagne dans 27 pays en 23 langues!». Confortées par l'union monétaire, plusieurs régions d'États-membres ont réclamé et obtenu une plus grande souveraineté, la Catalogne et l'Écosse notamment. Selon Jean-Luc Dehaene, ce mouvement de décentralisation n'est pas en contradiction avec le renforcement de l'Union. En entrevue au Devoir, il précise sa pensée. Si l'Europe doit parler d'une seule voix, les pays devront transférer des compétences supplémentaires au niveau supranational. «Là est tout le débat, dit-il. Est-ce qu'une partie des États membres se rendront compte que leur souveraineté est devenue fort théorique dans le monde global et qu'ils ne la regagneront qu'en faisant un pool de souveraineté au niveau de l'UE?» De la réponse donnée à cette question dépendra la cohésion, et donc l'avenir de l'Europe.
  5. L'Europe prend conscience de son enlisement économique et des nouveaux efforts qu'elle devra consentir. Pour en lire plus...
  6. La Russie a ouvert mardi matin les vannes approvisionnant l'Europe en gaz, tenant ainsi sa promesse, mais le coeur du conflit gazier russo-ukrainien reste entier. Pour en lire plus...
  7. L'Europe est frappée mardi de plein fouet par le bras de fer russo-ukrainien sur les prix du gaz, les livraisons de gaz russe via l'Ukraine ayant chuté de manière draconienne et ayant parfois même été totalement interrompues. Pour en lire plus...
  8. Les cours ont bondi jusqu'à 51,86 $ US à Londres, dopés par les tensions géopolitiques au Proche-Orient et par la réduction des livraisons de gaz à l'Europe. Pour en lire plus...
  9. Les dirigeants européens vont approuver un plan de relance d'«environ 1,5% du PIB» de l'Union européenne, soit 200 milliards d'euros. Pour en lire plus...
  10. L'Europe réclame des actions «ambitieuses», à courte échéance, pour mieux réguler le système financier mondial et éviter la répétition de crises comme celle qui secoue les marchés depuis plusieurs semaines. Pour en lire plus...
  11. Aujourd'hui, les banques hongroises restreignent les prêts au moment où les investisseurs sortent leur argent des marchés en développement de l'Europe de l'Est et tandis que les devises de la région plongent. Pour en lire plus...
  12. Les mauvaises nouvelles économiques s'accumulent minant l'humeur des investisseurs. Après les chutes en Asie, l'Europe suit la même tendance. Pour en lire plus...
  13. Les deux parties ont maintenant convenu de définir ensemble les mandats officiels pour négocier une entente de partenariat économique ambitieuse, approfondie et historique. Pour en lire plus...
  14. L'Organisation mondiale du commerce approuve les sanctions nord-américaines imposées à l'Europe en réaction à l'interdiction d'importation en Europe de boeuf canadien et américain contenant des hormones de croissance. Pour en lire plus...
  15. Les dirigeants européens, français et canadiens vont tenter de jeter les bases, lors d'une rencontre à Québec, aujourd'hui, d'un projet de création d'un vaste espace économique liant l'Europe au Canada. Pour en lire plus...
  16. L'Union européenne a fait bloc à Bruxelles derrière l'idée française d'un sommet international pour refondre le capitalisme et derrière le soutien apporté au système financier. Pour en lire plus...
  17. Les marchés européens et asiatiques ont plongé vendredi dans ce qui ressemble de plus en plus à un krach boursier, paniqués par la chute de Wall Street. Pour en lire plus...
  18. Les Bourses asiatiques ont à nouveau été secouées mardi par la crise financière tandis que les places européennes connaissent une baisse malgré les efforts de l'Union européenne protéger le système financier. Pour en lire plus...
  19. Le gouvernement fédéral doit soutenir l'industrie canadienne de la construction navale au lieu de faire affaire dans des endroits comme la Corée et l'Europe, affirme l'Association de la construction navale du Canada. Pour en lire plus...
  20. Une centaine de galeristes de l'Europe et des Amériques sont attendus à la plus grande foire canadienne consacrée à l'art actuel. Une vingtaine sont du Québec. Pour en lire plus...
  21. L'onde de choc provoquée par le rejet lundi du plan de sauvetage des banques par le Congrès américain a atteint l'Europe mardi, où l'on craignait de nouvelles victimes dans le secteur de la finance. Pour en lire plus...
  22. Les trois gouvernements du Benelux ont volé dimanche au secours de Fortis pour éviter que cette banque ne soit emportée à son tour par la crise financière, qui fait aussi vaciller le groupe britannique Bradford and Bingley et menace de s'étendre au reste de l'Europe. Pour en lire plus...
  23. L'Europe plus proche que les États-Unis Mise à jour le mardi 2 septembre 2008 à 7 h 59 L'Organisation de coopération et du développement économiques (OCDE) est pessimiste pour l'économie européenne. Dans un rapport publié mardi, l'OCDE estime que l'Europe est plus proche d'une récession que les États-Unis. Pour l'Europe, l'OCDE ne table plus que sur 1,3 % de progression du produit intérieur brut (PIB) cette année, contre 1,7 % lors des précédentes prévisions datant de mai. En ce qui concerne la Grande-Bretagne, sa croissance devrait être négative sur les deux derniers trimestres de l'année, ce qui correspond à une entrée en récession, prévoit l'OCDE. En revanche, la croissance américaine du deuxième trimestre a été presque deux fois plus forte que prévu à 3,3 % en rythme annuel. Un chiffre qui conduit l'OCDE à être plus optimiste dans le cas des États-Unis. Les économistes de l'OCDE prévoient 1,8 % de croissance cette année contre 1,2 % auparavant. Pour l'OCDE, ces chiffres s'expliquent par deux facteurs: * la stimulation des exportations grâce à la faiblesse du dollar; * les mesures fiscales prises par le gouvernement américain au printemps dernier ont stimulé plus rapidement que prévu l'économie américaine. Dans l'ensemble, le G7 (Allemagne, Italie, France, Grande-Bretagne, États-Unis, Japon, Canada) va continuer à traverser une « phase de faiblesse de l'activité jusqu'à la fin de cette année », selon les prévisions de l'OCDE. Pour le Canada, l'OCDE prévoit une croissance de 0,8 % cette année.
  24. L'Organisation de la coopération et du développement économiques estime que l'Europe est désormais plus proche d'une récession que les États-Unis. Pour en lire plus...
  25. L'Europe est désormais plus proche de la récession que les États-Unis, juge l'OCDE, qui a relevé ses prévisions de croissance américaine pour cette année mais abaissé celle de la zone euro et surtout celles de la Grande-Bretagne. Pour en lire plus...
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