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  1. Le nombre de sièges sociaux diminue partout au pays Publié le 26 mars 2013 à 10h34 | Mis à jour à 10h34 Le Canada a perdu 22 sièges sociaux d'entreprises entre 2010 et 2011, selon Statistique Canada, le nombre total étant passé de 2865 à 2843. La perte a été ressentie également dans les quatre provinces qui comptent le plus de sièges sociaux soit, dans l'ordre, l'Ontario (-40%), le Québec (-20,3%), l'Alberta (-14,2%) et la Colombie-Britannique (-11,5%). La répartition du recul a fait en sorte que la proportion de sièges sociaux que compte chaque province est demeuré inchangé. En chiffres absolus, le Québec a perdu quatre sièges sociaux entre 2010 et 2011, l'Ontario neuf, l'Alberta sept et la Colombie-Britannique deux. En contrepartie, les sièges sociaux qui restent semblent avoir une certaine vigueur puisque le nombre total d'employés de sièges sociaux s'est légèrement accru dans toutes les provinces, sauf l'Ontario. Plus de la moitié des sièges sociaux canadiens étaient liés à des entreprises oeuvrant dans trois secteurs, soit le commerce de détail (20,2%), la fabrication (18,6%) et le commerce de gros (13,1%). Sans surprise, l'Alberta regroupe 85,3 pour cent des sièges sociaux liés au secteur du pétrole, surtout à Calgary. http://affaires.lapresse.ca/economie/canada/201303/26/01-4634872-le-nombre-de-sieges-sociaux-diminue-partout-au-pays.php
  2. Un déficit historique de 4,7 milliards en Alberta Publié le 09 février 2010 à 20h14 | Mis à jour à 21h15 La Presse Canadienne Edmonton Le gouvernement progressiste-conservateur de l'Alberta a présenté mardi un budget qui prévoit un déficit historique de 4,7 milliards $ mais aucune coupe budgétaire importante et aucune hausse d'impôt. Le ministre des Finances de la province, Ted Morton, s'est déclaré mécontent de déposer un budget déficitaire mais confiant que son plan financier général permettrait à l'Alberta de sortir du rouge d'ici 2012. Le grand gagnant de ce budget est le secteur de la santé. Non seulement le gouvernement épongera la dette de 1,3 milliard $ de l'agence de santé albertaine, mais il augmentera aussi son budget de six pour cent par an durant les trois prochaines années. Le secteur de l'éducation n'est pas en reste puisque les conseils scolaires se partageront 250 millions $ de plus, principalement pour faire face à la hausse des inscriptions dans les établissements scolaires. Les programmes destinés aux personnes âgées ou souffrant d'une incapacité recevront aussi un peu plus d'argent afin de conserver les services existants. Des fonds ont également été débloqués pour l'embauche de 100 nouveaux policiers. Mais toutes ces largesses ont un prix. Pour respecter ses promesses, le gouvernement de l'Alberta devra puiser près de 5,8 milliards $ durant le présent exercice financier dans un fonds d'épargne de 15 milliards $ mis sur pied grâce aux surplus des années précédentes. Il prévoit faire de même en 2011 et en 2012, ce qui pourrait bien mettre ses économies à sec. Quinze ministères, dont ceux de l'Agriculture, de la Culture, du Développement durable, de l'Enseignement postsecondaire, de l'Environnement et des Services à l'enfance, devront composer avec des réductions budgétaires de 1,3 milliard $. Quelque 250 employés de la fonction publique albertaine, qui en compte 27 000, pourraient aussi perdre leur emploi. Il s'agirait des premières mises à pied au sein du gouvernement depuis plus d'une décennie.
  3. Publié le 07 décembre 2009 à 20h39 | Mis à jour à 20h42 Sables bitumineux: une étude contredit les chiffres de l'industrie La Presse Canadienne Edmonton Une étude indépendante publiée lundi aux États-Unis laisse sous-entendre que la pollution provenant des sables bitumineux de l'Alberta est cinq fois plus élevée et deux fois plus étendue que ne l'affirment les statistiques produites par les dirigeants de l'industrie. L'étude affirme que les émissions toxiques issues des sables bitumineux se comparent à un déversement majeur de pétrole... chaque année. Les responsables du gouvernement et de l'industrie disent que la contamination notée dans les sols et rivières de la région est naturelle, mais l'étude la lie étroitement à l'extraction des sables bitumineux. Selon David Schindler, co-auteur de l'étude, les chercheurs ont découvert d'importants apports de composés organiques toxiques issus de l'industrie des sables bitumineux dans la rivière Athabasca et ses affluents. M. Schindler a ajouté que l'industrie était la principale source de pollution de la rivière. L'étude critique également le programme de contrôle du gouvernement de l'Alberta. Celui-ci a réagi en mettant en doute les conclusions de l'étude. Selon Preston McEachern, scientifique environnemental de l'Alberta, les sources de contamination sont plus importantes près des installations de sables bitumineux parce que c'est là que les dépôts de bitume sont les plus concentrés. Quant au programme de contrôle, M. McEachern soutient qu'il a d'abord pour objectif de fournir une information à l'échelle régionale. La province de l'Alberta se fie à des informations spécifiques issues de l'industrie, revue par des inspecteurs provinciaux, pour obtenir des données plus détaillées. Ce n'est pas le premier rapport à mettre en doute les données produites par l'industrie et cibler les répercussions environnementales. À l'été de 2008, l'équipe de chercheurs de M. Schindler avait mis en place des stations de contrôle le long de l'Athabasca et de quelques-uns de ses affluents, et découvert des concentrations pétrochimiques une fois que les courants passaient au-delà des installations de sables bitumineux.
  4. L'Alberta dévoile une stratégie de 20 ans qui mise sur l'exploitation des sables bitumineux et la réduction des impacts néfastes sur l'environnement, tout en restant très vague sur les moyens pour y parvenir. Pour en lire plus...
  5. Le pétrole tiré des sables bitumineux de l'Alberta ne trouvera pas son chemin jusqu'au Québec, du moins pas pour le moment. Pour en lire plus...
  6. Le transporteur Canadian North cessera d'offrir des vols nolisés entre l'Atlantique et l'Alberta à la fin de janvier en raison du ralentissement des activités pétrolières dans cette province. Pour en lire plus...
  7. Les deux provinces pourraient demander à la Cour suprême du Canada de trancher au sujet de la création, par le gouvernement Harper, d'une commission pancanadienne des valeurs mobilières. Pour en lire plus...
  8. Publié le 27 septembre 2008 à 10h20 | Mis à jour le 27 septembre 2008 à 10h21 Le Québec jaloux de l'Alberta François Cardinal La Presse On a beau montrer l'Alberta d'un doigt accusateur, cracher sur son pétrole et mépriser son indifférence pour l'environnement, dans le fond, avouons-le, on est un peu jaloux Jaloux des «chèques de prospérité» distribués annuellement aux Albertains, des milliards qui s'empilent dans les coffres du gouvernement et de la relative insouciance de cette province face à la crise économique qui s'étend. Pourquoi eux et pas nous? Pourquoi l'Alberta, Terre-Neuve et la Saskatchewan peuvent-elles tirer profit de l'or noir, tandis que nous nous contentons de tirer une grande fierté de notre or bleu? C'est la question que pose le Parti québécois qui, depuis son voyage estival en Norvège, s'est converti aux bienfaits des pétrodollars. À preuve, cet important changement rhétorique dans le discours péquiste: il est moins question de réduire notre dépendance au pétrole, que de réduire notre dépendance au pétrole étranger. Remarquez, sur le plan économique, les intentions de Pauline Marois se défendent très bien. Le Québec se ruine en important son pétrole. L'an dernier, la balance commerciale du secteur énergétique affichait un déficit de 10 milliards. Sur le plan environnemental, par contre, les choses sont moins claires. Pour convaincre les Québécois du bien-fondé de l'exploration pétrolière et gazière dans le Saint-Laurent, le Parti québécois devra répondre à de nombreuses questions et pas seulement celles qui concernent les baleines. Est-il pertinent, par exemple, de se lancer dans une aventure aussi coûteuse et risquée, au moment où un nombre grandissant de pays occidentaux se fixent l'objectif de s'affranchir du pétrole? Rappelons d'ailleurs que Mme Marois a affirmé dans le passé pouvoir libérer le Québec de sa dépendance pétrolière en seulement 10 ans. Dépenserait-on la même énergie pour atteindre cet objectif au lendemain d'un forage réussi dans le Saint-Laurent? Le PQ fait miroiter des redevances de 20 milliards en 10 ans. Mais pour que l'État touche autant d'argent, il ne pourra se contenter de forer dans les basses-terres du fleuve, là où l'impact environnemental est limité. Il devra explorer au large des Îles-de-la-Madeleine, ce qui est une tout autre histoire sur le plan environnemental. Certes, il y a sur les tablettes un rapport du BAPE qui trace la voie à suivre pour réduire l'impact des levés sismiques dans le Golfe, mais rien sur les autres impacts potentiels (risques de déversements, construction d'énormes plateformes, etc.). Comment la formation de Mme Marois convaincra-t-elle les groupes écolos, qui ont toujours eu une grande influence au sein de son parti? En réponse à ces questions, le PQ dit vouloir s'inspirer de la Norvège, qui fait les choses autrement. On y émet par exemple une quantité limitée de gaz à effet de serre par baril de pétrole produit ce qui se traduit néanmoins par de grandes quantités d'émissions lorsque l'on additionne tous les barils. La Norvège est d'ailleurs très loin de sa cible Kyoto. Que fera-t-on pour éviter que les émissions globales du Québec explosent? Si le PQ compte faire de ce projet un cheval de bataille des prochaines élections, il devra donc préciser ses intentions dans le menu détail, énumérer les avantages autres qu'économiques de son projet, et prouver qu'il peut faire les choses sans trop de dégâts. Bref, il devra aller au fond de la question avant de creuser au fond de l'eau. courriel Pour joindre notre journaliste francois.cardinal@lapresse.ca Ne manquez pas dans le cahier PLUS: L'Alberta saoudite, une grande série sur l'exploitation des sables bitumineux et ses effets, de Agnès Gruda et François Cardinal. Treize chars! On savait que John McCain possède sept maisons. On apprend maintenant ce que contiennent ses nombreux garages: 13 rutilantes voitures, révèle Newsweek. Alors que le couple Michele et Barack Obama se contente pour sa part d'une seule auto. On pourrait croire que cela fait scandale dans un pays aux prises avec de si graves problèmes économiques. Mais ce n'est pas vraiment le cas. La seule véritable indignation a été manifestée par les United Auto Workers (Travailleurs unis de l'automobile), qui se désolent que dans le lot, on compte une Volskwagen et une Honda. Deux autos étrangères, quelle honte! Le courrier VERT QQu'est-ce qui pollue moins, la conduite avec ou sans «cruise control»? (Anonyme) RTout dépend de la route sur laquelle vous vous déplacez, selon le site spécialisé Edmunds.com. Sur une autoroute plane, le régulateur de vitesse vous permettra en effet de réduire votre consommation d'essence et, ainsi, de moins polluer. La conduite est alors plus douce, moins agressive, ce qui réduit les à-coups. Sur une route montagneuse, par contre, le régulateur a l'effet inverse: il exige plus de carburant, parce qu'il oblige la voiture à s'ajuster continuellement au terrain changeant. Edmunds.com Supermarché de CO2 Alors que l'Amérique du Nord s'éveille aux bienfaits de l'échange de droits de polluer, l'Europe bat des records. La Presse a révélé cette semaine la création prochaine de la deuxième Bourse du carbone en importance au monde, à laquelle le Québec participera. Comme pour lui donner raison, le marché climatique européen (Bluenext) a annoncé le jour même avoir enregistré un nombre de transactions record en une seule journée: plus de 2 millions de tonnes d'émissions de gaz à effet de serre. Chaque tonne échangée (au coût de 37$ CAN) signifie qu'une entreprise a réussi à polluer moins que permis.
  9. Pipeline : opposition à Enbridge * Presse Canadienne, * 08:18 Des groupes environnementaux veulent empêcher du pétrole issu des sables bitumineux de l'Alberta de faire son entrée au Québec. Les organisations Equiterre, ForestEthics et Environmental Defense lancent ce mercredi une pétition en ligne afin que les Québécois puissent exiger le rejet de ce projet. Chaque message signé sera acheminé directement à tous les chefs de partis fédéraux. Enbridge sollicite l'autorisation de l'Office national de l'Energie afin de pouvoir acheminer par pipeline du pétrole issu des sables bitumineux de l'Alberta vers Montréal, en passant par l'Ontario. Une partie de ce pétrole serait raffinée à Montréal pour usage au Québec et le reste serait envoyé par pipeline vers le Maine, pour ensuite être chargé sur des pétroliers en route vers le Golfe du Mexique, là où se trouve la plus importante capacité de raffinage des Etats-Unis. Les environnementalistes soutiennent que l'approbation de ce projet par le gouvernement du Canada générerait des émissions de gaz à effet de serre de 6,5 millions de tonnes par année.
  10. Dans l'ensemble, six provinces ont indiqué des hausses en juillet, soit le Nouveau-Brunswick, le Québec, l'Ontario, le Manitoba, la Saskatchewan et l'Alberta. Pour en lire plus...
  11. Petro-Canada annonce avoir augmenté d'au moins 50% l'évaluation initiale des coûts de son mégaprojet d'extraction de sables bitumineux dans le nord de l'Alberta. Pour en lire plus...
  12. Ce projet, qui comprend un projet minier intégré des sables pétrolifères et une installation d'extraction de bitume dans le nord de l'Alberta, coûtera beaucoup plus cher que prévu. Pour en lire plus...
  13. Les Prairies en tête de liste Mise à jour le mercredi 6 août 2008, 20 h 00 . Le Manitoba et la Saskatchewan vont enregistrer la plus forte croissance au pays en 2008, selon le Conference Board du Canada, déclassant ainsi l'Alberta et la Colombie-Britannique. Dans ses projections économiques dévoilées mardi, le Conference Board prévoit que l'économie de la Saskatchewan va enregistrer une croissance de 4,2 % cette année, comparativement à 3,6 % pour le Manitoba. Les prix élevés du pétrole et du gaz naturel, de même que la montée en flèche de la demande pour les récoltes de céréales dans ces deux provinces expliquent le fait que la Saskatchewan et le Manitoba vont déclasser l'Alberta et la Colombie-Britannique, selon l'économiste en chef du Conference Board, Glen Hodgson. Alberta et Colombie-Britannique Quant à l'Alberta et la Colombie-Britannique, ces deux provinces vont enregistrer une croissance économique modérée en 2008, prédit le Conference Board. L'économie de l'Alberta roule au ralenti en raison d'une mauvaise saison de forage et d'une pénurie de main-d'oeuvre. C'est pourquoi le Conference Board prédit une croissance de 2,6 % en 2008 la province. Pour sa part, la Colombie-Britannique continue de subir les contre coups de l'effondrement de l'industrie forestière et de la faiblesse de l'industrie manufacturière canadienne. La province, qui avait le vent dans les voiles, enregistrera uniquement une croissance de 2,2 % cette année. Pour l'ensemble du pays, le Conference Board prédit une faible croissance de 1,7 % en 2008 et de 2,7 % en 2009.
  14. Le Manitoba et la Saskatchewan vont enregistrer la plus forte croissance au pays en 2008, selon le Conference Board du Canada, déclassant ainsi l'Alberta et la Colombie-Britannique. Pour en lire plus...
  15. Calgary Un projet de studio de cinéma Mise à jour le samedi 26 juillet 2008, 15 h 14 . La ville de Calgary pourrait prochainement avoir son studio de cinéma. Le commissaire Luke Azevedo du Bureau du cinéma de Calgary souligne que le projet est à l'étude depuis de nombreuses années. C'est la première fois, dit-il, que les différents partenaires sont prêts à travailler ensemble. Le gouvernement de l'Alberta fournirait une aide financière au projet. Le studio serait possiblement construit près du centre-ville de Calgary et aurait au moins deux salles d'enregistrement, avance M. Azevedo. Sans vouloir préciser d'échéancier, il ajoute que les détails de la proposition seront prochainement dévoilés. L'Alberta accueille déjà un bon nombre de tournages. L'an dernier, des images de plus de 150 films et publicités ont été captées dans la province. Même avec un grand studio, Calgary devra concurrencer d'autres grandes villes canadiennes comme Vancouver, Toronto et Montréal. Le commissaire du Bureau du cinéma de la métropole québécoise, Daniel Bissonnette, ajoute qu'au moins une quarantaine d'États américains offrent des mesures fiscales incitatives. La concurrence vient aussi d'une trentaine de pays, ajoute-t-il. « Je pense qu'il n'y a plus personne qu'on peut dire qu'il l'a facile dans le sens d'avoir un volume de production », mentionne M. Bissonnette. Les films Brokeback Mountain et The Assassination of Jesse James by the Coward Robert Ford sont parmi les grandes productions hollywoodiennes à avoir été tournées dans la région de Calgary au cours des dernières années. http://www.radio-canada.ca/regions/alberta/2008/07/26/001-studio-Calgary.shtml?ref=rss
  16. L'industrie cinématographique et la province souhaitent faire de l'Alberta l'un des lieux incontournables du septième art au pays. Pour en lire plus...
  17. TransCanada et ConocoPhillips ont annoncé qu'elles augmenteraient de près du double la capacité du projet Keystone ce qui va permettre de transporter le pétrole de l'Alberta jusqu'à la côte du golfe du Mexique. Pour en lire plus...
  18. La dette québécoise préoccupe l'Alberta * Presse Canadienne, * 07:59 Un ministre de l'Alberta s'en prend au Québec, auquel il reproche de vivre aux crochets du reste du Canada, à cause de son taux d'endettement. Le président du Conseil du trésor albertain, Lloyd Snelgrove, qui s'exprimait dans le cadre d'une émission-débat à Calgary, mercredi, n'apprécie pas les avis d'analystes financiers qui recommandent instamment que l'Alberta se serve de ses redevances énergétiques plus élevées que prévu pour accroître le bas de laine provincial. Il s'est demandé quels conseils ces mêmes analystes donnaient au Québec, puisque cette province, a-t-il dit, paie des taux d'intérêt élevés sur sa lourde dette. C'était quelques heures avant que le président de l'Assemblée législative albertaine ne dévoile un cadeau qui sera présenté le mois prochain à l'Assemblée nationale du Québec, pour souligner le 400e anniversaire de la fondation de la ville de Québec.
  19. Si le marché de l'habitation pique du nez aux États-Unis, celui du Québec et de Montréal ne va que ralentir d'ici deux ans et garder des prix toujours en hausse, mais plus modestes. Par contre, après des prix fous, l'Alberta va souffrir au Canada. La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) a rassuré, jeudi, en prévoyant deux autres bonnes années pour le marché résidentiel, à Montréal et au Québec. Pour en lire plus...
  20. Terre-Neuve-et-Labrador a dominé les autres provinces du Canada tandis que l'Alberta a connu la plus forte baisse en 2007. Pour en lire plus...
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