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  1. Publié dans le Courrier du Sud du 28 juin 2008. Les tours Est et Ouest du Complexe Saint-Charles Ouest, situé à la Place Charles-Lemoyne s'élèveront un peu plus dans le ciel longueuillois. Les authorités du Vieux-Longueuil ont donné le feu vert au propriétaire pour qu'il ajoute 2 étages aux tours. Ainsi, la tour Est comportera 14 étages et la tour Ouest en comportera 9. Les travaux de construction, qui se chiffrent à 13 M$, débuteront en août.
  2. source Le Journal de Montréal 17/12/2007 L’immense publicité des magasins Tristan suspendue à l’angle des rues Sainte-Catherine et Peel est un leurre : l’immeuble accueillera plutôt le suédois H & M, a appris le Journal. H & M a annoncé au printemps dernier qu’il avait enfin trouvé le local idéal sur la rue Sainte-Catherine, mais n’en a jamais précisé l’adresse. Finalement, le détaillant de vêtements s’établira dans une portion très achalandée de la Sainte-Catherine, en face du nouveau magasin Guess qui a ouvert ses portes samedi. « Ce sera une adresse extraordinaire », a souvent répété la présidente d’H & M Canada, Lucy van der Wal. L’immense édifice choisi par le « Ikéa du vêtement » a déjà commencé à être déserté par ses trois locataires. La boutique Rogers a déménagé ses pénates dans un autre local de la rue Sainte-Catherine, un peu plus à l’est. La SAQ a fermé ses portes mercredi soir dernier, la veille de l’ouverture de sa nouvelle succursale Express située à quelques mètres de là. Et le bureau de change Cali-forex doit quitter les lieux avant le 31 décembre. Décontamination Des mois de travaux seront ensuite nécessaires afin que les étages supérieurs, inutilisés depuis des années, deviennent accessibles à H & M. Le détaillant occupera en effet plus d’un plancher, comme on le voit notamment à New York. Il faudra aussi décontaminer les locaux, qui contiennent de l’amiante. Et refaire la façade. Le travail est déjà commencé, a-t-on appris. Mais les amateurs et amatrices de mode devront attendre jusqu’en août ou même septembre pour découvrir le plus grand H & M du Québec. La Ville de Montréal a accordé un permis pour les travaux effectués à l’intérieur mais attend toujours une proposition de « projet plus substantiel », a indiqué le porte-parole de l’arrondissement Ville-Marie, Jacques-Alain Lavallée. Au plus tôt, les plans pourraient être entérinés en février. Tristan sans America Quant aux immenses toiles qui recouvrent l’édifice, elles servent à présenter la nouvelle image de Tristan qui a laissé tombé la portion « America » de sa raison sociale. Dorénavant, les collections féminines et masculines seront donc vendues chez Tristan, tout simplement. Le détaillant montréalais peut facilement profiter de la visibilité qu’offre la future adresse d’H & M puisque l’édifice appartient à Gilles Fortin… le propriétaire des boutiques Tristan.
  3. Just a heads up for people who live in Longueuil... several major arteries are about to become traffic nightmares for the next few months. They've finally decided to fix Jacques-Cartier, Ch. Chambly, Ste-Foy, etc. These roads were in need of major repairs. ------------------------------------------- La Ville de Longueuil investit 36,5 millions pour la réalisation de la phase I des travaux d’infrastructures. Lors de sa séance du 19 juin dernier, le conseil de ville a approuvé un règlement de 36,5 millions de dollars pour la réalisation des travaux de construction de la phase I du plan de renouvellement des infrastructures qui débutera dès cet été à Longueuil. La phase I consiste principalement à réaliser des travaux de remplacement d'aqueduc et de réhabilitation de la chaussée, conformément au programme d'inventaire et d'entretien des infrastructures urbaines de Longueuil et aux critères du ministère des Affaires municipales et des Régions. Ces travaux seront partiellement financés par le transfert aux municipalités d'une partie des revenus de la taxe fédérale d'accise sur l'essence. « Cette première phase, qui comprend 45 projets prioritaires dans les arrondissements de Greenfield Park, de Saint-Hubert et du Vieux-Longueuil, débutera dès le début du mois d'août prochain et elle se poursuivra jusqu'en 2008. Nous projetons mettre en œuvre une seconde phase dès 2008 qui s'échelonnera jusqu'en 2009. La Ville de Longueuil investira ainsi un total de 72 millions de dollars à l'entretien de ses infrastructures et réalisera plus d'une centaine de projets prioritaires d'ici 2009. « Nous agissons en tant que municipalité responsable et investissons dans un important programme, car la qualité de nos infrastructures est une préoccupation constante. Longueuil et toute sa communauté profiteront des efforts considérables que nous déployons pour consolider nos acquis et préserver nos infrastructures », a déclaré le maire de Longueuil, Claude Gladu. Toutes les mesures qui s'imposent seront prises pour bien informer les citoyens touchés et limiter les inconvénients durant les travaux. Pour connaître l'évolution des travaux, il suffit de téléphoner à Info-travaux, au 450 463-7234, ou de consulter le site Internet de la Ville (longueuil.ca/travaux). http://www.longueuil.ca/travaux ------------------------------------------- Voici une carte que j'ai préparé qui montre certains projets importants dans la région de Ch. Chambly. Je suis pret a miser 10$ que le reste du Boul. Nobert va etre fait dans la phase II. Je vais essayer de m'informer aupres de la ville..
  4. Les Mohawks de Kahnawake ne perturberont pas le début des travaux grâce à une entente avec Québec. Ils recevront des terres en compensation de la perte de celles situées sur le trajet de l'autoroute. Pour en lire plus...
  5. Les travaux déjà en cours mèneront à l'ouverture du magasin situé au 1100, rue Sainte-Catherine Ouest. Pour en lire plus...
  6. //Fiction//Fiction//Fiction//Fiction//Fiction//Fiction//Fiction//Fiction//Fiction// ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Hôtel Chaboillez (Rue Notre-Dame/Rue Peel/Rue De la Cathédrale) Promoteur: Hôtel Chaboillez Directeur du projet : M. Jean-François Péladeau Architectes : PCR Architectes & associés Début des travaux : Mai 2008 Fin des travaux *: Mai 2010 Type de construction : Résidences de luxe/Hôtel Nombre d’étages : 35 étages Hauteur totale: 130 mètres Avec un développement rapide du quartier Griffintown et le terrain avant de l'ancien Planétarium étant classé «espace vert», il a donc fallut développer le stationnement, maintenant inutile, de l'acien musée de l'espace de Montréal, déménagé au Parc Olympique. Premiers rendus :
  7. La construction tirera l'économie jusqu'en 2011 Les Affaires, 00:00 Récession, vous dites ? Pas dans la construction, en tout cas. L'industrie connaît un niveau d'activité digne de l'effervescente des années 1970. Hausse des heures travaillées et embauche massive sont au menu des prochaines années. Organisme chargé de veiller à l'application des conventions collectives dans l'industrie de la construction, la Commission de la construction du Québec (CCQ) voit la conjoncture favorable se prolonger jusqu'en 2011, récession américaine ou pas. Pour 2008, la CCQ prévoit 128 millions d'heures, une hausse de 3 % par rapport à 2007. Ce nombre grimpera à 140 millions en 2010 et 2011. Plan québécois des infrastructures Le gouvernement du Québec prend les bouchées doubles pour récupérer le retard dans l'entretien de ses infrastructures. En cinq ans, 30 milliards de dollars seront investis dans les écoles, les hôpitaux, les routes, les aqueducs et les égouts. " Ces investissements profiteront grandement à l'industrie de la construction ", a souligné David Whissel, ministre du Travail, lors de la conférence de la CCQ sur les perspectives économiques de l'industrie, qui s'est tenue le 3 décembre. En parallèle, Hydro-Québec a reçu le feu vert de Québec pour ouvrir les vannes de son réservoir de projets. Pas moins de 31 milliards de dollars seront investis dans l'énergie en 10 ans. Bref, l'activité ne manquera pas dans la voirie, le génie civil et l'institutionnel. Il suffit que l'activité se maintienne dans l'industriel et le commercial pour que les prévisions de la CCQ se réalisent. Les économistes de la CCQ s'attendent à ce que les mises en chantier du secteur résidentiel ralentissent au cours de la période 2008-2011, pour des raisons démographiques. Le secteur a toutefois surpris en 2007 tandis que le nombre de logements mis en chantier a de nouveau franchi le cap des 50 000 unités. Au Nord Où seront situés les points chauds ? Le Nord ignore les soubresauts économiques du Sud, m'a dit récemment un industriel de Joliette, Mario Gareau, des Industries Harnois, qui vend des mégadômes pour les entreprises minières. Le volume de travail doublera à la baie James grâce au chantier d'Eastmain-1-A-Rupert. En Abitibi-Témiscamingue on conservera un niveau d'heures travaillées comparable à 2007, en attendant le premier coup de pelle de la mine d'or Osisko, à Malarctic. Le secteur industriel permettra à la Côte-Nord d'atteindre une croissance de 5 %, en attendant le signal du départ du méga chantier des centrales de la Romaine de 1550 mégawatts de puissance. " Si tout va comme on le souhaite, les travaux du complexe Romaine devraient s'amorcer dès 2009 ", dit Réal Laporte, président d'Hydro-Québec Équipement et pdg de la Société d'énergie de la Baie James lors du congrès annuel de l'association des constructeurs de routes et grands travaux du Québec le 16 janvier. Recherché : 56 000 travailleurs Toute cette effervescence nécessitera l'embauche de 14 000 travailleurs par année, dont 10 000 seulement pour combler des départs à la retraite, pendant quatre ans. Fin 2007, l'industrie comptait 134 000 travailleurs actifs. Ce nombre approchera les 150 000 à la fin de 2011. Ce niveau a été atteint la dernière fois lors de la période 1974 à 1977. " On va déballer bientôt notre plan d'action pour les cinq prochaines années. Fiez-vous sur nous et sur l'industrie. On a augmenté le nombre de travailleurs de 50 000 dans l'industrie [depuis 1995], on va rester vigilant pour réussir à combler les besoins de main-d'oeuvre ", a dit André Ménard, pdg de la CCQ, en marge de la conférence annuelle. Hommage aux constructeurs Les Affaires veut refléter le dynamisme du secteur en consacrant un dossier immobilier aux grands constructeurs. Nos collaborateurs ont dressé le profil de deux constructeurs tirant leur épingle du jeu, le premier dans les grands travaux et l'autre dans la construction de copropriétés divises à Montréal. Les sujets d'actualité comme la prolifération des résidences pour personnes âgées, l'acceptation sociale d'un projet d'envergure et la certification environnementale des immeubles figurent aussi au menu de ce dossier spécial. Bonne lecture. http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-02-23/472385/la-construction-tirera-leconomie-jusquen-2011.fr.html andre.dubuc@transcontinental.ca
  8. La Presse Canadienne 27/11/2007 La Ville de Montréal a présenté son plan d'action concernant la salubrité des logements. Cosmo Maciocia, responsable de l'habitation au comité exécutif, a indiqué que les propriétaires visés par cette opération ont intérêt à procéder aux travaux requis sans délai, car l'application du Règlement sur l'entretien et la salubrité des logements sera faite de façon rigoureuse. Une équipe de huit personnes a été mise sur pied et elle verra à mener des inspections d'immeubles réputés insalubres et de veiller au suivi des constats d'infraction. L'équipe est déjà passée à l'action. Elle a réalisé ses premières inspections dans 200 logements situés dans les arrondissements de Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension et de Saint-Léonard. Son objectif est d'inspecter 3000 logements d'ici la fin de 2008, dans divers arrondissements. Si le propriétaire intimé refuse d'apporter les correctifs, le Règlement donne le pouvoir d'exécuter des travaux de remise en état des logements à sa place, à ses frais. Le plan d'action s'appuie sur un budget de 3 millions $ sur trois ans. Pour sa part, le regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) invite les arrondissements et la ministre québécoise des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, à emboîter le pas. André Trépanier, responsable du regroupement, a déclaré qu'en étant libérés des cas lourds, les arrondissements n'ont plus d'excuse pour assumer leurs responsabilités dans l'application du Règlement sur l'entretien et la salubrité des logements.
  9. Guy Laliberté emménage dans un château de 5,5 M$ <DIV id=photo_pub>Mise en ligne 12/11/2007 04h00 La maison de Guy Laliberté Photo © ARGENT Guy Laliberté revient en ville dans une résidence cossue au flanc du mont Royal. Trois ans après avoir dénoncé l'immobilisme de Montréal dans le dossier du développement du bassin Peel, Guy Laliberté y prend tout de même racine en emménageant dans un château de 5,5M$ dans Outremont. Le fondateur du Cirque du Soleil procède actuellement à des travaux de rénovation de 3 M$ dans sa nouvelle résidence achetée en octobre 2006, au coût de 2,5M$, sur l'avenue Maplewood. Les travaux concernent principalement l'agrandissement de la maison dans la cour avant et la transformation de toutes les pièces, en plus de l'aménagement d'un bureau ultramoderne pour Guy Laliberté. Les travaux ont été autorisés par l'arrondissement d'Outremont le 5 février 2007 et l'important chantier a été ouvert dans les semaines suivantes. Des rénovations d'une telle ampleur dans une maison privée sont exceptionnelles. Les ouvriers ont dû procéder à quelques phases de dynamitage dans le roc du mont Royal pour construire les fondations du bâtiment qu'il ajoute à cette résidence cossue. De type ancestral avec revêtement de pierres grises, la nouvelle résidence de Guy Laliberté est accrochée au flanc de la montagne, assurant une vue magnifique sur le Plateau Mont-Royal et le centre-ville. La nouvelle façade comportera des pierres de granit de couleur charcoal. Retour en ville Le grand patron du Cirque du Soleil ne parle jamais aux journalistes de ses affaires personnelles, mais on peut croire qu'il s'agit pour lui d'un retour commode en ville pour faciliter la vie de sa conjointe et de ses enfants. Ses deux enfants fréquentent une école primaire du secteur, avait écrit en primeur Le Journal de Montréal l'an dernier, et sa conjointe, Claudia Barila, tient commerce dans le Vieux-Montréal, soit la boutique Appartement 51. Guy Laliberté habite toujours son domaine de Saint-Bruno, très courues par le «jet-set» montréalais, domaine qu'il avait rendu très populaire, il y a quelques années, par les réceptions plutôt bruyantes qu'il y donnait, dont celle qui réunissait le monde de la F-1. Il a acheté sa nouvelle maison de Mme Elizabeth Chiang, femme d'affaires qui habitait y habitait avec son conjoint depuis 1989. Elle a hérité de la demeure à la mort de son mari, il y a quelques années, et est allée vivre à Taiwan. Frédéric Gagné, l'attaché de presse de M. Laliberté, n'a pas voulu préciser au Journal si son patron vendrait son domaine de Saint-Bruno. Plans modifiés Le richissime Québécois a dû soumettre son projet à l'approbation de l'arrondissement d'Outremont parce que les travaux allaient affecter l'apparence extérieure de cette luxueuse maison. Le comité consultatif d'urbanisme a étudié tous les plans des modifications proposées, qui formaient un document de 22 pages, a appris le Journal. Le château des Laliberté n'est encore qu'un chantier et il est peu probable que la famille y passe un premier Noël dans un mois et demi. abeauvais@journalmtl.com
  10. (12 avril 2007)Les membres du comité exécutif de la Ville de Montréal ont autorisé le lancement d’appel d’offres public pour des travaux d’exécution dans le cadre de la remise en bon état du belvédère Camilien-Houde dans le parc du Mont-Royal pour un montant évalué sommairement à 225 000$. «Ces travaux de restauration permettront d’améliorer la qualité du site, des aménagements, de les préserver en redirigeant les eaux de ruissellement pour éliminer les problèmes d’érosion et de bonifier le mobilier urbain pour répondre aux besoins des utilisateurs», explique Helen Fotopulos, mairesse de l’arrondissement Plateau Mont-Royal. Plusieurs composantes du belvédère ont subi une dégradation depuis son aménagement en 1995.
  11. Vendredi 5 Octobre 2007 La métropole aura sa première ruelle champêtre. Des travaux sont présentement en cours dans la ruelle du quadrilatère Henri-Julien/Drolet/avenue des Pins/Carré St-Louis afin de lui donner une fière allure. C'est l'entreprise Val Nature qui a reçu le mandat d'embellir et verdir cette ruelle. Val Nature va aussi produire un guide d'embellissement et de verdissement des ruelles de Montréal. Inspiré par des réalisations similaires notamment à Vancouver, ce réaménagement consistera en un remplacement partiel de la chaussée asphaltée par une structure géosynthétique, permettant à un couvre-sol végétal de pousser. Ces travaux se réaliseront en conservant les acquis passés puisque cette ruelle a été désignée gagnante dans la catégorie " Ruelles vertes " du concours d'embellissement 2006. La naturalisation des ruelles permettra de diminuer la température due aux ilôts de chaleur et de laisser une plus large place à la verdure, en plus d'améliorer la qualité de l'air et de favoriser l'infiltration naturelle des eaux de pluie. " Ce projet témoigne de notre engagement à protéger, valoriser et accroître le patrimoine vert de notre arrondissement ", a commenté la mairesse de l'arrondissement du Plateau Mont-Royal, Helen Fotopoulos.
  12. Le Journal de Montréal 21/09/2007 À l'heure du questionnement sur la laïcité dans tous les espaces publics, la Ville de Montréal entreprendra la semaine prochaine des travaux majeurs de 1,5 M$ pour garder debout la croix du mont Royal. La conseillère municipale et mairesse du Plateau-Mont-Royal, Helen Fotopulos, responsable du développement du mont Royal, a confirmé la nouvelle au Journal de Montréal. La structure a 80 ans et elle devient menaçante pour les visiteurs. Selon un document interne de l'administration de Montréal, «la corrosion est telle qu'elle pourrait engendrer des risques pour les visiteurs et les responsables de l'entretien». La croix nécessite donc des travaux de restauration urgents. «Si on repousse encore les travaux, de dire Mme Fotopulos, les interventions deviendront encore plus onéreuses et le danger augmentera dans son périmètre. » Les coûts de la restauration seront supportés par la Ville de Montréal et le ministère de la Culture, «qui veulent préserver et mettre en valeur ce patrimoine naturel et historique du mont Royal», indique la conseillère. Son état général requiert une restauration majeure pour limiter sa détérioration, due surtout à la corrosion. Les travaux, qui seront lancés dans quelques jours par la firme Ventec, permettront de restaurer les éléments stabilisateurs par le remplacement des ancrages et des colonnes principales, qui comptent 200 membrures et des centaines de rivets. L'éclairage Le système d'éclairage sera démantelé de la croix géante, qui fait 100 pieds de hauteur avec des bras d'une envergure de 32 pieds. Cet éclairage sera remplacé par un système qui permettra d'exécuter facilement les manoeuvres d'entretien et les changements de couleurs. La structure métallique réparée sera repeinte au printemps 2008, et c'est alors qu'on fera un nouvel aménagement périphérique plus agréable pour les visiteurs, qui doivent actuellement rester à distance à cause d'une clôture dissuasive. La construction de la croix du mont Royal a été financée en grande partie par une collecte de fonds publique organisée par la Société Saint-Jean-Baptiste au début des années 1930. Elle remplaçait une première croix de bois qui avait été plantée par Paul de Chomedey de Maisonneuve, fondateur de Montréal en 1642. Lors d'une importante inondation, au début de Ville-Marie, il avait promis de planter une croix sur la montagne si l'eau du fleuve se retirait. Ce qui s'était réalisé.
  13. 18 septembre 2007 Le mur du Plateau sera végétalisé au printemps 2008. Le verdissement, originalement prévu au montant de 175 225$, coûtera trois fois plus cher, soit 400 000$. Le mur de béton, qui sépare les arrondissements Plateau-Mont-Royal et Rosemont-La Petite-Patrie, a été érigé afin de réduire le bruit des trains pour les résidants du Plateau-Mont-Royal. Tout en réduisant le bruit au sud, ce mur crée aussi un effet de réverbération pour les résidants de la Petite-Patrie, au nord des voies ferrées. Ces derniers se plaignaient de la nuisance acoustique. En pleine campagne électorale, en 2005, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, promettait de «stopper» la construction du mur. L'année suivante, le promoteur en achevait la construction sur près d'un kilomètre et d'une hauteur de 4,5 mètres. Au mois de juin 2006, les deux maires des arrondissements, André Lavallée et Helen Fotopulos, annonçaient la végétalisation du mur acoustique. Le couvert végétal embellirait le mur de béton. De plus, des tiges de saule, doublées de vigne, plantées au pied du mur, rendraient impossible l'accès au mur pour les graffiteurs. «La population de l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie a maintes fois décrié la laideur de la vue du côté de la voie ferrée», précise le sommaire décisionnel. Coût Le coût de 400 000$ sera réparti en trois. Le budget proviendra du Programme triennal d'immobilisation selon la répartition suivante: 50% pour la ville centrale, 25% pour l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie et 25% pour l'arrondissement Plateau-Mont-Royal. Les travaux seront réalisés par l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, au printemps 2008. «Les travaux de plantation doivent absolument être effectués d'ici au 15 mai 2008, sinon le succès du projet est compromis», peut-on lire dans le sommaire décisionnel.
  14. La Presse Le vendredi 17 août 2007 La serre tropicale du Jardin botanique est en train de faner. Le toit de verre coule, le sol s'affaisse, et il y a des trous d'infiltration d'eau dans les murs de fondation. Un état de décrépitude avancée au point où le bâtiment est devenu dangereux pour les visiteurs Devant ce constat, la Ville de Montréal a dégagé 1,6 million de dollars cette semaine pour retaper la serre qui n'a jamais été restaurée depuis sa construction, il y a 50 ans. Les travaux débuteront en septembre pour s'échelonner jusqu'au printemps. Le verre sera d'abord retrempé, les murs seront réimperméabilisés et une nouvelle issue de secours sera installée pour répondre aux normes du code du bâtiment. On prévoit aussi refaire les sentiers, les murets et les bassins défraîchis, qui laissent entrevoir plusieurs traces de rouille. La direction du Jardin botanique compte profiter de l'investissement pour revoir le concept tropical qui a vieilli, et acheter des nouveaux végétaux. On explique que la serre est tellement désuète qu'elle n'est plus conforme à la mission de diffusion et d'interprétation des Muséums nature de Montréal, instance qui chapeaute le Jardin, le Biodôme, l'Insectarium et le Planétarium. "Nous voulons une signature plus moderne sur le thème des plantes tropicales alimentaires, explique le directeur du Jardin, Gilles Vincent. Il y aura aussi une passerelle permettant une vue aérienne des plantes. On veut exposer à nos visiteurs l'importance des plantes tropicales alimentaires et les enjeux comme les maladies qui mettent en péril les plantations de bananiers." La serre tropicale en question, d'une superficie de 500 m2, est située au coeur de 10 autres serres d'exposition. Les autres ont déjà été rajeunies, sauf la serre qui abrite les différentes espèces de bégonias, et qui nécessitera une opération de rempotage l'été prochain. À la Ville, on explique qu'un budget de près de 8 millions est prévu au cours des cinq prochaines années pour rajeunir le Jardin ainsi que les installations du Biodôme. Pendant les travaux à la serre tropicale, les plantes seront transférées vers l'une des serres de recherche du Jardin botanique. Il y en a une trentaine, réparties sur un terrain de 75 hectares. Une équipe de 150 jardiniers et horticulteurs veillent à l'entretien des 22 000 espèces et cultivars du Jardin, qui placent l'endroit parmi les cinq plus grands au monde. "Le Jardin botanique, tout comme le Biodôme, demeurent au centre de nos priorités, explique Francine Sénécal, responsable du dossier au comité exécutif de Montréal. Nous sommes bien conscients que le Jardin, qui a célébré ses 75 ans l'an dernier, a besoin de travaux de rénovation." "Bourque, Géranium 1er"L'ancien maire de Montréal, Pierre Bourque, a été directeur du Jardin botanique durant une quinzaine d'années, du début des années 80 jusqu'au milieu des années 90. C'est à lui qu'on doit notamment le Jardin de Chine. Au cours de son mandat, il a donné un nouveau souffle à l'institution en introduisant des thématiques et des événements comme le fameux Bal des citrouilles.Son implication lui a d'ailleurs valu le surnom de "Bourque Géranium 1er". Depuis son retrait de la politique, au printemps 2006, il n'a pas refait d'apparition publique. Et il refuse de se prononcer sur les dossiers montréalais.
  15. L’arrondissement de Verdun amorcera aujourd’hui les travaux de reconfiguration du boulevard LaSalle annoncés lors d’une rencontre de citoyens en mai dernier. L’arrondissement procédera d’abord à un prémarquage puis au marquage de la chaussée et à l’installation de balises servant à identifier le resserrement des voies sur le boulevard LaSalle, et la nouvelle configuration des intersections Bannantyne/LaSalle et Verdun/LaSalle. Ces travaux devraient être complétés au cours de la prochaine semaine. «La reconfiguration du boulevard LaSalle donnera un nouveau cachet à cette artère et améliorera du même coup la qualité de vie des riverains», souligne le maire de l’arrondissement, Claude Trudel. Pour sa part, André Savard, conseiller d’arrondissement et président de la Commission de la circulation et des travaux publics, rappelle que cette nouvelle configuration vise à accroître la sécurité des résidants qui traversent le boulevard LaSalle pour accéder aux nombreux parcs situés en bordure de la rive. De plus, ce réaménagement permettra de réduire la vitesse dans le secteur. Rappelons que les travaux comprennent le rétrécissement du boulevard LaSalle en limitant la circulation à une voie dans chaque sens entre les rues Leclair et Richard. Cette opération sera réalisée par un marquage sur la chaussée ainsi que par l’installation de bacs et de «bollards» (petits poteaux avec des bandes réfléchissantes). Les traverses piétonnières situées aux intersections des rues Rolland, Valiquette et Riverview ont déjà été aménagées au cours des dernières semaines en fonction de ces changements. D’autre part, l’intersection de la rue Bannantyne et du boulevard LaSalle ainsi que celle de la rue de Verdun et du boulevard LaSalle seront reconfigurées. Afin de diminuer les impacts de ce réaménagement pour les résidants de la rue Verdun, un stationnement prendra place devant les bâtiments situés aux adresses civiques 6001 à 6041, rue de Verdun.
  16. Le Journal de Montréal 25/07/2007 Tout est encore à refaire rue de la Commune. Les pavés de pierre ne tiennent pas et la Ville de Montréal doit réparer la chaussée pour une énième fois depuis la pose originale de ces pierres de granite, en 1991. Mais cette fois-ci on parle de travaux majeurs qui coûteront 2 M$ et qui seront financés à parts égales par la Ville et par le ministère québécois de la Culture. Selon Sammy Forcillo, responsable des infrastructures, la Ville entend régler le problème une fois pour toutes en utilisant un revêtement de pavés de béton autobloquants, sur une distance d'environ un demi-kilomètre, entre les rues Saint- Gabriel et De Bonsecours. Des études menées depuis deux ans par SNC-Lavalin et l'Institut de recherche en construction ont permis de réaliser des tests dans la rue de la Commune pour vérifier la résistance de nouveaux produits. Et le gagnant est : le pavé de béton non collé avec du mortier, comme ce fut le cas dans le passé, mais reposant sur un lit de sable granitique garni d'un sable à jointoiement polymérique, tel que décrit dans un document interne de la Ville. Des zones d'essai de ce produit, dans la rue de la Commune, ont résisté non seulement au passage des nombreux camions de livraison et autobus remplis de touristes, mais aussi aux gels et dégels fréquents des hivers modernes! Patrimoine «Le pavé de la rue de la Commune fait partie de notre patrimoine dans le Vieux-Montréal et cette rue est aussi une fenêtre très importante sur la métropole. Il est de notre responsabilité de refaire l'artère dans cette zone à forte concentration touristique et c'est d'autant urgent qu'il en va aussi de la sécurité des visiteurs», a commenté Sammy Forcillo. Les travaux seront réalisés dès cet automne. L'administration espère fermer le chantier avant la fin de 2007, mais elle n'écarte pas la possibilité que les travaux soient complétés au printemps de 2008. Les milliers de briques de granite qui seront enlevées, rue de la Commune, seront conservées par la Ville et serviront à certains aménagements dans des parcs publics
  17. Le Journal de Montréal 24/04/2007 La Ville de Montréal a lancé hier la phase finale des travaux de restauration du monument de Sir George-Étienne-Cartier, dont la facture est évaluée à 3 M$, soit près de 300 000 $ de plus que prévu. Cet imposant monument situé au pied du mont Royal, sur l'avenue du Parc, est le plus imposant et le plus fréquenté de Montréal. Il rend hommage à la mémoire d'un grand homme politique qui a joué un rôle important sur les scènes fédérale et provinciale et qui a participé à la rébellion de 1837. Depuis sa création, au début du siècle dernier, le monument n'a jamais reçu une telle cure de rajeunissement. Pour cette dernière portion des travaux, le comité exécutif a octroyé un contrat de 560 870 $ à la firme Maçonnerie Rainville et Frères, et un autre contrat de 689 400 $ pour la restauration des personnages de bronze aux restaurateurs Dolléans Art Conservation, pour une facture de 1 250 270 $. Terrasse dangereuse La firme Fournier Gersovitz Moss et Associés, qui a préparé les plans de la restauration et qui assure la surveillance des travaux, recevra 240 000 $. D'autres travaux ont été réalisés en 2005 et 2006 pour consolider la structure de béton et la terrasse entourant le monument. La terrasse avait été jugée en très mauvais état il y a quelques années et le site avait été fermé aux joueurs de tam-tam et au public en général pour des raisons de sécurité peu avant le début des travaux. Benoit Labonté, maire de Ville-Marie et responsable politique des dossiers culturels à Montréal, a assisté hier à la «dépose» des 17 personnages de bronze du monument, c'est-à-dire au déplacement des statues pour leur restauration. Il s'est dit enchanté «de la reprise de ces travaux à l'un des endroits les plus fréquentés du Mont Royal», travaux qui devraient être terminés au printemps 2008. Difficultés budgétaires Ce dossier a connu beaucoup de soubresauts depuis l'automne 2004 et, à l'hôtel de ville, on indique que des raisons d'ordre budgétaire expliquent l'étirement de l'échéancier. La restauration du piédestal en granit sera réalisée sur place mais la restauration des personnages, en bronze, sera effectuée en atelier. L'expertise en profondeur en vue des travaux a été réalisée en 2000 par la Ville alors que l'ouvrage présentait déjà des faiblesses. Cette restauration sera financée en parts égales par la Ville et le ministère québécois de la Culture et des Communications.
  18. 15 juin 2007 Coquerelles, moisissures, fuites d'eau, coupures de chauffage; la liste des horreurs est longue dans certains immeubles montréalais. La Ville de Montréal investira 3 millions de dollars au cours des trois prochaines années pour qu'une équipe de huit inspecteurs se consacre au suivi de 70 immeubles. La Ville de Montréal compte remettre en état 2000 logements insalubres répartis dans 70 immeubles déjà répertoriés. La Place Henri-Bourassa, près de l'autoroute 15, est l'un des immeubles ciblés par la nouvelle mesure de la Ville. La Cour municipale a imposé des amendes de 1 million de dollars à son propriétaire, explique le responsable de l'habitation au comité exécutif, Cosmo Maciocia. Si on calcule de 300 à 350 logements à raison de 2000 à 3000 $ chacun pour les remettre en conditions de salubrité, je pense que ça devient plus intéressant pour le propriétaire de faire des travaux que de payer 1 million d'amendes. — Le responsable de l'habitation au comité exécutif de la Ville de Montréal, Cosmo Maciocia La Ville se chargera de faire exécuter les travaux lorsqu'un propriétaire refusera de le faire en espérant être remboursé. Les associations de locataires et de propriétaires se réjouissent de ce plan d'action. Ils expriment respectivement des réserves. Le Front d'action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) estime qu'il faudrait être encore plus sévère envers ces propriétaires. Si un proprio ne fait pas les travaux après avoir reçu plusieurs amendes, il risque de ne pas payer la facture non plus. Ce que l'on souhaite, c'est que la Ville exproprie les propriétaires délinquants ou les saisisse. — Un membre du Frapru, Jean-Claude Laporte De son côté, la Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIC) regrette que la Ville sévisse seulement contre les propriétaires. Elle souhaiterait que la Ville prenne également des mesures pour pénaliser les locataires négligents.
  19. 25 avril 2007 Scène un prise deux. L’arrondissement de Rosement poursuit sa lutte aux vieux canards à spring et structures de jeu moches. On investira 2 M$ dans quatre parcs de Rosemont–La Petite-Patrie. Comme l'année dernière, le maire André Lavallée a convié le Journal de Rosemont–Petite-Patrie à une tournée dans les parcs du coin, ceux qui feront l'objet de travaux. Cette fois, on vise essentiellement les aires de jeu destinées aux enfants de 5 à 12 ans. Tour du proprio On grimpe à bord de la minifourgonnette de l’arrondissement. Jacques Savard, directeur des travaux publics, prend le volant. Premier arrêt, le parc Beaubien – rue Beaubien, entre la 6e Avenue et la 9e Avenue. Les modules de bois peints en brun, d’une autre époque, feront bientôt place à de rutilants modules. Là, c’est surtout la petite pataugeoire, dans le décor rosemontois depuis les années 1950, et le Chalet des baigneurs qui seront retapés. La pataugeoire conservera la même superficie mais accueillera une nouvelle structure avec des jets d’eau variés. Le petit bassin sera muni d’un système de filtration afin d'assurer la salubrité de l'eau. Le contour de béton et d’asphalte fera place à un nouveau revêtement. L’endroit sera aussi clôturé. Fini les baignades improvisées pour toutou, espère le maire de Rosemont–La Petite-Patrie. Le parc Beaubien se taille la part du lion de toute cette seconde phase du plan de revitalisation des aires de jeu de l’arrondissement: 700 000 $ sont prévus au budget. Les travaux débuteront à la fin de la saison estivale. Parc de la Louisianne On remonte. Direction: le parc de la Louisiane – 31e Avenue et Beabien où l'aire de jeu pour les enfants de 5 à 12 ans sera réaménagée. André Lavallée profite du trajet pour parler du parc Jean-et-Éva-Tremblay, situé dans le secteur Angus, près de la rue Rachel. L’endroit s'est développé il y a une quinzaine d’années, faisant grimper du coup le nombre de bouts de chou dans le secteur. D'où la nécessité de remplacer les structures fatiguées, juge-t-on. Soccer au parc Père-Marquette Le maire Lavallée espère pouvoir refaire entièrement le terrain de soccer du parc Père-Marquette, travaux évalués à 500 000 $. L’arrondissement complète actuellement le montage financier et croise les doigts afin de dégotter, d'ici la fin de l’année, les fonds nécessaires. Plus qu'un vœu pieux, cette réfection est inscrite au plan triennal de l'arrondissement, dans sa planification pour 2007-2009. Des parcs et des sous Les investissements dans les parcs s'inscrivent en droite ligne avec le plan familial des élus locaux qui souhaitent faire de l’arrondissement un petit nid douillet pour tous. Pour que le financement soit à la hauteur des attentes, André Lavallée évalue la possibilité d’élargir le spectre des sources de financement. Pourrait-on courtiser le secteur privé ou compter sur des projets d’entreprises visant l'aide à la communauté, par exemple, afin de les mettre à contribution dans nos parcs? La formule n’est pas définie, mais oui, on réfléchit à différentes stratégies, expose le maire. «Montréal et le gouvernement du Québec contribuent financièrement aux efforts de l'arrondissement. Nous envisageons aussi des partenariats [privés] mais avec des règles très claires», dit-il. Par exemple, pas de privilège pour un promoteur qui déciderait d’investir dans du mobilier urbain, signale André Lavallée. Plantation d'arbres Détour par le parc Lafond. Les petits rigolos qui coupent à travers le parc avec leur voiture, sur le sentier piéton aménagé dans le prolongement de la 15e Avenue, frapperont un mur... de bois. Une cinquantaine d'arbres seront plantés. Avant le terminus, la fourgonnette passe devant la piscine du parc du Pélican, à l'angle de Masson et de la 1re Avenue. Un véritable champ de bataille où s'active encore l'artillerie lourde. L'été dernier, on y a entrepris des travaux de l'ordre de 1,7 M$. «On est dans les temps, on respecte le budget. Les travaux intérieurs et extérieurs ont suivi leur cours cet hiver et la piscine ouvrira comme prévu pour la saison», promet Jacques Savard. L'année dernière, l'arrondissement a investi 8 M$ dans huit de ses parcs. On a principalement rajeuni les aires de jeu pour les enfants de 2 à 5 ans, injecté 3 M$ pour le nouveau parc Jean-Duceppe – sur le site du Technopôle Angus – et investi 2,1 M$ dans le parc Étienne-Desmarteau.
  20. un autre exemple pathétique de nos taxes à l'oeuvre au fédéral Complexe Guy-Favreau: le mail se vide 28 février 2007 - 06h14 La Presse Laurier Cloutier Le complexe Guy-Favreau vient d'entreprendre la «revitalisation de son mail commercial», dit la pancarte. Mais dans les faits, les commerces tombent comme des mouches et les locaux se vident. Le mail Guy-Favreau ne comprendra pas plus que la moitié de ses commerces habituels à la fin des travaux, selon les détaillants. Le porte-parole de Travaux publics Canada n'a pas rappelé La Presse Affaires pour commenter les travaux, qui se limiteraient à 1 million de dollars, d'ici la fin du mois prochain (mars 2007). Selon la propriétaire de Marie-Josée Leblanc Opticienne, qui a fini par s'installer au Palais des congrès, de guerre lasse, il ne restera plus que quatre commerces sur 15 au mail Guy-Favreau. Seulement six sur 17 commerces, selon Rosaire Blouin, propriétaire de la bijouterie Création de Sade, qui doit fermer le 15 mai 2007. Pourtant, en face, boulevard René-Lévesque, le mail commercial du complexe Desjardins va très bien, avec 110 commerces, dont Renaud-Bray, Aldo, Le Château et La Vie en rose, et une foire alimentaire pour 1000 personnes. Le mail Guy-Favreau, pour sa part, a fermé sa foire alimentaire, il y a trois ans, et Création de Sade a alors perdu une part importante de son chiffre d'affaires, faute d'affluence. Création de Sade est arrivée au mail Guy-Favreau il y a 21 ans, mais la veille de la Saint-Valentin, Travaux publics Canada a exigé de Rosaire Blouin qu'il vide rapidement les lieux. Les loyers des autres commerces augmentent de 50%, selon lui. «Je n'arriverais jamais à faire mes frais. Je ne vais pas me battre, c'est trop con. Je ne vais pas me casser les roubignoles avec ça. Ça me fais suer, mais je ne suis pas prêt à tuer encore», a lancé Rosaire Blouin. Par contre, Marie-Josée Leblanc a mené une bataille contre Travaux publics Canada, car elle ne pouvait pas déménager facilement sa clinique d'opticienne, avec 30 000 clients. Grâce à l'accès à l'information, elle a raconté en ses propres mots avoir découvert un bordel administratif et avoir été dégoûtée de la mauvaise utilisation des fonds publics. Ce sont des bureaux et des centres de services qui vont occuper la moitié des locaux, selon Marie-Josée Leblanc et Rosaire Blouin. Il ne va rester que Van Houtte, le dépanneur Petit Calumet et quelques commerces. «Depuis 20 ans, ça a toujours été mal géré, c'est épouvantable. Travaux publics Canada et ses mandataires n'ont rien fait. Ça fait 20 ans qu'on a un éclairage de salon mortuaire», a ajouté Rosaire Blouin. Création de Sade n'avait plus qu'un bail au mois depuis deux ans et, ainsi, Rosaire Blouin ne pouvait même pas vendre son commerce, a-t-il dit. Pendant 18 mois, Marie-Josée Leblanc a dû payer deux loyers dans la phase de transition de sa clinique, vers le Palais des congrès. «La planification au mail Guy-Favreau n'était jamais terminée» et l'opticienne ne savait plus sur quel pied danser, pour sa clientèle. Avec les hausses de loyer annoncées, sa clinique n'aurait pas pu survivre, selon elle. C'est ainsi que son voisin du Relais Gourmand a dû fermer, après 23 ans, et a perdu son commerce de 800 000 $, selon elle.
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