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  1. http://plus.lapresse.ca/screens/e23181dd-903c-4f4b-8467-0e46c17d0fdc__7C___0.html?utm_medium=Facebook&utm_campaign=Internal+Share&utm_content=Screen&fbclid=IwAR0SOyIOn-W5z5ZJxkSAeiDY0HLbsKmyza2u7OItxNfOnSIdDBkaYW4nw54 PRIX DES LOGEMENTS À MONTRÉAL PLAIDOYER POUR LA DENSIFICATION DE MONTRÉAL Le promoteur immobilier Prével appelle à une augmentation de la densité du patrimoine bâti pour prévenir une flambée des prix des logements. ANDRÉ DUBUCLA PRESSE La société Prével, qui se spécialise dans l’offre de logements destinés aux premiers acheteurs dans les quartiers centraux de Montréal, craint de devoir abandonner son modèle d’affaires en raison des frais toujours plus élevés que la Ville impose aux promoteurs pour toutes sortes de bonnes raisons. « On en discute beaucoup à l’interne. C’est quelque chose qui nous préoccupe », répond la coprésidente Laurence Vincent quand on lui demande de quoi l’avenir sera fait. « Ça insécurise. C’est devenu de plus en plus compliqué de faire des projets à Montréal, alors qu’on est accueilli à bras ouverts en banlieue. Mais aujourd’hui, on s’entête. Est-ce que l’avenir va prouver qu’on a eu tort ? » On doit à Prével les lofts Imperial, dans l’ancienne manufacture de tabac de Saint-Henri, et les lofts Lowney, dans Griffintown. SURCHARGES À COMPENSER Toutes ces charges pour les parcs et les logements sociaux sont nécessaires, reconnaît Mme Vincent, mais elles devraient être accompagnées d’une augmentation de la densité du patrimoine bâti pour compenser les surcharges. Sinon, l’offre de logements ne suivra pas la demande dans les quartiers centraux et les prix des logements grimperont encore plus vite, ce qui rendra à terme Montréal aussi inabordable que Vancouver ou Toronto. « Il faut juste s’assurer qu’il y a un partage des frais pour ne pas que ça soit l’acheteur en fin de compte qui supporte l’entièreté du poids [des exigences en matière de logement social]. » — Laurence Vincent, coprésidente de Prével Le 10 avril, la Ville a annoncé le report au 17 juin du dépôt de son règlement sur l’inclusion des logements sociaux, lequel prévoit que tout nouveau projet résidentiel d’une certaine taille devra inclure 20 % de logements sociaux, 20 % de logements abordables et 20 % de logements familiaux. Il devait être déposé initialement en avril. Une étude indique que ce règlement, s’il est adopté sans aucune compensation, ferait grimper le coût des logements de 16 %. Mme Vincent s’est réjouie de ce report, elle qui siège à la table des partenaires en habitation et qui est à la tête du comité habitation de l’Institut de développement urbain, le lobby des promoteurs. « Ça va nous donner du temps pour discuter davantage. » CONTRE L’ÉTALEMENT URBAIN Aux détracteurs de la densification, Mme Vincent leur pose la question : que voulons-nous pour notre ville ? « Il va falloir faire des choix. On est pour le développement durable. Le trafic nous coûte 4 milliards. Qu’est-ce qu’on veut faire ? Où sont les universitaires pour se prononcer sur ce qui est le mieux en termes de développement ? Où veulent-ils les mettre, les 320 000 nouveaux ménages que l’on attend dans l’île d’ici 10 ans ? » Selon elle, la solution de rechange au refus d’une plus grande densité dans l’île est l’étalement urbain dans les couronnes. « En périphérie, à Vaudreuil-Dorion, on demande de faire 10 étages dans certaines zones, alors qu’à Montréal, on arrive près d’une station de métro et on a de la difficulté à obtenir 8 étages », dénonce-t-elle. Actuellement, les droits aériens au-dessus des édicules de métro restent inutilisés, comme au métro Radisson, dans l’Est, tandis qu’on va vouloir construire des 20, 30 et 40 étages à Brossard et à Pointe-Claire, là où il y aura des gares du Réseau express métropolitain (REM), le train électrique de la Caisse de dépôt et placement.
  2. Un projet TOD de 546 logements remplacera l’ancien Zellers Un nouveau projet résidentiel de 125 M$ verra le jour sur le terrain de l’ancien Zellers, au coin des boulevards Saint-Francis et Saint-Jean-Baptiste à Châteauguay. La firme de construction Habitations Trigone, propriétaire du terrain, a obtenu le feu vert du conseil de Ville de Châteauguay, en mai, pour construire sur cet espace cinq bâtiments de 4 à 6 étages qui compteront au total 546 unités de logement. Deux des immeubles projetés abriteront des condos destinés à la vente. Les trois autres immeubles seront composés d’unités locatives en formule «tout inclus», destinées à une clientèle autonome de 50 ans et plus. Première phase en septembre Le projet, qui porte le nom de «Square St-Francis», sera réalisé en deux phases. «La première commencera dès la fin août, avec la démolition de l’immeuble qui abrite l’ancien Zellers» a confirmé au Journal Sophie Pepin, directrice du marketing chez Habitations Trigone. Deux premiers immeubles seront ensuite construits sur l’axe du terrain qui longe le boulevard Saint-Francis. Un premier de 4 à 6 étages qui comprendra 166 unités de logements locatifs. Un second de 4 étages qui comprendra 53 unités de condos. La livraison de cette première phase est prévue à l’été 2019. La deuxième phase du développement (trois immeubles supplémentaires) s’amorcera subséquemment. Selon Mme Pepin, le marché de l’immobilier est actuellement «favorable», et le promoteur est certain de vendre et de louer rapidement les unités prévues au projet. «Ce n’est pas notre premier projet du genre, dit-elle, et dans notre historique, ça va toujours bien». Vocation TOD Le Square St-Francis sera développé dans une zone ciblée par la Ville de Châteauguay pour devenir une aire TOD (Transit oriented development). Habitations Trigone dit d’ailleurs se spécialiser dans les projets de ce type, qui constituent, nous dit Mme Pepin, un «nouveau mode de vie basé sur un accès facile aux transports en commun et aux commerces». Les nouveaux immeubles seront à ce propos situés à proximité du stationnement incitatif de Châteauguay, situé sur le boulevard Saint-Jean-Baptiste. «Les bâtiments disposeront également de stationnements intérieurs, ce qui permet de réduire les ilots de chaleur», précise Mme Pepin. Celle-ci indique que la mixité commerciale et résidentielle, souvent encouragée dans les projets TOD, ne sera pas exploitée dans le projet, qui comprend majoritairement de logements et des condos. Modification au zonage La réalisation de ce projet a nécessité une modification au règlement de zonage par le conseil de Ville de Châteauguay en février dernier. Modification qui a permis d’abaisser la hauteur minimum permise des immeubles pour ce secteur de huit à quatre étages. «En imposant un minimum de quatre étages plutôt que huit, ça lui permet (à la firme Habitations Trigone) de développer le secteur à plus bas prix», avait expliqué le maire Pierre-Paul Routhier lors de l’adoption de la résolution modifiant le zonage. https://www.cybersoleil.com/projet-tod-remplacera-lancien-zellers/
  3. nightmare http://www.groupegeyser.com/nouvelles/groupe-kehilla-montreal-i/ Renseignements sur l'objet des activités de lobbyisme Domaine(s) d'intérêt Santé Autres : Hébergement et soins de longue durée Objet L'attribution d'un permis, d'une licence, d'un certificat ou d'une autre autorisation Précisions Représentations afin d’obtenir l’autorisation du ministre de la Santé et des Services sociaux en vertu de l’article 260 de la Loi sur les services de santé et les services sociaux (RLRQ, chapitre S 4.2) afin qu’elle puisse octroyer une servitude à titre gratuit sur une parcelle d’un immeuble dont elle est propriétaire connu et désigné comme étant le lot UN MILLION CINQUANTE-TROIS MILLE CINQ CENT CINQUANTE-NEUF (1 053 559) à Les Résidences Caldwell (« Caldwell ») à laquelle servitude interviendra Le Groupe Kehilla Montréal I (« GKMI ») afin de permettre à GKMI de réaliser un projet de logements sociaux sur une partie d'un immeuble connu et désigné comme étant le lot UN MILLION CINQUANTE-TROIS MILLE SIX CENT TRENTE-SIX (1 053 636) du Cadastre du Québec, circonscription foncière de Montréal, et étant situé sur l'avenue Caldwell entre le chemin Mackle et le chemin Kildare. Caldwell et GKMI sont deux organismes constitués en vertu de la Partie 3 de la Loi sur les compagnies (RLRQ, c. C-38) Période couverte : 2017-10-02 au 2018-03-31
  4. Projet presque complété dans le quartier Villeray, face au parc le Prévost, à proximité de la Plaza St-Hubert et à une distance de marche du Marché Jean-Talon. Titre: Quarry Adresse: 7221 rue de la Roche, Villeray Usage: Residentiel / 2 logements Architecte: ADHOC Architectes Promoteur: KnightsBridge Particularités: Très grands logements de 3 et 4 chambres à coucher, répondant aux besoins des familles. La certification LEED Platine est visée. Pour plus de details: Le Quarry Photos prisent sur le chantier (presque terminé) en ce 27 janvier 2017
  5. ANDRÉ DUBUC La Presse Le marché de la construction résidentielle se porte mieux que prévu après six mois en 2016. C'est particulièrement vrai dans l'île de Montréal, où le nombre de mises en chantier a doublé au deuxième trimestre 2016 par rapport à la même période l'année précédente. La statistique a été reprise par le Service de développement économique de la Ville de Montréal, qui l'a publiée dans le plus récent numéro de son bulletin hebdomadaire Montréal économique en bref. Au total, 1534 unités ont été mises en chantier dans l'île d'avril à juin 2016, comparativement à 766 à la même période en 2015, une hausse de 100,3 %. La moitié sont des copropriétés et 37 %, ou 570 unités, sont des logements locatifs. Depuis le début de l'année, les mises en chantier sont en progression de 28 % dans l'île de Montréal. De janvier à la fin de juin, 4751 logements sont sortis de terre, comparativement à 3704 au cours du premier semestre l'an dernier. Quand on regarde la région de Montréal dans son ensemble, la progression des mises en chantier s'élève à 12,5 %, 7510 mises en chantier en 2016 contre 6674 en 2015. <iframe name="fsk_frame_splitbox" id="fsk_frame_splitbox" frameborder="0" allowfullscreen="" webkitallowfullscreen="" mozallowfullscreen="" style="width: 633px; height: 0px; border-style: none; margin: 0px;"></iframe> PROGRESSION DE 9 % AU QUÉBEC Pour ce qui est de la province de Québec, la construction de logements connaît une progression de 9 % dans les centres urbains de 10 000 personnes et plus depuis le début de l'année. On y dénombre 14 441 mises en chantier au premier semestre 2016 par rapport à 13 198 au cours des 6 premiers mois de 2015. La plupart des économistes des organismes du domaine de l'habitation prévoyaient en début d'année une stabilisation, voire une légère baisse du nombre de mises en chantier au Québec en 2016 par rapport aux quelque 38 000 mises en chantier enregistrées en 2015. Ils n'ont pas revu leur prévision depuis. EN CHIFFRES Mises en chantier au premier semestre 2016 Nombre var. par rapport à 2015 Île de Montréal 4751 + 28 % Région de Montréal 7510 + 12,5 % Province de Québec 14 441 + 9 % (Centres urbains de 10 000 personnes et plus) Source : SCHL http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201607/28/01-5005174-montreal-forte-hausse-du-nombre-de-mises-en-chantier.php
  6. http://journalmetro.com/actualites/montreal/983950/hippodrome-les-citoyens-veulent-y-construire-un-village/ 22/06/2016 Mise à jour : 22 juin 2016 | 18:21 Hippodrome: les citoyens veulent y construire un village Par Laurence Houde-Roy Métro Les citoyens ont parlé: ils souhaitent que l’ancien site de l’hippodrome de Montréal devienne un véritable petit village au coeur de Montréal. La Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges (CDC), qui regroupe plusieurs citoyens et organismes communautaires de Côte-des-Neiges, a dévoilé mercredi ce qu’ils aimeraient avoir comme aménagement de l’ancien site de l’hippodrome de Montréal, à l’angle de l’autoroute 15 et 40, non loin du site du futur centre commercial Royalmount. Les citoyens veulent littéralement un petit village, le plus vert possible, sans tour à condos, mais plutôt des logements de 3 à 6 étages avec une diversité d’habitants et d’habitations. Cette idée émane d’un forum citoyen tenu en 2014, en collaboration avec la firme d’architecture et design urbain Rayside Labossière. Il faut surtout que tout le projet soit bien pensé en amont, disent-ils, et que chaque aspect de la construction respecte tous les citoyens, peu importe leur âge, sexe, origine ou condition physique. «Il ne faut pas morceler le projet, commencer à construire sans avoir pensé au plan général avant», fait valoir Jennifer Auchinleck, organisatrice communautaire à la CDC. Bien sûr, ils gardent le même message qu’ils ont depuis plus de 10 ans: le site doit accueillir au moins 2500 logements sociaux pour répondre aux besoins des gens du quartier. Ils font valoir que 5060 ménages de Côte-des-Neiges dépensent plus de 80% de leur revenu pour se loger. Alors que la Ville promet que 15% des logements qui seront construits sur l’ancien site de l’hippodrome seront des logements sociaux, la CDC maintient que ce n’est pas assez pour répondre aux besoins de la population. Mais au-delà de cette demande, les citoyens souhaitent que ce terrain réponde à l’ensemble des besoins des citoyens, et que tout soit accessible facilement et rapidement. Selon la première ébauche élaborée par Rayside Labossière (voir photo), une artère principale traverserait le quartier en partant de la station de métro Namur sur laquelle on retrouverait tous les services comme les écoles, les épiceries, les restaurants (abordables et sains, demandent-ils), la bibliothèque, etc…«Une artère qui donne une âme au quartier», résume Ron Rayside, de Rayside Labossière. Deux «pôles communautaires» (points mauves sur la photo), où les habitants pourront se rassembler et fraterniser, pourraient être aménagés à deux endroits sur cette artère. Les différents parcs seraient reliés entre eux par des corridors verts. Tant qu’à rêver, pourquoi ne pas également y imposer des exigences de développement durable, comme utiliser la géothermie dans les logements, encourager les initiatives d’économie sociale, réguler les prix des baux commerciaux, limiter la place de l’auto, aménager de rues de moins de deux voies et adopter une politique d’embauche locale, se disent-ils. «C’est un terrain public, et il est vide, on peut en profiter pour faire les choses autrement, on peut faire tout ce qu’on veut», ajoute Mme Auchinleck. Pour répondre aux besoins d’un maximum d’habitants de Côte-des-Neiges, la CDC souhaite accueillir le plus de personnes possible dans ce petit village. Ainsi, les maisons avec une cour seraient à proscrire, croient-ils, pour maximiser l’espace. La CDC souhaite au moins 7500 unités de logement, dont 2500 logements sociaux. Ceci correspond à la densité de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. M. Rayside croit que le site peut facilement accueillir 4000 ou 5000 logements. Puisque la voie ferrée se trouve non loin du site, la question de la densité pourrait poser problème, reconnaissent-ils, considérant les nouvelles normes de sécurité imposées à la suite des événements de Lac-Mégantic. Le site, qui appartient au gouvernement du Québec, doit être cédé à la Ville de Montréal avant que les constructions débutent. La condition, avant la signature, est que le bâtiment de l’ancien hippodrome soit démoli. Le gouvernement vient d’obtenir le certificat de démolition.
  7. Akelius Canada, filiale de la suédoise Akelius Residential Property, vient d'acquérir quatre immeubles d'habitation au centre-ville de Montréal, un investissement de 120 millions pour 415 logements. Il s'agit du Westmount Estates, au 1800, De Maisonneuve Ouest, du Plaza Drummond, au 3435, Drummond, du 3421, Drummond et du 4555, Bonavista, dans Côte-des-Neiges. Les propriétés étaient auparavant contrôlées par Cromwell Management, propriété de George Gantchev et Stanley Zipkin. Akelius est entrée au Canada en 2011. Elle se concentre dans les marchés de Toronto et Montréal pour le moment. Elle vient de franchir le cap des 1000 logements à Montréal avec ces dernières acquisitions. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201601/26/01-4943781-un-groupe-suedois-investit-120-millions-au-centre-ville.php
  8. via la Voix Pop 15/01/2016 Mise à jour : 15 janvier 2016 | 13:06 Projet de 135 condos sur la rue Saint-Rémi Par André Desroches TC Media L'immeuble résidentiel de quatre étages serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l'on trouve présentement un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. André Desroches / TC Media Un projet résidentiel comptant 135 unités d’habitation, essentiellement des copropriétés et quelques logements sociaux, pourrait voir le jour sur la rue Saint-Rémi dans le quartier Saint-Henri. L’immeuble serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l’on trouve un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. Selon ce qu’a appris TC Media, il inclurait 14 logements sociaux et 14 logements abordables. Il s’agirait d’un bâtiment de quatre étages. Le règlement d’urbanisme de l’arrondissement du Sud-Ouest prévoit pour ce secteur des immeubles de 2 à 3 étages. Le projet, qui déroge à cette norme, pourrait faire l’objet d’un projet particulier de construction. La table de concertation Solidarité Saint-Henri a organisé deux rencontres en décembre et janvier pour présenter le projet aux résidents qui demeurent dans le Village des tanneries, là où le bâtiment serait érigé. Le Village des tanneries, cette petite enclave située à l’extrémité ouest de Saint-Henri, est délimité par les rues Cazelais, Saint-Rémi et Desnoyers et la voie ferrée. Opposition du POPIR Bien qu’il ne s’agisse pour le moment que d’une proposition préliminaire, le promoteur n’ayant déposé aucun projet formel à l’arrondissement, le POPIR-Comité Logement affiche d’emblée son opposition. «Notre mandat, c’est zéro condo», déclare Fred Burrill, organisateur communautaire au POPIR. C’est un non catégorique même si le projet prévoit l’inclusion de logements sociaux. «Nous ne sommes pas pour la construction de logements sociaux à n’importe quel prix», souligne M. Burrill. Selon le POPIR, ce type de développement résidentiel ne répond pas aux besoins des locataires de Saint-Henri, dont le revenu médian est de 25 395$. «Nous voulons le plus possible que le quartier demeure un quartier populaire», insiste Fred Burrill pour qui la multiplication de projets de condos ne fait qu’accélérer l’embourgeoisement du quartier. «Nous n’avons pas encore de position», indique pour sa part Shannon Franssen, coordonnatrice de Solidarité Saint-Henri. Le Comité aménagement de la table de concertation doit se réunir au début de février pour faire le point dans ce dossier.
  9. Retour aux années 90 http://plus.lapresse.ca/screens/7d6f1c4b-363b-4949-9962-63bb110b2fa3%7C_0.html sent via Tapatalk
  10. 242 logements. Coin De Grobois/Contrecoeur. Photos : Groupe Module Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  11. Logement abordable: la nouvelle politique du Plateau échaude un promoteur http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/796387/logement-abordable-la-nouvelle-politique-du-plateau-echaude-un-promoteur/ Estimant que l’arrondissement négocie «avec un fusil sur la tempe» avec lui sur la question de l’inclusion de logements abordables, un promoteur montréalais n’est plus intéressé à investir dans le Plateau-Mont-Royal. Estimant que l’arrondissement négocie «avec un fusil sur la tempe» avec lui sur la question de l’inclusion de logements abordables, un promoteur montréalais n’est plus intéressé à investir dans le Plateau-Mont-Royal. Lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement, les élus ont fait retirer de l’ordre du jour la seconde lecture du projet du Groupe Canvar qui souhaite reconvertir le bâtiment situé au 30, boulevard Saint-Joseph Est en un immeuble mixte de 89 logements, afin de «laisser le temps au promoteur de faire une proposition d’inclusion de logements sociaux». L’arrondissement s’est doté d’une nouvelle politique en matière de logement social. Depuis le 1er juin, le Plateau-Mont-Royal demande aux promoteurs d’inclure 20% d’unités de logement abordables dans les projets résidentiels dérogatoires de cinq unités et plus. Pour être conforme avec la nouvelle politique du Plateau, le promoteur devrait consacrer 18 unités à prix modiques dans son projet, ou encore verser dans un fonds spécial 15 000$ pour chaque unité de logement abordable non-construite. Joint par téléphone, Richard Varadi, le principal actionnaire du Groupe Canvar, n’a pas caché son mécontentement. «Je n’ai rien contre le logement abordable, mais je suis en colère avec l’arrondissement. Qu’est-ce que tu veux négocier? On nous met un fusil sur la tempe. On va aller se battre en cour s’il le faut.» Présentement, le projet est sur la glace. Le Groupe Canvar étudie toutes ses options pour faire valoir ses droits. «On ne va plus travailler dans le Plateau, a laissé tomber l’homme d’affaires. On a une hypothèque sur ce bâtiment et on est maintenant pris avec. Si l’arrondissement ne modifie pas le zonage, on ne peut pas aller de l’avant avec le projet et l’immeuble ne sera pas intéressant pour un éventuel acheteur.» «On ne sait pas encore ce qu’on va faire avec notre projet, a précisé M. Varadi à TC Media plus tard dans un courriel. La meilleure chose pour nous sera de tout simplement trouver un locataire. L’option de convertir l’immeuble n’est plus possible avec les politiques et les exigences de l’arrondissement.» L’homme d’affaires croit que la nouvelle politique du Plateau est contreproductive. «Si un promoteur doit céder au logement abordable une unité sur cinq, j’imagine qu’il va monter le prix des cinq autres pour balancer.» Rappelons que la Ville de Montréal a adopté en 2005 une stratégie d’inclusion facultative de 15% logements sociaux et de 15% de logements abordables dans les projets immobiliers de 200 unités et plus. L’arrondissement se montre confiant Le conseiller Richard Ryan, responsable du dossier de l’habitation demeure confiant que le Plateau-Mont-Royal trouvera un terrain d’entente avec le Groupe Canvar. «Il n’y a encore d’entente, mais j’ai discuté avec le promoteur et il a montré certains signes d’ouverture. Peut-être qu’il se dirigera vers une compensation.» L’élu ne croit pas que la nouvelle politique fera fuir les investisseurs immobiliers dans le Plateau. «Les 20% d’unités abordables que nous demandons aux projets dérogatoires sont vendues, pas données, a rappelé M. Ryan. Les promoteurs feront moins de profits, mais ils ne perdront pas d’argent. Les arrondissements centraux comme le Plateau possèdent une plus-value que recherchent les promoteurs, malgré le prix des terrains et les contraintes de construction reliées à la densité.» «Maintenant, les choses sont claires. Rosemont fait la même chose, le Sud-Ouest y songe, et je ne serais pas surpris que d’autres arrondissements nous suivent.» Le conseiller a souligné par ailleurs que certains projets dérogatoires dans l’arrondissement ont prévu l’inclusion de logements à prix modique avant même l’adoption de la politique.
  12. (C'est un vieil article, mais ça résume bien le projet) Un nouveau projet de logements abordables à Laval-des-Rapides Par Claude-André Mayrand Mardi 29 octobre 2013 15:46:30 HAE LAVAL - La Société d’habitation du Québec (SHQ) a dévoilé lundi après-midi les grandes lignes d’un important projet d’habitation de coopérative qui comptera 166 logements et qui sera érigé à proximité du métro de la Concorde, dans le secteur Laval-des-Rapides. Le projet de la Coopérative de solidarité du Bois Ellen, dont les coûts de construction sont évalués à environ 23 M $, sera financé à moitié par la SHQ. La Ville de Laval fournit de son côté 3.5 M $ ainsi que des rabais de taxes pour cinq ans et des ristournes sur les droits de mutation. «Nous prévoyons lancer l’appel d’offres après les vacances Noël et ouvrir le chantier dès avril 2014, affirme Aziz Dennoune, chargé de projet pour le groupe de ressources techniques Réseau 2000+, qui copilote le projet avec la Coopérative de solidarité. On aimerait compléter le projet entre juillet et septembre 2015.» M. Dennoune a parlé du projet comme un besoin pour la communauté. «Si on se fie au bilan de développement de Laval pour la période 2006-2011, il y a un accroissement flagrant au niveau des personnes de 65 ans et plus, des femmes monoparentales et des familles issues de l’immigration, illustre-t-il. Les objectifs de la coopérative sont la solidarité, l’intégration et l’apprentissage par l’implication.» Deux édifices de 13 et six étages seront construits en forme de «L», annexés à un édifice d’un étage qui comptera une cuisine, une salle à manger et une salle communautaire. Des 166 unités, 56 seront destinées aux personnes autonomes et 110 aux personnes en légère perte d’autonomie. Le terrain, une cour à bois de vocation résidentielle depuis peu, propriété de Mandy Ellen, a été acquis en décembre 2011 au montant de 2.2 M $. Volonté de mixité sociale Le député Léo Bureau-Blouin parle d’un projet qui a été construit avec des objectifs de mixité sociale pour ses résidents. «La mixité sociale contribuera à la création d’une richesse où les forces de chacun pourront être utilisées pour le bien-être de tous et cette solidarité intergénérationnelle est une valeur très importante pour notre gouvernement, explique le jeune député de Laval-des-Rapides, qui représentait le ministre responsable de la SHQ, Sylvain Gaudreault, lors de l’annonce. Le futur complexe permettra à des familles et à des aînés d’évoluer dans un environnement de qualité et adapté aux besoins de chacun.» Francine Néméh, directrice générale de la Fédération des coopératives d’habitation intermunicipale du Montréal métropolitain, a profité de l’annonce de lundi pour rappeler l’importance des logements sociaux. «Chaque dollar investi dans le logement social, il y a 2,30 $ injectés dans l’économie, en plus du surplus de flexibilité financière de 152 M $ par année réalisées par le logement social pour les personnes à faibles revenus, sans compter les économies sur l’aide à itinérance, aux handicapés et les services de santé mentale. Nous voulons voir ce genre d’investissement de multiplier», précise-t-elle. Le projet inclut des mesures d’efficacité énergétique novatrices telles qu’un système de récupération de chaleur et un système de préchauffage d’air par l’énergie solaire. http://www.hebdosregionaux.ca/laval/2013/10/29/un-nouveau-projet-de-logements-abordables-a-laval-des-rapides ------- Source : http://fechimm.coop/fr/cooperatives/bois-ellen Il s'agit de la grue qui se trouve à côté du Logix depuis quelques mois déjà. Selon l'article, le projet sera complété cet été. On peut mal juger le design parce que l'image ci-haut est le seul "rendu" disponible. En tout cas, c'est un projet bien situé et doté d'une mission claire.
  13. Nom: Holiday Inn Montréal Centre-Ville Hauteur en étages: 37 Hauteur en mètres: 120 Coût du projet: Promoteur: Canvar Architecte: Architex Group Entrepreneur général: Emplacement: coin sud-ouest intersection René-Lévesque / Lucien L'Allier Début de construction: Fin de construction: Site internet: http://www.himtl.com Lien webcam: Autres informations: 250 logements, 220 chambres d'hôtel dans les 10 premiers étages Rumeurs: Aperçu artistique du projet: Maquette: Autres images: Vidéo promotionnelle:
  14. http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/2014/10/20141016-043657.html RÉGION - MONTRÉAL Regroupement UTILE Une coopérative de logements étudiants pour 2017 Première publication 16 octobre 2014 à 04h36 Par Anne-Marie Provost | Agence QMI Le regroupement UTILE, qui souhaitait mettre la main sur l'îlot voyageur pour y construire du logement étudiant abordable,achètera d'ici quelques semaines un terrain pour bâtir unecoopérative d'habitation étudiante d'ici 2017. Le projet d'environ 125 places, évalué à 10 millions $, serafinancé à 75 % par un prêt hypothécaire. Le gouvernement du Québec investira de son côté un montant de 2 millions $ non récurrent, à travers un programme pilote de la Société d'habitation du Québec. «Nous sommes en attente d'un montant de 500 000 $ en provenance de la ville de Montréal», a ajouté Laurent Lévesque, coordonnateur général d'UTILE. Pas dans le Quartier latin Le projet de logements locatifs ne sera toutefois pas situé dans le Quartier latin, comme prévu au départ. «Développer du logement abordable est impossible dans ce secteur à cause des prix. Et puis, la population étudiante habite le long des axes de métro en dehors du centre-ville», a-t-il affirmé en invoquant une étude de marché. Cette coopérative, la première du genre à Montréal selon UTILE, se veut également en rupture avec les résidences étudiantes. «Le seul critère d'admission est d'être aux études. Nous sommes ouverts à l'ensemble de la population étudiante des universités, et peut-être même des cégeps, nos logements ne sont pas rattachés à une institution», a indiqué le coordonnateur général. Il n'est pas question d'avoir une subvention au loyer, comme c'est le cas dans les coopératives traditionnelles. Le projet d'UTILE sera financé par les loyers partagés en colocation et les logements offriront de trois à six chambres. Projets à venir Le regroupement considère la nouvelle coopérative comme un projet pilote et souhaite à terme développer un parc de logements étudiants abordables à Montréal, entièrement autofinancé. «Nous sommes conscients du contexte budgétaire au Québec, nous ne voulons pas dépendre du financement public pour la suite», a souligné Laurent Lévesque. UTILE prévoit également annoncer en janvier la création d'une plate-forme web pour accueillir et intégrer les nouveaux étudiants à Montréal. Plusieurs nouveaux arrivants se font notamment offrir des logements au prix plus élevé que le cours normal et le regroupement souhaite créer un guichet unique pour le logement étudiant.
  15. Enfin, un article français qui ne leur dit pas de s'installer sur le Plateau Dans l'Express.fr Les quartiers bon marché de Montréal Par Philippe Renault, publié le 11/08/2014 à 08:00 Ils portent des noms poétiques ou évocateurs du climat et on n'y croise pas des Français à tous les coins de rue! Les secteurs pas chers de la métropole gagnent à être connus. Les éditions Héliopoles livrent leurs bons plans, à l'occasion de la sortie du guide "S'installer à Montréal". Côte-des-Neiges Situé à l'ouest du mont Royal, c'est un des arrondissements les plus populaires de la ville. Depuis longtemps déjà, il attire de nombreux nouveaux immigrants, ce qui en fait l'un des quartiers les plus cosmopolites de Montréal. Pas moins de 80 communautés ethniques y sont représentées et on y trouve une importante population étudiante du fait de la proximité de l'Université de Montréal, mais aussi de ses loyers abordables. Bien desservi par les transports en commun, il compte notamment huit stations de métro, presque un record. Les logements à louer, constitués essentiellement d'appartements, de duplex et de maisons, sont nombreux, mais parfois difficiles à obtenir du fait d'une forte demande. La partie sud, proche du mont Royal et de l'université, est plutôt fréquentée par la classe moyenne ou moyenne supérieure qui aime se rapprocher du quartier huppé et calme d'Outremont sans en subir les prix prohibitifs. Dans le secteur plus au nord et à l'ouest du chemin de la Côte-Sainte-Catherine, les logements sont souvent plus anciens et surtout de moins bonne qualité. De belles demeures cossues côtoient des appartements pas toujours salubres. Cette réputation de quartier défavorisé lui colle à la peau. Côte-desNeiges bouillonne toutefois de vie. Les commerces sont variés et certains restent ouverts 24 heures sur 24. Il en va de même pour les restaurants très "cuisine du monde": vietnamiens, libanais, indiens, italiens, portugais... pour la plupart abordables et authentiques. À Côte-des-Neiges, on peut faire le tour de la planète en un jour. Hochelaga-Maisonneuve Voici un des secteurs de Montréal qui a mauvaise réputation. Prostitution, trafic de stupéfiants en pleine rue, homicides et interventions policières à Hochelaga-Maisonneuve occupent souvent la une des journaux. La réalité est cependant plus contrastée. Certes, le quartier a subi la fermeture de nombreuses entreprises et a dû faire face à une hausse du chômage et de la pauvreté dans les années 1980, mais le renouveau est en marche depuis une dizaine d'années. Les anciennes usines y sont transformées en lofts ou en coopératives d'habitation, les rues commerçantes rajeunissent, l'offre culturelle se développe... bref, Hochelaga-Maisonneuve change. Le quartier reste néanmoins l'un des plus accessibles de la métropole, avec un loyer moyen, tous types de logements confondus, de 652 $ CAN. Pour combien de temps encore? Les chantiers de construction qui poussent dans ses rues augurent d'un prochain embourgeoisement, comme c'est déjà le cas avec la place Valois et ses commerces raffinés. En dehors de quelques zones dites difficiles, Hochelaga-Maisonneuve, un des quartiers les plus étendus de la ville, comporte de nombreux îlots résidentiels très agréables. C'est le cas par exemple des abords du Stade olympique et du parc Maisonneuve ou des alentours de la station de métro Joliette. Les zones qui posent encore problème se situent au sud de la rue Ontario et à l'ouest du boulevard Pie-IX. On est loin toutefois de l'époque où les Québécois qualifiaient le coin de coupe-gorge. Villeray Parc-Extension Ce périmètre, qui s'étend de part et d'autre du grand parc Jarry, a conservé sa réputation de secteur ouvrier et populaire. Comme Côte-des-Neiges, c'est aujourd'hui l'un des plus multiculturels. Villeray compte environ 25% de nouveaux venus récents et Parc-Extension, près de 60%. Les immigrés grecs de Parc-Extension ont petit à petit été remplacés par des Indiens et des Pakistanais tandis qu'à Villeray, Italiens et Portugais ont cédé la place aux Vietnamiens et aux Maghrébins. Le secteur est réputé pour son grand nombre de locations et ses prix abordables. On y trouve aussi de grands appartements. Les logements sont majoritairement composés de duplex et d'immeubles anciens. Cependant, l'apparition de nouveaux immeubles ou de bâtiments industriels transformés en condominiums vient modifier petit à petit la physionomie de Villeray-Parc-Extension. Le Sud-Ouest Cet arrondissement, longtemps parmi les plus défavorisés de Montréal, est constitué de plusieurs quartiers au caractère distinct, mais tous de nature essentiellement populaire. Griffintown, Petite-Bourgogne, Pointe-SaintCharles, Saint-Henri... autant de faubourgs qui ont longtemps pâti d'une mauvaise réputation. Qu'on se rassure, pauvreté, criminalité et logements délabrés appartiendront bientôt au passé, car le Sud-Ouest est en pleine mutation. C'est le secteur qui monte. La revitalisation de Griffintown, transformé en un vaste ensemble immobilier assez luxueux, est un bon exemple de l'embourgeoisement en cours. Le Sud-Ouest, c'est avant tout une proximité avec le centre-ville à pied ou à bicyclette, via les pistes cyclables. Ces dernières longent le canal Lachine, dont les rives autrefois encombrées d'immeubles industriels ont été transformées en trouées vertes invitant à la promenade. On y compte aussi plusieurs stations de métro. On trouve dans ce quartier de belles résidences victoriennes, d'anciennes usines ou entrepôts reconvertis en lofts ainsi que de simples logements ouvriers. Certains îlots tels que celui de la rue Sébastopol, près du parc des Cheminots, à Pointe-Saint-Charles, comportent de charmantes demeures avec jardin... on se croirait presque en banlieue. Pour le moment, les loyers y sont abordables, et on peut y dénicher de belles maisons individuelles ou des duplex avec jardin pour moins de 450 000 $. Bien sûr, quelques zones encore en chantier peuvent rebuter et le manque de commerces se fait aussi parfois sentir. Quant au passé de violence, il s'est considérablement estompé, mais n'a pas totalement disparu. Il est donc prudent de bien se renseigner avant de s'installer. Incontestablement, un vent de renouveau souffle sur le Sud-Ouest, qui devient une des aires les plus courues de la métropole. De plus en plus d'artistes s'y installent, comme la chanteuse Isabelle Boulay. On peut parier que d'ici à une dizaine d'années, le quartier aura totalement changé. Les autres quartiers pas chers Saint-Michel, Montréal-Nord, Anjou, Pointe-aux-Trembles, Rivière-des-Prairies, Verdun
  16. Je n'ai pas beaucoup de détail sur ce projet mais en me baladant j'ai aperçu un avis de la ville sur l'immeuble existant et j'ai été ravi de lire que la proposition comporte un immeuble de 6 étages avec du commercial au rez-de-chaussée et des logements aux étages. En plein sur Jean-Talon ouest au nord de la Petite-Italie et à la limite de ce qu'on appel maintenant le Mile-x, un nouveau quartier en pleine transformation mais à échelle humaine. Sur le site il y a présentement un Mike's sous-marin qui est fermé. Voici l'avis: L'objet du projet de résolution est à l'effet d'accorder la demande d'autorisation pour la construction d'un bâtiment de 6 étages, avec construction hors toit, abritant plus de 36 logements et dont le rez-de-chaussée, face à la rue Jean-Talon, sera uniquement occupé à des fins commerciales d'une superficie égale ou supérieure à 400 mètres carrés et dont une partie du rez-de-chaussée de la rue Clark sera occupée à des fins commerciales d'une superficie égale ou supérieure à 50 mètres carrés http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav16597.pdf
  17. Je n'ai pas beaucoup de détail sur ce projet mais en me baladant j'ai aperçu un avis de la ville sur l'immeuble existant et j'ai été ravi de lire que la proposition comporte un immeuble de 6 étages avec du commercial au rez-de-chaussée et des logements aux étages. En plein sur Jean-Talon ouest au nord de la Petite-Italie et à la limite de ce qu'on appel maintenant le Mile-x, un nouveau quartier en pleine transformation mais à échelle humaine. Sur le site il y a présentement un Mike's sous-marin qui est fermé. Voici l'avis: L'objet du projet de résolution est à l'effet d'accorder la demande d'autorisation pour la construction d'un bâtiment de 6 étages, avec construction hors toit, abritant plus de 36 logements et dont le rez-de-chaussée, face à la rue Jean-Talon, sera uniquement occupé à des fins commerciales d'une superficie égale ou supérieure à 400 mètres carrés et dont une partie du rez-de-chaussée de la rue Clark sera occupée à des fins commerciales d'une superficie égale ou supérieure à 50 mètres carrés http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav16597.pdf
  18. http://maison.lapresse.ca/habitation/immobilier/201404/04/01-4754498-condos-abordables-pour-familles-audacieuses.php Avis aux familles avant-gardistes prêtes à s'installer dans des quartiers en transformation pour devenir propriétaires de logements abordables, à Montréal. La Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) prévoit établir deux complexes Accès Condos dans deux secteurs en voie d'être revitalisés: aux Bassins du Nouveau Havre, dans Griffintown, et sur le terrain de l'actuelle cour de voirie Honoré-Beaugrand, dans Mercier-Est. L'organisme paramunicipal n'agira pas seul. Dans les deux cas, il a établi un partenariat avec le groupe de ressources techniques Bâtir son quartier pour mettre en valeur les terrains publics, conformément aux objectifs fixés par les communautés respectives. Les vastes terrains, propriétés de la Société immobilière du Canada (dans Griffintown) et de la Ville de Montréal (dans Mercier-Est), se prêtent à une mixité de fonctions. À des logements abordables et des logements communautaires conçus en grande partie pour les familles s'ajouteront ainsi des espaces non résidentiels. La SHDM ayant acheté à la fin du mois de mars un lot de 47 436 pi2 (4406 m2) dans les Bassins du Nouveau Havre, où une zone d'emploi destinée à l'économie sociale et créative pourra se concrétiser. Dans Mercier-Est, par ailleurs, un marché d'alimentation, attendu avec impatience, est notamment prévu. Sur ce site, 178 condos ou logements locatifs pourront aussi être construits. «Le but est de créer des milieux de vie avec des logements pour tous, indique Édith Cyr, directrice générale de Bâtir son quartier. Les deux projets se réalisent à la suite de la mobilisation des citoyens et sont portés par la communauté.» Une nouvelle façon de faire Pour la SHDM, «c'est le début d'une nouvelle façon de faire, révèle la directrice générale, Johanne Goulet. On travaille avec des organismes du milieu pour trouver des façons inédites de répondre aux besoins.» Dans Griffintown, l'immeuble Accès Condos de 6 à 8 étages renfermera de 60 à 80 logements abordables. Dans Mercier-Est, il en comportera environ 80. Les familles, au coeur des deux projets, auront accès à de spacieux logements répartis sur un ou deux niveaux. L'appel de propositions concernant le lieu situé dans Mercier-Est sera lancé sous peu. Le délai sera plus long dans Griffintown, le temps de finaliser le financement et le développement des volets communautaire et social
  19. Une photo dont je n'avais pas vu avant, qui montre la Coopérative Tiohtiake - on devrait peut-être avoir un fils pour cet immeuble? [ATTACH=CONFIG]14166[/ATTACH] La Coopérative Tiohtiake, construite en même temps que le complexe Le Canal, se trouve à l’arrière, à l’extrême droite, rue des Seigneurs. Source: Griffintown: l'embarras du choix
  20. Seconde vocation pour l'ancien Hôtel Grand Plaza à Montréal 14 mars 2013 Par Michel De Smet En juillet prochain, une nouvelle Résidence Soleil ouvrira ses portes aux aînés au coin des rues Berri et Sherbooke. Il s'agit d'un projet immobilier très singulier puisque, pour la première fois à Montréal, un hôtel de grande envergure va être converti en logements pour personnes âgées. « Nous sommes en train de transformer l'ancien hôtel Grand Plaza en appartements de 1 ½ à 4 ½ pièces. Il sera rebaptisé Manoir Plaza. Au total, il devrait compter 420 logements environ. Nous disposons pour cela d'une surface aménageable de 330 000 pieds carrés répartie sur 25 étages », souligne Eddy Savoie, fondateur et président du conseil d'administration du Groupe Savoie, propriétaire des Résidences Soleil. Pas moins de 30 000 pieds carrés seront réservés à des espaces communs. On y trouvera notamment un minigolf intérieur, deux allées de quilles, un vaste atrium, un spa, une salle de cinéma et une vaste salle à manger au dernier étage avec vue panoramique sur Montréal. À noter que l'édifice aura un accès direct à la station de métro, une première en Amérique du Nord pour une résidence de personnes âgées. Le Groupe Savoie, une entreprise familiale qui agit également à titre d'entrepreneur général, prévoit investir entre 45 et 50 millions $ dans le projet. Ce montant inclut 27 millions $ versés à la société néerlandaise Kincardine B.V. pour l'acquisition de l'hôtel qui fut fermé en octobre 2010. La conversion : nouveau défi pour Groupe Savoie « C'est un défi particulier de ne pas construire à neuf comme nous le faisons d'habitude pour nos résidences. Mais je dirais que dans le cas du Grand Plaza, ce fut plutôt un avantage. Par exemple, globalement, nous allons conserver les pièces dans leur état actuel sans devoir procéder à d'importants travaux de décloisonnement », indique Eddy Junior Savoie, président exécutif, construction, Groupe Savoie. De surcroît, la grande salle de bal de l'ancien hôtel va servir à l'aménagement d'un atrium grâce à un volume intéressant créé par une hauteur libre de 18 pieds. De plus, le bâtiment, construit en 1974, se présentait en très bon état lors de l'acquisition. Par conséquent, le Groupe Savoie n'a pas eu à embaucher une firme d'ingénierie de structure. Il a cependant fait appel à l'architecte Christian Langlois pour parfaire le concept architectural. Actuellement, environ le tiers des travaux de restructuration du bâtiment entrepris à la fin de l'automne 2012 est terminé. « Nous avons embauché la firme GRV Experts-Conseils pour mener à bien les travaux de génie mécanique et électrique. La mise aux normes de nos six ascenseurs et des systèmes de sécurité va débuter sous peu. Progressivement, nous procédons aux travaux de décloisonnement nécessaire à l'aménagement de nos appartements les plus grands. De plus, durant les trois mois à venir, nous allons refaire le dallage du stationnement souterrain de l'édifice », ajoute Eddy Junior Savoie. Le Manoir Brossard À l'automne 2011, le Groupe Savoie a également entrepris la construction d'une autre Résidence Soleil à Brossard, sur le boulevard St-Laurent, à proximité immédiate du fleuve. « On prévoit accueillir nos premiers résidents en juin prochain. L'immeuble comportera 17 étages et 480 logements. Les commodités ainsi que les divisions des logements sont très semblables à celles du Manoir Plaza », fait remarquer Eddy Savoie. Environ 90 millions $ seront investis dans ce projet qui comportera une seconde phase évaluée à 75 millions $. L'échéancier des travaux pour cette dernière n'a pas encore été déterminé, mais une fois totalement achevé, le Manoir Brossard devrait compter un millier de logements. Actuellement, 85 % des travaux de la phase 1 ont été complétés. Il reste à achever certains détails de maçonnerie et de finition ainsi que la peinture intérieure. L'aménagement paysager sera réalisé l'été prochain. Avec l'ajout de ces deux nouveaux projets, le Groupe Savoie comptera désormais 14 résidences au Québec. [url=]http://www.portailconstructo.com/actualites/seconde_vocation_pour_lancien_hotel_grand_plaza_montreal[/url] J'entend déjà les commentaires que certains d'entre vous vont se faire dans leur tête en lisant cette info.
  21. Dans le quartier Sainte-Marie http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7317,80081586&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=5418&ret=/pls/portal/url/page/arrond_vma_fr/rep_annonces/rep_actualites/detail_actualite Le deuxième projet propose la démolition de l'église Saint-Anselme, sérieusement endommagée par un incendie en 2011, et de son presbytère pour les remplacer par un immeuble résidentiel. Sis au 2700, rue de Rouen, il compterait 4 étages et 114 unités d'habitation, ce qui contribuerait à atteindre l'objectif de 2000 logements, tel que suggéré dans le Programme particulier d'urbanisme du quartier de Sainte-Marie. Rappelons que les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble font toujours l'objet d'une consultation publique. Pour ces quatre projets, l'assemblée publique de consultation est prévue le 19 décembre 2012.
  22. Venez découvrir le Saint-Laurent, un projet immobilier à Brossard sur le bord de l'eau. Situé à quelques minutes du Pont Champlain et de l'autoroute 10, c'est l'endroit idéal pour mener une vie en ville et en banlieue ! Le projet compte 3 bâtiments de 60 logements et 2 bâtiments de 77 logements donnant sur la rue Saint-Laurent au bord du fleuve. Idéales pour les couples et les célibataires actifs, les unités varient entre 700pi2 et 1300pi2. Votre vie vous attend ! http://www.condoslestlaurent.com/accueil
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