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  1. Metro pourrait-elle acheter Jean Coutu? Permalink 10/07/09 01:32 am, François Pouliot / Général, 967 mots Il serait intéressant de poser la question à Éric Laflèche et François Jean Coutu lors de leur prochaine sortie publique. Dans l’intérim, l’analyste Perry Caicco avance que c’est une possibilité bien réelle et parle même d’un mariage parfait. L’analyste de CIBC Marchés mondiaux ne détaille pas beaucoup sa proposition. Elle survient néanmoins à un moment où les deux sociétés approchent de la maturité et se cherchent des avenues de croissance. Surtout, elle survient à un moment où, si elles ne se courtisent pas relativement rapidement, il pourrait bientôt être trop tard. La situation de Jean Coutu Jean Coutu est enclavée. Après avoir réussi une première sortie du Québec dans les années 90, avec l’acquisition de Brooks, elle vient de mordre la poussière avec Eckerd. Sa participation de 32% dans Rite Aid (désormais propriétaire des Eckerd) l’empêche de songer à un retour aux États-Unis, et même si elle s’en défaisait, l’ampleur de l’échec a probablement fermé pour longtemps la porte à tout plan d’acquisition à l’extérieur du pays. Chat échaudé craint l’eau froide. Au Canada pendant ce temps, rien ne semble disponible. Le plan de match actuel repose donc sur quelques axes intérieurs. Le principal consiste à ajouter des pharmacies Jean Coutu dans le paysage québécois. Le groupe veut faire passer son réseau de 300 à 400 établissements d’ici 5 à 7 ans, tout en intégrant dans la plupart de ses surfaces des boutiques Passion Beauté (les produits de beauté génèrent de fortes marges). La stratégie est intéressante à moyen terme et génère d’assez bons rendements, mais les analystes notent que la création de valeur devient de plus en plus difficile, alors qu’en grandissant, Jean Coutu vole certes des parts de marché à ses concurrents, mais s’en vole aussi à elle-même, ce qui vient diminuer ses marges. L’acquisition du fabricant de produits génériques Pro Doc, il y a un an et demi, est une initiative qui pourrait donner plus de fruit qu’initialement escompté, mais tôt ou tard, l’état des résultats devra faire face à la situation géographique. La situation de Metro Plus de trois ans après avoir acquis A&P Canada, l’épicier est dans un vaste programme de rénovation de 200 M$. Actuellement 89 des 159 Loeb et A&P ont été rénovés et convertis à la bannière Metro. L’opération devrait être complétée à la fin de l’année. Metro continue de livrer d’impressionnants résultats. Au dernier trimestre, les ventes des magasins comparables ont progressé de 7,3% et son bénéfice a pulvérisé le consensus. Les analystes estiment cependant que la croissance est difficilement soutenable alors qu’une bonne partie de celle-ci provient de l’inflation. Après avoir extirpé toutes les synergies qu’elle pouvait tirer de A&P, tout comme Jean Coutu, et plus vite même, Metro se rapproche à nouveau d’une situation de maturité. Les avantages d’une fusion Par le biais de son grossiste McMahon, Metro exploite au Québec la bannière franchisée Brunet, qui compte 122 établissements. Elle exploite aussi la bannière Clini Plus, dont les 68 établissements de moindre taille sont souvent installés en périphérie de cliniques médicales. En Ontario, le détaillant compte 51 établissement Pharmacy (dans ses Metro et A&P) et 27 Drug Basics (dans ses Food Basics). À l’évidence, une acquisition de Jean Coutu par Metro permettrait de créer des synergies significatives et un certain effet de levier. -Le pouvoir d’achat des deux entités serait décuplé. -Les coûts de distribution seraient abaissés. -Les coûts administratifs tomberaient. -Les infrastructures de Metro en Ontario pourraient éventuellement un peu plus tard supporter une expansion de Jean Coutu dans la province. Metro a-t-elle les moyens? Oui. Ses ratios d’endettement sont bas (dette/BAIIA à 1,4). En 2005, elle avait payé 1,7 G $ pour A&P Canada et valait à l’époque elle-même 3 G$. Jean Coutu vaut aujourd’hui 2,4 G$, et Metro en vaut 4 G$. Avec les succès d’intégration de l’épicier québécois, il ne devrait pas y avoir trop de réticence des banquiers à financer. D’autant que l’acheteur pourrait en partie offrir de ses actions pour permettre aux actionnaires de la cible de participer à la récolte projetée de plus value et à la famille Coutu de conserver une position d’influence. Et le Bureau de la concurrence? C’est ici un peu moins évident. Selon sa dernière présentation aux investisseurs, Jean Coutu détient 32% de parts de marché au Québec en termes de ventes pharmaceutiques. Les parts de marché des Brunet et Clini Plus ne sont pas divulguées. Il se trouverait sans doute un certain nombre de concurrents pour agiter le spectre de la domination outrancière et ses conséquences néfastes à long terme (élimination de la concurrence et hausse des prix). En contrepartie, le paysage concurrentiel demeurerait tout de même encore assez bien peuplé (Pharmaprix, Familiprix, Uniprix, Proxim, Wal Mart, etc.) La question est intéressante parce qu’elle veut aussi dire que plus Jean Coutu continuera de grandir, plus sa part de marché devrait continuer de grimper (même si sa marge s’effritera). S’il a des hésitations à 300 établissements, le Bureau de la concurrence ne pourra qu’en avoir davantage à 400. C’est pourquoi si elles ne veulent pas rater un mariage catalyseur de valeur pour chacune, Metro et Jean Coutu auraient avantage à bientôt se parler.
  2. Terrains à vendre au pied de l'Oratoire Hugo Joncas, Les affaires Les terrains excédentaires de l'Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal attirent les promoteurs immobiliers. L'institution vient de vendre trois lots au constructeur de maisons de luxe Jean Houde et à la famille Elman, actionnaire majoritaire du fonds d'investissement en santé Persistence Capital Partners. Elle a obtenu près de 2,6 millions de dollars pour les trois terrains. L'Oratoire compte vendre sept autres terrains autour de Surrey Gardens, mais préserver le reste de la ceinture verte entre l'institution et les résidences de Westmount. Les terrains mis en vente sont tous situés dans un boisé à l'extérieur de l'arrondissement historique et naturel du mont Royal protégé par Québec. Le zonage de ces lots, situés dans la Ville de Westmount, prévoit uniquement la construction de maisons unifamiliales détachées. Pour l'instant, la Ville n'a discuté qu'avec Construction Jean Houde, selon Joanne Poirier, directrice de l'urbanisme. " Ils nous ont soumis des plans préliminaires pour un terrain à l'est de la rue Surrey Gardens ", dit-elle. Le produit de la vente de ces lots sera investi dans l'entretien des installations de l'Oratoire. http://www.lesaffaires.com/article/0/immobilier/2009-05-22/493716/terrains-etagrave-vendre-au-pied-de-loratoire.fr.html (22/5/2009 11H27)
  3. La banlieue attire les immigrants Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du vendredi 20 mars 2009 Mots clés : Banlieue, Municipalité, Immigration, Canada (Pays) Les villes demandent des fonds pour mieux les intégrer Les immigrants habitent de plus en plus dans les banlieues de Montréal. La part des nouveaux arrivants installés dans la ville centre de la région métropolitaine est passée de 79 % à 67 % entre 2002 et 2006. L'«étalement démographique» s'observe aussi à Toronto et à Vancouver. Voilà une des étonnantes découvertes du récent rapport Immigration et diversité dans les villes et les collectivités canadiennes dévoilé hier à Toronto par la Fédération canadienne des municipalités (FCM). «La voix nationale des gouvernements municipaux canadiens», fondée en 1901, compte près de 1800 membres. «Les immigrants continuent de vivre pour la plupart dans les plus grands centres urbains et les plus instruits s'installent en nombre croissant dans les banlieues et les municipalités de plus petite taille, a résumé Jean Perrault, maire de Sherbrooke et président de la FCM. Ceux qui demeurent dans les grandes villes font face à des enjeux socioéconomiques beaucoup plus importants.» Bien que plus scolarisés que l'ensemble des Canadiens, les immigrants comptent davantage sur l'aide sociale et souffrent plus que les autres du chômage. Plus de quatre familles migrantes sur dix vivent avec de faibles revenus, soit trois fois plus que le reste des Canadiens. Le président Jean Perrault a donc demandé que les villes soient consultées «comme des partenaires» pour la définition des politiques et des programmes en matière d'immigration. Il a également réclamé des fonds des ordres supérieurs de gouvernement, sans toutefois chiffrer les besoins. «Les municipalités ne sont pas responsables de l'arrivée des immigrants et pourtant elles doivent en assumer une bonne partie des coûts», a-t-il dit. Il s'agit du cinquième rapport thématique sur la qualité de vie dans les villes canadiennes publié par la fédération. L'étude disponible sur le site fcm.ca porte sur les 24 plus grandes agglomérations du pays, dont celles de Montréal, de Laval, de Québec et de Gatineau au Québec. Au total, ces grandes villes reçoivent 85 % de toute l'immigration et 90 % de tous les réfugiés au Canada. La région métropolitaine de Montréal (et ses 3,5 millions d'habitants au total) a reçu près de 40 000 immigrants en 2006, ce qui la place au deuxième rang derrière Toronto. Québec intègre environ 2000 étrangers par année. En fait, les villes canadiennes atteignent des niveaux de diversité culturelle exceptionnels, même à l'échelle internationale. Toronto et Vancouver ont des populations plus diversifiées que toutes les autres grandes villes de l'Amérique ou de l'Australie. Montréal, Calgary et Edmonton font également partie des dix principaux pôles d'immigration en Amérique du Nord. http://www.ledevoir.com/2009/03/20/240661.html (20/3/2009 9H45)
  4. Le premier ministre Jean Charest affirme que les services aux citoyens seront protégés et que des mesures pour les travailleurs seront incluses dans le budget 2009-2010. Pour en lire plus...
  5. Smart licences now available for border-hopping Quebecers Last Updated: Monday, March 16, 2009 | 6:04 PM ET CBC News New driver's licence will be accepted instead of passport at land crossings. Quebec Premier Jean Charest showed off his "smart" driver's licence near the Canada-U.S. border on Monday as his province became the first in the country to issue the new border-friendly licences. Quebec Premier Jean Charest holds up his new, high-tech driver's licence near the Lacolle border crossing on Monday.Quebec Premier Jean Charest holds up his new, high-tech driver's licence near the Lacolle border crossing on Monday. (CBC) Quebecers who sign up for the enhanced licences will be able to use them instead of their passports at land and water crossings when the U.S. government brings in more strict security measures in June. "It doesn't solve all of the problems, but it goes a long way in making the lives of a number of our citizens simpler," said Charest at a news conference near the Lacolle border crossing south of Montreal. Charest said he wanted to set the example by becoming the first Quebecer to get the new licence, known as PC Plus. He said the licence will be especially handy for people who cross the border often. "Not everybody carries a passport with them everyday of their lives," said the premier. He also hopes the new licences, which are also being developed by states such as New York, will make it easier for Americans to travel to Quebec. "If there are five people, five kids and two parents, if they had to all pay for a passport it would be an expensive requirement for them to come here," said Charest. Charest aware of privacy concerns The new licence contains an electronic chip that when scanned gives border guards a special code. The guard can then punch the code into a computer to search a database for information about the cardholder. The information will include the same details contained on a passport such as address, birth date and name. Charest said the fact the card contains a code, instead of personal details, will help protect the privacy of individuals who sign up for the licence. The database will also be located on the Canadian side of the border. "[Privacy] is a serious issue. We believe we need to do what has to be done to protect the privacy of individuals," said Charest. The card will cost $40 on top of the standard government licence fees. It will be good for four years. A passport will still be required for air travel. Five Canadian provinces including British Columbia, Alberta, Saskatchewan and Ontario are already testing the technology or have licences in development. Saskatchewan has temporarily put its project on hold pending a review of potential privacy issues.
  6. De passage au Forum économique de Davos, le premier ministre Jean Charest dit prévoir de nouvelles mesures pour «soutenir l'emploi» dans le budget de mars prochain, quitte à plonger le Québec en déficit. Pour en lire plus...
  7. Le dossier du TGV Québec-Windsor, que Jean Charest destinait à la voie rapide voici 12 mois, n'a même pas quitté la gare cette année. Pour en lire plus...
  8. Ce deuxième rachat rapide au Québec va accroître la concurrence de McKesson Canada face à Jean Coutu et Pharmaprix. Pour en lire plus...
  9. Jean prendrait bien 10 jours de vacances de plus au lieu d'une augmentation de salaire. Marie, elle, préfère bénéficier d'un service de conciliation travail-famille. Pour en lire plus...
  10. Trois dollars ou 35 cents? L'écart est grand entre la valeur accolée au titre de Rite Aid par le Groupe Jean Coutu et son cours actuel en Bourse. Pour en lire plus...
  11. L'investissement du Groupe Jean Coutu dans les pharmacies américaines Rite Aid continue de peser dans les résultats de l'entreprise québécoise, qui enregistre des pertes nettes de près de 400 millions de dollars au troisième trimestre. Pour en lire plus...
  12. La perte est alimentée principalement par une provision préliminaire de 357,8 M$ liée à Rite Aid. Pour en lire plus...
  13. Tours à bureaux: le marché avantage les locataires 29 décembre 2008 - 09h28 La Presse Laurier Cloutier Parce que les conditions économiques se détériorent rapidement, le marché des bureaux, tant à Montréal qu'ailleurs au Canada, tourne à l'avantage des locataires. Pourtant, la pénurie de locaux a soulevé l'inquiétude des locataires en 2008 à Montréal. La contrepartie, c'est qu'il faudra faire une croix sur les chantiers attendus de tours à bureaux à Montréal, et pour plusieurs mois. C'est l'évaluation que fait Jean Laurin, président et chef de la direction de GVA Devencore, de Montréal, une société canadienne spécialisée dans l'immobilier commercial. Les compagnies immobilières SITQ, Westcliff, Canderel, Magil-Laurentienne/Desjardins et Sidev n'ont pas encore trouvé le locataire principal pour lancer la construction de leur tour à bureaux respective. Les promoteurs devront patienter encore six mois, sinon jusqu'en 2010, estime Jean Laurin. Pourtant, au printemps de 2008, plusieurs s'attendaient à la construction d'une première de ces tours, en raison du plus faible taux d'inoccupation depuis longtemps à Montréal. Peu favorable à court terme «Le marché n'est plus favorable à court terme pour trouver ce locataire principal et amorcer la construction de cette tour à bureaux», note Jean Laurin. «La tempête économique remet tout en question: le plan d'affaires, l'organisation, la situation financière, déclare le président. Ça force à la réflexion.» Entre-temps, des promoteurs pourront par contre restaurer des immeubles existants, bien situés, dans quelques quartiers. Ils pourront ainsi en rénover au centre-ville, afin d'améliorer leur attrait pour les locataires. D'autres en trouveront le long des lignes de métro. On pourra convertir des immeubles industriels en bureaux. Car pour les locataires, les économies vont prendre la tête des priorités, du moins à court terme, souligne Jean Laurin. «Ils vont mettre au congélateur le prestige et l'image de marque.» «Au cours des six premiers mois de 2009, il ne va rien se passer. Après, on verra d'abord quel type de reprise se dessine», déclare le président de Devencore. Les constructeurs pourront tout de même rénover de cinq à 10 immeubles à Montréal en 2009, avec un nombre de pieds carrés plutôt appréciable, estime Jean Laurin. Il faudra pour cela que des promoteurs aux reins solides découvrent de bons immeubles à restaurer, bien localisés. Place à la négociation Dans ce contexte en évolution rapide, des locataires de Montréal et d'ailleurs au Canada, avec des baux qui approchent de l'échéance, peuvent renégocier avec les propriétaires, ajoute le président. Pour garder un bon locataire, le propriétaire de l'immeuble va accepter de négocier un bail à la baisse. «De gros propriétaires en particulier s'adaptent rapidement à la nouvelle situation du marché. La tendance des prix est à la baisse», note Jean Laurin. Le président de Devencore revient de New York, où «la valeur des immeubles et les loyers ont baissé, pendant que le taux d'inoccupation des bureaux a augmenté au rythme de la dégradation des disponibilités financières des entreprises. Et à Londres, c'est encore pire», dit-il. «Au Canada, le taux d'inoccupation des bureaux devient relativement élevé et les pressions à la hausse sur les loyers se sont évaporées. À Calgary, à Vancouver et à Ottawa, le marché devient plus favorable aux locataires. À Toronto, des constructeurs ont même mis en chantier de nouvelles tours de 2,5 à 3,5 millions de pieds carrés, à livrer sur le marché en 2009 et 2010, ce qui favorisera aussi les locataires», explique Jean Laurin. À Montréal, le taux d'inoccupation a fini par augmenter légèrement, mais on ne trouve toujours pas sur le marché les grands blocs de locaux contigus recherchés, conclut le président de Devencore. LE MARCHÉ DES TOURS À BUREAUX Grands centres urbains (automne 2008) SUPERFICIE (pi2) / INOCCUPATION / TAUX LOCATIF Toronto: 64,8 millions / 6,8% / 45$/pi2 Montréal: 45,2 millions / 5,5% / 33$/pi2 Calgary: 34,5 millions / 3,8% / 50$/pi2 Vancouver: 24,3 millions / 2,4% / 52$/pi2 Ottawa: 16,9 millions / 2,3% / 39$/pi2 Source: GVA Devencore
  14. Les pharmacies Rite Aid ont beau avoir presque triplé leurs pertes au troisième trimestre, le Groupe Jean Coutu voit des signes encourageants. Pour en lire plus...
  15. L'imprimerie québécoise a annoncé que Pierre Karl Péladeau, Érik Péladeau, Jean Neveu et Jean La Couture ont démissionné de son conseil d'administration. Pour en lire plus...
  16. L'imprimeur en difficultés a annoncé que Pierre Karl Péladeau, Erik Péladeau (vice-président du conseil), Jean Neveu et Jean La Couture (président du comité de vérification) ont démissionné du conseil. Pour en lire plus...
  17. Pertes financières «catastrophiques» anticipées pour le Québec Ottawa sabrera 1 milliard $ des paiements de péréquation 28 novembre 2008 - 12h44 La Presse Canadienne SEPT-ILES _ Ottawa sabrera 1 milliard $ des paiements de péréquation versés à Québec, avec la complicité du gouvernement de Jean Charest qui savait mais n'a rien fait, selon la chef péquiste, Pauline Marois. Mme Marois s'est montrée outrée, vendredi, des pertes financières «catastrophiques» anticipées pour le Québec à la suite de la présentation, jeudi, de l'énoncé économique du gouvernement de Stephen Harper. En point de presse dans une usine de Sept-Iles, Mme Marois a tracé un lien direct entre le document fédéral et l'énoncé économique déposé par la ministre des Finances du Québec, Monique Jérôme-Forget, la veille du déclenchement des élections québécoises. Selon elle, Québec savait ce qui se tramait à Ottawa mais a manipulé l'opinion publique, en présentant des données erronées à des fins partisanes. La ministre Jérôme-Forget et le premier ministre Charest ne pouvaient pas ignorer l'ampleur des coupes imposées au Québec au moment de rédiger leur propre énoncé budgétaire, a insisté la chef du Parti québécois. Jean Charest aurait hâté la tenue du scrutin, a-t-elle soutenu, pour cacher des mauvaises nouvelles à la population, dont celle-là. Le chef libéral n'a plus aucun rapport de forces vis-à-vis Ottawa, conclut-elle. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/11/20081128-124423.html
  18. Le secteur manufacturier au Canada et en particulier la construction automobile et l'aérospatiale se fragilisent de plus en plus, a précisé Michaelle Jean lors du discours du trône. Pour en lire plus...
  19. Quand Hydro-Québec dépense un milliard de dollars, combien cela crée-t-il d'emplois? Réponse: ça dépend si vous demandez à Hydro ou aux libéraux de Jean Charest. Pour en lire plus...
  20. Jean Charest annonce l'arrivée imminente d'un «permis de conduire amélioré» pour traverser la frontière américaine, lors du sommet Québec-New York; le PDG d'Hydro-Québec celle de la voiture électrique. Pour en lire plus...
  21. Comment organiser vos documents? Le planificateur financier Jean Dupriez a mis au point au fil des ans une méthode de classement qu'il présente dans son ouvrage Le classement des documents personnels. Pour en lire plus...
  22. Réagissant aux critiques du vérificateur général du Québec, le premier ministre, Jean Charest, nie que ses états financiers présentés au cours des trois dernières années ne soient pas conformes à la Loi sur l'équilibre budgétaire. Pour en lire plus...
  23. Jean Coutu pourrait donner à ses actionnaires son bloc de 30% d'actions de la chaîne américaine le printemps prochain. Pour en lire plus...
  24. Publié le 19 octobre 2008 à 23h55 | Mis à jour le 19 octobre 2008 à 23h04 Réforme du système financier: la position de Harper frustre Charest Tommy Chouinard La Presse (Québec) Le froid qui s'est installé entre Stephen Harper et Jean Charest au cours de la campagne électorale s'étend maintenant au remède à apporter à la crise financière. Pendant que le premier ministre du Canada prend ses distances du projet ambitieux de Nicolas Sarkozy de «refonder le capitalisme», Jean Charest appuie sans réserve cette proposition. Dans les coulisses du Sommet de la Francophonie, qui a pris fin dimanche, l'entourage de M. Charest a manifesté sa frustration devant la position défendue par le gouvernement Harper. Ottawa doit cesser de s'aligner sur George W. Bush, qui est réfractaire au projet de M. Sarkozy, a dit une source à La Presse. Interrogé à deux occasions, Stephen Harper a refusé d'aller aussi loin que le président français, qui parle de «refonder» et de «moraliser» le capitalisme. Européens et Américains ne s'entendent pas sur l'ampleur que devrait avoir la réforme du système financier. Nicolas Sarkozy demande un renforcement du mandat du Fonds monétaire international et l'instauration d'une supervision mondiale des marchés. George W. Bush n'est pas chaud à cette idée. Stephen Harper a néanmoins souligné que des règlements plus sévères dans chaque pays ne suffiraient pas à éviter une autre crise. Selon son attaché de presse, Dimitri Soudas, le premier ministre «est ouvert aux discussions, mais il ne tient pas pour acquis que toutes les institutions internationales (le FMI, par exemple) ont besoin de réformes». Selon Stephen Harper, chaque pays doit cependant encadrer de près ses institutions financières. Stephen Harper a prévenu les pays développés de ne pas adopter des mesures protectionnistes, qui nuiraient aux pays en voie de développement. «Il faut mieux réglementer le système financier, mais en même temps le Canada va rejeter les propositions des autres pays du Nord selon lesquelles le protectionnisme serait la solution.» «Leadership» de l'Europe Dans une entrevue accordée à TV5, Jean Charest a vanté le projet de M. Sarkozy. «Derrière l'idée de M. Sarkozy, il y a une grande idée: humaniser le phénomène de la mondialisation. C'est ce que nous voulons», a-t-il affirmé. Selon lui, Nicolas Sarkozy a envoyé «un signal fort», et l'Europe est en train d'«affirmer son leadership». «Ce qu'il dit ne signifie pas qu'on est contre le capitalisme. Mais il faut le rééquilibrer, l'encadrer, de manière à ce que le système capitaliste soit équitable et mette en valeur l'investissement réel au lieu de mettre en valeur les spéculateurs.» Selon le premier ministre français, François Fillon, la France souhaite «une régulation du système financier qui soit cohérente et harmonieuse sur l'ensemble des territoires de la planète». «Actuellement, certaines banques d'affaires ne sont pas régulées. Des paradis fiscaux échappent à toutes les règles. Il y a des règles qui ne sont pas les mêmes d'un État à l'autre, d'un continent à l'autre, ce qui crée des déséquilibres. Nous voulons une régulation plus efficace, plus transparente», a-t-il expliqué. La crise financière a occupé une large place dans l'ordre du jour des chefs d'État des pays de la Francophonie. Le secrétaire général de l'Organisation internationale de la Francophonie, Abdou Diouf, a même dû rassurer des journalistes africains et indiquer que les autres sujets n'avaient pas été négligés. « On a parlé de façon très équilibrée de la crise financière, de la crise énergétique, de la crise alimentaire », a-t-il affirmé. Dans la déclaration finale rendue publique hier, les pays de la Francophonie s'engagent à «participer activement au renforcement du système financier international afin de le rendre plus cohérent». Ils promettent de «soutenir une réforme visant la transparence, la solidité bancaire, l'intégrité et l'amélioration de la gouvernance économique mondiale». La Francophonie a aussi appuyé la tenue d'un sommet international sur le sujet. Jean Charest a salué la proposition du secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, de tenir la première rencontre sous les auspices de l'ONU. Les pays du Sud seront ainsi entendus, et «on tiendra compte des besoins de l'ensemble de la planète», a-t-il noté. À l'initiative de Jean Charest, les premiers ministres provinciaux et territoriaux se réunissent aujourd'hui à Montréal afin de discuter de la crise financière. Stephen Harper a décliné l'invitation de M. Charest de prendre part aux discussions.
  25. Le crédit se tarit pour les centres commerciaux 17 octobre 2008 - 06h37 La Presse Laurier Cloutier Le financement de projets commerciaux se tarit à vue d'oeil aux États-Unis et au Canada, obligeant les promoteurs à présenter davantage de garanties pour obtenir du crédit. Selon plusieurs spécialistes nord-américains, les prêteurs exigent des promoteurs de centres commerciaux 65% de baux signés, plutôt que 50% auparavant, et 40% de capital, au lieu de 30%, avant de financer en partie un projet. Et les écarts ne semblent pas si grands entre les nouvelles normes de crédit aux États-Unis et au Canada. Des projets commerciaux sont reportés, mis sur la glace, sinon abandonnés. Après vérification dans son réseau, Jean Lambert, directeur de la recherche mondiale de l'International Council of Shopping Centers (ICSC), de New York, affirme qu'il serait surpris de voir un projet commercial démarrer à court terme aux États-Unis. «Avec le magasin d'une grande chaîne comme locomotive, un centre commercial peut lever, mais seulement avec 60% de financement», dit-il. «Les banques américaines ont fermé le robinet, presque complètement, dans le crédit au développement. Un projet fantastique peut attirer quelques banques, mais à des taux d'intérêt très élevés et avec tous les recours (garanties mur à mur). Au Canada, les banques ont toujours été plus prudentes et, en outre, le commerce de détail se porte mieux qu'aux États-Unis», ajoute Jean Lambert. Projets reportés Au Québec, Gilles Fortin, président de la chaîne Tristan&America, a signé un bail pour aménager un autre magasin de vêtements dans un projet de centre commercial, mais il ne sait pas quand il va ouvrir. Le promoteur n'a pas encore 65% de ses baux signés et, avec la crise, tout est reporté. «Aux États-Unis, il y a beaucoup de projets commerciaux reportés, mis sur la glace et même annulés. C'est assez généralisé. Toutes les banques serrent la vis, sauf pour un promoteur avec un excellent crédit», ajoute Jean Lambert, du ICSC. à New York. «Avant, au Québec, une banque pouvait financer 70% de la valeur d'un projet commercial. Là, c'est seulement 60% ou 65%, avec 35% à 40% de comptant et à un taux d'intérêt de 1% plus élevé», déclare de son côté Frédéric Labrie, directeur du commerce de détail au Groupe Altus (consultants). «Avant, les banques se battaient entre elles sur 0,05% de taux d'intérêt. Là, c'est l'inverse. Sur 15 projets, les banques en regardent cinq et font un seul prêt.» «Depuis trois mois, les conditions sont plus difficiles, autant sur le financement de projets commerciaux que sur celui de propriétés existantes, mais ce n'est pas alarmant, ajoute Frédéric Labrie. Le Quartier DIX30 a déjà des assises solides et ce n'est pas difficile de financer la construction des autres phases. Quand viendra le temps de mettre en chantier, Griffintown devra par contre avoir du cash et des baux signés.» «Des projets sont remis en question, reconnaît Jean-Guy Parent, président des consultants Intercom Services immobiliers. Rien n'a été annulé encore, mais des chaînes attendent.» Jean-Guy Parent ne peut avancer de chiffres, mais des prêteurs comme la Banque Royale, Desjardins et la Banque Nationale, depuis deux semaines, lui disent qu'ils serrent la vis dans l'immobilier commercial. «Je ne dis pas qu'il n'y a plus de financement, mais on verra encore beaucoup de nervosité d'ici deux ou trois mois», affirme-t-il. Jean-Guy Parent voit aussi quatre ou cinq banques exiger des mises de fonds qui passent de 30% à 40%. «Ça peut retarder des projets commerciaux. Il n'y a pas de panique, mais des feux rouges s'allument. Ça prend des promoteurs avec des nerfs et des reins solides, avec du cash pour passer au travers.»
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