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  1. Hillside Condominiums - 3 étages (Westmount) http://www.belcourtcondos.com/main.cfm?p=11&l=fr&ProjetID=46 L'emplacement est ici: + I contributed this so I reserve the right to delete it. - [MAPS]http://maps.google.ca/maps?f=q&source=s_q&hl=en&geocode=&q=hillside+aven ue,+westmount&sll=45.485852,-73.587088&sspn=0.010756,0.01929&g=1233+greene,+wes tmount&ie=UTF8&hq=&hnear=Avenue+Hillside,+Westmoun t,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec+H3Z+1V9&ll=45.482239,-73.590438&spn=0.002595,0.004823&t=h&z=18[/MAPS] + Signed, - L'édifice qui sera démoli: Source: http://www.westmountexaminer.com/News/Local/2010-08-19/article-1686062/City-okays-Hillside-condo-project/1
  2. J'aurais pu le mettre dans la section bouffe et culture, mais comme il y a des opinions de délégués de l'extérieur, je l'ai posté ici. Peu importe en réalité..... [video=youtube_share;HyLXWY2qC4Q]
  3. L'angoisse, la peur, la précarité: chaque jour, à Montréal, plusieurs dizaines de milliers d'immigrés organisent leur vie autour d'une donnée majeure: leur situation illégale. Ils sont demandeurs d'asile déboutés, parents d'enfants canadiens, touristes venus ici non pour voyager mais pour travailler, ou encore entrés ici illégalement. Les chemins qui les ont menés à la clandestinité sont nombreux. Ils n'ont pourtant qu'une seule destination: la vie sans statut, le cul-de-sac juridique. Pendant des mois, voire des années, ils survivent dans l'anonymat le plus complet. De petits boulots payés au noir, dans des conditions qui dérogent aux normes québécoises, leur permettent de subsister. Ils n'ont pas accès à l'aide sociale ni à l'assurance maladie. Ils rasent les murs, hésitent à sortir de l'anonymat, de peur d'être dénoncés aux autorités canadiennes, arrêtés, renvoyés vers leurs pays. Ils sont prisonniers d'une vie quotidienne, privés des libertés les plus simples. On estime à plus de 250 000 personnes le nombre de clandestins au Canada, dont près de 40 000 à Montréal, qui vivent et travaillent à nos côtés. La Presse a rencontré certains d'entre eux, qui ont accepté, non sans réticence, de nous raconter leur existence sans statut au Canada et leur rêve d'une vie normale. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201205/06/01-4522453-40-000-clandestins-se-terrent-a-montreal.php nb:donc en fait la population réelle de la ville et du MTL Métro est supérieure de 40.000 habitants de facto.
  4. Je sais pas si cela a déja été mis ici, mais une carte du plan de TEC tel qu'imaginé en 1981 Courtoisie de ce site http://www.montrain.ca/
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/57516/montreal-une-belle-ville/ Montréal, une belle ville? Par Annabelle Blais Métro À force d’y vivre, on n’y prête plus attention. On aime son quartier, on perd patience en roulant dans les nids de poule et on se décourage devant tant de nouveaux condos. Mais dans son ensemble, Montréal est-elle une belle ville? Métro a demandé l’avis de quatre personnes qui ont l’habitude de poser leur regard sur la métropole. Frédérick Metz, professeur à l’École de design de l’UQAM Quel mot décrirait le mieux Montréal? Confusion. Ici, tout va dans toutes les directions. C’est hétéroclite. Montréal n’est pas une belle ville; d’ailleurs, mars et avril sont les deux mois où elle est le plus horrible. Un touriste ne devrait jamais venir ici durant ces mois. Les rues sont toujours grises et pleines de nids de poule. Que manque-t-il à Montréal? Il faudrait malheureusement un maire qui soit un «dictateur intelligent». Une personne qui se fiche des opinions et qui fonce. En fonçant, on fait des erreurs, mais on fait aussi de bons coups. Le maire de Québec en est l’exemple parfait. Il n’y a aucune folie à Montréal. Le Palais des Congrès était l’endroit rêvé pour ça : une construction sur une autoroute aurait pu devenir le point de mire des touristes, mais on en a fait une bâtisse rectangulaire, banale, moche, sans âme. On aurait pu mettre quelque chose de fantastique à cet endroit-là : un chou-fleur, un brocoli, une carotte, un âne. Y a-t-il un lieu qui vous rend fier d’être Montréalais? Le Vieux-Montréal est fort sympathique. Si on parle de nouveautés, je dirais que la seule belle chose qui a passé l’épreuve du temps, c’est la Place Ville-Marie. C’est le plus vieux bâtiment contemporain de Montréal, et il a inscrit la ville dans la modernité. Et un endroit qui vous fait honte? Le 1000 de la Gauchetière. C’est une catastrophe, quel*que chose de rare! Ça a l’air d’un pénis posé avec ses deux boules… C’est épouvantable. Carole Spandau, peintre qui se spécialise dans les scènes urbaines montréalaises Est-ce que Montréal est un beau sujet à peindre? Absolument. J’ai commencé en peignant des portraits. Puis, j’ai eu envie de représenter le «visage» de Montréal. Montréal est une belle ville. Oubliez les nids de poule. Ceux qui y vivent ne réalisent pas toujours la chance qu’ils ont. Si les gens levaient un peu les yeux et regardaient les immeubles… Qu’est-ce qui vous fascine à Montréal? Les dépanneurs! C’est typiquement montréalais. J’aime peindre l’avenue du Parc, avec le Rialto. L’architecture y est incroyable. Le Plateau est mon terrain de jeu. Je vous mets au défi de nommer une autre ville où l’on retrouve des escaliers extérieurs sur trois étages. Il n’y en a nulle part ailleurs. Nos quartiers, comme Saint-Henri, ont conservé leur caractère respectif. On a trop tendance à tenir ça pour acquis. La joie de vivre est importante à Montréal. Mes scènes d’hiver sont très colorées, et je mets de la chaleur dans les couleurs. J’adore aussi le Vieux-Montréal en été. Y a-t-il un lieu que vous ne voudriez pas peindre? En tant qu’artiste, j’essaie toujours de rendre le lieu plus beau. Je remarque les détails. Je pourrais passer sans prêter attention à un bâtiment, mais, si je le regarde de plus près, je lui trouverai toujours quelque chose de beau, d’intrigant. Mais je ne peindrais jamais un centre commercial. Les condos ne sont pas faciles à peindre non plus. C’est un plus gros défi. Ce sont de grands carrés. Je rajoute toujours un peu de présence humaine, des fleurs, un chien, des bicyclettes. Le site de l’artiste Gilles Saucier, architecte Est-ce que Montréal est une belle ville? Je pense qu’elle a le potentiel d’en être une. Comme sa nature est variée et cosmopolite, elle a la capacité de se transformer sur le plan architectural. Mais il faut poser les bons gestes et saisir les occasions. En outre, on devrait revoir les critères d’attribution des projets. La règle du plus bas soumissionnaire exclut souvent les meilleurs créateurs. Ça n’encourage pas la qualité, mais l’efficacité. Du côté des bâtiments privés, la multitude de condos qu’on construit, d’une «texture» assez pauvre, m’effraie. Une ville, ce n’est pas un ou deux projets, mais un ensemble, qui crée une sorte de texture. Et cette «texture» contem-poraine doit être nourrie par des idées nouvelles. Y a-t-il un lieu à Montréal qui vous fait honte? Ce n’est pas tant un lieu que la façon dont on bâtit les condos avec de la brique brune. Ce sont juste des cubes avec des fenêtres. Pourtant, l’habitation représente le cœur même de la texture montréalaise. Elle doit être soignée. Y a-t-il un lieu qui vous rend fier d’être Montréalais? La cohabitation entre le contemporain et l’historique, aux abords du Vieux-Montréal. Cette dualité est fascinante. La mise en valeur de cette cohabitation est ce qui pourrait le mieux caractériser Montréal. Le respect de l’ancien, mais dans une forme contemporaine. Que manque-t-il à Montréal? Il ne faut pas prévoir des espaces publics uniquement pour accueillir les festivals, mais aussi pour qu’ils servent aux citoyens. Ces espaces ne doivent pas être réservés aux gens qu’on invite, qui sont de passage : ils doivent aussi être utiles aux gens qui habitent Montréal et qui «font» la ville. Jacob Tierney, cinéaste Est-ce que Montréal est belle? Oui et non. Il y a des problèmes ici, mais Mont-réal reste une belle ville. On a plein d’immeubles vraiment dégueulasses, on a des trucs comme l’autoroute Décarie et la Métropolitaine. Le centre-ville, avec le boulevard René-Lévesque, est assez décourageant… Dans vos films, Montréal est très présent. Est-ce un personnage important? Ça dépend du film. Dans mes deux derniers longs métrages, je vou*lais que le public sache que l’action se passait à Montréal. Ça tient parfois à de petits détails. Je tenais à tourner au «chair square», au coin de Saint-André et Roy. Pour moi, c’est un petit clin d’œil à la ville. Montréal peut être le héros ou le vilain de mon film. Cette ville est très polyvalente, elle peut représenter n’importe quoi! C’est vraiment bien pour quelqu’un qui raconte des histoires visuelles. Un lieu qui vous fait honte à Montréal? Je ne filmerai jamais le Stade olympique, que j’haïs. Il y a d’autres lieux moches, mais le Stade est tellement grand… On ne peut pas l’éviter. De plus, il y a trop de condos ici. Y a-t-il un lieu qui vous rend fier d’être Montréalais? Je me promène au moins trois fois par semaine dans le parc Lafontaine. C’est un endroit où on peut se perdre. On a beaucoup de parcs comme ça à Montréal. J’aime aussi beaucoup l’oratoire Saint-Joseph. C’est tellement cool et tellement bizarre! Il n’y a pas beaucoup de villes en Amérique du Nord qui ont ce genre de bâtiment. Par Annabelle Blais Métro
  6. http://www.journaldemontreal.com/2012/04/07/900-pour-quelques-notes 900$ pour quelques notes Deux musiciens devront payer 434 $ chacun pour avoir joué de leurs instruments dans la rue Mélanie Colleu Publié le: samedi 07 avril 2012, 18H57 | Mise à jour: dimanche 08 avril 2012, 24H27 --- Vous en pensez quoi? Que peut-on faire pour stopper la ville dans ses croisades contre le bruit? On ne parle pas ici d'un coin résidentiel mais d'une intersection hautement achalandée par des gens qui sortent dans les bars, salles de spectacles, cinémas... Pour ma part je considère cela honteux.
  7. Développement d’un projet immobilier d’envergure sur l’Île Charron (2008) Investissement Luc Poirier développe actuellement un projet immobilier de grande envergure (environ 1 milliard de dollars), qui sera situé sur l’Île Charron à Longueuil. Ce projet immobilier sur les rives du St-Laurent comprendra plusieurs tours de condominiums, de nombreuses maisons, un complexe de condo-hôtel, un spa, un parc national, un golf et une marina. 1 image Pas mauvais! Vous pouvez checker son site ici http://www.investissementlucpoirier.com/projets.html
  8. Il y a deux phases à ce projet. Deux immeubles similaires. Le rez-de-chaussé est assez haut ce qui me semble inhabituel mais intéressant. Il y a un rendu pour chaque immeuble sur le site mais encore une fois je n'arrive pas à les copiers. Je laisse le site du promoteur car il y a d'autres projets mais la plupart ont été posté ici meme. http://www.chapam.ca/projets.html Phase 1: Phase 2:
  9. Il me semblait avoir aperçu ce projet ici sur le site mais après avoir cherché et rien trouvé je le met donc sur le site. Il se trouve dans le quartier Bois-Franc, dans l'arrondissement St-Laurent. Il a 4 étages, il se veut prestigieux et sa livraison est du pour le printemps 2011 donc surement en construction. Ah, important: Il est 100% vendu ! http://groupemaltais.com/main.cfm?p=11&l=fr&Segment=VE&BlocID=130
  10. Voici un article qui relate la vente prochaine de la maison Louis-Hippolyte La Fontaine à des intérets chinois. Je trouve que c'est une bonne nouvelle et j'espère qu'ils feront bon usage de cette maison historique. Par contre, ce que je trouve intéressant dans l'article c'est que les acheteurs sont plus intéressé par la hauteur permise dans le secteur que la maison elle-meme. Donc j'assume ici qu'ils ont acheté le terrain et qu'ils sont intéressé par la construction éventuelle d'un immeuble de 35 étages. http://www.journalmetro.com/linfo/article/927632--la-maison-sir-louis-hippolyte-la-fontaine-sur-le-point-d-etre-vendue selon Dinu Bumbaru :
  11. I've really grown to appreciate this forum for giving me nice detaisl about all the projects going on in Montreal. Many people post pictures of the construction sites, plans and projects which is wonderful so I thought it would be an idea to create a Flickr group called Montreal Construction / Construction de Montréal to gather all these images and present them in one central location. So please feel free to join and add in yours if you wish. Thanks! J'aime ce forum pour nous donner de bons détails sur tous les projets en cours à Montréal. Ici, les gens souvent poster des photos de chantiers de construction, des plans et des projets qui est merveilleux. Je pensais que ce serait une idée de créer un groupe Flickr appelés Montreal Construction / Construction de Montréal à se rassembler toutes ces images et de les présenter dans un endroit central. Alors s'il vous plaît n'hésitez pas à rejoindre et ajouter dans la vôtre si vous le souhaitez. Merci!
  12. Malek

    La Havane

    Mes photos de la Havane de 2006. Le reste ici (total 192 pics):
  13. Complexe pour retraités à Ville Mont-Royal. Sera situé ici : http://maps.google.ca/maps?f=q&source=s_q&hl=en&geocode=&q=&sll=45.514895,-73.64596&sspn=0.004428,0.011362&ie=UTF8&ll=45.514527,-73.646244&spn=0,359.994319&t=h&z=18&layer=c&cbll=45.514351,-73.646246&panoid=ukoX038sxdhDVfJTsPS5UQ&cbp=12,324.71,,0,3.56 La construction est bien entamée, photos ici : http://www.legraham.ca/
  14. VISION SEULEMENT INTELLECTUAL PROPERTY OF LUIS DUARTE VISION - 2011 The Diamond Tower | La Tour Diamant Étages: 50 Hauteur: 235m Antenne: 290m Type: Structure de béton/acier Usage: Mixte (bureau principalement, retail au niveau du sol, accès métro et restaurants) Bonjour, voici une nouvelle tour pour vous! J'ai voulu essayer quelque chose de "radical" avec ce design -- inclure de la couleur. Au fait, depuis quelques années ce n'est plus aussi "radical" qu'avant, mais reste que la couleur dans un gratte-ciel c'est rare. Celui-ci a des fenêtres teintés de différentes couleurs, parfois subtile parfois.. moins subtile! Je sais tout de suite que beaucoup de gens ne vont pas aimer ce design... mon but ici c'était d'expérimenter avec des formes et des couleurs. Mais si quelqu'un aime, tant mieux! Feedback is welcome! Ah oui... je voulais implanter ce gratte-ciel dans un rendu 3D de Montreal. Ou pourrais-je le mettre? Des idées?
  15. On parle ici d'une maison à Westmount, qui est qualifiée de "Number one home in Canada" dans un article du Architectural Digest. Je vous en recommande fortement la lecture. L'article dans Architectural Digest. La firme d'architectes: http://www.ericjsmitharchitect.com Designer d'intérieurs: http://www.davideastoninc.com/
  16. a la vieille des jeux de vancouver, j'ai pense vous faire part d'une idee qui me trotte dans la tete depuis quelques temps et qui a un lien avec notre propre heritage olympique. en fait, ce n'est pas vraiment la vision d'un element concret que je voudrais proposer ici, mais bien simplement un concept, un 'branding' si vous voulez, que la ville pourrait utiliser pour designer le quadrilatere abritant toutes les installations a caractere sportif & scientifique sur notre site olympique. du jardin botanique au centre de medecine sportive, en passant par le biodome , la piscine olympique, le stade saputo et l'eventuel planetarium, ce branding servirait a la fois de trait d'union entre ces differents lieux, tout en aidant a augmenter la visibilite certaine d'entre elles qui en aurait peut-etre besoin (comme euh euh un stade fucking olympique de 70 000 places?). elle officialiserait aussi l'endroit comme etant designe a ces spheres d'activites, encourageant donc d'y concentrer de futures installations connexes comme un musee d'histoire sportive, d'histoire naturelle, ou de nouveaux centres d'entrainements pour notre equipe de la NBA, mettons .. quand on regarde de terrible etat de certains racoins du site, on a pas vraiment l'impression qu'on se souvient qu'on y a tenu des jeux olympique - la seule indication restante etant quelques drapeaux ici et la et une enorme tour en beton un peu penchee. fournir aux lieux une vocation propre aiderais peut-etre a renverser cette tendance..
  17. Ok, est-ce que tout le monde est prêt a rêver grand? On y va pour une autre vision folle de Cataclaw! Voici ma vision pour un nouveau quartier à Brossard. Marketing : "Forget Dix30, come shop at Quartier Central!" "Forget your condo in the middle of nowhere. Come live near a major transit hub!" "Forget your spread-out local services. Come to Quartier Central where services are consolidated for your convenience!" "A 2 minutes du Pont Champlain et le centre-ville!" Le pourquoi: La zone autour du Terminus Panama a un grand potentiel qui est sous-exploité. En se basant sur les principes de Transit Oriented Development je propose une densification autour du terminus. Structure: -Pas une seule (nouvelle) place de stationnement de surface. -Plusieurs espaces de stationnements sur la rue, par contre. -Ou stationner? Un méga stationnement étagé directement au sud du Terminus -ou- un des autres nombreux stationnements étagés et/ou sous-terrains. -Plusieurs rues pour piétons (avec des terrasses!) -Un gros parc avec un petit lac artificiel /ou/ une fontaine. -Plus haute tour : 18 étages. C'est principalement du 5 à 8 étages avec quelques édifices de 10-16 étages -Les ilots centraux c'est principalement de l'usage mixte. Tout autour c'est principalement des apartements/condos. Le plan: AVANT APRES SIDE BY SIDE Volumes: ----------- Commentaires? N.B. SI VOUS ETES ICI POUR BLASTER MON PROJET, PERDEZ PAS MON TEMPS S.V.P. SI VOUS ETES ICI POUR DONNER DES REMARQUES CONSTRUCTIVES, QU'ELLES SOIENT BONNES OU MAUVAISE, ALORS OUI, POSTEZ S.V.P.! Pas de discussion banlieu vs. ville ici svp, ce n'est pas la place! Merci gang! :) What do yall think?
  18. en cherchant des photos du cv, j'suis tombe la dessus: Montreal vs Houston - Skyline Battle (construction, buildings, highrise)... j'ai pas trouve rien sur ces forums qui en fesait etat, alors je me demande si qqun ici l'avais deja vu ? ya plus de 20 pages dans cette thread, des gens qui defendent montreal, d'autre houston ... c'est drole de voir ce que les gens en pensent, de l'exterieur.
  19. Finance: Montréal a le vent dans les voiles malgré la crise 9 octobre 2009 | 15h21 Michel Munger Argent Montréal a le vent dans les voiles alors que son secteur financier a crû avec l'arrivée de 18 centres financiers malgré la crise de 2008. Pourtant, la crise a fait réduire la taille du secteur chez les géants new-yorkais et londoniens. Jacques Girard Jacques Girard, PDG par intérim de l'organisme Centre Financier International (CFI) de Montréal, vient expliquer comment un programme gouvernemental qui existe depuis 1986 aide la ville à attirer des sociétés. Parmi les avantages offerts pour les attirer, l'on compte une exemption d'impôt sur le capital de 75% pour le capital versé provenant des activités d'un centre financier. Argent: Au quotidien, comment travaillez-vous pour attirer des entreprises ici ? Jacques Girard: «Nous avons des démarcheurs qui ont chacun un territoire et nous nous concentrons sur les endroits les plus prometteurs. John Rooke travaille à Toronto, aux États-Unis, à Boston et New York. Steve Gauthier travaille en Europe, plus précisément pour Paris et Londres. Nous élargirons peut-être le territoire dans les prochains mois.» «Nous sollicitons les sociétés financières pour les inciter à s'établir à Montréal et à bénéficier des avantages fiscaux qui découlent de la loi sur les centres financiers internationaux.» Argent: Pouvez-vous nous donner un exemple de société que vous avez attiré ici ? Jacques Girard: «Nous avons 118 centres financiers. Nous avons eu une réunion du conseil d'administration la semaine dernière, où nous avons recommandé l'accréditation de huit nouveaux centres et ça va continuer au cours de l'année. C'est une grande variété de sociétés. Plutôt que de vous donner un nom, ce qui nous rend particulièrement fier est quand la société s'installe ici et que son nombre d'emplois grossit rapidement.» Argent: Outre des mesures fiscales, quels sont les avantages de la métropole québécoise ? Jacques Girard: «Un des attraits principaux de Montréal est la qualité remarquable la main d'oeuvre, la présence de quatre universités qui ont chacune des écoles de gestion, dont plusieurs avec une réputation internationale. HEC Montréal est considérée comme l'une des 10 meilleures du monde.» «Il y a aussi une tradition mathématique excellente. Nous avons à la fois des entreprises canadiennes, québécoises, européennes et américaines établies ici. Au cours de la dernière année et demi, nous avons attiré 18 nouveaux centres, 65% provenant des États-Unis, le reste provenant de la Grande-Bretagne et de la France.» Argent: Comment ces centres contribuent-ils au développement de de la ville, qui n'est plus la première place financière au Canada ? Jacques Girard: «La niche internationale a toujours été intéressante pour Montréal. Toronto a pris une place importante au cours des 30 ou 40 dernières années mais à Montréal, environ 100 000 personnes travaillent dans le secteur. C'est autant ou plus que dans la majorité des autres grappes majeures. Il y a environ 40 000 personnes en aéronautique. Il y en a presque 100 000 dans les technologies de l'information. Pour les sciences de la vie, ça se situe autour de 30 000.» «Au cours des dernières années, le taux de croissance du secteur financier a été autour de 3,6% alors que pour l'ensemble des autres entreprises, il était autour de 2%. Deux fois par année, la City de Londres publie un palmarès des centres financiers les plus importants et Montréal se situe habituellement du 25e ou 30e rang alors que Toronto est au 12e ou 13e. Nous voulons consolider Montréal et la développer.» Argent: Que dites-vous à ceux qui croient que nous sommes très ou trop généreux avec les avantages fiscaux consentis aux centres financiers qui s'établissent ici ? Jacques Girard: «Il y a un autre programme de centres financiers à Vancouver, avec des exemptions aussi généreuses qu'à Montréal. Nous nous tentons de nous adapter à la situation et de revoir la loi. Vous savez, c'est un jeu mondial. Si nous n'avons pas de programmes pour attirer les gens et l'investissement étranger, nous ne les attirons pas. La concurrence, déjà vive, devient encore plus vive avec les marchés émergents. Nous n'avons d'autre choix que d'offrir des exemptions fiscales.» «Nous avons fait faire une étude afin de savoir combien ça coûtait au gouvernement du Québec. En utilisant des paramètres très conservateurs, les exemptions fiscales sont largement compensées par les investissements, les impôts payés par les sociétés, les maisons achetées et les dépenses faites dans les restaurants et hôtels.» Comment avez-vous vécu la crise financière, qui a fait réduire la taille du secteur à beaucoup d'endroits ? Jacques Girard: «La crise touche moins le Canada et le Québec que d'autres parties du monde. Ce qui attire les CFI est la stabilité de nos banques et la qualité de la main d'oeuvre. Le Québec et Montréal sont aussi vus comme des endroits plus sûrs qu'ailleurs.» «Il y a des niches spécifiques avec les fonds de retraite, avec la Caisse de dépôt et placement, avec l'agence fédérale qui est à Montréal, avec d'autres gros fonds comme celui du Canadien National. C'est une expertise qui attire des entreprises intéressées à faire affaire avec ces institutions.» Quelle est la taille du secteur à Montréal ? Il s'agit de 100 000 emplois avec 3000 entreprises. Quels sont les avantages offerts ? - Une exemption d'impôt du Québec de 75% sur le revenu provenant des transactions admissibles; - Une exemption d'impôt sur le capital de 75% pour le capital versé provenant des activités du CFI; - Une exemption de 75% sur les cotisations au Fonds des services de santé du Québec sur la masse salariale liée à l'exploitation du CFI. Quelles transactions sont admissibles ? Celles qui sont transfrontalières, même pour des dépôts d'argent. Quelles entreprises se qualifient au programme ? Par exemple, la banque française Société Générale en fait partie.
  20. Bonjour à tous, voilà un moment maintenant que je surveille ce forum du coin de l'oeil, que je regarde régulièrement... disons que je suis suffisamment passionné d'urbanisme pour bien aimer ce que l'on trouve ici. Je me suis fait très discret jusqu'à présent et -faute de temps- je continuerais très probablement à rester très discret. J'avais quand même envie de vous présenter un petit projet personnel. Il ne s'agit pas de hauts buildings ou de plans de métro complètement fou. Simplement un projet à une échelle plutôt raisonnable : une piste cyclable reliant le boulevard de Maisonneuve au canal Lachine et aux berges du Saint Laurent. J'ai pris mon temps pour bien y réfléchir, et monter un dossier. J'avoue que j'apprécierais énormément des feedbacks et des commentaires ! C'est en pdf, téléchargeable par ici (1.3 Mo) : http://c-pp.biz/pistes_cyclables/plan_cyclable.pdf
  21. How Pepsi won the Quebec Cola Wars By René Bruemmer, The GazetteJuly 11, 2009 MONTREAL - Pepsi had a major problem. More specifically, Pepsi had a major Quebec problem. After decades of protracted Cola Wars, the perennial challenger was finally making some headway on Coke in 1984, which outsold Pepsi four-to-one in Canada in the early ’70s. Waves of successful marketing campaigns, including the long-running “Take the Pepsi Challenge” taste test, helped bring Pepsi up to parity with Coke in English food stores in Canada by 1980. Except in Quebec, which was jarring because the province had long been associated with a fondness for Pepsi – so much so the corporation’s first bottling plant outside of the U.S. opened in Montreal in 1934. Yet the corporation’s latest rebranding campaign, “The Choice of a New Generation,” backed by global superstars Michael Jackson, David Bowie and Madonna, was falling flat in Quebec. In 1984, according to a report compiled by the Canadian Congress of Advertising, Pepsi had stalled at 87 per cent of Coca-Cola’s share in a province that imbibed 25 to 30 per cent of all the soft drinks in Canada. Marketers decided to embark on a risky, expensive and unorthodox scheme: abandon Michael Jackson and develop an advertising strategy that would reflect the distinct society’s cultural differences, sensibilities and sense of humour. Riskier still because while Pepsi had been adopted as a self-effacing term by some Quebecers, it was also a derogatory slur used by non-francophones to describe them. If the marketing plan was seen as offensive, Pepsi could become a pariah. Being No. 2 had its advantages, however, noted University of Ottawa marketing professor Luc Dupont. “As the constant David, Pepsi was condemned to take risks, which made it more inventive, forced it to rely more on its intelligence,” he said. Pepsi would stake its multimillion-dollar offensive on a local comedian and his coterie of bizarre characters. In exchange, Quebec would become, and remain, one of the few places in the world where Pepsi has conquered the king of pop. *** Pepsi is celebrating its 75th anniversary in Quebec this year, in conjunction with the opening of the Montreal plant in 1934. It’s rolling out a new logo and ad campaign, one of more than a dozen branding changes over a history that dates back to 1898. It’s also putting $40 million into its Montreal bottling facilities, one of several plants in the province employing a total of 1,200 people. That investment, along with large amounts of money spent sponsoring sports and culture (among them the Colisée Pepsi arena in Quebec City, and the Pepsi Forum in Montreal) is another key to its success, says Éric Blais of Toronto-based Headspace Marketing, which advises companies on how to reach the Quebec market. “They have become part of the cultural landscape, both through marketing and direct involvement in the province,” Blais said. Despite the fact it was created only 12 years after Coke, Pepsi remained a constant second, staking its market share largely on the fact it was distributed in larger, reused beer bottles and offered more fizz for the buck (actually a nickel for a 12-ounce bottle in the Depression era). But being the underdog allowed it to take chances. In the 1940s it became one of the first corporations to use a realistic black family in its ads (as opposed to Aunt Jemima), and hired a black manager for all-black sales teams that would target the huge niche market of African Americans, despite virulent opposition from within and outside of the company, including the Ku Klux Klan. But in the 1980s the New Generation offensive – meant to lure young drinkers who would make Pepsi their habit – was tanking here. Standard marketing practice would have been to tweak the campaign by translating it into French and using some of Quebec’s many popular rock stars. Instead, the J. Walter Thompson company relied on qualitative research and decided go with a different selling point – comedy. “Young Quebecers in the 1980s ... were crowning their own celebrities and creating their own made-in-Quebec lifestyle,” wrote the J. Walter Thompson company in a submission to the Cassies, the Canadian Advertising Awards. “Research revealed an inner confidence among Quebec target groups. ... “Since Quebec was culturally unique, it had developed its own entertainment system complete with its own stars,” especially in the comedy milieu. “It was a style of comedy that used typical Quebecois stereotypes to redefine the emerging new ‘street-smart’ culture of young, urban Quebecers.” Claude Meunier, famous for his absurdist humour on Ding et Dong television skits, was chosen. The theme of Meunier’s ads remained an intractable joie de vivre and an undying love of Pepsi. His brief, 30-second spots debuting in 1985 and featuring a variety of characters and a humour only Quebecers could appreciate became an instant hit. Pepsi came almost neck and neck with Coke the same year. By 1986, David had surpassed Goliath and continued to thrive, despite the fact Coke fought back, outspending Pepsi two-to-one on six media campaigns between 1985 and 1993. “Quebecers had the sentiment that a multinational corporation finally took the trouble to try and understand them, using the same language, with the same accents,” Dupont said. A nation moored in a sea of English could empathize with company fighting for purchase in an ocean of Coke. “Subconsciously, Quebecers identify with products that are No. 2,” Dupont said. “In addition to the absurd humour and joy of life, they like to say, ‘We’re different here. We changed things.’ ” The Meunier campaign would last 18 years, aided by the fact Meunier became the star of La Petite Vie, an early ’90s Quebec sitcom watched by 4 million out of a possible 6 million viewers every Monday night. The Meunier Pepsi campaign won the 1993 CASSIE Best of Show advertising award. *** Today, Coke dominates the global market with 51 per cent of the total sales compared with Pepsi’s 22 per cent, according to John Sicher, editor of Beverage Digest. But in Quebec, the Pepsi stable of soft drinks owns 61 per cent of the market to Coke’s 20, said Manon Lavallée, market development manager for PepsiCo Canada. It’s a dominance unseen anywhere else in North America, although Pepsi does nudge out Coke by a slight margin in the Atlantic provinces and a few states. (Coke officials told The Globe and Mail recently the gap is not that large in Quebec when restaurant, hotel and sporting events sales are factored in, but did not give specific numbers.) Twenty-five years after Meunier started with Pepsi, he’s still there, although in a lesser role, shifting to Diet Pepsi. Pepsi opted for a new campaign to speak to a new, multicultural generation of Quebecers in 2003, featuring five young men extolling the unique elements of Quebec (poutine, potholes, moving day and here we say “icitte," not “ici”) under the banner “Ici, c’est Pepsi.” In the rest of the world, it’s Coke. Which is remarkably similar to Molson Canadian’s I Am Canadian ad campaign that focused on Canada’s uniqueness vis-a-vis the U.S. “Pepsi’s ad campaign allowed us to feed that image of ourselves as different," Dupont said. “Even though in fact, we are not so different.” The Pepsi Meunier campaign is taught in textbooks now, Dupont said, a lesson in how to adapt to your market, and change with the time. In its submission for a Cassie award, members of the BBDO Canada marketing firm responsible for the Ici campaign wrote: “The driving force behind Pepsi’s Quebec success was Claude (Meunier’s) unique ability to show that Pepsi is a natural companion to Quebecers.” For the Ici c’est Pepsi campaign, consumers in test market groups “told us Pepsi is part of the fabric of Quebec life and they should be damn proud of it.” The Ici spots, said Chris Hamilton of Pepsi in Strategy Magazine, tested in the top two per cent of all ads ever tested in Quebec. The campaign won a 2005 Cassie. “The ads gave a sense of belonging, the pride in being distinctive,” Blais said. “They tapped into that sentiment of being proud of being the only place in the world where Pepsi is No. 1. “It said ‘We stand on our own, we are distinct.’ ” rbruemmer@thegazette.canwest.com © Copyright © The Montreal Gazette
  22. J'avais envi de vous donner une vision du Portugal, principalement de Lisbonne car je trouve qu'on entant rarement parlé du Portugal à par le vin et le soccer et nos bon restaurant ici a Montreal.
  23. Bon, je vais m'amuser un peu ici et y placer des vidéos d'archive sur Montréal. Merci surtout à l'ONF et youtube Victoria Bridge, 8th wonder of the world. http://www.nfb.ca/film/victoria_bridge_the_8th_wonder
  24. Médias - L'hebdo Ici ferme ses portes Le Devoir Paul Cauchon Édition du jeudi 30 avril 2009 Mots clés : Quebecor, Ici, Culture, Média, Québec (province), Montréal Un autre média meurt au combat: l'hebdomadaire montréalais Ici ferme ses portes, Quebecor avouant que sa rentabilité n'était pas au rendez-vous. Le magazine hebdomadaire gratuit Ici publie son dernier numéro aujourd'hui: Quebecor a en effet décidé de mettre fin à l'aventure. «Il y avait longtemps que le journal n'était pas rentable, et nous avons sans cesse injecté de l'argent pour le maintenir à flot, déclarait hier au Devoir Isabelle Dessureault, vice-présidente chez Quebecor. Nous avons révisé notre plan d'affaires, et il aurait fallu encore investir trop d'argent.» Après avoir investi plus de 10 millions de dollars au fil des ans, Quebecor a donc conclu que la rentabilité d'Ici était «inexistante», particulièrement à la lumière de l'actuelle chute des revenus publicitaires dans les journaux. La fermeture d'Ici entraîne la mise à pied de neuf employés permanents. Le journal avait également recours aux services de 15 à 20 pigistes. Mais Quebecor ne veut pas abandonner la marque Ici. «Il y a une volonté de continuer à faire vivre le branding», soutient Isabelle Dessureault. Quebecor a en effet l'intention de publier une section culturelle Ici chaque jeudi dans son quotidien gratuit 24h, sans qu'on sache pour le moment combien de pages la section comportera. De plus, certains chroniqueurs d'Ici se feront proposer de continuer à publier leurs textes sur le site Internet du 24 h et sur le site Canoë de Quebecor. La liste de ces collaborateurs n'était pas encore établie hier après-midi, mais il semble que Pierre Falardeau s'est fait offrir de continuer sur Internet. Ici a également une version télévisuelle puisque le canal Vox, diffusé par Vidéotron, présente un magazine culturel, Ici et là, animé par le rédacteur en chef d'Ici, Pierre Thibeault, et où l'on retrouve certains chroniqueurs de l'hebdo, dont Nelly Arcan. «Nous souhaitons que cette émission demeure sur Vox, explique Isabelle Dessureault, mais nous devons faire une réflexion sur les collaborateurs qui s'y retrouveront.» Ici a été fondé en 1997, en concurrence directe avec l'hebdo gratuit Voir. Par ailleurs, Quebecor publie également en anglais l'hebdo gratuit Mirror. Selon Mme Dessureault «le marché anglophone est différent» et la publication du Mirror n'est pas remise en question. http://www.ledevoir.com/2009/04/30/248119.html (30/4/2009 8H12)
  25. Voici les photos :-) http://www.mtlurb.com/pictures/main.php?g2_itemId=1416 Mettez les votres ici!!
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