Aller au contenu
publicité

helios_the_powerful

Membre
  • Compteur de contenus

    713
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    2

Tout ce qui a été posté par helios_the_powerful

  1. Le festival de Jazz n'est pas une business qui est au final déficitaire. Si on met l'argent que Spectra fait dans le décompte, c'est une des business des plus lucratives de la ville! Le déficit est juste un prétexte pour s'obtenir plus de subventions inutiles.
  2. De toute façon, pas de besoin d'avoir peur. Le village c'est dépassé, c'est Hochelaga près de la place Valois la nouvelle Mecque gaie!
  3. En même temps... Cavendish a trois voies de large dans ce coin là parfois avec des intersections de style autoroutier! Ça peut clairement accueillir beaucoup d'autos sans que ça déborde sur les rues avoisinantes (sauf peut-être Fleet qui deviendrait un vrai prolongement de Van Horne/Rosemont...)
  4. L'aveuglement volontaire, c'est de croire que le projet à l'état où il en est présentement est un bon projet pour Montréal. Il n'est pas mauvais certes, mais il n'obtient que la note de passage. Le MTQ n'a pas de plan moderne intégré de la gestion des déplacements et ne se sert pas des fragments élaborés par les municipalités non plus (qui ne sont pas plus avancés d'ailleurs). Il ne détient que des statistiques sur le nombre de passage et sur l'utilisation de ses routes; statistiques qui lui permettent de prévoir l'achalandage futur et les impacts d'une construction sur le réseau. Le plan directeur du ministère des transports qui est utilisé aujourd'hui n'est qu'une version actualisée du plan qui a été conçu au début de l'ère des autoroutes. Le MTQ ne fait que constater les faits et agir en conséquences. Il n'a pas de vision globale. Or, les actions du MTQ influencent le développement des villes, de la province et, à plus faible mesure, des territoires autour de la province. Avec son attitude en ce moment, le MTQ influence le développement de la région de Montréal, pouvoir économique du Québec, à l'encontre des volontés de cette dernière qui est, avouons-le, mieux placé que Québec pour constater ce qui est nécessaire ou non à son développement. Montréal a un plan: densification des surfaces habitées, sécurisation des rues pour les piétons et vélos, augmenter la part modale du transport en commun. Ce projet ne suit pas ce plan. En quoi le plan du MTQ aide à la densification de la ville? En rien. En quoi favorise-t-il le transport en commun? En reconnaissant l'existence de la future navette ferroviaire et incorporant après de longues tergiversations avec la ville une voie réservée sur un segment de la 20. Pas fort. J'ai de la difficulté à comprendre en quoi l'audace d'un tel plan n'aurait pas sa place dans la société... Des solutions radicales, il y en a eu dans le passé. Raser la rue adjacente à la rue Dorchester pour faire un boulevard, n'est-ce pas radical? Détruire le boulevard Décarie pour en faire une autoroute, n'est-ce pas radical? Créer une île de toute pièce pour accueillir Terre des Hommes, n'est pas radical? Ce sont les décisions radicales qui orientent nos actions et nous motivent à agir. Ce que tu veux dire je crois, c'est que cette solution proposée est trop en défaveur de l'utilisation de l'auto et que tu n'es pas d'accord avec cette vision du développement qui prône la densité et l'utilisation du transport collectif. Si c'est le cas, je ne serais absolument pas d'accord, mais je serais satisfait de savoir ta position et te respecterait tant que tu restes conséquent. Si ce n'est pas le cas, alors je ne comprends pas en quoi un échangeur du genre peut être acceptable et j'aimerais bien comprendre. Parce qu'en ce moment, je trouve que ça ressemble à un plan dépassé qu'on est en train de modifier de façon électoraliste pour tenter de plaire à tout le monde. Ah, par ailleurs, je favoriserais un boulevard à une autoroute parce qu'on peut construire des commerces sur un boulevard qui servent aux quartiers autours, densément peuplés bien sûr, ce que l'autoroute ne peut pas faire, et ce même si les auto y circulent de façon plus fluide la nuit. L'autoroute n'est pas faite pour traverser un quartier, elle est faite pour les relier!
  5. En augmentant la capacité ou même en la conservant, il sera toujours saturé à terme. Ce n'est donc pas un facteur très important! L'important, c'est seulement de pouvoir transporter tout le monde à bon port. En ce sens, que ça se fasse par un autoroute, un boulevard urbain, un train ou un bateau ça importe peu. On choisira le plus rapide. Il suffit de faire en sorte que le plus respectueux de l'environnement et de la vie des gens soit le plus rapide. Et ça n'est pas en laissant plus de place à l'auto que ça arrivera, j'en ai bien peur.
  6. Et pourtant, beaucoup s'entendent pour dire, et depuis longtemps, qu'on a pas besoin d'autoroute en plein centre, parce qu'elles ne font que favoriser le transport des travailleurs par leur auto, ce qui entraîne les désavantages qu'on connaît (mais que certains s'acharnent à ne pas reconnaître). Je sais que le débat pro/contre l'auto en ville est pas destiné à ce fil. Mais nier que la réfection de Turcôt puisse être faite en tenant compte de cette variable est totalement stupide. Le ministère qui est en charge de ce projet est le ministère des TRANSPORTS et non le ministère des routes. Il se doit donc d'avoir une vision du transport comme étant multimodal et intégré. Le projet proposé par le MTQ ne tient compte que de l'automobile. L'organisme a même avoué n'avoir pris en compte que ce moyen de transport dans ses calculs et rejeté toute solution autre que l'auto pour se rendre en ville. La croissance d'une ville implique plus de déplacement, certes, mais une ville dense réduit ce besoin de déplacement et, par ailleurs, d'autre moyens de transport inexploités à Montréal peuvent permettent de compléter l'offre de transport. Le projet alternatif publié dans la presse a le mérite d'être constant dans son raisonnement. Dans le but de rééquillibrer la place qu'occupe la voiture, il faut agir en ce sens. Ce projet me semble donner une solution intéressante en ce sens.
  7. Ça repose sur le transfert des passagers vers le TEC, ce qui nécessite un échangeur de moins grande capacité. Le MTQ l'a avoué, ils n'ont même pas considéré l'éventualité parce que... ça leur tentait pas. Ce groupe soumet l'hypothèse. En quoi c'est farfelu que les gens du West Island prennent le TEC?
  8. Pour ceux qui reprochent aux mouvements s'opposant de ne jamais rien proposer, voici un projet concret. Je crois qu'un peu plus de précision sur leurs chiffres seraient nécessaire, mais si le tout est vrai, ça me semble viable. Un changement important, mais viable. Publié le 16 juin 2009 à 06h42 | Mis à jour à 06h49 Échangeur Turcot: un projet de remplacement Bruno Bisson La Presse Le Conseil régional de l'environnement (CRE) de Montréal a présenté hier un premier projet «alternatif» à la reconstruction complète de l'échangeur Turcot, axé sur le développement des transports collectifs et la réduction du trafic sur les autoroutes de la métropole. Cette proposition, appuyée par une cinquantaine de groupes écologistes et communautaires, et validée par cinq universitaires de l'UQAM, de McGill et de Concordia, prévoit notamment la réalisation de cinq nouveaux projets de transport collectif, et le démantèlement d'une partie de l'autoroute 20, dans l'ouest de l'île de Montréal. Le directeur du CRE, André Porlier, estime que cette proposition est «plus cohérente avec la vision du développement de Montréal» que le projet présenté par le MTQ, qui préconise le maintien de la pleine capacité autoroutière de son échangeur actuel. «Le Plan de transport de Montréal a proposé un virage vers les transports publics, souligne M. Porlier. Il prévoit plusieurs projets de transports collectifs, et des mesures pour réduire l'utilisation de l'automobile, comme le péage routier ou la diminution du nombre de stationnements. Le ministère des Transports, lui, nous arrive avec un projet qui démontre qu'il a visiblement baissé pavillon face à l'augmentation de la circulation et de la congestion automobile. Et ça, pour les Montréalais, c'est inacceptable.» Le ministère des Transports du Québec projette de reconstruire, à un coût estimé de 1,5 milliard, les quatre échangeurs qui composent le complexe Turcot, où convergent les autoroutes A-15, A-20 et A-720, dans le sud-ouest de Montréal. Environ 290 000 véhicules traversent ce complexe autoroutier, chaque jour. Le nouvel échangeur serait construit en grande partie sur des remblais, au lieu des bretelles en béton surélevées actuelles. Les fonctions de chacune des 12 bretelles de l'échangeur actuel seraient conservées. L'échangeur, et les autoroutes qui s'y relient, conserveraient tous la même capacité routière. La construction du projet s'étendra sur sept ans, jusqu'à la fin de 2016. Le projet du CRE est complètement différent, notamment par la réduction de 25% de la circulation automobile entre l'échangeur Turcot et le centre-ville de Montréal. À l'ouest de l'échangeur, le CRE recommande, rien de moins que le démantèlement de l'autoroute 20, jusqu'à Montréal-Ouest, et son remplacement par un boulevard urbain à grande capacité. La troisième des autoroutes convergeant dans l'échangeur Turcot, l'A-15, conserverait pour sa part la même fonction, et la même capacité routière. La perte de capacité routière, dans l'axe est-ouest des autoroutes A-20 et A-720, serait compensée par le développement de plusieurs projets de transport collectif (voir encadré ci-joint). Certains de ces projets (desserte améliorée, voie réservée) pourraient être mis en oeuvre rapidement. L'augmentation de l'offre de services de trains de banlieue viendra avec la livraison de nouvelles voitures de train, prévue à partir de l'an prochain. Avec le développement déjà projeté de la navette ferroviaire entre l'aéroport de Dorval et le centre-ville, et la création d'un tramway vers Lachine, l'ensemble de ces projets pourrait permettre de convertir plus de 32 000 automobilistes à l'utilisation des transports en commun. Le projet du MTQ prévoit la création d'une voie réservée aux transports en commun, au centre de l'autoroute 20 après sa reconstruction, et il préservera un corridor ferroviaire pour le passage de la navette de Dorval, si jamais le tracé qui est choisi pour ce projet traverse l'échangeur Turcot. Selon le MTQ, pas plus de 6600 personnes pourraient abandonner leur automobile pour leurs déplacements quotidiens, cinq fois moins que dans le projet du CRE. Le BAPE a repris, hier soir, son examen public du projet de reconstruction de l'échangeur Turcot. D'ici vendredi, un total de 90 groupes, organismes publics et privés, ou simples citoyens, soumettront leurs opinions et recommandations à la commission du BAPE, qui présentera son rapport au gouvernement du Québec d'ici le 11 septembre. Turcot: projet de remplacement Projets de transports collectifs Transfert modal attendu 1 - Navette ferroviaire de l'aéroport Montréal-Trudeau 4400 personnes/jour 2 - Augmentation des services des trains de banlieue Delson-Candiac, Blainville-Saint-Jérôme, Dorion-Rigaud 6760 personnes/jour 3 - Prolongement du tramway centre-ville vers Lachine 4000 personnes/jour 4 - Voie réservée aux autobus et taxis et au covoiturage autobus: 8000 personnes/jour Taxis et covoiturage: 2000 personnes/jour 5 - Amélioration de la desserte d'autobus SMT et CIT 7700 personnes/jour Transfert modal estimé (projet alternatif) 32 860 personnes/jour Transfert modal estimé (projet du MTQ) Hypothèse optimiste 6600 personnes par jour Hypothèse conservatrice 2100 personnes par jour Projets sur routes et aménagement urbain 6 - Réduction de la capacité de l'autoroute Ville-Marie (3 voies par direction au lieu de 4) 7 - Démantèlement de l'autoroute 20 entre l'échangeur Turcot et Montréal-Ouest 8 - Création d'un réseau routier local et d'une trame urbaine mixte dans la cour Turcot 9 - Conservation d'une bande de 100 mètres au nord de la cour Turcot pour agrandir l'écoterritoire de la falaise Saint-Jacques 10 - Maintien de l'autoroute 15 dans Côte-Saint-Paul 11 - Étudier le déplacement des voies ferrées du Grand Tronc du quartier Saint-Henri vers le secteur industriel Cabot 12 - Programme d'apaisement de la circulation dans les quartiers avoisinants 13 - Aménagement d'une zone tampon au sud l-A-720, entre l'autoroute Ville-Marie et les quartiers limitrophes.
  9. Je sais pas si c'Est juste la manière que la maquette est faite, mais ça a l'air bcp mieux comme c'Est là. Bcp moins massif!
  10. Les investisseurs et compagnies sont conscients, de toute façon, qu'une indépendance n'entraînera pas le rejet des institutions et la nationalisation de tout. Ce sont les anglos du WestIsland et le 20% de gens qui ont peur du changement qui sont effrayé par la souveraineté, c'est tout.
  11. Un résumé intéressant de la situation de Montréal et des solutions qui ont de l'allure, quoique un peu vague. http://www.radio-canada.ca/emissions/telejournal_montreal/2008-2009/Entrevue.asp?idDoc=82152
  12. C'est quoi cette pensée !?! Les travailleuses du sexe ont pas le droit d'être reconnues comme des personnes parce qu'elles font du sexe pour gagner leur vie (ce qui est, jusqu'aux dernières nouvelles et sous certaines conditions, légal)!? Tout le monde le sais ça, St-Laurent/Ste-Catherine c'est le lieu pour se trouver un prostitué. C'est un lieu mythique pour le sexe. De penser à l'avenir de l'industrie du sexe (qui engrenge somme toute bcp d'argent) est une préoccupation réelle. De plus, les filles qui travaillent dans ce coin sont facilement suivable parce qu'elles se tiennet justement dans le même coin. Si elles doivent aller je ne sais où, ça cause un problème de plus et risque de miner le travail effectué depuis plusieurs années dans la prévention des abus et des ITS (ce qui concerne tout le monde, à moins que vous n'ayez jamais eu de sexe non protégé...). Personne a mentionné de ne pas construire parce qu'elles sont là. On demande juste qu'on ne range pas le problème sous le tapis!
  13. 19h30, c'est une heure raisonnable. Par ailleurs, les gens du quartiers qui n'ont pas de poux et suivent généralement les normes d'hygiène générale ont quelque chose d'important et qui a besoin d'être "adressé": des inquiétudes.
  14. Je ne comprends pas du tout moi non plus, mais les choix des habitations ne sont pas toujours des plus logiques. Sinon, Ste-Julie n'existerait pas! Sans blague, peut-être le prix intéressant et l'attrait du futur métro.
  15. Moi j'irais pour le côté laid-back/party que les gens adoptent, je crois que c'est bien caractéristique. C'est un peu un vivre et laisser-vivre qui attire tout le monde je crois. Ça a aussi rapport avec la qualité de vie je trouve. C'est pas nécessairement aussi vendeur à court terme que l'amour, mais à long terme ça marque! Par ailleurs, j'aime bien voir les réponses à cette question. Ça montre bien l'état d'esprit des gens.
  16. J'ai eu vraiment peur. J'ai cru pour un instant en voyant le titre qu'on parlait du silo no5!
  17. Faut pas non plus s'imaginer que la foule des spectacles va s'assembler en entier sur la place. Ça va quand même déborder, de beaucoup! C'est bien que la place ne soit pas trop grande non plus, parce que sinon ce ne serait qu'un endroit désert. Il faut qu'on puisse encore la traverser rapidement si on veut qu'elle soit fréquentée.
  18. Et il suffit de se promener quelques instants au centre-ville à l'heure du midi pour s'apercevoir que le nombre de personne qui parle anglais est assez surprenant, et ce même s'il n'y a pas 50% d'anglophones à Montréal! Je travailles à la Place Ville-Marie, et laissez moi vous dire que, de tous les employés de la Banque Royale que je croise et avec qui j'ai à faire affaire, peu maîtrisent une base en français, même les gens au comptoir ont de la difficulté. C'est un peu désolant. C'est bien normal que la réunion de la RBC qui regroupent les VP de tout le Canada se déroule en anglais si la majorité sont anglophones. Mais qu'un directeur à Montréal n'aie aucune notion de français alors que plusieurs de ces employés sont francophones, c'est grave!
  19. Scrapper les services de santé au complet, je doute que ce soit une bonne idée. Couper dans les services tout court ne me semble pas nécessaire. Mais il faudra accepter de hausser les tarifs (après examen de l'efficacité svp). Les gens de la génération X refuseront probablement de le faire, mais tous ceux après ne sont pas frustrés par les boomers et n'ont pas d'opposition à les aider. Je crois qu'il soit plutôt normal que l'on aie à payer pour aider nos aînés, c'est un peu la base de ce système. Je ne crois pas que ce soit une raison pour empiéter sur le futur de nos enfants (en coupant dans l'éducation) non plus. On n'est que dans un creux temporaire. Dans 15 ans, les enfants du mini baby-boom seront sur le marché du travail et les boomers commenceront à mourir. Si le système survit entre temps, il pourrait survivre. Pour ce qui est de la croissance, ce n'est que bien normal qu'elle baisse! On est moins, on produit normalement moins. Bon, il y aurait toujours l'idée de favoriser l'immigration, mais paraîtrait qu'au Québec on aime pas les étrangers...
  20. C'est un peu imposant pour l'installer partout, mais le concept de récupération du conteneur, je trouve ça vraiment intéressant! C'est exactement la taille d'une petite cantine!
  21. Je pensais moi aussi que Marianopolis était l'autre côté de la côte des neiges! Développer ce terrain de cette manière, je trouve ça très bien! Même que j'aurais fait un peu plus de maison tant qu'à moi, ça fait un peu gated community à mon goût...
  22. C'est juste une question de besoin vs. luxe. C'est pas nécessaire d'avoir une grande maison pour élever des enfants. La plupart des enfants dans le monde n'ont pas de salle de jeu dédiée et ils n'en virent pas pour autant tous de mauvais enfants. Moins d'espace, c'est aussi l'occuper différemment. On n'a qu'à penser à plusieurs de nos parents qui, s'ils ont grandi en ville, étaient probablement plus de 6 dans un 4 1/2 et n'en sont pourtant pas sortis tant traumatisés j'ose affirmer. Ils avaient moins de bébelles, faisaient leurs devoirs sur la table de la cuisine et couchaient plus d'un dans une chambre. Personnellement, pour le même prix, je choisirais un 800 pi2 en quartier central qu'un 1200 pi2 en banlieue. Mais c'est un choix et je comprendrais que quelqu'un trouve plus alléchant le plus grand appart. Mais comme qu'on dirait, c'est pas la taille qui compte mais comment tu l'utilise!
  23. Donc, ton argument c'est que comme aucune autre option rentable que son projet n'est possible, il doit procéder avec son projet et que, par ailleurs, la protestation face à un projet qui apporte de l'argent à un promoteur au détriment du patrimoine démontre la petitesse d'un peuple? Si c'est celà, je crois ne pas être le seul en désaccord. Le fait d'avoir sa ville à coeur et de vouloir la protéger est un signe d'un grand peuple, au contraire. Un peuple qui connaît les richesses qu'il possède et veut les protéger. Le fait que ses richesses soient au mains d,un privé ne fait pas en sorte qu'elles n'en restent pas moins importantes pour tout le monde. S'opposer à cela, c'est s'opposer à la notion même de patrimoine bâti. Par ailleurs, c'est certainement facile de construire sur un champs vide. En ville, construire veut souvent dire démolir auparavant. Or, quand on parle de démolition de patrimoine ou de reconstruction sur un site qu'on a désigné important pour tous, c'Est normal qu'il y aie protestation. Il faut parfois voir au delà du profit et s'intéresser à plus que son profit personnel. Au même titre qu'un scientifique qui refuserait de concocter une arme bactériologique ou qu'un avocat qui refuserait de contourner sciemment la loi. Ce n'est pas parce que c'est leur métier que c'est pour autant bien.
  24. Si elle pouvait seulement se présenter et susciter un peu de débat, un peu d'action, ce serait vraiment merveilleux. Parce que sinon, on est pris avec Tremblay qui donne des bonbons et Labonté qui a 1/16 du temps d'antenne et qui ne fait que s'opposer!
  25. Les édifices en arrières ne sont pas magnifiques, mais ils sont très neutres. Ça a comme positif qu'on regarde la place et non les immeubles.
×
×
  • Créer...