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Atze

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Tout ce qui a été posté par Atze

  1. Regardez le nom du resto: Un rêve un peu fou, mais derrière l'hôtel, on pourrait recouvrir la ruelle des fortifications comme on l'a fait de l'autre côté de la rue au centre mondial de commerce et à l'Inter-Continental, ça serait très impressionnant, surtout avec les vieux escaliers de secours. Au bout, derrière le Embassy Suites, il y a un petit espace un peu plus grand qui pourrait très facilement servir pour des réception. Tout ça relié au palais des congrès, ça donnerait de la gueule à nos infrastructure de congrès !
  2. Expedi bus est en opération dans le bâtiment de l'ilot voyageur et il y a des gens dans les bureaux au 2e étage: Garage: Hall des passagers: L'UQAM devrait essayer de mettre le stationnement en opération, je crois qu'il est pratiquement terminé, au moins, ils pourraient en tirer quelques revenus de location.
  3. Atze

    Le 822 - 8 étages (2012)

    Le site est rendu une vraie honte sur la rue Sherbrooke:
  4. Yara... un peu de compassion pour tous les magasines à potins et autres médias de détails sulfureux et croustillants... c'est un gros morceaux qu'ils perdent.... en ce temps de crise économique :-p
  5. Pitié pour le patrimoine Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du jeudi 25 juin 2009 Mots clés : Héritage Montréal, Patrimoine, Montréal, Québec (province) Héritage Montréal écrit à une cinquantaine de décideurs Héritage Montréal lance une grande offensive auprès des hauts décideurs politiques et institutionnels pour qu'ils interviennent «beaucoup plus énergiquement» en faveur de la défense du patrimoine dans la métropole. Les résolutions adoptées en assemblée générale des membres au début du mois ont été distribuées depuis auprès d'une cinquantaine de dirigeants, tout ce qui compte en fait: les premiers ministres, les ministres des Affaires culturelles du Québec et du Canada, tout comme le ministre des Finances, les leaders des oppositions officielles, le maire de Montréal et plusieurs élus municipaux, les recteurs des universités ainsi que les présidents de grandes sociétés d'État. «C'est une démarche peu courante justifiée par une situation exceptionnelle», explique Dinu Bumbaru, directeur des programmes du groupe de pression. Héritage Montréal, fondé par Phyllis Lambert il y a quatre décennies, demeure le plus important groupe de défense en matière patrimoniale de la ville et, en fait, de tout le Québec et même du Canada. «Il y a quelques années, au moment des défusions municipales, nous avons adopté une résolution pour éviter le démantèlement de l'office de consultation publique de Montréal et du Conseil du patrimoine. Cette année, les sujets se bousculent en raison des élections municipales et de la mise à jour du plan d'urbanisme.» Les six nouvelles résolutions ratissent large. La première exige de «procéder urgemment» avec la modernisation de la Loi sur le patrimoine culturel au Québec, une refonte attendue depuis deux décennies et encore promise pour la rentrée de l'automne à l'Assemblée nationale par la ministre québécoise Christine St-Pierre. La deuxième demande à Montréal de rétablir «un véritable service d'urbanisme en 2009, avec l'expertise et l'autonomie nécessaire», de «mettre en place un mécanisme public pour vérifier la recevabilité préalable de tout projet public ou privé» et de prévoir des mesures fiscales incitatives pour les sites patrimoniaux. Les troisième et quatrième demandes concernent la protection du mont Royal et la mise en valeur du patrimoine religieux et institutionnel de la ville. L'assemblée générale réclame «des limites fermes aux transformations des usages, des bâtiments ou des sites qui s'y trouvent en fonction de leur valeur patrimoniale», mais aussi que tout projet autour de la montagne démontre obligatoirement sa contribution à la protection de ce site. Pour les églises, les monastères, les écoles ou les hôpitaux, les membres veulent que le Conseil du patrimoine consulte la population pour ensuite accoucher d'une stratégie de protection et de mise en valeur de ces lieux de mémoire exposés à de fortes pressions «menant à leur vente ou à leur démolition». Les deux dernières résolutions visent la célébration souhaitée «spéciale» en 2010 du 20e anniversaire de l'Opération patrimoine architectural de Montréal (OPAM) et l'action attentiste du gouvernement fédéral. Dans ce dernier cas aussi le groupe demande à l'État d'«intervenir urgemment», cette fois pour «la sauvegarde et la mise en valeur de la maison Sir Louis-H. Lafontaine», pour la mise en valeur du silo 5 du canal de Lachine de même que pour la mise en oeuvre rapide de l'Initiative des lieux patrimoniaux. Cette mesure toujours «tablettée», élaborée avec l'accord unanime des provinces et des territoires, prévoit un répertoire national et des indicatifs fiscaux pour stimuler l'engagement du secteur privé dans la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine. «Il y a beaucoup trop de retards, partout, regrette Dinu Bumbaru. La loi du Québec sur le patrimoine est attendue depuis 1985, ça va faire bientôt 25 ans. Il y a eu des progrès, mais on ne peut plus traiter les problèmes à la pièce. Il nous faut presque une perspective d'envergure écologique, par exemple avec une fiscalité positive. À Montréal, il y a des centaines et des milliers de chantiers en attente, parfois à l'échelle des quartiers. C'est pourquoi nous interpellons tous les acteurs et tous les ordres de gouvernement, y compris le fédéral.» http://www.ledevoir.com/2009/06/25/256520.html
  6. Bien que ça attire beaucoup de touristes, je n'en pleurerai pas... ça m'a toujours désolé de voir autant de touriste aller manger là, la bouffe et le service était pathétique. Il y a tellement de meilleurs restaurant à découvrir à Montréal.
  7. Ouais.... à raison d'un km par année... 2 les années d'élection... la 85 avance un peu plus vite par contre (vers le Nouveau-Brunswick)
  8. Dominic723, sans égard au bas du fleuve (j'y suis né et j'y ai grandi), la situation à Vaudreuil est beaucoup plus problématique je crois. La situation actuelle est comme si la 20 passait sur le boulevard St-Germain à Rimouski, en pleine ville avec des feux de circulation, mais avec vraiment beaucoup plus d'achalandage (lien routier Montréal / Toronto).
  9. Atze

    Côte-St-Luc et environs

    J'aime bien ta proposition pour les viaducs, désenclaver Côte-St-Luc me semble très logique. Par contre, un quartier de HLM, surtout isolé du reste du quartier comme tu proposes me semble inacceptable, ça revient à créer un ghetto. Je préfère de loin quelques petits HLM éparpillés un peu partout. Pour ce qui est du reste, je ne connais pas assez Côte-St-Luc.
  10. Le lierre et la nacelle Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du mardi 23 juin 2009 Mots clés : Concordia, John-Molson, Oeuvres, Art, Université, Montréal, Québec (province) L'Université Concordia installe deux nouvelles oeuvres dans son École de gestion John-Molson L'œuvre de Geneviève Cadieux fait grimper un lierre en acier inoxydable au fini miroir sur la pierre noire de la façade du boulevard de Maisonneuve de l'Université Concordia. Photo: Jacques Nadeau L'Université Concordia poursuit son audacieuse intégration d'oeuvres d'art contemporain à ses nouveaux (et toujours aussi beaux) pavillons du centre-ville de Montréal. La nouvelle École de gestion John-Molson, qui sera inaugurée à la rentrée de septembre, en abrite deux signées par les artistes montréalais Geneviève Cadieux et Pierre Blanchette. La première acquisition fait grimper un lierre en acier inoxydable au fini miroir sur la pierre noire de la façade du boulevard de Maisonneuve. Il s'agit d'une référence à la Ivy League, un terme désignant les universités américaines traditionnelles et élitistes, les Harvard, Princeton et autres Yale où le lierre (ivy en anglais) poussant sur les pierres symbolise leur ancienneté et leur prestige. «L'oeuvre-miroir ne symbolise pas la coupure élitiste: ici, il est plutôt question des rapports étroits entre Concordia et la communauté», propose Clarence Epstein, directeur des projets spéciaux et des affaires culturelles de l'université, qui dirigeait hier midi la visite exclusive au Devoir. Mme Cadieux enseigne la photographie dans cette institution et a remporté le concours contre trois finalistes, dont un autre professeur de Concordia. «Ce qui prouve la force de notre département d'art», commente laconiquement M. Epstein. Pierre Blanchette, lui, a déployé une série de bandes en ébène et en aluminium bleu ionisé sur les murs extérieurs d'une imposante salle suspendue (La Nacelle) dans le hall du nouveau pavillon. Cette fois, explique Clarence Epstein, les références visent les scènes militaires du peintre de la Renaissance Paolo Uccello, obsédé par les piques comme par la perspective, et les réseaux urbains de la série Broadway Boogie Woogie de Piet Mondrian. Intégration Ces deux oeuvres sont produites dans le cadre du programme d'intégration des arts à l'architecture. Le même programme a permis à l'Université Concordia de déployer en 2003 une murale de l'artiste Nicolas Baier à son pavillon intégré (génie, informatique et arts visuels), du 1515, rue Sainte-Catherine Ouest. Comme la nouvelle École John-Molson, cet autre très bel édifice a été conçu par la firme torontoise Kuwabara Payne McKenna Blumberg. Une troisième oeuvre y sera intégrée d'ici l'inauguration officielle, un bronze de Richard MacDonald. La grande sculpture sera offerte par le mécène Bruce Mallen, un ancien étudiant, professeur et administrateur de l'université qui a ensuite fait fortune à Hollywood. La Ville aussi multiplie les efforts d'embellissement du secteur. Montréal termine notamment l'aménagement de la place Norman-Bethune où trône à nouveau la statue du médecin humanitaire mort en Chine. http://www.ledevoir.com/2009/06/23/256292.html
  11. Un promoteur offre de l'argent pour d'éventuels HLM Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du mardi 23 juin 2009 Mots clés : HLM, Immobilier, Logements sociaux, Pauvreté, Montréal, Québec (province) Mon condo de luxe contre ton HLM. Le promoteur du complexe immobilier situé à l'intersection Mackay et René-Lévesque, à Montréal, promet de «contribuer financièrement à la réalisation de logements sociaux et communautaires» si son projet se réalise. Il s'agirait alors d'une rare contribution du genre à la «mixité sociale» au centre-ville. «Nous nous réjouissons de l'intention du promoteur, commente Éric Michaud, porte-parole du groupe Habiter Ville-Marie, qui a obtenu la promesse. Mais nous continuons à interpeller les gouvernements sur le manque de logements sociaux et communautaires au centre-ville.» Pour l'organisme, il s'agira donc d'un pis-aller. Habiter Montréal aurait préféré voir inclure dans le projet lui-même «un minimum de 30 % de logements abordables», selon les normes de la Stratégie municipale d'inclusion de ce type de logements, un cadre non coercitif adopté en 2005. Ce plan demande (sans exiger) que les projets de 200 unités et plus comptent 15 % de logements dits abordables et 15 % de logements dits sociaux et communautaires. L'Europe du Nord s'avère particulièrement avancée en la matière. En Suède, une «unité d'habitation» sur cinq, soit 830 000 habitations au total, dépendent d'un programme similaire géré par les municipalités. Habiter Ville-Marie (HVM) se présente comme «une concertation de regroupements, de tables de développement social, d'organismes publics et communautaires qui a pour objectif le développement d'un centre-ville habité». Son mémoire déposé mardi dernier auprès de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) cite une lettre du promoteur datée du 17 avril 2009. Ali Hossein Khan s'engage à «verser une contribution financière qui pourra servir à compléter le montage financier d'un projet de logement social et communautaire à réaliser dans l'arrondissement au cours des deux prochaines années». Le montant de la compensation n'est pas précisé, mais il pourrait facilement totaliser plusieurs centaines de milliers de dollars selon une évaluation de HVM. Le projet du 1475, boulevard René-Lévesque Ouest propose de construire en deux phases un hôtel (phase 1) puis une tour de 180 condos (phase 2), selon des plans de Michelange Panzini architecte. Des maisons victoriennes en tête d'îlot, sur René-Lévesque, seraient conservées, rénovées et intégrées au complexe. Le tout est évalué à environ 80 millions. «La mixité sociale est importante, et il doit y avoir des efforts ici pour l'assurer, dit Michelange Panzini, pour expliquer la proposition de financement socio-communautaire. Il n'y a pas d'obligation ni de contrainte à se soumettre aux règlements.» Il observe lucidement que même avec une obligation de se conformer à compter de 200 unités, ont risquerait de voir germer les projets de 199 unités et moins. http://www.ledevoir.com/2009/06/23/256311.html
  12. La gare Windsor vendue d'ici un mois Publié le 23 juin 2009 à 06h25 | Mis à jour à 06h28 Jean-François Bégin La Presse (Montréal) Décidément, ça bouge autour du Centre Bell ces jours-ci: alors que l'amphithéâtre et le Canadien de Montréal sont sur le point d'être cédés par George Gillett à la famille Molson, la vente de la gare Windsor au groupe Cadillac Fairview, juste à côté, sera conclue d'ici un mois environ, a appris La Presse Affaires. «Nous sommes encore dans une période de confidentialité, mais on attend la clôture de la transaction pour la fin de juillet», a indiqué hier Michel Spénard, porte-parole du Canadien Pacifique, propriétaire actuel de l'édifice. M. Spénard n'a pas voulu confirmer l'identité de l'acheteur mais, en novembre, un décret du gouvernement fédéral avait autorisé la vente de l'immeuble, classé «gare ferroviaire patrimoniale» et «lieu historique national», à un partenariat formé de deux sociétés: le promoteur immobilier Cadillac Fairview et Gillett Family Limited Partnership, société appartenant à George Gillett. Ce dernier n'est toutefois plus partie à la transaction, a indiqué hier le directeur des politiques d'Héritage Montréal, Dinu Bumbaru. «La Commission des lieux et monuments historiques du Canada nous a appris le 12 juin que le Canadien Pacifique l'avait informé que Gillett ne serait plus le partenaire de Cadillac Fairview», a dit M. Bumbaru. Le CP a signifié le retrait de M. Gillett dès le 14 mai. Des démarches sont présentement en cours afin d'obtenir du fédéral une modification du décret pour en tenir compte, a précisé M. Bumbaru. Cadillac Fairview, dont les représentants ont décliné nos demandes d'entrevue, est en train de se bâtir un empire immobilier autour du Centre Bell. Depuis deux ans, la société a multiplié les acquisitions au sud de la rue Saint-Antoine, par l'intermédiaire de 4 410 122 Canada inc., société appartenant à son vice-président au développement, Salvatore Iacono. Ces terrains, achetés pour plus de 30 millions de dollars, sont présentement sous-exploités. On y retrouve notamment des parcs de stationnement, un hôtel bas de gamme, un lave-auto, un immeuble désaffecté et des locaux de répétition pour musiciens. Le projet de Cadillac Fairview - propriété à 100% de Teachers', le fonds de retraite des enseignants de l'Ontario - est de bâtir autour du Centre Bell un «pôle de développement intermodal et multifonctionnel», rapportait la Gazette en avril. Le projet comprendrait des commerces, des salles de spectacles, des bureaux, des immeubles résidentiels, un hôtel, un stationnement et une nouvelle gare. L'achat de la gare Windsor, dont la valeur au rôle d'évaluation municipale est de plus de 40 millions, serait particulièrement intéressant pour Cadillac Fairview. À l'époque de la construction du Centre Bell, la Ville de Montréal avait modifié le zonage pour autoriser «la construction d'une tour de 45-50 étages» au-dessus d'une aile de la gare, rue Saint-Antoine, rappelle M. Bumbaru. En achetant le Centre Bell, les Molson héritent d'ailleurs de droits similaires sur deux parcelles de terrain, souligne-t-il: l'une à l'intersection Saint-Antoine et de la Montagne, où se trouvent déjà les bureaux du Canadien, et l'autre sur l'emplacement de la Place du Centenaire, coin de la Gauchetière et de la Montagne. L'intérêt de Cadillac Fairview pour le secteur n'est sûrement pas étranger à l'achalandage créé par le Centre Bell et à la proximité de la gare Lucien-L'Allier, qui pourrait devenir le terminus de la future navette ferroviaire reliant le centre-ville à l'aéroport Pierre-Elliott-Trudeau. Une ligne de tramway est également projetée rue Peel, juste à l'est de la gare Windsor. Quand la vente de la gare sera conclue, il ne manquera à Cadillac Fairview que deux terrains pour compléter sa mainmise sur les lots situés au sud et à l'est du Centre Bell. Il s'agit de deux parcs de stationnement au sud de Saint-Antoine, dont l'un a été acquis en mars 2007 pour 21,5 millions par le vice-président à l'exploitation du Centre Bell, Alain Gauthier. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/200906/23/01-878086-la-gare-windsor-vendue-dici-un-mois.php
  13. Il y a un article intéressant dans le Devoir d'aujourd'hui où le promoteur propose d'aider au financement d'un éventuel projet de logements abordables, mais mon accès au site ne fonctionne pas ce matin, je ne peux pas reproduire l'article.
  14. Hehe... merci à notre réseau d'aqueduc qui fuit de partout et aide ainsi aux arbres à bien pousser et rendre la ville plus verte
  15. Wow, c'est très beau. Merci MontréalYul... t'es allé chercher quelqu'un à l'aéroport ou faire de la photo d'avions ?
  16. Intéressant. Je trouve que c'est une bonne idée de protéger les vespasiennes, faute d'avoir le budget pour les re-taper.
  17. Wow, je suis très content moi aussi. Je crois que le Wilder rénové sera très beau. Vous semblez oublier que s'il est remplacé par un nouvel édifice, celui-ci ne sera certainement pas en brique, que je trouve beaucoup plus noble que le béton pré-contraint.
  18. Si j'ai bien compris, il n'y aura pas "'d'édition du dimanche" de cyberpresse... je présume que le site sera quand même mis à jour le dimanche pour les nouvelles importantes.
  19. Ça me fait penser à un feu de la St-Jean !
  20. Le Soleil y est déjà passé... je crois que ce n'est qu'une question de temps... Par contre, il n'y a rien à célébrer quand on voit l'offre et la diversité de médias d'informations diminuer.
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