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Atze

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Tout ce qui a été posté par Atze

  1. Ça serait en effet très impressionnant de pouvoir sortir du métro face à la basilique, mais il y aurait possiblement beaucoup de problèmes à passer un tunnel dans ce coin là... il y a une rivière souterraine/veine d'eau assez importante qui passe sur le flanc de la butte... rappelez-vous toute l'eau qui y avait dans l'excavation du Westin.
  2. J'aime beaucoup ce que Garnotte fait, je vais "poster" celles qui me font sourire. Lisa Raitt, ministre des Ressources naturelles Le Devoir Michel Garneau Édition du mercredi 10 juin 2009 http://www.ledevoir.com/2009/06/10/254223.html
  3. Montréal se met à l'heure de la norme LEED Le Devoir Édition du mercredi 10 juin 2009 Mots clés : Bâtiments, LEED, Municipalité, Pollution, Montréal, Québec (province) Tous les bâtiments municipaux neufs de plus de 500 m2 construits à Montréal devront dorénavant respecter les normes LEED Or (Leadership in Energy and Environmental Design), a annoncé le responsable du développement durable à la Ville de Montréal, Alan DeSousa. Le comité exécutif a adopté hier une politique comportant une série de mesures visant à rendre les immeubles municipaux plus verts. Ainsi, les rénovations majeures devront être effectuées selon les critères LEED Argent, et les travaux de moindre ampleur devront viser la certification écologique BOMA BEST. Montréal devient donc la première ville au Québec à adopter de tels standards et imite Vancouver qui, depuis 2004, impose la certification LEED Or à tous ses bâtiments municipaux. Les coûts supplémentaires requis peuvent atteindre 5 %, mais la Ville soutient qu'ils seront notamment compensés par les économies réalisées en matière de consommation d'eau et d'énergie. http://www.ledevoir.com/2009/06/10/254253.html
  4. État des lieux du Quartier des spectacles Publié le 09 juin 2009 à 07h10 | Mis à jour à 07h11 Daphné Cameron La Presse Photo: Robert Mailloux, La Presse Trois semaines avant le spectacle d'ouverture du Festival de jazz, le quadrilatère de la Place des Arts a encore les allures d'un immense chantier de construction. Le temps file, mais les classiques de jazz remplaceront bientôt le ballet des pelles mécaniques et les concerts de marteaux-piqueurs, assurent les organisateurs. Les travaux pour achever les différentes phases du Quartier des spectacles ont toutefois engendré un véritable jeu de chaises musicales. La majorité des scènes extérieures ont été déplacées. Amateurs de jazz, préparez-vous à une véritable métamorphose. Place du Quartier des spectacles La place du Quartier des spectacles, également appelée place des Festivals, représente le coeur du projet du Quartier des spectacles. Depuis plusieurs semaines, les ouvriers ont mis les bouchées doubles afin de terminer la place à temps pour la performance de Stevie Wonder, le 30 juin. À compter de cette année, la scène GM, qui accueille les grands spectacles extérieurs, migre de la rue Sainte-Catherine à la place du Quartier des spectacles. Elle sera orientée vers le nord et sera visible jusqu'à la rue Sherbrooke. Par ailleurs, la scène située angle Sainte-Catherine et Jeanne-Mance sera remplacée par une installation de plus petite taille. Hier après-midi, le chantier de la place des Festivals bourdonnait d'activités. Soudeurs et ouvriers s'affairaient à assembler la structure des «vitrines habitées» qui abriteront bars et restos à l'ombre de la Place des Arts. Quelques mètres plus loin, une dizaine d'ouvriers exécutaient les derniers travaux d'une fontaine de 250 jets d'eau qui sera inaugurée à l'automne après les festivals. Quatre mégastructures d'éclairage inachevées trônaient aussi au-dessus du site. Malgré la poussière et les trottoirs barrés, le chargé de projet à la Ville de Montréal assure que la majorité des travaux seront terminés avant l'arrivée des techniciens du Festival de jazz, dans une semaine. «Nous avons effectué les travaux dans un temps record, c'est un exploit, raconte Martin Maillet. Nous sommes parvenus à maintenir notre calendrier et même à rattraper le temps perdu grâce aux températures clémentes ce printemps.» Maison du Festival et la salle de spectacles L'Astral La même frénésie était palpable au chantier de la Maison du Festival, qui abritera la salle de spectacles L'Astral. «On travaille les soirs, le midi et les fins de semaine pour que tout soit terminé à temps», a confié un ouvrier occupé à scier du bois devant l'ancien édifice Blumenthal, angle Sainte-Catherine et Jeanne-Mance. «Je dirais que ça commence tranquillement à ressembler à une salle de spectacle», a ajouté son confrère. Hier, le grand manitou du Festival de jazz, Alain Simard, était loin de s'inquiéter de l'état du chantier. «Si vous aviez vu le Spectrum à la veille de l'ouverture il y a 25 ans, on était encore en train de peinturer. Le jour de son inauguration, ça sentait encore la colle!» Il promet que la salle de spectacles ouvrira ses portes le 29 juin comme prévu. «Nous sommes en retard d'environ une semaine sur la date de livraison, dit-il, mais c'était prévu. C'est une question de finition maintenant. Je ne suis pas stressé du tout, j'ai très hâte.» L'Astral aura 350 sièges et pourra contenir 600 personnes debout. L'Adresse symphonique La construction de la nouvelle salle de concert de l'OSM qui sera achevée pour la saison 2011-2012 de l'Orchestre aura aussi d'importantes répercussions sur le Festival de jazz. Les jeux pour enfants et les kiosques alimentaires, situés dans la partie est de l'esplanade de la Place des Arts, ont dû être déplacés en grande partie dans la rue Sainte-Catherine, près de la rue Saint-Urbain. Certains kiosques seront également déplacés entre la place du Quartier des spectacles et la Place des Arts. La scène Radio-Canada se retrouve quant à elle à l'angle Sainte-Catherine et Jeanne-Mance. Par ailleurs, un accident survenu sur le chantier de l'Adresse symphonique pourrait également ralentir les travaux. Il y a une semaine, le plafond d'un ancien stationnement de la Place des Arts a cédé sous le poids d'une grue. Elle est toujours coincée dans les décombres. Place de l'Adresse symphonique et promenade des Festivals Les chantiers pour construire la place de l'Adresse symphonique et la promenade des Festivals ont été lancés il y a peu de temps. Les rénovations risquent de donner des maux de tête aux automobilistes cet été, mais les amateurs de musique seront épargnés assure Martin Maillet. «Le bruit ne sera pas un problème durant les festivals car tout va être fait le matin ou en début d'après-midi.» Les spectacles de blues, autrefois présentés là, seront présentés dans la partie nord du site, à cheval sur le terre-plein de l'avenue du Président-Kennedy. autres photos: http://photos.cyberpresse.ca/48-6502#enVedette/0/recherche/Rechercher%20un%20album/0/onglets/48/0/album/6502/162068/ http://www.cyberpresse.ca/arts/200906/09/01-873840-etat-des-lieux-du-quartier-des-spectacles.php
  5. Le mode PPP rebute ingénieurs et économistes Publié le 09 juin 2009 à 06h41 | Mis à jour à 06h42 André Noël La Presse Après les architectes, c'est au tour des ingénieurs et des économistes du Québec de se montrer sceptiques, sinon carrément opposés à la construction d'hôpitaux universitaires comme le CHUM en mode de partenariat public-privé (PPP). «Le PPP est un mode de réalisation inadéquat pour des projets complexes et comportant des inconnues comme les hôpitaux universitaires CHUM et CUSM, de même que pour la reconstruction du complexe d'échangeurs Turcot», a affirmé Zaki Ghavitian, le président de l'Ordre des ingénieurs du Québec. Au même moment, l'Association des économistes québécois publie un sondage montrant que seulement 32% de ses membres voient d'un bon oeil le choix du PPP pour la réalisation de grands projets d'hôpitaux universitaires. Cette association professionnelle regroupe 787 économistes; le tiers d'entre eux ont répondu à un sondage réalisé par la firme Léger Marketing. Plus tôt cette année, le président de l'Ordre des architectes, André Bourassa, avait affirmé que la construction du CHUM en PPP n'avait «pas de sens», étant donné la complexité du projet. Le président de l'Ordre des ingénieurs abonde dans ce sens. «Un hôpital est un organisme en perpétuel changement, a dit Ghavitian, au cours d'un entretien, hier. Il y a toujours une évolution en médecine et dans les besoins de la population. On ne peut pas figer cela dans un contrat de PPP. Ce n'est pas tout. Actuellement, il n'y a pas beaucoup de financiers qui prêtent de l'argent. Le gouvernement est appelé à garantir l'emprunt, comme il l'a fait pour la salle de l'Orchestre symphonique de Montréal. Cela signifie qu'il ne transfère plus les risques au secteur privé, ce qui est la raison d'être des PPP.» La firme de sondage Léger Marketing a posé cette question à 228 économistes: «Le gouvernement du Québec est sur le point d'investir plus de 5 milliards de dollars pour la construction de trois grands centres hospitaliers universitaires (CHUM, CUSM et Sainte-Justine). Est-ce que ce serait selon vous une bonne ou une mauvaise chose que ces trois projets soient réalisés en mode PPP?» Le tiers des répondants (32%) seulement ont répondu que c'est une bonne chose; 53% estiment que c'est une mauvaise chose; 15% n'ont pas d'opinion. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/national/200906/09/01-873825-le-mode-ppp-rebute-ingenieurs-et-economistes.php
  6. La construction du centre de recherche du CHUM retardée La démolition de l'édifice des Coopérants, situé rue Saint-Antoine, s'est terminée au printemps, pour faire place au Centre de recherche du CHUM. Depuis, toutefois, plus rien ne bouge sur le chantier. Archives La Presse Publié le 09 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h40 André Noël La Presse La construction du Centre de recherche du CHUM est reportée de plusieurs mois. Elle devait commencer cet été. Or, les deux consortiums qualifiés selon le mode de partenariat public-privé n'ont pas remis leurs soumissions en mars tel que prévu. Les soumissions seront plutôt déposées vers la mi-juillet, a indiqué hier une porte-parole du Centre hospitalier de l'Université de Montréal, Nathalie Forgue. Elles devront ensuite être étudiées: le choix du soumissionnaire ne se fera pas avant l'automne, a-t-elle ajouté. Il s'agit d'une étape cruciale, sans laquelle les travaux de construction ne peuvent commencer. Le bâtiment doit occuper le quadrilatère formé par les rues Sanguinet, Saint-Denis, Saint-Antoine et l'avenue Viger. Le complexe devait intégrer le bâtiment connu sous le nom de Vidéotron, et situé au 300, avenue Viger Est, en face du futur CHUM. Mais un des soumissionnaires envisage maintenant de le démolir, une information que n'a pas confirmée Mme Forgue. La recherche clinique, axée sur les troubles du mouvement, sera concentrée du côté de l'avenue Viger, afin de faciliter les allers-retours des médecins et des patients entre l'hôpital et le Centre de recherche, qui seront unis par un tunnel. Le CHUM a exproprié l'édifice Vidéotron en 2007, au coût de 28 millions. La démolition de l'édifice des Coopérants, situé rue Saint-Antoine, vient de se terminer. Depuis, plus rien ne bouge sur le chantier. La construction du Centre de recherche du CHUM doit précéder celle du CHUM comme telle. Le Centre de recherche, d'une superficie de 46 500 mètres carrés, doit coûter 320 millions. Deux consortiums se sont qualifiés en novembre 2007: Accès Recherche CHUM (auquel participe la firme Pomerleau) et Axor-Dalkia. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/national/200906/09/01-873824-la-construction-du-centre-de-recherche-du-chum-retardee.php
  7. Malgré ce que peut en dire le promoteur, je doute fortement que les gens de Québec vont laisser un promoteur construire quelque chose qui obstrue autant la vue sur leur ville. Les gens qui veulent voir la ville de Québec de cette vue prennent le traversier qui va à Lévis... en plus, je suis convaincu que c'est moins cher. Fils + Poteau = pas très différent d'une ligne de transport d'électricité
  8. Montréal = richesse culinaire accessible (entre autre)
  9. Festival international de jazz de Montréal - Deux jours de plus et cinq mégaconcerts extérieurs Le Devoir Caroline Montpetit Édition du mardi 09 juin 2009 Mots clés : Stevie Wonder, Ben Harper, Festival international de jazz de Montréal, Musique, Montréal, Québec (province) Le président-directeur général du Festival international de jazz de Montréal, Alain Simard, a annoncé hier que les festivaliers pourront bénéficier de la présence de nombreux écrans géants sur lesquels seront projetés plusieurs spectacles Photo: Jacques Grenier Ce sont Ben Harper et ses Relentless7 eux-mêmes qui feront la clôture de la programmation gratuite du Festival international de jazz cette année, en se présentant à 21h30 sur la scène General Motors de la Place des festivaliers, que Stevie Wonder aura inaugurée 13 jours plus tôt. En ce 30e anniversaire de son existence, le Festival international de jazz de Montréal s'offre en effet deux jours de programmation supplémentaires, en plus de présenter des spectacles dans deux nouveaux espaces de diffusion, la maison du festival Rio Tinto Alcan et sa salle Astral, inaugurées pour l'occasion, et la Place des Festivals, où sera érigée la scène General Motors. Ces deux très gros spectacles extérieurs s'ajouteront à trois autres, dont un spectacle réunissant Patrick Watson, Lhasa de Sela et Guy Nadon, ainsi que quelques invités-surprises, le 5 juillet à 21h. Deux jours plus tard, le public pourra applaudir plusieurs artistes qui s'étaient produits dans le documentaire Rocksteady: the Roots of Reggae, qui explorait les racines du reggae en Jamaïque. Juste avant le spectacle de Ben Harper et ses Relentless7, les amateurs de rythmes cubains sont conviés à la scène Rio Tinto Alcan, où se produira une Fiesta Cubana, où l'on attend les Afro-Cuba All stars et Los Van Van. Le festival fait en effet cette année de nombreux réaménagements géographiques, du fait de la construction de nouveaux espaces, et des aménagements liés à l'érection du quartier des spectacles. Il ne s'agit de rien de moins que la maison du festival Rio Tinto, qui compte une nouvelle salle de spectacle de 350 places, un restaurant, le Balmoral qui accueillera également des séances de jam en fin de soirée, une salle de presse qui se transformera cet automne en galerie d'art, et une médiathèque qui offrira au public gratuitement, aussi à partir de l'automne, les archives du festival depuis ses débuts. Hier, le président-directeur général du festival, Alain Simard, annonçait par ailleurs que les festivaliers pourraient cette année bénéficier de la présence de nombreux écrans géants sur lesquels seront projetés de nombreux spectacles, dont les mégaconcerts mentionnés plus haut. Le Salon de guitare déménagera pour sa part ses pénates au Palais des congrès de Montréal, tandis que le Salon des instruments prendra place pour sa part au nouveau village de la musique, à l'angle du boulevard De Maisonneuve et de la rue De Bleury. C'est là aussi que l'on présentera une exposition mettant en valeur les pochettes de la collection Blue Note, à travers le temps, en première partie du festival. Parmi les très nombreux concerts gratuits qui jalonneront le festival, mentionnons Vic Vogel qui rendra hommage aux grands noms du jazz, une soirée spéciale pour saluer les 50 ans de la mort de Billie Holiday, le 6 juillet, avec Kim Richardson, et à 21h, le 3 juillet, Florence K présentera La noche de Lola avec ses musiciens, un spectacle spécialement conçu pour le 30e anniversaire du festival. http://www.ledevoir.com/2009/06/09/254073.html
  10. Internet: dérapage à haute vitesse? Le Devoir Fabien Deglise Édition du mardi 09 juin 2009 Mots clés : CRTC, Internet, Bell, Consommateur, Canada (Pays) Des fournisseurs d'Internet demandent au CRTC de rappeler Bell à l'ordre Le réseau Internet au pays ne va pas très vite. Et Bell Canada y serait un peu pour quelque chose, prétend l'Association canadienne des fournisseurs Internet (ACFI) qui demande au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) d'intervenir. Comment? En interdisant au géant de la téléphonie «d'interférer» sciemment sur la vitesse de transmission des données, aux dépens des fournisseurs indépendants d'accès à Internet. Le regroupement de petits fournisseurs n'en démord pas. Le CRTC doit contraindre Bell Canada à mettre fin au ralentissement de son service Internet imposé sur l'ensemble de son réseau pendant les heures de pointe, soit entre 16h30 et 2h, tous les jours. Cette mesure, techniquement appelée «lissage du trafic», vise à dissuader l'échange de fichiers sonores et vidéo volumineux durant cette plage horaire, et ce, afin de prévenir l'engorgement des «tuyaux» servant à la transmission de données numériques. Le hic, c'est que les fournisseurs d'accès Internet (FAI) indépendants en font également les frais, à leur corps défendant, puisque leur offre de branchement passe en partie par les installations de Bell Canada et son service de ligne numérique à paires asymétriques de gros, comme on dit dans le milieu, loué par les FAI. Et ils demandent aujourd'hui à Ottawa de sévir. Un premier échec «La situation n'est pas nouvelle, clame Tom Copeland, président de l'Association, joint hier au téléphone par Le Devoir, mais depuis six mois, ça devient pire. On a l'impression que Bell veut réduire et éliminer les indépendants du paysage. Et on ne peut pas rester là, sans rien dire.» L'an dernier, l'ACFI s'est tournée vers le CRTC afin que cesse cette histoire de lissage. L'organisme fédéral a toutefois rejeté la plainte déposée par le regroupement contre Bell, estimant que les pratiques de ralentissement ne contrevenaient pas à la loi. C'était en novembre dernier. «Le CRTC a pris une très bonne décision», a indiqué hier Jacques Bouchard, porte-parole de Bell Canada qui justifie sa «gestion du trafic» pour «assurer un service optimal à la majorité des consommateurs.» Tom Copeland n'est pas du même avis et demande désormais au Conseil de revenir sur cette décision qui «a donné carte blanche à Bell pour interférer avec les services que nous fournissons à nos clients», dit-il. Une interférence qui dépasse d'ailleurs le lissage de trafic, selon lui. «Actuellement, Bell offre à ses clients la possibilité d'accéder à Internet à des vitesses plus élevées [soit cinq à huit fois plus vite que le service traditionnel], poursuit-il. Mais ces vitesses, nous ne pouvons pas les offrir à nos clients, puisque Bell ne veut pas les rendre disponibles dans son service d'accès Internet en gros.» Pour l'entreprise, la raison est purement technique, Bell ne pouvant pas partager ces liens un peu plus rapides avec d'autres, indique M. Bouchard. Un argument fallacieux, dénonce M. Copeland qui parle plutôt d'une tentative de réduire la concurrence au silence. L'homme attend d'ailleurs avec impatience la tenue d'audiences publiques sur la gestion du trafic Internet proposée par le CRTC. La rencontre doit avoir lieu le 6 juillet prochain à Gatineau. Le lissage tout comme le retard technologique du Canada en matière d'accès à une bande passante ultrarapide devraient y être mis au menu. http://www.ledevoir.com/2009/06/09/254101.html
  11. Atze

    Le 2-22 - 6 étages (2013)

    Place au 2-22 Sainte-Catherine Le Devoir Amélie Daoust-Boisvert Édition du mardi 09 juin 2009 Mots clés : Quartier des spectacles, 2-22 Sainte-Catherine, boulevard Saint-Laurent, Municipalité, Québec (province), Montréal Les différents acteurs de la Main se montrent dans l'ensemble favorables au projet immobilier Les bras à demi ouverts, les différents acteurs de la Main accueillent favorablement le 2-22 Sainte-Catherine, un des projets immobiliers de revitalisation du boulevard Saint-Laurent. En effet, les mémoires déposés hier soir à l'Office de consultation publique de Montréal se montrent dans l'ensemble positifs, bien qu'ils soulèvent encore les questions de la hauteur et de l'intégration de l'immeuble dans la trame urbaine et commerciale du quartier. Le Club Soda, voisin immédiat du nouvel édifice que doivent occuper la Vitrine culturelle, la radio communautaire CIBL et une librairie, entre autres locataires, est peut-être le plus inquiet. Et encore, son président et propriétaire, Michel Sabourin, a précisé à l'Office qu'il l'accueillait «positivement» et qu'il allait «permettre de tourner la page sur une période noire de la Main». Dans son mémoire, il soulève toutefois que son architecture est en «rupture avec le passé». Il remet en question la hauteur «démesurée» de l'édifice, laquelle crée un «mur aveugle» mitoyen à la salle de spectacle. La Société de développement Angus a imaginé pour ce lieu phare du Quartier des spectacles un édifice dépassant de 8,5 mètres la hauteur prévue dans ce secteur, au coût de 16 millions. Alors que la rue Sainte-Catherine serait toute de verre vêtue, Saint-Laurent s'habillerait de pierre. Non seulement Michel Sabourin craint-il que le Club Soda se retrouve «enclavé» entre de hauts immeubles, mais aussi que l'unité et l'esprit commercial du boulevard Saint-Laurent en souffrent. Même si ces inquiétudes sont partagées par la Corporation de développement urbain (CDU), celle-ci tire des conclusions généralement positives sur le projet dans son mémoire. Des avant-projets de ce document, dont Le Devoir a fait mention hier, soulevaient des doutes, dont certains virulents, sur la hauteur -- 12 étages -- du voisin du 2-22, le Quadrilatère Saint-Laurent, de l'autre côté de l'artère. Des doutes qui, après consultation, ne mettent pas en péril l'appui de la CDU au 2-22. «Nous avons encore certains questionnements», dit Ré Jean Séguin, mais il souhaite que le 2-22 et le quadrilatère voient le jour. Outre l'architecture, l'effet de la revitalisation de la Main sur les plus démunis a été soulevé par le groupe STELLA, qui a déposé un mémoire dont Le Devoir a obtenu copie. L'organisme espère «que les travailleuses du sexe ne seront pas les oubliées du projet» et propose de maintenir vivantes l'histoire et la culture de l'ancien Red Light par une installation artistique. Le groupe propose également que le 2-22 abrite un organisme communautaire s'adressant aux travailleuses du sexe. http://www.ledevoir.com/2009/06/09/254107.html
  12. Télécabines entre la Rive-Sud et le Vieux-Montréal - Ultimatum de Skylink Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du mardi 09 juin 2009 Mots clés : Société du Vieux-Port de Montréal, Skylink, Télécabines, Municipalité, Montréal L'entreprise jettera son dévolu sur une autre ville si elle n'obtient pas de réponse favorable avant le 18 juin source: Skylink Le promoteur a reçu l'appui de certains groupes, dont celui du Centre national du transport avancé. Malgré l'ultimatum lancé par le promoteur Skylink, la Société du Vieux-Port de Montréal ne change pas d'idée. Elle maintient que le projet de télécabines nuirait à ses opérations et défigurerait ce secteur patrimonial. La balle est maintenant dans le camp des instances politiques. Faute d'obtenir l'aval des autorités pour implanter un système de télécabines entre le Vieux-Montréal et Saint-Lambert, l'entreprise Skylink envisage de proposer son projet à d'autres villes, dont Québec. Même si le maire Gérald Tremblay soutient que son administration se prononcera d'ici dix jours, la réalisation du projet demeure impossible sans l'accord de la Société du Vieux-Port, une entité fédérale. «S'il n'y a aucune décision d'ici le 18 juin, ce sera "Au revoir Montréal!" parce que nous avons d'autres possibilités ailleurs, au Portugal, au Mexique et peut-être à Québec ou à Ottawa», a indiqué hier le président de Skylink, Neils Jergerson, lors d'une conférence de presse. Skylink se défend d'évoquer Québec dans le but d'augmenter la pression sur la métropole. «On n'est pas là pour entretenir la compétition entre Montréal et Québec. C'est vraiment très loin de nos intentions, a affirmé Luc Harvey, porte-parole de l'entreprise. Par contre, la Ville de Lévis a déjà signifié un intérêt et il y a eu des contacts qui ont été faits avec différentes instances de la Ville de Québec.» Au cabinet du maire Régis Labeaume, on soutient n'avoir reçu aucun appel de l'entreprise. «L'attitude du maire, c'est toujours de rencontrer les gens qui ont des projets. Le maire a beaucoup d'ouverture», a déclaré hier son attaché de presse Paul-Christian Nolin. La porte-parole de Danielle Roy Marinelli, mairesse de Lévis, n'a pas rappelé Le Devoir. Même si la décision d'autoriser le projet ne relève pas de la Ville de Montréal, l'administration Tremblay entend prendre position d'ici dix jours. Le maire Tremblay a indiqué hier au Devoir que le Service du développement économique avait terminé l'analyse du projet et qu'il soumettrait ses recommandations aux membres du comité exécutif demain ou la semaine prochaine. «On va prendre position avant la date du 18 juin, a dit M. Tremblay. Il semblerait qu'au niveau des aspects économiques, il y avait un certain questionnement.» Bien que la Société du parc Jean-Drapeau, un organisme municipal, ait donné son appui au projet, cela ne signifie pas que la Ville y sera favorable, a-t-il ajouté. Au cabinet du ministre fédéral responsable de la région de Montréal, Christian Paradis, on rappelle que, contrairement à ce qu'affirme le promoteur, le gouvernement fédéral ne peut forcer la Société du Vieux-Port à donner son aval au projet. De son côté, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain accueille favorablement la proposition de Skylink. «C'est un projet qui mérite d'être étudié attentivement», croit le président de la Chambre, Michel Leblanc. Selon lui toutefois, le promoteur aurait avantage à présenter un plan d'affaires plus rigoureux et à proposer aussi d'autres trajets pour rallier davantage de partenaires. Pour sa part, le Centre national du transport avancé (CNTA) appuie avec enthousiasme le projet, estimant que les télécabines, déjà utilisées dans plus d'une centaine de grandes villes dans le monde, offrent des avantages indéniables. Fiables, bien adaptées à notre climat et sans émissions de gaz à effet de serre, ces télécabines qui transportent jusqu'à 3000 passagers à l'heure s'appuient sur une technologie éprouvée, soutient Pierre Vallée, directeur senior au CNTA. http://www.ledevoir.com/2009/06/09/254083.html
  13. Télécabines entre le Vieux-Montréal et Saint-Lambert - Skylink menace d'investir ses 100 millions ailleurs Le Devoir Alec Castonguay Édition du lundi 08 juin 2009 Mots clés : Télécabines, Skylink, Saint-Lambert, Entreprise, Investissement, Montréal La famille Jorgensen annoncera ce matin qu'elle pliera bagage si le projet de télécabines n'avance pas d'ici au 18 juin Le projet de télécabines proposé par Skylink permettrait de relier le Vieux-Montréal à Saint-Lambert. À bout de patience, l'entreprise Skylink annoncera ce matin en conférence de presse que son projet de télécabines reliant le Vieux-Montréal et la ville de Saint-Lambert devra avoir débloqué avant le 18 juin prochain, sans quoi elle investira les 100 millions de dollars dans une autre ville de la planète, a appris Le Devoir. Depuis que Le Devoir a révélé la nouvelle mouture du projet et son blocage par la Société du Vieux-Port, le 25 mai dernier, l'entreprise Skylink ne s'est pas manifestée publiquement. Mais la famille montréalaise Jorgensen, à la tête de la compagnie, prendra la parole ce matin. Selon nos informations, les Jorgensen entendent mettre toute la pression possible pour que le projet avance, lui qui est bloqué depuis décembre dernier. Skylink espère obtenir une intervention rapide du maire de Montréal, Gérald Tremblay, ou du gouvernement fédéral, pour que le dossier débloque avant le 18 juin. «Si ça ne bouge pas suffisamment, Skylink va fermer son bureau de Montréal et va déménager dans une autre ville plus audacieuse», affirme une source près de l'entreprise. Ce scénario avait déjà été évoqué avec inquiétude jeudi par la Société de développement commercial du Vieux-Montréal, qui regroupe 2900 commerçants de ce secteur. Les marchands estiment que la Ville de Montréal a besoin d'un tel projet, non seulement pour bonifier l'offre touristique, mais aussi pour compléter l'offre de transport en commun écologique entre le Vieux-Montréal et Saint-Lambert, sur la Rive-Sud. L'analyse de la Ville de Montréal est prête Le Devoir a également appris que le comité spécial d'analyse du projet, mis sur pied par la Ville de Montréal le 4 mai dernier, a terminé son rapport la semaine dernière. Le service de développement économique de la Ville n'a pas encore fait de recommandation au comité exécutif. Ce n'est toutefois pas la Ville de Montréal qui a le dernier mot dans ce dossier, puisque Skylink veut installer le départ de son téléphérique (1600 mètres carrés) sur un terrain du Vieux-Port de Montréal, une société de la Couronne fédérale réfractaire au projet. Le projet de télécabines est en marche depuis trois ans, même s'il a véritablement pris de la vitesse en décembre dernier, avec de nombreux appuis de la communauté d'affaires de Montréal. Skylink prévoit de relier le Vieux-Port de Montréal, le parc Jean-Drapeau et la ville de Saint-Lambert grâce à un système de télécabines qui passerait au-dessus du Saint-Laurent. La capacité serait de 3000 personnes par heure. L'investissement de 100 millions de dollars serait entièrement assumé par des intérêts privés. Skylink a déniché des partenaires internationaux comme Dopplemayer -- 13 000 télécabines dans 78 pays -- et le bureau suisse d'ingénieurs Paul Glassey pour mener à bien son projet. Le siège social canadien de Dopplemayer est à Saint-Jérôme. La Société du Vieux-Port de Montréal a déjà expliqué son refus en affirmant que le projet de Skylink nuirait à ses opérations et menacerait les espaces verts dont elle dispose. «On a clairement exprimé notre position sur ce projet, a expliqué jeudi Michel Rafie, porte-parole de la Société du Vieux-Port. Ça ne cadre pas avec notre vision. On ne s'oppose pas à l'implantation du téléphérique ailleurs à Montréal, mais pas sur nos terrains.» Skylink rétorque qu'elle a besoin d'un petit terrain dans un secteur touristique et qu'elle a substantiellement modifié son projet en février dernier pour tenter de trouver un compromis avec la Société du Vieux-Port. La société fédérale a toutefois refusé de procéder à une nouvelle analyse. http://www.ledevoir.com/2009/06/08/253883.html
  14. Montréal - Haro sur les tours Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du lundi 08 juin 2009 Mots clés : Office de consultation publique de Montréal, Saint-Laurent, Immobilier, Montréal, Québec (province) Les projets immobiliers du boulevard Saint-Laurent devant l'Office de consultation publique La Corporation de développement urbain (CDU) du Faubourg Saint-Laurent veut bien, en général, des projets immobiliers pour dynamiser la Main. Seulement, les forces vives du secteur qui sont regroupées dans cette association souhaitent que des modifications profondes soient apportées aux propositions particulières de la Société de développement Angus. La CDU défend son rapport cette semaine devant l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM), comme environ 35 autres organismes et citoyens qui ont finalement déposé un mémoire. Le document de la CDU s'oppose notamment à la hauteur et à la densité de l'immeuble de quelque 165 millions de dollars qui doit permettre à Hydro-Québec de regrouper ses fonctionnaires du côté ouest du boulevard. En mars, les plans préliminaires ont fait grimper l'immeuble à 15 étages et à 65 mètres. La version révisée en mai l'a rabaissé à 12 étages et à 48 mètres, tout en s'éloignant du Monument-National (de 7,5 mètres à 16,7 mètres), pour occuper de manière franche et frontale la tête d'îlot, rue Sainte-Catherine. «La hauteur proposée est incompatible avec l'héritage patrimonial du boulevard Saint-Laurent, dit le mémoire dont Le Devoir a obtenu copie. [...] La densité proposée est contraire à la vocation culturelle de l'environnement immédiat, dans lequel on retrouve le TNM, le Métropolis, le Monument-National, la Société des Arts technologiques et le Club Soda. En fait, cette densité envoie le signal qu'on déplace le Quartier des affaires vers l'est.» Une décision bientôt Les mémoires comme les séances de l'OCPM portent sur l'un ou l'autre des projets, celui dit du 2-22, devant abriter la vitrine culturelle du côté ouest du boulevard, évalué à quelque 16 millions, et celui dit du Quadrilatère, beaucoup plus imposant, de l'autre côté de l'artère. Les consultations sur le projet bipartite de revitalisation de l'intersection symbolique Saint-Laurent et Sainte-Catherine se dérouleront en deux temps, ce soir et demain. L'OCPM doit rendre une décision dans les semaines qui suivront. Le promoteur espère lancer ses chantiers au plus vite. Le mémoire de la CDU traite des deux projets, mais il s'avère beaucoup plus critique à l'endroit des plans pour le Quadrilatère. Il parle alors de «sur-hauteur» et propose un parallèle avec les dépassements de volume du nouveau palais de justice, une immense tour construite dans le Vieux-Montréal. «La CDU suggère qu'une hauteur de 10 étages avec des retraits par paliers sur la tête de l'îlot Sainte-Catherine constituerait un compromis raisonnable pour tous, dit encore le mémoire. Elle se rapprocherait sensiblement de la hauteur du Monument-National et de l'édifice du 1, René-Lévesque, qui servent de gabarit tant dans le cadre du Plan d'urbanisme actuel que dans le cadre du Programme particulier d'urbanisme. Rappelons d'ailleurs que ce dernier a jugé bon de ne pas proposer de changement à la hauteur permise sur Saint-Laurent.» La critique pousse le zèle analytique jusqu'à proposer trois solutions pour réduire le volume sur le quadrilatère: soit étendre le projet en construisant en tête d'îlot sud (boulevard René-Lévesque); soit le concentrer avec une «tour aiguille»; soit le réduire, tout simplement. Peu importe la solution qui sera choisie, la CDU appuiera ce projet et souhaite qu'il se réalise dans «un esprit de concertation, dans l'intérêt général». La CDU est d'avis qu'une intervention de cet ordre dans un milieu urbain à forte concentration doit se faire avec doigté et dans le dialogue, la concertation, la négociation de gré à gré et la volonté d'en arriver au meilleur compromis possible. Créée en 1993, la CDU regroupe aujourd'hui près de 50 membres, sur une base volontaire. Tous ont leurs places d'affaires et exercent leurs activités dans le secteur du Faubourg Saint-Laurent, délimité à l'ouest par la rue Jeanne-Mance, à l'est par la rue Berri, au nord par la rue Sherbrooke et au sud par la rue Viger. À peu de choses près, ce territoire se révèle être le même que le territoire désigné pour développer le district culturel du Quartier des spectacles. http://www.ledevoir.com/2009/06/08/253919.html
  15. Merci cprail... la place est ouverte ? on peut marcher dessus ou tu as un bon zoom sur ta caméra ?
  16. Merci pour la photo et bienvenu sur MtlUrb.
  17. Le pieutage semblait plus pour stabiliser l'immeuble de Zesto's (de le but de creuser à côté par la suite ou seulement des rénovations ???)
  18. L'excavation pour la phase VI semble déjà commencé:
  19. 2 grues sur Maisonneuve (Louis-Boheme / Hotel St-Martin)
  20. Avec l'esplanade de la place des arts, ça va faire 2 endroits incroyables pour les spectacles
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