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  1. Le secteur de la construction sort indemne de la crise économique Le Devoir Éric Desrosiers Édition du vendredi 10 juillet 2009 Mots clés : Crise économique, Construction, Économie, Québec (province) 2009 sera la deuxième meilleure année en 32 ans - Les investissements publics prennent la relève du secteur privé Les 140 000 travailleurs de la construction partiront en vacances à la fin de la semaine prochaine. Photo: Jacques Nadeau Les travailleurs de la construction du Québec pourront partir la semaine prochaine en vacances l'esprit en paix. Les programmes d'infrastructures continueront de les garder bien occupés en dépit des effets de la crise sur la construction industrielle et résidentielle. L'industrie de la construction du Québec connaît malgré tout une autre belle année grâce aux investissements en infrastructure du gouvernement. À voir les chiffres des quatre premiers mois de l'année, on ne se croirait pas en pleine crise économique mondiale, a constaté hier la Commission de la construction du Québec (CCQ). Tout indique, en effet, que ses ambitieuses prévisions du mois de décembre de 132 millions d'heures travaillées en 2009 seront atteintes. «L'année dernière fut une année exceptionnelle, et 2009 sera la deuxième meilleure année en 32 ans. Il est difficile de demander mieux», s'est réjoui hier dans un communiqué le président-directeur général de l'organisme, André Ménard. Le maintien d'un tel niveau d'activité dans le domaine de la construction est largement attribuable aux nombreux investissements publics, s'est félicité dans le même communiqué le ministre du Travail, David Whissell. «Le Plan québécois des infrastructures atteint sa vitesse de croisière au bon moment.» L'impact de ces programmes d'infrastructure s'observe notamment en matière de travaux de voirie et de génie, où l'on a rapporté de janvier à avril une augmentation du volume d'activité de 19 % par rapport à l'an dernier. Il s'observe aussi par le fait que les deux tiers de la construction non résidentielle sont actuellement redevables au Québec aux investissements publics. Cet impact positif se fait sentir dans la plupart des régions du Québec. Il profite toutefois particulièrement à celles où se sont mis en branle de grands chantiers liés à l'énergie électrique, comme la Baie-James, qui connaît une hausse d'activité de 21 % cette année, et le Bas-Saint-Laurent-Gaspésie (+ 18 %). La situation se révèle moins brillante dans le secteur du bâtiment industriel, où se concentrent les pertes dans le secteur et où de nombreux grands projets ont été reportés à plus tard par leurs promoteurs privés. On dit cependant avoir bon espoir que ces projets redémarrent aussitôt la reprise économique amorcée, notamment dans les secteurs des mines, des raffineries et des alumineries. Stabilisation du secteur résidentiel Le vaste domaine de la construction résidentielle est aussi touché par la crise, a poursuivi la CCQ, un organisme paritaire chargé d'administrer les conventions collectives de la construction au Québec. Mais le déclin resterait, pour le moment, relativement modeste, avec un recul de seulement 6 % en quatre mois. La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) est venue hier apporter un éclairage différent en dévoilant ses statistiques pour le mois dernier. Elle rapporte ainsi une baisse du nombre de mises en chantier au Québec de 34 800 en mai, en rythme désaisonnalisé annualisé, à 32 600 en juin. Cela porte le recul en un an à 19 %. Cette baisse des derniers mois a toutefois été nettement moins prononcée au Québec que dans l'ensemble du Canada, où la chute depuis le mois de juin 2008 a été de 34 %, observe la SCHL. Selon les plus récentes prévisions de l'agence fédérale, les prochains mois devraient être marqués par une stabilisation du marché et une lente remontée. Cette remontée est déjà entreprise depuis deux mois à la grandeur du pays, mais devrait aussi s'observer au Québec en 2009 et en 2010. Cette tendance devrait se poursuivre ensuite dans la plupart des autres provinces, à l'exception du Québec, où un nouveau léger ralentissement devrait se faire sentir de 2011 à 2013. C'est le temps des vacances Mais tout cela est bien loin. Pour le moment, le monde de la construction québécois se porte beaucoup mieux qu'on n'aurait jamais pu l'espérer, disait hier la Commission de la construction du Québec. Plus de 13 500 nouveaux travailleurs ont rejoint ses rangs l'an dernier et plus de 10 000 devraient pouvoir en faire autant cette année. «Les carrières de la construction offriront de belles perspectives d'emploi, notamment pour les travailleurs qualifiés mis à pied dans les secteurs manufacturier ou primaire», a déclaré André Ménard. Les 140 000 travailleurs de la construction pourront surtout partir l'esprit tranquille pour leurs vacances, qui commenceront le dimanche 19 juillet et devront malheureusement se terminer deux petites semaines plus tard, le 1er août. http://www.ledevoir.com/2009/07/10/258499.html
  2. Édifices anciens dans le couloir de la mort Le Devoir Antoine Robitaille Édition du vendredi 10 juillet 2009 Mots clés : conservation, Édifices anciens, Patrimoine, Québec (ville) Avant-hier, dans un geste désespéré, la Fondation Héritage Canada inscrivait la chapelle, construite en 1896, à son palmarès des dix sites les plus menacés au Canada. Avec les démolitions d'édifices anciens qui se multiplient à Québec, ville prospère, la conservation du patrimoine pourrait devenir un des enjeux clés de la campagne électorale municipale dans la capitale. Le maire, Régis Labeaume, qui n'a pour l'instant aucun adversaire, admet être très agacé par «ceux qui veulent tout conserver, mais qui n'ont aucune idée de ce qu'ils veulent faire avec ce qui serait conservé». Québec -- L'artère emblématique de Québec, la Grande Allée, sera le théâtre des plus importantes démolitions à survenir depuis les décennies 1960 et 1970. À l'époque, les maisons victoriennes à côté du parlement ont été rasées et on a assisté à l'érection d'édifices modernes mal aimés tels le Complexe H et le Concorde. Aujourd'hui, ce sont deux édifices anciens et religieux qui attendent dans le couloir de la mort: la chapelle des Franciscaines (388, Grande Allée) et le monastère des Dominicains (175, Grande Allée). Avant-hier, dans un geste désespéré, la Fondation Héritage Canada (FHC) inscrivait la chapelle, construite en 1896, à son palmarès des dix sites les plus menacés à l'échelle pancanadienne. La FHC y voit «le plus bel exemple de décor néo-baroque» du Québec que «seul un miracle peut sauver». Mais le sort en est jeté: la chapelle tombera sous le pic des démolisseurs Voir page A 10: Édifices dès cet été, après les vacances de la construction et après qu'il aura été désamianté. Le permis de démolition a été délivré en 2008. La congrégation religieuse a vendu la chapelle et un bâtiment attenant à la Société municipale d'habitation Champlain (SOMHAC) dans les années 1980, créant la Résidence Grande Allée. Des personnes âgées en perte d'autonomie y logeaient. Le bâtiment a été négligé. En 2003, il a été vendu à des intérêts privés. Dans un avis, la Régie du logement autorisa la vente en notant que «le droit au maintien [des locataires] dans les lieux est protégé». On notait aussi que l'acquéreur avait promis de procéder «à la réparation des fenêtres [...] et à l'entretien de cette chapelle qui ferait partie du patrimoine historique de la ville de Québec». Mais trois ans plus tard, les propriétaires, dont le pharmacien Michel Cadrin, expédiaient des avis d'éviction aux locataires. La Régie du logement fut saisie de l'affaire et se prononça en 2007. Elle autorisa les dernières expulsions et par conséquent la démolition en raison de la «vétusté» des édifices. La Régie soulignait que le projet du «locateur» visait à desservir «le même type de clientèle», soit les «personnes retraitées autonomes ou en légère perte d'autonomie». Mais en 2009, à la fin de l'été, ce sont 240 condominiums, construits en deux phases, qui seront mis en vente. Le projet de la firme Ogesco, baptisé L'Étoile, ne comptera aucun logement locatif et ne s'adressera pas à la clientèle mentionnée par la Régie, a confirmé hier Gratien Dubé, courtier immobilier et porte-parole de la firme Ogesco. Les quelques manifestations pour la préservation de cet édifice -- que la ministre de la Culture Christine St-Pierre et son ministère ne considèrent pas comme «patrimonial» -- ont toutefois eu un effet sur le promoteur, qui a décidé de conserver la façade de la chapelle, ses trois clochers, et de l'intégrer à son ensemble architectural. Les matériaux du nouvel édifice de neuf étages (moins élevé que ses voisins) évoqueront aussi l'ancien édifice, notamment son toit argenté. La présidente du Conseil des monuments et sites, Louise Mercier, juge la disparition de la chapelle «extrêmement déplorable». Le conseil déplore particulièrement le sort réservé à l'intérieur, dont les ornements ont été abandonnés et démantelés ces trois dernières années. C'était là, au sens du Conseil (et au sens d'un site Internet: voir eglisesdequebec.org), des éléments de valeur patrimoniale. Ils ont été cédés par le propriétaire à un artiste, Jean-Marc Mathieu-Lajoie, qui s'en est servi pour faire une «installation» baptisée par lui La Chute des anges. M. Mathieu-Lajoie a aussi acquis la coupole coiffant la nef et projette d'en tirer une autre oeuvre. Raser un monastère pour agrandir le musée Quant au monastère des Dominicains, adjacent à l'église Saint-Dominique, de style gothique anglais, le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) l'a acquis grâce à l'aide d'un mécène, le milliardaire Pierre Lassonde, et propose de le démolir pour le remplacer par un édifice spectaculaire qui jouxtera l'église. L'ancien directeur général du MNBAQ John Porter pilote ce projet, pour lequel un concours d'architecture international a été lancé. Le ministère de la Culture et le service d'urbanisme de la Ville ont conclu que l'édifice n'était pas patrimonial, surtout la partie abîmée par un incendie. Le MBNA conservera la partie du presbytère qui est d'origine. Le maire Régis Labeaume ne s'oppose pas aux deux démolitions. Il soutient que tout le monde est d'accord, «sauf Anne Guérette et son petit groupe». Architecte de formation et fondatrice d'Héritage Québec, Mme Guérette a été élue conseillère municipale indépendante dans Montcalm en décembre 2007. Dans une lettre envoyée en janvier 2008, la fondatrice du Centre canadien d'architecture, Phyllis Lambert, a fait savoir qu'elle l'appuyait dans son combat contre la démolition du monastère. Mme Guérette a aussi organisé des manifestations contre la démolition de la chapelle des Franciscaines. «Le problème à Québec, c'est que tout est patrimonial selon certains. Ça commence à être ridicule, et plusieurs experts en patrimoine le pensent», répond le maire Labeaume, joint par Le Devoir. Il ne se dit pas «moins attaché» au patrimoine que les autres maires avant lui. Suffit de prononcer le nom d'Anne Guérette pour le faire sortir de ses gonds. «Mme Guérette fait de la politique avec son groupe. Son groupe est honnête. Mais elle, c'est une politicienne», lance-t-il. Récemment, cette dernière a proposé de faire une «Grande Allée muséale», c'est-à-dire d'agrandir le MNBAQ sur plusieurs sites, en convertissant plusieurs anciens édifices religieux de la Grande Allée (dont celui des Franciscaines) en «pavillons». L'idée met M. Labeaume en colère: «Au Québec, quand tu ne sais pas quoi dire, tu proposes un centre d'interprétation ou un musée. Ça fait 20 ans que j'entends ça. Il n'y a rien de plus éculé que cette vision-là.» Il poursuit: «Ça n'a pas une crisse de cenne et ça ne sait pas où en trouver non plus», peste-t-il. Selon lui, ces «intégristes» de la protection du patrimoine sont «toujours en train de demander au gouvernement et à la Ville de mettre de l'argent [dans ce domaine], mais ils ne sont pas capables d'aller voir des gens du privé, des mécènes». Il est certain qu'un bâtiment remarquable remplacera le monastère des Dominicains. À Québec, il est temps selon lui de créer le «patrimoine de l'avenir». http://www.ledevoir.com/2009/07/10/258518.html
  3. Atze

    Caricature du Devoir

    Bilan après-G8... Le Devoir Michel Garneau Édition du vendredi 10 juillet 2009 http://www.ledevoir.com/2009/07/10/258456.html J'en profite aussi pour vous mettre la photo de la une .... Photos: Jason Reed - Reuters (too bad, elle est petite... on la voit mieux ici: http://www.ledevoir.com/2009/07/10/une.pdf) Texte l'accompagnant: La marche est haute vers le sommet du monde et le chemin, semé d'embûches de toutes sortes. C'est sous l'œil torve et l'attention enjouée de deux très importants présidents, l'un français, l'autre américain, que la jeune déléguée brésilienne du Sommet junior a rejoint celui de son pays, le président Lula da Silva, sur le podium, tout à gauche. Une soixantaine de garçons et filles des pays membres du Groupe des huit, mais aussi de la Chine, de l'Égypte, de l'Inde, du Mexique, de l'Afrique du Sud et du Brésil ont commencé à se réunir à Rome. Ils présentaient hier aux dirigeants du G8 leurs propositions sur les droits de l'enfant et sur les changements climatiques.
  4. Sans vouloir relancer le débat qu'avait susciter le déplacement de La Joute, pourquoi ne pourrait-on pas déménager cet orgue à la future adresse symphonique si elle est si exceptionnelle.
  5. Patrimoine - Les églises d'Hochelaga-Maisonneuve auront une idée de leur sort en août Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du jeudi 09 juillet 2009 Mots clés : Fermeture, Hochelaga, Patrimoine, Église (immeuble), Montréal Les deux églises du quartier Hochelaga-Maisonneuve menacées de fermeture devront encore patienter quelques semaines avant d'être fixées sur leur sort. La semaine dernière, le comité de sauvegarde des deux lieux de culte a donné jusqu'à la fin d'août à une firme d'architectes et à une compagnie spécialisée en rénovation patrimoniale pour remettre des dossiers sur l'avenir des deux églises. «On aura des propositions beaucoup plus intéressantes avant la fin de l'été», résume Carole Poirier, députée de la circonscription à l'Assemblée nationale et porte-parole du comité. «Les solutions seront présentées à la population cet automne. Ce sera une forme de consultation.» Les deux églises catholiques, Très-Saint-Nom-de-Jésus et Saint-Clément, situées près l'une de l'autre dans la rue Adam, n'attirent presque plus de fidèles et coûtent des centaines de milliers de dollars à entretenir chaque année. L'évêché a donc décidé de les fermer au culte. L'objectif à moyen terme vise la construction de logements sociaux sur le site de Saint-Clément. Les esquisses préliminaires n'ont pas satisfait le comité. Les architectes doivent en livrer de nouvelles à la fin d'août. «Nous avons eu des discussions sur la préservation de l'église comme telle, explique Carole Poirier. On comprend bien qu'il ne sera pas possible de tout préserver. Nous avons tenté d'établir un compromis autour des sections à préserver absolument. Les architectes vont travailler à partir de ces idées.» Il est également envisagé de transformer la nef ou d'autres parties en centre de diffusion ou de création artistique. Des logements pour les artistes pourraient aussi être intégrés au projet, mais il y a loin de la coupe aux lèvres. «Il y a plusieurs groupes associés au projet parce qu'on veut mettre en place un mouvement d'économie sociale, dit Mme Poirier. Les services connexes seront tous offerts par des organismes de l'économie sociale présents dans Hochelaga-Maisonneuve.» Une douzaine de personnes assistaient à la rencontre de la semaine dernière. Le comité a aussi décidé d'octroyer un contrat pour l'examen de la structure de Très-Saint-Nom-de-Jésus. La firme recommandée par le ministère de la Culture doit déterminer la nature et le coût des travaux à réaliser à court, à moyen et à long terme sur la structure de l'édifice centenaire. Avec ses 5000 mètres carrés, ce temple a la taille d'une cathédrale romano-bysantine. L'orgue de tribune de la maison Casavant frères (opus 600), installé en 1915, est toujours un des plus puissants au monde. L'orgue a été restauré pendant la dernière décennie, avec l'aide de l'argent public, mais aussi de dons des citoyens. Si l'église doit être démolie, le comité étudie la possibilité de conserver l'instrument de 91 jeux, répartis sur quatre claviers, dans l'église voisine de la Nativité. Cette seule opération délicate coûterait trois quarts de millions. http://www.ledevoir.com/2009/07/09/258364.html
  6. Beaucoup de travaux à prévoir sur Pie-IX ...
  7. Voie réservée aux autobus - Pie-IX: entente entre la STM et l'AMT Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du jeudi 09 juillet 2009 Mots clés : AMT, Voie réservée, Pie IX, Transport en commun, Transport, Montréal Les autobus rouleront au centre, dans le sens de la circulation En février dernier, la ministre des Transports, Julie Boulet, avait sommé la STM et l'AMT de cesser de se disputer au sujet de l'aménagement d'une voie réservée sur le boulevard Pie-IX. Elle avait alors menacé d'imposer elle-même une solution si le litige perdurait. Son message a été entendu et, après des mois de discussions, les deux sociétés de transport se sont entendues sur un concept d'aménagement. La Société de transport de Montréal (STM) et l'Agence métropole de transport (AMT) viennent de soumettre une proposition au ministère des Transports du Québec pour l'aménagement d'une voie réservée sur le boulevard Pie-IX. Selon le concept qui a fait consensus, les autobus rouleront au centre de cette artère achalandée, et non en rive comme le privilégiait l'AMT, a appris Le Devoir. Le boulevard Pie-IX est l'une des artères les plus fréquentées de la métropole. En 1990, une voie réservée avait été aménagée au centre du boulevard. Aux heures de pointe, les autobus roulaient à contresens de la circulation dans une voie qui leur était dédiée. Le service a été interrompu en 2002, après la mort de quatre piétons. Depuis des années, l'AMT, une agence gouvernementale, privilégiait la création d'une voie réservée en bordure des trottoirs, un scénario rejeté catégoriquement par la STM. Des années de querelles ont finalement conduit la ministre Boulet à lancer un ultimatum en février dernier. Elle a alors créé un comité de travail et demandé à son sous-ministre Denis Jean et au directeur général de la Ville de Montréal, Claude Léger, de rapprocher les parties afin qu'une proposition puisse lui être soumise avant la fin du mois de juin. La STM et l'AMT ont finalement conclu une entente de principe qui prévoit l'aménagement d'une voie réservée au centre de l'artère. Selon les informations obtenues par Le Devoir, les autobus rouleraient dans le sens de la circulation, et non en contresens comme c'était le cas jusqu'en 2002. De plus, le circuit serait emprunté par des autobus traditionnels, car la STM ne veut pas être obligée de se doter de véhicules particuliers pour ce circuit. Ce choix implique que les passagers descendraient du côté de la circulation automobile et que des aménagements seraient nécessaires pour assurer leur sécurité. La Ville de Montréal et la STM tenaient absolument à ce que les autobus puissent disposer de voies au centre de l'artère, car elles estimaient que l'efficacité du service en dépendait même s'il s'agit d'une solution plus coûteuse. À plus long terme, la Ville songe à implanter un tramway sur ce circuit. Au MTQ, on s'affaire à préparer le rapport de recommandation qui doit être remis à la ministre Boulet. «C'est une question de quelques semaines avant que la ministre prenne connaissance du rapport, l'étudie et donne son approbation», a indiqué une source près du dossier. Il a toutefois été impossible de connaître les coûts du scénario privilégié ni les détails liés à l'aménagement des infrastructures qui seront nécessaires. Pour la Ville, le projet est prioritaire, car il permettra de transporter jusqu'à 50 000 personnes par jour. Le responsable du dossier des transports au comité exécutif, André Lavallée, s'est fait avare de commentaires, mais il soutient que le consensus obtenu satisfait la Ville de Montréal et la STM. «Il y a eu, pendant quelques années, beaucoup trop de débats d'experts. Le but du comité de travail était justement d'avoir un système de transport efficace pour l'est de Montréal qui pourrait être un modèle du genre pour d'autres voies», a-t-il indiqué. http://www.ledevoir.com/2009/07/09/258378.html
  8. Irving sont déjà très bien implantés dans l'est du Québec (je crois même jusqu'à Trois-Rivière et Sherbrooke) depuis plusieurs années. La plupart de leur station service ont un dépanneur Couche-Tard (les anciens dépanneurs Mainway). Mais bon, avec l'histoire du Irving Whale et la position anti-Québec de l'ancien dirigeant, je comprends qu'ils soient difficile de les aimer.
  9. L'industrie pétro-chimique de Montréal est entrain de prendre une sérieuse raclée... Shell, Pétromont, l'autre à Varenne dont j'ai oublié le nom... c'est une belle expertise que nous perdons, malgré les conséquences environnementales de celle-ci.
  10. Je vois ça plutôt d'un œil positif, si le Canada devient un pôle international pour la production de jeux vidéo, on est tous gagnant... maintenant c'est à Montréal de prouver son leadership dans le domaine.
  11. Je crois que c'est une bonne chose, le coin est un peu dangereux et sujet à des bouchons très imprévisibles alors que les gens roulent à grande vitesse. La majorité des gens quittent l'autoroute dans ce coin, j'espère par contre que ça ne contribuera pas à plus d'étalement urbain, Québec n'est vraiment pas un exemple à suivre dans ce sens.
  12. Je crois que l'on peut considérer les deux projets de port métanier au Québec sont comme mort, il n'y a pas beaucoup d'alternatives à Gazprom.
  13. Gazprom se désiste Radio-Canada Mise à jour le dimanche 28 juin 2009 à 17 h 51 Le géant gazier russe Gazprom a annoncé qu'il se retire du projet de terminal méthanier Rabaska dans la région de Québec. Le patron de Gazprom, Alexei Miller, a affirmé qu'il ne comptait plus investir dans le projet évalué à 840 millions de dollars. La nouvelle du retrait de Gazprom du projet de terminal méthanier Rabaska circulait depuis vendredi. Elle avait notamment été rapportée par le International Oil Daily. Rappelons que l'entreprise russe s'était jointe l'année dernière au consortium formé par Gaz Métro, Enbridge et Gaz de France. Les promoteurs du projet assurent cependant que le retrait de la société russe ne compromet pas sa réalisation. Même s'il se retire, Gazprom pourrait tout de même approvisionner le terminal de Rabaska en gaz naturel. Un retrait accueilli avec joie Les opposants au projet Rabaska se réjouissent de la nouvelle du retrait du géant russe. Le collectif Stop au méthanier voit d'ailleurs dans la décision de Gazprom un prélude à l'abandon pur et simple du projet. Ce regroupement de citoyens et de groupes environnementaux demande maintenant à Gaz Métro de mettre fin définitivement au projet. De son côté, Gaston Cadrin, président du Groupe d'initiatives et de recherches appliquées au milieu et auteur du livre Rabaska : Autopsie d'un projet insensé, estime que la décision de Gazprom n'a rien de surprenant. « Je pense que de plus en plus, ce projet bat de l'aile puisqu'il y a la crise économique, bien sûr. Il y a le prix du gaz en Amérique du Nord qui est de 4 $ du 1000 pieds cubes alors qu'il est de 12 $ en Europe ou l'équivalent [...] On compte sur un projet dont la faisabilité n'a pas encore été démontrée. Donc, je pense qu'il y a très peu d'espoir », dit-il. http://www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2009/06/28/001-gazprom_retrait_rabaska.shtml
  14. Atze

    POM - 10 étages (2011)

    Adieu stationnement, place au projet POM Le 27 juin 2009 Danielle Bonneau La Presse Le terrain de stationnement à l'intersection de la rue Saint-Hubert et du boulevard René-Lévesque ne sera bientôt plus qu'un souvenir. Sur les lieux s'élèvera un immeuble de 10 étages qui comprendra 138 appartements en copropriété. La construction du bâtiment, baptisé POM, a déjà commencé et les copropriétaires emménageront l'an prochain. Après avoir réalisé l'hôtel Hilton Garden Inn, rue Sherbrooke Ouest, le Groupe Canvar effectue cet autre projet au centre-ville de Montréal. Le POM devait à l'origine viser une certification LEED (Leadership in Energy and Environmental Design), ce qui explique en partie son nom. Même si le promoteur ne cherche plus à obtenir la fameuse certification écologique, le bâtiment conserve plusieurs caractéristiques vertes. «Tous les matériaux proviennent du Québec, explique Richard Varadi, responsable du projet au sein de l'entreprise familiale, fondée en 1975. Cela permet de réduire les frais de transport, tout en encourageant des compagnies locales. Nous porterons aussi une grande attention à l'étanchéité et à l'efficacité énergétique de l'immeuble: il sera enveloppé de mousse de polyuréthanne giclée et comportera des fenêtres à haut rendement énergétique.» Le projet, situé à proximité de la station de métro Berri-UQAM et de l'Université du Québec à Montréal, devait à l'origine compter 170 logements. Les plus petits auraient eu une superficie de 400 pieds carrés pour accommoder des étudiants. Mais la demande pour des logements comptant deux chambres est telle que le Groupe Canvar a jumelé certains appartements, révèle Michèle Veilleux-Poulin, responsable des ventes et du marketing. De style contemporain, tous les condos seront dotés d'un balcon. Les futurs copropriétaires auront accès à une terrasse et une piscine sur le toit. D'une superficie variant de 580 à 1226 pieds carrés, les appartements coûtent de 152 000$ à 398 000$ (taxes en sus). Les appartements-terrasses de type penthouse, au dixième étage, sont plus chers. Les stationnements seront souterrains pour faire place à une cour intérieure. «Ce projet contribue à ramener des citoyens au centre-ville et nous en sommes très heureux, souligne Jacques-Alain Lavallée, porte-parole de l'arrondissement de Ville-Marie. Ce secteur est en train de se transformer. Avec l'ouverture de l'épicerie IGA à la Place Dupuis et la piétonnisation de la rue Sainte-Catherine Est, il est plus agréable d'y vivre.» http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/200906/26/01-879211-adieu-stationnement-place-au-projet-pom.php
  15. Jardins Windsor: poursuite de 2,1 millions Publié le 27 juin 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Francis Vailles La Presse (Montréal) Les copropriétaires d'un ensemble de condos du centre-ville se plaignent des multiples défauts de leurs immeubles et exige un dédommagement du promoteur, True North Properties. La poursuite des cinq syndicats de copropriétaires des Jardins Windsor a été déposée au palais de justice de Montréal, le 22 juin. On y réclame 2,1 millions à la firme albertaine True North pour une pléthore de problèmes touchant les fondations, le système de chauffage, l'insonorisation, les ascenseurs et la piscine, entre autres. Les Jardins Windsor sont situés dans le quadrilatère formé par les rues Saint-Jacques Ouest, Jean d'Estrées, Notre-Dame Ouest et de la Montagne. Les condos ont été construits en 2005. Le complexe comprend environ 650 unités de deux ou trois chambres à coucher. Chaque unité se vend entre 200 000$ et 300 000$. Plusieurs sont louées par les copropriétaires. L'emplacement des Jardins Windor est celui que convoitaient les Expos de Montréal pour construire un stade de baseball il y a quelques années. Dans la requête, les demandeurs affirment avoir transmis une mise en demeure à True North au mois d'avril exigeant de procéder à la correction des défauts. Ils se basent sur un rapport de la firme Amec selon lequelle complexe comporterait des déficiences majeures. La requête passe en revue les déficiences reprochées pour chacune des phases. Essentiellement, il y aurait des défauts à l'architecture, à la mécanique du bâtiment, à la structure, aux ascenseurs, à la toiture, au revêtement de façade, à la plomberie, à l'électricité et à la sécurité. Chez True North, la réplique est venue de l'avocat Jean-Pierre Dépelteau, de la firme Fraser Milner Casgrain. «Ces problèmes sont tous niés. Ceux qui ont vendus (leurs condos) ont fait des profits importants. C'est une procédure judiciaire qui a été prise à la hâte pour interrompre la prescription (NDLR: délai fixé par la loi pour intenter une poursuite)», dit Me Dépelteau. Selon l'avocat, les éléments pour lesquels il y avait un fondement étaient mineurs et ont tous été réparés. «True North est un propriétaire qui prend soin de ses choses, qui a engagé des experts et qui a porté une attention particulière aux points soulevés. Certains points mineurs ont été réparés depuis deux ans», dit-il. Jean-Pierre Dépelteau indique que les deux parties avaient convenu de se rencontrer il y a quelques jours, mais «les procureurs ont intenté une action en justice, la rencontre n'a jamais eu lieu et je ne sais pas si elle va avoir lieu». «Dégueulasse» Me Dépelteau juge les poursuivants de mauvaise foi. «Quand on joue dans le dos, là, moi je vais avoir des recommandations à faire à mes clients... Je trouve assez dégueulasse ce qui se passe. Et ça, c'est toute la différence entre une attitude de bonne foi et de mauvaise foi. Notre client a toujours eu une attitude de bonne foi, lui», a-t-il dit. La Presse Affaires a tenté de joindre l'avocat des poursuivants, Arthur Wechsler, de la firme Kugler Kandestin, mais sans succès. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/200906/26/01-879292-jardins-windsor-poursuite-de-21-millions.php
  16. Beau travail ! Ce n'est peut-être pas pertinent, mais il y a un projet de condo sur St-Alexandre dans les anciens locaux de l'UQAM.
  17. Wow, les immeubles de la place d'armes sont étaient vraiment très beaux.
  18. Etienne, je ne sais pas si le projet était sérieux ou seulement pour "tester" la réaction face à son projet.
  19. Y a une place juste en face(1071 boul. St-Laurent (j'ai leur carte fidélité !)) qui en fait des très bon aussi, et une autre quelques commerces plus au nord du même côté, mais ils sont moins bons.
  20. Ça ne parait pas beaucoup sur les photos, mais le trou est assez impressionnant.
  21. Ça semble avancer, mais à chaque fois que je passe, ça semble mort... je ne sais pas si c'est parce que c'est une rénovation plutôt qu'une nouvelle construction que j'ai cet impression la.
  22. Sur la place du quartier chinois (dont j'oublie le nom), il y avait une démonstration de 7 carré, beaucoup d'asiatique(et de non-asiatiques aussi) semblaient très intéressés, ça contrastait avec la pagode juste à côté !
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