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Gbx

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Tout ce qui a été posté par Gbx

  1. True, not only new constructions depend on the actual condition of the market but also on the expectation that the market will be even more tight in a 2-3 years horizon. This hasn't happened yet.
  2. Oui mais tu parles de la rue St-Jacques surtout. En revanche le "vieux" vieux Montréal autour de la place Jacques Cartier (la Marie avec son style second empire) a quand même un look très européen.
  3. Je ne sais pas si on l'a déjà remarqué dans ce thread ma la plaza swatown vient de ravir au crystal de la montagne le titre de l'éclairage le plus quétaine de la ville wow. La façade était presque entiérement éclairée hier dans un style "arc en ciel" trèèès flashy.
  4. Je comprends avec ta dernière remarque que tu proposes de laisser le stade dans son état actuel, ce qui est peut être la solution qui fait "économiquement" le plus de sens. Je ne suis pas sûr de voir la continuité avec ton commentaire précédant (tu nous parler de génie créatif et sens de l'innovation) mais je rejoins les points de ta dernière remarque. Précision: le coût cité est une valeur actuelle donc comprends la valeur des intérêts sur la "dette" pondérés par la valeur de l'argent dans le temps. Que la dépense soit non prioritaire, ça tout le monde en a conscience, surtout le gouvernement. Il est clair qu'un investissement dans le stade n'est pas financièrement et politiquement rentable. Mais le laisser en l'état revient à le condamner car le toit actual va continuer à se détériorer et sa structure n'est pas faite (à ce que je sache) pour suppourter d'être un stade ouvert à l'année longue. En revanche on souligne souvent que le stade est un symbole de Montréal, alors de cette façon nous échappons-nous d'une certaine responsabilité collective d'entretenir cette "icône"? Je pose la question sans avoir la réponse.
  5. Bla bla bla, le pouvoir infini du cable. Il n'empêche qu'on n'a pas encore trouvé la solution technique adéquate pour un toit ouvrant. L'architecte a beau être fru et a raison de dire qu'il n'a pas conçu le stade pour un toit fixe, sa solution technique ne marche pas avec nos hivers point. La proposition de SNC n'est peut être pas la solution idéale, mais elle a l'avantage énorme de fonctionner (ou du moins a été validée 2 fois par des firmes indépendantes allemandes, et vous savez, the germans always make good stuff, right?? avec des tests en soufflerie).
  6. Gbx

    Le Mil-N - 7 étages (2012)

    C'est une résidence pour personnes du troisième age, pas un hlm, non?
  7. Petite précision: le projet est sur de la Roche et non sur Christophe Colomb. D'ailleurs il y a au moins deux autres petits projets de condos en finalisation/construction sur la même rue. Les appartements sont tous en location et déjà occupés à ma connaissance, construit par un propriétaire/développeur.
  8. Lol, cela pourrait être une suggestion pour un nouveau réglement municipal: le NIMBYsm est passible d'une main coupée, kwik.
  9. Je pense qu'il y a plus d'asiatiques à Brossard qu'à Montréal! Kanda correct pour le prix mais pour du suchi haut de gamme, il y a bien sûr le Jun I sur Laurier mais j'aime bien aussi Oishii sushi sur Bernard. Je cherche toujours en revanche une bonne place pour les fameux Ramen et les autres mets japonais malheureusement peu connus à Montréal (brochette Yakitori, grillade Yakiniku, Shabu Shabu etc...). Pour la cuisine chinoise, je suis pas vraiment amateur mais il y a une place de dumling connue dans NDG, faudrait que je retrouve l'adresse.
  10. Pas pour ce projet, je crois que ça va avancer très rapidement. Toute les oligations du consortium sont placées et portent déjà à intérêt. Maintenant tout est en place pour que la construction aille le plus vite possible.
  11. Pas si sûr, car il y a plus d'incertitude quand à la capacité d'un petit marché à absorder un projet par rapport à un projet de taille comparable dans un plus gros marché. Ça ne m'étonnerait donc pas qu'il les investisseurs soient plus prudents à lancer des nouveaux projets dans un petit marché et attendent donc des signes d'un marché nettement favaroble aux loueurs, ce qui est reflété entre autre par le taux d'innocupation des immeubles.
  12. C'est les vacances de la construction et ça se voit. En plus je crois qu'il devait limiter l'activité du chantier à cause de Juste pour rire.
  13. Bisbille au Crystal Publié le 21 juillet 2010 à 06h22 | Mis à jour le 21 juillet 2010 à 06h34 Photo François Roy, La Presse Le projet mixte de 27 étages Crystal de la Montagne, érigé en face du Centre Bell, a été lancé en grande pompe en 2005 et devait marquer un tournant dans l'immobilier haut de gamme de Montréal. L'histoire tourne au vinaigre. Maxime Bergeron et Stéphanie Grammond La Presse La bisbille frappe le prestigieux complexe immobilier le Crystal de la Montagne, qui est au coeur de poursuites croisées totalisant plusieurs millions de dollars. Le projet mixte de 27 étages, érigé en face du Centre Bell, a été lancé en grande pompe en 2005 et devait marquer un tournant dans l'immobilier haut de gamme de Montréal. Mais la construction a duré quatre ans et demi plutôt que deux, et l'immeuble a généré un important déficit même si presque tous les logements ont été vendus. Les deux promoteurs s'entredéchirent aujourd'hui en cour pour récupérer des millions de dollars qu'ils estiment chacun leur être dus. Il s'agit de l'homme d'affaires James Essaris - propriétaire de Stationnement métropolitain - et de Pierre Parent, président du groupe Parim inc. et de Resort One. La fiducie de M. Essaris a agi à titre de gestionnaire dans la construction du gratte-ciel, tandis que M. Parent s'est occupé du marketing et de la vente des 131 copropriétés hôtelières et 59 appartements de luxe. Dans une poursuite déposée le 9 juillet au palais de justice de Montréal, Pierre Parent, très connu dans le secteur québécois de l'immobilier, affirme avoir rempli sa partie du mandat «avec brio». Il dit avoir réussi à vendre la presque totalité des logements, ce qui a permis de récolter des revenus de plus de 80 millions de dollars. Or, allègue-t-il, son partenaire James Essaris «refuse de signer les chèques» pour ses services rendus. M. Parent et sa société R.O. Canada réclament le versement de 1,78 million en commissions impayées. Dans une demande d'injonction distincte, Pierre Parent demande aussi la moitié des 11 appartements invendus dans le Crystal, ce qui équivaut à 3,38 millions. Selon la poursuite, le contrat entre les deux hommes stipule que les logements restants seraient partagés entre les promoteurs au plus tard huit mois après la fin des travaux, lesquels ont été achevés en avril 2009. Autre son de cloche De son côté, James Essaris soutient que Pierre Parent lui doit près de 5 millions de dollars. M. Essaris, qui possède plus de 24 000 places de stationnement, était propriétaire du terrain sur lequel le Crystal a été bâti. Sa valeur avait été évaluée à 6 millions au lancement du projet, dit-il, et il cherche maintenant à récupérer son apport en capital ainsi que les intérêts engagés auprès de M. Parent. Il a d'ailleurs déposé une poursuite contre son partenaire l'hiver dernier. «S'il paie mes 5 millions de dollars, cela ne me dérange pas de lui donner son argent», a dit M. Essaris hier pendant un entretien téléphonique. L'homme d'affaires estime que son partenaire a été «malhonnête» dans toute cette affaire. Il affirme que Pierre Parent a vendu et ensuite «revendu» certains logements, ce qui lui a permis d'empocher des commissions auxquelles il n'aurait pas eu droit. Pierre Parent se défend de toute malversation. «Toutes les commissions que j'ai touchées, ce sont des commissions qui étaient documentées avec des contrats, avec chacune des personnes de qui j'ai touché ces commissions-là», a-t-il lancé à La Presse Affaires en réponse aux accusations de son partenaire. En définitive, malgré la vente de la majorité des logements, le projet a perdu environ 5 millions de dollars, soutient M. Parent. Il attribue principalement ce déficit aux retards de construction. James Essaris dit pour sa part avoir perdu 13 millions. Acheteur coincé Par ailleurs, Le Crystal de la Montagne S.E.C. est poursuivie par une société à numéro de Laval. Il s'agit d'un acheteur qui a signé un contrat préliminaire pour l'achat d'une unité de copropriété hôtelière, en septembre dernier. Il a versé un dépôt de 73 490$. Mais il n'a jamais réussi à obtenir de financement. Toutes les institutions financières et plusieurs courtiers immobiliers lui ont dit qu'ils ne finançaient plus le projet, allègue-t-il dans sa requête présentée en Cour supérieure, le 11 juin. Incapable de conclure la transaction, l'acheteur veut récupérer son dépôt que le Crystal refuse de lui rendre, soutient-il. Il a été impossible d'obtenir les commentaires de l'avocat du Crystal qui est à l'extérieur du pays. Il est vrai que les copropriétés hôtelières sont beaucoup plus difficiles à financer qu'auparavant. «Il y a plusieurs prêteurs qui ne touchent pas à ça», dit Denis Doucet, directeur régional du courtier hypothécaire Multi-Prêts. Comme avec les copropriétés indivises, les prêteurs ont peur d'être coincés dans un panier de crabes, avec un promoteur qui s'occupe de la location et un groupe de copropriétaires qui ont tous leur mot à dire. Personne ne peut agir librement sans le consentement des autres. «Quand il y a plusieurs maîtres à bord, c'est difficile de savoir qui tient le gouvernail», dit M. Doucet. Néanmoins, il y a encore des institutions qui financent les copropriétés hôtelières, dans la mesure où l'acheteur a un bon dossier de crédit et une capacité de remboursement suffisante. Les demandes de financement pour le Crystal ne sont pas systématiquement refusées, a pu confirmer La Presse Affaires. Il reste que le marché de la revente de copropriétés hôtelières est morose. «En ce moment, ça ne se vend pas très bien. La récession n'a pas aidé et il n'y a pas eu de Grand Prix l'an dernier. D'autres hôtels ont ouvert leurs portes au centre-ville», résume Louise Latreille, un des agents qui ont vendu les unités du Crystal à l'origine. De plus, les acheteurs potentiels de copropriétés hôtelières surveillent de près les changements apportés à l'hôtel Saint-Sulpice, dans le Vieux-Montréal. Cet hôtel était dirigé depuis huit ans par Resort One, comme le Crystal. Mais à la fin de son mandat, en février dernier, les 108 copropriétaires ont repris la gestion de l'établissement.
  14. Ils sont aussi à la place Mercantile sur McGill Collège, peut être un bureau de représentation pour les clients corpo.
  15. Euh... il y a rarement eu autant de projets à Montréal. Tu as qu'à voir dans le quartier Rosemont, les condos poussent de partout.
  16. Cool les photos des cuves. Beau projet, j'espère que le reste de la brasserie trouvera également une nouvelle affectation prochainement!
  17. Je suis surpris tout de même. Est-ce en majorité des Européens? Avant d'y être allé pour affaires, je suis allé visité Toronto en "touriste" il y a 2 ans et j'ai trouvé ça bien plaisant, surtout la ballade en vélo dans les îles. La vue sur le "downtown" y est à couper le souffle. Toronto regorge aussi de quartiers colorés et vivants dès que l'on sort du centre ville et on y mange fort bien (je pense au distillery disctrict mais aussi à des coins comme "the annex"). Certains des édifices sont tout de même spectaculaire (1 king street ou l'immeuble de la bourse, le siège de scotia) et les musées sont intéressants (ROM, Bata shoe museum, AGO). Certes Toronto n'est pas une grande destination touristique mais reste tout de même un "must see" dans la région.
  18. La bonne nouvelle c'est que le CUSM n'a plus à attendre qui que ce soit, c'est maintenant SNC qui est mettre d'oeuvre du projet.
  19. Gbx

    Southam Lofts

    Une grande affiche pour la promotion des condos a d'ailleurs été récemment installée sur le coté de l'édifice.
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