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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Un rendement supérieur aux marchés en 2006 Les gestionnaires du principal bas de laine des Québécois, la Caisse de dépôt et placement, se félicitent, jeudi, d'un rendement annuel moyen de 14,6 % l'an dernier. Cette performance permet à la Caisse de s'afficher dans le premier quartile des grandes caisses de retraite canadiennes pour une troisième année consécutive. En fait, seules 5 % des grandes caisses canadiennes ont atteint le rendement moyen de 13,8 % enregistré au cours des trois dernières années par la Caisse de dépôt et placement du Québec. L'actif net de la Caisse dépasse maintenant les 143 milliards de dollars, en hausse de plus de 21 milliards de dollars par rapport à 2005. De cette dernière somme, 17,8 milliards sont considérés comme des revenus de placement nets. Les 3,5 milliards restants ont été déposés au cours de l'année. Les dirigeants de la Caisse ne commenteront pas les résultats de l'institution en raison de la présente campagne électorale au Québec.
  2. le nombre d'emplois a stagné et c'est ca qui compte le plus à mon opinion et non le nombre de compagnies.
  3. well you're in a country where people live over each other or almost, its so dense that any commuter train makes sense. But is it really worth the 150 million a km to reach the airport? We're talking for about 12 kms, thats almost 2 billions. The worst is that most of that 12 kms aren't residential but low industrial, who would use that metro?
  4. Les TIC, moteur de la croissance montréalaise Alain McKenna 21 février 2007 - 11h28 Même cinq ans plus tard, l'industrie montréalaise des technologies de l'information et des communications (TIC) vit encore avec le spectre de l'éclatement de la bulle techno. Pourtant, non seulement l'industrie a-t-elle rattrapé le temps perdu, elle est aujourd'hui le principal moteur de croissance de la métropole et de la province. Il serait temps qu'on s'en rende compte, clame Montréal International. «Les TIC représentent l'industrie privée la plus importante à Montréal et 80% des emplois spécialisés au Québec», expliquait la semaine dernière Lyne Bouchard, vice-présidente de Montréal International, à l'occasion de la Boule de cristal du CRIM. «J'en ai marre qu'on la sous-estime. Les yeux des robots envoyés sur Mars par la NASA ont été faits à Montréal. La grande majorité des films produits par Hollywood passent par Montréal pour leur postproduction. Il est temps qu'on s'intéresse à ce qui se fait dans les TIC d'ici», dit-elle. C'est pourquoi Montréal International vient de lancer un nouveau portail, appelé Techno Montréal (www.technomontreal.com), dont le but est d'informer les entreprises locales à propos… des entreprises locales. L'organisme montréalais croit que le maillage, une façon de développer des affinités entre entreprises, empêchera d'avoir à délocaliser une vaste majorité des emplois spécialisés en technos vers des marchés où la main-d'œuvre est plus abordable, comme en Asie. Tisser des liens entre des entreprises pourrait aussi donner naissance à de plus grandes entreprises, qui pourront livrer bataille avec les plus gros acteurs à l'échelle mondiale. Pas de doute, le maillage est un thème qui semble préoccuper de plus en plus de gens dans le milieu des technos, à Montréal et au Québec. Car malgré la vitalité du milieu et les nombreuses associations sectorielles (pensons seulement à l'Alliance numériQc pour le monde du multimédia), il n'y a toujours pas cette synergie qui pourrait avoir un effet boule de neige sur toute l'économie de la région. Selon Lyne Bouchard, il faudrait que les entreprises spécialisées dans les télécommunications aillent voir ce qui se passe de bon dans le secteur des jeux vidéo. Ou que les développeurs de logiciels rendent visite aux créateurs d'arts numériques. «Personne ne se parle, dit-elle. Il faut qu'on regarde ce que font nos voisins, ailleurs dans les technos de Montréal.» Les technos en santé au Québec Les chiffres démontrent de façon éloquente que les technos québécoises, après la déconfiture entre 2000 et 2002, sont de nouveau en santé. Au total, les TIC montréalaises comptent pas moins de 2700 entreprises, la grande majorité, on s'en doute, étant de petite ou de moyenne taille. En incluant les centres universitaires, les TIC emploient actuellement environ 110000 personnes, plus que les deux autres grands pôles technologiques de la métropole mis ensemble (aérospatiale: 38000 emplois et sciences de la santé: 40500). En gros, c'est 10% de l'ensemble des travailleurs de la région montréalaise. «À l'échelle nord-américaine, Montréal se classe au huitième rang au chapitre du nombre d'entreprises avec plus de 100 employés, et au troisième rang en termes de concentration», ajoute Mme Bouchard. Le nombre d'emplois du secteur est donc de retour à son niveau record de 2000. Pour sa part, selon Industrie Canada, la croissance de son chiffre d'affaires a été presque trois fois plus rapide que celle du produit intérieur brut (PIB) canadien, entre 1997 et 2007, malgré la correction boursière subie au tournant du millénaire. Les TIC montréalaises sont une industrie mature qui a le vent dans les voiles. Bonne nouvelle. Pourquoi, alors, ce sentiment d'insatisfaction de la part de la vice-présidente de Montréal International? «Si on ne s'intéresse pas à ce qui se fait ici, entre entreprises, on ne sera plus là pour en parler encore en 2012», dit Mme Bouchard.
  5. La compagnie Babel Media a annoncé qu'elle doublera ses capacités de production dans son studio de Montréal. Pas moins de 350 nouvelles personnes seront engagées afin de porter le total à 500. Mais qu'est-ce que Babel Media ? Au départ, Babel s'est surtout fait connaître pour ses services de traduction. Maintenant, la compagnie offre aussi des services d'assurance qualité, de création audio et de création de livrets et de boîtiers. En plus du studio de la métropole québécoise, créée en 2005, Babel possède des installations en Angleterre (Brighton), en Inde (New Delhi) et aux États-Unis (Los Angeles). Montréal continue donc de devenir une plaque tournante importante dans l'industrie du jeu vidéo, avec notamment Ubisoft, Electronic Arts, A2M et Eidos. Le directeur de Babel, Algy Williams, affirme avoir déjà des contrats signés de grosses compagnies.
  6. AVIS PUBLIC AUX PERSONNES INTÉRESSÉES AYANT LE DROIT DE SIGNER UNE DEMANDE D’APPROBATION RÉFÉRENDAIRE SECOND PROJET DE RÉSOLUTION CA07 090029 ADOPTÉ EN VERTU DU RÈGLEMENT SUR LES PROJETS PARTICULIERS DE CONSTRUCTION, DE MODIFICATION OU D’OCCUPATION D’UN IMMEUBLE (RCA02 09007) VISANT À AUTORISER LA CONSTRUCTION DE DEUX BÂTIMENTS DE ONZE ÉTAGES ET DE 44 MÈTRES DE HAUTEUR, POUR UN USAGE DE BUREAUX – EMPLACEMENT SITUÉ ENTRE LE BOULEVARD CRÉMAZIE ET LA RUE JACQUES-CASAULT, À L’OUEST DE L’AVENUE PAPINEAU - ZONE 0621 (dossier 1060449007) 1. Objet du projet et demande d’approbation référendaire À la suite de l’assemblée publique de consultation tenue le 29 janvier 2007, le conseil d’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville a adopté lors de la séance ordinaire du 5 février 2007, un second projet de résolution, lequel porte le numéro CA07 090029 et est intitulé tel que ci-dessus. L’objectif de cette résolution est d’accorder, pour le lot 2499279 du Cadastre du Québec, localisé du côté ouest de l’avenue Papineau entre le boulevard Crémazie et la rue Jacques-Casault, l’autorisation de construire deux bâtiments de onze étages et d’aménager un stationnement souterrain de trois niveaux ainsi qu’un stationnement extérieur, aux conditions énoncées audit projet de résolution et ce, malgré l’article 81 (pourcentage minimum de maçonnerie), l’article 87 (pourcentage maximum des ouvertures des façades), l’article 571 (localisation des aires de stationnement en cour avant) et l’article 566 (nombre maximum d’unités de stationnement) du Règlement d’urbanisme de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville (01-274). Ce second projet de résolution contient des dispositions qui peuvent faire l’objet d’une demande de la part des personnes intéressées des zones visées et des zones contiguës afin qu’une résolution qui les contient soit soumise à leur approbation conformément à la Loi sur les élections et les référendums dans les municipalités. Ainsi, une demande relative à la disposition ayant pour objet de déroger : - à la localisation des aires de stationnement en cour avant; - au nombre maximal d’unités de stationnement -thanks to Marty!
  7. Projet du Groupe Maurice 3 à 12 étages Situé sur Crémazie pas loin de Papineau
  8. Macquarie, ACS, SNC-Lavalin Picked to Bid for Montreal Highway By Joao Lima Feb. 20 (Bloomberg) -- Macquarie Bank Ltd., Australia's largest securities firm, and a venture including Spanish builders ACS SA and Acciona SA are among three groups picked to bid to finance, build and manage a highway project in Montreal. A group including SNC-Lavalin Group Inc., Canada's biggest engineering and construction company, and Dexia SA, a Belgian financial services company, was also invited to bid for the region's A-30 highway, the Quebec provincial government said in a statement on its Web site. A fourth group including Spanish builder Grupo Ferrovial SA that had earlier been interested in the project wasn't listed among the qualified bidders. To contact the reporter on this story: Joao Lima in Madrid at jlima1@bloomberg.net . Last Updated: February 20, 2007 04:40 EST
  9. Montréal accueille un centre mondial d'excellence sur le tourisme 19 février 2007 Presse Canadienne Il s'agit d'un nouvel organisme voué à la recherche et la création d'outils afin de soutenir le développement touristique durable des destinations à travers le monde. Ce centre est mis sur pied par l'Organisation mondiale du tourisme, une branche des Nations unies. L'organisme sera présidé par André Vallerand, ancien ministre du Tourisme du Québec et actuellement président du conseil des destinations de l'Organisation mondiale du tourisme. La direction générale du Centre, qui comptera initialement quatre ou cinq employés, a été confiée à François Bédard, professeur au département d'études urbaines et touristiques de l'Ecole des sciences de la gestion de l'UQAM. En procédant à l'annonce, lundi matin, le ministre des Travaux publics et Services gouvernementaux du Canada et responsable de la région de Montréal, Michael Fortier, a soutenu que l'implantation de l'organisme international générera des retombées de 10 millions $ sur trois ans. Parmi les outils offerts, on parle d'un système de certification de l'excellence des destinations touristiques, d'un portail électronique d'information, d'outils de gestion de marketing, de recherches comparatives et de formation. Le budget de l'organisme sera de 1,5 million $ pour les trois premières années, financé à parts égales par Québec et Ottawa. Le Centre entend devenir autosuffisant au terme de ces trois années et prévoit tirer ses revenus de la certification, des contributions de membres et de la vente de services divers issus de ses travaux de recherche.
  10. Les entreprises québécoises ont réalisé des performances records sur les marchés extérieurs 16 février 2007 Lise Millette, LesAffaires.com Pour une troisième année consécutive, le Québec a connu une augmentation de ses exportations. Avec une hausse de 3,3% des ventes de marchandises à l'étranger en 2006, cette poussée a été plus forte au Québec que pour l'ensemble du Canada, dépassant le montant record de 2005 qui était de 144G$. Selon les perspectives de croissance pour 2007, cette tendance devrait se poursuivre encore cette année, alors que les entreprises du Québec font preuve de dynamisme, dans un contexte marqué par la concurrence des pays émergents, par des fluctuations importantes du prix de l'énergie et du dollar canadien par rapport au dollar américain. C’est dans cette optique, que le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation a choisi de faire de l’exportation l’une de ses priorités, en précisant que la prospérité du Québec dépend, pour une bonne part, de ses échanges extérieurs. «Compte tenu de la taille modeste du marché québécois et dans un contexte de libéralisation des échanges, plusieurs milliers d'entreprises ont compris que la croissance de leurs activités repose sur leur capacité d'exploiter les occasions d'affaires offertes par les marchés d'exportation. D'ailleurs, il y a près de 10 000 exportateurs québécois qui vendent leurs biens à l'étranger», a déclaré Raymond Bachand.
  11. Moi je crois bien plus au plan #1 de Tremblay, plan dont il avait parlé il y a 1 ou 2 ans, quand il projetait une seule ligne pour commencer: Avenue du parc vers le sud, ensuite il allait vers l'est un peu, pour redescendre vers le sud jusqu'à la rue de la commune et utilisait l'ancienne voie ferrée qui y est encore vers l'ouest. Ensuite, il longeait le canal Lachine et s'arrêtait pas trop loin. Pour moi, c'est réaliste et permettrait de voir l'efficacité et si ça vaut la peine de d'agrandir le réseau après.
  12. En fait, je vais vous dire la vérité (et oui, désolé, je ne connais pas personnellement Pierre-Karl péladeau. Je sais que mon histoire était tellement plausible que certains se sont fait avoir!): Quand j'ai créé ce fil, j'ai copier-coller le modèle de fil du st-antoine (L'Étoile) pour que ça soit plus rapide, mais j'ai oublié de changer le nombre d'étages. Désolé de cette erreure...
  13. hehehe gardez vos photos de singes dans ce fil ci seulement svp heheheheh
  14. Il n'y a pas de quoi! J'espère qu'en sachant ça, tu vas pouvoir nous arriver avec de nouveaux projets! P.S. Mon Stéphane est bien plus beau que ton singe!
  15. mtlurb

    Montréal vs. Toronto

    et le cirque du soleil et le casino, c'est clair ils ont canceller super vite juste parcequ'il voulait pas etre associe avec le niaisage!
  16. bon.... le projet est encore sur la table! -------------------------- SECOND PROJET DE RÉSOLUTION - DATE LIMITE POUR SOUMETTRE UNE DEMANDE : 19 FÉVRIER 2007. SECOND PROJET DE RÉSOLUTION INTITULÉ : «ADOPTION, EN VERTU DU RÈGLEMENT SUR LES PROJETS PARTICULIERS DE CONSTRUCTION, DE MODIFICATION OU D'OCCUPATION D'UN IMMEUBLE, D'UNE RÉSOLUTION AUTORISANT LA CONSTRUCTION D'UN PROJET MIXTE QUI COMPORTE LA CONSTRUCTION DE RÉSIDENCES ÉTUDIANTES POUR L'ÉCOLE DE TECHNOLOGIE SUPÉRIEURE AVEC REZ-DE-CHAUSSÉE COMMERCIAL SUR L'ÎLOT DÉLIMITÉ PAR LES RUES NOTRE-DAME OUEST, DE LA MONTAGNE, ELEANOR ET BARRÉ». 1. Objet du projet et demande d’approbation référendaire À la suite de l’assemblée publique de consultation tenue le 30 août 2006, le Conseil de l’arrondissement a adopté le second projet de la résolution ci-dessus mentionnée lors de sa séance du 7 février 2007. La demande vise à autoriser, à certaines conditions, la construction d'un projet mixte qui comporte la construction de résidences étudiantes pour l'école de technologie supérieure avec rez-de-chaussée commercial sur l'îlot délimité par les rues Notre-Dame Ouest, de la Montagne, Eleanor et Barré. http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav4352.pdf
  17. Voici un exemple avec des images: 1 - Cliques droit sur la photo, ensuite cliques sur Propriétés, et copies l'adresse écrite à côté de Emplacement. 2 - Sur la page de nouveau message sur le forum, il y a une petite icon Insert Image dans la barre d'outil à messages (c'est le même icon que insert image sur Word). 3 - Cliques dessus, et colles l'adresse dans la barre qui va s'ouvrir. 4 - Cliques ok 5 - Et voilà!
  18. Voici un rendu de la maquette de la CDP. Il nous montre la PLace de la Cité Internationale vraiment plus petite que sur l'autre maquette. Je l'ai trouvé en recherchant de bonnes images de la CPD Capital, pour un projet dont je vais vous faire part quand je l'aurais fini. (que de mystères...hihihihi)
  19. Projet Montréal propose un réseau de tramway de 250 km Par Alain Perron Voir tous les articles de Alain Perron Article mis en ligne le 16 février 2007 à 16:11 Soyez le premier à commenter cet article Richard Bergeron, chef de Projet Montréal, a présenté son plan ambitieux d'un réseau de tramway de 250 km pour l'île de Montréal. (Photo: Régent Gosselin) Projet Montréal propose un réseau de tramway de 250 km L'île de Montréal sillonnée par 250 kilomètres de voies de tramway. Des tramways circulant sur l'avenue du Mont-Royal, du Parc, Saint-Laurent, Sherbrooke et Papineau. Cette vision est celle de Richard Bergeron, chef de Projet Montréal, qui a présenté son réseau de «nouveau tramway» pour Montréal. Le dévoilement de l'esquisse du réseau de tramway s'est fait lors du congrès de Projet Montréal, le 3 février dernier. Richard Bergeron propose pas moins de 250 kilomètres de réseau de tramway sur l'île de Montréal. Même si cela peut paraître beaucoup, 250 kilomètres, en 2007, signifie moins que le réseau qui existait en 1940. À l'époque, Montréal était traversé par 430 kilomètres de tramway, alors que seulement le tiers de l'île était occupé, le reste n'étant que champs et campagne. «Si on additionne les 70 kilomètres de métro, ceux du train de banlieue et les 250 kilomètres du tramway projeté, on arrive grosso modo à l'offre de transport collectif qu'on avait en 1940», fait observer M. Bergeron. Le coût de construction de ce réseau représenterait 10 milliards $. «Construire le métro aujourd'hui, correspondrait à un investissement de 10 milliards $. La décision de développer un réseau de tramway signifie le même genre de décision prise il y a 45 ans pour le métro», maintient le chef de Projet Montréal. Achalandage Développé en complémentarité avec le réseau de métro, d’autobus et de train de banlieue, le réseau de tramway viserait à porter le nombre de déplacements en transports collectifs à un milliard par année, soit deux fois et demie le nombre actuel. À voir les photos fournies par Projet Montréal, nous sommes loin des p'tits chars bringuebalants. Les tramways du XXIe siècle sont modernes, d'allure futuriste, plus légers et beaucoup moins encombrants sur la voie publique. Avec ce plan tramway, Projet Montréal souhaite combler l’écart creusé avec des centaines de villes dans le monde possédant déjà des réseaux de cette envergure, dont Sydney en Australie, Buffalo, Portland ou Denver aux États-Unis, Paris, Lyon ou Montpellier en France, Munich, Berlin ou Düsseldorf en Allemagne, à Istanbul ou Eskisehir en Turquie. Le chef de Projet Montréal signale aussi que «l’implantation d’un réseau de tramway de cette envergure, en plus d’accroître la fierté des Montréalais, permettrait de réduire la circulation automobile sur l’île de Montréal, contribuant ainsi à limiter les épisodes de smog et à réduire de manière importante les émissions de gaz à effets de serre». Un tramway pour bientôt Richard Bergeron croit que le maire de Montréal a confié au secteur privé la préparation de son plan de transport. «À ce que je sache, il n'y a pas d'exercice formel impliquant des fonctionnaires ni au plan de transport ni au tramway. Or, le maire annonce quand même la divulgation du plan de transport», analyse-t-il. Selon M. Bergeron le maire dévoilera au mois d'avril son plan de transport «avec dix ou quinze kilomètres de réseau de tramway, le tout en partenariat avec Bombardier, avec une concession de 30 ans, ou quelque chose du genre. D'ailleurs, depuis quand Bombardier annonce-t-il ses tramways à la télé?», interroge-t-il.
  20. mtlurb

    Montréal vs. Toronto

    Bell et Telus nient délaisser Montréal 16 février 2007 - 16h52 LaPresseAffaires.com Sophie Brouillet Bell (BCE)et Telus (T) nient concentrer leurs investissements culturels sur Toronto au détriment de Montréal, comme le soutenait le sénateur Serge Joyal la semaine dernière. «Nos investissements sont assez partagés entre le Québec et l’Ontario, rétorque le porte-parole de Bell, Pierre Leclerc. On trouve notre compte à Montréal.» «Ce n’est pas vrai», répond à M. Joyal le vice-président aux affaires communautaires de Telus Québec, Serge Leclerc, selon qui le diagnostic du sénateur résulte de plusieurs erreurs méthodologiques. Toutefois, ni Bell ni Telus n’acceptent de divulguer leurs budgets pour les investissements culturels dans les deux provinces. Dans une lettre ouverte à La Presse, M. Joyal écrivait que sur un an, les principales institutions culturelles torontoises avaient amassé 565 millions en contributions des compagnies privées, contre seulement 25 millions pour Montréal. Il donnait l’exemple de Bell et Telus, soulignant que Telus a contribué cette année pour 10 M$ à la construction du nouveau Conservatoire de musique de Toronto et s’est engagé à recueillir cinq millions pour cette cause auprès de son réseau d’affaires. Par comparaison, poursuivait-il, la société de téléphonie n’a donné que 20 000 $ au Musée des beaux arts de Montréal et 25 000 $ aux Grands Ballets canadiens. Quant à Bell, Serge Joyal soulignait son engagement face au nouveau «Festival Centre» de Toronto, une affaire de «plusieurs millions de dollars», et il faisait la comparaison avec les quelques dizaines de milliers de dollars consentis au Musée des Beaux-Arts de Montréal et aux Grands ballets canadiens. Selon le sénateur, «c’est Montréal qui n’offre pas à Bell et Telus l’occasion de se manifester en grand». Chez Telus, Serge Leclerc reproche à Serge Joyal de s’être fié uniquement aux communiqués publiés par la compagnie, alors qu’elle réalise plusieurs investissements sans les annoncer. Selon le vice-président, l’analyse ne tient pas non plus compte de certains dons qui pourraient être considérés comme culturels, par exemple la somme de 7,5 M$ accordée au Centre des sciences de Montréal. Il assure aussi ne pas manquer d’occasions de commandites ou de dons à Montréal. «C’est plutôt l’inverse, dit-il. Notre réalité est récente au Québec, on augmente notre présence progressivement et on est forcés de refuser certaines propositions.» Chez Bell, Pierre Leclerc indique que l’entreprise trouve au Québec de quoi répondre à ses besoins d’implication et de visibilité. «On a les occasions qui nous conviennent», assure-t-il.
  21. c'est fou le nombre d'histoires un peu partout en europe et aux USA qu'on a eu a cause de l'ouverture de eidos a Montreal! pub gratuite! Eidos sets up Montreal studio UK publisher becomes the latest to establish a development house in game-friendly province of Quebec. By Brendan Sinclair, GameSpot Posted Feb 16, 2007 4:26 pm PT With nearly 5,000 game development jobs, tax credits for software production, and publishers like EA and Ubisoft finding success in the city, Montreal may be the coldest hotbed of game development in the industry today. Yesterday it was announced the city would be receiving another studio from a frontline publisher, as Eidos and the economic development agency Investissement Quebec laid out plans to establish a new studio in Montreal. The studio will develop four games for the newest generation of systems and be accompanied by a new testing unit. Eidos expects to hire 110 people in Montreal by the end of the year, with the operation reaching 350 people within three years. Eidos attributed the pool of experienced talent in the area and tax incentives on game development as a pair of the factors that convinced it to establish operations in the city.
  22. mtlurb

    Centropolis Laval

    C'est pas trop loin de chez nous, je vous tiendrais au courant!
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