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  1. Le Devoir rencontre Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie - L’austérité, quelle idée toxique! L’un des impacts de l’accroissement des inégalités de revenu a été la perte d’influence de la population sur ses dirigeants politiques et leur médecine économique de droite, dénonce le prix Nobel d’économie, Joseph Stiglitz. Le monde est aujourd’hui aux prises « avec une terrible maladie » qui ravage notamment l’Europe et les États-Unis : l’austérité, a déclaré vendredi le célèbre économiste en entrevue au Devoir. « Nous savons pourtant, depuis la Grande Dépression, que l’austérité ne fonctionne pas. Le Fonds monétaire international [FMI] en a refait la démonstration plus récemment [lors des dernières crises monétaires] en Amérique latine et en Asie, et c’est à nouveau le cas actuellement en Europe. Ce qui est stupéfiant, c’est qu’autant de dirigeants politiques continuent malgré tout d’appuyer ces politiques discréditées, même si des voix aussi conservatrices que le FMI leur disent aujourd’hui que leur austérité est dangereuse et qu’il faut s’occuper de toute urgence de stimuler l’économie. C’est comme si les gouvernements avaient cessé d’écouter. » Le professeur d’économie de l’Université Columbia, à New York, devait s’adresser quelques minutes plus tard aux militants du NPD réunis en congrès ce week-end à Montréal. Ancien chef des conseillers économiques du président américain Bill Clinton, ex-économiste en chef de la Banque mondiale et corécipiendaire, en 2001, du « prix Nobel d’économie », il est devenu, petit à petit, l’un des grands pourfendeurs de l’idéologie économique de droite. Loin de jouer les vedettes, il se prête simplement et avec le sourire à la pluie de questions du journaliste qui cherche à tirer le maximum des quelques minutes qui lui ont été allouées. Avertissement : idées toxiques Cet entêtement à maintenir coûte que coûte le cap sur des politiques d’austérité est quand même étonnant de la part de gouvernements élus quand on sait le mécontentement que sèment ces politiques dans la population. Joseph Stiglitz l’attribue à l’un des nombreux effets pervers de l’autre grand problème qui occupe le plus son attention ces jours-ci. « L’accroissement des inégalités de revenus va de pair avec un accroissement des inégalités politiques. Notre démocratie s’en retrouve déformée. » Cela s’observe, entre autres, selon lui, par la traduction parfois bien imparfaite du vote aux élections en nombre de représentants élus, par l’influence démesurée des pouvoirs de l’argent sur les médias, ainsi que par la redoutable efficacité de la droite « à vendre ses idées ». « Si on peut vendre des produits toxiques, comme la cigarette, qui tuent des gens, on peut aussi vendre des idées toxiques, comme l’austérité. » Les idéologues de droite ont développé toutes sortes de trucs pour cela, comme le recours à des analogies accrocheuses, mais tendancieuses. « On va dire, par exemple : les familles savent qu’elles doivent vivre selon leurs moyens. Pourquoi les gouvernements ne le pourraient-ils pas ? Ça semble raisonnable, sauf que le temps dont on dispose et l’ampleur des conséquences en cause ne sont vraiment pas les mêmes. » Le prix de l’inégalité Les conséquences de cette médecine de cheval devraient pourtant nous crever les yeux, dit-il. L’Italie ne s’est jamais portée aussi mal depuis les années 30. Les économies grecque et espagnole sont objectivement en dépression. Les millions de chômeurs européens sont un spectaculaire gaspillage de capital humain dont le continent ne se remettra pas avant 10 ans. Les politiques d’austérité se font plus discrètes aux États-Unis, quoique bien réelles. Le secteur public accuse un déficit de 2,5 millions d’emplois depuis la crise alors que la création d’emplois dans le secteur privé est toujours anémique. Tout cela ne fait qu’aggraver le problème des inégalités, déplore l’Américain. « On ne parle pas seulement des inégalités de revenus, mais aussi de l’inégalité des chances d’améliorer son sort par son travail et son talent : le grand mythe au coeur du rêve américain », dit cet auteur de nombreux ouvrages, dont le plus récent est justement intitulé : Le prix de l’inégalité. La richesse médiane des familles américaines a reculé de 40 % depuis la crise et est revenu à ce qu’elle était il y a deux décennies. « L’économie n’a pas fait son travail pour la plupart des Américains. Cela montre que les politiques comme la déréglementation, le recul de la fiscalité progressive et le rétrécissement du filet social ont un prix. » Si certains gouvernements restent dans le déni, d’autres commencent à essayer de corriger la situation. Joseph Stiglitz cite en exemple les pays d’Europe du Nord, mais aussi le Brésil, qui a réussi en 20 ans à réduire des niveaux d’inégalités très élevés à coups de développement économique et de politique sociaux. « La bonne nouvelle, c’est que ça fonctionne. Cela montre qu’il n’est pas seulement question de forces économiques, mais aussi de la façon dont nous décidons d’influencer ces forces économiques. » Les leçons oubliées de la crise La faillite de Lehman Brothers et la Grande Récession ont provoqué un déchaînement de promesses de changements dans le fonctionnement du secteur financier, comme de l’économie en général. « Les progrès ont été décevants », estime Joseph Stiglitz. Certaines règles ont été resserrées, mais le monde bancaire en est ressorti encore plus concentré qu’il ne l’était. La récente découverte de la manipulation du Libor - un indice au coeur de l’immense marché des produits dérivés - et la restructuration chaotique de la dette grecque ont montré comment le fonctionnement de la finance échappe encore à presque tout le monde. L’économiste américain a été content d’entendre le président Obama faire référence, dans son dernier discours sur l’État de l’Union, au relèvement du salaire minimum, aux programmes d’éducation préscolaire et au problème de l’endettement étudiant. « C’est un scandale, 1000 milliards. On a des jeunes qui sortent des universités plus endettés que jamais et dont la formation ne leur permet pas de se trouver un emploi. Ils se retrouvent avec une dette, mais sans actif. Quand une bulle immobilière éclate, on se retrouve aussi avec une dette, mais il nous reste au moins une partie de l’actif. » La situation en Europe le désespère. Si la crise de l’euro a forcé les gouvernements européens à reconnaître certaines lacunes de leur ambitieux projet, il leur manque toujours une union bancaire, une union budgétaire, une stratégie de croissance commune ou encore une politique industrielle commune. Facteur d’espoir En 2008, le président français, Nicolas Sarkozy, a eu l’idée de créer une commission d’experts « sur la mesure des performances économiques et du progrès social », à la tête de laquelle il a placé Joseph Stiglitz. Son rapport concluait que le produit intérieur brut (PIB) était un indicateur bien imparfait du progrès des peuples. « Le rapport a eu un énorme succès populaire, se réjouit-il. La résonance de notre message montre que les gens ne veulent pas d’une poursuite aveugle de la croissance du PIB, mais une amélioration de leur qualité de vie, un partage de la richesse et un modèle de développement qui est durable. Je crois que c’est un facteur d’espoir. » http://m.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/375627/l-austerite-quelle-idee-toxiqu
  2. Plus de 5 700 statisticiens, provenant de partout sur la planète, se donnent rendez-vous à Montréal entre les 3 et 8 août prochains. Parmi eux: un jeune génie américain des prévisions. Pendant cette période, le Palais des congrès de Montréal accueillera le Joint Statistical Meeting 2013, la plus importante rencontre de statisticiens sur la planète. À cette occasion, les participants en profiteront pour célébrer l’Année internationale de la statistique, et discuteront ensemble – à l’aide de 700 conférenciers et tables rondes- des plus récentes pratiques susceptibles de contribuer à l’avancement de cette science. La statistique occupe une position centrale dans l’établissement, entre autres, de politiques publiques, de décisions d’affaires, de mesures économiques ou financières. D’autres disciplines comme le sport, le météorologie et la médecine en font également un usage quotidien. Le «prodige» des prévisions Entre autres invités de renom, notons la présence de Nate Silver, fondateur du blogue politique FiveThirtyEight.com. Qualifié de prodige du «number-crunching» par le New York Times, M. Silver s’est d'abord fait connaître en 2008 en parvenant à prédire le résultats de l’élection présidentielle, dans pas moins de 49 des 50 États américains. Quatre ans plus tard, l'an passé, le jeune statisticien américain a laissé sans voix l’ensemble des analystes et journaliste politiques américains en parvenant cette fois à prédire le résultat du scrutin présidentielle dans l’ensemble des 50 États du pays. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/des-milliers-de-statisticiens-bientot-a-montreal/559973#.UfGZGKw8CCg
  3. Les producteurs multimédia du Québec craignent que l'Ontario s'accapare les gros contrats grâce à ses politiques fiscales incitatives, qui ont déjà attiré Ubisoft à Toronto. Pour en lire plus...
  4. Renfloué de 170 milliards $US par l'État et affichant des pertes de près de 100 milliards $US en 2008, l'assureur américain AIG va verser 450 millions $US en primes à ses employés des services financiers. De quoi susciter de vives réactions politiques. Pour en lire plus...
  5. Pour le Fonds monétaire international, il ne fait pas de doute que le Canada a su, jusqu'ici, tirer son épingle du jeu en évitant que l'économie canadienne ne soit heurtée de front par la crise économique mondiale. Pour en lire plus...
  6. Ottawa devrait adopter un plan de 33 milliards $ 6 janvier 2009 - 13h20 La Presse Canadienne Pour créer 400 000 nouveaux emplois - Ottawa devrait adopter un plan de 33 milliards $ Le Centre canadien des politiques alternatives souhaite qu'environ la moitié des dépenses soit investie dans des projets d'infrastructures. Le Centre canadien des politiques alternatives a pressé mardi le gouvernement fédéral d'adopter dans son prochain budget un plan d'aide de 33 milliards $ qui favoriserait la création de 400 000 nouveaux emplois. L'organisme a exhorté le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, à ne pas se fier uniquement sur les réductions d'impôts pour relancer l'économie. Selon l'organisme, la réduction d'impôts, en plus d'être une «voie politique facile», représente aussi la façon la moins efficace de stimuler l'économie. Le Centre canadien des politiques alternatives souhaite qu'environ la moitié des dépenses soit investie dans des projets d'infrastructures, et qu'un autre important montant soit réservé pour des mesures sociales comme l'assurance emploi pour les travailleurs mis à pied. De passage à Montréal mardi, le ministre Flaherty a répété que les réductions d'impôts feraient partie des mesures visant à stimuler l'économie dans son budget du 27 janvier.
  7. Le Centre canadien des politiques alternatives a pressé mardi le gouvernement fédéral d'adopter dans son prochain budget un plan d'aide de 33 G$ qui favoriserait la création de 400 000 nouveaux emplois. Pour en lire plus...
  8. Le Centre canadien de politiques alternatives croit qu'une récession majeure pourrait forcer le gouvernement fédéral à déclarer un déficit de 46,8milliards de dollars en 2010-2011. Pour en lire plus...
  9. Trouvant vertus et vices dans les trois plateformes des grands partis, le Conseil du patronat du Québec soumet ses doléances et demande aux formations politiques de laisser tomber la partisanerie, au nom de la santé économique. Pour en lire plus...
  10. Dans le but de mettre en place des mesures politiques pour contrer la crise mondiale, les pays du G20 sont réunis à Sao Paulo pour un sommet de deux jours. Pour en lire plus...
  11. Deux jours après le G7, les dirigeants politiques européens se réunissent à Paris afin de trouver des solutions à la crise. Pour en lire plus...
  12. Dans un commentaire, Jeff Rubin indique que «dans un monde où il n'y a soudainement aucun point de référence pour les politiques et les évaluations, il est difficile de dire avec précision où nous nous situons». Pour en lire plus...
  13. Le premier ministre juge que les politiques économiques américaines ont contribué à engendrer la crise qui secoue actuellement les marchés financiers. Pour en lire plus...
  14. L'organisme formule ses demandes, dont celle de réduire les impôts et la dette; elle prône la mise en place de politiques efficaces en matière d'environnement et de transport. Pour en lire plus...
  15. Mais avant les duels politiques et la chute des marchés boursiers, la vingtaine de gens d'affaires qui accompagnent le ministre cette semaine voient surtout en la Russie une économie émergente aux grandes opportunités commerciales. Pour en lire plus...
  16. Le Conseil du patronat du Québec enverra mercredi un questionnaire aux partis qui siègent à Chambre des communes afin de sonder leurs intentions sur cinq thèmes. Pour en lire plus...
  17. Un nouveau rapport démontre que les provinces accélèrent la cadence dans la lutte aux changements climatiques July 16, 2008 QUÉBEC – Dans son nouveau rapport d’évaluation des plans des provinces pour lutter contre les changements climatiques, la Fondation David Suzuki constate que la plupart des provinces ont réagi à l’absence de leadership du gouvernement fédéral et qu’elles ont adopté des politiques concrètes pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES). « Les provinces et les territoires ont décidé de combler le vide laissé par le gouvernement fédéral et d’agir par elles-mêmes » expliquait l’auteur du rapport, Dale Marshall, analyste de politiques en matière de changements climatiques à la Fondation David Suzuki. « La plupart des gouvernements provinciaux et territoriaux réalisent maintenant l’urgence de la situation et ils mettent en place leurs propres mesures de réduction des GES ». La Fondation a dévoilé ce rapport aujourd’hui dans le cadre de la réunion du Conseil de la fédération à Québec – une rencontre des premiers ministres des provinces et des territoires pour discuter des mesures à prendre pour contrer les changements climatiques. Le rapport s’intitule Un virage énergique : Devant l’inaction du fédéral, les provinces s’attaquent aux changements climatiques. Il fait notamment état des réductions et des augmentations des émissions de gaz à effet de serre de chaque province et territoire dans différents secteurs. On y retrouve aussi une analyse et une évaluation des performances et des politiques des gouvernements provinciaux. Le rapport révèle que la majorité des provinces ont adopté des cibles et des mesures de réduction des GES plus musclées que celles du gouvernement fédéral. Quatre provinces sont en tête du peloton grâce à leurs politiques progressistes et concrètes (Colombie-Britannique, Québec Manitoba, Ontario). Vient ensuite un groupe de provinces et territoires qui ont fait des pas dans la bonne direction, mais qui doivent renforcer encore leurs politiques (Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Écosse, Île-du-Prince-Édouard, Nunavut). Les gouvernements qui se classent dans l’avant-dernier groupe ont adopté des plans peu contraignants ou trop vagues (Terre-Neuve-et-Labrador, Yukon, Territoires-du-Nord-Ouest, Saskatchewan). Finalement, la pire province, l’Alberta, a enregistré des hausses radicales de ses émissions, et elle n’a aucun plan pour les réduire d’ici 2020. La Colombie-Britannique occupe le premier rang au classement. L’Alberta est dernière. Les provinces les plus progressistes : • La Colombie-Britannique mérite cette année le titre de chef de file au pays grâce à sa taxe sur le carbone, ses normes d’efficacité énergétiques obligatoires pour les véhicules et son engagement à imposer un plafond et des réductions d’émissions dans le secteur industriel. • Le Québec a un plan de réduction des GES solide et sa cible équivaut presque à celle du Protocole de Kyoto. Le gouvernement a aussi annoncé son intention d’implanter un système de plafonnement et d’échange de droits d’émissions pour le secteur industriel. • Le Manitoba a adopté par réglementation des cibles de réduction semblables à celles de Kyoto et il a élaboré un nouveau plan de lutte aux changements climatiques plus musclé. Le Manitoba est un leader au pays dans le domaine des thermopompes géothermiques, une technologie qui utilise l’énergie renouvelable du sol pour le chauffage et la climatisation. • L’Ontario a présenté des programmes intéressants dans le domaine des énergies renouvelables, de la conservation de l’énergie et de l’efficacité énergétique. Elle a aussi annoncé son intention d’implanter un système de plafonnement et d’échange de droits d’émissions pour le secteur industriel. Par contre, la stratégie énergétique de la province demeure fortement axée sur la rénovation des vieilles centrales nucléaires et sur la construction de nouveaux réacteurs, ce qui réduit les ressources disponibles pour le développement des énergies propres. Ces provinces ont fait des pas dans la bonne direction, mais elles doivent renforcer encore leurs politiques : • Le Nouveau-Brunswick s’est engagé à ramener ses émissions à leur niveau de 1990 d’ici 2012. Il a aussi établi des cibles de production d’énergie renouvelable et renforcé le mandat de l’organisme provincial de promotion de l’efficacité énergétique. Par contre, les résultats de ces mesures seront anéantis si la province donne le feu vert à certains projets énergétiques non durables, comme la construction d’une autre grande raffinerie de pétrole ou l’aménagement d’un terminal méthanier. • La Nouvelle-Écosse a aussi des cibles obligatoires de réduction des GES et elle a adopté des politiques en matière d’énergies renouvelables et d’efficacité énergétique. La province doit cependant faire mieux pour réduire les émissions de ses centrales au charbon. • L’Île-du-Prince-Édouard avait pour objectif de produire 15 % de son électricité à partir de sources renouvelables d’ici 2010. Elle a atteint cet objectif dès 2007, soit trois ans plus tôt que prévu. Par contre, la province a été peu active dans le dossier des changements climatiques au cours des dernières années et elle n’a toujours pas de plan d’action global. • Terre-Neuve-et-Labrador a mis sur pied différents projets d’énergie renouvelable. Toutefois, elle n’a pas de politiques de réduction pour ses deux principaux secteurs d’émissions : la production d’électricité et l’exploitation du pétrole et du gaz en mer. Ces provinces sont au bas de la liste parce qu’elles n’ont pas de plan ou de mesures dignes de ce nom pour réduire les émissions : • L’Alberta a présenté un nouveau plan – mais il est moins ambitieux et plus vague que celui de 2002. L’Alberta est le plus important émetteur de GES du pays. Son plan prévoit une augmentation des émissions au moins jusqu’en 2020. À cette date, les émissions de la province seront 45 % plus élevées qu’en 1990. • La Saskatchewan a présenté son premier plan en 2007 et il comprenait des cibles ambitieuses de réduction des émissions. Malheureusement, le nouveau gouvernement au pouvoir a éliminé une bonne partie des programmes de lutte aux changements climatiques. « Les provinces qui ont des plans solides doivent poursuivre leur mise en oeuvre et investir les ressources nécessaires pour qu’ils se traduisent par des réductions concrètes des émissions », expliquait Ian Bruce, spécialiste des changements climatiques à la Fondation David Suzuki. « Quant à celles qui hésitent encore, elles doivent profiter de l’occasion et emboîter le pas des chefs de file. » La Fondation David Suzuki demande au gouvernement fédéral d’assumer lui aussi ses responsabilités et d’établir des normes pancanadiennes sévères (notamment pour établir une équité entre les provinces). De telles normes sont aussi essentielles pour contrôler les augmentations radicales des émissions de l’Alberta.
  18. C’est Habsfan qui va etre content de savoir que son bon ami a été récompensé! Dinu Bumbaru d'Héritage Montréal lauréat du Prix Thomas-Baillairgé de l'Ordre des architectes du Québec MONTREAL, le 9 juill. /CNW Telbec/ - Héritage Montréal se réjouit de l'attribution du Prix Thomas-Baillairgé de l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) à Monsieur Dinu Bumbaru, directeur des politiques d'Héritage Montréal. Ce prix annuel, créé en 1983 à la mémoire d'un des architectes et bâtisseurs québécois les plus renommés du XIXe siècle, a été décerné à Monsieur Bumbaru en raison de sa contribution à la conservation et à l'amélioration du cadre de vie au Québec. Monsieur Bumbaru a reçu ce prix à l'occasion de la récente l'assemblée générale annuelle de l'OAQ, tenue à Québec le 13 juin dernier. Le président de l'Ordre, Monsieur André Bourassa, a cité le remarquable engagement de Dinu Bumbaru à titre de directeur des politiques d'Héritage Montréal, de même que sa contribution à divers comités et organismes comme Les amis de la montagne, Culture Montréal et la Fédération des sociétés d'histoire du Québec. Il a aussi souligné le rôle de Dinu Bumbaru au plan international à titre de Secrétaire Général du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS), un organisme non gouvernemental présent dans plus de 120 pays qui conseille l'UNESCO en matière de patrimoine culturel. Le président du conseil d'administration d'Héritage Montréal, Monsieur Robert Turgeon, a accueilli avec plaisir cette marque de reconnaissance : "Dinu Bumbaru oeuvre depuis 25 ans sans relâche à Héritage Montréal pour la protection et à la mise en valeur du patrimoine montréalais. Ses réalisations lui valent un grand respect des intervenants en matière de patrimoine, comme en témoigne ce prix de l'Ordre des architectes du Québec. A Héritage Montréal, nous éprouvons beaucoup de fierté à côtoyer cet homme dont l'expertise connaît un rayonnement mondial." Monsieur Bumbaru a reçu avec beaucoup d'enthousiasme cet hommage à ses réalisations : "L'ensemble de ma démarche professionnelle est lié à la cause du patrimoine architectural et urbain, que je découvre et défends avec la même ferveur depuis près de 30 ans. Je suis très honoré par l'attribution de ce prix, qui renforce ma détermination à poursuivre cette action au service d'une architecture de qualité et, peu importe son âge, de valeur patrimoniale à Montréal, au Québec et ailleurs dans le monde." http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/July2008/09/c3074.html
  19. Le Groupe d'étude sur les politiques en matière de concurrence recommande que le Canada assouplisse ses lois sur l'investissement et la concurrence afin de faciliter l'acquisition de compagnies canadiennes par des sociétés étrangères. Pour en lire plus...
  20. Le Groupe d'étude sur les politiques en matière de concurrence préconise que les secteurs des télécoms et du transport aérien s'ouvrent tout grand à l'investissement étranger. Pour en lire plus...
  21. Une radio honteuse Vous pensez que je fabule, que j’exagère, que j’ai tout inventé ? Attendez quelques jours et vous connaîtrez la vérité. Canoë lundi 16 juin 2008 Richard Martineau parlait, dans sa chronique d’hier intitulée « Maudits racistes », de l’émission This hour has 22 Minutes diffusée à la CBC, la télé publique canadienne, et qui fait du « Québec bashing » en humour. Eh bien, vous savez quoi ? J’ai découvert un complot, un vrai. Tenez-vous bien ! Il existe quelque part, du côté ontarien, le long de la frontière québécoise, une station de radio qui programme des émissions à caractère belliqueux et raciste sur le Québec. Oui, vous ne rêvez pas, la chose est possible, malheureusement. Cette station est sans doute mobile, car on n’est jamais parvenu à la localiser pour la faire taire ou brouiller les ondes complètement. Elle diffuse 24 heures sur 24, sept jours par semaine. Les médias ontariens, qui semblent au courant de cet attentat à la souveraineté du Québec, ont reçu la consigne de ne pas ébruiter ces faits, comme s’il s’agissait ni plus ni moins d’appuyer tacitement cette pratique déloyale, voire illégale, ou de la banaliser. La rumeur veut que quelques grosses fondations privées, dont il m’a été impossible, pour le moment, de connaître les noms, financeraient cette campagne de salissage. « Radio Papineau », c’est ainsi qu’elle serait baptisée, aborde en français, mais aussi en anglais, des thèmes politiques, sociaux et culturels d’actualité. Elle comporte aussi un volet historique, où l’histoire du Canada est expliquée sous un tout autre angle que celui qui est enseigné dans les écoles québécoises. Apparemment, la Sûreté du Québec serait au courant de ce viol des ondes, mais comme il s’agit de signaux sophistiqués, qui utilisent les ondes satellitaires, il devient difficile de bloquer la diffusion d’une telle radio-poubelle et d’en connaître les promoteurs. On ne peut pas pour l’instant capter ces émissions dans la grande région de Montréal. Ainsi, Le Devoir devient « Le Bavoir », Télé-Québec devient « Télé Nousautres » et la programmation générale de cette radio pirate offre des émissions comme « Québec sans frontières », « Presse libre », « Le Québec de l’intérieur », « Le fait français, une vaste supercherie », « Lectures sans censure », « Les vraies nouvelles », « L’ombre du cheuf », « Démocratie et partis politiques », etc. On y aborde aussi les sports d’un point de vue très canadien et on se moque royalement des Canadiens de Montréal et des Alouettes, car tous ces joueurs seraient prêts à abandonner leur équipe si on leur faisait miroiter de gros salaires pour aller jouer ailleurs. On ridiculise la « french cuisine » de même que l’agriculture telle que pratiquée ici, en vantant les mérites d’une agriculture non subventionnée et sans quotas laitiers et en dénigrant, bien entendu, la nouvelle industrie fromagère en pleine expansion. On va même jusqu’à inciter à des actes de sabotage et de violence contre certaines institutions politiques du Québec ou certaines entreprises d’État. On suggère, entre autres, de laisser les robinets d’eau couler sans arrêt. On lance des rumeurs concernant un possible durcissement des politiques linguistiques ou l’expulsion imminente de la fonction publique québécoise de tous ceux qui ne seraient pas « pure laine », on essaie de fomenter des incidents haineux entre les autochtones, les immigrants et les francophones, on invente des cas d’épidémies dues au fromage au lait cru du Québec, etc. On propose aussi de ne plus vendre le blé et le bœuf de l’Ouest canadien au Québec afin de nous affamer, de créer de faux labels, comme pour le sirop d’érable, afin de nuire à l’industrie acéricole, de boycotter Loto-Québec, etc. Cette « radio libre » se donne pour mission de diffuser la « face cachée » du Québec, sous prétexte qu’ici, toute nouvelle serait tendancieuse et complaisante. Les journalistes québécois ne seraient pas objectifs, ils n’oseraient jamais critiquer les grands projets rassembleurs comme les festivals culturels, ni le gouvernement du Québec, qui est présenté comme autoritaire, démagogique, répressif et à la solde de la France, qui, elle-même, comploterait depuis toujours contre le gouvernement canadien et ses institutions. Vous pensez que je fabule, que j’exagère, que j’ai tout inventé ? Attendez quelques jours et vous connaîtrez la vérité.
  22. Bernard Lord se joint à l'Institut économique de Montréal à 11h56, le 17 juin Équipe rédactionnelle - Jminforme.ca nouvelle@jminforme.ca L’ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick vient de se joindre à L’institut économique de Montréal (IEDM), un institut de recherche et d’éducation indépendant, sans but lucratif, à titre de membre du conseil. M. Lord, qui est depuis le mois de mai, le premier professeur en résidence de l’Institut d’analyse stratégique et d’innovation du Centre universitaire de santé McGill, travaillera à l’élaboration d’études stratégiques sur les politiques de santé, axées sur la responsabilisation des citoyens envers la gestion de leur santé. «Il est important de rechercher des solutions nouvelles qui nous permettront de relever le défi démographique et d'aider les gens à vivre en santé plus longtemps», affirme Bernard Lord. L’IEDM propose des solutions afin de susciter l'élaboration de politiques publiques optimales en s'inspirant, notamment, de réformes appliquées avec succès ailleurs dans le monde. L’institut étudie aussi le fonctionnement des marchés dans le but d'identifier les mécanismes et institutions susceptibles de favoriser une prospérité et un bien-être accrus et durables.
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