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  1. Selon les données les plus récentes, le capital de risque investi au Québec représente une part de 0,21% du produit intérieur brut (PIB), ce qui place la province au cinquième rang mondial. Pour en lire plus...
  2. http://finance.yahoo.com/news/canadian-baby-boomers-stand-inherit-100000876.html TORONTO, June 6, 2016 /CNW/ - Baby boomers in Canada will inherit an estimated $750 billion over the next decade in the country's largest-ever transfer of wealth, one that is expected to alter the retirement landscape and have potentially significant economic impacts, finds a new CIBC Capital Markets report. Canada currently has just over 2.5 million people over the age of 75, of which close to 45 per cent are widowed, the report says. The number of elderly people in Canada today represents a 25 per cent jump over the level seen a decade ago. "We estimate that the coming decade will see close to $750 billion exchanging hands, almost 50 per cent more than the estimated amount of inheritance received over the past decade," says Benjamin Tal, Deputy Chief Economist, CIBC Capital Markets, who authored the report The Looming Bequest Boom – What Should We Expect? "The transfer is estimated to boost the asset position of Canadians 50-75 years old by no less than 20 per cent." There will be even more Canadians aged 75+ in the next decade, who will not only be the largest cohort of that age group on record, but also wealthiest, with an estimated total net worth north of $900 billion. He expects this shift in wealth, coming when boomers themselves are approaching retirement age, can potentially impact Canada's retirement landscape as well as many facets of the economy, including labour force participation, the real estate markets and transform income inequality into wealth inequality.
  3. Les Québécois deviennent de plus en plus entrepreneurs Publié le 20 mai 2016 à 22h02 GILBERT LEDUC Et si les Québécois avaient finalement attrapé la piqûre de l'entrepreneuriat? Les premiers résultats d'une enquête du Global Entrepreneurship Monitor (GEM) - qui sera publiée en juin - portant sur l'activité entrepreneuriale dans plusieurs économies développées à travers le monde tendent à confirmer le bien-fondé de cette assertion. Cette semaine, à l'occasion du 41e congrès de l'Association des économistes québécois, le professeur Marc Duhamel, de l'Institut de recherche sur les PME de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), a levé le voile sur l'un des volets de cette enquête réalisée dans le cadre d'un projet d'envergure internationale - lancé il y a près d'une vingtaine d'années - visant à évaluer les activités entrepreneuriales dans une centaine de pays. Les experts mesurent, entre autres, le taux d'activité entrepreneuriale émergente, c'est-à-dire l'activité entrepreneuriale des personnes âgées de 15 à 64 ans qui amorcent le démarrage de leur entreprise et qui ont versé moins de 42 mois de salaires. Selon le scoop révélé par Marc Duhamel, le taux d'activité entrepreneuriale émergente au Québec est de 13,3 %, ce qui place la Belle Province au premier rang parmi une trentaine de pays et régions. Le Québec devance notamment le Canada (13,2 %), les États-Unis (11,9 %) et l'Allemagne (4,7 %). L'an dernier, le Québec (10,5 %) se classait au neuvième rang. «Il s'agit d'un portrait très encourageant de la situation entrepreneuriale au Québec», a souligné l'économiste de l'UQTR. Un résultat qui est lié aux constats émis, ces dernières années, par la Fondation de l'entrepreneurship qui publie annuellement l'Indice entrepreneurial québécois, un outil mesurant l'intérêt des Québécois à se lancer en affaires. L'an dernier, l'Indice entrepreneurial québécois notait une légère hausse des taux d'intentions d'entreprendre et de démarches par rapport à 2014, principalement en raison du dynamisme des jeunes de 18 à 34 ans. Génération différente François Gilbert est pdg d'Anges Québec, un regroupement de 180 anges investisseurs. «Je passe ma vie avec des jeunes entrepreneurs qui veulent se lancer en affaires», a-t-il précisé. Il n'a pas besoin de consulter des études et des enquêtes pour se rendre compte de l'engouement des jeunes pour l'entrepreneuriat. «La volonté d'entreprendre est perçue de plus en plus positivement par les jeunes», a-t-il mentionné. «Il y a quatre ou cinq ans, lorsque je me rendais rencontrer les finissants de l'École de technologie supérieure à Montréal pour parler d'entrepreneuriat, il y avait une vingtaine de personnes dans la salle. Cette année, elles étaient au moins 80. «J'entends encore les responsables dans les universités me supplier de les aider pour faire connaître l'entrepreneuriat aux étudiants. Aujourd'hui, ces derniers cognent à leurs portes pour soumettre des projets d'entreprise.» François Gilbert a constaté également que la jeune génération d'entrepreneurs est bien différente des précédentes. Les jeunes vont préférer se lancer en affaires en groupe plutôt qu'en solitaire parce qu'ils désirent avoir une vie plus équilibrée et ne pas se taper des semaines de travail de 80 heures. «Ils veulent faire de l'argent. Ils veulent créer des emplois. Ils veulent surtout être des entrepreneurs responsables et respectueux du milieu dans lequel ils vivent», a ajouté M. Gilbert en signalant le cas d'un jeune brasseur qui tient à donner 5 ¢ pour chaque bouteille de bière vendue à des projets communautaires. «Dépassé, le Québec inc.» Par ailleurs, il a noté que les jeunes gens d'affaires ne se reconnaissent pas dans le fameux Québec inc. «C'est un peu dépassé. Il va falloir probablement le recréer, le Québec inc.» Le pdg d'Anges Québec a également insisté sur l'apport des immigrants. «Il ne faudrait pas sous-estimer l'envahissement des entrepreneurs français présentement au Québec. Les jeunes Français trouvent la situation actuelle décourageante dans leur pays. Ils sont très nombreux à mettre le cap sur le Québec.» Pour François Gilbert, les entrepreneurs québécois, en général, ont encore des croûtes à manger pour rayonner à l'étranger. «Nos entrepreneurs sont excellents pour développer des produits. Il faut maintenant qu'ils apprennent à les vendre.» Pdg de Teralys Capital, le plus grand investisseur spécialisé en innovation au Canada, Jacques Bernier croit, pour sa part, que le Québec a tous les atouts dans son jeu pour se démarquer économiquement. «Les entrepreneurs sont beaucoup plus ouverts sur le monde que nous l'étions, il y a 20 ou 30 ans. Ils bénéficient d'avantages structurels et fiscaux très favorables et de la chaîne de financement la plus complète au Canada.» «Nous devons maintenant passer d'un environnement de start-up à celui d'un scale-up. Nos entreprises qui réalisent actuellement des ventes de 10 millions $ doivent viser les 100 millions $.» L'agence de rencontre des fortunés et des jeunes pousses Costco et Yahoo! n'ont pas toujours été des multinationales. À une époque, elles n'étaient que de minuscules entreprises en démarrage. Pour les aider à faire leurs premiers pas, elles ont pu bénéficier des billets verts d'anges investisseurs. «Au Québec, un ange investisseur doit avoir au moins 1 million $ disponible pour investir», explique François Gilbert, pdg du réseau Anges Québec qui rassemble 180 membres. «En passant, des gens riches au Québec, il y en a beaucoup plus que l'on pense. Et ce ne sont pas toujours les plus visibles.» «Les anges sont des hommes et des femmes qui ont eu une belle carrière, qui ont vendu leur entreprise, qui ne veulent plus être des entrepreneurs à temps plein, mais qui veulent demeurer actifs», poursuit François Gilbert, qui participait, cette semaine, au 41e congrès de l'Association des économistes québécois. «Ce qu'un ange fait de plus important pour un entrepreneur, ce n'est pas d'investir de l'argent dans sa compagnie, mais plutôt d'investir du temps pour lui. Pas pour le contrôler. Pour l'aider à devenir meilleur.» L'entrepreneur qui se lance en affaires fracasse d'abord son petit cochon. Il demande aussi de l'amour en espèces sonnantes et trébuchantes - du love money - à ses parents et amis. Il se tourne également vers le capital de risque. «Les anges, eux, mettent de l'argent sur la table au moment où personne ne veut le faire.» Aux États-Unis, sur une période de 10 ans, le capital de risque a investi, en moyenne, 29,4 milliards $US par année dans les entreprises en démarrage. Les anges investisseurs, pour leur part, ont déplié 22,6 milliards $US. L'apport du love money est encore plus considérable : 60 milliards $US. Quant au nombre d'investissements, le capital de risque en a réalisé 3606 en 2014. Les anges, 73 000. 110 M$ pour le démarrage Depuis 2008, les membres d'Anges Québec ont réalisé 97 investissements dans 64 entreprises. «Dans 50 % des cas, il y a eu deux ou trois investissements dans la même entreprise», fait remarquer François Gilbert. C'est le cas, notamment, du fabricant des produits de thérapie cellulaire de Québec, Feldan Therapeutics, qui a bénéficié de trois rondes de financement de la part d'Anges Québec. En tout, c'est 41 millions $ que les anges ont sortis de leurs poches. Pour lui assurer un bon rendement, un ange détient un portefeuille comptant généralement de 10 à 15 investissements. En s'avançant pour épauler une jeune pousse, Anges Québec entraîne souvent d'autres partenaires. Ceux-ci ont suivi et ont mis à leur tour 52 millions $ sur la table. Avec les 16,6 millions $ provenant du fonds d'investissement Anges Québec Capital commandité par Investissement Québec, la Caisse de dépôt et placement du Québec et le Fonds de solidarité FTQ afin d'accompagner financièrement les membres du réseau d'Anges Québec, «c'est 110 millions $ qui ont été investis dans le démarrage d'entreprise chez nous», a indiqué François Gilbert. De l'argent, les anges en font tomber du ciel dans toutes les régions du Québec et dans tous les secteurs de l'économie. Le pdg déplore, par contre, l'absence de projet du côté du secteur manufacturier. «Malheureusement, le manufacturier au Québec, c'est out! Il faut se préoccuper de la situation. C'est beau de parler de relève d'entreprise et d'amélioration de la production, mais il faut que nous fassions d'autres bébés dans le manufacturier.» http://www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201605/20/01-4983850-les-quebecois-deviennent-de-plus-en-plus-entrepreneurs.php
  4. Un intéressant et complet dossier dans La Presse Affaires du Vendredi 19 mars lève le voile sur une nouvelle histoire de fraude majeure à Montréal. Une importante entreprise financière américaine, établie à Montréal, en est la principale victime. Quand est-ce que cela va arrêter?? Ces gens ne réalisent pas le dommage substantiel qu'ils font à notre économie? GE Capital: présumé détournement de fonds (Montréal) L'entreprise de financement GE Capital croit qu'elle a été victime d'un détournement de fonds. L'affaire touche trois entreprises de la construction et un petit encanteur de Montréal. L'institution, associée au géant General Electric, soupçonne un de ses cadres supérieurs de Montréal d'avoir participé à ce détournement d'au moins 1 million de dollars, entre 2007 et 2009. Les faits entourant cette histoire sont notamment relatés dans une requête déposée en Cour supérieure, le 3 février. Selon le document, l'ex-vice-président de GE Capital, Carlo Fargnoli, aurait fait trois versements inexpliqués totalisant 1 million à la firme JK Auction, un petit encanteur de Montréal. Les versements auraient été faits dans le cadre de financements pour la relance de trois entreprises de la construction lourde. Après enquête, GE Capital a soupçonné une fraude et congédié M. Fargnoli, le 18 janvier. Carlo Fargnoli travaillait depuis 2003 au siège social canadien de la multinationale, à Montréal. Il agissait à titre de vice-président, gestion des risques et restructuration. Les soupçons de GE Capital, faut-il préciser, n'ont pas été prouvés en cour. Selon la requête, les trois versements n'ont pas fait l'objet de vérifications diligentes et n'ont pas reçu les autorisations appropriées. De plus, les documents justifiant ces trois commissions seraient manquants. JK Auction, qui a reçu les fonds, est un encanteur sans adresse commerciale connue, selon la requête. JK est plutôt situé dans un haut de duplex résidentiel de la 40e Avenue, à Montréal. Son seul propriétaire, Jonathan Kruk, est un étudiant universitaire de 24 ans, selon la requête. Ce sont les contrôleurs financiers de GE Capital qui ont levé des drapeaux rouges sur cette affaire, l'été dernier. «Ils ont observé que certains comptes non rentables étaient refinancés à répétition avec des fonds additionnels de GE malgré leur non-rentabilité et que des montants significatifs d'argent comptant étaient utilisés pour financer les transactions de restructurations, sans documents appropriés», est-il écrit dans la requête. Selon une enquête de La Presse Affaires, GE Capital a perdu 14 millions de dollars dans la faillite de deux des trois groupes de construction en cause (voir autre texte en page 2). Carlo Fargnoli a été rencontré en septembre et en décembre par des responsables de GE. Il aurait reconnu ne pas avoir fait de vérification diligente sur JK Auction et n'aurait pu fournir de justifications précises pour les paiements totalisant 1 million, soutient la requête. Carlo Fargnoli aurait expliqué que JK Auction servait d'intermédiaire pour acquérir, détenir et revendre les actifs d'entreprises en restructuration pour le compte de GE, selon la requête. JK Auction recevait des commissions pour chacun de ces dossiers pour effectuer le transit des actifs, aurait dit M. Fargnoli. Toujours selon la requête, les commissions étaient négociées uniquement entre lui et M. Kruk. GE a demandé à Jonathan Kruk d'obtenir une copie des documents financiers et des états de compte bancaires de JK, mais ce dernier aurait refusé, selon la requête. GE n'aurait pas davantage été en mesure de rencontrer M. Kruk en personne. Construction Selon la requête, GE examine de possibles autres transferts de fonds non conformes à JK dans d'autres dossiers de restructuration. Pour le moment, les trois entreprises en restructuration nommées dans la requête viennent du secteur de la construction. Il s'agit d'Atlas Asphalte, d'Excavations D.P. et de Béton Grilli. Dans le dossier d'Atlas Asphalte, le transit d'actifs par JK Auction aurait donné lieu à une «commission» de 300 000$, en décembre 2007. GE avait alors fait un prêt de quelque 5 millions de dollars dans le cadre de la relance de l'entreprise, selon des documents dont nous avons copie. À l'automne 2008, Atlas a vu ses actifs réunis à ceux d'Excavations D.P. La transaction a de nouveau été financée par GE Capital et a encore donné lieu à un versement de 300 000$ à JK Auction, indique la requête. Le refinancement s'élevait à quelque 13 millions, selon des documents en cour. Enfin, dans le cas de Grilli, GE a fait un prêt de 5,8 millions dans le cadre d'une restructuration, remplaçant la Banque de Montréal comme prêteur. Le transit d'actif a une fois de plus débouché sur une commission non documentée de 400 000$ à JK, en mars 2007, selon la requête. Pour tirer l'affaire au clair, GE Capital s'est adressée à la Cour supérieure pour obtenir l'accès aux documents bancaires de JK Auction détenus par une succursale de TD Canada Trust, rue Chabanel, à Montréal. Dans ses démarches en cour, GE utilise une procédure rare appelée ordonnance Norwich. Poursuite pour diffamation GE marche sur des oeufs dans cette affaire. L'entreprise fait l'objet d'une poursuite de 4,7 millions de dollars pour diffamation de la part de Carlo Fargnoli. La requête a été intentée en novembre 2009 après que M. Fargnoli eut été, dans un premier temps, démis de ses fonctions avec solde. Carlo Fargnoli soutient dans sa requête que GE l'a diffamé en le liant à des activités criminelles. En septembre dernier, le supérieur de M. Fargnoli l'avait rencontré pour lui dire que l'entreprise avait des préoccupations à son sujet concernant sa participation à des activités liées «au monde interlope et aux crimes en cravate». En réplique à cette poursuite, GE demande le rejet de la requête, car elle soutient, entre autres, qu'elle n'a pas diffusé de tels propos à l'extérieur de l'entreprise et qu'elle ne peut donc être accusée de diffamation. L'entreprise veut tout de même se protéger: dans sa requête Norwich impliquant JK, elle demande que les procédures soient mises sous scellé, entre autres pour éviter de nuire à la réputation de M. Fargnoli advenant qu'il soit innocent. GE Capital: documents disparus, suicide et pertes étranges (Montréal) Une série d'événements troublants entourent l'un des principaux dossiers sur lesquels enquête GE Capital, dont un suicide, la disparition de documents comptables et des pertes inexpliquées. Voici ce que La Presse Affaires a appris. Les institutions financières brassent beaucoup d'argent, mais ce n'est pas tous les jours qu'elles perdent 14 millions de dollars avec un seul dossier. C'est pourtant ce qui est arrivé à GE Capital dans une affaire qui touche des entreprises de la construction de Montréal. Les problèmes de GE ont pris naissance à l'automne 2007. À l'époque, l'entrepreneur Joe Iacovelli cherchait ardemment des fonds pour assurer la survie de son entreprise Atlas, qui offrait des services de pavage et de déneigement. GE Capital accepte alors de prêter quelque 5 millions de dollars à Atlas, moyennant des garanties sur tous les équipements. L'affaire est bouclée le 27 novembre 2007, selon les documents en Cour, au grand plaisir des créanciers d'Atlas. Mais le plaisir est de courte durée. Deux mois plus tard, en janvier 2008, l'entreprise fait une série de chèques sans provision, malgré les nouveaux fonds de GE Capital. Le créancier qui s'en plaint est Revenu Québec. Après avoir interrogé Joe Iacovelli, Revenu Québec conclut que l'homme d'affaires a perdu le contrôle de son entreprise aux mains de tierces parties inconnues. «Joe Iacovelli prétend que de fausses factures sont émises par des tiers au nom d'Atlas et que d'importantes sommes sont ainsi encaissées dans des centres d'encaissement, comme si Atlas cherchait à cacher des revenus au détriment des créanciers», écrit Revenu Québec dans une requête en Cour supérieure. Toujours selon cette requête, Joe Iacovelli a dit à Revenu Québec que «Atlas serait totalement étranger à ces opérations et n'en tirerait aucun profit». Un suicide Face à ce constat, Revenu Québec demande à la Cour, en avril 2008, de nommer un séquestre pour contrôler les entrées et sorties de fonds chez Atlas. La firme Litwin Boyadjian entre donc en scène. «Mon mandat n'était pas de vérifier les allégations de Revenu Québec, non prouvée en Cour, mais de contrôler les activités. Je n'ai rien vu de bizarre sous mon contrôle jusqu'à la mauvaise nouvelle», a dit Noubar Boyadjian à La Presse Affaires. La mauvaise nouvelle concerne Joe Iacovelli. Le 5 juin 2008, l'homme dans la soixantaine est retrouvé mort dans sa résidence. Il s'est suicidé, nous confirme Noubar Boyadjian. «Monsieur avait beaucoup de dettes», nous dit M. Boyadjian. Avec la perte de son principal dirigeant, Atlas a dû être de nouveau restructuré. Le financier GE Capital trouve parmi ses clients des repreneurs, également dans le secteur de la construction, soit l'homme d'affaires Piero Di Iorio et sa femme Danielle Poitras. À l'automne 2008, GE prête donc près de 6 millions aux entreprises de Piero Di Iorio pour racheter les actifs d'Atlas. En plus, GE Capital accepte de verser 7 millions pour refinancer les autres entreprises du couple Di Iorio/Poitras, selon des documents en Cour. Financement total: 13 millions. Parmi les autres entreprises du couple Di Iorio/Poitras, mentionnons D.P. Excavations, mais également Location d'auto Fantaisie, une firme qui loue des Porsche, des Ferrari, des Hummer et autres voitures de luxe. En échange des fonds, GE prend en garantie tous les actifs de ces entreprises, par exemple les camions à benne, les bulldozers, les chasse-neige et les immeubles. Il s'agit d'une pratique courante dans l'industrie bancaire. Ainsi, en cas de faillite, GE pourra saisir les biens et se faire rembourser sa dette en priorité sur les autres créanciers. Mais encore une fois, la relance tourne court. Dès janvier 2009, D.P. commence à accumuler des défauts de paiement malgré le refinancement, indique une requête en Cour supérieure. Coup sur coup, les entreprises de Piero Di Iorio sont donc placées en faillite au cours des mois suivants. Ces entreprises doivent quelque 29 millions de dollars à leurs 310 créanciers, dont 18,4 millions à GE Capital, si l'on inclut les intérêts cumulés. »Crimes en cravate»? Les contrôleurs de GE Capital ne restent pas inactifs devant ces financements non rentables à répétition. Le 11 septembre, l'entreprise suspend le vice-président responsable de ces dossiers, Carlo Fargnoli. Selon une autre requête en Cour, l'entreprise soupçonne Carlo Fargnoli d'être lié «au monde interlope et aux crimes en cravate». Pour récupérer son dû, GE mandate le syndic de faillite Aberback & Lapointe. Le syndic tente alors de saisir les biens des entreprises de Piero Di Iorio, mais il appert que la partie n'a pas été facile. En arrivant au siège social du groupe, rue La Martinière, à Rivière-des-Prairies, le syndic aurait été accueilli par des «menaces de vol et de bris d'équipement», selon une requête en Cour. Toujours selon la requête, Aberback & Lapointe aurait constaté que le disque dur de l'ordinateur principal aurait été «arraché» et que les documents importants de l'entreprise auraient disparu. Enfin, certains des camions et des chargeuses-pelleteuses (pépines) à saisir auraient été introuvables. Aberback finit par retracer le matériel sur divers chantiers de Montréal, certains financés par des fonds publics. Parmi eux, mentionnons le chantier du manège militaire de la rue Notre-Dame, dans l'est de Montréal, et celui de l'École des métiers de la construction, rue Parthenais. Une perte de 25 millions Les équipements sont finalement saisis et vendus à l'encan, en février. Mais surprise: le matériel ne vaut qu'une fraction des créances de l'entreprise. Au total, la valeur nette des biens saisis, immeubles compris, ne dépasse guère 4 millions de dollars, nous indique Pierre Martin, représentant d'Aberback & Lapointe. Autrement dit, la perte des créanciers du groupe s'élève à 25 millions, soit l'écart entre les créances totales (29 millions) et la valeur nette (4 millions). Les créanciers ordinaires ne toucheront rien, puisque les dettes de GE, garanties, ont priorité. Malgré cette priorité, la perte de GE dans cette affaire s'élève à plus de 14 millions de dollars. «L'écart entre la valeur des biens et la dette est très élevé, effectivement. Pour le moment, c'est difficile à expliquer. Mais éventuellement, on fera enquête et on cherchera à voir s'il y a des transactions révisables», nous a dit M. Martin.
  5. Le territoire délimité continue de se développer et de nouveaux édifices ont été construits lors des derniers mois. Photos : First Capital Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  6. Interesting video about the new London skyscrapers http://www.archdaily.com/770542/london-is-becoming-a-bad-version-of-dubai "London is on the verge of being ruined for all future generations," says Alain de Botton – a Swiss philosopher, notable author and founder of The School of Life and Living Architecture. "With a whopping 260 towers in the pipeline no area is safe, as planners, property developers and the mayor's office commit crimes against beauty to create fun buildings." In a film for The Guardian De Botton explains why he believes we're right to be nervous – and how we can stop this "clear desecration" of the UK's capital city. sent via Tapatalk
  7. http://montrealgazette.com/news/local-news/two-montrealers-striving-to-improve-citys-economic-lot?__lsa=4920-2f19 Among the people charged with promoting Montreal’s economic development, Éric Lemieux and Dominique Anglade are on the front lines. They’re battling with other cities around the world as Montreal vies for scarce new jobs and investment dollars, often competing against lucrative incentives offered by other jurisdictions. Lemieux is trying to breathe new life into the city’s financial sector while Anglade seeks out high-tech companies, aerospace firms and life science businesses willing to invest here. Banks and insurance companies have moved their headquarters to Toronto and local stock exchanges have closed but Lemieux, who heads the private-public agency known as Finance Montreal, sees new opportunities ahead. “Canada has a stable economy with good financial regulation,” he says, and the country emerged from the 2008-09 financial crisis with a healthy banking sector. That should help to attract international banking activities. The city has an “excellent pool of talent supplied by its universities and business schools,” he says, with 8,000 students enrolled in finance programs. It also boasts much cheaper operating costs than places like New York and Boston. “Banks like BNP Paribas, Société Générale and Morgan Stanley all made the decision to locate some of their operations here.” Montreal has over 100,000 jobs in the financial sector and derives close to 7 per cent of local GDP from the 3,000 financial firms working here. It’s become an important centre for pension fund management, led by the giant provincial agency the Caisse de dépot et placement as well as other large players such as PSP Investments and Fiera Capital. The sector includes more than 250 money-management firms. The city is developing a new area of expertise in financial derivatives like futures and options on stocks, currencies and bonds, which are traded on the Montreal Exchange. And financial technology is also a selling point for Montreal. It has a growing presence in software development and information technology for the asset management industry, as traders look for every technical edge they can get. Part of Lemieux’s effort comes through the International Financial Centre program, which offers employment-based tax credits to financial firms that set up international operations here. “I think it’s a good success story,” he says. “There are more than 60 companies and 1,000 jobs that have located here” under the plan. “Seventy per cent of them would not be in Montreal if there wasn’t this support. We’re talking of $100 million in direct and indirect benefits.” Another important asset is the local venture capital industry, which finances startups and early-stage firms founded by entrepreneurs. The sector is led by such funding institutions as Teralys Capital and the Fonds de Solidarité. Put it all together and the portrait of the city doesn’t look too bad. According to the Global Financial Index — an international ranking that measures both size and industry perceptions — Montreal is the world’s 18th financial centre, up from 31st spot four years ago. Dominique Anglade runs Montreal International, the agency that prospects worldwide for foreign direct investment on behalf of the 82 municipalities in the Communauté métropolitaine de Montréal. Like Lemieux, she sees fierce competition for investment dollars. In this tough environment, the Montreal area has had its share of successes. 2013 was an exceptional year, as Montreal International helped to secure a record $1.2 billion in foreign direct investment (FDI). The year just ended will fall short of that mark but will “continue our momentum,” says Anglade. The city was recognized as having the best attraction strategy in North America in a survey by FDI Magazine, a sister publication to Britain’s Financial Times. The record performance was driven by several major expansions of foreign multinationals in the Montreal area, including French video-game maker Ubisoft and Swedish telecom giant Ericsson. The presence of multinationals is critical to the Montreal economy. They account for 20 per cent of local GDP and nine per cent of jobs, as well as a large share of private research and development. Montreal International’s task is to convince them not only to stay but to invest and expand here. Multinationals often pit one plant location against another to see which one will produce the best value proposition. Montreal International’s job is to stay in constant touch with the companies that have a presence here to find out what they want to accomplish and what they need to survive. Anglade targets certain niches where the city is already strong such as information technology, video games, special effects for movies and TV, aerospace and life sciences. Information technology represented by far the biggest share of the new money coming into the city in 2013. The video game industry also remains a strong performer, with five of the world’s top 10 selling games produced in Montreal. A significant percentage of deals — about 60 per cent — involve government financial assistance through provincial tax credits but Anglade doesn’t apologize for the financial aid offered to the private sector. “The competition in the U.S. has no limit. They have billions in terms of incentives and that’s why we have to be extremely strategic in Montreal and focus on specific sectors.” She notes that Swedish appliance maker Electrolux opted to close its plant in nearby L’Assomption, employing 1,300, and shifted operations to Tennessee after it was offered a rich package of incentives by three levels of government. Still, in industries that require more skill and knowledge, the availability of talent is Montreal’s strong point, Anglade says. “One of the surprises that people have about Montreal is its talent pool. I can’t tell you how many companies have said ‘wow, this is amazing’ when they start to fill positions here. It’s why we need to stress the importance of education. It’s critical for the future of Quebec.”
  8. voici le lien (foreign direct investment) :http://www.fdiintelligence.com Le Québec en tete en amerique du nord (growth of capital investment of 321%) pour 2014
  9. Trump Files Suit Against Lenders Developer Seeks to Extend $640 Million Loan on a Chicago Skyscraper Wsj.com By ALEX FRANGOS Tall Trouble: Donald Trump's Chicago skyscraper project, the Trump International Hotel & Tower, during construction in July. Mr. Trump is suing to extend a $640 million senior construction loan on the 92-story Trump International Hotel & Tower from a group of lenders led by Deutsche Bank AG and including a unit of Merrill Lynch & Co., Union Labor Life Insurance Co., iStar Financial Inc., a publicly traded real-estate investment trust, and Highland Funds, a unit of Highland Capital Management LP. The tower, which contains 339 hotel rooms and 486 condominiums, will be the second-tallest building in the U.S. behind Chicago's Sears Tower and is expected to be completed in mid-2009. The hotel, on the lower floors, opened earlier this year. But sales of both the hotel rooms and the condominiums have come in below original estimates and the project's current projected revenue remains short by nearly $100 million needed to pay off the senior lenders. The lawsuit, filed in New York State supreme court in Queens, is a further indication of the dysfunction in the real-estate lending markets as borrowers and lenders struggle to resolve troubled projects. People familiar with the matter say the lender group, which is made up of more than a dozen institutions, was unable to agree on the extension. The suit demands -- among other things -- that an extension provision in the original loan agreement be triggered because of the "unprecedented financial crisis in the credit markets now prevailing, in part due to acts Deutsche Bank itself participated in." This so-called force majeure provision is common in contracts and can be applied to acts of war and natural disasters. Mr. Trump already extended the loan once in May. From the Archives Mr. Trump asked for $3 billion in damages. The suit won't affect construction of the project, according to people familiar who say there is enough money to complete the $90 million work that is left. The suit says Mr. Trump attempted to resolve the impasse by offering to buy the project's unsold hotel units for $97 million. That money would be used to pay down the construction loan, along with the $204 million in proceeds from closed units and the $353 million that is expected from units that close in the next six months. A Deutsche Bank spokesman declined to comment. Mr. Trump has put $77 million of his own equity into the tower, which he would stand to lose in a potential foreclosure. Other than a $40 million guarantee to complete the project, Mr. Trump has no recourse obligations to the project. A Trump spokesman declined to comment. [Trump, Donald] Deutsche Bank originated the construction loan in 2005 and sold off most of it to others, retaining less than $10 million of exposure on that loan. The suit alleges that Deutsche Bank compromised the senior construction loan by selling pieces off to "so many institutions, banks, junk bond firms, and virtually anybody that seemed to come along," that the lending group is unable to come to a consensus on how to deal with the matter. It also alleges Deutsche Bank created a "serious conflict of interest" by taking a separate stake in the project's so-called mezzanine loan that was originated by private-equity firm Fortress Investment Group. The mezzanine loan, which is junior to the senior construction loan, had an original principal of $130 million but will eventually accrue to $360 million. Deutsche Bank purchased roughly one-quarter of the mezzanine loan, according to people familiar with the matter. The suit names the mezzanine lenders as defendants, including Fortress and its affiliates, Newcastle Investment Corp. and Drawbridge Special Opportunities Fund, as well as Dune Capital Management and Blackacre Institutional Capital Management, the real-estate arm of Cerberus Capital Management. Fortress didn't respond to a request for comment. The other lenders declined to comment. Unless sales of the condo and hotel units restart despite the worst housing market in generations, and quickly generate $400 million in new sales, it will be difficult for the project to pay off the mezzanine loan, which comes due in May 2009.
  10. C'était comme genre passé inaperçu ce truc?: http://www.fondsftq.com/fr-ca/salle-de-presse/communiques-de-presse/2013/20130905-sanderling.aspx
  11. À l'Exception de quelques geeks et financiers, peut de gens ici connaissent le concept du Bitcoin (Monnaie web open-source, sans banque, sans gouvernement attaché), même les médias traditionnels n'en parle pas du tout, pourtant, Montréal semble vouloir devenir une mini capitale de cet argent virtuel, selon un forum important du sujet. Source: Bitcointalk We are excited about the interest building around the establishment of the Bitcoin Embassy in Montreal and we have been working hard, putting together a team and organizing as we prepare to officially open our doors. The Bitcoin Embassy will serve as a hub where everything Bitcoin related will be given the opportunity to have it’s place under the same roof. We have in mind ; a bitcoin store / museum, a place for meet-ups, conferences, educational sessions, startup / venture capital center, everything that can help grow and promote Bitcoin throughout the Montreal community. Our goal is to make this city an international location for existing Bitcoin enthusiasts and future adopters alike. Join us at our next meet-up planned for Saturday, August 17th, 2013 at 2:30pm at the Bitcoin Embassy offices located at: 3485 St-Laurent Boul. Montreal. We look forward to discuss, plan and get people involved in the next phases of this exciting new project! Please get in touch with us at info@BitcoinEmbassy.ca Qui "Donne" un espace dans un endroit important comme St-Laurent? Beaucoup de commentaire sur Reddit /r/Montreal sur les connexions malveillantes du projet
  12. Sans vouloir remettre de l'huile sur le feu, je trouve l'article intéressant et révélateur Publié le 07 juin 2013 à 06h19 | Mis à jour à 06h19 Francis Vailles, André Dubuc La Presse (Montréal) Jacques Villeneuve a récemment déclaré que l'impôt n'a rien à voir avec son départ du Québec. Pourtant, au fil des années, le coureur automobile n'a pas hésité à faire des détours par Monaco et Andorre, en passant par la Suisse, pour s'installer dans des lieux fiscalement accommodants. Même au Québec, qui n'est pourtant pas un paradis fiscal, la loi lui a offert des options intéressantes pour minimiser les impôts sur sa fortune, estimée à plusieurs dizaines de millions de dollars. Exemption sur la plus-value? Selon nos recherches, une disposition de la Loi de l'impôt permet à un contribuable, à certaines conditions, d'éviter l'impôt sur la plus-value de la plupart de ses placements s'il a été résidant moins de 60 mois durant les 10 dernières années. L'exonération s'applique sur l'essentiel des biens dont le contribuable était propriétaire à son arrivée et qu'il a conservés jusqu'au jour de son départ, explique André Lareau, professeur de fiscalité à l'Université Laval. Il n'est pas possible de connaître les dates d'arrivée et de départ qu'a déclarées Jacques Villeneuve au fisc. Toutefois, selon un document suisse obtenu par La Presse, Villeneuve a eu sa résidence principale dans la commune d'Ollon, dans les Alpes suisses, jusqu'au 30 juin 2007. Le document indique qu'il a alors déménagé dans un appartement terrasse du Vieux-Montréal. La règle de cinq ans pourrait donc avoir cessé de s'appliquer pour Jacques Villeneuve vers le 30 juin 2012. Selon nos informations, le pilote a mis en vente son chalet des Laurentides en février 2012 et sa maison de Westmount en 2012, également. Lui-même nous a confirmé avoir cessé d'être résidant en 2012, mais il n'a pas voulu préciser la date. Dès que l'échéance de 60 mois est franchie, le gain en capital de ce portefeuille devient pleinement imposable au Canada. Le moment où Jacques Villeneuve a cessé d'être résidant canadien pour devenir résidant d'Andorre est donc «très, très important», confirme Éric Labelle, fiscaliste chez Raymond Chabot Grant Thornton. S'il part officiellement avant le 60e mois, il ne paie pas d'impôt de départ sur le gain de ses avoirs. S'il part après, ses gains sur cinq ans deviennent pleinement imposés. Cette disposition concerne seulement l'impôt sur la plus-value de ses biens (gain en capital). Durant sa résidence au Canada, Villeneuve devait tout de même payer des impôts sur tous ses revenus mondiaux, même sur les intérêts et dividendes d'un portefeuille qui serait resté dans un paradis fiscal. Par contre, à l'avenir, il ne paiera pas d'impôt sur ses revenus et placements, puisqu'il n'y a pas de tels impôts dans la principauté d'Andorre, où Jacques Villeneuve est maintenant résidant. Un autre paradis fiscal Officiellement, Jacques Villeneuve a quitté la Suisse pour s'établir au Québec en 2007. Toutefois, le coureur automobile avait un pied-à-terre à Montréal dès 2003, a appris La Presse. L'ex-pilote de Formule 1 s'est alors acheté un penthouse par l'entremise d'une société des îles Vierges britanniques, paradis fiscal des Antilles. Cette société, baptisée Sapphire Blue Holdings, a comme adresse une boîte postale à Tortola, capitale des îles Vierges britanniques, où les entreprises ne paient pas d'impôts. Nulle part le nom de Jacques Villeneuve ne figure sur l'acte d'achat notarié de la transaction, en 2003, ni sur l'emprunt hypothécaire avec la Banque HSBC, en 2005. Sapphire était alors représentée par un avocat de Montréal. Une transaction subséquente précise cependant que Jacques Villeneuve est actionnaire à plus de 90% de Sapphire. Le condo a été acheté de sa soeur, Mélanie Villeneuve, en 2003. Sapphire l'a payé 400 000$, soit près de 300 000$ de moins que ce que Mélanie Villeneuve avait elle-même payé un an plus tôt. Les trois fiscalistes consultés par La Presse ne s'expliquent pas pourquoi une société des îles Vierges britanniques a été utilisée. Selon eux, Sapphire a probablement dû payer au Canada un impôt net de 25% sur le gain de 1,1 million réalisé à la vente du condo, en 2008, même si la société était incorporée dans un paradis fiscal. Résidence principale et secondaire Au Canada, Jacques Villeneuve a toujours deux propriétés connues situées à Westmount et à Harrington, dans les Laurentides. Le fisc permet au contribuable de choisir une propriété comme résidence principale, qui devient alors non imposable. La maison rénovée de Westmount, en vente à 7,5 millions de dollars, a été payée 3 millions, ce qui permet d'espérer un gain appréciable. La propriété de Harrington a été payée 1 million et elle est en vente à 5 millions. L'une des deux propriétés - idéalement celle qui procure le plus grand gain - sera non imposable, à titre de résidence principale. Quant à l'autre, elle pourrait également être exemptée d'impôts, selon l'historique fiscal de Villeneuve. En effet, selon les règles fiscales canadiennes, le pilote peut utiliser des pertes en capital réalisées au Canada ou ailleurs dans le monde durant son séjour ici pour réduire ou annuler le gain en capital qu'il réalisera à la vente de ses biens ici. «Il ne fait rien d'illégal. Au fond, il structure ses affaires pour payer le moins d'impôt possible, comme c'est le cas des autres coureurs automobiles», dit Éric Labelle. Son parcours fiscal Jacques Villeneuve a récemment déclaré que l'impôt n'a rien à voir avec son départ du Québec. La Presse a fait le tour de ses activités pour constater que les questions fiscales ont pourtant été bien présentes au fil de sa carrière. PRINCIPAUTÉ DE MONACO Ligne de départ Années de résidence: 1996-2002 0% Pas d'impôt sur le revenu des particuliers, ni sur les plus-values ni sur le capital. SUISSE, CANTON DE VAUD (OLLON) 1er virage Années de résidence: 2002-2007 Forfait fiscal Plutôt que de remplir un document dans lequel il déclare ses revenus et ses placements, le contribuable négocie une somme annuelle forfaitaire avec les autorités fiscales, calculée selon ses dépenses en Suisse. ÎLES VIERGES BRITANNIQUES Arrêt aux puits Année de création de la société d'investissement: 2003 0% Pas d'impôt sur le revenu des sociétés ni sur les gains en capital. «Dans les îles Vierges britanniques, c'est très facile de créer des sociétés-écrans. Ça coûte très peu cher, quelques centaines de dollars. Ça permet aux gens de faire des investissements et de détenir des comptes de façon anonyme, au moyen de prête-noms.» - Entretien téléphonique avec La Presse de Gabriel Zucman, chercheur à l'École d'économie de Paris et auteur de l'article «Missing Wealth of Nations», portant sur les paradis fiscaux. QUÉBEC La chicane Années de résidence: 2007-2012 49,97% Taux d'imposition marginal sur les revenus de 49,97%. Gain en capital imposé à 50%. Pleine exemption d'impôts sur la résidence principale. Exemption sur le gain en capital des avoirs étrangers pour les contribuables qui résident cinq ans ou moins. PRINCIPAUTÉ D'ANDORRE Ligne d'arrivée: Années de résidence: 2012 0% Aucun impôt direct ni sur les revenus de travail et de placements ni sur les successions pour les personnes physiques ayant leur résidence en Andorre.
  13. http://www.theatlanticcities.com/jobs-and-economy/2013/06/new-global-start-cities/5144/ RICHARD FLORIDA Author's note: Start-up companies are a driving force in high-tech innovation and economic growth. Venture capital-backed companies like Intel, Apple, Genentech, Facebook, Google, and Twitter have powered the rise of whole new industries and shaped the way we live and work. Silicon Valley has long been the world's center for high-tech start-ups. Over the next few weeks, I'll be looking at the new geography of venture capital and high-tech start-ups and the rise of new start-up cities in the United States. I'll be also track to what degree start-up communities are shifting from their traditional locations in the suburbs to urban centers. America's start-up geography, with its well-established high-tech clusters in Silicon Valley and along Boston's Route 128, as well as more recent concentrations in urban centers like San Francisco and lower Manhattan, has been much discussed. But what does the world's start-up geography look like? What are the major start-up cities across the globe? Up until now, good data on the geography of start-ups outside the United States has been very hard, if not impossible, to come by. That's why a relatively new ranking of start-up cities across the globe by SeedTable is so interesting. SeedTable is a discovery platform that's built on the open-source database of more than 100,000 technology companies, investors, and entrepreneurs available at CrunchBase (one of the TechCrunch publications). SeedTable has information on more than 42,500 companies founded since 2002, including whether the companies are angel- or venture capital-funded (angel funders invest their own money; venture capitalists raise money from others), and whether the funder has exited, either by IPO or acquisition. The data cover 150 cities worldwide. It is reported by separate city or municipality, so the Martin Prosperity Institute's Zara Matheson organized the data by metro area and then mapped it by three major categories: global start-ups, companies receiving angel funding, and companies receiving institutional venture capital. The first map tracks start-ups across the cities of the world. New York tops the list with 144, besting San Francisco's 135. London is next with 90, followed by San Jose-Sunnyvale-Santa Clara (Silicon Valley) with 66, and Los Angeles with 64. Toronto and Boston-Cambridge tied for sixth with 34 each, Chicago is eighth with 31, Berlin ninth with 27, and Bangalore 10th with 26. Austin (23), Seattle (22), and São Paulo (21) each have more than 20 start-ups. Another 20 cities are home to 10 or more start-ups: Istanbul with 19; Vancouver and Moscow each with 17; New Delhi (15); Paris, and Atlanta with 14 each; Washington, D.C., Amsterdam, and Miami with 12 each; San Diego, Madrid, Singapore, and Sydney with 11 apiece; and Barcelona, Dublin, Tel Aviv, Dallas-Fort Worth, Mumbai, Buenos Aires and Rio de Janeiro, with 10 start-ups each. The second map charts the leading locations for companies receiving angel funding. Angel funding comes typically from wealthy individuals, often established entrepreneurs who invest their own personal funds in start-up companies. San Francisco now tops the list with 138 companies receiving angel funding, followed by New York with 117. London is again third with 62. San Jose is fourth with 60, Boston-Cambridge fifth with 50 and L.A. sixth with 48. Chicago and Philadelphia are tied for seventh with 19, and Seattle and Portland tied for 10th with 18 apiece. Nine more cities have 10 or more companies receiving angel funding: Toronto (17), D.C. (14), Berlin, and Paris (13 each), Atlanta, Barcelona and Boulder (12 each), Dublin (11), and Cincinnati (10). The third map above charts the locations of companies that attracted venture capital funding. Now the ranking changes considerably. San Francisco tops the list with 354, followed by Boston-Cambridge with 248, and San Jose with 216. New York is fourth with 160 and London fifth with 73. L.A. is sixth with 65, Seattle seventh with 57, San Diego eighth with 48, Austin ninth with 47, and Chicago 10th with 29. There are seven additional cities with 20 or more venture capital backed companies: Berlin (25), Toronto and Boulder (22 each), D.C., Paris, and Atlanta (21 each), and Denver with 20. The big takeaways? For one, these maps speak to the urban shift in the underlying model for high-technology start-ups. With its high-tech companies clustered in office parks along highway interchanges, Silicon Valley is the classic suburban nerdistan. But, at least according to these data, it appears to have been eclipsed by three more-urbanized areas. New York and London, admittedly much larger cities, both top it on start-up activity and the number of angel-funded companies, while the center of gravity for high-tech in the Bay Area has shifted somewhat from the valley to its more-urban neighbor San Francisco, which tops it in start-up activity, angel-funded, and venture capital-backed companies. The globalization of start-ups is the second big takeaway. American cities and metros — like Boston-Cambridge, L.A., Seattle, San Diego, Washington, D.C., Chicago, and Austin, as well as New York and San Francisco — all do very well. But London now ranks in the very top tier of start-up cities, while Toronto and Vancouver in Canada; Berlin (so much for the argument that Berlin is a lagging bohemian center with hardly any tech or entrepreneurial future), Paris, Amsterdam, Dublin, Madrid, and Barcelona in Europe; Bangalore, New Delhi, and Mumbai in India; Singapore and Sydney in the Asia Pacific region; and Buenos Aires and Rio de Janeiro in South America each have significant clusters of start-up activity. The world, as I have written, is spiky, with its most intensive economic activity concentrated in a relative handful of places. Global tech is no exception — and it is taking a decidedly urban turn. All maps by the Martin Prosperity Institute's Zara Matheson; Map data via Seedtable Keywords: London, New York, San Francisco, Maps, Start-Up, Venture Capital, Cities Richard Florida is Co-Founder and Editor at Large at The Atlantic Cities. He's also a Senior Editor at The Atlantic, Director of the Martin Prosperity Institute at the University of Toronto's Rotman School of Management, and Global Research Professor at New York University. He is a frequent speaker to communities, business and professional organizations, and founder of the Creative Class Group, whose current client list can be found here.
  14. http://affaires.lapresse.ca/economie/201210/24/01-4586395-economie-numerique-un-fonds-francais-debarque-a-montreal.php
  15. Philippe Mercure LA PRESSE Publié le 12 septembre 2012 à 06h31 (Montréal) Il a les poches profondes, un historique de succès et un réseau de contacts qui s'étend partout au Canada et aux États-Unis. Et il débarque à Montréal avec des millions de dollars à miser sur les entreprises d'ici. EnerTech Capital, important gestionnaire de capital-risque spécialisé dans les énergies vertes et l'efficacité énergétique, ouvre un bureau à Montréal. Il sera dirigé par Anne-Marie Bourgeois, une figure bien connue du milieu des technologies propres qui compte 17 ans d'expérience dans le secteur. «La présence d'Hydro-Québec et de son Institut de recherche, qui génèrent beaucoup d'innovation en nouvelles technologies, est l'un des aspects qui nous ont attirés au Québec. L'autre est le grand nombre d'entreprises innovantes dans le secteur de l'énergie et des technologies propres qu'on voit émerger dans la province», a dit à La Presse Affaires Wally Hunter, associé principal d'EnerTech Capital. Fondé aux États-Unis en 1996, EnerTech possède aujourd'hui des bureaux à Philadelphie, Toronto et Calgary. Son métier: miser de l'argent sur de jeunes entreprises du domaine des énergies vertes et de l'efficacité énergétique dans l'espoir de les voir percer. Le portefeuille d'EnerTech atteint aujourd'hui 450 millions US et l'entreprise a généré 31 «sorties» - un terme qui signifie qu'elle a réussi à récupérer son investissement (et parfois beaucoup plus) dans une entreprise parce que d'autres investisseurs ont pris le relais, que l'entreprise est entrée en Bourse ou qu'elle a fait l'objet d'une acquisition. EnerTech vient de lancer le quatrième fonds de son histoire, dont 60 millions ont déjà été récoltés. Taille visée: 150 millions. Selon M. Hunter, on peut s'attendre à ce que 20% de la somme ou même davantage soit investi dans les entreprises du Québec. Pour identifier les meilleures occasions d'affaires dans la province, EnerTech s'est réjoui d'avoir recruté Anne-Marie Bourgeois. Mme Bourgeois a notamment participé au financement des entreprises en démarrage de technologies propres au sein de la fondation Technologies du développement du durable Canada. «Son expérience et sa connaissance du marché québécois vont nous être très précieuses, a dit M. Hunter. On se sent comme des recruteurs de hockey qui ont gagné leur repêchage.» «De Philadelphie, il peut être difficile de bien prendre le pouls du marché québécois. De mon côté, je connais très bien les entreprises - ça fait 17 ans que je travaille avec elles. On va donc être beaucoup plus proactifs à partir de maintenant», dit de son côté Mme Bourgeois. Fait intéressant, EnerTech avait reçu un investissement d'Hydro-Québec quand elle avait lancé son deuxième fonds. L'entreprise a déjà annoncé son intention de travailler de concert avec Cycle Capital, un gestionnaire de capital-risque québécois entièrement qui se consacre aux technologies propres. «Nous connaissons Cycle depuis longtemps et nous sommes actuellement en train de regarder quelques-unes de leurs entreprises», a révélé M. Hunter. Deux transactions en particulier sont à l'étude, a-t-il précisé. Loin de craindre la concurrence, Cycle Capital a salué l'arrivée de ce nouvel acteur au Québec. «Cycle fait rarement des investissements seul, et c'est extrêmement positif d'avoir des partenaires qui amènent d'autres ressources financières et d'autres liens dans le marché au niveau international», a commenté Andrée-Lise Méthot, fondatrice et associée principale chez Cycle Capital. «Le seul fait qu'un acteur de la trempe d'EnerTech démontre de l'intérêt pour le Québec prouve qu'il se passe des choses intéressantes dans notre marché», a ajouté Mme Méthot. Outre l'argent, EnerTech amènera avec lui tout un réseau de co-investisseurs, notamment américains, qui pourront investir et éventuellement conseiller et aider à propulser les entreprises québécoises sur lesquels ils miseront. «C'est peut-être le plus grand bénéfice pour le Québec, dit à ce sujet M. Hunter. Des investisseurs qui n'avaient pas nécessairement le Québec sur leur radar risquent d'investir ici parce qu'ils nous connaissent, qu'ils connaissent notre réputation et notre feuille de route.» ENERTECH CAPITAL EN UN COUP D'OEIL - Fondé en 1996 - Gère un portefeuille de 450 millions US - 31 sorties réussies - Déploie actuellement son quatrième fonds http://affaires.lapresse.ca/economie/energie-et-ressources/201209/12/01-4573234-energies-vertes-un-investisseur-majeur-debarque-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  16. Une belle occasion de veloppement manquee par la Banque Nationale... La Scotia achète ING Direct pour 3,1 G$ La Presse Canadienne . les affaires.com . 29-08-2012 (modifié le 29-08-2012 à 16:45) La Banque Scotia (TSX:BNS) a conclu une entente pour acheter la Banque ING du Canada de la société-mère néerlandaise Groupe ING pour 3,13 milliards $ en espèces. La transaction devrait se traduire par un investissement net de 1,9 milliard $ pour la Scotia, une fois déduction faite du capital excédentaire qui se trouve actuellement chez ING Direct. La Banque Scotia a également annoncé une offre publique de 29 millions d'actions ordinaires à 52 $ pour des revenus de 1,5 milliard $ afin de financer cette transaction. L'entente devra être approuvée par les autorités réglementaires. ING Groep NV peine à protéger sa santé financière dans la foulée de mauvais prêts et de marges fondantes. Comme plusieurs banques européennes, ING a dû vendre des actifs et se prévaloir de prêts d'urgence quand la crise budgétaire grecque a miné la confiance envers les institutions bancaires du continent, qui avaient déjà été matraquées par la récession. En février, ING a vendu les activités américaines d'ING Direct à Capital One pour 600 millions $ US. En 2010, le Groupe ING a vendu 400 propriétés industrielles canadiennes au Alberta Investment Management Corp et à KingSett Capital, leur consentant un rabais de 1,3 milliard $, quand la valeur de ce portefeuille s'est écroulée quatre ans après son acquisition.
  17. http://www.nytimes.com/2011/11/18/business/global/hip-cities-that-think-about-how-they-work.html?pagewanted=1&_r=2&smid=fb-share The story of young people, full of ambition, energy, skill and talent, moving to enticing cities that call to them like a siren’s song is as old as modern civilization. And in a world where national borders are easier to traverse, where more countries are joining the prosperous global middle class and where the cost of a one-way plane ticket is more affordable, young professionals probably have more cities to choose from than ever before. This survey is not based solely on quality of life, number of trees or the cost of a month’s rent. Instead, we examine some cities that aim to be both smart and well managed, yet have an undeniably hip vibe. Our pick of cities that are, in a phrase, both great and good: Auckland With its beaches, inlets and lush coastal climate, the Kiwi metropolis has always had great natural beauty going for it (and, now, for the first time in 24 years, it is the home to the World Cup Rugby Champions). But we digress. Currently counting 1.5 million residents , the government is projecting the city to hit the two million-mark in just 30 years. The city has recently voted to create a new central core that mixes sustainable housing and mixed-use development. The public transportation system, which includes subways, trams, busses and ferries, is constantly being expanded. Measures to increase the density of the urban landscape, meant to ultimately prevent encroachment on surrounding lands, as well as planting “green carpets” along urban roads demonstrate a keen eye toward creating a greener future. Plus, the city is expanding its free Wi-Fi coverage, according to a city official. Auckland is doing its best to “up their game with urban design,” said Angela Jones, a spokesperson for the city, turning a beautiful but provincial capital into a smart city. Berlin This culture capital combines low rents, a white-hot arts scene, good public transportation and myriad creative types — from media to design to technology — from all over the world. Known as Europe’s largest construction zone for at least 10 of the past 20 years, 4.4-million-strong Berlin has probably changed more in that time than any other large European city. And while the restaurants have become more expensive, the clothes are now more stylish and the D.J.’s have added more attitude, there is still plenty of real city left to be discovered by the thousands of artists and young professionals who move here every year to make this the pulsing center of Germany, the powerhouse of Europe. Besides radical renovations to the government center, main train station and the old Potsdamer Platz, the city recently turned a historic airport in its heart into a vast urban park. A short-term bike-rental system is in place and the old subway system, reunited after the fall of the wall, like the city itself, is as efficient as ever. Besides artists and bohemians looking for the vibe, the city — home to several prestigious universities, research institutes and many a company headquarter — is brimming with smart scientists and savvy businessmen. Barcelona Anyone who has walked down Las Ramblas on a summer evening or has stared at the Sagrada Familia for long enough understands why this city attracts planeloads of tourists. Music, good food, great weather and strong technology and service sectors compete to make this city of 1.6 million a home for all those who want to stay beyond summer break. If all the traditional charms of Barcelona were not enough, an active city government is trying to keep this city smart, too. Under its auspices, photovoltaic solar cells have been installed on many public and private rooftops. Charging stations for electrical cars and scooters have recently been set up around the city, in preparation for the day when residents will be tooling around in their electric vehicles. A biomass processing plant is being built that will use the detritus from city parks to generate heat and electricity, and free Wi-Fi is available at hotspots around the city. Cape Town Wedged between sea and mountain, Cape Town’s natural setting is stunning. Nor does the city — with its colorful neighborhoods, historic sites, and easy charm — disappoint. And while its one of Africa’s top tourist destinations, it also attracts many new residents from around the globe. The local government is trying to lead the growing city of 3.5 million with a more inclusive government and development structure, to overcome the gross inequities of South Africa’s past. Four major universities and many research institutes make Cape Town one of the continent’s bustling research centers. Named the 2014 World Design Capital last month, the city government is encouraging a cluster of design and creative firms in a neighborhood called the Fringe. The 2010 World Cup of soccer was a boon for infrastructure, especially public transportation. A new bus system, with dedicated lanes, has been rolled out in recent years to keep the many suburbs connected and alleviate crushing traffic. Under a program called Smart Cape, libraries and civic centers have computer terminals with free Internet access. Poverty and crime are still issues in Cape Town, but overall quality of life indicators rank the city as one of the best in Africa. Copenhagen Progressive, cozy and very beautiful, the young and the elegant flock to this northern light. Rents might not be as low as in other hip cities, but the social infrastructure in this metropolitan area of 1.9 million cannot be beat. Offering a prosperous blend of art, culture and scene, this highly tolerant city is attracting young professionals lucky enough to work in the center of Danish industry and commerce. A mix of stately old European buildings and modern, green-oriented architecture speaks of a city that treasures the old but loves experimenting with the new. Despite its cool Scandinavian climate, the Danish capital might just be the most bicycle-friendly city in the world. Bike superhighways crisscross the city, and statistics show that more than a third of the city’s inhabitants commute to work or school on their trusty two-wheelers. A metro system was inaugurated in the last decade for those who choose to go without. With sunlight-flooded underground stations and clean, driverless subway cars, the system looks more like a people-mover at an international airport than an urban transport system. Having committed itself to reducing carbon levels by 20 percent before 2015, some of the city’s power is generated by wind. The city has been so successful in cleaning up its once-industrial harbor that it has been able to open three public baths in a harbor waterway. Curitiba, Brazil One of the smartest cities in Latin America, Brazil’s wealthy regional capital attracts many new inhabitants with jobs in service and production sectors, and with the promise a functioning city. The 1.7 million residents have access to a bus-based rapid transport system so good that more than 700,000 commuters use it daily. Buses run on designated lanes that, because of a unique and modern urban design, have right-of-way and preferred access to the city center. A beautiful botanical garden and other city parks, along with other strong environmental measures, keep the air largely clear of pollution, despite Curitiba’s land-locked location. The city strives to be sustainable in other ways, too. According to reports, it recently invested $106 million, or 5 percent, of its budget into its department of environment. The city government makes itself integral in the lives of Curitibans, not just seeking comment and feedback on policies, but also organizing a host of events. “Bike Night” is the latest craze in the active city. Each Tuesday, residents take to their bikes and peddle through the night, accompanied by municipal staff members. Montreal With its hearty French and North American mix, this city of 3.6 million has a real soul thanks to low living costs and long winter evenings. And it is no slouch when it comes to good food, hip culture, well-appointed museums and efficient transportation. With four major universities and plenty of bars, the nightlife in this bilingual city has a well-deserved reputation. Because the winters tend to be long and cold, the city possesses an extensive underground network connecting several downtown malls and a subterranean arts quarter. When spring finally does arrive, and snow is cleared from the many bike paths, the city puts out its 3,000 short-term-rental bicycles, known as Bixi. City-sponsored community gardens are sprouting around town, giving urbanites a chance to flex their green thumb. Montreal is an incredibly active town where festivals celebrating everything from jazz to Formula One dominate the city’s calendar during the summer. Thanks to Mount Royal, a large central park and cemetery that serves as cross-country, snowshoe and ice-skating terrain in the winter and becomes a verdant picnic ground and gathering spot in the summer, Montrealers never have to leave city limits. Santiago A vibrant mix of Latin American culture and European sensibility, this Chilean city is modern, safe and smart. The rapidly growing city of 6.7 million — , which, perhaps surprisingly, was first subject to urban planning mandates in the mid-20th century — is still ahead of others in South America when it comes to urban governance. A law curtailing urban sprawl and protecting the few natural spaces close to the city is exemplary. Beautiful old cultural jewels like the library and fine art museum are dwarfed by serious commercial skyscrapers. The smell of local food, good and inexpensive, brings life even to the streets of its financial district. One of the most extensive public transport systems on the continent whisks more than 2.3 million commuters to and from work or school every day. Because of its high altitude, pollution is a problem — one that the national government is trying to curb with various green initiatives. Short-term bike rentals exist in one of the more active parts of town, and significant city funds have been used to construct bicycle lanes. For a city this modern, however, Santiago has few parks. But the ocean is just a short drive to west and the mountains to the east. Shanghai China’s commercial heart has grown tremendously in the past couple of decades. Attracting young professionals with its jobs and opportunities rather than with museums and hip nightlife, this megacity of 23 million is surprisingly smart. Its top-down urban planning approach is efficient in a city made up of separate 16 districts and one county. City coffers are put to use building enormously ambitious infrastructure, like a deepwater port, tunnels, bridges and roadways. A good indicator for the rapid and deliberate growth of the city is the metro system. First opened in 1995, it is now the world’s longest subway network, according to city officials. Adding a futuristic aspect to the utilitarian system is a Maglev (magnetic levitation) line that connects the airport to the city, and on which the train travels at speeds of up to 431 kilometers, or 268 miles, per hour. But Shanghai’s urban development is also green. The city claims that it put the equivalent of $8 billion into environmental improvement and cleanup, which include sewage treatment systems but also an impressive number of city parks. In addition, Shanghai has made its city government more accessible by running a Web site were residents can find municipal information, and read a blog entitled “mayor’s window.” Vilnius, Lithuania One of the greenest of the former Eastern bloc capitals, Vilnius has a forward-thinking city government. In a recent Internet video that spread virally, the mayor, Arturas Zuokas, is seen crushing a Mercedes parked on a bike path with a tank. Beyond the obvious political theater of the stunt, the city, whose metropolitan area population is 850,000 takes providing good public transportation seriously. A recent study suggested that some 70 percent of the capital’s citizens either walk, bike or take the bus. Vilnius, a verdant city that despite some communist architectural clunkers is charmingly medieval and surprisingly well maintained, boasts an old town that is a Unesco world heritage site. After the fall of the old regime, the city took great pains to retool its waste disposal systems, building a modern landfill in 2005. The capital attracts young professionals, and not just from Eastern Europe, who see in Vilnius a rising star in business and appreciate all that the extensive cultural scene in the little capital has to offer.
  18. Fort de son nouvel appui de 25 millions de dollars de Teralys, le gestionnaire de capital de risque ontarien Celtic House ouvrira un bureau permanent à Montréal. La firme investira aussi des dizaines de millions dans les jeunes entreprises québécoises au cours des prochaines années. Tel que rapporté hier par La Presse Affaires, Celtic House a récolté 105 millions pour mettre sur pied un nouveau fonds de capital de risque. Le quart du financement provient de la firme québécoise Teralys. Or, l'équivalent de ce montant, soit au moins 25 millions, sera réinvesti par Celtic House ou ses partenaires dans des entreprises québécoises. «Tout ce qu'on fait est dans cette optique, dit Jacques Bernier, associé principal de Teralys. Tous les investissements qu'on fait reviennent dans l'écosystème québécois. De plus, l'historique montre que chaque dollar québécois investi en capital de risque attire chez nous deux autres dollars des États-Unis ou d'ailleurs.» L'investissement de Teralys - un réservoir de capital de risque créé en 2009 par Investissement Québec, la Caisse de dépôt et le Fonds de solidarité FTQ - était aussi conditionnel à ce que Celtic House ouvre un bureau permanent au Québec. La firme ontarienne avait de toute façon son homme à Montréal depuis plusieurs années, soit l'associé Pierre-André Meunier. «On va avoir pignon sur rue à Montréal d'ici la fin de l'année», promet M. Meunier, qui cherche actuellement un local à partager avec d'autres investisseurs. Occasions d'investissements La spécialité de Celtic House est de parier sur des entreprises en démarrage qui mettent au point des technologies pour les médias et les communications dans l'espoir de les voir percer et ainsi multiplier sa mise. Pierre-André Meunier affirme avoir déjà à l'oeil plusieurs occasions d'investissements dans ces domaines au Québec. «Il y a ici un pool de compétence et une expertise technique de classe mondiale, ainsi qu'un écosystème de qualité», dit-il. «J'ai des projets dans le collimateur au Québec, et directement dans les segments de marché où Celtic House a fait de l'argent précédemment», a-t-il aussi révélé. http://affaires.lapresse.ca/economie/201205/24/01-4528114-capital-de-risque-celtic-house-ouvre-un-bureau-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS14
  19. Fiera Immobilier, une division de Fiera Capital, met la main sur le gestionnaire de placements immobiliers Roycom. Les détails de la transaction n'ont pas été dévoilés. En achetant cette firme située à Halifax, Fiera Immobilier ajoute 500 M$ à son actif sous gestion afin de créer une plateforme d'investissement en placements immobiliers axée sur les fonds communs et de services de gestion de comptes distincts pour les clients institutionnels. « Grâce à notre association avec Roycom, nous avons trouvé le partenaire dont nous avons besoin pour nous aider à lancer notre entreprise et à commercialiser de nouveaux produits », déclare Stuart Lazier, chef de la direction de Fiera Immobilier, par voie de communiqué. Fondé en 1976, Roycom est un gestionnaire de placements spécialisé en acquisitions, gestion d'actifs, gestion immobilière, services de location et en aliénation d'actifs. Stuart Lazier occupera le poste de chef de la direction et Rob Roy, l'actuel président de Roycom, deviendra président de la nouvelle entité. Ils dirigeront une équipe de 12 professionnels établis à Halifax et Toronto. « Notre mission consistera à mobiliser et à motiver notre équipe de façon à générer des bénéfices pour nos investisseurs et bâtir la confiance en un avenir prometteur », mentionne Stuart Lazier, dans un communiqué. « Notre priorité numéro un est de nous assurer que les besoins de nos clients actuels sont pleinement satisfaits », ajoute-t-il. « Fiera Immobilier possède maintenant l'équipe, la plateforme et la feuille de route qui nous permettront d'accéder à une position dominante dans le secteur de la gestion d'investissements immobiliers », indique Jean-Guy Desjardins, président du conseil, chef de la direction et chef des placements de Fiera Capital, par voie de communiqué. Créé en 2011, Fiera Immobilier est une coentreprise établie par Fiera Capital et Axia Investments dans le but d'édifier une plateforme de services en placements immobiliers destinée aux investisseurs institutionnels.
  20. This is good news. The guy is a Wall Street pro and brings very good expertise to Mtl financial sector. This fund will manage International, US & Canadian money (vs just Canadian). La Presse Publié le 24 mars 2012 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Au cours des huit dernières années, François Trahan a été désigné cinq fois le meilleur stratège boursier de Wall Street et trois fois le second par le magazine Institutional Investor, la bible du capital. Même s'il continue de gérer sa firme newyorkaise Wolfe Trahan & Co, le stratège va lancer le 2 avril prochain son premier «hedge fund» international, le Fonds Opportunités Trahan qui sera administré par sa nouvelle firme montréalaise Gestion de Capital Trahan. Le Fonds Opportunités Trahan destiné exclusivement aux investisseurs canadiens sera dupliqué en deux fonds miroirs, le Trahan hedge Opportunitys (THO) inscrit à New York pour le marché américain et un autre THO enregistré aux Îles Caïman et destiné aux investisseurs internationaux. «On n'a pas enregistré notre fonds aux Îles Caïman dans le but de permettre aux investisseurs de profiter d'un paradis fiscal. Ça n'a rien à voir. Les caisses de retraite aux Etats-Unis peuvent profiter d'un crédit d'impôt si elles investissent aux Îles. «C'est aussi le seul moyen qu'on avait pour offrir notre fonds à nos clients du Japon, de l'Australie ou de Hong Kong», insiste François Trahan, dans ses nouveaux bureaux du centre-ville de Montréal où il a installé sa nouvelle boîte Gestion de Capital Trahan. Cela fait plusieurs années que François Trahan est sollicité par les démarcheurs du Centre financier international de Montréal pour qu'il vienne s'installer dans la ville où il a obtenu son diplôme en Finances aux HEC. Même le premier ministre Charest lui a fait du genou lors d'un coktail à New York... Mais ce n'est pas pour ces raisons que la star de Wall Street a décidé de revenir chez lui. Après 12 ans à New York, il a décidé au printemps d'installer sa famille à Montréal pour se rapprocher de son père qui était gravement malade. Une semaine sur deux, il retourne à Manhattan pour superviser avec son associé les activités de sa boîte Wolfe Trahan qui compte maintenant 50 employés. «Je voulais lancer mon propre «hedge fund» et j'ai décidé de le faire à Montréal, sans en parler à personne», m'explique le spécialiste boursier. Avec le recul, il estime qu'il aurait mieux valu utiliser ses contacts parce qu'il a trouvé très laborieuses les démarches pour s'enregistrer auprès de l'Autorité des marchés financiers (voir autre texte). Collé à l'économie Comme tous les fonds alternatifs, le Fonds Opportunités Trahan sera offert exclusivement aux investisseurs aguerris, c'est-à-dire aux particuliers qui ont au moins 1 million en actifs financiers et aux investisseurs institutionnels qui utilisent ce type de placement pour réduire le risque de leur exposition aux marchés. «Notre but est de produire à chaque année un rendement positif, peu importe le comportement des marchés. Quand la bourse recule de 40% et que mon courtier me dit que je m'en tire bien avec des pertes de 30%, ce n'est pas vrai que je m'en tire bien. J'ai quand même perdu 30%», explique François Trahan. Il existe quelques fonds alternatifs gérés de Montréal mais leurs actifs sous gestion sont inférieurs à 100 millions. François Trahan anticipe que son fonds génèrera des actifs sous gestion de 1,1 milliard. «C'est le maximum que l'on peut aller chercher. À 1,1 milliard, on peut liquider nos positions en deux jours sans affecter la valeur des titres de notre portefeuille. C'est la norme qu'on a fixée. S'il y a encore de la demande on pourra lancer un fonds Opportunités 2», résume-t-il. La composition du portefeuille de ce fonds sera faite par François Trahan qui s'inspire depuis toujours de la macro-économie pour réaliser ses choix d'actifs. «Je privilégie la spécialité du portefeuille en me basant sur l'analyse quantitative. Je cherche les meilleurs actifs en tenant compte des mouvements de l'économie», explique-t-il. Deux exilés de retour Pour le lancement de sa firme montréalaise, François Trahan s'est associé à Marlyn Bilodeau, une spécialiste de l'investissement qui a longtemps oeuvré elle aussi à New York. Elle a été notamment gestionnaire de risque chez l'assureur AXA et responsable du développement de produits chez Credit Suisse Assets Management. «On a un parcours similaire. Je suis marié à une Américaine et nous avons trois enfants. Marlyn est mariée à un Américain et a trois enfants. On est revenu tous les deux à Montréal en juin dernier à une semaine d'intervalle, sans que l'on se consulte. C'est en lui envoyant un courriel durant l'été que j'ai appris qu'elle était elle aussi de retour au pays», relate avec amusement François Trahan. Marlyn Bilodeau sera président de Gestion de Capital Trahan et François Trahan, Chef des placements. «J'ai trois associés américains dans le financement de la firme mais tout le capital de départ (seed money) du Fonds Opportunités Trahan sera mon argent à moi. J'investi beaucoup d'argent dans ce nouveau fonds», souligne le stratège boursier.
  21. Une poignée d'investisseurs français et québécois en capital-risque s'est donné rendez-vous en début de semaine au Venture Capital Forum. L'événement organisé à Montréal par la Chambre de commerce française au Canada a permis à une douzaine d'entrepreneurs de se faire voir des firmes de capital-risque locales, mais aussi étrangères. Aurélien Chouvet, chef de la direction d'Insidoo, ne voulait pas rater l'occasion de faire connaître son entreprise à des investisseurs nord-américains. «On veut prendre le pouls local», a-t-il indiqué en entrevue avec La Presse Affaires. L'entreprise de commerce électronique qu'il a cofondée se positionne comme un intermédiaire dans la vente en ligne de mobilier, en plus de fournir l'accès web à un logiciel de planification d'intérieur. Maintenant qu'il est bien implanté en France, Aurélien Chouvet souhaite reproduire son modèle d'affaires en Amérique du Nord. Et, selon lui, le Québec pourrait être un terreau fertile pour accueillir sa version nord-américaine. «Lorsqu'on réfléchit à un tremplin de lancement sur l'Amérique du Nord, le Québec est sûrement une possibilité intéressante», a-t-il précisé. Des représentants de firmes de capital-risque ont aussi fait le voyage Paris-Montréal pour participer à l'événement. Didier Moret, directeur général du fonds français I-source, en a profité pour tisser de nouveaux liens d'affaires. «Ça nous permet d'être informés sur ce qu'il peut y avoir comme entreprise intéressante ailleurs que chez nous. C'est aussi une occasion de rencontrer des investisseurs qu'on peut ensuite inviter à se joindre à nos entreprises», a-t-il dit. I-source gère un fonds de 243 millions investit dans 24 entreprises, dont au moins une québécoise, LeddarTech, qui commercialise des outils de détection pour le secteur du transport. Grâce en partie à cet investissement d'un fonds français, l'entreprise de Québec est en train de faire sa place sur le marché européen. «Quand une entreprise se développe bien, c'est bien qu'elle soit financée par des fonds d'autres pays, parce que ça lui ouvre des portes pour se développer à l'international», indique Didier Moret. Le Venture Capital Forum se voulait d'ailleurs une occasion pour les investisseurs et entrepreneurs participants de faire le saut à Boston le temps d'une journée pour y rencontrer les acteurs de l'endroit. Selon Serge Auray, PDG de Laboratoire M, c'était une occasion en or qui s'offrait à son entreprise. «Trouver un investisseur qui connait bien mon secteur et qui a de l'expertise dans les réseaux de distribution, ce serait le Klondike pour moi», disait-il quelques heures avant son départ pour Boston. Son entreprise, située à Sherbrooke, a développé une série de nettoyants «verts» pour les secteurs industriel et résidentiel. Elle lancera un premier produit aux États-Unis d'ici quelques jours, et prépare aussi une entrée éventuelle en sol européen. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201203/23/01-4508524-capital-de-risque-rapprochement-entre-le-quebec-et-la-france.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS1
  22. http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4154160,00.html There is also video clips if you click the link, don't worry the video clips are in english and not hebrew.
  23. Roman Bezjak Roman Bezjak, who was born in Slovenia but was raised in West Germany, set out to document the everyday qualities of communist buildings. Once the Ministry of Road Construction, this building in Tbilisi, Georgia, consists of five intersecting horizontal bars and resembles a Jenga game. It was designed to has as small a footprint on the ground as possible and to allow natural life to flourish. Now it houses the Bank of Georgia. Roman Bezjak Pictured here is a Cold War-era commercial complex in Leipzig, eastern Germany. Bezjak wants viewers to approach his photos "with a gaze uncontaminated by ideology." Roman Bezjak Nemiga Street in the Belarusian capital Minsk, where an old church still stands in the old city core, between two monstrosities of postwar modernism. Bezjak made repeated trips to Eastern Europe over a period spanning five years. Roman Bezjak Prefabricated apartment blocks in St. Petersburg, Russia. Bezjak wanted to show the buildings from eye level, the way local citizens would have seen them every day. Roman Bezjak A patriotic mosaic on the National History Museum in Tirana, Albania, built in 1981. Roman Bezjak This massive 1970s government building in the eastern German city of Magdeburg become a department store after 1991. Roman Bezjak The "three widows" in Belgrade, Serbia -- three massive apartment blocks. Roman Bezjak Bezjak's book has collected photos of post-war architecture from countries including Poland, Lithuania, Serbia, Hungary, Ukraine and Georgia. Roman Bezjak The 12-story building in the middle is a three-star hotel -- the "Hotel Cascade" -- in the Czech city of Most. Roman Bezjak This publishing house in Sarajevo, Bosnia, looks like a spaceship. It shows signs of damage from the war. "It was near Snipers' Alley," Bezjak recalls -- a street in the Serbian capital that received its nickname during the Balkan wars. Roman Bezjak An earthquake in 1963 gave city planners in the Macedonian capital of Skopje the chance to envision an "ideal city" in concrete. The city's main post office could be from a science fiction movie. Roman Bezjak A department store in the Ukrainian city of Dnipropetrovsk. Roman Bezjak The center of Dresden, where a state department store built in the 1970s was meant to be the height of modernity. The building was torn down in 2007. Roman Bezjak A dinosaur of communism: The roof of the sports hall in Kosovo's capital Pristina looks like the back of a stegosaurus. Built in 1977, it's still in use for athletic events and concerts. Roman Bezjak The Polish port city of Gdansk has prefabricated apartment blocks from the 1960s and 1970s that are supposed to look like waves from the nearby Baltic Sea. Called "wave houses," they take up whole city blocks. The largest is 850 meters long and is said to be the third-longest apartment building in Europe. Roman Bezjak For Bezjak, these buildings are not just relics of a failed system, but also, simply, home. "That can't be measured according to aesthetic or social categories, but only in terms of memories," he says. This photo shows the city of Halle in eastern Germany. Bezjak's photographs repeatedly met with incomprehension from Eastern European colleagues. "They can't understand why anyone would focus on this phenomenon," Bezjak says. Roman Bezjak's book "Sozialistische Moderne - Archäologie einer Zeit" is published by Hatje Cantz Verlag, 2011, 160 pages. http://www.spiegel.de/international/zeitgeist/0,1518,777206,00.html
  24. China's nine-day traffic jam stretches 100km (AFP) – 16 hours ago BEIJING — Thousands of vehicles were bogged down Monday in a more than 100-kilometre (62-mile) traffic jam leading to Beijing that has lasted nine days and highlights China's growing road congestion woes. The Beijing-Tibet expressway slowed to a crawl on August 14 due to a spike in traffic by cargo-bearing heavy trucks heading to the capital, and compounded by road maintenance work that began five days later, the Global Times said. The state-run newspaper said the jam between Beijing and Jining city had given birth to a mini-economy with local merchants capitalising on the stranded drivers' predicament by selling them water and food at inflated prices. That stretch of highway linking Beijing with the northern province of Hebei and the Inner Mongolia region has become increasingly prone to massive jams as the capital of more than 20 million people sucks in huge shipments of goods. Traffic slowed to a snail's pace in June and July for nearly a month, according to earlier press reports. The latest clog has been worsened by the road improvement project, made necessary by highway damage caused by a steady increase in cargo traffic, the Global Times said. China has embarked in recent years on a huge expansion of its national road system but soaring traffic periodically overwhelms the grid. The congestion was expected to last into mid-September as the road project will not be finished until then, the newspaper said. The roadway is a major artery for the supply of produce, coal and other goods to Beijing. Video: http://news.sky.com/skynews/Home/World-News/A-100km-Long-Traffic-Jam-In-Beijing-Enters-Its-Ninth-Day-And-Could-Continue-For-A-Month/Article/201008415702670?lpos=World_News_First_Home_Article_Teaser_Region_4&lid=ARTICLE_15702670_A_100km-Long_Traffic_Jam_In_Beijing_Enters_Its_Ninth_Day_And_Could_Continue_For_A_Month
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