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  1. Voila mes premières photos de nuit avec mon nouvelle appareil photo! j'ai choisis les raffinerie de Montréal par grand froid ça donne un air dramatique!
  2. Des clins d'oeil a Montreal chez soi | Andre Laroche | Design Publié le 06 janvier 2017 à 11h00 | Mis à jour le 06 janvier 2017 à 11h00 Des clins d'oeil à Montréal chez soi Neige sur Montréal PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE André Laroche collaboration spéciale Une aquarelle de la carte géographique de Montréal? Des images encadrées de lampadaires typiquement montréalais? Grâce à des oeuvres de designers montréalais, on peut faire de jolis clins d'oeil à la métropole dans son décor. Cette collection s'appelle « Code Souvenir Montréal ». Elle compte quelque 200 objets créés par 59 artistes d'ici. On y trouve, par exemple, des assiettes de porcelaine ornées d'une simple ligne évoquant un bâtiment emblématique de Montréal, des verres à eau estampés « Saint-Laurent frappé », ou des housses de coussin inspirées des fenêtres distinctives de l'aéroport de Dorval. Loin d'être de simples articles promotionnels, ces objets du quotidien évoquent avec subtilité ou humour les emblèmes de la vie montréalaise : le pont Jacques-Cartier, le Monstre, l'enseigne Farine Five Roses, les escaliers en colimaçon, un bagel, une voiture de métro ou simplement le code YUL. Cette collection a d'abord été lancée en 2010 par le Bureau de design de Montréal, voué à faire connaître les designers et les architectes montréalais. Au départ, elle ne devait servir qu'à rassembler une sélection de cadeaux pour les invités de la Ville et des différentes institutions publiques. Elle a cependant permis aussi une formidable source d'émulation, remarque Béatrice Carabin, commissaire au Bureau du design. «La collection s'est raffinée au fil des éditions, car les designers ont développé une meilleure compréhension du message.» <cite>Béatrice Carabin </cite> Les carrés de soie créés par la designer Claire Papillon Photo fournie par la designer Claire Papillon Le catalogue a également franchi les murs de l'hôtel de ville, suscitant l'engouement des Montréalais eux-mêmes dans les boutiques du Jardin botanique et d'Espace pour la vie. En 2017, certaines de ses pièces seront offertes sous l'étiquette « Code Souvenir Montréal » dans plusieurs boutiques de la ville. L'annonce sera faite dans les prochaines semaines. « C'est un projet qui met en valeur la diversité de la vie montréalaise : son territoire, ses habitudes, sa nourriture... Il remet en lumière des choses très ancrées dans la culture d'ici », croit Mme Carabin. Pots à plante, par Alice in Montréal Photo fournie par Alice in Montréal Ce projet se trouve en droit fil avec la démarche de Claire Papillon. Cette artiste travaillait sur une collection de carrés de soie aux motifs évoquant l'histoire, l'architecture ou les événements marquants de Montréal lorsqu'elle a entendu l'appel du Bureau de design. Le catalogue lui offre une vitrine inespérée. « C'est important de bénéficier d'un tel appui, car nous travaillons tous seuls. Le Bureau nous procure une visibilité collective impossible à créer chacun de notre bord avec nos petits drapeaux », croit-elle. > Accédez au catalogue en ligne
  3. <header id="page-header"> 23/11/2016 Mise à jour : 23 novembre 2016 | 16:25 Une grande exposition d’art public sur la rue Sherbrooke pour le 375e de Montréal Par Rédaction Métro </header> <figure class="current-photo"> <figcaption> La balade pour la paix Gracieuseté <nav> Previous photo Next photo </nav> </figcaption> </figure> <figure> </figure> <figure> </figure> Dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal, du 50e anniversaire d’Expo 67 et du 150e anniversaire du Canada, une grande exposition d’art public prendra forme sur la rue Sherbrooke à Montréal en 2017. La Balade pour la Paix, un musée à ciel ouvert sera une exposition d’envergure internationale conçue et réalisée par le Musée des beaux-arts de Montréal, le musée McCord et les universités Concordia et McGill. Elle fera un kilomètre de long sur la rue Sherbrooke, traçant un itinéraire entre le musée McCord et le nouveau Pavillon pour la Paix Michal et Renata Hornstein du Musée des beaux-arts de Montréal. Tout au long de ce kilomètre, les visiteurs pourront admirer 29 sculptures et installations d’artistes canadiens et étrangers ainsi qu’une quarantaine de photographies d’artistes montréalais. De plus, les drapeaux de quelque 200 pays du monde et des 13 provinces et territoires du Canada flotteront au vent au-dessus de la rue Sherbrooke, le tout rappelant le Place des Nations d’Expo 67. La Balade sera ouverte du 29 mai au 27 octobre prochain, soit pendant cinq mois. Une grande exposition d’art public sur la rue Sherbrooke pour le 375e de Montreal | Metro
  4. http://www.smart-magazine.com/en/jan-gehl-architect-interview/ Jan_Gehl_Portrait The city whisperer Portrait 3 minutes read - Oliver Herwig on November 3rd, 2015 Jan Gehl champions something that few architects have mastered: cities for people. The Dane favors compact neighborhoods over grand master plans. The 79-year-old city planner values the wishes of residents over architecture. And his resounding success proves him right. Ssssshhhhhrrrrr. In the background, a cordless screwdriver buzzes away. Jan Gehl apologizes for the distraction; “Excuse me, they’re doing some work in the kitchen.” Life is quite busy for the professor emeritus and city planner. As a city planner, Gehl‘s detail orientation and screw-tightening skills come in handy wherever mayors or councilors realize that something needs to change. Over the past few years, they have been beating a path to his door: Gehl is considered a top global expert on humane cities. “I’m an idealist,” states the 79-year-old. “And the projects I’m working on are all about creating better environments for pedestrians and public life.” To Gehl, both of these are intrinsically linked – people should be able to experience their city on foot. He goes on to scoff that we know more about the perfect habitat for Siberian tigers than a good environment for people. His wife Ingrid and he started out studying life in the cities – and then traveled to Italy on a grant in 1965. In 1971, “Livet mellem husene,” life between buildings, was the first result of their studies between streets and squares – and turned out to be quite a flop. Yet Gehl labored on and continued to hone and develop his methods over the years, by then a professor at the Royal Danish Academy of Arts. Jan Gehl Brighton “My projects are all about creating better environments for pedestrians”. Photo: Gehl Architects Gehl’s foremost success is Copenhagen Today, his successes prove him right. And the standout example is Copenhagen – the city of Gehl’s alma mater, teaching career, and a company he co-founded. In a way, it serves as an open-air lab for his ideas: All the way back in 1965, the city – advised by Gehl – created Europe’s longest pedestrian zone, the Strøget. Copenhagen has become a template for the fundamental shift from post war car-centric cities to more pedestrian-friendly 21st century metropolises. “In order to reclaim a human dimension, city planners need to re-evaluate the many capacity-friendly ideas,” he states in the recently released “Cities for People”. This means: Our cities are filled with too many traffic lights, narrow sidewalks, and multi-lane highways that squeeze in pedestrians and force them to cross streets in a rush. According to Gehl, that’s not a given: “There is a good, pedestrian-friendly solution for any traffic planning issue.” And he adds that “it is high time to revisit our priorities.” To this end, Gehl has introduced a check list of small changes that – taken together – produce great results. He favors “polite reminders” (as in Copenhagen) over flashing traffic lights that “encourage hasty crossings” (as in New York City). Gloomy pedestrian underpasses (like the one near Zurich’s train station) should be replaced by sunlit “zebra crossings at street level.” Copenhagen stroget Jan Gehl Advised by Gehl, Copenhagen installed Europe’s longest pedestrian zone, the Strøget. Photo: Yadid Levy / Getty Images From New York City to Shanghai: a globally sought-after urban consultant Gehl knows cities better than most. Paraphrasing a well-known analogy, some people are good with horses and become horse whisperers, while others are good with people. The latter usually become doctors, nurses, or priests. As a city planner, Jan Gehl is a little bit of all. First and foremost, however, he is a self-professed “missionary.” He preaches human scale development and has been consulting for cities around the world for years, helping them to redesign entire neighborhoods to benefit their residents. The formula is simple: go to the city, observe, and listen. And then join together to effect change. A fun video on his website tells the story behind it all. It took the love of developmental psychologist Ingrid to open the builder’s eyes: Architecture should serve people. In this spirit, Jan Gehl draws on insights by sociologists and psychologists to turn ivory tower planning into bona fide collaborations. The Herald Square before Jan Gehl The Herald Square in New York City before … Photo: DOT The Herald Square after Jan Gehl … and after Gehl Architects. Photo: DOT Gehl’s top priority: the human scale His drive really picked up in 2000 when Gehl and Helle Søholt, a former student, joined forces to found the company Gehl Architects. Maybe, it’s all just a question of scale. Modernism delighted in completely redesigning metropolises or conjuring up abstract plans on the drawing board. Builders like Le Corbusier, who considered rented dwellings “housing units” or “living machines,” liked to subdivide cities by function. This is a kind of thinking Gehl would like to leave behind. The architect is less interested in models and buildings than in their residents. Over the years, Gehl came up with a range of basic principles that support and define thriving communities around the world. One of these rules might be not to build skyscrapers since six or more levels up residents lose touch with the street and feel removed from it all. Or: consider the ground floor. It shouldn’t be uniform or forbidding, but varied and full of surprises. MarDelPlata Jan Gehl Gehl’s formula is simple: … Photo: Municipality of Mar del Plata Mar Del Plata Jan Gehl … go to the city, observe, and listen. Photo: Municipality of Mar del Plata “Better city spaces, more city life“ Nowadays, Gehl provides coaching for cities like New York City, Shanghai, Singapore, St. Petersburg, or Almaty. And his insights sound so simple, matter of fact, and even trivial that it can be hard to fathom how our modern cities, divided by functions, could ever have forgotten these wisdoms. “Better city spaces, more city life,” one of his premises states. High quality spaces encourage leisure activities and interactions. “It’s so obvious, we have simply overlooked it.” P.S. The interview was conducted over an old telephone on the fifth floor of a building in the center of Munich. Sao Paulo Jan Gehl “Better city spaces, more city life.“ Phpto: Luis E. S. Brettas Header image: Sandra Henningsson / Rights Gehl Architects sent via Tapatalk
  5. Le projet a été inauguré cette semaine. Photo : Ville de Repentigny
  6. Ce projet de 96 condos a été complété en 2013 et a remplacé un IGA et son stationnement. Peu importe ce qu'on pense du look de ce projet, c'est quand même une belle densification! Le rendu initial Le projet complété (photo: Royal Lepage) Photo : Via Capitale Voici le terrain auparavant: Le terrain maintenant:
  7. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201107/16/01-4418490-des-projets-fous-montreal-la-echappe-belle.php Publié le 16 juillet 2011 à 10h10 | Mis à jour le 17 juillet 2011 à 08h30 Des projets fous! Montréal l'a échappé belle Imaginez que le Plateau-Mont-Royal, du boulevard Saint-Laurent au parc La... (Illustration: Anik Poliquin, La Presse) Illustration: Anik Poliquin, La Presse Karim Benessaieh La Presse Imaginez que le Plateau-Mont-Royal, du boulevard Saint-Laurent au parc La Fontaine, n'existe plus, remplacé par un campus. Pour construire l'autoroute Ville-Marie, on a rasé une grande partie de Saint-Henri, du Vieux-Montréal et d'Hochelaga. Une énorme tour évasée et penchée domine le mont Royal, un restaurant trônant à son sommet. Le métro de Montréal, démesuré, est un gouffre financier sans fond, avec ses 112 km de voies et ses 300 stations. Cauchemars d'urbaniste ou d'amant du patrimoine? Pas du tout. Dans l'ambiance folle des années 60, ces projets ont bel et bien existé, des plans ont été dessinés, des études commandées. Voici un florilège de projets ambitieux qui auraient complètement changé le visage de la métropole. Montréal, à quelques occasions, l'a vraiment échappé belle. *** L'autoroute métropolitaine, à Montréal, vers l'ouest près d'Anjou.... (Photo: Bernard Brault, La Presse) - image 1.0 L'autoroute métropolitaine, à Montréal, vers l'ouest près d'Anjou. Photo: Bernard Brault, La Presse UNE AUTOROUTE À L'ASSAUT DES VIEUX QUARTIERS Depuis plus de 50 ans, les politiciens et les ingénieurs sont embourbés dans un projet qui ne veut pas aboutir: «l'autostrade est-ouest», une autoroute qui devait être l'équivalent, au sud, de l'autoroute Métropolitaine. Une des raisons de cet échec: il aurait fallu détruire 40% du Vieux-Montréal et des portions considérables des quartiers Saint-Henri et Hochelaga pour la construire. Ce projet, couché sur papier en 1960, «c'est le pire du pire», estime Nancy Dunton, d'Héritage Montréal. Il résume à lui seul le peu de cas qu'on faisait il y a quelques décennies de ce qu'on appelait avec mépris les «vieux quartiers». «Il y avait une espèce de honte de ce qu'on était avant, explique Richard Bergeron, urbaniste et chef du parti municipal Projet Montréal. Cette honte, c'était nos quartiers anciens. Et tout prétexte pour les détruire était bienvenu. On voulait tout démolir.» Urbaniste à la Ville de Montréal dès 1956, directeur des services d'habitation puis d'urbanisme jusqu'en 1986, Guy Legault, lui, défend aujourd'hui cette vision. «Une autoroute, ça fait partie d'un réseau, ce n'est pas isolé. Il faut que l'autoroute Ville-Marie se rende jusqu'à l'autoroute 25. Notre réseau est aujourd'hui infirme, il comporte des noeuds de congestion.» Un musée sans protection Le premier segment, planifié en 1960, devait traverser le quartier Saint-Henri, de ce qui allait devenir l'échangeur Turcot à la rue Guy. «La province voulait passer dans les vieux quartiers, et le service d'urbanisme de Montréal s'y est opposé, raconte M. Legault. On a proposé une solution: construire l'autoroute le long de la falaise Saint-Jacques, une barrière naturelle déjà existante. C'est une bonne solution, je pense.» Le deuxième segment, qui devait longer la rue de la Commune, aurait détruit près de la moitié du Vieux-Montréal. Cette idée, impensable aujourd'hui, rappelle que ce quartier historique ne disposait que de peu de protection à l'époque. On a finalement opté pour l'autoroute en tranchée, partiellement recouverte entre la rue Saint-Antoine (Craig à l'époque) et l'avenue Viger, jusqu'à l'avenue Papineau. Il a tout de même fallu détruire 850 maisons. L'avenue Papineau transformée en autoroute Pour le segment suivant, on a songé à un échangeur gigantesque qui aurait causé la destruction de tout le quadrilatère Papineau-De Lorimier-Ontario-Sherbrooke. L'autoroute Ville-Marie aurait été prolongée vers l'est, entre les rues De Rouen et Hochelaga. Ce dernier quartier aurait pratiquement disparu. «Le service d'urbanisme de la Ville était opposé à ça, c'était hors de question, dit Guy Legault. Notre idée a toujours été de suivre la rue Notre-Dame.» Connectée à la rue Notre-Dame en 1987, l'autoroute Ville-Marie est restée depuis à 8 km de son objectif, l'autoroute 25. «On l'a vraiment échappé belle, dit Richard Bergeron. Je le dis souvent, le pire ne s'est pas produit!» Il rappelle notamment que la rue Berri devait initialement être prolongée jusqu'au nord, une autre autoroute qui aurait traversé le Plateau. L'autoroute 19, elle, devait relier le pont Papineau-Leblanc au pont Jacques-Cartier - un fantasme d'automobiliste aujourd'hui. L'avenue Papineau et quelques centaines de maisons dans son sillage auraient disparu. Le projet d'axe nord-sud a finalement été déplacé vers l'autoroute 25. Comment expliquer la facilité avec laquelle on envisageait à l'époque la destruction de quartiers entiers? Une idée l'emportait sur tout: le progrès. «À l'époque, tout était permis, on pensait que Montréal aurait 7 millions d'habitants, qu'il fallait détruire les quartiers anciens qui entouraient le quartier des affaires du centre-ville, rappelle Richard Bergeron. Il fallait se préparer à la construction de 150 tours. C'était ça, la vision de Drapeau.» Les quartiers aujourd'hui branchés, comme le Plateau-Mont-Royal, étaient loin d'avoir autant la cote dans les années 60, rappelle Dinu Bumbaru, directeur des politiques à Héritage Montréal. «Dans beaucoup de quartiers, le tissu social était effectivement affaibli, des quartiers qui étaient devenus des maisons de chambres, presque des quartiers de transition. On était sans mémoire et sans merci, on avait peu de pitié pour ces quartiers.» Et il y avait une «apathie» de la population, estime-t-il. L'exode vers les banlieues était notamment causé par une perception répandue, celle que «l'espoir ne se trouvait pas en ville. Et ce qui se passait avec la ville ne suscitait pas tellement de passions.» *** Le secteur du Plateau Mont Royal à l'est... (Photo: Robert Skinner, La Presse) - image 2.0 Le secteur du Plateau Mont Royal à l'est de Saint-Laurent et au sud de Rachel. Photo: Robert Skinner, La Presse LE JOUR OÙ LE PLATEAU FAILLI TOMBER Ce projet obtient sans conteste «la palme de l'éradication de l'habitat populaire», affirme l'architecte André Lortie dans son livre Montréal voit grand. Le rêve est pourtant beau: en 1966, on dresse les plans d'une université ouvrière en plein centre-ville. Elle aurait compté 12 pavillons et des résidences d'étudiants sur un campus digne des grandes institutions anglo-saxonnes. Petit détail: il fallait raser la quasi-totalité du Plateau-Mont-Royal. Carrément. Du parc La Fontaine au boulevard Saint-Laurent, de la rue Rachel à l'avenue des Pins, tout aurait été démoli, au nom de la «rénovation de l'est de Montréal». Le projet est «plus destructeur encore que l'éradication du Faubourg à m'lasse pour Radio-Canada», commente André Lortie. Il ne verra heureusement pas le jour, remplacé par une version plus modeste animée par les mêmes nobles motifs: l'Université du Québec à Montréal. Nancy Dunton, d'Héritage Montréal, est fascinée par «cette haine inimaginable» de l'époque pour les vieux quartiers. «On parle de renouvellement urbain, mais on veut en fait raser des quartiers au complet! Plus on lit sur cette époque, plus on est pris par ça, cette rage d'écraser le passé, sans réflexion sur le contexte. Comme si c'était une façon de mettre en arrière la noirceur de la guerre.» Cette attitude est d'autant plus révoltante que les vieux quartiers montréalais ont un «génie» qu'on redécouvre aujourd'hui, dit Richard Bergeron. Le concept de village urbain autour de la paroisse, la distribution des rues commerciales, la densité, le fait de pouvoir y vivre à pied, la qualité de l'architecture... «Il n'y a pas une règle d'urbanisme hyper tendance actuellement dans le monde qui n'avait pas été parfaitement comprise et mise en forme entre 1880 et 1920, dans les quartiers anciens de Montréal, estime l'urbaniste et conseiller municipal. Il y a du génie dans un quartier ancien de Montréal, autant qu'à Stockholm ou Copenhague, qui servent aujourd'hui de référence pour la qualité de l'aménagement urbain.» *** Le Stade olympique à Montréal.... (Photo: Robert Skinner, La Presse) - image 3.0 Le Stade olympique à Montréal. Photo: Robert Skinner, La Presse L'HOMME QUI RÊVAIT D'UNE TOUR endant toute sa carrière, Jean Drapeau a voulu donner une tour emblématique à Montréal. Il y est finalement parvenu l'année de sa retraite politique, en 1986: l'énorme mât du Stade olympique, qui porte le titre surréaliste de «plus grande tour penchée au monde». Cette structure n'était toutefois pas son premier choix. Deux fois, d'abord au début des années 60, puis des années 80, il a plutôt tenté de la planter sur le mont Royal. Embauché par la Ville en 1956, Guy Legault, directeur de l'urbanisme et de l'habitation au cours des trois décennies suivantes, se souvient de l'obsession de son patron en 1960. «Ça m'avait rendu vraiment malade. J'étais jeune urbaniste, je ne comprenais pas ça du tout, aller sacrer une tour sur le mont Royal...» Il ne s'agissait pas d'un projet modeste: «La tour du mont Royal serait devenue une merveille du monde et aurait servi de point de ralliement à tous les peuples de la terre», raconte dans ses mémoires Yvon Lamarre, alors président du comité exécutif. Le projet tombe, et l'on songe ensuite à construire une tour «Montréal-Paris» pour l'Expo 67. Présentée aux médias en décembre 1964, elle ressemble étrangement à celle qui, deux décennies plus tard, surplombera le Stade olympique. Cette tour devait être financée en partie par la Ville de Paris, qui n'a jamais confirmé sa participation. Selon Guy Legault, l'échec serait également lié à des problèmes techniques: «Là où on voulait placer la tour, il y avait une faille, la faille Logan. C'est un endroit où le roc est fracturé, ça ne pouvait pas tenir.» Le maire, opiniâtre, verra tout de même sa tour apparaître sur les plans de l'architecte du Stade olympique, Roger Taillibert. Selon l'ex-directeur de l'urbanisme, c'est à la demande expresse du maire Drapeau que l'édifice sera orné d'une tour. Il faudra cependant attendre jusqu'en 1986 pour voir cette structure enfin construite, et un an de plus pour la visiter. Peu auparavant, en 1985, une tour sur le mont Royal rappelant l'obsession originelle de Jean Drapeau est proposée par Radio-Canada. La société d'État, appuyée par l'administration de la Ville, souhaite remplacer sa vieille antenne de télécommunications par une tour de plus de 300 m, digne de celle du CN à Toronto. Le projet provoquera une levée de boucliers et l'entrée en scène de celui qu'on surnommera monsieur Patrimoine, Dinu Bumbaru. «Souvent, les administrations municipales pensent qu'un parc, c'est simplement un endroit qui attend d'être bâti, dénonce-t-il. On voulait remplacer l'antenne de transmission par une structure, plus digne, plus haute, avec un restaurant qui tourne. On disait qu'il ne se passait rien au parc du mont Royal, que c'était un endroit abandonné, mais il y avait 2 millions de visiteurs!» *** Jean Drapeau dans le tunnel qui allait accueillir... (Photo: archives La Presse) - image 4.0 Jean Drapeau dans le tunnel qui allait accueillir la ligne orange du métro, en 1962. Photo: archives La Presse Imaginez que le Plateau-Mont-Royal, du boulevard Saint-Laurent au parc La... - image 4.1 UN MÉTRO TROP GRAND POUR MONTRÉAL En 1967, un an après l'inauguration du métro de Montréal, un fonctionnaire manifestement enthousiaste trace les plans du futur réseau. Il prévoit que, en 1982, le métro comptera 9 lignes et quelque 300 stations sur un total de 112 km. Plus de quatre décennies plus tard, le métro de Montréal n'a même pas la moitié de cette envergure, avec ses 68 stations et ses 4 lignes longues de 65 km en tout. Ouf! peut-on dire aujourd'hui: le réseau prévu en 1967 était manifestement démesuré et aurait coûté une fortune. Montréal, qui engloutit chaque année quelque 360 millions de dollars dans ses services de transports en commun, aurait dû y consacrer près du double. «Ils voulaient vraiment ce plan de métro? Ils en fumaient du bon! lance Richard Bergeron, chef de Projet Montréal et docteur en aménagement. C'est de la folie furieuse. Il ne faut pas avoir une réponse excédant de 10 fois le problème posé, c'est un des principes de rationalité en urbanisme.» Ce plan est influencé par l'enthousiasme de l'époque, estime-t-il, alors qu'on croyait que la métropole québécoise compterait 7 millions d'habitants en l'an 2000. Légendes urbaines que tout cela! rétorque Guy Legault, qui a été, en 1967, le premier directeur du service de l'habitation de la Ville de Montréal. «On a fait des prévisions de population, et c'était un peu comme jouer aux cartes ou au loto. Il y avait trois scénarios: 7, 5 et 3 millions d'habitants. On ne parle que de l'hypothèse de 7 millions, ce n'est pas correct. C'était la possibilité la plus farfelue, celle à laquelle on ne croyait pas.» L'ex-fonctionnaire insiste: le scénario qu'on croyait le plus vraisemblable, et qui n'est pas si loin de la réalité aujourd'hui, était de 3 millions d'habitants dans la grande région métropolitaine. Quant à cette fameuse carte digne de la science-fiction établie en 1967, il se souvient l'avoir déjà vue. «Mais je pense que ça n'a jamais été bien sérieux. C'était des idées en l'air. On n'a pas la densité de population pour faire ça. Je ne connais pas la source de ce plan, mais c'est du wishful thinking. On savait bien que l'expansion n'allait pas se poursuivre indéfiniment au rythme des années 60.»
  8. Ancienne usine CRANE dans Pointe St-Charles sur la rue St-Patrick pres de la piste cyclable du canal lachine un peu avant d'arriver a l'echangeur Turcot dans le sector de la rue Cabot. Ils sont entrain de refaire la maçonnerie et de changer les fenêtres. Très belle édifice industriel. Vont en faire des locaux pour des bureaux. Photo prise aujourd'hui le 16 septembre 2015
  9. Situé sur la rue des Migrateurs. Le territoire pointillé continue de se développer et depuis que la photo a été prise, il s'est construit une SAQ Dépôt. Photos : Smart Centres Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  10. Situé coin Montée des Pionniers/Boul. Marcel-Therrien. Centre commercial par Développements Brookline (situé dans la zone pointillée sur la photo aérienne). Photos : Développememts Brookline. Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  11. http://www.gq.com/sports/lists/201104/worst-sports-fans-in-america#slide=3 11. Montreal Canadiens Frostbitten Hooligans Forget the riots that erupted last May after the Canadiens made it to the Eastern Conference final; they were nothing compared with the hordes of looters who set fire to five police cars during the 2008 playoffs simply because Montreal advanced past the first round. Meanwhile, inside the Bell Centre, the only things people boo more frequently than the U.S. national anthem are their own players. In 2003, team veteran Patrice "Breeze-by" Brisebois was heckled almost every time he touched the puck; the jeering was so intense it likely induced a stress-related irregular heartbeat. How did then GM Bob Gainey feel about his bloodthirsty fan base? "I think they're a bunch of gutless bastards, to be honest," he said. Photo: AP Photo/ sent via Tapatalk
  12. Lire les commentaires sur cette decision sur leur site Facebook qui a 250k abonnés. Nous n'avons pas commenter beaucoup ici, mais l'opinion américain est intéressant. https://m.facebook.com/hyperallergic http://hyperallergic.com/207918/woman-found-guilty-of-criminal-harassment-for-instagramming-street-art/ Woman Found Guilty of Criminal Harassment for Instagramming Street Art by Benjamin Sutton on May 18, 2015 Jennifer Pawluck (photo provided by Pawluck to Hyperallergic), and the street art photo that landed Jennifer Pawluck in hot water with Montreal police. Jennifer Pawluck (photo provided by Pawluck to Hyperallergic), and the street art photo that landed Jennifer Pawluck in hot water with Montreal police Jennifer Pawluck, the Montrealer who was arrested in 2013 for posting a photo of a piece of street art on Instagram, has been convicted of criminal harassment and, on Thursday, was sentenced to 100 hours of community service and 18 months probation. Her community service must be completed within a year. The 22-year-old college student has also been forbidden from posting any public messages on Facebook, Twitter, or Instagram, and must restrict her use of the social media platforms to private communications for the next year, according to the Montreal Gazette. She had faced maximum penalties of up to six months in jail and a fine of $5,000. Reached via Facebook, Pawluck told Hyperallergic: “I am unfortunately not responding to any media questions … following my sentencing I’d prefer to keep a very low profile.” In late April Pawluck was found guilty for having posted a photo on Instagram of a piece of street art showing Ian Lafrenière, the lead officer for communications and media relations for the Montreal police, with a bullet wound in his forehead. Pawluck did not create the artwork, but merely saw it and posted a photo of it online. The image was accompanied by text that read “Ian Lafrenière” and “ACAB,” an acronym for “All Cops Are Bastards.” Pawluck had seen the piece of street art in the Hochelaga-Maisonneuve neighborhood where she lives and posted it online accompanied by hashtags including “#ianlafreniere” and “#acab,” later claiming that she didn’t know who Lafrenière was. At the time, Pawluck had 81 followers. “On the photo there were links, or hashtags, with Ian Lafrenière’s name written in different ways and allusions like (‘All cops are bastards’) and (‘One cop, one bullet’) to the point where, given the context, there was criminal harassment,” Josie Laplante, lawyer for the prosecution, told the National Post in April following Pawluck’s conviction. “I think we all have to pay attention to what we post because (some people) don’t consider the impact it can have on other individuals.” Pawluck was a participant in the 2012 student protests in Montreal, during which Lafrenière was a very visible spokesperson for the city’s police force. He said in his testimony that he and his children had found the image disturbing, and that his wife had been forced to take a leave of absence from her job because of it. “There is a limit that must not be crossed,” said judge Marie-Josée Di Lallo when delivering her verdict on April 23. “She (Pawluck) felt anger toward the police.” Tagged as: censorship, Featured, Instagram, Jennifer Pawluck, Montreal, Social Media, street art sent via Tapatalk
  13. J'ai trouvé cette photo dans les archives de Montréal. La note indiquait: Autoroute des Cantons-de-l'Est Sauf que je suis pas mal sûr qu'il y a erreur... Il n'y a pas de pont en pleine zone urbaine sauf Champlain... Quelqu'un reconnait l'endroit? http://depot.ville.montreal.qc.ca/vues-aeriennes-obliques-1960-1969/VM94-B001-001.tif
  14. Salut ! J'ai trouvé cette photo carte postale sur internet, mais j'ai pas réussi à retrouver l'église avec les infos fournis. Quelqu'un là connais ? Infos: http://www.delcampe.com/page/item/id,250583239,var,Notre-Dame-Du-Rosaire-De-Fatima-JACQUES-CARTIER-Quebec-Canada-50-60s,language,E.html Merci !
  15. http://www.journaldemontreal.com/2015/01/30/les-horreurs-de-montreal Les horreurs de Montréal Le Journal a dressé la liste des 9 endroits les plus laids en ville Sarah Bélisle SARAH BÉLISLE Vendredi, 30 janvier 2015 18:17 MISE à JOUR Vendredi, 30 janvier 2015 19:02 « Cheaps », « moches », ou carrément dignes de « l’ère communiste », les alentours de l’aéroport, l’îlot Voyageur et l’échangeur Turcot brillent au palmarès des endroits les plus laids de Montréal. L'échangeur Turcot Nul doute que l’enchevêtrement de bretelles d’autoroutes qui constituent l’échangeur Turcot est vital aux transports routiers sur l’île, alors que plus de 300 000 véhicules l’empruntent chaque jour. N’empêche que la structure de béton qui tombe en ruines ne gagnera pas de concours de beauté. L’îlot Voyageur PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, CAROLINE D’ASTOUS L’îlot Voyageur est une véritable «verrue» qui défigure le centre-ville de Montréal. Vestige du fiasco financier et immobilier qui a secoué l’UQAM, la construction résidentielle qui devait surplomber la rue Berri a été laissée en plan en 2007. Depuis, les Montréalais attendent le parachèvement de la construction de ce squelette de béton, ce qui devrait être chose faite d’ici quelques années. Autour de l'aéroport PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, PIERRE-PAUL POULIN «C’est cheap (...) Ça fait comme les pays de l’Est sous le communisme» – Professeure Anne-Marie Broudehoux «Ce n’est pas normal que la première impression qu’on ait en débarquant de l’avion soit celle d’une zone de guerre», lance le professeur de marketing à l’UQAM, André Richelieu, à propos des abords de l’aéroport de Montréal. «Ce n’est pas acceptable. L’image que ça laisse, ce n’est pas tolérable», déplore-t-il. Sa collègue, Anne-Marie Broudehoux, professeure de l’UQAM spécialiste en images de la ville et marketing urbain partage cet avis. Alors que le chemin reliant l’aéroport au centre-ville est la toute première chose que les touristes voient en arrivant à Montréal, «c’est toutes des arrières cours de hangars [...] Ça fait cheap. Ça ne donne pas beaucoup de prestance quand tu arrives dans une grande ville. Ça fait comme les pays de l’Est sous le communisme. C’est moche.» Notre-Dame Est (entre le centre-ville et l'Autoroute 25) PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, PIERRE-PAUL POULIN La rue Notre-Dame Est «à moitié abandonnée» n’est pas un des endroits les plus reluisants de Montréal, selon la professeure Anne-Marie Broudehoux de l’UQAM, spécialiste en images de la ville et marketing urbain, partage cet avis. «C’est vraiment moche!», s’exclame-t-elle. Mais c’est aussi l’un de ces lieux plutôt laids qui mériteraient le plus qu’on s’attèle à renverser la vapeur, selon elle. François Racine, professeur au département d'études urbaines et touristiques de l'UQAM, classe cette portion de rue dans sa liste des «lieux marqués par la présence d'infrastructures véhiculaires lourdes et dépourvus de toutes qualités urbaines». Il s’agit là d’«espaces discontinus et disloqués très peu attrayants pour les piétons et même pour les automobilistes, voire insécurisants», note le professeur. Les viaducs en particulier PHOTO AGENCE QMI, PASCAL GIRARD Tout particulièrement, les viaducs font partie d’une série d’«espaces inquiétants et sinistres pour les piétons et les cyclistes», note François Racine, professeur au département d'études urbaines et touristiques de l'UQAM. La faute revient aux chemins de fer qui, en plus de scinder des quartiers en deux, obligent les résidents à emprunter des viaducs pas du tout accueillants, mal éclairés et peu sécuritaires, ajoute sa collègue, la professeure Anne-Marie Broudehoux de l’UQAM, spécialiste en images de la ville et marketing urbain. Sous les autoroutes PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, BEN PELOSSE Les dessous des autoroutes de Montréal n’ont rien de bien rassurant. Sinitres et épeurants, il suffirait d’un rien pour en faire des endroits captivants et surprenants. «Le moche c’est souvent des endroits (comme sous les autoroutes) tellement potentiellement intéressants, mais qui sont négligés», explique Dinu Bumbaru, directeur des politiques chez Héritage Montréal. D’autres villes que Montréal «ne peuvent pas se permettre des plaies béantes en plein dans leur ville» ainsi et y ont installé une foule de choses, allant jusqu’à en faire une marque de commerce, relate M. Bumbaru qui propose notamment d’installer de la végétation sous les voies rapides de Montréal. Raffineries de l’est PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, CHANTAL POIRIER Les grandes raffineries de l’Est de l’île d’où s’échappent des filets de fumée ne sont pas en reste. Leurs immenses structures métaliques tout droit issues du monde industriel ne sont pas particulièrement douces aux yeux de bien des gens. Les routes et infrastructures routières «pour l’ensemble de l’oeuvre» PHOTO AGENCE QMI, JOËL LEMAY Il ne fait nul doute dans l’esprit de plusieurs que les routes et infrastructures de la métropole ont grand besoin d’être retapées. Et le mot est faible, selon le professeur titulaire en marketing de l’UQAM, André Richelieu. «Pour une ville du standing de Montréal, ça prend des infrastructures dignes de ce nom. L’état des routes est pitoyable. C’est inacceptable», lance celui qui raconte avoir l’impression de conduire un jeep dans une course à obstacles lorsqu’il circule à Montréal. Sainte-Catherine Ouest PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, SARAH BÉLISLE «Si on veut être dans les ligues majeures, on doit avoir un centre-ville digne de ce nom» – Professeur André Richelieu La rue Sainte-Catherine est l’artère de Montréal qui constitue LA vitrine de la ville auprès des touristes. Or, tout un pan de la Sainte-Catherine Ouest jusqu’à l’ancien Forum «fait pitié», regrette le professeur en marketing de l’UQAM, André Richelieu. «L’ouest tout simplement abandonné. Ça fait vraiment pitié, alors que c’est une localisation de premier ordre. Il y a beaucoup trop d’édifices abandonnés, délabrés. Je ne me l’explique pas», laisse tomber le professeur. «Si l’on veut être dans les ligues majeures, on doit avoir un centre-ville digne de ce nom. La Sainte-Catherine n’est pas à la hauteur.» Quoi faire pour embellir la ville? Faire au moins attention à son apparence Qu’on considère que certains endroits plus laids que d’autres, «ce n’est pas un problème de beauté en fait. On peut discuter longtemps d’esthétisme, de goûts. C’est une question d’avoir l’air de faire l’entretien de la Ville, de faire attention à son apparence, de souci de présentation», insiste la professeure Anne-Marie Broudehoux. Pour l’heure, plusieurs lieux montréalais «donnent l’image d’une société mal organisée, un peu toute croche». Elle ne suggère pas pour autant qu’on ait recours à des architectes de renom ou encore qu’on injecte des millions de dollars. Nul besoin de porter des vêtements hors de prix pour donner l’impression de faire attention à sa personne et bien se présenter en public, plaide la professeure. Place aux arts urbains Montréal regorge de talents et il ne tient qu’à elle de les utiliser pour embellir ses rues, fait valoir la professeure Anne-Marie Broudehoux. Des arbres à la tonne Il ne suffirait que de planter des arbres et de verdir certains coins de Montréal pour les rendre bien plus jolis, plaide la professeure Anne-Marie Broudehoux. Réparer (enfin) les routes Impossible de passer à côté, il faut régler une fois pour toutes la question des routes en mauvais état de la métropole, est d’avis le professeur André Richelieu. D’autant plus qu’«on se soucie tellement de l’image de marque de Montréal à l’international (alors qu’on laisse les rues dans un tel état)», fait-il valoir. sent via Tapatalk
  16. http://montreal.eater.com/2015/1/7/7503509/the-most-anticipated-new-montreal-restaurants-2015 by Ian Harrison Jan 7 2015, 1:00p @Blumsteinboy SHARE(54) TWEET(4) Projet Europa Jérémie Bastien's new home DON'T MISS STORIES. FOLLOW EATER MONTREAL × A look at what's on the horizon. 1. Monarque Location: 417 Notre-Dame Ouest, Old Montreal Major Playesr: Richard and Jérémie Bastien Projected Opening: Late summer The Story: Bastien père et fils (Leméac) will open a "Gramercy Tavern-style" restaurant in the Penny Lane mixed development. Slated for April, the project has been beset by typical construction delays. One result of the holdup, however, was a complete rethink of the space. Monarque will be almost twice as large as originally planned, with a bar area that seats 65 to 70 and a main dining room with room for 100. Two separate kitchens will serve the entire restaurant. · More on Monarque [EMTL] Photo: Project Europa 2. La Petite Maison Location: du Parc, Mile End Major Player: Danny St-Pierre Projected Opening: End of summer The Story: St-Pierre, familiar for his work on Qu'est-ce qu'on mange pour souper? and stints at Derrière les Fagots, Laloux and Auguste in Sherbrooke, calls his first Montreal venture a "traditional restaurant" with a casual vibe but without casual food per se. The chef wants to keep the exact address under wraps for now but calls it "a beautiful space, under 200 square metres." The key, says St-Pierre, will be to find that bang-for-the-buck sweet spot where he can "send out quality food made with quality ingredients at a reasonable price." Expect plates to share on the app side of the menu (spreads, a lot of vegetables) and mains that will stand alone and "have an identity." St-Pierre will soon decide whether to implement a reservation system (maybe) and install a deep-fryer (probably not). A head chef will be hired for the day-to-day management of the kitchen but the overall vision will be St-Pierre's alone. · More on La Petite Maison [EMTL] Photo: Danny St-Pierre 3. Maison Sociale Location: 5386 Saint-Laurent, Mile End Major Player: Dave Schmidt Projected Opening: End of January The Story: Schmidt, the impresario behind such spots as Maïs, Kabinet, Datcha, Le Mal Nécessaire, Thazard and the bygone Café Sardine, partners up with the likes of Na'eem Adam, Philip Tabah, Christophe Beaudoin Vallières, Marc-Antoine Clément and James Benjamin to reboot the old Green Room as a café/restaurant/cocktail bar/new wave social club. Dan Geltner, the former chef at L'Orignal, is no longer involved in the project. Tom Allain, now at Hôtel Herman, will make the move to Maison Sociale's kitchen. · More on Maison Sociale [EMTL] Photo: Maison Sociale 4. Soubois Location: 1106 de Maisonneuve Ouest, Downtown Major Players: Francine Brûlé, Alexandre Brosseau Projected Opening: April The Story: This new restaurant, in the old Copacabana, is from the mother-son duo of Brûlé, the owner of Les Enfants Terribles, and Brosseau, of Flyjin. Other principals include chef Guillaume Daly (Les Enfants Terribles, Grinder, XO), JP Haddad (Globe), Philippe Rainville (Flyjin, Le Filet, Les Enfants Terribles), Thomas Hatzithomas and Christopher Karambatsos. Brosseau calls Soubois "a French-Canadian bistro" inspired by an "underground enchanted forest." · More on Soubois [EMTL] Photo: Google Street View 5. Fiorellino Location: Quartier International/Downtown Major Player: Buonanotte Projected Opening: Mid-March The Story: Partner Massimo Lecas calls the new spot from the Buonanotte group modern, authentic Italian in the best possible sense—no throwback red sauce menus, in other words. Fiorellino translates as "little flower"; a nod, says Lecas, to the lullaby "Buonanotte Fiorellino" (which, incidentally, is also where the Main supper club got its name). Erik Mandracchia (Le Bremner, Impasto) is in as chef. The restaurant will feature a wood-burning oven for pizzas but, take note, will not be a pizzeria (Lecas is quick to point this out). On the beverage side, look for more of a cocktail emphasis. Bottom line: a concession to the times and "what Buonanotte would have looked like if we had opened it today instead of 23 years ago." The group, incidentally, may also have plans for the old Globe space. · Globe Closes After 21 Years [EMTL] Photo: Buonanotte Photo: Buonanotte 6. Ichi Go Ichi E Location: 360 Rachel Est, Plateau Major Player: Kevin Fung Projected Opening: Any day now The Story: The popular Westmount izakaya Imadake opens a second restaurant on Rachel between Drolet and Saint-Denis. Photo: Google Street View Photo: Google Street View 7. New Charles-Antoine Crête Restaurant Location: Unknown Major Players: Charles-Antoine Crête, Cheryl Johnson Projected Opening: Unknown The Story: Toqué!'s prodigal son, recently seen at Majestique and on À table avec l'ennemi, returns with a restaurant of his own. Partner Cheryl Johnson: "We are excited to be opening a place that we don't know quite what it's going to be. But one thing is for sure, it will be playful and down to earth. A place for people 0-100 years old. Oh, and we won't be serving dinosaur." · Charles-Antoine Crête Tore Up Omnivore Paris [EMTL] Photo: Omnivore Photo: Omnivore 8. Perfecto Location: 20 Duluth Est, Plateau Major Player: Eric Rice Projected Opening: Soon The Story: The chef from Mile End's Fabergé and Roux food truck opens his own place in the old Triangulo. · More on Perfecto [EMTL] Photo: Google Street View Photo: Google Street View 9. Le Red Tiger Location: 1201 de Maisonneuve Est, Village Major Players: Phong Thach and Emilie Nguyen (co-owners of Kaiji Restaurant in Villeray), Dan Pham Projected Opening: Late February/March The Story: Nguyen describes Le Red Tiger as an ode to Vietnamese street and soul food: We love our culture, but Vietnamese food isn’t all pho, noodles, and soups. We see pho places everywhere in Montreal, but when we crave grilled skewered meats, Õc (sautéed sea snails in tamarind sauce), or Thịt Kho (caramelized pork and eggs braised in carbonated juice) they are hard to find, (unless we're in Vietnam, at our mom’s house, or someone else’s mom’s house). The menu will embody our 'street food' experiences in Vietnam that solely require your fingers to eat, and also home cooked meals that we grew up eating at home. More intel on Le Red Tiger: Lawrence Picard from Nectar & Mixologie is behind the beverage program and Guillaume Menard from Atelier Mainor is in as designer. You can see Menard's work at the likes of Joverse, Mme. Lee and Voskin. Photo: Le Red Tiger 10. San Gennaro Location: 69 Saint-Zotique Est, Little Italy Major Players: Mauro, Massimo and Fabrizio Covone Projected Opening: Soon The Story: The family that gave Montreal (and Laval) Bottega Pizzeria opens a caffè and pizza al taglio spot. Photo: San Gennaro 11. New John Winter Russell Restaurant Location: Unknown Major Player: John Winter Russell Projected Opening: Unknown The Story: Ex-Van Horne chef Winter Russell, 2014's prince of pop-ups and a frequent collaborator with Gaspésie Sauvage, has imminent plans to open a restaurant with a "small vegetable/plant driven menu." Photo: Maxim Juneau sent via Tapatalk
  17. Une superbe vue de Manhattan à 360 degré. Se mettre en plein écran est un must. http://bit.ly/1Ach9cg Pour ceux qui ne sont pas familier avec GigaPan, ils créent des photos en collant ensemble des centaines même des milliers de photos, ce qui donne une résolution absolument incroyable. On peut par la suite explorer ces photos en "zoomant" et en se déplaçant. Des heures de plaisir!!!! La photo de NY ci-haut fait juste 5 Gigapixels, vous pouvez vous amuser avec des plus grandes: Shanghai: 272 Gigapixels (http://gigapan.com/galleries/10347/gigapans/66626) Rio: 152 Gigapixels (http://gigapan.com/galleries/10347/gigapans/58857) Dubai: 45 Gigapixels (http://gigapan.com/gigapans/48492) Pas un GigaPan mais même technique et supposément, la plus grande photographie du monde: London: 320 Gigapixels (http://360gigapixels.com/london-320-gigapixel-panorama)
  18. Salut Il a eu beaucoup de déconstruction qui se passe dans ce bloc récemment. Ce soir, je ai vu la photo ci-jointe. Avez-vous plus d'info? http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_SOU_FR/MEDIA/DOCUMENTS/ANNEXE%20-%20PLAN%20D'ENSEMBLE.PDF
  19. Aller voir la petite vidéo, un beau concept à découvrir http://blogues.lapresse.ca/massicotte/2014/08/11/voici-le-velo-de-ville-du-futur-en-vente-des-lan-prochain/ Lundi 11 août 2014 | Mise en ligne à 16h19 | Voici le vélo de ville du futur… en vente dès l’an prochain Décidément, le développement d’un concept de vélo urbain demeure une passionnante mission sans fin. Et quand des designers et des fabricants de vélo s’y mettent sérieusement, ça donne des résultats intéressants. Sous l’élan de gros joueurs commerciaux comme Levi’s (les jeans!) et Fuji (les vélos), le concours The Bike Design Project a mis en compétition cinq équipes de talent, de cinq villes américaines où le vélo est bien présent, avec comme défi de produire l’ultime bécane utilitaire urbaine. À Chicago, New York, Portland, San Francisco et Seattle, une firme de design et un fabricant de vélos avaient donc à unir leur vision pour plaire aux cyclistes… et au public. Le vélo DENNY de Teague et Sizemore Bicycle. Photo Sizemore.com Le vélo DENNY de Teague et Sizemore Bicycle. Photo Sizemore.com En effet, c’est le résultat d’un vote sur le Web — qui a attiré 136 000 internautes — qui a permis récemment de déterminer le vainqueur, soit le vélo DENNY de Teague et de Sizemore Bicycle (vidéo ci-dessus). Pour l’équipe gagnante basée à Seattle, l’honneur est grand alors que sa monture sera commercialisée en 2015 par Fuji. Car c’était là l’un des enjeux de la compétition: arriver à innover et à créer le vélo de ville du futur, mais le faire de manière réaliste pour une mise en production rapide. Pour le moins que l’on puisse dire, le DENNY se démarque avec son cadre unique, son guidon qui se transforme en cadenas, et son système d’éclairage et de signalisation intégré. Côté mécanique, le vélo est propulsé par courroie et il possède une assistance électrique rechargeable intégrée au moyeu avant. Mais prenez le temps d’aller voir également les quatre autres créations. Elles valent toutes le détour et démontrent le sérieux de la compétition. Et tant qu’à y être, je vais me montrer un peu chauvin et ajouter un vélo urbain hors compétition à admirer… Si vous l’aviez ratée sur le blogue plein air précédemment, La Machine d’Érick Desforges, étudiant finissant en Design Industriel, et Christian Brault, gérant-acheteur du département vélo à la boutique Le Yéti, à Montréal, aurait certainement bien parue au Bike Design Project. N’est-ce pas?
  20. Dans le SFGate Montreal's quartet of cultures creates a colorful pattern Margo Pfeiff Updated 11:25 am, Friday, July 4, 2014 Tourists gather near the Basilique Notre-Dame in Montreal. Photo: Joanne Levesque, Getty Images The Ogilvy Piper makes his way through the jewelry section of the iconic department store at noon every day. Photo: Margo Pfeiff, Special To The Chronicle A room at Old Montreal's classic 18th century Hotel Pierre du Calvet. Photo: Margo Pfeiff, Special To The Chronicle Old Montreal's classic 18th century Hotel Pierre du Calvet. A terrace at an Old Montreal restaurant. Photo: Margo Pfeiff, Special To The Chronicle Activities at the Lachine Canal National Historic Site. Photo: Margo Pfeiff, Special To The Chronicle Ninety percent of all first encounters in downtown Montreal begin with the same two words. That are the same word. "Bonjour. Hi." Respond one way and you parlez français; answer the other and you're in English territory. Despite periodic bickering - including threats of Quebec's separating from the rest of Canada - the biggest French-speaking city outside of Paris has actually become increasingly bilingual and harmonious over recent decades. But with the strong bilateral English-French vibe, what's often overshadowed is that there were four founding cultures that laid down strong roots on this island in the middle of the St. Lawrence River almost 350 years ago. I'm reminded of this as I wait at a traffic light staring at each culture's national symbols on a flapping city flag - the French fleur-de-lis, the red English rose, an Irish shamrock and Scotland's thistle. Though Montreal is wildly multicultural today, in the 19th century, 98 percent of the city's population was French, English, Irish or Scottish. Is it still possible, I wonder, to experience each of those distinct original cultures - including real, non-poutine France and genuine tally-ho England - in modern Montreal? Heart of New France Since I believe every cultural quest is improved with a signature cocktail, I start with France and I order my very first absinthe at the Sarah B Bar, named after Sarah Bernhardt, queen of French tragedy. As couples cuddle in "Green Fairy" alcoves, my bartender pours the notorious chartreuse liquor that Hemingway, Toulouse-Lautrec and Oscar Wilde imbibed in their Parisian days into a specially shaped glass. He rests a flat, perforated "absinthe spoon" topped with a sugar cube across the top, then drips ice water until it is melted, turning the absinthe milky. Legend has it that absinthe has driven men to madness and drove Van Gogh to slice off his ear. Sipping the herbal, floral and slightly bitter cocktail, I look closely at the bottle's label - while the current version is a hefty 160 proof, it's missing the likely source of "la fée verte" (green fairy) hallucinations, wormwood. I teeter on uneven cobblestone streets to the heart of New France in Old Montreal amid clip-clopping horse-drawn carriages. Bells chime from Notre Dame Basilica with its Limoges stained glass windows from France, artists sell their crafts in narrow alleyways, and in the evening, gas lamps still light up rue Ste.-Helene. I check into La Maison Pierre du Calvet, a nine-room guesthouse spanning three small buildings dating back to 1725. It's a stone-walled time capsule with random staircases, crooked hallways and an antique-filled library with ancient fireplaces. Escargot and stag fillet are served in a grand old dining room, and the chateau luxury includes a grand step-up, monarchy-caliber canopied bed. The morning streets waft cafe au lait and croissant aromas as I walk to the walled city's original market square of Place Royale to Maison Christian Faure, a chic new French pastry shop. In the hands-on cooking school, I glean the secrets behind crisp-on-the-outside, chewy-on-the-inside, iconic French macarons. It's so simple they even offer kids' classes, and it's made all the more fun by Lyon-born Faure himself, a Meilleur Ouvrier de France (MOF) - an elite group of France's best chefs - and the stories of his days as pastry chef for French President Nicolas Sarkozy and the prince of Monaco. "I moved here because the public markets are like those in Provence," he croons in a Lyon accent, "and because Montreal is so, mmmmm ... Europe." The pipes are calling While French zealots came to the New World to save the souls of "sauvages," the Scots came to make money. And you can still see plenty of it in the Golden Square Mile's historical buildings sloping up from Sherbrooke Street, downtown's main upscale shopping boulevard, to Mont Royal, the park-topped hill after which the city is named. The area was a residential tycoon alley from 1850 to 1930, occupied by rail, shipping, sugar and beer barons with names like Angus, McIntyre and Molson who owned 70 percent of the country's wealth. About 85 percent of the lavish estates were lost before heritage finally won over demolition in 1973. When I walk those hilly streets for the first time instead of whizzing by in my car, I'm surprised to see downtown with different eyes, an obviously British and Scottish quarter with an eclectic architectural mix from Neo-Gothic and Queen Anne to Art Nouveau, estates with names such as Ravenscrag and castles crafted from imported Scottish red sandstone. These days they're consulates, office headquarters and the Canadian McCord Museum; 30 of the beauties are campus outposts bought by McGill University, a legacy of Scottish merchant James McGill, who donated his 47-acre summer estate to become one of Canada's leading universities. One of my favorite buildings is the 1893 Royal "Vic" (Victoria) Hospital, where you can get your appendix yanked in a Scottish baronial castle complete with turrets. And where there are Scots, there are bagpipes. Montreal's most famous piper is at Ogilvy, a high-end department store on Ste. Catherine Street. Every day from noon to 1 p.m. since 1927, a kilt-clad piper plays marches and reels as he strolls around all five floors, down spiral staircases and beneath massive chandeliers where purchases are packed in tartan bags and boxes I also hear the whining tones of "Scotland the Brave" as I head toward my Highland cocktail at the Omni Hotel, where a kilted piper every Wednesday evening reminds folks emerging from Sherbrooke Street office towers that it's Whisky Folies night, a single-malt-scotch tasting in the Alice Bar. I choose five from the 10- to 20-year-olds served with a cuppa fish and chips. A local Scotsman drops in for a wee one, informing me that there's been a benefit St. Andrews Ball in Montreal every November for 177 years, "but come to the Highland Games, where there's dancing, throwing stuff around and looking up kilts - fun for the whole family." Montreal's bit o' Irish Snippets of the four founding cultures pop up repeatedly when you walk around town - statues of Robbie Burns and Sir John A. Macdonald, the Glasgow-born first prime minister of Canada; the green Art Nouveau ironwork of a Paris Metro at the Victoria Square subway station, given by France; British hero Adm. Horatio Nelson overlooking Old Montreal's main square (though the original likeness was blown to bits by Irish republican extremists in 1966). Ah, the Irish. They arrived in Montreal in big numbers in the early 1800s to build the Lachine Canal to bypass rapids blocking the shipping route to the Great Lakes. They settled nearby in Griffintown, currently a maze of condos and cranes. Stroll along rapidly gentrifying Notre Dame Street, still an eclectic melange of antiques-and-collectibles shops, funky cafes and local bistros. The Irish were unique among English-speaking immigrants - hatred for their English oppressors back home had them cozying up with the French, fellow Catholics. Surprisingly, the Irish legacy is dominant in Montreal; about 40 percent of the population has a wee bit of Blarney blood. Of course there are also pubs and churches, St. Pat's Basilica being the ornate religious hub, its interior adorned with intertwined fleurs-de-lis and shamrocks. Conveniently nearby, sacred brew is served over the altar of Hurley's Pub, a favorite hangout where Irish and Newfoundlanders work magic with fiddles, pipes and drums - even the Pogues have jammed here. I love Hurley's because it's a rare pub with Guinness stout on tap both icy cold and traditionally lukewarm; I prefer the latter for bigger flavor. "Watch him top that brew up three times," Frankie McKeown urges from a neighboring stool. "Even in Ireland they hardly do that now." The Irish come out of the woodwork on March 17, when Canada's oldest St. Patrick's parade turns downtown green, as it has since 1824. "It's amazing," says McKeown. "In Dublin it's all done in 45 minutes, but here we're watching floats for three hours." A grand party ensues afterward at Hurley's. "But it's just as much fun on Robbie Burns Day, when a haggis held high follows a piper through the pub." Britain in the mix Britain enters Montreal's picture after the Seven Years War in the 1760s when France dumps Quebec in exchange for the sugar colonies of Martinique and Guadeloupe. By 1845, about 55,000 British top out as 57 percent of Montreal's population - and the percentage has been dwindling ever since. While there may not be much Scottish brogue or Irish lilt left these days, there's plenty of culture on the plate and in the glass, though surprisingly not so much representing British roots in Montreal. In 2012, English chef Jamie Oliver made big waves by teaming up with Montreal chef Derek Dammann to highlight creative British tavern-inspired fare at the popular Maison Publique (Public House), serving locally sourced, home-smoked/pickled and cured angles on Welsh rarebit, hogget with oats and cabbage, and the like. Otherwise, the truest of Montreal's British establishments is the Burgundy Lion in Griffintown, one of the few places to offer Sunday British "footie" on the big screens, as kippers 'n' eggs, Lancashire pot pie and cucumber sandwiches are dished out by gals in tight, mod-'70s outfits. I happen to drop in during England's National Day, St. George's, to find the place hopping with dart-throwing, papier-mache piñata-style "dragon slaying" and ballad singing. I wind up at the bar sipping my pint of Boddingtons between two fellows, both dressed in fake chain mail. The one also draped in a Union Jack British flag clicks my glass with his bottle, announcing "Here's to Blighty!" before raising the visor on his medieval knight helmet to take a royal slug. Can you still experience Montreal's four founding nations in this multicultural modern city? Oui. Yes. And aye. If You Go GETTING THERE Air Canada offers daily flights from San Francisco to Montreal year round. (888) 247-2262, www.aircanada.com. WHERE TO STAY La Maison Pierre du Calvet: 405 Bonsecours St., Old Montreal. (514) 282-1725 or (866) 544-1725. www.pierreducalvet.ca/english. Lavish French colonial inn. From $265 double with continental breakfast. (Two on-site dining rooms serve French fare.) Fairmont Queen Elizabeth: 900 Rene Levesque Blvd. West. (866) 540-4483. www.fairmont.com/queen-elizabeth-montreal. A classic fit for everyone from the Queen Mother to John and Yoko; where they recorded "Give Peace a Chance" in 1969. From $209 double. Hotel Nelligan: 106 St. Paul West, Old Montreal. (877) 788-2040. www.hotelnelligan.com. Chic boutique hotel named after a famed Irish-French poet. From $250 double. WHERE TO EAT Le Mas des Oliviers: 1216 Bishop St. (514) 861-6733. www.lemasdesoliviers.ca. Classic French cuisine at a landmark downtown restaurant, one of the city's oldest places to eat. Dinner for two from $120. Also open for lunch. Restaurant L'Express: 3927 St. Denis. (514) 845-5333, www.restaurantlexpress.ca. Popular, casual French bistro, a Montreal icon. Dinner for two from $60. Maison Publique: 4720 Rue Marquette. (514) 507-0555, www.maisonpublique.com. Jamie Oliver's hip, up-market and creative take on British tavern fare. Very popular, no reservations. Dinner for two from $60. Burgundy Lion: 2496 Notre-Dame West. (514) 934-0888, www.burgundylion.com. Only true British pub in Montreal. Large selection of local and imported brews and one of Canada's biggest single-malt whiskey collections. English gastro pub menu with lunch and dinner from $40 for two. Hurley's Irish Pub: 1225 Crescent St. (514) 861-4111, www.hurleysirishpub.com. Great selection of brews, a traditional Emerald Isle pub menu, and Irish and/or Newfoundland fiddle music nightly. Entrees from $10. WHAT TO DO Point-a-Calliere Museum of Archaeology and History: 350 Place Royale, Old Montreal. (514) 872-7858, www.pacmusee.qc.ca/en/home. Excellent museum set atop the original city town square. Closed Mondays except in summer. Adults $18. McCord Museum: 690 Rue Sherbrooke West. (514) 398-7100, www.mccord-museum.qc.ca/en. Extensive cultural museum of all things Canadian. Frequent exhibitions of Montreal's various cultures. Closed Mondays. Adults $12. Fitz and Follwell Co: 115 Ave. du Mont-Royal West. (514) 840-0739, www.fitzandfollwell.co. Guided Montreal biking, walking and unique snow tours. Martin Robitaille: Private history-oriented city guide. martrob@videotron.ca. Maison Christian Faure: 355 Place Royale, Old Montreal, (514) 508-6453, www.christianfaure.ca. Hands-on French pastry and macaron-making classes. There's even a pastry-making boot camp for kids. Whisky Folies, Omni Hotel: 1050 Sherbrooke West. (514) 985-9315, http://bit.ly/1iCaJxc . Single-malt scotch and whisky tastings with fish and chips every Wednesday, 5-9 p.m.. From $16 to $40. My Bicyclette: 2985-C St. Patrick (Atwater Market). (877) 815-0150, www.mybicyclette.ca. Bike rental and tours of the Lachine Canal region. MORE INFORMATION Tourism Montréal: www.tourisme-montreal.org. Tourism Québec: www.bonjourquebec.com. Margo Pfeiff is a freelance writer living in Montreal. E-mail: travel@sfchronicle.com
  21. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/06/01/004-elimination-canadien-montreal-mascotte-youppi-pari-perdu-jimmy-fallon.shtml Youppi! honore son pari avec Jimmy Fallon Mise à jour le dimanche 1 juin 2014 à 12 h 43 HAE Youppi a perdu son pari avec Jimmy Fallon. Photo : Twitter / Canadiens de Montréal Le Canadien de Montréal a été éliminé par les Rangers de New York. Conséquence : Youppi! a perdu son pari avec l'animateur Jimmy Fallon. La mascotte, toujours inconsolable, est apparue sur des photos publiées sur le compte Twitter de l'équipe dimanche portant le chandail des Rangers. Le Tricolore avait parié avec la vedette de NBC, via Twitter, que si les Canadiens perdaient, Youppi! devrait porter le chandail des Rangers et se faire prendre en photo à 10 endroits différents dans la métropole québécoise. Dimanche, le Canadien de Montréal a honoré sa promesse et a diffusé les photos de la mascotte, bien attristée, mais surtout un peu embarrassé, d'avoir perdu la gageure. Jimmy Fallon a notamment indiqué qu'il souhaitait voir la mascotte avec le maillot de l'équipe adverse sur « le taureau mécanique », au restaurant Chez Serge à Montréal. Youppi! a été bon perdant et a accepté d'être photographié sur le célèbre taureau. Enfin, le Canadien a également changé la photo de son compte Twitter à la demande de Jimmy Fallon. L'animateur a déniché une photo du gardien de but, Henrik Lundqvist, en train de jouer de la guitare électrique. Here we go. #HabsFallonBet photo No. 1 – Youppi! @ The Bell Centre @jimmyfallon #HabsFallonBet photo No. 2 – Youppi! @ Big O @jimmyfallon #HabsFallonBet photo No. 3 – Youppi! @ Mont-Royal @jimmyfallon And finally #HabsFallonBet photo No. 10 – As requested, @jimmyfallon, Youppi! at @ChezSerge, on the bull.
  22. Je n'ai pas trouvé un sujet sur cette petite rénovation, alors voici un sujet et une photo:
  23. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/02/21/008-complexe-culturel-longueuil-investissement-quebec.shtml Québec promet 20 M$ pour le nouveau complexe culturel de Longueuil Mise à jour le vendredi 21 février 2014 à 16 h 56 HNE Maquette du projet Photo : Ville de Longueuil Le gouvernement du Québec s'est engagé vendredi à investir 20 millions de dollars pour la construction d'un nouveau complexe culturel à Longueuil. Le bâtiment, qui abritera notamment le Théâtre de la Ville et l'Orchestre symphonique de Longueuil, sera érigé à la Place Charles-Le Moyne, près de l'Université de Sherbrooke. Photo : Radio-Canada Il comprendra une salle de 1200 places, une autre de 500 et une dernière en formule cabaret de 350 places. On y retrouvera également des bureaux administratifs, deux salles d'exposition et des studios. L'ouverture est prévue à la fin de l'année 2017. La valeur totale du projet est estimée à 53 millions de dollars. La Ville s'était déjà engagée à fournir 20 millions de dollars et à réserver le terrain où sera construit le futur complexe. Le milieu régional doit contribuer à hauteur de 10 millions de dollars grâce à une campagne de financement. Le ministère du Patrimoine canadien sera sollicité pour 3 millions.
  24. Je ne sas pas si il y a déjà un fil sur ce projet, mais gracieuseté de MTLskyline sur SSP, il y aurait un projet pour une tour à condo en arrière du Buffet Maharadja. Le projet a déjà été approuvé par la ville. Il n'y a pas de photo pour le moment. http://forum.skyscraperpage.com/showthread.php?t=146803&page=123
  25. Nouveau projet sur Mont-Royal, coin Saint-Dominique, juste en face du tout nouvel édifice 55 Mont-Royal Est! De Sid Lee en plus! Incroyable comment mon coin se transforme! Je prendrai une photo de l'affiche posée sur le site. Avant : [sTREETVIEW]https://maps.google.com/maps?q=55+mont-royal+est&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.520631,-73.585954&spn=0.004255,0.010568&sll=45.520658,-73.585949&layer=c&cbp=13,69.97,,0,-8.03&cbll=45.520568,-73.586007&hnear=55+Avenue+du+Mont-Royal+Est,+Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec+H2T+1N6,+Canada&t=h&z=17&panoid=8vsbhyAgo7rurvDxYvf2JA[/sTREETVIEW] Après : http://condosmir.com/
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