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ProposMontréal

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Tout ce qui a été posté par ProposMontréal

  1. J'habite un condo en ville et franchement, j'adore encore Ikea comme dans mes premiers appartements en sortant de chez mes parents. Pour moi... c'est une bonne et belle nouvelle. Mais, je vais continuer à NE PAS y aller le dimanche, c'est trop le bordel.
  2. Vidéo en ligne par l'impact. <iframe width="640" height="360" src="http://www.youtube.com/embed/zuBPi_Qumus?rel=0&hd=1" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
  3. Texte de la Presse Canadienne parus dans le Journal Métro d'Edmonton MONTREAL - It's the frequently overlooked public square that rests in the shadow of Old Montreal's captivating Notre-Dame Basilica and only a statue of the city's founder offers a hint of its significance. Place d'Armes is one of the most-visited sites in Montreal but sightseers usually stroll across its cobblestones to line up the perfect photo of the iconic Basilica's towers. Few realize the 320-year-old plaza itself radiates the city's long history. Now, after a two-year, multimillion-dollar facelift, one of Montreal's oldest public squares has reopened to the public. Over the centuries, Place d'Armes has been a graveyard, military parade ground, transportation hub and gathering point for major events. Its name literally means "place of weapons" but parade ground would be a better translation. Until 1834, the square also held a secret. The missing, decapitated head from a bust of Britain's King George III sat submerged in its well, where American invaders had plunked it more than half a century earlier. Today, Place d'Armes is easily recognized by its statue of founder Paul de Chomedey de Maisonneuve but the space's most-striking characteristic lies in the fact it's wedged between architectural treasures spanning several centuries. Standing in the centre of the plaza, visitors can take in a quick historical tour of Montreal in one 360-degree spin. There's the old seminary and Basilica that represent the initial Catholic influence, a classical bank building from a time when the area was the cradle of Canada's financial power and foreign architectural designs that signal Montreal's emergence as an international city. "You also see the clash of these functions, which is basically part of the DNA of Montreal," Dinu Bumbaru, director of Heritage Montreal, said of the recently renovated Place d'Armes. "That statue of Maisonneuve . . . is like the pivot of the whole space — everything rotates around it. I think it's one of those anchors in time." This unique historical panorama provided at Place d'Armes makes it a regular stop for students taught by McGill architecture Prof. Julia Gersovitz. The buildings bordering the square include the old Sulpician seminary (built in the 1680s), the gothic-revival-styled Notre-Dame Basilica (1820s), the Bank of Montreal building (1840s), the red sandstone New York Life Insurance Building (1880s), the 96-metre, art-deco Aldred Building (1930s) and a more modern bank building (1960s). Gersovitz says the plaza offers the quickest-possible history lesson about Montreal's transfer of power but she notes the area is often overlooked. "You're often focused on the built environment, rather than the squares or the public spaces that help to define that built environment," she said. "There's a lot that happened in the negative space that isn't built up, that has an impact on us." Until recently, the square, which is visited by five million people annually, was hidden behind construction fences as it underwent a $15.5-million makeover. During the excavation, workers found the remains of around 200 people in an old cemetery linked to the original church that sat on the square — before the Basilica was completed. The city says it moved the remains to a cemetery on Mont Royal. Through its history, Place d'Armes has also held other secrets — one of them that decapitated head from a monument to King George III. The bust was erected in the square in 1766 as a power symbol of the British Empire, according to the website of Montreal's McCord Museum, where the item is now displayed. The museum says that in 1774 angry British citizens vandalized the monument after the Quebec Act came into effect, giving new privileges to French Canadians. "They painted it black, hung a potato rosary around its neck and topped it with a sign reading, 'Behold, the Pope of Canada, or the English idiot,' " the museum says. The king's woes continued a few months later when American soldiers stormed into Montreal. The monument was beheaded and the bust disappeared and didn't turn up until 1834. Bumbaru said the statue of a British king was a natural target around the time of the American Revolution. "So they started making jokes about it and then cut his head off and dropped it in the well," he said of the invaders. Place d'Armes has also held its share of crowds who tried to get into the Basilica for major events. These include the funerals of hockey legend Maurice (Rocket) Richard and former prime minister Pierre Elliott Trudeau, as well as singer Celine Dion's wedding. "This is not a full summary of Montreal, because we have many other things elsewhere, but it's a wonderful anchor," said Bumbaru. et pour continuer la discussion sur les Vespasiennes http://www.youtube.com/user/ArchivesMtl#p/u/10/bqxPyNEvH-A <iframe width="480" height="360" src="http://www.youtube.com/embed/bqxPyNEvH-A?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
  4. Voici quelques images du films "Warm Bordies" tourné dans le métro Verdun plutôt transformé. Une dizaines d'image sur ce lien
  5. The Gazette font un tour des vespasiennes. http://www.montrealgazette.com/Photos+What+under+Place+Armes/5731788/story.html
  6. Un parc "vertical" pour l'îlot voyageur. Original non ?
  7. Je dois avouer que ça fait très "Vegas fake". Le type gagne des points d'au moins offrir des idées originales. Ce genre d'embarcation jurerait avec le coin je crois. Je ne suis pas convaincu mais convaincable.
  8. Wow, C'est un peu violent comme réaction non ? Mon bon Yara, relaxe, on jase là! T'inquiète, je te pardonne. Je sais que ce n'est pas de cet édifice que nous parlons, mais c'est quand même un des gros morceau que je suis content de voir disparaître. C'est malheureux de voir les autres édifices avec un peu d'histoire se faire mettre à terre, mais nous ne les remplaçons pas avec des condos de 5-6 étages et pré-fab, nous parlons d'une tour qui va très bien avec son entourage de 35 étages. C'est pas rien. Comme je disais, ce n'est que mon opinion personnel.
  9. @Miska, Merci pour l'aperçu @Crosbyshow. Je crois qu'avec la mise en lumière du Quartier des Spectacles, Nous devrions faire de même avec certain ponts comme Champlain et Jacques Cartier. Cela ajouterais de la couleur et en plus, on ne serait pas prit avec. Une des raison pourquoi j'adore le 1501 McGill College, c'est qu'ils changent selon la saison ou l'événement les couleurs de la pyramide. Nous pourrions faire pareil avec ces ponts.
  10. Source: Twits à Canoe Un autre projet de condos se met en branle La première pelletée de terre du projet de condos William a été jetée lundi dans Griffintown, un secteur en pleine effervescence immobilière. L’arrondissement du Sud-Ouest planche sur un plan d’urbanisme qui permettra à ce secteur fortement industriel d’adopter un caractère résidentiel. Et pour cause, les condos s’y construisent à un rythme effréné. Le projet William s’ajoute à ceux du District Griffin, des Bassins du Havre et autres. « C’est un redéveloppement urbain unique à Montréal. Une nouvelle vocation. Mais il faut une planification cohérente de ce quartier », a expliqué Véronique Fournier, conseillère de Ville pour Saint-Henri-Petite-Bourgogne-Pointe-Saint-Charles et présidente du comité d’urbanisme de l’arrondissement. À ce titre, le Sud-Ouest a établi ses quatre priorités : l’inclusion sociale et la mixité, le développement durable, la préservation et la mise en valeur du patrimoine et les services publics. L'Office de consultation publique de Montréal tiendra d'ailleurs des audiences afin d’harmoniser le développement immobilier et commercial dans ce secteur. Il se penchera sur un plan détaillé d'urbanisme pour l’ensemble du quartier. « On veut faire de Griffintown un laboratoire de développement urbain intelligent », a ajouté Mme Fournier. Le William D’ici quelques années, la construction de 170 unités de condos du projet William sera complétée. Les trois édifices intégreront un bâtiment patrimonial datant de 1895. Des logements, penthouses et maisons de ville en feront partie. La moitié des unités ont déjà trouvé preneur. Les prix de ces condos varient de 189 000 $ à plus de 400 000 $. Les futurs clients du William ont pris part à l’élaboration de son design. En effet, le public pouvait se prononcer sur divers sujets liés au projet : l'accessibilité aux transports, le développement durable et le nom du projet. La végétation et le cyclisme auront également une place d’honneur. Maxime Laporte, directeur des ventes du promoteur Quorum a expliqué que « 98 % des répondants ont dit que le côté vert était important et 80 % ont dit avoir besoin de leur vélo »
  11. J'ai malheureusement peur que ça tourne politique, une crainte basé sur d'autre incident qui se passe en ce moment. La province est peinturé NPD, Libéral ou Bloc, en ce moment et pour un autre mandat ou deux, Les Conservateurs resterons en poste au fédéral et puisque c'est une construction de juridiction... Fédéral, j'ai peur d'être obligé de payer politiquement. J'ai peur qu'on se ramasse avec un pont ennuyant et sans personnalité juste parce que les décideurs en ce moment ce "calisse" des électeurs et des résidents du Québec. (Le retour de la monarchie, la Davies, Les unilingues anglais en postes fédéraux, Le registre des armes à feux) SVP, dites moi que c'est de la paranoïa de petit peuple pur laine !
  12. Mon opinion et loin d'être un expert. Justement, ça donne un point de vue ce que le commun des Montréalais pense de ce bâtiment. Valeur Historique: 7/10 Valeur Architecturale: 2/10 Amélioration du quartier: 8/10 Pour la plupart des Montréalais, cet édifice a toujours eu l'air abandonné, oublié, négligé. Une nouvelle tour ne serait qu'un avantage. Au minimum, si l'architecture avait même ressemblé au 481 jusute à côté, j'aurais donné raison à sa survie. Mais rien, absolument rien n'attire les yeux. L'ancien bâtiment maintenant détruit, avait sa pale sur Chabanel, pas dans le quartier des affaires.
  13. Je suis très conscient que une équipe des ligues majeur est loin et pratiquement impossible mais je m'attendais à un 12-15 000. Quelques chose pour avoir des concerts ou d'autre type d'événement. Il faudra très rapidement une station de métro ou une amélioration majeure du tec dans Griffintown. Il est pratiquement inexistant en ce moment. Je continue à dire que la ligue Can-Am n'est pas la bonne voie. Une équipe ferme de la MLB nous permettrais d'avoir quand même une fenêtre touristique.
  14. Source: Messager de Lasalle Publié le 9 Novembre 2011 Pierre Boulanger Le projet de développement résidentiel du Quartier de la gare, qui prévoit la construction d'environ 1 400 unités d'habitation d'ici les 10 ou 15 prochaines années, est loin de faire l'unanimité auprès des résidents des zones concernées. Plusieurs d'entre eux ont d'ailleurs envahi la salle du conseil d'arrondissement lundi soir dernier. La mairesse Manon Barbe a tenté de calmer le jeu en annonçant que le conseil retirait son projet dans sa forme actuelle. Pour la mairesse Barbe, «nous avons une vision pour le Quartier de la gare pour y créer un T.O.D. (Transit Oriented Development). Un avis annonçant la possibilité de faire une demande de participation à un référendum a été publié le 15 septembre. Mais seulement trois des 12 demandes reçues ont été considérées valides par le service du contentieux. Ces demandes contiennent des revendications dont nous voulons tenir compte. Elles demandent la tenue de soirées d'information, d'études d'impact sur la circulation et le stationnement, le bruit, l'ensoleillement, la pollution, etc. Le processus légal ne permettant pas d'inscrire dans la démarche référendaire ces commentaires de citoyens, le conseil a décidé de retirer le projet tel qu'il a été présenté. Mais nous ne l'abandonnons pas. Nous allons attendre d'avoir des projets concrets de la part de développeurs, avant d'entreprendre des changements au règlement de zonage. Nous pourrons alors présenter des perspectives aux citoyens, qui pourront se faire une idée précise du développement en devenir.» Une opposition grandissante Les opposants s'inquiètent des impacts qu'entraîneraient autant de nouvelles habitations. Le règlement aurait permis aux promoteurs de construire des édifices pouvant aller jusqu'à 12 étages dans certaines zones. Ils dénoncent la procédure mise de l'avant, d'abord avec l'annonce d'une consultation publique en août, alors que plusieurs étaient en vacances. Puis, avec une séance de consultation de 45 minutes, le 6 septembre dernier, alors que les citoyens n'ont eu qu'une vingtaine de minutes pour soulever des questions. Une période de questions animée La mairesse Barbe a choisi de donner d'abord la parole aux gens qui ne sont pas des habitués des séances du conseil, ce qui a soulevé la colère des intervenants réguliers qui s'étaient pourtant inscrits les premiers. Furieux, quelques-uns ont crié à l'injustice. Le citoyen Michel Benoit, qui insistait pour exercer son droit de parole, a été expulsé sur ordre de la mairesse et escorté à l'extérieur de la salle par deux policiers. Mme Sonja Susnjar, qui a circulé de porte en porte pour récolter plus de 200 signatures de personnes qui s'opposent au projet, a manifesté ses inquiétudes devant la venue possible «de 2000 véhicules supplémentaires dans une zone désenclavée.» Kim St-Pierre a voulu s'assurer que le projet était «mis sur la glace». La mairesse a répondu «qu'en fait, il n'y avait pas de projet concret. On voulait redéfinir le développement du secteur parce que deux compagnies ont fermé leurs installations. Les gens sont venus nous questionner sur des projets de construction qui n'existaient pas. Quand un projet concret va arriver, on pourra enclencher le processus et quand on fera une présentation publique, on pourra dire aux gens les différents impacts. On prend une méthode plus traditionnelle, projet par projet.» Deux intervenants se sont interrogés sur l'avenir de l'usine Fleischmann. La mairesse a répondu que le «terrain de cette usine est zoné résidentiel depuis 1988, mais que tant et aussi longtemps qu'elle sera en opération à cet endroit, elle est en droits acquis.» Mme Barbe souligne que les terrains des deux compagnies qui ont fermé leurs portes n'est pas zoné résidentiel et que le zonage devra y être changé. «On va partir bas et quand on arrive vers la bretelle du pont Mercier, on ira plus en hauteur parce que ce sera loin des maisons existantes. Pour les dix prochaines années, on va s'attaquer au secteur Wanklyn, Jean-Milot, Des Oblats et Lafleur.» Roland Laforce affirme qu'avec les nouvelles taxes provenant de ces projets, «nous payons les infrastructures mais c'est la grande ville qui collecte.» La mairesse a rétorqué que l'arrondissement va recevoir, dans sa dotation, un surplus d'argent en compensation. Pour sa part, Yves Daoust a déclaré «qu'une fois le processus de changement de zonage enclenché, les citoyens n'auront plus rien à dire. Vous dites que c'est une vision sur 10 ou 15 ans, alors c'est quoi l'urgence de changer le zonage maintenant?» De son côté, Francisco Moreno a demandé aux élus de tenir compte des écoles et des parcs dans ce projet. Le projet du Quartier de la gare prévoit le déplacement de la gare LaSalle dans l'axe Wanklyn, la relocalisation du terminus d'autobus au coin Wanklyn et Lafleur. Sur le plan résidentiel, on parle d'un potentiel total de 1 400 unités de logements; pour l'îlot compris entre Jean-Milot et Wanklyn: 750 unités, et pour celui compris entre les rues Airlie/Stinson/Wanklyn: 650 unités.
  15. Suis-je le eul à trouver 6000 trop petit, même pour le baseball. Quelqes exemples Centre Claude-Robilliard, 9 500 places Stade Uniprix (Jarry), 11 700 places Stade Saputo, 20 300 places (2012) Stade Olympique, 44 000+ (dépend de l'événement) avec 6 000, ça se compare aux stade Universitaire Stade Percival-Molson, 25 012 places Stade du CEPSUM, 5 100 places Stade Concordia, 4 000 places
  16. C'est drole comment le Zakim de Boston ne me fait absolument rien, C'est une question de goûts. J'adore le look Acier cantilever du Pont Jacques Cartier. Mais si c'Est pour sortir de l'ordinaire, J'imagine le Octavio bridge de São Paulo.
  17. Point Zero est une marque à 100% Montréalaise et franchement, j'aime bien ce qu'ils font habituellement. In 1979, au cœur de la Cité de la Mode, rue Chabanel à Montréal, Benisti Import Export Inc. ouvre les portes de Point Zero. La suite fait partie de l’histoire… Depuis ses débuts, Point Zero s’est démarqué de ses concurrents avec ses conceptions astucieuses et une vision avant-gardiste du design, devenant ainsi la marque canadienne #1 de la production de vêtements sports et urbains pour hommes, femmes et enfants. En 1983, une compagnie nommée Beniko Inc. fût formée à Los Angeles afin de faire percer aux États-Unis les vêtements de marque Point Zero. Le lancement de la marque fût un succès sur le marché nord-américain.
  18. Le building New City Gaz est en transformation pour devenir un centre d'événements et de congrès. Payé en partie par le privé, par la boîte de Communication Sid Lee et le Cirque Du Soleil pour leur événement C2-MTL prévue pour le mois de mai2012 http://c2mtl.com/the-c2mtl-village/ À savoir si le changements sera permanent ou seulement pour ce colloque, ça reste à savoir.
  19. Source: RDS BASEBALL À MTL : LA MAQUETTE DÉVOILÉE Les plans et la maquette d'un futur stade de baseball et d’un centre national d’entraînement au centre-ville de Montréal d'environ 50 millions de dollars ont été dévoilés vendredi dans le cadre de l'émission l'Antichambre sur les ondes de RDS. S'il voit le jour, cette infrastructure de 5000 à 6000 places sera construite dans le quartier Griffintown dans le sud-ouest de Montréal à l'angle des rues Bridge et Mill, non loin du pont Victoria. Le prometteur du projet, Baseball Québec, aimerait effectuer une première pelletée de terre en avril 2012. Un des anciens propriétaires des Expos, Mark Ruttenberg, et l'ancien lanceur du baseball majeur, Éric Gagné, sont intéressés à investir dans ce projet. Le vice-président de Baseball Québec et analyste du baseball à RDS, Marc Griffin, avait confirmé il y a quelques semaines qu'une demande d'aide financière avait été présentée au gouvernement du Québec dans le cadre du Fonds de développement du sport et de l’activité physique, le 30 septembre dernier. Pour l'aider dans son projet, Baseball Québec s'est associé au groupe SM International pour développer un plan d'affaires, qui devrait être complété bientôt. Baseball Québec croit qu'un stade permettrait d'attirer une équipe du baseball professionnelle à Montréal, probablement une équipe de la Ligue Can Am.
  20. C'est drôle, moi il me rappel Michel Lauzière des Foubracs. La musique j'y porte pas attention et lui vraiment non plus, c'est plus le message véhiculé qui m'intéresse.
  21. J'ai remarqué la Grande Bibliothèque illuminé la semaine passée je crois. Je vais devoir dire que j'aime bien !! Ça devait être des tests si le lancement est le 28 novembre.
  22. Je connais personnellement Chuck et même moi j'ai de la misère à avoir des réservations au Garde-Manger. lol.
  23. .... et CJAD ont repris la nouvelle. (je vois que Malek a passé un commentaire avec le lien vers la page facebook. Source: CJAD The man behind Montreal's Just for Laughs Festival is advising Montreal to create a downtown night life zone where businesses could stay open until six o'clock in the morning. Gilbert Rozon believes tourism would get a boost if bars, restaurants and other businesses could go all night. He proposes that the night life zone run from Guy Street to Papineau, between Sherbrooke Street and Rene Levesque Boulevard. Rozon says he has pitched his idea both to Mayor Gerald Tremblay and the chief of police, and both were receptive.
  24. Gilbert Rozon s'empare de l'idée. Source: Cyberpresse Le président fondateur du Groupe Juste pour rire, Gilbert Rozon, propose, pour stimuler le tourisme au centre-ville de Montréal, de créer une zone à l'intérieur de laquelle les commerces, notamment les bars et les restaurants, pourront demeurer ouverts jusqu'à 6h en permanence. Gilbert Rozon a fait cette proposition, hier, au cours d'une conférence qu'il a présentée dans le cadre des Gueuletons touristiques de la chaire de tourisme Transat de l'UQAM. M. Rozon a récemment piloté un projet de plan touristique québécois en tant que président du Comité performance de l'industrie touristique. Il estime que non seulement on doit créer un grand festival de festivals l'été dans le centre-ville de Montréal, mais qu'on doit aussi y aménager un espace vivant et festif nuit et jour. «On devrait créer un espace Night Life à Montréal qui irait, sur la rue Sainte-Catherine, de la rue Papineau à la rue Guy, mais aussi entre le boulevard René-Lévesque et la rue Sherbrooke où les commerces pourraient être ouverts jusqu'à 6h du matin, a-t-il dit. Pour se créer un centre-ville exceptionnel et sécuritaire. Et piétonnier de mai à fin septembre.» Rappelant que, depuis les années 20, les Américains viennent à Montréal parce qu'on s'y amuse et que les bars ferment plus tard, il a décrit Montréal comme une «Fun City», une ville festive de créateurs et que les créateurs, «ça veille tard». «C'est dans la logique des choses, a-t-il ajouté. Notre icône ici, c'est d'avoir du fun.» M. Rozon estime qu'il faut avoir une vision pour faire croître le tourisme à Montréal et au Québec. Il a dit qu'il avait parlé de cette idée au maire de Montréal, Gérald Tremblay, et au chef de police du SPVM et que son idée a été bien accueillie. «Ils m'ont dit que c'était une bonne idée, dit-il. Et puis, ça se fait ailleurs dans le monde donc ça doit être faisable.» Gilbert Rozon a ajouté qu'il faut redéfinir le Vieux-Montréal, avec un accès au fleuve et plus de cohérence dans l'urbanisme de ce quartier très visité. Il a réclamé un train entre l'aéroport et le centre-ville et la création d'un centre de foires au-dessus de l'autoroute Ville-Marie.
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