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Tout ce qui a été posté par ProposMontréal

  1. J'adorerais habiter dans ces tours, mais à 550$ le pied carré, ça n'a pas de sens. Mon condo de 1200'ca dans Hochelaga pour 250 000$. Ça va en prendre des gens pour acheter toutes ces unités maintenant sur le marché à coups de demi million.
  2. Affirmer que tu n'aimes pas c'est une chose, moi aussi j'aime plus ou moins, mais dire qu tu craches au visage du designer, même de façon figuré, c'est pas un peu fort ? Je trouves personnellement que la fontaine est assez réussie et les gouttes au plafonds c'est original. Même le nouvel éclairage LED du plafond est intéressant. Mais chaque éléments de l'ensemble ne semble pas bien s'intégrer en un tout. Sans parler de l'endroit de brique, quand nous mettons tous les éléments ensemble, il semble manquer de cohérence.
  3. Triste événement, mais c'est pour fermer la gueule à ceux qui aiment nous rappeler qu'il y a juste au Québec que ces incidents arrivent. Source: La Presse Les autorités ont confirmé dimanche qu'au moins deux personnes sont coincées sous les débris d'un centre commercial d'Elliot Lake, en Ontario, après l'effondrement partiel du toit, la veille. Selon un porte-parole de la Police provinciale de l'Ontario, des images de la scène permettent de voir une main et un pied parmi les débris, mais les équipes de secours ne peuvent accéder à l'endroit en question parce que les lieux ne sont pas suffisamment sécuritaires. Des responsables du Service de protection des incendies ont par ailleurs dit avoir entendu de petits coups provenant de derrière des blocs de béton et de métal qui se sont écroulés et qui jonchaient le sol. En fin d'après-midi dimanche, des membres d'une équipe spéciale d'urgence s'affairaient à stabiliser la scène de la tragédie au Centre commercial Algo, une besogne qui, selon les autorités, pourrait prendre une douzaine d'heures. L'opération est encore considérée comme une mission de secours et les responsables espéraient toujours, dimanche, retrouver des gens sains et saufs. Les autorités policières détenaient une liste de neuf personnes manquant à l'appel, mais elles ont précisé que ce chiffre varie selon que des résidants confirment avoir retracé des proches ou que d'autres signalent ne pas avoir de nouvelles de membres de leur famille. Les équipes de secours ont continué à fouiller dans les débris afin de retrouver des personnes manquant à l'appel, dimanche, après le drame, qui a fait au moins 22 blessés. Une section du toit, qui sert aussi de stationnement aux clients et employés du Centre commercial Algo, s'est affaissée vers 14 h 30, samedi, pour atterrir deux étages plus bas. L'effondrement a laissé un trou de 12 m par 24 m et provoqué des pannes de courant ainsi qu'une fuite de gaz. Deux stands vendant des billets de loterie, des cigarettes et des magazines étaient situés dans la zone où le plafond s'est effondré et étaient ouverts juste avant l'incident, ont raconté des témoins. Une équipe de recherche et de sauvetage en milieu urbain de Toronto a été envoyée à Elliot Lake, une ville de 11 000 habitants qui se trouve à quelque 160 km à l'ouest de Sudbury dans le nord de l'Ontario. Une porte-parole du centre commercial, qui est géré par Eastwood Mall Incorporated, a déclaré que l'entreprise référait toutes les questions sur l'incident ou l'état du bâtiment à son avocat, qui n'était pas disponible dimanche pour commenter.
  4. Wow, je suis d'accord avec cette idée, MÊME si elle vient de libéraux. Je crois que l'idée à sa palce et qu'elle devrait être étudié sérieusement. C'est certain qu'il y a quelques points négatifs mais c'est à voir. Merci pour le lien.
  5. Quelqu'un à les évocations originaux du temps du centre Molson? Si je me rappel bien, une tour était dans les dessins lors de l'annonce originale du début des années 90. J'aimerais comparer avec ce que ça devait être lors de sa construction et ce que ce sera lors de la fin de celle ci.
  6. Nous étions un peu plus de 17 000 spectateurs et pour un match contre les Sounders de Seattle je trouve ça très bien. même si les Sounders sont une très bonne équipe, les nouveaux fans ne sont pas attiré vers une ville comme Seattle. J'attend de voir un Match contre des équipes auquel les gens associent plus une rivalité, Toronto, New York ou Nouvelle-Angleterre. Il ne faut pas oublier que la MLS c'est du nouveau pour beaucoup de gens et 3 semaines sans être dans les manchettes, c'est difficile à rattraper. J'ai confiance dans les Montréalais, tout comme il ont adoré les Alouettes quand ils sont passé du Stade Olympique au Stade Percival-Molson, l'Impact pourra faire pareil j'en suis certain. Il ne faut pas oublié que plusieurs fans ne le sont que depuis cette année. Avant l'Impact n'était qu'une équipe de ligue mineur. Avec l'Euro et le tournoi Olympique, beaucoup de gens vont commencer à suivre le Soccer plus régulièrement. C'est aux médias d'en parler. Je sais que je ne peux pas comparer mais si un joueur du Canadien tousse trop fort, tous les bulletins de sport vont en parler et le 98,5 va faire une émission spécial sur la toux du joueur. Si seulement, les manchettes sportives pouvaient parler des autres matchs, cela créerait une appartenance à la ligue. En ce moment, je ne peux que blâmer les médias pour la foule de samedi et non les fans, car nous, nous y étions ! Mon prochain match est le 18 juillet contre le Revolution de New England. Voici les foules pour les matchs de ce week-end et nous sommes juste sous la moyenne, je trouve ça pas si mal franchement. Houston: 22 039 Los Angeles: 20 611 Kansas City: 20 488 Vancouver: 19 166 Philadelphie: 18 876 Chicago: 18 526 Montréal: 17 112 Chivas (Long beach): 13 816 New-England: 12 218
  7. Faut quand même pas oublier que l'eau à ce point est de 12 mètres de profond. C'est pas la pollution, c'est la sécurité aussi. À la plage à Paris, on peut pas se baigner sur la Seine. Ni les deux à Toronto. Donc faut arrêter de chialer la dessus, c'est une plage urbaine. Pour vous baigner avec du sable. Allez à la plage Doré.
  8. J'espère qu'ils ont trouvé une façon de faire des vitre anti-égratignure pour les écrans LCD et les vitres de voitures elles même. Les voitures n'ont pas tant de graffiti que ça, mais les vitres etch-a-sketch me tape vraiment sur les nerfs.
  9. Belle photo avec des grues pour vous rendre heureux. Photograpphe: http://www.flickr.com/photos/ericconstantineau/
  10. Quelqu'un peut-il me trouver une photo avant-après (ou juste avant) pour voir si nous avons perdu quelque chose de bien ou d'ordinaire au frais de cette "plage" ?
  11. Malheureusement, vous avez tous raison, c'est un endroit publique et devrais être gratuit mais vous devez voir l'envers de la médailles. Je ne suis PAS D'ACCORD avec ce que je vais dire, je me fais que l'avocat du diable pour la discussion. Le Vieux port est un endroit touristique, ce n'est pas les Montréalais qui vont y aller, ce sont les touristes (Québécois ou International) qui vont payer et de la façon dont le port est plein l'été, cette "plage" sera pleine à chaque jour de soleil. Les Montréalais vont continuer à envahir la plage du Parc jean-Drapeau. Nous ne pouvons quand même pas blâmer personne de vouloir embellir l'endroit le plus touristique de la ville quand même ! Ensuite, il y a ceux qui aiment le concept de l'utilisateur-payeur. Justement, comme il a été mentionné dans ce fil, c'est un terrain fédéral, donc nos taxes. Personnellement je préfère que nos taxes soient utilisé pour la scolarité, la santé et les routes que pour une plage pour touriste. Alors, si un projet peut se payer de lui même, pourquoi pas, après tout, la plage n'a coûté que 4 millions et n'auras besoin que de 6 à 8 employé d'été, un véhicule (kart électrique) quelques outils et les matériaux d'entretien. (estimation à 200 000$ par année ??) Un dernier point, ayant été personnellement été à Londre en automne dernier, j'ai voulu faire la grande roue (London Eye) et j'ai finalement changer d'idée parce que payer l'équivalent de 30$ par personne pour une ride de 30 minutes, je trouvais ça un peu dispendieux. Donc, 6$ pour pouvoir y passer l'après midi, prendre une petite bouffe dans le resto-rapide et se faire griller un peu, c'est pas si mal quand même. Je ne veux pas comparer avoir une vision panoramique de Londre à une petite "plage" dans le vieux port de Montréal, mais dollars pour dollars, je crois que nous sommes gagnant. Puisque plusieurs ici ont de la misère à accepter un point de vue différent, let the lynching begin.
  12. J'espère que cette étape fermera la gueule à ceux qui disent encore qu'ils croiront à la construction du CHUM que quand ils le verront (Paul Arcand pour ne nommer que lui)
  13. Le Marie Paes de Rio sur TED nous offre les 4 règles d'or qu'ils utilise pour diriger sa ville. <iframe width="560" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/B8Z2G7d2kzs" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
  14. Le secteur québécois de la pharmaceutique et des soins de santé reprend des forces après avoir connu un début d'année sombre, marqué par de nombreuses annonces de supressions d'emplois. Pour la deuxième fois en un mois, un investissement majeur sera annoncé dans la région de Montréal. Après la pharmaceutique Valeant, qui a fait part du déménagement de son siège social à Laval au début d'avril, le géant des équipements médicaux américains Metronic dévoilera un investissement de plusieurs millions de dollars accompagné de la création de nouveaux emplois mardi à sa division Cryocath, de Pointe-Claire, à Montréal. Les détails de l’investissement seront dévoilés mardi en présence de Sam Hamad, ministre du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation. La Presse révélait le 3 avril que Cryocath ouvrira un nouveau centre de recherche et de formation médicale, en plus de réaliser des travaux d’agrandissement à ses installations de Pointe-Claire. Investissement Québec aurait accordé une subvention de 15 M$ à Cryocath dans le cadre de ce projet. CryoCath est un chef de file de la conception et la fabrication de cathéters destinés à traiter des maladies cardiovasculaires comme la fibrillation auriculaire, une forme d'arythmie très répandue pour laquelle il n'existe aucun traitement efficace. CryoCath, un des grands succès de l’industrie québécoise des instruments médicaux, a été vendue au géant américain Medtronic en 2008 pour 400 M$.
  15. Avec quelques commentaires architecturaux pour vous tous. Source: Dallas News “This,” says Martin Robitaille, “is the Old Sulpician Seminary. It dates to 1685 and is the oldest building still standing in Old Montreal. And this,” he goes on, sweeping his hand at a building across the street from the seminary, “is Mistake No. 1.” The more formal name of the latter edifice is the National Bank of Canada Tower. It was finished in 1967 and is done in the International Style: 52 concrete pillars rising 32 stories, covered in black granite, framing black-tinted windows. “Its elegant, sober appearance was intended to harmonize with the rest of the historical quarter of Old Montreal,” according to a panel in the nearby Centre d’histoire de Montréal museum, but many, including Robitaille, think it most certainly does not. Robitaille could be considered biased: He’s a professional tour guide, and his beat today is the section of Montreal just north of the St. Lawrence River, roughly a dozen blocks long and three blocks wide, that is the city’s historic center. The quarter’s small, crooked streets are filled by handsome buildings of dressed limestone, some somberly Scottish and plain, some effusively Italian, with intricate carvings and terra cotta ornamentation. Stand at any of a dozen intersections — Sainte-Hélène and des Récollets is a good example — and you are transported, architecturally at least, back in time. Which is why Robitaille finds the incursion of something in the International Style so grating. It really ruins the mood. His tour begins at Place d’Armes, in the shadow of a statue of one of the people who founded the city in 1642, Paul de Chomedey de Maisonneuve. “They came here to convert the natives,” Robitaille says. “Not so successful. After about 20 years, it became a commercial center. The fur trade.” As European demand for fur grew, so did Montreal. Its success as the funneling point of pelts from Canada’s vast forests to the Continent made it the obvious spot to locate head offices when settlers began to pour into the west. “The Golden Age was from 1850 to 1930,” Robitaille says. “That’s when Montreal was at its best.” And that’s when most of the buildings in Old Montreal were constructed. Robitaille’s tour takes us along Rue Saint-Jacques, once the heart of Montreal’s — and Canada’s — financial district. At the corner of Rue Saint-Pierre he points out four bank buildings, two of which, the CIBC and the Royal, still perform their original function. The Royal’s banking hall, built in 1928, is “a temple of money,” our guide says: soaring stone, coffered ceiling, echoing and imperious. The other two banks have been turned into high-end boutique hotels . LHotel is the plaything of Guess Jeans co-founder Georges Marciano. Marciano has sprinkled its lobby and hallways with $50 million worth of art from his private collection, including works by Roy Lichtenstein, Joan Miró, Robert Rauschenberg , Marc Chagall, David Hockney, Jasper Johns and Andy Warhol. Across the road, the former Merchants Bank is now the St. James, “considered the most luxurious hotel in town,” says Robitaille. The top floor is where folks like Elton John, U2 and the Rolling Stones stay when they’re in town. We twist and turn through Old Montreal’s narrow streets. Hidden away at 221 Saint-Sacrement is one of the few old houses left, three stories, solid stone. Today, it houses offices. “Most of the architecture surrounding us is commercial, not residential,” Robitaille says. The banks were the most lavish in design, but the warehouses, many now renovated as condominiums, were nearly as spectacular. When Robitaille was a child, his parents never brought him to Old Montreal. Then, as now, it was a bit cut off from the present-day downtown, further north, by the auto route Ville-Marie. After the banks decamped in the 1960s, Old Montreal spent the next several decades in decay. At one point, much of it was to be torn down for yet another freeway. A slow-swelling preservation movement finally gained traction in 1978 when the grain elevators blocking the view of the St. Lawrence River were demolished and a riverside walk opened. Over the next three decades, investors began to see the value in resuscitating the neighborhood. Now, more than 5,000 people call Old Montreal home, living mainly in converted warehouses. Restaurants, cafes, small hotels and plenty of art and clothing stores keep the area bustling. A tour like Robitaille’s is a fine way to be introduced to Old Montreal. For those who want to know more, two museums, the Centre d’histoire de Montréal, in a 1903 fire hall next to Place d’Youville (the site of the two Canadas’ parliament until rioters torched it in 1849), and the Pointe-à-Callière Montreal Museum of Archaeology and History, are the places to go. In the basement of the latter are the ruins of buildings that previously stood on the site, along with part of the tunnel that Little Saint-Pierre River once ran through and the city’s first graveyard, filled largely with the bodies of those killed by Iroquois attacks in the settlement’s earliest days. For those who prefer to strike out on their own, Discover Old Montreal, a well-illustrated booklet published by the provincial government, provides a detailed self-guided walking tour and is for sale in both museums. For those who just want to soak in the ambience, the simplest thing is to start in Place Jacques Cartier and stroll first east and then west along Rue Saint-Paul, Montreal’s oldest street. (Its rough paving stones make comfortable walking shoes a necessity.) Robitaille’s final stop is at the Château Ramezay. Built in 1705 as a home for the governor of Montreal, it served several other purposes through the years, including sheltering Benjamin Franklin in 1776, before it became a museum in 1895. “It’s one of only six buildings from the French period, before 1763, still standing,” says our guide. A block away is the modern courthouse complex, finished in 1971 and designed by the same people who did the National Bank tower. “That,” says Robitaille with a final flourish, “is Mistake No. 2.” And so Old Montreal comes to an end.
  16. Avertissement. Ce n'est qu'une question de jours, peut-être d'heures mais les bâtiments situés au coin Iberville et Notre Dame Est. Anciennement Paramount Décor au 2540 et les citernes à melasse de la GRANDMA’S Molasses du 2450 seront aussi démolis. Les pelles mécaniques ont été livrées, les toilettes portables sont installées et les deux édifices sont complètement clôturés Bientôt, les gens passant sur Notre-Dame pourront voir les rives et les îles. Franchement bon débarras. Maintenant que Matelas Dépôt est démoli depuis l'été passé et que ces deux autres seront bientôt de l'historie ancienne, il ne reste que Ressorts Montréal. Je me demande si Phyllis Lambert et Dinu Bumbaru seront la pour les protéger ?
  17. Le père de ma conjointe travail comme Maître D'Hotel au Ritz depuis plus de 24 ans. Après une mise à pied forcé de quelques années, il est de retour au travail dans son ancien poste à partir de Lundi prochain. Ils vont passer au travers de 2 semaines de reformation et l'endroit ouvre en début Mai.
  18. Merci ! Les prix sont environ 20% plus cher à ce que je m'attendais pour cette construction.
  19. Malheureusement, je n'ai jamais été à la CinéRobothèque, alors je ne peux pas juger de l'endroit. Mais, l'ONF peut maintenant présenter tout ces films sur le web. Je suis plus souvent sur leur site web que je pourrais être à une adresse civique. Je ne dis pas que je suis heureux qu'il doivent fermer leur pignon sur rue, je fais juste dire qu'il y a plus de chance que je consomme leur produit chez moi qu'ailleurs. Je suis plus triste pour les gens qui perdent leur emploi à cause de cette fermeture. Mon opinion, excusez à ceux que je peux offenser.
  20. Voici le communiqué de presse de la ville Dévoilement de 10 nouveaux projets immobiliers privés au centre-ville de Montréal 3 avril 2012 Montréal, le 3 avril 2012 - Quelques heures avant la tenue de la séance régulière du conseil, le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, a dévoilé aujourd'hui dix nouveaux projets privés qui ont été soumis à l'arrondissement de Ville-Marie. Ces projets contribueront à refaçonner le centre-ville de Montréal; leur réalisation prévoit notamment la disparition de plusieurs terrains vacants. « C'est une excellente nouvelle pour Montréal! Le centre-ville connaît un boum immobilier sans précédent et accueille de plus en plus de projets novateurs qui participent à son développement. Les investisseurs croient en l'avenir de Montréal et misent sur ses atouts exceptionnels pour proposer des projets qui contribueront à faire de notre ville une métropole attrayante où il fait bon vivre », a déclaré le maire. 1 600 nouveaux logements et 51 600 m2 de bureaux Les dix projets présentés ont tous été développés par des architectes et designers montréalais. La plupart se situent dans la partie ouest du centre-ville, principalement dans le quadrilatère délimité par les rues Saint-Antoine, Guy, Sherbrooke et Peel. En 2011, l'arrondissement a élaboré un Cadre de révision des hauteurs et des densités pour encourager le comblement des terrains vacants et le développement du centre-ville, notamment dans ce secteur. Outre les 1 600 nouvelles unités d'habitation à venir, ces 10 projets proposent la construction de plusieurs espaces commerciaux, chambres d'hôtels et bureaux. Plus précisément, deux des projets présentés totalisent une superficie de 51 600 m2 de bureaux : des apports significatifs si l'on considère la moyenne de 72 000 m2 de bureaux construits chaque année au centre-ville depuis 1990. Dans un centre-ville habité, dont la population s'est accrue de 6,5 % depuis 2006, ces nouveaux projets favoriseront une fois de plus la mixité et l'attractivité du secteur. Présentation des projets Îlot Overdale : l'ouest du centre des affaires revitalisé Prévu sur le plus important terrain vacant du boulevard René-Lévesque Ouest, équivalent à deux fois la superficie d'un terrain de soccer, ce projet mixte propose l'intégration d'un complexe à la fois commercial et résidentiel de 120 mètres de hauteur et prévoit, entre autres, la restauration et la réhabilitation de la maison Louis-Hippolyte Lafontaine et de son jardin. Maison Ogilvy : un quadrilatère majeur transformé Unique et novateur, ce projet propose la transformation de tout le quadrilatère situé entre les rues Crescent, Sainte-Catherine, de la Montagne et le boulevard De Maisonneuve. Il s'agit ici de l'agrandissement du magasin Ogilvy de même que de la construction d'un complexe hôtelier et résidentiel de 120 chambres et 110 logements. Ce projet se distingue notamment par la mise en valeur patrimoniale d'un édifice situé dans un emplacement stratégique du centre-ville. Rue Drummond : deux tours résidentielles au sud de la rue Sainte-Catherine Situé dans le centre des affaires, ce projet prévoit le remplacement d'un stationnement de surface de 200 places. Il est constitué de deux nouvelles tours : une première de 23 étages (80 m) et 173 logements, et une deuxième de 21 étages (74 m) et 154 logements. En plus d'un espace commercial sur trois étages pour chacune des tours, ce projet propose 3 600 m2 de bureaux. Le Roccabella : 516 nouvelles unités au 1300, boulevard René-Lévesque Ouest À deux pas du Centre Bell et de la Cité du commerce électronique, ce projet prévoit deux tours jumelles résidentielles de 35 étages (120 m) et deux étages commerciaux au rez-de-chaussée. Offrant des logements lumineux, ce projet se distingue par son architecture novatrice et de qualité. Tour Windsor : un nouvel édifice à bureaux Adjacente au Centre Bell, la Tour Windsor incarne un bel exemple de projet immobilier novateur à l'image de la créativité montréalaise. Ce projet de 28 étages propose 48 000 m2 de superficie de bureaux dans cette partie très convoitée du centre-ville (à titre de comparaison, le projet Altoria compte 100 000 m2 de bureaux). Le Peterson : 280 unités d'habitation au cœur du Quartier des spectacles Avec une architecture audacieuse, Le Peterson est un autre exemple de projet structurant pour le centre-ville. Conforme au Plan d'urbanisme, cette tour de 34 étages comptant 280 nouvelles unités d'habitation prévoit le comblement d'un stationnement de surface situé à l'extrémité nord du Quartier des spectacles, tout près du Louis-Bohème, qui compte 28 étages. Le Saint-Dominique : transformation de l'ancienne Brasserie Ekers À quelques pas de là, Le Saint-Dominique propose la transformation et l'agrandissement de l'ancienne Brasserie Ekers pour aménager 50 nouveaux condominiums ainsi que 2 locaux commerciaux. Tout en respectant les caractéristiques architecturales remarquables du bâtiment d'origine, ce projet participe à la revitalisation du boulevard Saint-Laurent. Tour du Musée, Projet Flex et Le 1220 rue Crescent : plus de 300 nouveaux logements dans le Quartier du Musée Situé au 1400, rue Sherbrooke Ouest, le projet de la Tour du Musée prévoit la conversion d'un édifice à bureaux en un bâtiment résidentiel de 12 étages offrant 40 nouveaux condominiums, à un coin de rue du Musée des beaux-arts de Montréal. Un peu plus au sud, au 1211-1261, rue Bishop, le Projet Flex propose quant à lui pas moins de 196 unités d'habitation et 10 nouveaux commerces, renforçant ainsi le caractère mixte de ce quartier convivial et animé. Juste derrière, au 1220-1228, rue Crescent, un autre projet mixte de 8 étages totalisant 77 nouveaux condominiums prévoit le comblement d'un terrain vacant. L'approbation finale de trois des dix projets, soit la Maison Ogilvy, l'îlot Overdale et Le 1220, rue Crescent, sera conditionnelle aux modifications réglementaires proposées dans le Cadre de révision des hauteurs et densités du centre-ville, qui sera présenté pour adoption au conseil municipal dans le courant du mois d'avril. Un centre-ville en plein essor L'effervescence immobilière que connaît Ville-Marie se manifeste aussi dans l'ensemble du territoire de l'arrondissement. En ce moment, pas moins de 29 projets sont en cours de réalisation au centre-ville. De la Tour Altoria au Seville, en passant par le projet Altitude, ou encore le Metropol et le Sofia aux abords du Quartier latin, c'est tout le centre-ville de Montréal qui est en train de se réinventer. L'implantation du nouveau CHUM et de son Centre de recherche s'inscrit également dans cette tendance. « Nous travaillons depuis dix ans à la transformation de Montréal et cela porte ses fruits. Nul doute que tous ces nouveaux projets insuffleront encore plus de vie et d'animation au centre-ville! », de conclure le maire.
  21. Le site de Valeant mentionne que le Siège Social est situé à Saint-Laurent, Tiré du http://www.valeant.com/about/locations.aspx Corporate Headquarters 4787 Levy Street Montreal, Quebec H4R 2P9 Canada +514.744.6792 Est ce que je me trompe où Montréal a perdu un siège social pour Laval ? Je dois me tromper surement, mais je veux juste en être certain.
  22. Source Le Devoir Devant les besoins criants de transport de masse entre la Rive-Sud et l'île de Montréal, le ministre des Transports, Pierre Moreau, jongle avec des solutions inusitées: mettre en service des navettes fluviales et construire des télécabines circulant au-dessus du Saint-Laurent. En entrevue au Devoir pour souligner le centième anniversaire de son ministère, Pierre Moreau a dit être prêt à effectuer un véritable virage vers le transport collectif, saturation du réseau autoroutier montréalais oblige. Du même souffle, il a souligné l'importance de tenir compte de l'état des finances publiques, ce qui justifie, selon lui, de regarder «les moyens les plus efficaces et les plus économiques pour augmenter l'offre de service». «On doit rendre le transport en commun sexy. Il faut qu'il soit facile à utiliser, confortable et fiable», a affirmé le ministre, conscient que son audace pourrait lui attirer bien des critiques. Mais il y a plus. L'instauration de navettes fluviales qui feraient l'aller-retour entre Longueuil et Montréal ou la construction de télécabines apparaissent comme un moyen de contrer la crise des transports qu'engendreront les multiples chantiers routiers, comme le complexe Turcot, le pont Champlain, le tunnel Louis-Hippolyte-Lafontaine et le pont Mercier. Le casse-tête qui s'annonce est titanesque: 40 000 personnes résidant sur la rive sud du Saint-Laurent viennent travailler à Montréal tous les jours. C'est dans ce contexte que le ministre Moreau songe à mettre à l'eau des bateaux, comme c'est le cas par exemple entre Lévis et Québec. Le service pourrait voir le jour dans l'est de Montréal, à la hauteur des rues Pie IX et Viau, alors qu'il semble exclu de l'offrir dans l'ouest de l'île. À cette hauteur, la profondeur du fleuve ne serait pas suffisante, a expliqué le ministre. «Montréal est une île et elle n'est pas dotée de services de navettes fluviales. Il faut commencer à y réfléchir parce qu'on va avoir des travaux importants au cours des prochaines années. [...] Pourquoi serait-ce fou?», a-t-il lancé. Pour avoir un éclairage des possibilités réelles mais également des difficultés que poserait un tel projet, le ministère s'est intéressé au réseau de navettes mis en place il y a maintenant 30 ans à Boston. Ce service a été développé pour pallier les multiples travaux de reconstruction d'infrastructures et permettait de contourner les chantiers sans ralentir le va-et-vient des personnes, a rappelé M. Moreau. Pour ce qui est des télécabines qui enjamberaient le fleuve, Pierre Moreau pointe autant vers l'ouest que vers l'est. Un projet pourrait voir le jour dans l'axe du pont Mercier et un autre, à proximité du tunnel L-H-Lafontaine, là où les rives n'ont que deux kilomètres de distance. Le ministère des Transports possède des terrains à Longueuil, en bordure de la route 132, entre la marina et le métro. «Est-ce que ces terrains-là ne pourraient pas être utilisés comme stationnement incitatif et être un départ pour des télécabines qui arriveraient directement à des stations de métro sur Pierre-de-Coubertin [Pie IX et Viau]? Il ne faut pas se fermer l'esprit à ce genre de chose», a souligné M. Moreau. Outre la traversée du fleuve, ce type de transport pourrait permettre de rabattre les gens vers des systèmes de transport en commun en reliant, par exemple, la station de métro de Longueuil à un stationnement incitatif à plus d'un kilomètre, question de contourner la congestion. «Je n'ai pas de chiffre ni d'analyse technique. Mais si ça se fait ailleurs dans le monde, pour quelle raison on ne le ferait pas ici?», demande-t-il. De fait, un service de télécabines existe à New York, entre Roosevelt Island et l'île de Manhattan. C'est d'ailleurs en s'appuyant sur les informations recueillies là-bas que le ministre affirme que le système pourrait se mettre en place rapidement en 18 mois; à New York, la réfection récente du système a coûté 65 millions. «Une chose dont je suis certain, c'est que c'est beaucoup moins dispendieux qu'un pont et ça n'intervient pas de la même façon dans le transport des personnes», a mentionné le ministre. Il y a trois ans, un promoteur privé avait proposé de relier le Vieux-Montréal et Saint-Lambert par télécabines pour 100 millions de dollars. Même s'il soutenait pouvoir transporter en moyenne 3000 personnes à l'heure avec un départ toutes les 20 secondes (trajet de 10 minutes) et qu'il s'agissait d'un moyen de transport écologique au fort potentiel touristique, la Société du Vieux-Port y a surtout vu une menace pour le patrimoine historique et un embarras pour ses propres opérations. L'automne dernier, c'était au tour de la Ville de Laval de se lancer dans l'étude de faisabilité d'un projet de téléphérique urbain afin de relier éventuellement la station de métro Montmorency au Carrefour Laval. Le maire Gilles Vaillancourt avait alors présenté l'idée comme une solution en attendant le prolongement du métro. «Est-ce que c'est réaliste de le faire pour Montréal? On examine la situation. Je veux compléter le tour des autorités qui ont réussi avec succès la mise en place de ces services. Mais on doit se tourner vers ça», a insisté Pierre Moreau. Ce dernier a précisé que le MTQ n'a accordé aucun contrat pour étudier la question. Des mandats préliminaires ont toutefois été donnés à la Société des traversiers du Québec (STQ) ainsi qu'à l'Agence métropolitaine de transport (AMT), question d'examiner différents scénarios, a-t-il indiqué. Ni à la STQ ni à l'AMT on ne se montre loquace sur le sujet. «Tout reste à définir dans ce dossier. C'est une avenue que l'on regarde», s'est bornée à dire la porte-parole de l'AMT, Brigitte Léonard. Du côté de la STQ, on semblait même surpris des questions du Devoir. «On a eu écho de projets, mais nous ne sommes pas impliqués», a laissé tomber Maryse Brodeur. Chez Transit, l'Alliance pour le financement des transports collectifs au Québec, regroupant une quarantaine d'organismes, la voie empruntée par le ministre Moreau est loin de soulever de l'enthousiasme. «Pour désengorger le lien Rive-Sud-Montréal, c'est davantage anecdotique qu'une solution structurante», a tranché Christian Savard, de l'organisme Vivre en ville. «Je ne connais pas d'exemple où les téléphériques sont venus changer la face d'une ville, à moins de vouloir monter des collines, comme à Santiago de Chili», a-t-il ajouté. La professeure de l'Université du Québec à Montréal spécialisée en transport et ancienne p.-d.g. de l'AMT, Florence Juncat-Adenot, abonde dans ce sens. «Ça peut être un complément, mais ça ne sera jamais du transport de masse. On ne peut pas baser le développement du transport collectif à Montréal autour des navettes fluviales ou des téléphériques», a-t-elle commenté. Comme porte-parole de Transit, Mme Junca-Adenot et M. Savard prônent un virage au gouvernement vers le transport collectif qui ne soit pas cosmétique, d'autant plus, disent-ils, que les solutions en matière de transport en commun sont archiconnues. «On ne peut pas toujours attendre après les nouvelles idées. C'est ce qui permet surtout de se maintenir dans l'immobilisme», a laissé tomber M. Savard.
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