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Tout ce qui a été posté par ProposMontréal

  1. Source: Les Affaires Le Palais des congrès de Montréal travaille actuellement à un nouveau projet d’agrandissement, lequel pourrait lui permettre, dit-on, de développer le marché des conférences médicales. Le projet n’en est encore qu’à son état embryonnaire, mais par la voix de sa porte-parole, Chrystine Loriaux, la direction du Palais confirme son existence et travailler activement à sa réalisation. «Il reste beaucoup de travail à faire, a précisé la porte-parole, mais oui, nous travaillons sur un tel projet.» Les détails techniques du projet, tels que sa superficie ou les budgets requis, demeurent vagues. Mais le concept lui paraît beaucoup plus arrêté. Cet agrandissement – prévu en direction est du Palais – vise à construire un nouveau pavillon qui serait relié physiquement à l’un ou l’autre des nombreux bâtiments qui constitueront le futur Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM). Au moins 2 milliards de dollars doivent être investis par Québec et la Ville de Montréal, au cours des prochaines années, dans l’aménagement de ce quartier, désespérément en attente d’une nouvelle vocation. Centre de conférences international Qu’à cela ne tienne. Alors que le projet du CHUM piétine, le Palais, les hôteliers, l’industrie touristique au grand complet cherchent le moyen de faire en sorte que le Palais des congrès de Montréal puisse profiter d’un tel développement. «On pense que le nouveau pavillon pourrait accueillir des salles d’exposition et de réunion, de même qu’un centre de conférences qui serait réservé aux clientèles liées au secteur pharmaceutique et médical. Nous pourrions devenir un Centre international de conférence dans le domaine médical», s’est réjoui publiquement Charles Lapointe, le 7 février dernier, à la tribune du Cercle canadien de Montréal. Avant que ce projet ne voit le jour cependant, le Palais des congrès devra recevoir le feu vert du ministère du Tourisme du Québec, duquel il tire l’essentiel de son financement. Une telle décision, explique Mme Loriaux, ne saurait venir qu’après que le Palais ait pu faire la démonstration de sa capacité d’occuper au maximum l’espace dont elle dispose déjà. Hausse de 32% des réservations Or, une revue des espaces disponibles lui a permis d’accroître récemment de 43%, à 472 884 pi2, la superficie locative totale du Palais des congrès de Montréal. Cela dit, le marché des réunions et congrès pourrait changer rapidement, au fur et à mesure surtout que l’économie américaine gagnera en confiance. À preuve, au cours de la période de trois mois se terminant le 31 décembre 2010, la Société du Palais des congrès de Montréal a confirmé la tenue de 18 nouveaux congrès nationaux et internationaux, une croissance de 32% sur l’année précédente.
  2. Rio-Tinto à la recherche d'un nouvel emplacement ? Source: Gazette Rio Tinto Alcan is shopping around for a new Montreal headquarters in what would be the first privately funded office tower built downtown in years, The Gazette has learned. Multiple real-estate sources say the aluminum giant is looking for about 200,000 square feet of prime office space as the key tenant in what could be a LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) certified, Class A building – a move away from the company’s earlier plans to invest millions of dollars to renovate its sprawling downtown campus, which has 300,000 square feet of interior space. Four developers with different, centrally located sites have been shortlisted. The move to a new office tower is “one option Rio Tinto Alcan is considering,” company spokesperson Bryan Tucker confirmed in an interview. Should that proceed, the Maison Alcan campus in the heart of downtown Montreal would be sold. The other option on the table is continuing with a plan to invest between $40 million U.S. and $50 million U.S. to expand and renovate the award-winning Maison Alcan that Rio Tinto announced four years ago. Tucker would not disclose any details about the process or say much about the sites under consideration. “We are going to choose the option that is going to help us best achieve our objective of bringing everybody together under one roof and to creating a world-class working environment for our employees,” he said. Although a deal has yet to be reached, real-estate observers are already excited about the spectre of a new Montreal office building at a time when five towers have been delivered in downtown Toronto during the past two years alone. But a Rio Tinto Alcan change of address in Montreal could have political overtones. Indeed, Alcan’s request-for-proposals process was so hush-hush it was given a code name, industry sources say. The sensitivity springs, in part, out of Alcan’s 2006 power deal with the provincial government and from the takeover of Montreal-based Alcan by global mining giant Rio Tinto in the summer of 2007 in a blockbuster $38-billion U.S. deal, cleared by Ottawa. During the 2007 debate that enveloped Rio Tinto’s bid for the Canadian icon and jewel of Quebec’s economy, Quebec City specifically highlighted Rio Tinto’s pledge to fulfill Alcan’s promise to transform the Maison Alcan campus, which fronts onto Sherbrooke St. W. between Stanley and Drummond Sts. That’s why any change to Alcan’s footprint in Montreal or to past promises will be closely watched by critics of those deals. The Liberal government, however, said yesterday it would have no objection to Alcan moving its head office to another location in Montreal. “As long as the head office remains in Quebec, it respects the agreement,” said Jolyane Pronovost, a spokesperson for Economic Development Minister Clément Gignac. The public unveiling of Alcan’s expansion project for its global headquarters on Jan. 15, 2007, was as much a love-in as a corporate presentation and involved federal, provincial and municipal politicians. The project revolved around the modernization of the award-winning Maison Alcan, which was built in 1983 and consists of four renovated historical buildings on Sherbrooke St. W. The corporate campus was also expanded to embrace property belonging to the Salvation Army, including its historical sanctuary, known as the Citadel, an architectural jewel of Montreal’s “Golden Square Mile.” The transformation of the campus would have allowed Alcan employees to be under one roof; about 250 of the 850 Alcan employees at the time were working in leased facilities elsewhere. The work on the combined sites of almost 300,000 square feet was to begin in early 2007 and to be completed by the end of 2009. But Rio Tinto acquired Alcan and, as the global recession built into a financial crisis, debt-laden Rio Tinto moved from expansion to contraction mode. Before 2008 was over, Rio Tinto had slashed expenditures and announced it would cut 14,000 jobs from its payroll. Major smelter projects in Quebec were slowed. The Maison Alcan project was “slowed but not cancelled,” Rio Tinto Alcan’s CEO said in December 2008. A month later, the company announced 800 permanent and 300 contract job cuts – 300 of them in Quebec – and other cost-cutting measures, including the closing of its aging Beauharnois smelter. Maison Alcan’s transformation was put on ice. Should Rio Tinto Alcan move to an office tower, it wouldn’t be as a cost-cutting measure because Alcan will be spending the same amount allocated for the campus transformation, Tucker said. Alcan, which had about 850 employees in Montreal in early 2007, now has about 700, according to figures cited in a recent speech by its CEO. Today, one reason Rio Tinto is considering new construction is that there simply isn’t such a large block of space available for rent in Montreal’s better downtown office buildings, industry sources say. The vacancy rate in Montreal’s downtown core dropped to 7.3 per cent during the last quarter of 2010, compared with 8.1 per cent during the same period a year earlier, a recent report by Avison Young said.
  3. et voici une photo que j'ai prise en 2007 by Martin Bérubé, on Flickr
  4. Ce que je me rappel de L'église Saint-James est le néon qui est était devant la porte d'entré
  5. Une série de vidéo documentaire sur le futur de la mobilité humaine, de l'automobile et des villes produit par BMW. Voici le premier vidéo de la série qui je l'espère sera très intéressant. Rempli de penseurs et des innovateurs qui sont pour ou contre l'automobile mais d,une façon très réussi. Cette série je l'espère ne terminera pas en une grosse pub pour BMW, mais si je juge par le 1er clip, ça semble que non. <iframe title="YouTube video player" width="640" height="390" src="http://www.youtube.com/embed/bL0-wFcWGcI" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
  6. Bettman a été nommé à ce poste avec comme but d'augmenter la base d'amateurs de hockey au États-Unis et ce par les propriétaires du moment. Les gens de Winnipeg et de Québec sont déjà fans de hockey qu'ils aient une équipe ou pas, ce n'est donc pas de "nouveaux fans". Ces deux équipes rapporterait financièrement aux deux propriétaires mais absolument rien à la ligue. Ça n'augmenterai pas la base de fans, ça n'augmenterai surement pas les contrats de télé. J'aimerai savoir combien de joueurs choisissent une ville au dessus d'une autres aprce que c'est dans le sud ? À salaire égal, pensez-vous pas que certaines vedettes ne préfère pas San José à Winnipeg ou Tampa à Québec. Croyez moi, je ne le défend absolument pas et j'ai hâte qu'il tombe de son trône, mais il fait le travail que les propriétaires veulent, il n'est pas dictateur, il répond aux ordres des ces 30 patrons.
  7. la version Nord Américaine de Being Human est tournée à Montréal mais se passe à "Boston" Mon blogue sur Being Human
  8. Bizarre qu'il n'y a eu aucun fil de discussion la dessus. Je ne savais même pas que s'était en construction. Peut importe, la construction est terminé et le cetre sportif ouvre dans 2 semaines. Source: Radio-Canada Un nouveau centre sportif construit au coût de 15 millions de dollars dans le quartier Notre-Dame-de-Grâce a été inauguré vendredi. Après la revitalisation des logements sociaux de Benny Farm, l'arrondissement Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce se dote ainsi d'un centre sportif haut de gamme avec piscine. Seule ombre au tableau, le centre a été construit dans le parc Benny, ce qui ne faisait pas l'affaire d'une poignée de résidents opposés au projet. Pour les faire taire, l'administration municipale s'était engagée à ce que le nouveau centre sportif obtienne la plus haute certification environnementale internationale, la certification LEED. « Lorsque le gouvernement du Québec dit oui, lorsque l'arrondissement dit oui, lorsque la ville centre dit oui, on est capable de réaliser dans des cours délais des projets qui sont importants », a commenté le maire Gérald Tremblay. L'imposante toiture verte du centre, accessible aux citoyens, permet une intégration visuellement harmonieuse. Mais cela n'est pas suffisant pour Diane Chambers, qui s'opposait au changement de zonage du parc. « Le projet est beau, mais moi-même j'étais avec un comité de citoyen pour sauver le parc Benny, parce qu'on a voulu que le parc reste vert », a expliqué Mme Chambers. Le nouveau centre sportif ouvrira ses portes le 24 janvier.
  9. Je suis au Marché-Jean-Talon au moins une fois au 2 semaines (sinon une fois par semaine) et j'y vais en auto, en plus du stationnement, je peux facilement me trouver un endroit à une rue maximum... même le dimanche. Je ne crois pas que ça arrêt les gens.
  10. C'est comme de l'anti-Nouvelles ou comme les anglais dise "A Slow news day" En d'autre mot, quelqu'un à acheté un terrain, on ne sais pas ce qui va allez dessus, on ne sais pas quand et on sais pas pourquoi..... mais on sais que quelqu'un à acheté un terrain. Pour nous sur le forum, cette nouvelle peut-être intéressante, merci WestAust de l'avoir transcris. Mais je me demande pour un journaliste à publié cette "nouvelle" ?
  11. Enfin, quelqu'un qui comme moi voit les choses d'une façon un peu plus positive. Source: Cyberpresse Une belle gang de chialeux Hier, le gouvernement Charest a annoncé le coup d'envoi du Centre hospitalier de l'Université de Montréal. La première pelletée de terre aura lieu ce printemps. Ce projet colossal injectera 2,1 milliards dans l'économie de la métropole et la dotera d'équipements hospitaliers de pointe. Il devrait s'agir d'une très bonne nouvelle. On comprend que la saga du CHUM ait connu assez de revirements pour émousser l'enthousiasme. Mais on aurait quand même pu dire: enfin! Même pas. Personne n'a applaudi. Personne ne s'est réjoui. Chacun avait sa petite raison: dépassement des coûts, recours au mode PPP, choix du site de Saint-Luc, doutes sur la probabilité que ce projet voie éventuellement le jour. Toutes ces critiques ont un fondement. Mais il arrive un moment où nous avons un choix. Continuer de chialer ou aller de l'avant. L'accueil très froid réservé à l'annonce formelle du lancement s'explique largement par les erreurs politiques qui ont ponctué ce dossier depuis une décennie. Mais on ne peut pas toujours tout mettre sur le dos des politiciens. Les retards et les revirements sont aussi le fruit d'un immobilisme qui ne vient pas juste d'en haut. Le dossier du CHUM est, depuis le début, le lieu de convergence de tous les militantismes, croisade idéologique contre le site d'Outremont, bataille contre les PPP, opposition de nationalistes contre l'existence de deux hôpitaux universitaires. Un climat d'affrontement qui mène à ne voir que le côté sombre des choses. Les coûts ont augmenté? C'est vrai. Ça a commencé à 1,1 milliard. On est rendus à 2,1 milliards. Mais pas parce que le projet est hors contrôle. Plutôt parce qu'on assiste à un lent processus d'ajustement à la réalité. Christian Paire, l'actuel PDG du CHUM, disait il y a plusieurs mois que le coût de construction d'un hôpital universitaire de pointe équivaut au triple de ses frais d'exploitation annuels. Dans le cas du CHUM, ça donne 2,1 milliards. C'est ça que ça coûte. Il y a des normes, des ordres de grandeur. Le vrai problème, c'est que le gouvernement aurait dû le dire plus tôt, au lieu de sous-évaluer les coûts réels, soit pour rendre le projet plus acceptable, soit dans l'espoir qu'on pourrait avoir un gros hôpital moderne au rabais. Fallait-il faire le projet en partenariat public-privé? Je crois que non. Il y a des avantages à la formule. Mais le projet est trop complexe pour tester un mode de réalisation que nous maîtrisons encore mal. Cela étant, il faudrait arrêter de faire de l'urticaire sur cette question au Québec. Fondamentalement, le fait que ce soit ou non en PPP ne mérite pas l'attention qu'on y accorde. Le lieu? J'étais un partisan du site de la gare de triage à Outremont. J'estime que le gouvernement Charest a commis une erreur en déménageant le tout à Saint-Luc, notamment parce que cela a brisé un remarquable élan. Mais le site choisi comporte aussi ses avantages. Le fait que cet hôpital voie le jour est plus important que le lieu où il sera érigé. Il arrive un moment où il faut tirer une ligne. Ce qui est plus troublant, c'est que bien des gens ne croient plus que cet hôpital verra éventuellement le jour. Une foule de signes montrent pourtant que la machine est partie?: les travaux ont commencé au CUSM et au centre de recherche, les consortiums sont prêts, l'enveloppe est établie. Il devient déraisonnable de croire que cela ne se fera pas. Je veux bien que ce doute reflète la crise de confiance envers le politique. Mais cela tient aussi à une certaine complaisance collective dans le cynisme et le défaitisme.
  12. Il s'emble bien que l'Agence Métropolitaine de Transports est à la recherche d'un contracteur pour la construction de son nouveau siège social. Endroit: Inconnu Prix: Inconnu Contracteur: Inconnu http://www.amt.qc.ca/corpo/Appro/appel/appels_fiche.asp?fiche=AMT2010-P01 L’AMT fait un appel de présélection public. Le principal objectif de la demande de présélection est de choisir au moins quatre (4) firmes qualifiées ayant une vaste expérience en tant que gérant de construction ou en tant qu’entrepreneur général dans des projets similaires. Par la suite, il est prévu de lancer un appel d’offres auprès des firmes présélectionnées en début janvier 2011.
  13. Même chose pour moi, Je suis pour le changement, mais un design classique, c'est un design classique. Bleu avec la bande blanche!
  14. Un hotel de 15 étages, assez solide pour survivre les tremblements de terre en Chine. Construit en 6 jours <iframe title="YouTube video player" class="youtube-player" type="text/html" width="640" height="390" src="http://www.youtube.com/embed/Ps0DSihggio" frameborder="0"></iframe>
  15. Lesaffaires.com mentionne 20 millions La Société immobilière du Québec vient d’acquérir l’Îlot Voyageur pour 20 millions de dollars, a appris Les Affaires. Le gouvernement met ainsi fin aux liens de l’Université du Québec à Montréal avec le promoteur Busac. L’ancien propriétaire s’est cependant assuré de ne pas céder le chantier de l’Îlot à un futur concurrent. L’acte de vente stipule en effet que la Société immobilière du Québec (SIQ) ne pourra pas louer ses locaux à d’actuels occupants de la Place Dupuis, un immeuble appartenant également à Busac, à un coin de rue. Pour les dix prochaines années, le ministère de l’Immigration et des communautés culturelles, le Centre communautaire juridique de Montréal, Hydro-Québec, la Ville de Montréal et Vidéotron ne pourront pas déménager leurs employés de la Place Dupuis à l’Îlot Voyageur. La SIQ est chargée de détenir et d’exploiter des immeubles pour loger les employés de l’État. Il a été impossible de nous entretenir avec l’organisme, mais tout indique que des fonctionnaires logeront dans les futures résidences et espaces de bureaux, dont la construction est interrompue depuis 2007. L’Îlot comprend également la Gare centrale d’autobus de Montréal, sur le boulevard de Maisonneuve, entre les rues Berri et Saint-Hubert. Les garages destinés aux autocars sont d’ailleurs les seuls éléments terminés du projet initial. Fiasco financier Busac n’aura pas déboursé un cent dans cette aventure, qui a plongé l’Université (UQAM) dans un marasme financier dont elle n’est toujours pas sortie. Le promoteur a acquis l’Îlot grâce à un prêt garanti par l’UQAM. Busac devait ensuite construire pour l’Université le stationnement et les résidences étudiantes en se finançant à même le budget de l’institution. Quant aux autres parties du projet – gare d’autobus, pavillon universitaire et tour de bureaux -, ils devaient faire l’objet d’un bail emphytéotique de 30 ans en faveur de l’UQAM. En novembre 2008, le gouvernement du Québec a réservé 200 millions dans une fiducie pour permettre à l’institution du centre-ville de payer les intérêts sur un prêt controversé contracté pour financer la construction de l’immeuble. Québec a aussi racheté en entier des obligations garanties par l’UQAM d’une valeur totale de 269 millions, émises pour financer le projet. Le gouvernement voulait ainsi éviter de déstabiliser le marché financier. Québec a ensuite repris le dossier en main et tenté de se défaire des liens contractuels avec Busac… en vain. Le Mouvement Desjardins, le Fonds de solidarité FTQ, mais surtout SITQ, une filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec, se sont montrés intéressé à racheter le chantier, mais rien n’a débouché. Finalement, le gouvernement reste donc pris avec le projet sur les bras.
  16. Après l'IATA, OACI et la SITA, dite bonjour à l'ICA Source: RueFrontenac Montréal va s’enrichir d’un nouveau siège social. Airports Council International (ACI), une association mondiale d’aéroports, a décidé de déménager son siège social de Genève, en Suisse, dans la métropole québécoise. L’annonce a été faite lors de son assemblée générale qui se tenait aux Bermudes mardi. ACI regroupe 575 autorités aéroportuaires qui exploitent plus de 1 630 aéroports dans 179 pays. Cette décision devrait conduire à la création de 30 emplois d’ici 2014, avec des retombées économiques évaluées à 4,5M$, selon le ministre d’État de l’Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec, Denis Lebel. Un communiqué conjointement émis par ACI et Montréal International explique que ce déménagement se justifie par la présence ici du siège social de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). «Le conseil d’administration d’ACI estime que cette relocalisation nous permettra d’harmoniser encore plus nos activités avec celles de l’OACI, afin de mieux promouvoir les intérêts aéroportuaires à l’échelle mondiale. En réunissant les experts d’ACI à Montréal, nous augmentons notre capacité de représenter les intérêts aéroportuaires auprès de l’OACI, de ses États membres et de ses délégations permanentes», a déclaré monsieur Max Moore-Wilton, président du conseil d’ACI.
  17. Pas si mal quand tu pense que la moyenne de cette ligue tourne autours du 2000-2500 par match. La moyenne est élevée par Montréal et Vancouver.
  18. No Lights, No Traffic <object width="640" height="385"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/watch?v=ZS_wjo378h4?fs=1&hl=fr_FR"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/watch?v=ZS_wjo378h4?fs=1&hl=fr_FR" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="640" height="385"></embed></object>
  19. Un club école des Raptors à Montréal ? Non Merci! Un club de la D-League à Montréal? Et si le club-école des Raptors de Toronto venait s’établir à Montréal? Lancée par Pascal Jobin, figure connue dans le monde du basketball québécois, l’idée fait apparemment son chemin. Il est toutefois trop tôt pour parler d’un projet concret. ::encart:: «Je parle à des gens de l’organisation des Raptors et je sais qu’il y a certaines personnes bien placées qui trouvent que ce n’est pas une mauvaise idée», dit simplement Jobin. L’ancien maître d’œuvre du Matrix de Montréal, qui oeuvre maintenant au sein de la Fédération de basketball du Québec, croit donc que l’implantation dans la métropole d’une concession de la D-League (NBA Development League) serait de mise. Créée en 2001, cette ligue permet aux joueurs d’évoluer dans un championnat secondaire pour tenter de se faire valoir auprès des équipes de la NBA. La plupart des athlètes ont aux alentours de 25 ans. Pour le moment, les Raptors sont associés aux Bayhawks d’Erie, une affiliation que le club torontois partage avec les Cavaliers de Cleveland. «Avec un club-école à Montréal, on donnerait une image pan-canadienne aux Raptors, avance Jobin, qui se dit déjà prêt à s’impliquer advenant un tel projet. Ça fait longtemps que ça me trotte dans la tête...» Même s’il rêve à certains développements dans ce dossier, Jobin ne croit pas qu’il faut nécessairement tracer un parallèle entre une possible venue de la D-League à Montréal et le match pré-saison qui sera présenté au Centre Bell, ce vendredi, entre les Raptors et les Knicks de New York. «Je ne suis pas convaincu que les Raptors ont réalisé cette initiative en ce sens, note Jobin. Par contre, ça ne peut qu’être bon que les gens soient nombreux au Centre Bell et qu’ils montrent un engouement pendant le match de vendredi.» Jobin, lui, y sera.
  20. Je suis un fier propriétaire d'une paire de billets de saisons des Alouettes (et de l'Impact) et une des raison pourquoi j'aime aller voir le football, c'est le stade, que l'équipe perde ou gagne, c'est presque pas important, passer un dimanche après-midi à l'extérieur comme hier avec des chums, c'est pas le stade qui va pouvoir me donner ça. J'adore le Stade olympique, l'architecture est hors de l'ordinaire, peut-être si Montréal s'équipe d'une équipe de la NFL, le 50 000+ places serait nécessaire, mais pour la CFL, 25 000 c'est parfait. Je crois que les Alouettes attireraient pas plus de 30 000 personnes et 30k dans un stade de 66k, ça fait vide. Avant d'investir dans le stade, et je suis tout pour, faudrait peut-être savoir ce qu'on veut faire avec. Le Stade Percival-Molson est à guichets fermés depuis 103 matchs de suite.
  21. Voici quelques photos prises de la salle commune qui sera aménagé dans la chapelle du couvent. J'avais accès par l'entremise de l'Organisatrice de l'événement de lancement. Cliquez pour agrandir! La chapelle a même un petit orgue Casavant et Frères fonctionnel. Deux des plans d'unités avec les prix.... 1 406 750$ ou 1 172 600$
  22. Quand tu as le sens du design jusque dans la création d'un tunnel sous terrain, tu mérite une vidéo sur youtube <object width="480" height="385"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/watch?v=-5NA5PZuHYY?fs=1&hl=fr_FR"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/watch?v=-5NA5PZuHYY?fs=1&hl=fr_FR" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="480" height="385"></embed></object>
  23. Ils effectuent le lancement de la vente en fin d'après midi demain, Le groupe Cholette fait un cocktail sur le toit.
  24. Rénovation au Ritz Source: Magazine HRI Une visite de chantier dirigée par Claude Provencher, architecte responsable du projet de rénovation de l’hôtel Ritz-Carlton Montréal, a permis de constater les progrès et toute l’ampleur de la transformation de l’immeuble qui célèbrera ses 100 ans en 2012. « Dans le respect du plan architectural d’origine, nous entamons la percée des murs ouest et sud qui permettra aux résidences de profiter d’un éclairage et d’une vue unique sur Montréal » explique M. Provencher. En effet, une fois les travaux complétés, l’établissement qui comptait 229 chambres proposera 130 chambres avec des salles de bain plus spacieuses ainsi que 46 résidences privées de luxe qui bénéficieront d’une grande luminosité et de vues spectaculaires sur le fleuve, la montagne et l’ouest de la ville. D’ailleurs, les ventes de ces nouvelles résidences vont bon train. « Les commentaires que nous recevons sont très positifs quant à l’aménagement que nous proposons, affirme le président et directeur général du Ritz-Carlton Montréal, Andrew Torriani. Nous construirons des nouveaux espaces selon des normes les plus élevées et les exigences actuelles de l’hôtellerie mondiale de luxe ». Une fois érigée, la structure en béton et acier qui abritera les nouveaux appartements sera habillée en verre. Malgré ces travaux de réaménagement, la façade de l’édifice sera entièrement conservée, tout comme le Foyer, la Cour des Palmiers et le Salon Ovale. De son côté, le Jardin du Ritz subira une cure de rajeunissement pour devenir une véritable oasis. Les coûts de cette importante rénovation devraient s’élever à 150 millions de dollars. Si tout se passe comme prévu, l’hôtel devrait rouvrir ses portes à l’automne 2011. Unité Modèle
  25. Très bon vidéo Malek, j'allais le mettre ici, mais du lien youtube mais tu m'as battu. j'adore la façon dont l'ancien building tout simplement fond du skyline.
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