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  1. La bulle immobilière est-elle sur le point d'éclater? 30 septembre 2008 - 17h24 Collaboration spéciale Maurice Marchon De janvier 2002 à août 2008, le prix moyen des maisons existantes s’est accru de 71 % au Canada, de 106 % à Calgary, de 102 % à Montréal, de 100 % à Vancouver et de 36 % à Toronto. Après six ans d’augmentation du prix des maisons, les gens continuent d’acheter en croyant à tort que la tendance à la hausse se poursuivra ou du moins se stabilisera. Une façon de déterminer s’il y a une surévaluation ou encore une sous-évaluation du prix des maisons existantes consiste à vérifier la relation à long terme entre le prix moyen de revente des maisons existantes et le revenu personnel disponible par habitant. À très long terme, l’augmentation du prix des maisons ne peut pas s’éloigner systématiquement de celui du revenu personnel disponible par habitant. Cette relation est de même nature que la relation entre les dépenses de consommation et le revenu personnel disponible. Toute déviation exagérée des dépenses de consommation financées par l’emprunt devra tôt ou tard s’ajuster à cette contrainte de long terme. On ne peut pas dépenser systématiquement plus que l’on gagne! C’est pourtant exactement ce qui s’est passé au Canada au cours des dernières années: le prix moyen des maisons existantes s’est accru beaucoup plus rapidement que le revenu personnel disponible par habitant. De plus le gouvernement, via la SCHL, a mis de l’huile sur le feu en accordant des programmes sans mise de fonds et en permettant aux consommateurs d’amortir leurs prêts hypothécaires sur 40 ans. Ces nouveaux programmes ont stimulé le marché immobilier permettant à des gens qui n’avaient pas nécessairement les moyens de devenir propriétaire. Du premier trimestre de 2002 au deuxième trimestre de 2008, le revenu personnel disponible par habitant s’est accru de 29,5 % comparativement à 73,3 % pour le prix moyen des maisons existantes (graphique 1). On notera également, que cette déviation a été moins marquée aux États-Unis puisque au cours des six ans qui ont précédé le sommet du prix des maisons de juin 2000 à juin 2006, le revenu personnel disponible a bondi de 26,5 % comparativement à 49,3 % pour le prix moyen des maisons existantes. Cela veut dire que les ménages canadiens ont emprunté encore plus massivement pour investir dans l’immobilier. En effet, au deuxième trimestre de 2008, l’endettement (passif) des ménages canadiens en pourcentage du revenu personnel disponible a atteint un sommet de 137,6 % et dépasse maintenant celui des ménages américains qui est tombé à 133,9 % après avoir atteint un record de 139,1 % au 4e trimestre de 2007. Certains propriétaires pourraient avoir une surprise lorsque viendra le temps d’effectuer un refinancement pour consolider leurs dettes alors que le prix des résidences serait à la baisse. On se retrouvera dans la même situation que les américains avec un prêt garanti par une hypothèque immobilière supérieure à la valeur de cette résidence fournie en garantie. Tout semble correct aussi longtemps que les prix des maisons montent, tout comme ce fut le cas aux États-Unis, en Espagne, en Irlande et en Grande-Bretagne. Cependant, lorsque les prix baissent, ceux qui ont acheté au sommet du marché et ceux qui ont refinancé leur hypothèque pour accroître leurs dépenses de consommation se trouveront en difficultés financières. Par ailleurs, le nombre de maisons offertes sur le marché augmente au moment même ou le comportement pro-cyclique des banques les incite à resserrer leurs critères de financement. C’est ce qui s’est passé aux États-Unis comme le montre l’évolution du prix moyen de revente des maisons existantes aux États-Unis comparativement au Canada. Le graphique 2 présente l’évolution des indices de prix moyen des maisons existantes normalisé à 1,0 en janvier 1980. Cette normalisation à 1,0 n’entraîne pas de distorsion puisqu’en janvier 1980 le prix moyen des maisons était très semblable dans les deux pays (62 200 $CAN au Canada comparativement à 68 200 $US aux États-Unis). Le prix des maisons existantes (graphique 3) a commencé à diminuer dans la région métropolitaine de Calgary (-8,2 % en août 2008 par rapport à l’année précédente), à Vancouver (-5,2 %) et dans l’ensemble du Canada (-4,1 %), alors que les prix continuent d’augmenter dans la région métropolitaine de Montréal (+6,8 %) Lorsque les prix baissent, le potentiel de déclin est aussi accentué par le fait qu’au cours des dernières années les promoteurs immobiliers ont augmenté l’offre de maisons neuves à des niveaux supérieurs aux besoins à long terme. Les graphiques 4 et 5 présentent l’évolution des mises en chantier au Canada et aux États-Unis par rapport à leur tendance à long terme. On voit très bien qu’au cours des dernières années les nouvelles constructions ont été bien supérieures aux besoins à long terme. Lorsque les prix baissent, les mises en chantier et la construction résidentielle s’effondrent contribuant ainsi au ralentissement de l’activité économique et aux pertes d’emplois. Le processus est déjà bien avancé aux États-Unis alors qu’il est à peine commencé au Canada. Avec le temps, la situation se rétablit puisque chaque trimestre de mises en chantier en-dessous de la demande à long terme contribuent à éponger l’excédent de maisons neuves et existantes sur le marché. Cela prépare aussi la voie à une reprise éventuelle de la construction résidentielle et du prix des maisons. C’est un processus douloureux pour ceux qui n’ont pas été assez prudents, mais il n’est jamais trop tard pour prendre les mesures nécessaires pour assainir sa situation financière. On peut éviter le pire en réduisant ses dépenses de consommation et en remboursant plus rapidement ses dettes, notamment sa marge de crédit personnel et ses cartes de crédit. Graphique http://pdf.cyberpresse.ca/lapresse/bulle_speculative_oct_2008.pdf
  2. La question touche beaucoup de propriétaires de maisons: est-ce que la bulle spéculative de l'immobilier résidentiel au Canada va éclater sous peu ? Pour en lire plus...
  3. Il s’agit d’un résultat en-deçà des attentes alors que les économistes anticipaient des données s’arrêtant à 4,94 millions. Pour en lire plus...
  4. Les deux plus grandes maisons de courtage indépendantes qui restent aux États-Unis, sont susceptibles d'ajouter aux transactions de 81 G$ US en services financiers. Pour en lire plus...
  5. Richard LeFrak, un milliardaire, promoteur immobilier de New York, propose que Washington délivre des visas aux investisseurs étrangers qui achètent des maisons inoccupées. Pour en lire plus...
  6. Plusieurs Canadiens rêvant de posséder leur propre maison font face à un important obstacle financier, plus particulièrement depuis que le prix des maisons continue d'augmenter. Pour en lire plus...
  7. La revente a plus progressé que prévu en juillet mais les stocks ont atteint un niveau record, ce qui laisse prévoir une résorption lente de la crise immobilière. Pour en lire plus...
  8. Rien ne va plus au pays de l'oncle Sam 20 août 2008 - 07h03 La Presse Rudy Le Cours Le marché de l'habitation américain n'a pas encore parcouru tous les filets de la vrille qui l'enfonce depuis deux ans et demi. Les mises en chantier ont chuté le mois dernier de 29,6%, en rythme annuel, pour atteindre 965 000 unités, leur plus faible niveau depuis mars 1991. Depuis le sommet de janvier 2006, elles ont plongé de 57,5%, selon les données du département du Commerce. Elles pourraient diminuer encore au cours des prochains mois, car le nombre de permis de bâtir, une mesure de l'activité à venir, est passé à 937 000 unités seulement en juillet. Mince consolation, il faudrait encore beaucoup de détérioration pour atteindre le creux historique des 798 00 unités atteint en janvier 1991 quand la récession faisait rage. Toutefois, les prophètes de malheur disposent d'un bel arsenal pour prédire qu'on y arrivera. À 641 000 unités, le nombre d'unifamiliales mises en chantier le mois dernier est déjà le plus faible depuis janvier 1991. Celui du logement multiple va fléchir au cours des prochains mois à cause d'un devancement des mises en chantier en mai et juin dans la région de New York, les promoteurs ont lancé beaucoup de chantiers avant le 1er juillet, date d'entrée en vigueur de normes de construction plus sévères. «Le marché reste éprouvé par des conditions de crédit hypothécaire très difficiles même pour les ménages les plus solvables, rappelle Francis Généreux, économiste senior chez Desjardins. Plusieurs taux d'intérêt hypothécaires ont même continué d'augmenter au cours des dernières semaines.» Programme de subventions Voilà pourquoi Washington a lancé un programme de subventions conçu pour les premiers acheteurs. Il équivaut à l'annulation des intérêts sur le prêt hypothécaire pendant plusieurs années. Les taux hypothécaires sont plus élevés qu'il y a un an, malgré la forte détente monétaire orchestrée par la Réserve fédérale. Elle a fait passer de 5,25% à 2,0% son taux directeur depuis septembre, mais les déboires des institutions prêteuses les amènent à resserrer leurs conditions de crédit de manière dramatique. Les deux grands assureurs hypothécaires Freddy Mac et Fanny Mae qui luttent pour leur survie dans la tourmente présente ont fait passer au début du mois d'un quart à un demi-point de pourcentage leur prime, rendant du coup les prêts plus chers. Résultat, moins d'acheteurs potentiels et plus de prêts défaillants. «Il y a bien peu de signes que le marché de l'habitation a trouvé son creux, déplore Charmaine Buskas, économiste principale chez TD Valeurs mobilières. En ce qui concerne les mises en chantier, il semble néanmoins que le rythme du déclin ralentit.» En juillet, 272 000 personnes ont reçu un avis de saisie pour cause de prêts défaillants. Il s'agit d'un bond de 55% en un an. Les maisons reprises par le prêteur engorgent le marché de la revente, font concurrence aux promoteurs de maisons neuves et aux revendeurs classiques. Selon la firme Realtytrac, 17% des maisons à vendre le mois dernier étaient le résultat de saisies. Ce gonflement de l'offre exerce à son tour des pressions à la baisse sur les prix, gages de nouvelles saisies. Un creux de 10 ans Le niveau des transactions dans la revente a atteint un creux de 10 ans au deuxième trimestre. Pire, le tiers des transactions était le résultat de courtes enchères organisées par les repreneurs, selon la National Association of Realtors, citée par Bloomberg. Son indice de confiance est à un creux historique depuis deux mois. Le marché de la revente subit aussi les affres du crédit. Bon nombre d'emprunteurs qui s'étaient qualifiés pour un prêt hypothécaire sont à leur tour forcés de rendre les clés de leur maison, car la valeur de leur dette excède désormais celle de leur propriété. Dans ces conditions, les grands promoteurs immobiliers opèrent à perte, même en limitant au minimum les chantiers qu'ils ont de toute façon plus de difficultés à financer. Les cinq plus importants d'entre eux ont rapporté des pertes flirtant avec le milliard jusqu'ici. Le nombre de maisons neuves mises en vente en juin a atteint un creux de 40 ans. «Le déclin de l'investissement résidentiel rogne la croissance du produit intérieur brut depuis 10 trimestres, rappelle Michael Gregory. Il s'aligne pour un onzième.» -11 % Baisse des mises en chantier en juillet aux États-Unis le niveau le plus faible depuis mars 1991. -30% Chute des mises en chantier dans le Nord- Est américain, ce qui se compare à des replis de 8,2% dans le Sud et dans l'Ouest. 1,1 milliard US Total des pertes enregistrées par les cinq principaux constructeurs de maisons aux États-Unis depuis un an. +9,8% Hausse annualisée des prix à la production aux États-Unis le niveau le plus élevé depuis juin 1981.
  9. Recul de la construction résidentielle au Québec 11 août 2008 - 09h39 Presse Canadienne Les mises en chantier de maisons individuelles ont reculé par rapport à juillet 2007; elles ont régressé de 12%. La construction résidentielle a reculé au Québec en juillet, selon les dernières données de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Au total, 3122 mises en chantier ont été dénombrées dans les centres urbains de 10 000 habitants et plus, soit 3% de moins qu'en juillet 2007 alors que 3232 unités avaient été commencées. Les résultats de juillet dernier sont à l'image des statistiques observées depuis le début de l'année, c'est-à-dire qu'ils dénotent une croissance des mises en chantier de logements collectifs et une baisse de celles de maisons individuelles, a mentionné la SCHL, en publiant ces données. Ainsi, 1756 logements collectifs ont été entamés dans les centres de 10 000 habitants et plus, une augmentation de 5% par rapport à juillet 2007. De leur côté, les mises en chantier de maisons individuelles ont reculé par rapport à juillet 2007; elles ont régressé de 12%. C'est le cinquième mois consécutif qu'un repli est observé dans ce segment de marché. Au total, 1366 maisons individuelles ont été commencées en juillet 2008, comparativement à 1556 un an plus tôt.
  10. Selon les données de juillet de la SCHL, les mises en chantier ont reculé de 3% en juillet, le secteur des maisons individuelles connaissant un repli marqué. Pour en lire plus...
  11. Le prix des maisons de la région métropolitaine est surévalué de plus de 10%, selon une étude de Merrill Lynch Canada, qui prévoit aussi une stagnation des prix au Canada. Pour en lire plus...
  12. Hovnanian Enterprises Inc., plus important constructeur d'habitations du New Jersey, a réduit le nombre de ses maisons invendues de plus de 50% au cours des deux dernières années après avoir sabré ses prix; et pourtant, il lui en restait encore 1500 à vendre en avril dernier. Pour en lire plus...
  13. Sans qu'on s'y attende, davantage d'Américains ont signé des contrats pour acheter une maison existante en juin dernier. Pour en lire plus...
  14. Toutefois, le recul enregistré est moins important que prévu. La baisse a été de 0,6% alors que les ventes ont atteint 530 000 logements, dépassant légèrement les attentes. Pour en lire plus...
  15. Un pan du rêve américain s'écroule AFP Édition du jeudi 24 juillet 2008 Washington -- L'accession à la propriété était une étape majeure du rêve américain, mais aujourd'hui ce socle de la mobilité sociale s'effondre, et avec lui s'enclenche un cercle vicieux dont les professionnels ne voient toujours pas la fin, au bout d'un an de crise. Et cette spirale infernale s'étend à l'ensemble de l'économie. Comme l'a souligné début juillet le président de la Réserve fédérale Ben Bernanke, le déclin du marché immobilier est «une cause majeure du ralentissement plus large de l'activité économique». De nombreux foyers modestes avaient vu dans les facilités de crédit accordées par les banques l'occasion de s'acheter un logement: en cinq ans, la proportion de ménages ayant apporté moins de 20 % du capital nécessaire à l'achat d'une maison ou d'un appartement est passé de 45 % à 58 %. Mais les banques ont fait payer cette facilité de crédit avec des taux d'intérêt plus élevés que la moyenne. Tant que le marché immobilier était haussier, les emprunteurs pouvaient toujours vendre ou renégocier leur crédit, s'ils n'étaient plus en mesure d'honorer les traites. Mais avec un marché immobilier en baisse, «cette porte de sortie se referme», comme l'explique William Emmons, un économiste de la Banque fédérale de réserve de Saint Louis dans une étude. «Tout revers financier peut rapidement se traduire en défaut de paiement.» Par pâtés de maisons À terme, les banques peuvent saisir les logements: 2,2 millions de procédures ont été lancées en 2007, selon le cabinet RealtyTrac. Les ménages surendettés sont expulsés, la maison abandonnée se dégrade, cela pèse sur le standing du quartier, et la banque est prête à brader le logement non remboursé, ce qui pèse sur le marché d'ensemble. «S'il y a beaucoup de logements vacants, à un moment ça bascule», relève Leif Haase, un responsable du centre de réflexions New American Foundation en Californie. Dans la capitale de l'État, Sacramento, touchée de plein fouet, «on voit certains pâtés de maisons où trois ou quatre maisons ont été saisies et restent vides. [...] Sans parler des lotissements construits et non habités, parce que les gens ne veulent pas vivre dans des villes fantômes». Pour finir, «l'effet boule de neige» peut conduire au développement de la criminalité, avec la promesse d'une dégradation durable des quartiers. La question qui se pose maintenant, c'est de savoir si on a touché le fond.
  16. Le Québec agité par une nouvelle ruée vers l'or Ludovic Hirtzmann 21/07/2008 | Mise à jour : 07:49 | . Alors que l'once d'or vaut près de 1 000 dollars, l'Abitibi-Témiscamingue est en pleine effervescence. Les habitants de la ville de Malartic, située sur un gisement, déménagent. Montréal Le 9 juillet dernier, à cinq heures du matin, des camions de la compagnie minière canadienne Osisko ont déménagé les deux premières maisons d'un quartier résidentiel de Malartic, une bourgade de 4 000 habitants, située à 600 kilomètres au nord de Montréal. Osisko a découvert l'été dernier un gigantesque gisement de 8,4 millions d'onces d'or, précisément sous un quartier de Malartic. Les Québécois ont décidé de déplacer leurs habitations pour permettre à Osisko d'exploiter une mine à ciel ouvert dont la durée de vie est estimée à vingt ans. Près de 200 maisons seront déplacées au cours des dix-huit prochains mois. L'entreprise minière montréalaise devra de plus reconstruire une école, une maison de retraite et une garderie. Au Québec, les maisons sont en bois et une opération de déplacement d'un quartier entier est relativement facile. « C'est l'aboutissement d'une longue période de consultation avec les résidents et les élus », a déclaré le président et chef de la direction d'Osisko, Sean Rosen. Hausse de la valeur des maisons Le déménagement du quartier de Malartic coûtera 82 millions de dollars à Osisko. La société versera une petite prime de 5 000 dollars aux habitants qui ont accepté de déménager. Certains propriétaires ont préféré vendre leur demeure à Osisko. Si, selon la direction de la société minière, près de 95 % des expropriés ont approuvé l'entreprise, le projet ne fait pas l'unanimité. Une habitante, Rachel Rivard, a déploré que le processus d'expropriation ait déjà commencé alors que, s'est-elle plainte au quotidien montréalais La Presse, « les études d'impact ne sont pas encore terminées ». Ce n'est qu'à l'automne, après une série d'audiences publiques et un avis du ministère de l'Environnement, qu'Osisko saura si elle a le feu vert pour l'exploitation minière. Le maire de Malartic, Fernand Carpentier, confie au Figaro que « seuls huit citoyens n'ont pas accepté pour l'instant de déménager. Pourtant, les conditions sont avantageuses. Osisko paie 25 % de plus que le prix du marché à ceux qui veulent vendre. Pour les autres, les maisons sont placées sur des terrains plus grands ». Malartic est une ville minière, née d'un gisement découvert en 1935 et exploité jusqu'en 1985. *En Abitibi-Témiscamingue, une ré*gion* grande comme deux fois la Belgique, peuplée d'environ 150 000 personnes, la hausse des cours du métal jaune a mené de nombreuses compagnies minières à multiplier les prospections depuis deux ans. Fernand Carpentier ajoute que « 400 emplois seront créés, avec une priorité donnée aux gens de Malartic. C'est une bonne affaire pour notre ville. Depuis l'annonce du projet il y a deux ans, la valeur des maisons a augmenté de 35 % ». Dans les années trente, l'Abitibi-Témiscamingue avait déjà connu une fièvre de l'or. L'une des principales villes de la région s'appelle d'ailleurs Val d'Or. Le vice-président des finances d'Osisko, Bryan Coates, optimiste, conclut : « On espère faire couler l'or vers la fin de 2010. » http://www.lefigaro.fr/matieres-premieres/2008/07/21/04012-20080721ARTFIG00235-le-quebec-agite-par-une-nouvelle-ruee-vers-l-or-.php
  17. Le prix des maisons a doublé depuis 2002 à Québec 23 juillet 2008 - 06h00 Le Soleil Pierre Couture Le marché immobilier de la capitale ne dérougit pas. Depuis 2002, le prix des maisons unifamiliales a bondi de 100%. Selon les données compilées par Le Soleil, un acheteur devait étaler en moyenne 205 000 $ à Québec au dernier trimestre pour acheter une maison unifamiliale, soit le double du prix moyen payé en 2002 (102 000 $). «Depuis quelques années, on constate que le marché de la revente de maisons ne semble pas vouloir s'essouffler», indique l'analyste Frédérique Brie à la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). L'an dernier, le prix des maisons unifamiliales a progressé de 10,7 % (192 500 $) alors qu'en 2006, les acheteurs ont déboursé en moyenne 6,1 % de plus (150 100 $) pour une résidence détachée. Selon les données recueillies par la SCHL, la flambée des prix serait d'ailleurs loin d'être terminée. Depuis le début de 2008, la hausse est de l'ordre de 11,5 % dans la région métropolitaine. En juin, le prix moyen payé pour une maison unifamiliale a même atteint 214 000 $ à Québec, soit 12 % de plus qu'en juin 2007. Selon M. Brie, la bonne tenue de l'économie de la région n'est pas étrangère à cette impulsion du marché immobilier. «Il s'est créé 10 000 emplois l'an dernier, et la demande demeure forte pour ce type de produits», note-t-il. L'analyste de la SCHL fait remarquer que les bas taux d'intérêt observés ces dernières années et l'apparition de nouveaux produits hypothécaires permettant d'étaler les paiements sur une plus longue période (30 et 35 ans) ont aussi collaboré à cette poussée des prix. La SCHL constate également que le nombre de maisons disponibles pour les acheteurs est en légère baisse dans la région de Québec. En juin, 3199 inscriptions ont été répertoriées (2,5 %) contre 3282 à pareille date l'an dernier. Le prix des condos stagne Si le prix des maisons unifamiliales est en forte hausse, on ne peut en dire autant de celui des condominiums. En juin, le prix moyen pour un condo n'a progressé que de 0,2 % (163 393 $) par rapport à la même période l'an dernier. Pour tous les types de maisons confondus (unifamiliale, condo et maison en rangée), le prix moyen s'est élevé à 188 000 $ après deux trimestres à Québec, en hausse de 5 % depuis le début de l'année. D'ici la fin de l'année, la SCHL croit que le marché immobilier demeurera vigoureux dans la région. Si tout se déroule comme prévu, quelque 7000 résidences devraient changer de mains
  18. La montée continue, mais le rythme d'ascension ralentit. Le prix moyen des maisons de la région de Montréal continuera de croître dans la seconde moitié de l'année, mais avec plus de modération. Pour en lire plus...
  19. Pendant ce temps, les ventes reculaient, a révélé mardi l'Association canadienne de l'immeuble. Pour en lire plus...
  20. Le marché des maisons neuves tombe dans le négatif 12 juin 2008 - 06h50 La Presse Laurier Cloutier Malgré un marché encore en ébullition, dans l'Ouest canadien et les Maritimes, le prix des maisons neuves a commencé à plafonner ou même à baisser au Canada, dès avril dernier. Selon l'étude d'hier de Statistique Canada, le prix moyen des propriétés neuves a stagné (0%) au pays, de mars à avril 2008, et a même baissé de 0,1% si l'on exclut la valeur du terrain. On note des baisses dans plusieurs villes, de mars à avril dernier, dont 0,1% à Montréal, 0,3% à Victoria, 0,6% à Edmonton et 0,8% à Calgary. Comparativement à avril 2007, par contre, le prix des logements neufs a encore monté de 5,2% au Canada, grâce à Saskatoon (+43,7%), Regina (+34%), Winnipeg (+14,8%), St. John's (+16,3%) et Halifax (+11,3%). Par contre, le prix moyen à Montréal (+4,3%) se retrouve en bas de la moyenne canadienne, tout comme celui de Québec (+5%) et de Gatineau (+3,2%). «Le marché redescend du sommet. C'est assez significatif, déclare Neil Killips, économiste de StatCan. Le sommet a été atteint en 2006, avec une hausse de prix de 12,1%. Après tous les bonds de prix des dernières années, la tendance négative se poursuit, sans surprise.» Selon Statistique Canada et le Groupe Investors, le prix des maisons a bondi de 49,3% au pays entre 2001 et 2006. L'économiste Neil Killips ne fait pas de prévisions. Depuis avril dernier toutefois, les pressions sur les prix se sont sans doute accentuées «à cause de facteurs comme le prix de l'essence». En outre, après avoir attiré de nombreux travailleurs du pays, «l'Ouest canadien voit sa demande d'habitations comblée, ajoute Neil Killips. Après Calgary, plusieurs Terre-Neuviens retournent chez eux pour travailler». Revente en baisse Sur le marché de la revente, le nombre de transactions a baissé de 9% en mai dernier à la Chambre immobilière du Grand Montréal et même de 15% dans le cas des maisons unifamiliales, par rapport à l'an dernier. Seuls les condos ont tiré leur épingle du jeu, avec une hausse de 5% des transactions, puisque celles des plex ont baissé de 10%. La couronne Nord y goûte, avec une baisse de 16% des transactions. Par contre, le prix des maisons est encore en hausse de 5%. «Il y a moins d'acheteurs, mais les vendeurs ne veulent pas sacrifier leur prix», explique Michel Beauséjour, chef de la direction de la chambre. La création d'emplois va bien, mais la Banque du Canada n'a pas abaissé son taux d'intérêt directeur, hier, et la confiance des consommateurs a chuté dramatiquement depuis mars dernier, de 50% à 38%, ajoute M. Beauséjour. «C'est une année d'incertitude. Le coût de l'énergie gruge le budget des ménages.» Le chef de la direction prévoit «une année en dents de scie, au fil des mois, selon les prix à la pompe». «Si les prix de revente chutaient, là ce serait inquiétant." Michel Beauséjour prévoit plutôt "une hausse de 4% des prix». Dans le cas de l'habitation neuve, «le marché est en train de changer. Le neuf est toujours touché avant la revente. Les constructeurs n'ont pas encore subi l'impact principal des bonds du coût de l'énergie, dit-il. À cause de l'essence, des familles vont peut-être tenter de se rapprocher de leur travail». Le nombre d'agents immobiliers atteint près de 10 000, «c'est toujours en croissance, mais au ralenti, reconnaît Michel Beauséjour. Si la stabilité se confirme en 2008, des agents laisseront tomber leur permis que dans un an et demi ou deux ans». «Il n'y a toujours rien d'alarmant du côté des saisies de maisons, contrairement aux États-Unis où c'est épouvantable, dit-il. L'économie du Québec va bien, mais les gens dépensent moins, parce qu'ils sont incertains de l'avenir.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080612/LAINFORMER/806121100/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  21. La construction résidentielle a crû de 9% au Québec en mai 9 juin 2008 - 10h47 Presse Canadienne La construction résidentielle a progressé au Québec le mois dernier. Selon les données publiées lundi par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), 4459 habitations ont été mises en chantier en mai dans les centres urbains (10 000 habitants et plus), comparativement à 4081 à la même période un an auparavant. L'augmentation est de 9%. Le nombre de logements collectifs (maisons jumelées ou en rangée et appartements) a augmenté de 20% en mai par rapport au même mois l'an dernier (2685 en 2008, contre 2232 en 2007). Le relevé mensuel indique également que les mises en chantier de maisons individuelles ont diminué de 4% au Québec, ce qui constitue un recul pour un troisième mois de suite. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080609/LAINFORMER/80609092/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  22. Les prix des maisons connaissent leur première baisse en sept ans au premier trimestre, mais la Banque Scotia assure que la correction est mineure et saine. Pour en lire plus...
  23. La revente de maisons ralentit, mais que les propriétaires se rassurent: le marché est encore largement favorable aux vendeurs. Partout, les prix continuent de monter, en particulier dans l'Ouest-de-l'Île de Montréal pour les maisons unifamiliales et dans les quartiers centraux pour les «plex». C'est ce qui ressort de l'analyse du marché de la revente de la région de Montréal, publié mardi par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Pour en lire plus...
  24. Prix des maisons: le marché reste vigoureux à Montréal Photo archives La Presse Le mardi 15 janvier 2008 Stéphane Paquet La Presse Si votre beau-frère est agent immobilier, vous avez peut-être remarqué qu'il était tout sourire dans le temps des Fêtes. Et si tout se passe comme prévu, il pourrait bien avoir le même minois à Pâques. Après 2005 et 2006, voici que 2007 enregistre une autre année record dans le secteur immobilier de la très grande région montréalaise. De Lanaudière à la Montérégie en passant par Laval, les Laurentides et Montréal, jamais autant de maisons et de condos n'ont été vendus. Pour être plus précis, 55 776 résidences ont changé de mains à l'aide d'un agent, une croissance de 11% par rapport à l'année précédente. L'avantage est décidément resté aux mains des vendeurs, qui ont vu le prix de leur foyer augmenter entre 5% et 8%. Deux exceptionssignificatives: les condos des Laurentides qui s'échangent au même prix qu'en 2006 et les maisons unifamiliales de Lanaudière dont les prix ont progressé de 10%. Dans ce dernier cas, on note toutefois qu'elles s'échangent encore à la moitié du prix d'une maison dans l'île de Montréal. Le marché montréalais est donc bien loin de la crise immobilière américaine. «C'est toujours mieux d'avoir un rendement raisonnable qui dure longtemps plutôt que d'avoir un rendement exceptionnel suivi d'une perte exceptionnelle», souligne Michel Beauséjour, chef de la direction de la Chambre immobilière du Grand Montréal. La question de décembre Est-ce la météo difficile de décembre? Toujours est-il qu'il y a eu une légère baisse de l'activité en décembre -la première en 16 mois. Moins 3% dans l'ensemble du marché. Michel Jobin, qui est agent depuis 22 ans, a senti un léger ralentissement à l'automne. «J'ai de belles maisons actuellement, elles sont impeccables. Mais je n'ai pas eu de demandes. Ça veut dire quoi? Qu'elles sont trop chères», confie celui qui travaille dans Montréal-Nord et une partie d'Ahuntsic. Tableau: le prix des maisons dans la grande région de Montréal et ses environs Source: Chambre immobilière du Grand Montréal Même un agent comme André Bouchard, de Sutton Accès, qui trouve le marché hot, constate que certains condos se vendent moins bien. «Si vous avez un condo de 500 à 750 pieds carrés, ça ne se vend pas.» Ovina Horth, de La Capitale, indique aussi que les multiplex sont plus difficiles à vendre qu'avant, que le marché est généralement plus lent. Il montre du doigt les légères hausses de taux d'intérêt de l'année dernière. «Ce n'est pas tellement haut, mais ça affecte la capacité de payer des gens», dit l'agent qui a presque 30 ans d'expérience derrière la cravate. À la Chambre immobilière, Michel Beausoleil n'est pas inquiet face à ces données de décembre. «On ne peut pas dire que c'est une tendance», dit-il, même si le temps de vente a légèrement augmenté, passant de 73 à 76 jours. M. Beausoleil regarde tout de même les données du côté américain. «S'il y avait une récession majeure, c'est sûr qu'il y aurait un impact au Canada. Si c'est une petite récession, on aura une année semblable à 2007.» Constat semblable du côté de la Société canadienne d'hypothèques et de logement, où on fait toutefois une nuance dans cette flopée de chiffres records. «Avec des maisons plus chères, le marché est plus à l'avantage de l'acheteur», précise l'économiste Sandra Girard. Pour 2008, l'agence fédérale prévoit une hausse de prix de 5 ou 6% dans la région. Votre beau-frère pourrait continuer d'afficher son plus beau sourire. Cyberpresse http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/articles/6764-Prix-des-maisons-le-marche-reste-vigoureux-a-Montreal.html
  25. Le Journal de Montréal 07/11/2007 Si vous rêvez d’une maison manoir, sachez que ces grosses demeures de luxe ont toujours le vent dans les voiles dans la région métropolitaine de Montréal. Depuis le début de l’année, 917 maisons de plus de 500 000 $ se sont vendues. C’est 22 % de plus qu’à la même période l’an passé. Et si la tendance se maintient, 2007 pourrait marquer un record puisqu’en 2006, 979 maisons manoirs avaient changé de mains. À titre de comparaison, 379 transactions ont été enregistrées dans ce créneau en 2002. «Beaucoup plus de personnes sont en mesure de s’offrir ce type de maison», explique Astrid Joseph, analyste de marché à la Société canadienne d’hypothèques et de logement. En fait, il y a de plus en plus de familles qui gagnent un revenu de 100 000 $ et plus. Elles étaient 13,9 % en 2005 contre 9,6 % en 1980. Pouvoir de négociation La plupart de ces grosses demeures (70 %) se vendent sur l’île de Montréal dans des quartiers comme Outremont ou Westmount. C’est toutefois en banlieue que vous êtes en meilleure position pour négocier. Sur la Rive-Nord, par exemple, il y a 1 acheteur pour 38 vendeurs, alors que sur l’île de Montréal le marché est équilibré, c’est-à-dire qu’il y a 1 acheteur pour 10 vendeurs. Soulignons que le marché du neuf montre un peu plus de retenue que celui de la revente puisque 410 maisons manoirs ont vu le jour depuis le début de l’année. C’est une hausse de 5 %. Le marché de la maison manoir reste marginal. Dans le créneau de la maison existante, les maisons de plus de 500 000 $ représentent en 2007 seulement 4 % des maisons unifamiliales vendues par l’entremise du système inter-agences SIA
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