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LED

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Tout ce qui a été posté par LED

  1. Ça aiderait les galeries Longueuil qui se font bouffer par le dix-30, d'avoir un peu plus de monde dans le coins. Le Pharmaprix a finalement été construit en face du vidéotron, à côté de l'épicerie si je ne me trompe pas.
  2. Je trouve ça intéressant, espérons que les déboirs de la ville avec les controverses soient rapidement oubliés...
  3. J'ai justement passé là en fin de semain et j'ai vu que c'était fermé je parler du forum à ma copine et je lui disais justement à quel point ça pourrait être un bon spot pour une grosse tour. Mai en même temps il n'y a aucune tour de ce côté là de la rue donc un changement de zonage résidentiel à résidentiel-dense serait necéssaire...Il y a des maisons juste à côté, donc je crois que ça devras être de densité moyenne...
  4. La récession mondiale, un plus pour Montréal Publié le 27 juillet 2009 à 06h35 Mis à jour à 09h18 Hugo Fontaine La Presse (Montréal) À quelque chose malheur est bon. La récession qui afflige la planète vient renforcer l'attrait qu'exerce Montréal auprès des entreprises et des investisseurs étrangers. Les faibles coûts d'exploitation d'une entreprise à Montréal sont un des principaux arguments de vente de l'organisme de promotion Montréal international (MI). Ils prennent une importance encore plus grande en période de récession. «Le moment est opportun, a confirmé le président-directeur général André Gamache au cours d'un entretien avec La Presse Affaires. On est encore plus attrayant. Le rapport qualité-coût dans le choix d'une ville d'établissement devient encore plus important pour les entreprises.» «Pendant cette récession, le Canada, le Québec et Montréal s'en sortent mieux qu'ailleurs», ajoute M. Gamache. La diversité industrielle de Montréal et la solidité du système bancaire canadien expliquent en partie cette situation. Signe que les entreprises ont des préoccupations nouvelles qui pourraient favoriser la métropole québécoise, un indicateur de la stabilité des banques - qui place le Canada au premier rang mondial - a fait son apparition dans le numéro 2009-2010 des Indicateurs d'attractivité, principal «document de vente» de Montréal international auprès des investisseurs étrangers. Ces «indicateurs d'attractivité» permettent de comparer (avantageusement, il va sans dire) les attributs de Montréal par rapport aux autres villes du Canada et des États-Unis. On y apprend par exemple que le nombre d'étudiants universitaires par habitant est le plus élevé des grandes agglomérations nord-américaines, ou que les avantages fiscaux y sont les plus intéressants. André Gamache insiste sur deux indicateurs qui, à ses yeux, font la plus grande force de Montréal: les faibles coûts d'exploitation d'une entreprise et la compétence de la main-d'oeuvre. Mais la récession a beau représenter une occasion, elle n'a pas que de bons côtés. «Pour l'instant, il y a plus de projets en attente qu'en réalisation, note-t-il. Plusieurs entreprises ont le pied sur le frein, elles révisent leurs plans d'affaires et sont plus prudentes.» Et la récession n'efface pas non plus ce qui joue contre Montréal. Sauf que M. Gamache a des réponses aux objections. Le climat est difficile, «mais la ville est opérationnelle malgré les tempêtes hivernales». Les centres financiers se déplacent vers Toronto, «mais les outils financiers sont quand même à Montréal, nous avons ce qu'il faut». La croissance économique n'est pas énorme au Québec, surtout en raison de la faible croissance démographique, mais «on mise sur l'innovation pour contrer cela et on résiste avec la diversité économique». Un front commun canadien Si M. Gamache est convaincu et convaincant quand il présente les avantages de Montréal, il sait que rien n'est immuable. «On n'est pas les seuls, les autres font des efforts», dit-il. Il note les milliards de dollars que Barack Obama a consacré à la recherche et au développement, qui laissent présager une concurrence féroce dans l'avenir. C'est justement pour faire face à la concurrence mondiale que Montréal international et ses homologues de 10 autres grandes villes canadiennes ont choisi de faire front commun (un front officieusement nommé le C-11). «On a décidé de commencer à travailler ensemble pour un meilleur climat d'affaires, se réjouit André Gamache. Avant, c'était chacun de son côté. Aujourd'hui, on partage nos trucs et nos préoccupations. Et si 1$ s'investit à Toronto, on est content car on en tire quand même des bénéfices.» Reste que la collaboration n'a pas effacé totalement les rivalités interurbaines. André Gamache, qui a évoqué une nouvelle stratégie pour attirer des investissements à Montréal, n'a pas voulu en dire plus, «parce que les gens de Toronto lisent aussi La Presse», a-t-il précisé en souriant. Rapport du vérificateur En mai, le vérificateur général a déploré dans un rapport le chevauchement et le manque de coordination des différents organismes de prospection des investissements étrangers. Le vérificateur Renaud Lachance notait entre autres choses qu'il «n'existe aucun mécanisme officiel de collaboration entre Investissement Québec et Montréal international concernant les activités de prospection à l'étranger, alors que certains territoires sont couverts par les deux entités». André Gamache n'en fait pas de cas. «Aucune note ne nous critique directement, répond-il. Et le volet coordination, c'est notre force. Sur le terrain, il n'y a pas de problème», assure-t-il. «Il n'y a peut-être pas de mécanisme officiel, dit le directeur des communications de Montréal international, Louis Arseneault. Mais dans la réalité, ça marche.» Montréal International en bref Montréal international (MI) est un organisme de promotion et de démarchage pour attirer des investissements, des organisations internationales et de la main-d'oeuvre stratégique dans le Grand Montréal. MI soutient attirer des investissements d'environ 650 millions de dollars par année à Montréal. «Mais il ne faut pas se fier à la notoriété des investissements pour mesurer l'efficacité de l'organisme», note le directeur des communications, Louis Arseneault. Selon lui, plusieurs entreprises ne dévoilent pas l'aide obtenue par des organismes comme MI. Parmi les entreprises attirées à Montréal en 2008, notons les françaises EPSILON (recherche en systèmes thermiques, 6,2 millions) et JPC Aviation (signalisation lumineuse, 2 millions) de même que l'italienne IDS (R&D en électromagnétique, 18,5 millions). Environ 70% des investissements étrangers attirés par MI en 2008 appartiennent aux secteurs des technologies de l'information, des communications et de l'aérospatiale. Montréal international compte une cinquantaine d'employés. Son budget annuel est de 8,2 millions, dont un million provient du secteur privé.
  5. Bumbaru s'est plaint qu'elle cachait sa vu des premiers étages de la tour de la bourse lorsqu'il est assis au square victoria...
  6. C'est du shit talking journalistique le magazine n'a pas les moyen d'envoyé le gars qui écrit l'article dans les villes en question. Il a une journée pour écrire son article à partir de wikipedia.
  7. Men! J'ai regardé toutes tes photos sur flickr et c'est les photos les plus poétiques que j'ai vu de Montréal! C'est mieux que les livres de photos que j'ai vu...T'es un chef!
  8. J'espère que c'est pas de la brique, ça serait une bell occasion de faire un immeuble qui fite avec les autres immeubles modernes alentour de style financier. Je suis toujours déçu qu'elle ne soit pas au moins aussi haute que les autres en face. J'espère que le reste du terrain fera place à des édifices plus grands et homogène avec le style du coins.
  9. Publié le 24 juillet 2009 à 10h21 | Mis à jour à 10h23 Échangeur Turcot à Montréal: Québec renonce au PPP La Presse Canadienne Montréal Le gouvernement du Québec confirme l'abandon du partenariat public-privé (PPP) pour la réfection de l'important complexe autoroutier Turcot, dans le sud-ouest de Montréal. Le ministère des Transports explique que les économies de plus de 100 millions $ initialement évaluées pour la réalisation des travaux en mode PPP ne sont plus réalistes. Le ministère ajoute que différents facteurs, tels que le contexte économique mondial, ont contribué à cette décision. Les autorités signalent aussi que la complexité de ce projet nécessite une formule souple permettant simultanément les interventions de reconstruction des infrastructures et celles visant l'entretien et le maintien des structures actuelles jusqu'à leur démolition. Le complexe Turcot est emprunté chaque jour par environ 290 000 automobilistes, mais les ouvrages qui le composent sont arrivés à la fin de leur vie utile.
  10. LED

    Fini la récession!

    Ouais j'ai hate moi aussi, je capote on fait la job de 20 à 5...
  11. LED

    Fini la récession!

    Wow, premières économies avancées, sinon la première, à renouer à la fois avec le retour à la croissance et à l'expansion. C'est bon pour Stephen Harper que l'on blammait pour son innaction face à la crise. Finalement, l'opposition s'est laissé emporter pour rien. C'est sûr qu'on a perdu des jobs comme les autres pays mais notre économie est réellement l'une des plus forte à juger cet article; c'est de l'information officiel.
  12. LED

    Fini la récession!

    Fini la récession! Publié le 23 juillet 2009 à 10h41 | Mis à jour à 10h44 Rudy LeCours La Presse (Montréal) La récession a bel et bien pris fin au printemps, selon la Banque du Canada. Elle estime que la croissance de notre économie sera de 1,3% en rythme annualisé durant l'été et de 3,0% cet automne. Ces prévisions trimestrielles contenues dans la nouvelle mouture du Rapport sur la politique monétaire (RPM) sont plus optimistes que celles parues en avril. La Banque estimait alors que l'économie canadienne allait continuer de s'enfoncer dans la récession au troisième trimestre avec un recul de 1,0% de l'activité économique. Pour le deuxième trimestre, la Banque maintient sa prévision de décroissance de 3,5%. Pour l'ensemble de l'année, la taille de l'économie aura rétréci de 2,3%. «L'économie étant soutenue par l'amélioration des conditions financières et le niveau plus élevé que prévu de la confiance des entreprises et des consommateurs, le ralentissement de l'activité au premier semestre de l'année a été moins marqué, lit-on dans le RPM. On s'attend maintenant à ce que la croissance redevienne positive au troisième trimestre.» La reprise ira bon train avec des avancées de 4,0% (en rythme annuel) aux premier et deuxième trimestres 2010 et de 3,8% pour les deux autres. Pour l'ensemble de 2010, la croissance est évaluée à 3,0%. À pareil rythme, l'économie aura retrouvé sa taille d'avant récession (juillet 2008) dans environ un an. Cela fera du Canada une des premières économies avancées, sinon la première, à renouer à la fois avec le retour à la croissance et à l'expansion. Le repli plus modeste qu'anticipé des dépenses des ménages et des entreprises, jumelé à une confiance accrue, justifie ces perspectives plus optimistes. La vitalité du marché de la revente de maisons et la relance des mises en chantier depuis le creux d'avril témoignent de la volonté des Canadiens de profiter des conditions très favorables d'accès à la propriété. La Banque croyait en avril que la morosité ambiante allait amener des ménages ''a reporter leurs achats. Voilà pourquoi elle tablait sur une forte accélération de la demande intérieure en 2011 seulement. Le devancement des décisions d'achat l'amène aussi à ramener de 4,7% à 3,5% sa prévision de croissance pour 2011 La Banque souligne d'ailleurs que les conditions financières demeurent plus favorables au Canada que dans les autres économies avancées depuis les débuts de la crise financière. À preuve, les taux hypothécaires variables s'élevaient en moyenne à 2,75% la semaine dernière, contre 5,35% en juillet 2007, à la veille du gel du crédit en Occident à l'origine de la récession synchronisée la plus grave depuis les années 1930. Idem pour les taux hypothécaires affiché à cinq ans. Ils étaient de 5,85% la semaine dernière contre 7,24%, il y a deux ans. Fait à souligner cependant, ils étaient descendus jusqu'à 5,25% en avril. Leur remontée correspond à celle des taux obligataires à long terme observée depuis lors. Les entreprises peuvent aussi se financer à meilleur compte qu'il y a deux ans : le taux des obligations corporatives à long terme est passé de 5,42% à 4,54% en deux ans. En décembre, au point culminant de la crise du crédit, les taux avaient grimpé à 6,04% Ces conditions favorables stimulent la demande intérieure, à commencer par celle des ménages. Les entreprises se remettront à investir un peu plus tard quand elles auront complété leur déstockage et recommencé à vendre davantage. La Banque fonde aussi son scénario de reprise en établissant à 87 cents en moyenne, la force relative du huard face au billet vert d'ici la fin de 2011. Il s'agit du taux moyen observé depuis avril. Un niveau beaucoup plus élevé donnera plus de fil à retordre aux manufacturiers exportateurs au moment où ils pourront profiter de la reprise américaine, attendue en fin d'année. La Banque croit d'ailleurs que les exportations canadiennes devraient augmenter de 6% à 7% en moyenne en 2010 et 2011, soit au moins deux fois plus vite que la croissance anticipée de l'économie américaine. Cela tient au fait que ce que les exportations canadiennes sont concentrées dans des secteurs particuliers. Ainsi, l'auto et les matériaux de construction ont été plus affectés par la restructuration de la première et la crise de la seconde. La demande refoulée qui s'est créée devra bientôt être comblée, pour le plus grand bien des manufacturiers canadiens.
  13. Ayoye, j'espère que c'est pas juste du plancher flottant et du gypse en dedans, ça l'a beau être grand à ce prix la il faut que ce soit beau aussi, dehors ça pas l'air si classe que ça, c'est plutôt ordinaire comme bloc.
  14. Maybe it's worst in the Toronto area since they want so badly to draw a line between them and the americans. We often hear that Toronto is a copy of an american city, I guess that it can create a movement of reaction to prove these comments wrong. In Montréal, because of our cultural difference with the rest of the Canada, we just put the americans in the same boat as the rest of Canada and get along with them since our difference with them is more evident (being in a francophone province).
  15. Chicago n'est pas dans la même classe que Montréal quand même c'est une 2ème ville aux US, c'est plus gros que TO dammit!
  16. LED

    Azur - 5 étages (2013)

    Malheureusement le projet du Bunker du Chemin chambly à Longueuil ne fait pas parti de cette liste
  17. j'ai trop hate de voir ça! Ça fait un beau couloir/canyon.
  18. LED

    Canadiens de Montréal

    Well I hope we don't end up with Heatley, so its good to know.
  19. Attendez l'hiver...et l'hiver après 2-3 ans. Comment on peut vivre heureux dans un décor aussi déprimant.
  20. LED

    Azur - 5 étages (2013)

    J'habite justement là. C'est un très bon spot et ce n'est pas très chère selon moi. C'est juste un projet normal, si il fallait que tout soit spectaculaire tout couterait chère. Le seul point négatif c'est justement avec la tour à côté; ce serait mieux avec plus d'étages
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