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LED

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  1. LED

    Azur - 5 étages (2013)

    j'habite au coins gauthier à gauche (plateau) et vers la droite c'est ville-marie. J'essaie d'obtenir un appareil photo pour mettre des images du développement de la contruction lorsqu'elle débutera ainsi que de la rue chabanel ou je travail.
  2. Mon opinion: l'expo est plutôt de la poudre aux yeux, je ne crois pas qu'il faille mordre à l'ameçon de la nostalgie du passé. L'expo 2020 nous endetterait profondement. Laissons plus de place au privé pour développer le centre-ville en toute constance au lieux de donner un gros coups à tous les 30 ans et ensuite attendre un autre 30 ans le temps de repayer tout ça. Il y a des choses beaucoup plus importantes dans lesquelles ils faudraient investir à Montréal.
  3. Voici la réponse que j'ai obtenu de l'OCPM! Monsieur (mon nom ici) Je vous remercie de vos commentaires. En premier lieu, vous indiquer que le promoteur n'aurait pas pu démolir les maisons victoriennes sans passer par le processus du comité de démolition prévu dans le Règlement de démolition de l'arrondissement. Les critères utilisés pourraient laisser penser qu'il n'aurait pas été autorisé à démolir. Par ailleurs, nos propos allaient dans le sens d'un refus d'un projet ad-hoc au profit d'une réflexion plus générale sur l'avenir de ce secteur, à l'aube de la révision quinquennale du plan d'urbanisme. Nous espérons bien entendre votre point de vue à cette occasion Respectueusement Luc Doray Secrétaire général OCPM
  4. Les victoriennes sont seulement belles si elles sont habitées et entretenues. Pour l'instant c'est laid et ça doit changer.
  5. La Ville de Montréal invite les designers à concevoir un nouvel abribus Le 15 septembre 2009, le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, annonce la tenue d’un concours de design pour la conception d’un nouvel abribus incluant le support d’affichage publicitaire, le banc et le système d’alimentation solaire, à l’usage de la Société de transport de Montréal (STM). « La tenue de ce concours de design réitère la volonté de notre administration de généraliser la pratique des concours, de promouvoir l’innovation et l’excellence en architecture et en design et d’affirmer Montréal comme Ville UNESCO de design », a déclaré le maire Tremblay. Rappelons que le maire de Montréal a lancé cinq shuko, ou défis de création, au milieu du design lors de la soirée Pecha Kucha des élus, le 30 septembre 2008. Ces concours visent à encourager de façon tangible la créativité en design et en architecture à Montréal et ouvrir l’accès à la commande publique en design à un plus grand nombre de concepteurs. Un premier concours de design pour le développement d’éléments de mobilier urbain amovibles à l’usage des festivals a d’ailleurs été lancé le 8 juin dernier. « Les abribus sont des éléments importants de la qualité de service à la STM. Ils permettent aux clients de s'abriter, de s'asseoir, de consulter le plan du réseau et les horaires des bus. En plus d'être accessibles, ils doivent être sécuritaires et faciles d'entretien. La STM est convaincue que les créateurs sauront relever le défi en proposant des abribus modernes et fonctionnels qui vont refléter l'importance que Montréal accorde au transport collectif et au design », a indiqué M. Michel Labrecque, président du conseil d'administration de la STM. « L’abribus est un élément important du paysage urbain. Le concours de design nous permet de faire appel à la créativité des concepteurs montréalais pour trouver des solutions novatrices, durables et qui respectent la diversité urbaine qui caractérise Montréal », d’ajouter M. André Lavallée, membre du comité exécutif responsable de l’aménagement urbain, du Plan de transport, du patrimoine et du design. À propos du concoursL’abribus constitue l’un des premiers éléments d’accueil au réseau de la STM. Plusieurs abribus ont plus de trente ans d’existence. La prolifération des modèles et l’âge de certains abribus rendent la gestion et l’entretien du parc de plus en plus difficiles. Au cours des quatre prochaines années, la STM prévoit faire fabriquer 400 abribus pour l’ensemble de son réseau afin de remplacer progressivement son parc actuel et de répondre aux nouveaux besoins. Le concours se déroulera en deux étapes. La première étape non rémunérée en est une de préqualification : les designers sont invités à déposer un dossier de candidature qui sera analysé et évalué par un jury, en vue de choisir jusqu’à cinq concurrents qui participeront à la deuxième étape du concours. À la deuxième étape, les cinq concurrents seront appelés à élaborer un concept original. Au terme de cette étape rémunérée, le jury analysera les propositions des concurrents en vue de désigner un lauréat dont le concept sera développé et fabriqué par une entreprise sélectionnée par appel d’offres public. Cette entreprise devra s’adjoindre les services du lauréat pour le développement des prototypes. Les membres du jury sont :Maurice Cloutier, ADIQ, designer de l’environnement, directeur, École de design, UQAM Michel Dallaire, designer industriel, président, Michel Dallaire designers inc. François Gagné, chef d'équipe, Atelier d'aménagement et de design urbain, Division de l'urbanisme, Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine, Ville de Montréal Benoît Gendron, directeur planification et développement, STM Gilles Saucier, architecte, Saucier + Perrotte Architectes Marie Turcotte, représentante des usagers du transport adapté, Conseil d’administration, STM Denise Vaillancourt, directrice exécutive Planification, marketing, communications, STM Dossier de candidatureL’inscription est obligatoire. Chaque candidat doit faire parvenir le formulaire annexé au règlement du concours, accompagné d’un paiement de 50 $. Seules les candidatures des personnes qui auront pris possession des documents au bureau Design Montréal seront considérées. La date limite pour le dépôt des dossiers de candidature est le 30 septembre 2009 à midi. Le bureau Design Montréal est situé au : 303, rue Notre-Dame Est, 6e étage Montréal (Québec) H2Y 3Y8 Les heures régulières de bureau sont de 8 h 30 à 12 h et de 13 h à 16 h 30. Tout candidat ayant des questions doit les soumettre au conseiller professionnel du concours, M. André Desrosiers, par courriel à desrosiers.andre@uqam.ca, avant le 24 septembre 2009. Le concours de design est piloté par le bureau Design Montréal (Ville de Montréal) avec la participation de la STM. À propos de Design MontréalCréé en janvier 2006 par la Ville de Montréal, le bureau Design Montréal a pour mission de mettre en œuvre le plan d’action municipal articulé autour de l’amélioration du design de la ville et de l’affirmation de Montréal comme ville de design.
  6. Mais un prolongement comme celui-là n'impliquerait pas non plus un ajout de trains supplémentaires sur les lignes? Peut-être pourrait-on aussi augmenter la fréquence de passage des trains?
  7. Voici ma lettre, en passant cataclaw je t'appuie à 100% dans ta démarche c'est vraiment hot! Aux membres de L’OCPM, Soyez d’abord informé de mon respect envers les connaissances, les formations et l’expérience des membres de l’Office. Cette intervention est formulée en faveur du projet de 34 étages sur la rue Mackay présenté par l’architecte Panzini. Je me suis physiquement déplacé sur les lieux ou le projet doit prendre place. Je constate qu’en fait le secteur n’a effectivement pas d’identité propre. Ce qui me parait évident c’est que si le promoteur n’avait pas voulu conserver les maisons victoriennes, il n’aurait pas eu à passer par l’OCPM pour que l’on approuve ce projet puisque les constructions en hauteur le long du boulevard René-Lévesque sont en règle avec le plan d’urbanisme de la ville de Montréal. Donc, le message que l’on reçoit, puisque l’on voudrait protéger l’histoire et l’intégrer au secteur Bishop-Crescent en préservant ces maisons, c’est qu’en voulant bien faire on s’en retrouve pénalisé. Alors, pourquoi le promoteur n’abandonnerait tout simplement pas la préservation des maisons victoriennes en les démolissant pour que la tour soit directement sur René-Lévesque? Finalement, j’appuie entièrement ce projet et me joint aux nombreuses voix en faveur du développement de la densité dans Ville-Marie. Cessons de décourager les promoteurs aux bonnes intentions à Montréal s’il-vous-plait. Beaucoup de gens voit beaucoup de bon en l’OCPM mais le rapport compromettant l’un des projets les plus intéressants en ce moment (tour de 34 étages) en fait douter plusieurs, étant même présent aux consultations, sur le bien fondée de vos recommandations. L’effet de découragement n’affecte pas seulement les promoteurs qui veulent bâtir à Montréal mais aussi les citoyens qui se présentent, en faveur d’un projet, aux consultations. En espérant que vous considérerez chacune des lettres que vous recevrez à ce sujet de la part des citoyens passionnés de leur ville, de son histoire et de son développement future. Bien à vous, veuillez agréer de mes sentiments les plus sincères.
  8. Je suis un fan de la LNI et je respecte vraiment ces gens et je souhaite qu'ils obtiennent un endroit parmanent. Mais, le planétarium est situé sur un site qui, avec le projet bonaventure deviendra un endroit idéal pour la contruction d'une tour prolongeant ainsi le centre-ville vers le fleuve comme le veut le plan d'urbanisation de Montréal. Je préfèrerais voir une tour se lever à la place de l'ancien planétarium.
  9. Publié le 16 septembre 2009 à 07h38 | Mis à jour à 07h41 Le nouveau Planétarium, entre «science et émotion» Situé au carrefour du Stade olympique, du Biodôme et du centre Pierre-Charbonneau, le nouveau Planétarium n'aura rien à envier au design des édifices voisins. Photo fournie par Museums Nature de Montreal Jean-Christophe Laurence La Presse On savait qui l'avait conçu, mais on ne l'avait toujours pas vu. Des esquisses du futur Planétarium ont finalement été dévoilées hier, au cours d'une conférence de presse donnée en présence du maire Gérald Tremblay, de Charles-Mathieu Brunelle et d'Helen Fotopulos, respectivement directeur et responsable des Muséums nature à la Ville de Montréal. Le bâtiment s'inscrira dans un vaste projet à saveur «éco-humaniste» qui comprend le Biodôme, l'Insectarium, le Jardin botanique et le futur Centre sur la biodiversité. Situé au carrefour du Stade olympique, du Biodôme et du centre Pierre-Charbonneau, le Planétarium Rio Tinto Alcan n'aura rien à envier au design des édifices voisins. Deux «canons», évocations de télescopes scrutant l'Univers, agiront comme des puits de lumière en lien direct avec le ciel. À leur base, deux sphères seront occupées par les salles de projection. Le tout sera surplombé de toits végétalisés accessibles aux promeneurs, qui prolongeront l'espace nature environnant. «L'idée était d'avoir un site que l'être humain peut s'approprier», a résumé hier l'architecte et concepteur principal du projet, Jean-François Julien, de la firme Cardin-Ramirez-Julien. Il s'agira, sauf erreur, du premier projet québécois certifié LEED platine en raison du nombre de « points verts « qu'il accumule en lien avec l'environnement, que ce soit par l'aménagement, les matériaux utilisés ou la gestion des ressources naturelles. Biodiversité Rappelons que le nouveau planétarium, dont l'ouverture est souhaitée début 2012, n'est qu'une partie de l'ambitieux « Plan de vie « concocté par les Muséums nature de Montréal, et qui se déploiera progressivement jusqu'en 2017 pour un coût estimé de 189 millions de dollars. Annoncé en août par La Presse et confirmé officiellement hier, le projet prévoit notamment une révision complète de l'esplanade qui ceinture actuellement le Stade. Exit le béton, bonjour la verdure. «Conjuguant science et émotion» (dixit Charles-Mathieu Brunelle), le nouvel espace se voudra une interface entre l'homme et la nature, avec ses navettes écolo et son parcours interactif jalonné d'éoliennes, de restaurants suspendus et de bornes à énergie solaire. Dans le même esprit, enfin, le tout nouveau Centre sur la biodiversité sera construit dès l'an prochain sur le terrain du Jardin botanique. Créé en partenariat avec l'Université de Montréal, ce projet vise notamment à «sensibiliser le public aux grands enjeux de la biodiversité», comme la disparition des espèces. Et l'ancien Planétarium ? Hasard ou stratégie ? La Ligue nationale d'improvisation (LNI) a de nouveau manifesté son intérêt pour le futur ancien planétarium Dow. La LNI se cherche actuellement un toit permanent et croit que l'édifice, qui sera sans locataire à la fin de 2011, pourrait répondre à ses besoins. Une lettre ouverte en faveur d'un «Improvisarium» a été envoyée hier aux médias. Elle était notamment signée par Pierre Curzi, Denis Bouchard, Germain Houde, Marcel Sabourin, Sylvie Moreau, Sylvie Legault, Marcel Leboeuf et l'actuel directeur artistique de la LNI François-Étienne Paré. Interrogée à ce sujet, Mme Fotopulos, a répété que la Ville étudiait toujours le dossier : «Nous n'en sommes qu'à l'étape des analyses. On a eu plusieurs propositions intéressantes qui sont à la hauteur de l'imagination des Montréalais. Mais pour l'instant, notre priorité va au projet du nouveau planétarium.»
  10. J'aime aussi sa forme au complet sauf l'apparence de tôle comme surface au sommet.
  11. Je sais qu'ici on a les hivers mais à Albuqurque et à Pheonix entre autre, les autoroute sont assez belle et s'intègre très bien au reste de la ville. Ils n'ont pas la température d'ici cependant et les peinturent.
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    Canadiens de Montréal

    Publié le 11 septembre 2009 à 09h07 | Mis à jour à 09h09 Boivin: «J'en ai marre qu'on se fasse accuser» C'était peut-être la journée des frères Molson, hier, à Laval-sur-le-Lac, mais le président Pierre Boivin a aussi volé la vedette, notamment sur la question des joueurs francophones au sein du Canadien. Richard Labbé La Presse À n'en point douter, la question des joueurs québécois au sein du Canadien est un sujet plutôt délicat... surtout quand on aborde ladite question avec un membre de la direction du Canadien! Cette épineuse question a refait surface lors du tournoi de golf annuel de l'équipe, hier, à Laval-sur-le-Lac. Au grand désespoir de Pierre Boivin. Le président du Canadien en a assez d'entendre dire que l'équipe n'est pas assez québécoise au goût de certains. «C'est un sujet à coeur et c'est normal, a commencé par dire M. Boivin. Vous savez, il faut réaliser qu'il y a des cycles dans le sport. Ce n'est pas un souhait qu'il y ait trois joueurs québécois avec nous cette année, comme ce n'était pas un souhait qu'il y en ait huit l'année dernière. «Mais ce n'est pas comme aller à l'épicerie; on ne descend pas dans une allée pour décider qu'on achète tel ou tel produit qui se retrouve dans le panier quand on arrive à la maison. Ce n'est pas comme ça que ça fonctionne.» En fait, Pierre Boivin en a surtout contre ceux qui laissent entendre que le Canadien ne se soucie pas du fait français dans son vestiaire. C'est précisément en abordant cette question que le président a haussé le ton. «J'ai en marre qu'on se fasse accuser de faussetés comme ça, a-t-il tonné. Écoutez, il y a 43 joueurs québécois qui ont disputé au moins une moitié de saison dans la LNH la saison dernière, et huit de ces joueurs-là étaient avec nous, donc autour de 20%. Et on dit que ce n'est pas assez? Tous nos efforts pour aller chercher des joueurs québécois n'ont pas toujours porté fruit... mais ça ne veut pas dire qu'on n'a pas essayé.» Et ces gens qui affirment que le Canadien ne repêche jamais assez de joueurs de chez nous? «C'est aussi un mensonge de dire qu'on ne repêche pas de joueurs québécois, a-t-il ajouté. On a quand même repêché Louis Leblanc. De dire qu'on n'a pas cette sensibilité-là, c'est un mensonge. Faites vos devoirs, vous allez voir que personne d'autre n'a repêché autant de joueurs québécois que nous.» Leblanc était le premier Québécois repêché par le Canadien en première ronde sous la présidence de Pierre Boivin, qui s'est joint à l'équipe en 1999. À la défense de Gainey Le président du club en a aussi profité pour voler à la défense du DG Bob Gainey, que l'on accuse aussi parfois de préférer les patineurs d'ailleurs. «Depuis que Bob est en place, on a fait des efforts. On dit qu'on n'a pas de dépisteur au Québec, alors qu'on en a deux. Et puis, qui d'autre que nous a un DG qui parle français? Qui a des propriétaires qui parlent français? Qui s'occupe de développer des entraîneurs francophones si ce n'est pas le Canadien de Montréal?» Pierre Boivin a conclu cette envolée spectaculaire par un message assez limpide: «Arrêtez de dire qu'on n'est pas sensibles au phénomène francophone...» De son côté, Geoffrey Molson, le nouveau commandité du Canadien, a clairement fait savoir que l'objectif du Canadien était assez simple: envoyer les meilleurs joueurs possibles sur la glace. Point. «Je suis convaincu que Bob Gainey fait tout ce qu'il peut pour avoir la meilleure équipe sur la glace, a indiqué M. Molson. Le hockey est un sport de plus en plus international... J'appuie Bob dans son mandat, qui est de bâtir la meilleure équipe possible.»
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    Gare Viger

    Publié le 10 septembre 2009 à 07h37 | Mis à jour à 07h40 Gare-hôtel Viger: le projet est sur la glace La crise économique porte un grand coup aux ambitions de mise en valeur de la gare-hôtel Viger, un joyau du Vieux-Montréal. Sara Champagne La Presse Sans être mort et enterré, le projet de transformation de la gare-hôtel Viger en complexe hôtelier de luxe est officiellement sur la glace. Après avoir passé par toutes les étapes d'approbation auprès de l'administration Tremblay-Dauphin, le consortium derrière le projet a annoncé officiellement à La Presse que la crise économique porte un grand coup à leurs ambitions de mise en valeur du joyau du Vieux-Montréal, un édifice patrimonial ressemblant au Château Frontenac. Les travaux inscrits dans les grands projets d'Imaginer - Réaliser Montréal 2025, d'abord prévus pour débuter en 2009, puis en 2010, ne commenceront pas avant deux ans, sinon plus, a confirmé Isabelle Thellen, porte-parole du consortium propriétaire de la gare, Viger DMC International. Il y a trois ans, les élus de l'équipe de Gérald Tremblay avaient consenti la vente de la gare au coût de 9 millions, alors que son évaluation municipale était de 14,7 millions, à un consortium formé de trois sociétés: Homburg Invest (Halifax), Entreprises Télémédia (Montréal) et SNS Property Finance (Hollande). À cette époque, le consortium prévoyait dégager 400 millions pour transformer l'édifice en un complexe de huit immeubles, avec une tour de 18 étages, accueillant un hôtel de 200 chambres, des condominiums, des commerces et des bureaux, entre autres. Mais depuis, les travaux se sont limités à casser le bail du centre de la petite enfance de la Ville de Montréal qui y gardait les enfants des employés municipaux depuis 14 ans. Et à réaliser des fouilles archéologiques dans la cour, qui n'ont pas débouché sur de grandes découvertes. «Actuellement, la gare est vide, a confirmé la porte-parole du consortium, Mme Thellen, en pesant bien ses mots. Ce que je peux vous dire, c'est que nous sommes actuellement en phase de «démarchage». Ce qui veut dire que nous cherchons des gens intéressés par les locaux à être construits.» Le titre dégringole Autrefois assurées par l'homme d'affaires Cameron Charlebois, président du conseil d'administration de la fondation Blue Metropolis, dont le «contrat a pris fin», dit-on, la permanence et la direction des bureaux de Viger DMC International sont aujourd'hui maintenues en vie par Homburg par l'entremise de Phil O'Brien, a confirmé la porte-parole. Malgré la légère reprise des marchés boursiers, le titre (HII-A) de la société mère de Homburg a chuté de 35% depuis le début du mois de janvier. L'action de la filiale canadienne, qui se vendait 34$ au 9 septembre 2008, s'échangeait hier à 7,57$. Elle a déjà atteint un creux à 3,99$.
  14. Voici ce qu j'ai envoyé à la mairie: Monsieur le maire, même si le projet d'une tour de 34 étages déroge au plan d'urbanisme, nous savons que c'est pour la simple et honorable raison de sauver ces maisons victoriennes qui sont situé en tête d'îlot. Le mieux qui pourrait arriver à ce secteur c'est bien cette tour de 34 étage. À vous de prouver que Montréal aussi peut attirer et appuyer les promotteur de bonne volonté qui respect l'héritage de montréal en appuyant ce projet afin que la construction aille de l'avant. Merci Faites de même
  15. Je content de lire ça Yara, ça m'éclaircie une peu sur ton raisonnement. Néanmoins je pense que t'en a mis par exprès pour faire réagir tout le monde . Bref, je suis d'accord aussi pour une harmonie mais je dirais quand même oui au Mackay et ce serait le début de quelque chose dans ce secteur. On a définitivement besoin de remplir ces stationnements. J'ai hate de voir une tour géante se lever en face du centre Bell, pui une autre en arrière!
  16. C'est exactement ce que c'est, la soeur de ma fiancée habitait à côté dans le bloc sur coolbrook, sa fenêtre donnait sur le chantier côté rue De l'orphelinat. Elle m'a dit que c'était pour être une résidence pour personnes âgés alors que la contruction débutait.
  17. Avec l'extension des lignes ça va prendre plus de wagons qu'en ce moment de toute façon.
  18. Je ne comprend pas, il y a un resto Pasta Tella à cette adresse et c'est quand même récent comme édifice alors qu'on parle de démolition...
  19. Publié le 03 septembre 2009 à 10h55 | Mis à jour le 03 septembre 2009 à 11h01 Gare de triage: Ottawa promet jusqu'à 30 millions $ Tristan Péloquin La Presse Cette fois-ci, ce serait la bonne. Ottawa a confirmé hier son «engagement ferme» de débourser jusqu'à 30 millions pour la réhabilitation de la gare de triage d'Outremont. L'annonce devrait permettre, dès la semaine prochaine, le début des travaux nécessaires à la construction d'un nouveau campus de l'Université de Montréal d'ici 2014. La promesse d'investissement d'Ottawa s'ajoute à des engagements totalisant 90 millions déjà annoncés en 2006 par Québec (30 millions) et la Ville de Montréal (60 millions), mais répétés jeudi en conférence de presse par le maire de Montréal et le ministre des Affaires municipales, Laurent Lessard. Les investissements annoncés hier doivent permettre le déplacement d'une voie ferrée du CP vers le nord, la décontamination des sols ainsi que l'installation d'infrastructures. Le projet de construction du nouveau campus de l'Université de Montréal, évalué à plus de 1 milliard par le maire Tremblay, n'en est quant à lui qu'à l'étape préliminaire. Une gare pour le train de banlieue Montréal-Blainville doit notamment y être construite. L'établissement universitaire n'est cependant pas encore en mesure de dévoiler combien lui coûteront les immeubles dédiés à l'enseignement de la science qui seront construits sur le site décontaminé. «J'espère qu'il y aura un premier édifice complété en 2014», a simplement indiqué le recteur de l'Université de Montréal, Luc Vinet. Coalition citoyenne nerveuse Depuis 2007, le projet de campus universitaire suscite l'inquiétude parmi certains résidants d'Outremont. Un comité de citoyens, qui a recueilli l'appui de 3000 résidants par voie de pétition, s'inquiète plus particulièrement de l'impact qu'auront les 10 000 visiteurs par jour du futur campus sur la vie de quartier. «Dix mille personnes de plus par jour dans un quartier résidentiel, vous imaginez ce que ça représente juste en termes de circulation?» demande Claude Reny, un des membres du Comité citoyens-gare de triage d'Outremont. Les membres du Comité espèrent maintenant obtenir d'ici quelques semaines une rencontre avec la mairesse de l'arrondissement d'Outremont, Marie Cinq-Mars, pour en connaître davantage sur le projet de construction du nouveau campus. Les travaux de déplacement de la voie ferrée devraient commencer dès la semaine prochaine. La décontamination des sols est prévue pour le printemps prochain. «Ce projet va corriger une cicatrice urbaine qui se trouve au coeur de la ville», estime le maire Tremblay.
  20. Est-ce que ça pourrait à nouveau offrir la pssobilité de voir deux tours de 60 étages y apparaitre?
  21. Publié le 02 septembre 2009 à 04h45 | Mis à jour à 08h05 Rue Notre-Dame: cure minceur avant la mise en chantier Québec veut ramener la facture du projet de réaménagement de la rue Notre-Dame sous la barre du milliard de dollars. Tommy Chouinard La Presse (Québec) Québec entend couper 500 millions de dollars dans les coûts estimés de construction de la nouvelle rue Notre-Dame. La ministre des Transports, Julie Boulet, veut en effet ramener la facture du projet, qui a doublé en quelques mois, sous la barre du milliard de dollars. L'aménagement prévu dans le secteur Sainte-Marie, près du pont Jacques-Cartier, sera modifié. Mais la voie réservée aux autobus et l'autre au covoiturage seront maintenues dans chaque direction. En février dernier, La Presse révélait que les coûts estimés de construction de la nouvelle rue Notre-Dame ont explosé, passant de 750 millions à 1,5 milliard de dollars. Julie Boulet a renvoyé ses fonctionnaires à la planche à dessin pour revoir l'ensemble du projet. Les fonctionnaires lui présenteront bientôt leur rapport, qui était attendu en août. Mme Boulet leur a fait savoir la somme que le gouvernement est prêt à payer avec la métropole. «Ce qui est acceptable, c'est entre 900 millions et un milliard», a-t-elle confié à La Presse. L'explosion des coûts serait donc moins importante. La facture serait tout de même environ 30 % plus élevée que lors de l'annonce du projet en 2007 - l'estimation de 750 millions avait été reprise dans un communiqué de presse, en mai 2008. La Ville de Montréal réclame le maintien du concept de «boulevard urbain» à huit voies, sorte d'hybride entre l'autoroute et le boulevard. Mais Québec veut surtout améliorer la fluidité dans ce secteur fort achalandé. «Nous n'avons pas pris connaissance des dernières propositions du ministère des Transports mais tout le monde espère une solution satisfaisante pour les quartiers touchés», a affirmé Darren Becker, attaché de presse du vice-président du comité exécutif de la métropole, André Lavallée. Julie Boulet écarte l'idée d'abandonner les principales mesures liées au transport collectif. Les voies réservées aux autobus et au covoiturage sont une priorité, a-t-elle souligné. Québec ne remet pas en question l'unification des parcs Morgan et Champêtre dans Hochelaga-Maisonneuve par la construction d'une dalle de béton qui recouvrira la rue. Cette mesure est très attendue dans le quartier. Plusieurs sources confirment que la révision du projet touchera surtout le secteur Sainte-Marie, à proximité du pont Jacques-Cartier. Québec avait prévu plusieurs mesures pour mettre en valeur le site historique du Pied-du-Courant, dont la construction d'une «esplanade des Patriotes», l'aménagement d'un belvédère et l'agrandissement du parc Bellerive. Ces installations feraient toujours partie du projet mais seraient de moindre envergure. La modernisation de la rue Notre-Dame est attendue depuis 30 ans. Les bouchons de circulation sont très fréquents sur cette artère à quatre voies qui est utilisée chaque jour par 75 000 véhicules. Le projet fait passer la rue Notre-Dame à huit voies sur une distance de neuf kilomètres, du centre-ville jusqu'à l'autoroute 25, dans l'est de la métropole.
  22. Publié le 02 septembre 2009 à 06h58 | Mis à jour à 07h03 Le mont Royal devient un enjeu électoral Sara Champagne La Presse Un ambitieux projet de clinique médicale en plein flanc du mont Royal est passé à un cheveu de devenir l'un des enjeux majeurs de la campagne électorale au centre-ville, hier soir. Mais les élus ont in extremis donné raison aux citoyens et à l'organisme Les Amis de la montagne, qui s'insurgent contre le projet. Du moins jusqu'à la prochaine séance du conseil d'arrondissement de Ville-Marie, prévue début octobre. Au cours d'une assemblée qui a donné le ton à la campagne électorale dans l'arrondissement de Ville-Marie, les élus ont retiré à la dernière minute une résolution afin de changer la vocation d'un projet résidentiel en un lieu de pratique pour 125 médecins de l'Hôpital général de Montréal, affilié au Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Trois élus ont appuyé la décision de retirer le projet, contre un, Karim Boulos, conseiller indépendant, vivement opposé au projet qui aurait préféré le garder à l'ordre du jour. Pas plus tard qu'hier, une consultation publique était pourtant encore prévue à l'agenda des élus du centre-ville, soit le 10 septembre prochain. Même que le maître d'oeuvre des plans architecturaux, Claude Marcotte, de Daniel Arbour et associés, également derrière la transformation de Marianopolis, devait mener une présentation. En fin de journée hier, lors d'un entretien avec La Presse, le président du groupe immobilier Mach, Vincent Chiara, a convenu qu'il y avait beaucoup de grogne de la part des citoyens du district Peter-McGill, vivant aux abords de l'Hôpital, avenue Cedar. «On a parlé aux citoyens, a-t-il dit. Le stationnement les inquiète, la circulation et le changement de vocation aussi. On comprend les citoyens. On va faire le travail nécessaire.» Selon les plans déposés à l'arrondissement, dont La Presse a pu prendre connaissance, la direction du CUSM a conclu une entente de principe afin de louer à long terme le projet du Groupe Mach, dont l'enveloppe de quatre étages a déjà été érigée, avec stationnement souterrain d'une centaine de places. Au départ, quand le projet a été approuvé, en 2007, il était question de construire 64 unités résidentielles de luxe, nécessitant un investissement d'environ 30 millions. Ce n'est pas la première fois que le terrain du Groupe Mach, dans la montagne protégée, divise élus et citoyens. Avant d'être approuvé, le projet avait fait l'objet de trois référendums. Chaque fois, l'arrondissement a eu assez de signatures des résidants pour exiger du promoteur qu'il refasse ses devoirs. La construction a finalement débuté en 2007-2008, après huit ans de pourparlers avec la Ville. Par ailleurs, à mesure que les élections approchent, les échanges sont de plus en plus musclés dans Ville-Marie. Cinq élus provenant de trois partis municipaux, dont le maire et un indépendant, siègent à la même table. Au moment de mettre sous presse, la séance promettait de se poursuivre jusqu'à tard en soirée.
  23. Non mais sérieusement, moi je prends sa sérieusement sans capoter. Je préfère ne pas en parler mais de faire la différence dans mes actions de tout les jours et de porter les gens à aimer le français pour ce qu'il est et éviter de faire pression sur les gens. Je suis toujours souriant lorsque je me fais servir en anglais et je leur parle lentement en français et je leur traduit par exemple. Rendre le français positif et encourager l'apprentissage ce fait dans les petites choses comme ça. Autre exemple, dans mon groupe de musique, on a acceuilli un membre de vancouver. Il ne parlait pas français et venait juste d'arriver au québec. Alors tout le groupe parle anglais dans les pratiques pour qu'on se comprenne. C,est une question de respect envers lui car il n'est pas un montréalais qui a grandi ici sans jamais apprendre le français. De même il commence cette semaine des cours intense de français par respect pour nous. Voilà ce que j'aime voir, il faut encourager mais faire de la pression pousse encore plus l'autre à s'endurcir et ça même nul part. Mes deux sous
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