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Malek

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Tout ce qui a été posté par Malek

  1. Stelmine se lance sur le marché des hydrocarbures au Québec Il y a 1 heure MONTREAL — Stelmine Canada (TSVX:STH) a annoncé lundi son intention d'acquérir un intérêt de 100 pour cent dans une licence d'exploration couvrant 34 000 hectares en Gaspésie dans l'espoir d'y découvrir des hydrocarbures. La compagnie junior d'exploration acquiert son intérêt dans ce projet en payant une somme de 125 000 $ et en émettant 500 000 actions de son capital action à une société de prospection. Le permis couvre un secteur aussi exploré par d'autres compagnies junior, dont Gastem (TSXV:GMR) et Junex (TSXV:JNX). L'intérêt pour les basses-terres du Saint-Laurent s'est accru depuis que l'entreprise Forest Oil, de Denver, a annoncé, en avril, une importante découverte de gaz naturel dans le schiste de l'Utica, situés entre Montréal et Québec. Forest Oil a accès au gaz ou peut en obtenir les droits grâce à des ententes avec Gastem, Junex et Questerre Energy (TSX:QEC). L'action de Stelmine se transigeait lundi après-midi à 35 cents à la Bourse de croissance de Toronto.
  2. Si la pollution était le vrai enjeu contrairement à inventer des taxes, la ville proposerait à Québec de réglementer les vieux bazous... ce que le Fédéral propose de faire: À qui profite cette prime? Éric LeFrançois, Collaboration Spéciale - La Presse 09 juin 2008 | 08 h 25 Photo Alain Roberge, La Presse - Agrandir À qui profite la prime? À l'environnement bien sûr, mais surtout aux constructeurs qui bénéficient de la prime pour enrayer les risques de perturbations du cycle naturel du marché et arrondir leurs fins de mois. Officiellement, le gouvernement Harper souhaite envoyer nos bagnoles de plus de 14 ans à la casse. D'accord, mais le programme national qu'il est en train de concocter ne vise-t-il pas à satisfaire le petit creux que les constructeurs craignent de ressentir au cours de la prochaine année? Pour être franc, je n'avais jamais entendu parler de l'organisme Autos-o-ciel (http://www.carheaven.ca/french/) avant mercredi dernier, jour de l'annonce par le ministre de l'Environnement, John Baird, de la mise sur pied d'un programme national de mise à la casse. Un programme qui incitera les propriétaires de véhicules antérieurs à l'année 1996 à les envoyer à la casse moyennant une série de mesures incitatives, comme des rabais à l'achat de véhicules neufs, des laissez-passer gratuits de transport en commun, des bicyclettes, des cartes d'adhésion à des programmes de covoiturage et 300$ comptant. L'idée du ministre a du bon. En effet, le gouvernement fédéral estime que près du tiers des 18 millions de véhicules en circulation au pays ont été fabriqués avant 1996 et ne respectent plus les normes plus sévères d'émissions polluantes en vigueur aujourd'hui. Et ces véhicules sont responsables des deux tiers de la pollution à l'origine du smog au pays, affirme le ministre dans un communiqué. Ailleurs dans le monde, ce type de politique existe à plusieurs endroits et, souvent, celle-ci a été décrétée non pas par un ministre de l'Environnement, mais bien par celui des Finances... En effet, ce programme de mise à la casse a souvent été un instrument politique utilisé par des gouvernements pour soutenir un marché automobile en difficulté jusqu'à sa relance naturelle. Mais les ventes de véhicules neufs vont bien au Canada, dites-vous! Vrai, mieux qu'aux États-Unis, mais pour encore combien de temps? Est-ce pour cela que ce programme national n'entrera en vigueur qu'en 2009? D'ici là, il y a toujours le programme Eco-Auto (déficitaire, a-t-on appris récemment) pour faire le pont avant l'entrée de ce nouveau programme dont on ne connaît pas encore les modalités. Les consommateurs pourraient être tentés de retarder leur achat d'ici à ce que celles-ci soient connues? Qui sait, elles sont peut-être plus avantageuses? Un médicament de confort À qui profite la prime? À l'environnement bien sûr, mais surtout aux constructeurs qui bénéficient de la prime pour enrayer les risques de perturbations du cycle naturel du marché et arrondir leurs fins de mois. Autre effet pervers: l'accoutumance. La prime commence à devenir le médicament de confort de l'automobiliste. Il n'est plus question pour lui d'entrer dans une concession sans un rabais. Alors, il attend... retardant d'autant la reprise du marché. Le gouvernement Harper ne devrait pas être dupe de l'efficacité toute relative de son programme. Celui-ci aura certainement une incidence sur les ventes de véhicules neufs, au détriment des réparateurs... C'est une logique de répercussion en chaîne. En effet, si les primes à la casse font l'oeil doux aux consommateurs, les réparateurs d'auto et les marchands de véhicules d'occasion les regardent carrément de travers. Le parc automobile étant rajeuni, on note de moins en moins de pannes. Pourtant, le secteur représente plusieurs milliers d'emplois. Les réparateurs craignent d'avoir de moins en moins de travail, en raison de ce programme qui poussera les consommateurs à effectuer leurs réparations chez les concessionnaires de véhicules neufs. Si elle existe, la solution serait, de l'avis de plusieurs acteurs du marché, que ce programme national soit amendé et s'étende aussi aux véhicules d'occasion. C'est ici que le «peut-être» qui figure dans le communiqué du gouvernement fédéral me fait tiquer. Et si le véhicule est en bon état et a été correctement entretenu? Alors, pourquoi ne pas mettre de l'avant une politique nationale obligatoire visant à inspecter le bon fonctionnement du système antipollution de nos autos? Vous désirez garder votre vieille auto, très bien, mais celle-ci doit correspondre aux normes antipollution de son époque, sans quoi il faudra la faire réparer ou vous voir imposer une surprime, selon le principe du pollueur-payeur. Et si quelqu'un a un véhicule de plus de 14 ans d'âge (le mien aura 25 ans l'an prochain), ce n'est pas toujours par nostalgie, d'où l'importance d'étendre ce programme aux véhicules d'occasion, de manière à ne pas privilégier uniquement une catégorie de personnes qui a les moyens de s'offrir du neuf. http://monvolant.cyberpresse.ca/200806/09/dossiers/auto-ecolo/18730-a-qui-profite-cette-prime.php
  3. t'as photoshop? TU peux utiliser un compte flickr.com et ensuite quickrpickr.com pour les mettre ici! (tout gratos)
  4. Malek

    Euro 2008

    ben oui, fais du photo reportage de touriste et mets ça ici
  5. Après l'annonce de la ville de faire des consultations sur les péages: Les c**** de hippies répondent: Tout du "empty talk", c'est juste de la verbose pour ne rien dire et mettre dans la tête des gens des faussetés... Alors si je comprends bien, quand quelque chose ne les plait pas, les gauchistes/hippies/écolos/granolas sont pour les consultations et la VRAI DÉMOCRATIE... mais quand une idée leur plaît, let's go, il faut foncer à cent milles à l'heure, sans consultations et autres pertes de temps "démocratiques".... ah misère de misère. :rolleyes:
  6. oh misère le communiste en yara emmerge. T'en fais pas, avec cette mentalité là, aucun développement ne va se faire ici. La première raison de tout développement c'est les gains en capitaux, sinon ça servirait à quoi ? pour la gloire? :magicwand: :magicwand: :magicwand: :magicwand:
  7. I don't see what out of town architects would change anything if there's no budgets to play with, thats the bottom of the problem, not that we use home grown talents.
  8. Je sais tout ça, mais pourquoi les cyclistes les utilisent pas quand ils en ont une dans la meme rue?
  9. Tu trouves pas que la ville a gaspillé assez d'argent là dessus? Les cyclistes l'utilisent pas, même s'ils y sont à cinq mètres.
  10. effectivement, des supports a vélos vides
  11. Des immigrants ignorent l'obligation de déclarer leurs revenus Photo archives, La Presse Dean Beeby La Presse Canadienne Ottawa Un immigrant de fraîche date sur trois n'ayant jamais produit de déclaration d'impôt ignorait tout de cette obligation ou ne savait tout simplement pas comment faire, indiquent des recherches internes pour l'Agence du revenu du Canada. Selon cette étude, qui a impliqué des groupes de consultation rassemblant au total plus de 500 personnes, près de la moitié de ces nouveaux venus ne savaient pas qu'ils devaient déclarer la totalité de leurs revenus de partout à travers le monde et pas seulement de leurs revenus canadiens. «Les résultats de l'étude démontrent que l'obligation de déclarer les revenus provenant de partout à travers le monde était plutôt mal connue», mentionne un rapport dont La Presse Canadienne a obtenu copie en vertu de la Loi sur l'accès à l'information Des sondages remplis de façon anonyme par des immigrants arrivés ici récemment ont montré que la plupart, soit près des deux tiers, n'avaient jamais rempli une déclaration canadienne d'impôt sur le revenu. Plusieurs de ces immigrants étaient des étudiants à faibles revenus, qui n'avaient pas à produire une déclaration. Mais 16,5% d'entre eux n'en ont pas faite parce qu'ils ignoraient qu'ils avaient à le faire, et 16,1% n'ont pas réussi à remplir les formulaires plutôt complexes parce qu'ils ne savaient pas comment s'y prendre. Les sessions ont été menées auprès de 10 groupes de consultation dans la région de Toronto en 2002. En tout, 522 personnes y ont participé. Le nombre relativement élevé de néo-Canadiens mal informés a incité les chercheurs à conclure qu'une campagne d'éducation serait tout indiquée. L'étude menée par l'agence fédérale, sa plus récente sur les nouveaux immigrants et leur familiarité avec leurs obligations fiscales, était un projet pilote. Il a vu le jour après après une mise en garde du vérificateur général dans les années 1990. Il avait constaté que le Canada ne percevait pas suffisamment d'impôts sur les revenus étrangers. Des consultations avec des professionnels de la fiscalité avaient confirmé le problème: plusieurs immigrants récents ne savaient pas grand-chose du système fiscal canadien. Les conclusions de l'étude de 2002 ont incité les responsables à organiser une deuxième série d'études auprès de groupes de consultation - à Montréal, Toronto et Vancouver - en vue, cette fois, d'élaborer une campagne multimédias à l'intention de tous les nouveaux immigrants. Revenu Canada espérait lancer sa campagne publicitaire cet été, mais elle a été reportée après la remise des conclusions des dernières consultations, effectuées en mai par la firme Ipsos-Reid. ================================================ La vraie question qu'il faut se poser, est pourquoi notre système d'impots et si complexe et quand le simplifiera-t-on?
  12. Ottawa is not a city, just a big 'burb:p
  13. Malek

    Euro 2008

    aaaaaaaaah maudit chanceux t'est en allemagne!!! prends des photos des mongols ça va me faire du matériel!
  14. Malek

    Euro 2008

    GOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAALLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL GOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOALGOAL
  15. c'est très bien, bien mieux que la brique rouge et jaune d'en face.
  16. Malek

    Euro 2008

    Germany is favorite to win it all.
  17. ok Y a qqchose de très très croche avec ce busac et le gouvernement en place...y a une (GROSSE) anguille sous roche. Combien de compagnies au quebec connaissez vous qui ont fait autant de manipulations directement avec de l'argent public de manière répétée?
  18. t'est pas encore un big shot, ton tour viendras, et u cancelleras toute.
  19. Eat like a local in ... Montreal Poutine may still be a student staple but Kevin Gould finds fresh, inventive dishes in the city's bistros, delis and micro-breweries Kevin Gould The Guardian, Saturday June 7 2008 Slow food ... find friendly service and fresh food as part of Montreal's creative food scene. Photograph: Rudy Sulgan/Corbis I start my search for the fresh local tastes of Montreal at Marché Jean-Talon (7075 Casgrain Ave between De Castelnau and Jean-Talon metro). This is not some bourgeois foodie faux-farmers' market. Held indoors in winter, the market spills outside at this time of year, with countless eat-ins, takeaways, wine shops and stalls, busy with people expecting (and getting) high-quality, well-priced, local, seasonal produce. As with the rest of Montreal's food and drink culture, someone has done a marvellous job of inculcating the virtues of the Slow Food movement, without the pretentious nonsense we're often served up in Europe. Montrealers are disarmingly friendly. A cheerful tubby bloke munching a pickled cucumber on a stick invites me to his restaurant, a minute away from the market. Jean-Philippe's Kitchen Galerie (60 rue Jean-Talon Est,+514 315 8994, no website) has no waiters: you're served by one of the three chefs who cook your dinner. He pours me a glass of excellent red from L'Orpailleur in the eastern townships, which has the grace of a French pinot noir, and the energy of a Californian one. "We're not sommeliers," he smiles, "but we know how to drink!" They sure know how to cook, too. Minestrone with chorizo and calves' sweetbreads with soft-shell crab give a flavour of Jean-Philippe's full-on stance on food. The standout main course is a massive côte de boeuf with tarragon sauce and roast veg. You can "super-size" it with truffles and foie gras. Gloriously, ridiculously rich. Strawberry salad with basil syrup and 7-Up jelly completes the feast. The most creative, interesting food scenes in town are mostly in Le Plateau and Mile End, where you find a mixture of ethnic communities, students and sophisticates. I loved Maison Cakao (5090 rue Farbre, corner of rue Laurier, +514 598 2462) for its cupcakes and brownies, and Le Fromentier (1375 rue Laurier Est), where the bread and charcuterie are at least as good as anything you'll find in Paris. Fairmount Bagel (74 rue Fairmount Ouest, fairmountbagel.com, open 24 hours, 365 days) is a tiny local institution that hand-makes 18 varieties and bakes them in wood ovens. Another institution worth its reputation is Schwartz's (3895 blvd St Laurent, +514 842 4813, schwartzsdeli.com, all you can eat $15. No reservations, expect to stand in line), whose smoked meat - think salt beef with deeper flavour - is sensational and worth queuing for. Order your meat "lean" unless you're in with a cardiologist, and eat too much of it with gorgeous dark brown fries, crunchy pickles and a soda. Around the corner, Le Reservoir (9 rue Duluth Est, +514 849 7779) is a micro-brewery with a kitchen. It is the most happening place in the area for Sunday brunch - expect fresh cranberry scones with yoghurt; cod cheeks and chips with home-made ketchup; fried eggs and smoked bacon over sublime Yorkshire pudding. Poutine is a Quebecois speciality, consisting of oily french fries strewn with curd cheese and smothered in salty gravy. Oddly comforting, and excellent for mopping up alcohol, together with every last drop of saliva in your mouth. The Montreal Pool Room (1200 blvd St Laurent), an appealingly grungy, noisy and popular diner, is a good place to try it. If poutine is old-school Montreal cuisine, the Cluny ArtBar (257 rue Prince, +514 866 1213, cluny.info) is its new wave. Cluny is in the centre of town, only a short walk from the touristy joints of the old town. It's near the riverside, attached to a gallery in an ex-foundry. Come here for generous, innovative salads and grills. A few steps away, Le Cartet (106 rue McGill, +514 871 8887) is everything you'd ever want for a buzzy, Scandinavian-smart take on the communal canteen. Great for lunch, Le Cartet has a deli attached and also offers a blowout Sunday brunch buffet, where you can nurse the hangover you nurtured the night before at Pullman (3424 du Parc ave, +514 288 7779, pullman-mtl.com), the gastro bar du choix for Montreal's beautiful people. They're serious about their wine at Pullman, but also mix a mean cosmopolitan. Try tapas like venison tartare with chips, tuna sashimi with pickled cucumber salad, mini bison burgers and roasted marrow bones with veal cheeks. Were Pullman in London, it would be double the price and snooty. Here, it is honest, exciting and fun. As Montreal reinvents itself as a multicultural, modern city, so its young chefs have thrown off the shackles of classical French cuisine. My favourite example of this pared-down, matter-of-fact excellence was in the 10-table neighbourhood Bistro Bienville (4650 rue de Mentana, +512 509 1269, bistrobienville.com). There are no starters or mains, just whatever's good today. They'll fix you a stunning seafood platter, grill you a beautiful piece of fish, and roast you a perfect fat joint of beef. I also ate excellent local cheeses, drank fantastic wine, and thought that if I lived in Montreal, I'd be in here every day. Instead of parading a love of good food and drink as accessories to an ostentatious life, Montrealers celebrate the joys of the table with the matter-of-fact verve born of living half the year in the teeth of an Arctic gale. · Canadian Affair (020-7616 9184, canadianaffair.com) flies Gatwick-Montreal from £99 one way inc tax. The stylish La Place d'Armes (+512 842 1887, hotelplacedarmes.com) has rooms for around £125 including breakfast, cheese and wine and hammam. The training hotel, l'Institut de Tourisme et d'Hôtellerie (+514 282-5120, ithq.qc.c http://www.guardian.co.uk/travel/2008/jun/07/montreal.restaurants/print
  20. ah ouais?? une semaine à la havane! Est-ce qu'il y a des plages propres là?
  21. aloft Montreal Airport Opens, Making Global Debut Starwood Hotels & Resorts Worldwide, Inc. (NYSE:HOT) today announces the opening of aloft Montreal Airport, the first aloft to open anywhere in the world. Developed and owned by the joint venture between Silver Hotel Group and Northampton Group Inc., the 136-room aloft Montreal Airport will offer a variety of intuitive technologies, atmospheric public spaces, and a whole array of appealing guest amenities. Created for today's traveler, aloft hotels are modern, fresh and fun, with loft-inspired design and free-flowing energy. 'The sleekness and dynamism of the aloft lifestyle complements the sophistication and style of Montreal, where we are proud to make our global debut,' said Brian McGuinness, Vice President of aloft and element hotels worldwide. 'Youthful-minded travelers will appreciate the aloft brand's emphasis on creativity, culture and fun.' aloft Montreal Airport is superbly located at the entrance to the Trudeau International Airport, with easy access to local attractions, shopping, entertainment and numerous corporate headquarters. Guests will be just 20 minutes from vibrant downtown Montreal, where they can enjoy authentic French cuisine, renowned museums and scenic parks. Also nearby are the quaint cobblestone streets, boutiques, art galleries and cafés of Old Montreal. http://www.hotelresource.com/article32946.html
  22. Pas une bonne solution Jean-Michel Nahas Le Journal de Montréal 06/06/2008 04h17 L'instauration de péages à Montréal est loin de plaire aux partis d'opposition qui accusent plutôt le gouvernement de se traîner les pieds dans le dossier du transport en commun de la métropole. «C'est peut-être une très mauvaise bonne idée», a laissé tomber Serge Deslières, porte-parole au Parti québécois en matière de transport. «Nous avons bien des réserves à ce sujet. Une chose est sûre, il faut que Québec agisse concrètement à ce niveau», a-t-il poursuivi. En otage Sylvie Leblanc, de l'Action démocratique, s'est montrée plus tranchante. Pas question, a-telle insisté, de prendre les banlieusards en otage. «Ce n'est pas une bonne solution, a-t-elle martelé. Ça démontre le laxisme des libéraux. Ils doivent tenir leurs engagements en transport en commun et instaurer de vraies mesures vertes.» Au cabinet de la ministre des Transports, on a dit souhaiter attendre la fin des consultations prévues à l'automne avant de décider si une intervention gouvernementale sera menée. Fonds injectés De son côté, le ministère des Affaires municipales n'entend pas mettre de bâtons dans les roues de la métropole. Un porte-parole a rappelé hier que les villes ont depuis 20 ans le droit aux péages sur leur réseau routier, en autant que l'argent amassé soit injecté dans les transports. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/06/20080606-041700.html
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