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  1. Le quartier Chabanel, haut lieu de la mode à Montréal, a été durement frappé par le déclin de l'industrie manufacturière. Plusieurs acteurs du quartier travaillent toutefois à sa revitalisation. Défilés de créateurs du quartier en journée pendant la Semaine de la mode de Montréal, salon de prêt-à-porter bisannuel; plusieurs projets sont en discussion dans le quartier Chabanel. Les entreprises locales y vont aussi de leurs propres initiatives, comme Rudsak qui agrandira sa boutique et y ouvrira un bistro vers la fin août. «La boutique aura 5000 pieds carrés et le bistro sera intéressant pour la cinquantaine d'employés de notre siège social et les autres travailleurs du coin. Cet investissement va avec le mouvement en cours pour revitaliser le quartier», explique Érik Gaudreault, directeur marketing chez Rudsak. D'après le Regroupement Chabanel, plus de la moitié de l'activité canadienne de l'industrie de la mode est québécoise. C'est dans le quartier Chabanel qu'on retrouve la concentration la plus importante de l'activité avec plus de 600 entreprises et 12 000 emplois associés au secteur. Aujourd'hui, les acteurs qui réussissent à tirer leur épingle du jeu doivent user de stratégie. «Ils développent un produit de niche. C'est bon aussi qu'ils aient leur propre magasin de détail, ou de bons points de vente établis, ou une stratégie de vente par l'internet», remarque Eyal Cohen, promoteur du 555 Chabanel et membre du conseil d'administration du Regroupement Chabanel. Par exemple, Rudsak compte une dizaine de boutiques au Québec et en Ontario. Trois autres seront ouvertes prochainement. Démarrée en 1994 dans le quartier Chabanel, l'entreprise y fabrique toujours une partie importante de ses sacs. «Ils sont faits à la main. Nous gardons la production ici pour assurer un meilleur contrôle de la qualité», explique M. Gaudreault. Mettre en valeur le quartier Dans l'industrie de la mode depuis 30 ans, Eyal Cohen est très actif dans les différents projets de revitalisation de Chabanel. En 2010, le Centre international de mode de Montréal, un organisme de commercialisation qu'il a mis sur pied dans le 555 Chabanel, a organisé l'événement Midi Fashion lors de la Semaine de mode. Les médias et les acheteurs sont venus assister durant le jour à des défilés de différents créateurs du quartier Chabanel. «Il y avait de gros noms, mais aussi des designers moins connus qui ne sont pas présents dans les grands défilés en soirée de la Semaine de mode, précise M. Cohen. Notre objectif était de montrer que c'était possible. Maintenant, nous souhaitons que l'événement soit repris par la Semaine de mode.» Ce souhait est partagé par Jean-François Daviau, coprésident de Sensation Mode, l'organisme derrière la Semaine de mode de Montréal. «Le quartier Chabanel est un actif important pour l'industrie de la mode. Midi Fashion a mis en confiance les gens des médias et les acheteurs de l'étranger. Ils ont été rassurés de voir que Montréal a ce quartier qui rassemble autant d'acteurs de l'industrie et autant de savoir-faire. Cet événement est très pertinent pour mettre en valeur le quartier et l'industrie de la mode à Montréal.» Question de budget «Nous sommes en discussion avec les gens du quartier, précise M. Daviau. Nous aimerions aller chercher le tiers du financement auprès du gouvernement du Québec, mais l'échéancier est serré pour cette année. Ça demeure possible, mais je ne peux rien confirmer.» Le Regroupement Chabanel travaille aussi sur un projet de salon de prêt-à-porter pour présenter deux fois par an aux acheteurs locaux et internationaux tout le prêt-à-porter montréalais. «Les grandes villes de la mode ont un salon de prêt-à-porter, mais pas Montréal, déplore M. Cohen. Ça existait avant et nous souhaitons reprendre l'initiative en force. Une étude de faisabilité a été faite et nous attendons une réponse de la table de concertation qui regroupe tous les designers pour trouver où l'organiser, à quel moment et avec qui. Nous espérons que ça démarrera en août-septembre 2013, ou au printemps 2014.» http://affaires.lapresse.ca/portfolio/ahuntsic-cartierville/201205/28/01-4529188-une-deuxieme-vie-pour-le-quartier-de-la-mode.php
  2. bxlmontreal

    C2-mtl 2013

    C2MTL: Creativity, Commerce And The 100 Most Creative People In Business. http://www.fastcompany.com/1838725/c2mtl-cirque-du-soleil-francis-ford-copolla-most-creative-people
  3. TVM Capital et Eli Lilly s'installent à Montréal. La firme allemande TVM Capital a annoncé lundi l'établissement à Montréal d'un fonds en sciences de la vie de 150 millions de dollars qui se traduira notamment par l'arrivée dans la métropole d'une filiale du géant pharmaceutique américain Eli Lilly. http://affaires.lapresse.ca/economie/sante/201205/28/01-4529343-tvm-capital-et-eli-lilly-sinstallent-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS3
  4. Vert, la couleur de l'avenir. Les millions d'amis de Facebook et les fans d'Apple ne trouvent pas très cool que leurs entreprises chéries carburent au charbon et aux autres formes d'énergie polluantes. Aussi, quand Greenpeace a publié il y a quelques semaines un classement des entreprises technologiques les plus propres, les réactions ne se sont pas fait attendre. Des manifestations ont été organisées et des annonces ont suivi. Apple, une des entreprises qui utilisent le plus le charbon pour alimenter ses centres de données, a fait savoir qu'elle abandonnerait complètement cette forme d'énergie d'ici un an dans ses trois installations des États-Unis situées en Caroline du Nord, en Californie et en Oregon. Les modalités de cette conversion totale à l'énergie propre restent à préciser. Les panneaux solaires et les piles à combustible capables de générer de l'électricité avec des biogaz sont au nombre des moyens que compte utiliser Apple pour réduire sa dépendance aux énergies sales. C'est tout un défi pour une entreprise de cette taille. En Californie, où est situé le siège social d'Apple et le plus gros de ses centres de données, l'entreprise doit s'approvisionner auprès de Duke Energy, le seul fournisseur d'électricité de la région qui utilise surtout du charbon. Comme Apple, toutes les entreprises technologiques chassent désespérément les sources d'énergies vertes pour leurs serveurs, dont l'aliment de base est l'électricité. Google, qui a déjà songé à installer les siens sur le site de l'aéroport désaffecté de Mirabel, investit massivement dans le développement des sources d'énergie verte. L'entreprise de Silicon Valley consacre près d'un milliard de dollars américains pour augmenter la production d'énergie solaire et éolienne. Elle achète autant de kilowattheures propres qu'elle le peut mais elle doit malgré tout se contenter d'un bilan assez moyen: seulement 30% de toute l'énergie consommée par Google est renouvelable. Google s'est engagée à réduire à zéro son empreinte carbone, mais pas à tout prix. À ceux qui se demandent pourquoi l'entreprise ne s'installe pas là où il y a de l'énergie propre en abondance, elle répond ceci sur son site internet: les endroits qui ont le plus d'énergie propre ne sont pas nécessairement ceux où un centre de données peut le mieux servir ses clients. S'il y a des milliers de kilomètres entre les deux, le délai de réponse peut devenir un problème, même s'il se mesure en milliseconde. Il y a mille millisecondes dans une seconde. Il faut par exemple 20 millisecondes à une information pour franchir 2000 kilomètres. Ce problème de latence, comme on l'appelle dans l'industrie, peut toutefois être géré et atténué en améliorant la qualité du réseau de transmission. Une explosion de données La musique, les livres, les films se sont dématérialisés et réincarnés dans des centaines de millions de serveurs répartis dans des milliers de centres à travers le monde. Un centre de données informatiques conserve des informations numérisées qui doivent être accessibles rapidement et en tout temps, explique Éric Chouinard, qui a cofondé iWeb, une entreprise d'hébergement de données à Montréal en 1996. Pour être efficace, il a besoin d'une source d'énergie fiable et peu coûteuse. Les serveurs sont énergivores et leur fonctionnement dégage beaucoup de chaleur, qui doit être évacuée. La climatisation représente donc une portion importante de la facture énergétique. Le tiers de la consommation d'électricité sert à refroidir l'espace, d'où l'intérêt de s'installer un centre dans des climats frais, précise Eric Chouinard. iWeb paie chaque mois 300 000$ en électricité à Hydro-Québec pour l'alimentation de ses 35 000 serveurs répartis dans quatre centres. En plus de l'énergie, un centre de données a besoin d'un réseau double de fibre optique, pour continuer de fonctionner en cas d'avarie sur l'un des deux. L'accès à une main-d'oeuvre qualifiée est aussi un ingrédient important, selon le cofondateur de iWeb, qui compte 200 employés, et qui fait de la recherche-développement. Tous ces ingrédients qui font le succès d'un site d'hébergement, Éric Chouinard les a trouvés à Montréal. Son entreprise réalise maintenant un chiffre d'affaires de 45 millions et a des clients dans 150 pays. Depuis des années, le jeune entrepreneur dit à qui veut l'entendre que le Québec aurait intérêt à être plus accueillant pour les centres de données informatiques. Il en est plus convaincu que jamais. «Le nombre d'emplois est à considérer, mais il y a aussi tout un écosystème qui tourne autour des centres de données», estime-t-il. Le développement rapide de l'informatique en nuage, qui permet aux entreprises de sous-traiter le stockage d'un nombre croissant de données, laisse présager une augmentation fulgurante du nombre de centre de données. Selon une étude réalisée par la firme IDC pour le compte de Microsoft, 1,5 million d'emplois ont été créés dans le monde par l'informatique en nuage en 2011. Au Canada, la firme prévoit que 70 000 nouveaux emplois y seront reliés d'ici la fin de 2015. Pour Éric Chouinard, le calcul est vite fait: si le Québec obtient une part équivalente à son poids dans le Canada, ça peut vouloir dire 15 000 emplois de plus. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/25/01-4528702-vert-la-couleur-de-lavenir.php
  5. C'est 1534 qui recommence, en version numérique. Assaillie par les bateaux français au début du 16e siècle, celle qu'on appelle désormais Montréal est aujourd'hui le tremplin des sociétés technologiques françaises de toute taille, avec à la clé, un accès à l'eldorado infonuagique américain... Caractérisée par une interface web d'où on peut tout gérer et commander, l'informatique en nuage est une technologie qui dépasse les frontières, mais elle n'échappe pas aux contraintes géographiques les plus élémentaires : plus on est loin de ses clients, plus le délai de transmission des données est long. C'est pourquoi les hébergeurs et les fournisseurs de services infonuagiques ayant des visées internationales doivent déployer des centres de données dans chacune des grandes régions desservies. Amazon a des serveurs à Amsterdam, Francfort, Hong Kong et Tokyo. Google en Belgique, en Finlande et à Taïwan. Microsoft en Irlande et à Singapour. iWeb au Québec, au Brésil et bientôt en Inde et en Europe. Deux sociétés françaises À ce jeu, Montréal pourrait gagner gros. En un an et demi, deux sociétés françaises ont ouvert une première succursale dans la métropole québécoise, dans l'espoir de percer le marché internet nord-américain. L'hiver dernier, OVH, le plus important hébergeur européen a annoncé l'installation à Beauharnois de ce qui pourrait devenir, à terme, son plus gros centre d'hébergement de données, à 360 000 serveurs. OVH suivait ainsi la même démarche que son rival Linkbynet, un hébergeur de plus modeste taille qui se spécialise exclusivement dans des services liés à l'informatique en nuage. Au-delà de l'hébergement sur mesure, Linkbynet tente de séduire les PME canadiennes en leur fournissant un service simplifié de gestion des applications web qu'elles comptent utiliser. La formule fait mouche : l'entreprise a doublé de taille depuis son arrivée à Montréal, en 2010, et compte le faire à nouveau d'ici l'an prochain, faisant passer son nombre d'employés de trente à soixante. «En France, nous avons fait notre marque avec des clients de la trempe de Michelin et Sodexo. À Montréal, nous ciblons les PME québécoises, mais c'est aussi notre base pour l'ensemble de l'Amérique du Nord», explique Julien Trassard, PDG de Linkbynet Canada. L'Oncle Sam M. Trassard n'est pas seul à voir Montréal comme un tremplin vers le marché nord-américain. Outre Linkbynet et OVH, des entreprises québécoises lorgnent aussi du côté de l'Oncle Sam. Sa douzaine d'entreprises spécialisées, ses coûts d'affaires peu élevés et sa géographie avantagent la métropole québécoise. Pas pour rien si, en juillet dernier, la firme d'analyse 451 Group classait Montréal au sixième rang des villes nord-américaines les plus attrayantes pour les hébergeurs de données. Tout le monde en profite, pas seulement les hébergeurs français, conclut Julien Trassard. «Ça démocratise le cloud, ça génère de l'emploi et ça fait du Québec une plaque tournante des TI en Amérique du Nord.» http://affaires.lapresse.ca/portfolio/infonuagique/201204/24/01-4518514-montreal-capitale-de-la-france-en-amerique-du-nord.php Aujourd'hui, Beauharnois, demain l'Amérique. Après avoir lorgné du côté de Boston, Philadelphie et Washington, le premier hébergeur internet européen a choisi de s'installer à Beauharnois, au Québec. C'est le site qui a séduit Octave Kalba, fondateur de OVH.com, une entreprise familiale basée à Roubaix, en France. L'ancienne aluminerie d'Alcan, fermée en 2008, lui a semblé faite sur mesure pour accueillir leur type d'entreprise, qui fabrique et exploite des serveurs informatiques dédiés ou mutualisés (cloud). Et les tarifs d'électricité? Ç'a fait partie de la décision. C'est surtout la stabilité de l'approvisionnement en électricité qui est appréciée. Côté prix, il y a des économies comparativement à la France, «mais c'est pas délirant comme différence», dit M. Klaba. Les Klaba passent actuellement plus de temps de ce côté-ci de l'Atlantique, où ils s'affairent à mettre en route un gros datacenter, comme on dit en France, un des plus gros en Amérique du Nord. En échange de l'ancienne usine d'Alcan, OVH s'est engagée à investir 127 millions et à créer 120 emplois au cours des trois prochaines années. Concrètement, l'entreprise veut se doter d'un quartier général pour percer le marché américain. «D'abord la côte Est, New York et Washington et plus tard, l'Ouest, Vancouver et la Californie», précise Octave Klaba. Gros programme pour l'entreprise fondée en 1999, qui exploite 100 000 serveurs en Europe. Son objectif est de doubler ce nombre et de multiplier aussi par deux son chiffre d'affaires de 120 millions. À plus long terme, l'entreprise veut se doter de 360 000 serveurs et générer 85% de son chiffre d'affaires en terre d'Amérique. Les premières étapes prévues sur ce long parcours sont New York, Washington, Atlanta et Dallas d'un côté. De l'autre, Ottawa, Toronto, Detroit, Chicago et Dallas. OVH arrive à Beauharnois avec sa technologie et son savoir-faire. L'entreprise construit ses propres serveurs, plutôt que de les acheter à Dell ou autres. Sa technique de refroidissement à l'eau plutôt qu'à l'air, par exemple, lui permet de réduire considérablement sa facture énergétique. «Notre avantage, c'est qu'on peut faire profiter nos clients de ces économies», dit Octave Klaba. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/25/01-4528726-aujourdhui-beauharnois-demain-lamerique.php http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/25/01-4528706-un-interet-commence-a-poindre-au-quebec.php
  6. Punir et laisser pourrir, le choix risqué de Charest. Sa stratégie d’affrontement ayant atteint ses limites, le Premier ministre libéral, au pouvoir depuis près de dix ans, voit sa popularité s’effondrer. Le printemps érable ressemble au printemps arabe. Répression comprise. Dans cette démocratie que l’on croyait avancée, des centaines d’étudiants ont été arrêtés, menottés et détenus pour avoir manifesté. Une loi d’exception, justement surnommée «matraque» et qui semble appartenir à la panoplie d’une dictature style Biélorussie ou Azerbaïdjan, limite désormais le droit de manifester, d’association et d’expression. Tout rassemblement de plus de 50 personnes est soumis à une autorisation de la police. Comme si la répression pouvait répondre à un mouvement de masse vivace et festif qui réunit étudiants protestant contre la hausse des droits d’inscription en fac et la société civile outrée par les méthodes du gouvernement. Comme pour les révolutions arabes, Twitter et les réseaux sociaux détournent cette loi scélérate qui a finalement décuplé le soutien au mouvement étudiant. Mais, le gouvernement de Jean Charest reste sourd, refusant de discuter des droits d’inscription, devenus le symbole d’un libéralisme qui gagne et corrompt la société québécoise, cet îlot de social-démocratie en Amérique du Nord. Les étudiants et leurs parents manifestent parce qu’ils sentent qu’un modèle de vivre ensemble est menacé. Comme le clame une chanson des rebelles : «On a mis quelqu’un au monde, on devrait peut-être l’écouter.» http://journal.liberation.fr/publication/liberation/938/#!/0_0
  7. Fort de son nouvel appui de 25 millions de dollars de Teralys, le gestionnaire de capital de risque ontarien Celtic House ouvrira un bureau permanent à Montréal. La firme investira aussi des dizaines de millions dans les jeunes entreprises québécoises au cours des prochaines années. Tel que rapporté hier par La Presse Affaires, Celtic House a récolté 105 millions pour mettre sur pied un nouveau fonds de capital de risque. Le quart du financement provient de la firme québécoise Teralys. Or, l'équivalent de ce montant, soit au moins 25 millions, sera réinvesti par Celtic House ou ses partenaires dans des entreprises québécoises. «Tout ce qu'on fait est dans cette optique, dit Jacques Bernier, associé principal de Teralys. Tous les investissements qu'on fait reviennent dans l'écosystème québécois. De plus, l'historique montre que chaque dollar québécois investi en capital de risque attire chez nous deux autres dollars des États-Unis ou d'ailleurs.» L'investissement de Teralys - un réservoir de capital de risque créé en 2009 par Investissement Québec, la Caisse de dépôt et le Fonds de solidarité FTQ - était aussi conditionnel à ce que Celtic House ouvre un bureau permanent au Québec. La firme ontarienne avait de toute façon son homme à Montréal depuis plusieurs années, soit l'associé Pierre-André Meunier. «On va avoir pignon sur rue à Montréal d'ici la fin de l'année», promet M. Meunier, qui cherche actuellement un local à partager avec d'autres investisseurs. Occasions d'investissements La spécialité de Celtic House est de parier sur des entreprises en démarrage qui mettent au point des technologies pour les médias et les communications dans l'espoir de les voir percer et ainsi multiplier sa mise. Pierre-André Meunier affirme avoir déjà à l'oeil plusieurs occasions d'investissements dans ces domaines au Québec. «Il y a ici un pool de compétence et une expertise technique de classe mondiale, ainsi qu'un écosystème de qualité», dit-il. «J'ai des projets dans le collimateur au Québec, et directement dans les segments de marché où Celtic House a fait de l'argent précédemment», a-t-il aussi révélé. http://affaires.lapresse.ca/economie/201205/24/01-4528114-capital-de-risque-celtic-house-ouvre-un-bureau-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS14
  8. Qu'ils aient visité le Vieux-Port, marché sur le Mont-Royal ou encore arpenté les rue du Plateau, les visiteurs qui ont mis les pieds dans la métropole pour deux nuitées ou plus au cours de l'année 2011 sont vraisemblablement repartis satisfaits de leur séjour, puisque 84% d'entre eux ont affirmé avoir certainement l'intention de recommander la destination à leurs proches. Et près de 49% des touristes ont donné une note de satisfaction de 9 sur 10 à la métropole en 2011, alors qu'ils étaient 40% à lui attribuer ce résultat en 2006. C'est du moins ce que révèle un sondage mené par la firme de recherche Ipsos pour le compte de Tourisme Montréal, dévoilé mercredi. Ainsi, l'année dernière 7,8 millions de touristes ont foulé le sol montréalais, une augmentation de 1,7 % par rapport à 2010. De ce nombre, 56 % provenaient du Québec, 21 % du reste du Canada et 23 % des États-Unis ou d'ailleurs dans le monde. Parmi les attraits les plus visités par les voyageurs, le Vieux-Port arrive en tête, suivi du parc du Mont-Royal et du Quartier chinois. Médias sociaux Par ailleurs, les données du sondage démontrent que les médias sociaux ont maintenant une importante influence dans le choix des destinations touristiques. La preuve, à la suite de leur séjour dans la métropole québécoise, près de 37% des visiteurs partagent leur expérience à Montréal en publiant en ligne des photos de leur voyage, alors que 25% d'entre eux émettent des commentaires sur différents sites Internet. De plus, le web a été l'outil le plus utilisé par les touristes qui ont atterri à Montréal pour l'organisation et les réservations. Plus de la moitié d'entre eux (57%) ont eu recours à internet pour planifier leur voyage. http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/quebec/montreal/201205/23/01-4527907-les-visiteurs-satisfaits-de-leur-sejour-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  9. Les entreprises Simon Property Group, Calloway (T.CWT.UN) et SmartCentres ont annoncé mardi la construction l'an prochain d'un complexe «Premium Outlet Center» à Mirabel, au nord de Montréal. Le centre commercial sera érigé sur le chemin Notre-Dame, près de l'autoroute des Laurentides, ont indiqué les firmes dans un communiqué. Les détails financiers n'ont pas été rendus publics. La première phase du projet comprendra 350 000 pieds carrés de superficie locative et 80 magasins. Sa construction devrait débuter en 2013. Le premier «Premium Outlet Center» au Canada doit ouvrir à l'été 2013 à Halton Hills, en Ontario. Le concept est d'offrir de la marchandise haut de gamme à prix réduit. Le maire de Mirabel, Hubert Meilleur, a indiqué que le projet permettrait de développer une partie des terrains du Lac Mirabel. Il a offert «la pleine collaboration» de la ville aux promoteurs. Simon Property Group, qui se présente comme la plus importante société immobilière au monde, exploite 70 Premium Outlet Centers, dont 57 aux États-Unis, un à Porto Rico, huit au Japon, deux en Corée, un en Malaisie et un au Mexique. Calloway est l'un des plus importants fonds de placement immobilier au Canada alors que SmartCentres est une entreprise canadienne privée qui a construit plus de 200 centres commerciaux. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201205/22/01-4527515-un-nouveau-centre-commercial-sera-construit-a-mirabel.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS9
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    C2-mtl 2013

    Montréal, une affaires de créateurs. Montréal, le 18 mai 2012 - Du 21 au 25 mai prochains, la métropole vivra une convergence exceptionnelle d'événements d'envergure mettant en valeur le talent et la créativité montréalaise : - La réunion annuelle du Réseau des villes créatives de l'UNESCO - l'expérience C2-MTL - les 24 heures de l'innovation de l'École de technologie supérieure (ÉTS) - les 7es Journées de la Proximité organisées par MOSAIC de HEC Montréal - l'Autobus des créateurs de la Ville de Montréal - STM Afin de partager avec ses citoyens l'effervescence créative qui aura lieu sur son territoire, la Ville de Montréal offrira un accès privilégié à ces événements sur son portail Internet à l'adresse createurs.ville.montreal.qc.ca où l'on pourra consulter gratuitement une foule de contenus multimédias exclusifs. « À Montréal, l'ouverture d'esprit et l'innovation permettent la rencontre des idées, des cultures et l'émergence d'un monde de créativité. Les créateurs montréalais se distinguent par leur débrouillardise en réinventant les sciences, la culture et les affaires. La créativité montréalaise est instinctive, informelle et non codée. Elle déborde dans la rue et reflète les valeurs sociales d'ouverture et d'inclusion qui sont partagées par les Montréalais. Nous avons la capacité d'éliminer les frontières entre les secteurs pour favoriser l'innovation : la mode habille des personnages virtuels, la santé et les arts numériques se rencontrent pour accroître les capacités en guérison des enfants, l'aérospatiale échange avec les jeux vidéo. Nul doute que Montréal est une affaire de créateurs », a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. « Montréal est de plus en plus reconnue pour sa grande créativité. Grâce au dynamisme et à l'engagement des milieux de la culture, du design, des nouvelles technologies ou de la mode, Montréal démontre une énergie créatrice peu commune, une vitalité qui joue un rôle prépondérant dans son développement. Par des actions concrètes telles que la mise sur pieds du Plan d'action 2007-2017, Montréal métropole culturelle ou le développement des Quartiers culturels, nous réaffirmons notre volonté de consolider et de promouvoir le statut de Montréal comme une ville où la création se vit au quotidien. Les événements qui se tiendront au cours des prochains jours témoignent de la force novatrice de notre ville, d'une effervescence qui contribue au rayonnement de Montréal », d'ajouter Mme Helen Fotopulos, responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal. Campagne Montréal, une affaire de créateurs Afin de reconnaître le talent des créateurs d'ici, la Ville de Montréal a réalisé une campagne publicitaire, comprenant de l'affichage extérieur et des publicités dans les médias imprimés, et à laquelle six créateurs ont prêté leur image : Jérôme Ferrer, grand chef Relais & Châteaux / restaurant Europea; Louise Guay, présidente de Living Lab Montréal, Mohamed Hage, président fondateur des Fermes Lufa; Adam Hummel, artiste multimédia chez Moment Factory, Philippe Meunier, chef de la création et co-fondateur de Sid Lee et Monique Savoie, présidente fondatrice de la Société des arts technologiques (SAT). La réunion annuelle du Réseau des villes créatives de l'UNESCO Les 21 et 22 mai 2012, dans le cadre de la réunion annuelle du Réseau des villes créatives de l'UNESCO, la Ville de Montréal accueillera les membres de ce Réseau dont elle fait partie à titre de ville de design. Une série d'activités publiques ont lieu afin de mettre en valeur la richesse et la diversité des villes créatives et de susciter des rencontres entre les acteurs montréalais des milieux du design, de la culture et les délégués internationaux. Les 24 heures de l'innovation - ÉTS Les 24 heures de l'innovation est une compétition ouverte au public qui se déroulera dans le Hall de l'École de technologie supérieure (ÉTS) et qui s'adresse aux étudiants des universités et des collèges de différentes disciplines. Le but : développer une solution innovante à un problème réel que vivent les entreprises à la recherche de solutions puis en faire la présentation devant jury. Comme le titre de la compétition l'indique, les équipes disposent d'une période de 24 heures consécutives pour proposer une solution à un sujet soumis par des professionnels de divers secteurs. Il s'agit de la 5e édition de l'événement qui se déroule simultanément en Amérique du Nord et du Sud, en Europe, en Afrique et en Asie. L'Autobus des créateurs L'Autobus des créateurs est un espace créatif mobile offert par la Ville de Montréal et la STM qui fera le tour de l'île de Montréal le 23 mai 2012. Des citoyens intéressés à trouver des solutions créatives aux problèmes de transport à Montréal prendront place à bord de l'Autobus des créateurs avec pour mission de développer un projet viable afin d'améliorer l'expérience de déplacement à Montréal. Les données ouvertes de la Ville de Montréal (http://donnees.ville.montreal.qc.ca/) et de la STM (http://www.stm.info/en-bref/developpeurs.htm) serviront de carburant aux développeurs d'applications. C2-MTL L'expérience C2-MTL s'inspire de l'essence de Montréal et célèbre le fait que la ville est reconnue mondialement comme une destination multiculturelle, créative, dynamique et unique. Oubliez les présentations PowerPoint. C2-MTL brise le moule des conférences traditionnelles, adopte les technologies de pointe et personnalise la livraison du contenu. Les 7es Journées de la Proximité Du 21 au 23 mai se tiendront les 7es Journées de la Proximité organisées par MOSAIC, organisme catalyseur du potentiel créatif fondé par HEC Montréal. La thématique principale du colloque 2012 est « créativité, innovation et proximités ». En plus des thèmes analysés en profondeur lors des dernières éditions (clusters industriels et autres formes d'agglomération innovantes construites sur l'interprétation des relations spatiales entre la science et l'industrie), la caractérisation des territoires créatifs est devenue une priorité pour les chercheurs, les entrepreneurs et les gouvernements. Ces sujets ont récemment pris une importance spécifique avec l'apparition de la notion de « villes créatives » qui sera examinée lors de l'événement. http://createurs.ville.montreal.qc.ca/ http://mtlunescodesign.com/fr/projet/Reunion-annuelle-du-reseau-des-villes-creatives-de-lUNESCO
  11. Le Palais des congrès de Montréal génèrera plus de 333 M$ en retombées économiques grâce aux 76 congrès et expositions commerciales confirmés lors de son dernier exercice 2012-05-22 Au cours du quatrième trimestre de son année financière, la Société du Palais des congrès de Montréal a confirmé 7 congrès internationaux (Incluant les congrès américains) et de 7 congrès nationaux (Incluant les congrès québécois), soit une hausse de 56 % des réservations de congrès par rapport au 4e trimestre de 2010-2011. Ces événements majeurs, obtenus en collaboration avec Tourisme Montréal, représentent des retombées économiques estimées à plus de 100 millions de dollars. En superficie totale réservée, cela représente une hausse de 136 % par rapport au même trimestre l’an dernier. « Ces résultats positifs mettent en lumière le succès de notre plan stratégique 2010-2013, qui mise sur la performance commerciale et le renouvellement de l’expérience offerte à la clientèle », souligne Marc Tremblay, président-directeur général de la Société du Palais des congrès de Montréal, « L’équipe et les partenaires du Palais poursuivent leur travail afin d’offrir à tous les participants qui nous visiteront au cours des prochaines années un accueil inégalé et une expérience renouvelée grâce à la modernisation de notre environnement technologique ». Bilan annuel 2011-2012 des événements confirmés : un calendrier bien rempli Globalement, au cours de l’année 2011-2012, 404 événements ont été confirmés pour les années à venir, soit une hausse de 6 % par rapport à l’année précédente et de près de 27 % par rapport à 2009-2010, soit l’année de l’adoption du plan stratégique en cours. Le marché des congrès s’est particulièrement illustré par la confirmation de 48 congrès, soit 7 % de plus que l’an dernier et 30 % de plus par rapport à l’exercice 2009-2010. Au total, la superficie louée pour les congrès a connu une croissance de 33 % par rapport à l’année précédente pour s’établir à 42 Mpi2, notamment grâce à la bonne performance des congrès nationaux qui ont progressé de 40 % en nombre par rapport à l’année dernière. Quant aux expositions publiques et commerciales, on note une hausse de 6 % des réservations, dont 28 expositions commerciales, signe de la vitalité industrielle et commerciale du Québec. Globalement, c’est près de 425 000 touristes qui sont attendus dans la métropole pour les événements confirmés lors de l’année qui se terminait le 31 mars dernier, soit une hausse de 15 % par rapport à 2010-2011. Bilan annuel 2011-2012 des événements tenus : une année remarquable Le Palais des congrès de Montréal termine l’année 2011-2012 sur un record d’attractivité grâce à la tenue de 368 événements, une hausse de 5 % par rapport au précédent record établi l’an dernier. Ces événements ont permis d’accueillir plus de 657 000 participants, soit une hausse de 4 % par rapport à 2010-2011. Ces rassemblements ont occasionné la réservation de près de 147 000 nuitées dans les hôtels de la ville. Ces résultats confirment le positionnement de la métropole, qui se classe au 7e rang mondial pour le nombre de délégués internationaux accueillis selon le classement 2010 de l’International Congress and Convention Association. Sans compter les retombées intellectuelles engendrées par le partage du savoir et par la participation des universités, des écoles supérieures, des centres de recherches et des créneaux d’excellence, cela représente plus de 200 millions de dollars en retombées économiques générées par 34 congrès et 20 expositions commerciales. Globalement, les événements ont occupé plus de 53 Mpi2, soit une croissance de 4 %. Nicole Ménard, ministre du Tourisme, ajoute : « Les activités du Palais des congrès de Montréal contribuent indéniablement au rayonnement de Montréal et du Québec à l’échelle internationale. Les centaines de milliers de touristes d’affaires à chaque année viennent confirmer que Montréal est une ville d’accueil exceptionnelle en Amérique du Nord pour les événements internationaux ». Un site convoité pour le congrès d’envergure Parmi les congrès marquants qui se sont tenus en 2011, plusieurs ont été confirmés grâce à la collaboration de membres du Club des Ambassadeurs du Palais des congrès de Montréal : • 2011 American Cheese Society Annual Conference & Competition Ambassadeur accrédité : John Eggena 725 participants et 1,5 M $ en retombées économiques • Sommet mondial Écocité 2011 Ambassadeurs accrédités: Luc Rabouin et Jayne Engle-Warnick 1 900 participants et 4,6 M $ en retombées économiques • 10e Assemblée mondiale Civicus Ambassadeur exécutif : Michel Venne 800 participants et 1,2 M $ en retombées économiques • 12th International Congress of Human Genetics & 61st ASHG Annual Meeting Ambassadeur émérite : Emil Skamene 7 500 participants et 7,4 M $ en retombées économiques Cumul annuel des ententes confirmées pour les années à venir (du 1er avril 2011 au 31 mars 2012) Congrès internationaux et nationaux : 48 Nuitées estimées : 167 388 Retombées économiques estimées : 285 316 814 $ Résultats des congrès tenus (du 1er avril 2011 au 31 mars 2012) Congrès internationaux et nationaux : 34 Nuitées : 122 326 Retombées économiques : 149 267 413 $ Anticipant une diminution de l’achalandage en 2012-2013, année où le tourisme d’affaires ressentira plus directement les effets de la crise économique mondiale de 2008, le Palais poursuivra ses efforts de développement sur ses différents marchés afin de demeurer parmi les leaders de l'industrie. À propos du Palais des congrès de Montréal Le Palais des congrès de Montréal a pour mission de solliciter et d’accueillir des congrès, des expositions, des conférences, des réunions et d'autres événements. Institution publique à vocation commerciale, le Palais des congrès génère d’importantes retombées économiques pour le Québec et contribue fièrement, depuis plus de 28 ans, au partage des connaissances de même qu’au rayonnement international de Montréal à titre de destination de premier plan. Pour en savoir plus : http://www.congresmtl.com. À propos de Tourisme Montréal Tourisme Montréal est l’organisme responsable d’assumer le leadership de l’effort concerté de promotion et d’accueil pour le positionnement de la destination « Montréal » sur les marchés des voyages d’agrément et d’affaires et d’orienter le développement du produit touristique montréalais sur la base de l’évolution constante des marchés. Pour plus de renseignements, visitez le site http://www.tourisme-montreal.org. http://www.congresmtl.com/fr/nouvelles/communiques-item.aspx?id=251
  12. Il n'y a pas qu'à Montréal qu'on y pense...et qu'on hésite. http://www.air-journal.fr/2012-05-16-cdg-express-relance-549433.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
  13. Je suis étonné que le Thursday's ne se relocalise pas ailleurs dans le CV. L'Hôtel de la Montagne c'est pas une grande perte(sauf la terrasse sur le toit pour la vue). http://www.thursdaysbar.com/cms/modules/lucidnews/details.php?cid=&id=33 Le coté festif de Crescent va un peu disparaitre,mais la nature a horreur du vide donc je suppose que d'autres lieux vont naitre,peut être en bas de St Cath?
  14. Ca terminera l'effet 'canyon' sur de Maisonneuve,restera à voir le Waldorf monter un jour sur Sherbrooke pour le même effet bien que le Waldorf serait en retrait. Il faut encore trouver un locataire principal pour voir le début des travaux.Le 900 W sera en concurrence directe avec l'Altoria,l'Icône,le Windsor et l'éventuelle tour Spectrum pour du bureau. Sans oublier Rio Tinto et SNC 2.
  15. Bad Monday,sais tu si des phases 4/5/6 sont prévues de l'autre coté de la rue St Cath à partir du Shell?
  16. Plus forte croissance de l'emploi en 30 ans. Après être entré en dormance pendant plusieurs mois, le marché du travail retrouve beaucoup de tonus depuis la fonte des neiges. En avril, l'économie canadienne s'est enrichie de 58 200 emplois, à temps plein et dans le secteur privé pour la plupart. Cela fait suite à la poussée exceptionnelle de 82 300, en mars, selon les données de l'Enquête sur la population active (EPA) de Statistique Canada. Il faut remonter à 1981 pour retrouver pareille manne de 140 000 emplois en deux mois. Cet élan a confondu les prévisionnistes, qui avaient parié sur un gain modeste de 10 000 emplois, et propulsé de nouveau le huard au-dessus de la parité avec le billet vert. Cela n'aura pas suffi toutefois pour faire reculer le taux de chômage. En fait, il est même passé de son creux du présent cycle de 7,2% à 7,3%. Le même phénomène est observé au Québec où la création de 23 300 jobs, tous à temps partiel cependant, n'a pas empêché le taux des demandeurs d'emploi de grimper d'un dixième, à 8,0%. Hausse de la population active Tant au Canada que dans sa société distincte, la population active a grimpé encore plus vite que les capacités des employeurs à embaucher. D'un océan à l'autre, la cohorte des 16 ans et plus détenant ou cherchant un emploi a gonflé de 72 500 personnes. Son effectif au Québec a augmenté de 29 300 personnes. Il faut y voir le signe que les gens ont confiance dans leurs possibilités de décrocher un emploi. Le taux d'emploi a d'ailleurs augmenté d'un dixième, à 61,9%, au Canada et de trois dixièmes, à 60,0%, au Québec. Cette situation est beaucoup plus saine que celle des États-Unis, où le taux de chômage a reculé d'un dixième, à 8,1%, malgré une création d'emploi décevante le mois dernier. Le marché du travail américain ne s'est toujours pas relevé de la Grande Récession. Depuis juin 2009, la population de 16 ans et plus a augmenté de 7,1 millions d'habitants, ou 3%, alors que la population active est restée la même. «Il s'agit de la tendance la plus faible de la population active en 60 ans et la plus grande divergence avec la croissance démographique à ce jour», faisait remarquer plus tôt cette semaine Sal Guatieri, économiste principal chez BMO Marchés des capitaux. Depuis juillet 2009, la population canadienne de 16 ans et plus a grossi de 951 900 personnes ou 3,5%, tandis que sa cohorte active a augmenté de 568 000 personnes, soit 3,1%, selon les données de l'agence fédérale fournies à La Presse. Avec la méthodologie américaine, qui place le seuil de la population active à 16 ans, comparativement à 15 pour la canadienne, notre taux de chômage baisse à 6,4%, soit 1,7 point de moins que le taux américain, tandis que notre taux d'emploi grimpe à 62,6%, soit 4,2 points de pourcentage de plus que le taux de notre grand voisin. Le secteur des biens En avril, les nouveaux emplois canadiens se sont concentrés dans le secteur des biens, où il y a eu 70 000 embauches nettes, dont 24 600 dans la construction et 23 800 dans la fabrication. Depuis le début de l'année, l'effectif du bâtiment s'est gonflé de 33 600 personnes, celui en usine de 52 500. Toutes proportions gardées, le segment foresterie, pêches, mines et extraction d'hydrocarbures s'est montré encore plus robuste avec 11 000 emplois de plus en avril, portant l'ajout cette année à 27 800. Cette année, le secteur des biens a assuré 122 000 des 140 000 nouvelles embauches, jusqu'ici. Cette solide performance compense l'anémie apparente du secteur des services qui pèse pourtant deux fois plus dans la taille de l'économie. Les chiffres du Québec sont moins bons qu'il n'y paraît. Les 23 300 emplois nouveaux cachent la disparition de 9000 postes à temps plein. D'avril à avril, l'emploi à temps plein a fléchi de 3200, ce qui contraste avec le bond de 217 300, d'un océan à l'autre. Le nombre d'heures travaillées en avril était d'ailleurs moins élevé qu'en mars dans la Belle Province. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201205/11/01-4524554-plus-forte-croissance-de-lemploi-en-30-ans.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS3
  17. Plus d'emplois que prévu en avril au pays. Pour un deuxième mois de suite, le Canada enregistre un bon gain d'emplois. Les employeurs canadiens ont ajouté 58 000 emplois dans le pays en avril. C'est beaucoup plus que l'ajout de 10 000 emplois prévu par les économistes. Un plus grand nombre de Canadiens sont cependant à la recherche active d'un emploi, ce qui pousse le taux de chômage en progression de 0,1 point de pourcentage. Le taux de chômage est passé à 7,3% en avril au Canada. Au Québec, l'emploi a progressé pour un deuxième mois consécutif, en hausse de 23 000 en avril, et le taux de chômage s'est établi à 8%. L'Ontario a connu peu de variation de l'emploi en avril. Toutefois, l'augmentation du nombre de personnes à la recherche de travail y a entraîné une hausse de 0,4 point de pourcentage du taux de chômage, qui est passé à 7,8%. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201205/11/01-4524283-plus-demplois-que-prevu-en-avril-au-pays.php
  18. Hollande élu, les riches Français font leurs valises. Lorsqu'il discute avec ses clients Français, Patrick Froment entend de plus en plus parler de la Suisse et du Canada, comme destinations alternatives à la Belgique. http://www.rtbf.be/info/regions/detail_hollande-elu-les-riches-francais-font-leurs-valises-direction-la-belgique?id=7761135
  19. L'élection ce soir d'un président socialiste qui va taxer à 75 pct les revenus au dessus de 1 million d'euros,devrait selon la presse et de nombreuses agences immobilières,déclencher un exil fiscal de nombreuses grandes fortunes qui rechercheront une solution de rechange pour leur patrimoine et leurs revenus. Les destinations les plus citées sont:Genève(mais peu d'offre),Bruxelles(prix encore raisonnables et proximité de Paris 1h20 en TGV,Luxembourg(banques) et Montréal.Ce pour des raisons linguistiques évidentes. Viennent ensuite Londres et NYC. Un marché à prospecter rapidement pour nos promoteurs avec les nombreux projets actuellement annoncés. http://www.express.be/business/fr/economy/elections-franaises-des-fortunes-franaises-envisagent-de-fuir-la-france-pour-venir-sinstaller-en-belgique/167163.htm http://www.letemps.ch/Page/Uuid/2e08b72a-923b-11e1-8d7f-564daca47ace/Le_calme_avant_lexode François Hollande en tête dans les Dom Tom et les Amériques Nous avons déjà les premiers résultats pour le second tour de la présidentielle française en provenance des départements d'Outre-mer. A Saint-Pierre et Miquelon, François Hollande devancerait Nicolas Sarkozy, avec 65% des voix, contre 35% ; en Martinique, 68,5% contre 31,5% pour Nicolas Sarkozy. En Guadeloupe, François Hollande également en tête, avec près de 72% des voix exprimées ; en Guyane, avec 62% des votes. A Saint-Martin, le candidat socialiste l'emporterait avec 51,5 %, tandis que Nicolas Sarkozy ne serait en tête que dans la petite île de Saint-Barthélémy, avec près de 83% des voix exprimées. Dans les départements d'Outre-Mer, François Hollande réalise un meilleur score que Ségolène Royal, lors du précédent scrutin présidentiel. Voici un premier apercu des résultats partiels des Amériques. La participation augmente en moyenne de 3 a 4% par rapport au 1er tour. En règle générale, François Hollande fait le plein des voix de gauche et gagne environ le tiers des voix de François Bayrou. Il gagne à Montreal (près de 57,74%), à Toronto (51% - la gauche n'y avait jamais triomphe), au Pérou (55%), en Argentine (51,7%), en Colombie (58,82%) et au Honduras (56%). Il comble l'ecart avec la droite au Mexique (47,3%), au Bresil (47% - ou il gagne à Rio, Brasilia et Recife), au Costa Rica (44,1%) et au Chili (44%). rtbf.be afp
  20. L'angoisse, la peur, la précarité: chaque jour, à Montréal, plusieurs dizaines de milliers d'immigrés organisent leur vie autour d'une donnée majeure: leur situation illégale. Ils sont demandeurs d'asile déboutés, parents d'enfants canadiens, touristes venus ici non pour voyager mais pour travailler, ou encore entrés ici illégalement. Les chemins qui les ont menés à la clandestinité sont nombreux. Ils n'ont pourtant qu'une seule destination: la vie sans statut, le cul-de-sac juridique. Pendant des mois, voire des années, ils survivent dans l'anonymat le plus complet. De petits boulots payés au noir, dans des conditions qui dérogent aux normes québécoises, leur permettent de subsister. Ils n'ont pas accès à l'aide sociale ni à l'assurance maladie. Ils rasent les murs, hésitent à sortir de l'anonymat, de peur d'être dénoncés aux autorités canadiennes, arrêtés, renvoyés vers leurs pays. Ils sont prisonniers d'une vie quotidienne, privés des libertés les plus simples. On estime à plus de 250 000 personnes le nombre de clandestins au Canada, dont près de 40 000 à Montréal, qui vivent et travaillent à nos côtés. La Presse a rencontré certains d'entre eux, qui ont accepté, non sans réticence, de nous raconter leur existence sans statut au Canada et leur rêve d'une vie normale. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201205/06/01-4522453-40-000-clandestins-se-terrent-a-montreal.php nb:donc en fait la population réelle de la ville et du MTL Métro est supérieure de 40.000 habitants de facto.
  21. C'est bien la première fois qu'on à une révision à la 'hausse' de la hauteur...espérons que ça donne des idées à CF? Ils vont tous faire un concours,moi je veux une tour plus haute que la tienne,demandons des dérogations....
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