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bxlmontreal

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  1. Une solution pas trop chère avec des arrêts possible en chemin pour rentabiliser. http://www.rhonexpress.fr/
  2. Bilan économique 2011 de l’agglomération de Montréal : des records brisés dans plusieurs secteurs. Bilan économique 2011 de l’agglomération de Montréal : des records brisés dans plusieurs secteurs Montréal en statistiques publie aujourd’hui le Bilan économique de l’année 2011. Cette revue statistique annuelle permet de constater que la plupart des indicateurs économiques de l’agglomération de Montréal se sont avérés positifs en 2011 et ce, malgré un marché du travail fragilisé par une conjoncture mondiale difficile. Plusieurs secteurs ont affiché une progression remarquable : la construction non résidentielle, qui a connu une effervescence exceptionnelle particulièrement dans le secteur industriel; le marché résidentiel, qui a surpassé toutes les prévisions émises en début d’année; les dépenses en immobilisation du secteur public, qui sont les plus élevées des quinze dernières années; le transport de personnes et de marchandises, qui a atteint des sommets historiques; ainsi que le tourisme, qui a enregistré les meilleurs résultats des trente dernières années. À cela s’ajoute une croissance démographique stimulée par le plus fort accroissement naturel observé depuis le début des années 90. L’île de Montréal compte maintenant plus d’enfants qu’il y a cinq ans. Ce ne sont là que quelques éléments parmi d’autres qui confirment la vitalité économique de Montréal et qui peuvent être consultés dans le Bilan économique 2011 de l’agglomération de Montréal http://bulletin.ville.montreal.qc.ca/T/OFSYS/SM2/2/S/I/2603/29656/Ry6b5SmD.html
  3. "IKEA Canada annonce des travaux d'agrandissement qui feront de sa succursale de Montréal la plus grande en Amérique du Nord." KEA Canada annonce des travaux d'agrandissement qui feront de sa succursale de Montréal la plus grande en Amérique du Nord. Les travaux ont déjà été lancés et doivent être achevés d'ici l'été 2013. La superficie du magasin passera à 469 700 pieds carrés. « Nous sommes particulièrement heureux que ce projet d'agrandissement respecte les orientations de développement durable de l'arrondissement, tout en créant plus d'une centaine d'emplois sur le territoire d'ici 2013 », s'est réjoui le maire de Saint-Laurent, Alan DeSousa. IKEA promet une amélioration de 40 % de l'efficacité de sa succursale comparativement à la dernière série de magasins construits au début des années 2000. « Une expérience de magasinage améliorée y attendra nos fidèles clients montréalais : plus d'inspiration, plus de produits et plus de services sur place », explique Danielle Plamondon, la directrice du magasin IKEA à Montréal. La succursale montréalaise proposera notamment 54 décors, trois aménagements résidentiels complets, un restaurant de 600 places et 1400 espaces de stationnement. L'aire de jeu destinée aux enfants sera également renouvelée. Le Groupe IKEA exploite 280 magasins dans 26 pays, dont 11 succursales au Canada. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2012/05/03/008-ikea-agrandissement-montreal.shtml
  4. L'exploitation de nos réserves pétrolières pourrait enrichir le Québec de 400 milliards, selon l'Institut économique de Montréal. Même si les Québécois veulent se débarrasser du pétrole, ils en consomment toujours plus. S'ils acceptaient d'exploiter leurs propres hydrocarbures plutôt que les importer, ils s'enrichiraient considérablement. Nos ressources valent au moins 400 milliards, estime Germain Belzile, professeur de HEC, dans une étude réalisée pour l'Institut économique de Montréal. Trop de gens, au Québec, pensent qu'on est sur le point de se débarrasser du pétrole, explique-t-il au cours d'un entretien avec La Presse Affaires. Or, rien n'est plus faux, selon lui. La consommation est en hausse presque partout dans le monde. «Depuis 20 ans, la consommation de pétrole du Québec a augmenté de 4%. Et la part du pétrole dans le bilan énergétique du Québec a à peine diminué pendant cette période, passant de 41% à 39%.» Le secteur des transports est responsable de la dépendance au pétrole, au Québec et ailleurs. Et même si les voitures électriques et hybrides se répandent, ce n'est pas à la veille de changer. Germain Belzile cite l'Agence internationale de l'énergie, qui prévoit que le pétrole sera encore la plus importante source d'énergie primaire dans le monde en 2035. «Du pétrole, il y en aura encore dans 50 ou 100 ans», soutient le professeur. Il souligne que le charbon existe toujours, même si on prédit sa disparition depuis que le pétrole l'a remplacé comme source principale d'énergie, il y a 100 ans. Comme c'est le cas avec le charbon, la part du pétrole diminuera avec le temps au profit d'autres sources d'énergie, plus vertes. «En attendant, le pétrole reste incontournable», dit Germain Belzile, le Québec aurait tort de se priver de cette richesse. Une richesse qui peut être estimée à 400 milliards, a-t-il calculé, en se basant sur les estimations des entreprises qui font de l'exploration pétrolière, et sur l'hypothèse relativement prudente qu'un dixième des réserves identifiées serait économiquement récupérable à un prix de 100$ le baril. Cette somme inclut les profits, les redevances, les salaires et les impôts générés par l'industrie. Selon lui, «on peut être hypocrite et se péter les bretelles en disant qu'on pollue pas, et continuer de consommer du pétrole importé», ou décider d'exploiter notre ressource pour contribuer à régler nos problèmes de pauvreté, de dette et de fiscalité élevée. Les provinces qui le font sont plus riches, souligne-t-il. «En 2010, les trois provinces ayant le produit intérieur brut par habitant le plus élevé étaient l'Alberta à 70 826$, la Saskatchewan à 60 877$ et Terre-Neuve à 55 140$.» Au Québec, la même année, le PIB par habitant était sensiblement plus bas que dans ces trois provinces, à 40 395$. «Même les plus pauvres bénéficient de la richesse pétrolière», soutient le professeur. Le revenu disponible des 20% des Québécois les moins riches était de 13 500$ en 2009, comparativement à 17 700$ pour les moins riches en Alberta, illustre-t-il. C'est une différence de 31%. La solution verte «On n'est pas en train de dire faisons les cow-boys et exploitons nos ressources n'importe comment», dit le chercheur associé à l'Institut économique de Montréal. Il faut développer notre industrie pétrolière seulement si on peut le faire de façon rentable en respectant la réglementation. Ce qu'il ne faut pas faire, à son avis, «c'est mettre une croix là-dessus en partant en se disant qu'on n'en a pas besoin». Les solutions de rechange sont coûteuses, et le resteront encore longtemps, croit-il. L'Espagne et l'Allemagne l'ont appris à leurs dépens et ont dû réduire les subventions coûteuses qui avaient pour but de réduire rapidement leur dépendance aux énergies fossiles. Le développement des énergies renouvelables entraîne lui aussi des retombées économiques importantes, mais son coût est très élevé. En Espagne, par exemple, «chaque emploi vert créé depuis 2000 a coûté plus de 500 000 euros en subventions au gouvernement», rapporte Germain Belzile. Seuls les pays très riches peuvent se permettre ce luxe-là, croit-il. Et encore. «Les États-Unis subventionnent les acheteurs de voitures électriques et hybrides parce qu'il y en a très peu, explique-t-il. Si leur nombre augmentait, ça coûterait trop cher.» «Tant qu'il sera plus économique que les énergies renouvelables et qu'il nous rendra des services essentiels, le pétrole demeurera une ressource incontournable, au Québec et ailleurs dans le monde. Quelqu'un, quelque part devra le transformer. « Si le Québec produisait le pétrole qu'il consomme plutôt que de l'importer, sa balance commerciale s'en porterait mieux. C'est vrai, convient le professeur, mais ce n'est pas une bonne raison pour développer cette industrie. «On pourrait aussi produire des bananes, dans des serres, ce qui réduirait également le déficit commercial. Mais ça coûterait plus cher que d'en importer», explique-t-il. Le développement d'une industrie pétrolière au Québec a un sens uniquement si le pétrole produit ne coûte pas plus cher que le pétrole importé. «Il n'y a aucune raison de croire que l'industrie pétrolière du Québec serait moins rentable que celle de l'Alberta.» Le professeur ne veut pas laisser croire que le pétrole québécois résoudra tous les problèmes. C'est seulement un outil de plus pour améliorer notre niveau de vie, croit-il. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/energie-et-ressources/201204/26/01-4519043-le-quebec-assis-sur-lor-noir.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS4 De belles retombées à espérer pour Montréal?
  5. Hors sujet mais ça va intéresser tout le monde: Gratte-ciel flamboyant pour la Caisse de dépôt à Paris. http://blogues.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/immobilier/2012/04/25/gratte-ciel-flamboyant-pour-la-caisse-de-depot-a-paris/
  6. Les pétrodollars des pays du Golfe sont dans la mire du maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui y mènera une mission économique du 30 avril au 4 mai prochain. Accompagné de responsables de 14 entreprises montréalaises, le maire s'arrêtera à Dubaï, Abou Dhabi et Doha. Avec des réserves de capitaux de 800 milliards de dollars, «les investisseurs du Moyen-Orient sont devenus des joueurs commerciaux incontournables», a expliqué en point de presse M. Tremblay. La mission servira à soutenir les entreprises montréalaises qui veulent amorcer une démarche d'affaires dans la péninsule arabique. On souhaite également inciter des investisseurs du Golfe à s'intéresser à Montréal. On mise sur les quelque 6000 Canadiens vivant dans ses pays pour faciliter les contacts. Des rendez-vous avec des politiciens locaux sont également prévus. «C'est important pour les entreprises d'avoir accès à des décideurs», dit le maire. Il prononcera notamment un discours à l'Annual Investment Meeting à Dubaï, rendez-vous de plus de 3000 investisseurs internationaux. «La présence du maire est un grand facilitateur pour les entreprises, a précisé Michel Leblanc, président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, qui sera du voyage. On sème une graine qui, par la suite, va les aider sur d'autres marchés.» Les entreprises invitées proviennent de domaines très divers, du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec à la firme de génie-conseil CIMA +, du Groupe Sutton aux spécialistes de la sécurité Garda World. «On est mieux de ne pas être trop nombreux, et de focaliser sur des projets précis», explique M. Leblanc. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201204/25/01-4518955-le-maire-tremblay-senvole-pour-les-pays-du-golfe.php
  7. Moi je trouve qu'on ressemble plus au profil de Boston comme ville(taille,universités nombreuses,une partie vieille ville et ville moderne,densité modérée,peu de très hautes tours).Par contre leur métro ça le fait vraiment pas. L'aéroport a un trafic international 'modeste' pour une telle ville. Le coté Irlandais.Bon y a la mer ok,nous on a le fleuve.Mais c'est une ville cool comme SF. Leur CV ne compte que 680.000 habitants et le Boston Metro 4.5,notre objectif à 2025.
  8. Et Rio Tinto Alcan,le projet est mort? Ils cherchaient 230.000 pc je crois non?
  9. Nouveau visage pour le Goethe-Institut Montréal. L'institution culturelle allemande, dont les nouveaux locaux ouvriront fin septembre en plein cœur du Quartier des spectacles, dévoilait hier ses plans d'aménagement ainsi que les célébrations entourant son 50e anniversaire. Et quel visage ! 68 mètres de façade vitrée pour 900 mètres carrés de superficie qui seront aménagés tout en transparence, au rez-de-chaussée du Loft des arts, à l'angle du boulevard Saint-Laurent et de l'avenue du Président-Kennedy. Après son élégante maison à étages de la rue Sherbrooke, l'institut adoptera un style contemporain, conjuguant « le verre, le bois, le béton et le blanc, avec des accents de couleurs qui font la marque du Goethe », a résumé Owen Rose, l'architecte de la firme Tautem. Bibliothèque, café, salle multimédia et salles de classe se partagent l'espace culturel. Le Goethe continuera bien sûr d'y offrir ses cours d'allemand, pierre angulaire de sa mission, et de proposer une foule d'activités culturelles. Depuis sa fondation en 1962, quelque 1000 artistes germaniques sont venus nous visiter à son invitation, dont Günter Grass, Berhnard Schlink, Wim Wenders et Sasha Waltz. Si l'institution perd son auditorium dans le déménagement, c'est pour mieux s'associer à des partenaires qui font déjà la part belle au cinéma allemand. Par exemple, le film Poll de Chris Kraus débute demain au cinéma Excentris, en présence du réalisateur dans le cadre du 50e anniversaire. « Ce que j'appelle nos domaines traditionnels (danse, théâtre, cinéma) vont rester importants, explique Manfred Stoffl, en voie de remplacer Metchild Manus à la direction générale du Goethe Montréal, mais de nouveaux projets vont s'ajouter en design et en art multimédia. » Ce dernier sera à l'honneur dans les cinq vitrines donnant sur la rue, dès l'ouverture officielle, le 29 septembre, avec les installations vidéo de la Kunsthochschule für Medien Köln. Le design allemand se distinguera déjà dans les bureaux, dont le mobilier est signé Konstantin Grcic et les tablettes sont conçues par Dieter Rams. Mais d'autres rendez-vous, souvent copilotés avec Mission Design, favoriseront les échanges entre le Québec et l'Allemagne. Célébrations Outre le film Poll, le menu des festivités du 50e comprend l'olympiade internationale d'allemand et la présentation d'uni display de Carsten Nicolai à l'occasion de la Biennale internationale d'art numérique et de la performance x-fois gens chaise d'Angie Hiesl lors du Festival TransAmériques en mai. Unique en son genre (imitée par l'institut Cervantès), la grande institution culturelle allemande, qui compte 149 Goethe-Institut répartis dans 14 régions du monde, semble à l'abri des crises économiques et politiques. Seuls de rares cas d'extrême instabilité politique ont eu raison, pour une période temporaire, de ses antennes en Syrie et au Nigeria, et de manière définitive en Corée du Nord. Son approche, enracinée dans le tissu culturel des pays où elle s'installe, est « la seule voie du succès », selon son président, Klaus-Dieter Lehmann, en visite pour l'occasion. « La culture vit du dialogue et de l'ouverture. » http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/348389/le-nouveau-goethe-institut-se-devoile
  10. Visiblement ils ont du cash...on va leurs vendre quelques condos ou penthouses... Ben pour leurs employés....
  11. Investissement de 50 millions chez Medtronic. L'équipementier médical Medtronic (MDT) agrandira ses centres de recherche et de production situés dans l'ouest de l'île. Un investissement total évalué à 50 millions de dollars qui devrait créer 205 nouveaux emplois dans la région montréalaise. Comme l'a rapporté La Presse Affaires le 3 avril dernier, le gouvernement québécois participera à l'expansion de l'entreprise américaine en lui accordant une subvention de 15 millions par l'entremise de son bras financier Investissement Québec. Selon les termes de l'entente qui lie les deux parties, l'argent sera décaissé sur une période de cinq ans et sera conditionnel à la création de nouveaux emplois. «C'est un investissement qui est structurant pour l'avenir de l'économie québécoise et de l'ouest de l'île de Montréal», a souligné en conférence de presse le premier ministre Jean Charest. Selon lui, le Québec a voulu faire des sciences de la vie un maillon fort de son développement économique, et le gouvernement réitère son appui au secteur par son investissement dans Medtronic. Medtronic conçoit et met au point des technologies appliquées au domaine de la santé. En 2009, elle a mis un pied au Québec en achetant la montréalaise Cryocath, pionnière en matière de traitement de l'arythmie cardiaque, pour environ 400 millions de dollars. Ce sont d'ailleurs les anciennes installations de Cryocath à Kirkland et Pointe-Claire qui profiteront des investissements. Medtronic prévoit y accroître sa capacité de production d'équipements médicaux, mais aussi augmenter ses activités de recherche et développement, en plus de créer un centre de formation médicale. Michelle Savoie, directrice générale de Montréal InVivo, salue l'annonce de l'implantation de Medtronic au Québec. «C'est particulièrement une bonne nouvelle parce que c'est la première entreprise de technologies médicales d'ordre mondial qu'on a à Montréal, a-t-elle indiqué. Les technologies médicales, c'est le secteur des sciences de la vie qui pourrait connaître la plus forte croissance, et avoir une entreprise comme ça sur laquelle on pourra s'appuyer pour bâtir une partie de l'écosystème des sciences de la vie, c'est vraiment une excellente nouvelle.» À la suite de l'agrandissement de ses installations montréalaises, Medtronic prévoit la création de plus de 200 emplois pour la plupart hautement spécialisés. Selon Neil Fraser, président de Medtronic du Canada, la disponibilité d'une main-d'oeuvre spécialisée a d'ailleurs pesé dans la balance lorsqu'est venu le temps de décider à quel endroit son entreprise allait accroître ses activités. «On m'a dit que seule la région de Boston produisait plus de diplômés spécialisés, a-t-il expliqué avant d'énumérer la liste des écoles d'ingénierie dans la région montréalaise. Il y a ici un bassin de talents pour notre industrie, et nous espérons pouvoir les attirer chez nous.» L'annonce de l'agrandissement de Medtronic survient quelques semaines après que Valeant eut indiqué son intention d'établir son siège social mondial à Laval. Dans les deux cas, Québec participera à une hauteur de 30% dans ces investissements. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/sante/201204/25/01-4518713-investissement-de-50-millions-chez-medtronic.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS12
  12. http://www.radio-canada.ca/emissions/telejournal_18h/2011-2012/Reportage.asp?idDoc=216630&autoPlay=
  13. Le marché des bureaux est chaud, chaud, chaud en Bourse. Les fonds de placement immobiliers (FPI) s’arrachent les immeubles à bureaux et locatifs dans les grandes villes canadiennes. Leur appétit semble insatiable depuis plusieurs trimestres… et les rendements sont au rendez-vous. L’indice S&P/TSX Capped REIT, qui regroupe les FPI canadiens, vient d’atteindre un sommet de cinq ans, rapporte ce matin l’agence Bloomberg. Les investisseurs sont rassurés par la baisse soutenue du taux d’inoccupation dans les immeubles à bureaux. Celui-ci a reculé de 9,3% à 8,2% au Canada depuis un an. Les bureaux vacants se font encore plus à Montréal. Le taux d’inoccupation est aujourd’hui à 5,9% dans les immeubles de catégorie A et B du centre-ville, contre 7,7% à pareille date l’an dernier, indique Newmark Knight Frank Devencore. Cette bonne tenue explique sans doute l’appétit des investisseurs pour l’immobilier commercial montréalais. Les transactions ont totalisé 3,4 milliards de dollars l’an dernier à Montréal, en hausse de 13,5 % sur un an, selon CBRE. Les FPI canadiens qui ont affiché la meilleure performance cette année sont: - Artis Real Estate Investment Trust (+17% depuis le début de 2012) - Boardwalk Real Estate Investment Trust (+16%) - Dundee Real Estate Investment Trust (+13%) L’indice S&P/TSX Capped REIT vient pour sa part d’atteindre son plus haut niveau depuis juillet 2007. Il a progressé de 6,3% depuis le début de 2012. http://blogues.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/immobilier/2012/04/24/le-marche-des-bureaux-est-chaud-chaud-chaud-en-bourse/ D'autre part sur RC,un des organisateurs de l'expo parlait de 4 à 5 projets de tours de bureaux qui seraient prochainement annoncés,tant l'espace manquera si on prend en plus en compte le temps de les construire on sera proche des 2 pct de taux d'inoccupation en cat A et B lors d'une éventuelle livraison en 2014/2015. Faudrait savoir qui dit vrai finalement?
  14. Mauvaise nouvelle pour Montréal: Le crédit d'impôt jeu vidéo reconduit en France. La Commission européenne a autorisé, mercredi 25 avril, la reconduction en France du dispositif de crédit d'impôt jeu vidéo. "La Commission a conclu que ce régime, dont le budget est estimé à 45 millions d'euros par an, contribue à orienter la production de jeux vidéo vers des projets à contenu culturel, en accord avec les règles de l'UE relatives aux aides d'Etat", souligne la Commission. Pour le Syndicat national du jeu vidéo (SNJV), "c'est un soulagement pour toutes les entreprises françaises de production de jeux vidéo". "Dans le contexte de profonde mutation de nos marchés et face au dumping social et fiscal pratiqué notamment par nos voisins canadiens, la disparition de ce dispositif incitatif aurait largement amputé le volume des créations dans notre pays", explique Nicolas Gaume, président du SNJV, cité dans un communiqué. Avec ce renouvellement, le crédit d'impôt est reconduit jusqu'en décembre 2017. Instauré en 2008 pour une durée de quatre ans, le crédit d'impôt est l'un des dispositifs mis en place pour soutenir l'industrie du jeu vidéo en France. Il permet de déduire des impôts 20 % des dépenses liées au développement d'un jeu. D'après les chiffres transmis par le gouvernement, en mars, une centaine de projets en a bénéficié, pour un total de 32 millions d'euros, selon les données gouvernementales. Mais le dispositif, temporaire et unique en Europe, devait de nouveau être approuvé par la Commission européenne fin 2011. L'Etat et le Centre national du cinéma et de l'image animée ont dû établir l'intérêt économique de ce crédit d'impôt. "Il a été démontré que pour chaque euro de crédit d'impôt jeu vidéo versé, 6,70 euros de dépenses étaient réalisées dans la filière du jeu vidéo, et 1,80 euro de recettes fiscales et sociales perçues par l'Etat", souligne le Syndicat national du jeu vidéo. SURENCHÈRE INCITATIVE Cette annonce intervient alors que plusieurs Etats, notamment le Canada, ont mis en place des systèmes d'exonération fiscale, qui attirent de plus en plus d'entreprises. Au Canada, jusqu'à 40 % des coûts de production d'un jeu vidéo peuvent être remboursés, et d'autres pays, comme la Corée et l'Australie, instaurent de telles mesures incitatives. En Europe, le Royaume-Uni songe, pour 2013, à la mise en place d'un système analogue. Le chiffre d'affaires du jeu vidéo en France s'élève à 2,7 milliards d'euros, contre 52 milliards d'euros à l'échelle mondiale. Plus de 300 entreprises employant 5 000 personnes au total sont présentes sur l'Hexagone, offrant toute une gamme de productions, des blockbusters d'Ubisoft au jeu mobile de Gameloft, en passant par les jeux sur les réseaux sociaux, avec Kobojo. L'industrie française est par ailleurs déjà très tournée vers l'étranger, puisqu'elle exporte, en 2011, plus de 70 % de son chiffre d'affaires. http://www.lemonde.fr/technologies/article/2012/04/25/le-credit-d-impot-jeu-video-reconduit-en-france_1691034_651865.html
  15. (Montréal) Avec l'arrivée du printemps, les coureurs ont repris leur entraînement en vue du Marathon de Montréal, en septembre prochain. Pour la première fois, celui-ci sera organisé par une société californienne appartenant à des financiers de New York, dont l'objectif est de maximiser le profit de ses sociétés en portefeuille. Cela n'empêchera pas l'organisation de faire appel à 1500 bénévoles, ni de recevoir des centaines de milliers de dollars en aide publique. En septembre dernier, Bernard Arsenault a vendu la société Gesport, organisatrice du Marathon de Montréal, à Competitor Group, de San Diego. Depuis cette date, le Marathon de Montréal est présidé par Peter Englehart, associé de Falconhead Capital, une firme de capitaux privés de New York qui détient 100% de Competitor Group. «Competitor détient 100% de Marathon de Montréal», a confirmé Dana Allen, première vice-présidente, dans un entretien. Le communiqué publié à l'époque par M. Arsenault a annoncé l'association entre l'épreuve montréalaise et la série de marathons Rock'N'Roll, qui a attiré 390 000 participants en 2011, mais il ne faisait pas mention d'un transfert de propriété. Par la suite, des articles parus sur le sujet ont parlé d'une «vente partielle» de l'épreuve montréalaise, sans en préciser les détails. Les parties refusent de dévoiler le prix de la transaction. Un OSBL «En fait, le Marathon est encore un organisme sans but lucratif, précise Dominique Arsenault, fille de Bernard et responsable des communications de Marathon de Montréal. C'est la société qui gère le Marathon [qui a été vendue]. C'est probablement une des meilleures façons d'amener l'événement à un autre niveau, poursuit-elle. Les capitaux que nous n'aurions pas pu nécessairement aller chercher, les gens de Competitor Group les ont. C'est déjà une grosse machine bien implantée», explique-t-elle. L'an dernier, la course montréalaise a attiré près de 24 000 participants; 27 000 sont attendus en 2012. «On veut augmenter la participation, surtout en provenance des États-Unis», a dit Dana Allen. La société pour laquelle elle travaille vaut au moins 115 millions US (voir autre texte). «Notre but est d'amener plus de touristes à Montréal en faisant la promotion de l'événement dans nos magazines et auprès des coureurs inscrits dans notre banque de données.» Les marathons Rock'N'Roll sont des événements festifs, où les coureurs ont la possibilité de voir des performances musicales tous les deux kilomètres le long du parcours. Un concert est aussi prévu au fil d'arrivée. Les subventions sont-elles nécessaires? Comme bien des épreuves du genre en Amérique, le Marathon de Montréal fait appel aux bénévoles et à l'argent des contribuables pour la tenue de la course. Qu'une société à but lucratif valant plus d'une centaine de millions fasse appel à des bénévoles et à l'argent des contribuables pour tenir une épreuve de course à pied a soulevé la controverse ailleurs, à San Diego notamment, où Competitor Group a dû rembourser des subventions de 344 000$ aux autorités locales (voir autre texte). Au Québec, les bailleurs de fonds publics acceptent volontiers de subventionner des événements populaires comme les grands festivals qui sont gérés par des sociétés commerciales, du moment que les retombées économiques et les touristes sont au rendez-vous. Dana Allen ne craint pas pour ses subventions, malgré le statut à but lucratif du nouveau propriétaire du Marathon. «Dans les discussions que nous avons eues avec la Ville et les responsables de l'industrie touristique, nous avons senti beaucoup d'enthousiasme. Ils nous appuient et sont persuadés que ce sera bon pour la ville parce que nous allons faire venir à Montréal plus de coureurs de l'extérieur», dit-elle. L'an dernier, Québec a versé 177 000$ au Marathon de Montréal. De son côté, la Ville de Montréal offre gratuitement les services policiers et d'autres services publics, comme elle le fait d'ailleurs pour le Tour de l'île ou les festivals. La valeur des services atteint 425 000$ pour la course de 2012 (321 000$ en 2011). Tourisme Montréal, qui gère la taxe d'hébergement de 3% du revenu de location des chambres d'hôtel, finance également l'événement depuis trois ans, mais l'organisme refuse de divulguer publiquement sa contribution. Des critiques Un ancien organisateur du Marathon se montre critique. «Idéalement, l'organisation d'un événement comme ça devrait être donnée à un groupe local», soumet Alain Bordeleau, qui en a été le responsable de 1992 à 1996. Il est aussi détenteur du record québécois au marathon avec un temps de 2 heures 14 minutes et 19 secondes, réalisé en 1984 à Ottawa. «L'idée que le Marathon puisse réinvestir ses profits dans le milieu pour soutenir le développement des athlètes ou l'offre de services est une avenue intéressante», croit l'ancien olympien, qui gagne sa vie dans l'import-export. C'est le cas à la Coupe Rogers, organisée par Tennis Canada. Les profits de l'événement vont au développement des joueurs, confirme Valérie Tétreault, coordonnatrice des communications de Tennis Canada. «Si ce sont des intérêts américains qui organisent le Marathon, les profits vont aller du côté des États-Unis», s'inquiète Alain Bordeleau. Johanne Turbide, professeure de comptabilité à HEC Montréal et spécialiste en gestion financière des OSBL, ne partage pas les mêmes craintes. Elle souligne que les OSBL doivent démontrer aux autorités que sans l'appui public, l'activité ne peut pas faire ses frais. «Les bailleurs de fonds publics font le travail de vérification», soutient-elle. L'universitaire reconnaît néanmoins que les OSBL manquent de transparence. Au Québec, ceux-ci n'ont de compte à rendre qu'à leurs membres (au minimum trois personnes) et, à l'occasion, aux bailleurs de fonds. Competitor a refusé de divulguer les chiffres de Marathon de Montréal. Un précédent Outre la question de la transparence, la vente du Marathon à des intérêts étrangers soulève des interrogations quant au transfert de propriété des grandes manifestations populaires comme les festivals. «Avec le Marathon, on est en présence d'une forme de précédent», estime Martin Roy, directeur général du Regroupement des événements majeurs internationaux (REMI), lequel ne compte pas le Marathon de Montréal parmi ses 22 membres. «Au REMI, on est là pour travailler à la pérennité d'un secteur qui a été formé par des visionnaires qui, un jour, passeront la main. On espère que ça va se faire au profit de la collectivité et des Québécois», a-t-il indiqué. ---------------- La manifestation sportive en un coup d'oeil Date 23 septembre 2012 Épreuves > marathon > demi-marathon > 10 km > 5 km > 1 km Participants en 2011 24 000 ---------------- Qui est le nouveau propriétaire du Marathon de Montréal? Competitor Group Création : 2007 Propriétaire : Falconhead Capital (100%) Président et chef de la direction : Scott Dickey Principaux actifs > 58 événements, dont 27 Marathons Rock'N'Roll > Base de données de plus de 7 millions de coureurs et de triathlètes > 4 magazines spécialisés: tirage mensuel de 600 000 copies > Plateformes numériques (Competitor.com et Raceit.com) ----------------- MARATHONS LES PLUS POPULAIRE EN 2011 NEW YORK 47 133 FINISSANTS CHICAGO 35 755 FINISSANTS LONDRES 35 126 FINISSANTS BERLIN 32 816 FINISSANTS TOKYO 32 395 FINISSANTS Source : Rapport annuel, Running USA http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201204/23/01-4518267-le-marathon-de-montreal-entre-les-mains-de-financiers-new-yorkais.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS8
  16. (Montréal) Le groupe pharmaceutique Roche fera de l'Institut de cardiologie de Montréal (ICM) son pôle mondial de recherche sur les maladies cardiométaboliques. Une annonce susceptible d'engendrer des millions en retombées pour le centre hospitalier montréalais. En lui attribuant ce statut, Roche confirme en effet son intention de financer des recherches à l'ICM qui iront de la gestion d'études cliniques au développement de biomarqueurs associés à la santé cardiovasculaire. «Le partenariat est à multiples facettes», confirme Jean-Claude Tardif, cardiologue clinicien et directeur du Centre de recherche de l'ICM. Selon lui, si l'Institut devient le partenaire d'une pharmaceutique, c'est parce qu'il dispose entre autres depuis une dizaine d'années d'un centre consacré à la coordination d'essais cliniques. Grâce à lui, l'ICM agit en partie à titre de sous-traitant pour les entreprises des secteurs de la biotechnologie et de la pharmaceutique. De 3 à 200 emplois «Quand on l'a créé il y a 10 ans, il y avait 3 employés, souligne Jean-Claude Tardif. Maintenant, il y en a plus de 200, et ces 200 emplois sont dans la vaste majorité occupés par des gens qui ont des diplômes de maîtrise ou de doctorat.» Parmi les entreprises qui ont financé indirectement ces emplois, on compte Roche qui fait affaire avec l'ICM depuis maintenant cinq ans. L'entreprise helvète a d'ailleurs confié à l'ICM la gestion de trois études cliniques d'envergure qui vérifient l'efficacité de deux médicaments, le dalcetrapib et l'aleglitazar, dans lesquels elle fonde beaucoup d'espoir. En plus de lui confier la gestion de nouvelles études cliniques, Roche compte financer la mise au point d'outils moléculaires qui amélioreront la précision du diagnostic de patients à haut risque de contracter une maladie cardio-vasculaire. La recherche en impartition C'est que Roche n'échappe pas à la tendance qu'ont les géants pharmaceutiques à externaliser leurs recherches. Pour augmenter la rentabilité de leurs investissements et accélérer le passage de l'innovation au traitement clinique, les pharmaceutiques se tournent de plus en plus vers des centres académiques ou hospitaliers comme l'ICM pour faire de la recherche. «Accéder à l'innovation extérieure est un élément essentiel de la stratégie d'innovation de Roche», a d'ailleurs expliqué par voie de courriel Ronnie Miller, président et chef de la direction de Roche Canada. Selon Jean-Claude Tardif, le modèle mis de l'avant par l'ICM gagnerait à être reproduit. «C'est à mon avis ce nouveau genre de partenariat qui va faire qu'on va revitaliser l'industrie biopharmaceutique au Québec, dit-il. On est capables de générer de la nouvelle richesse, et on est en train de le montrer.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/sante/201204/24/01-4518321-roche-sassocie-a-linstitut-de-cardiologie-de-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS15
  17. Melbourne est aussi très proche de Montréal dans beaucoup de domaines,Sydney étant leur Toronto.
  18. Les Français du Canada et des Etats-Unis ont commencé à voter pour le premier tour de la présidentielle. En métropole, ce sera dimanche à 8 heures. Les Français du Canada et des Etats-Unis ont commencé à voter samedi pour l'élection à la présidence de la République française, avec une journée d’avance sur la métropole. Une file d’attente de plusieurs dizaines de personnes s’est formée à Montréal devant le Collège Stanislas, une des écoles françaises de la grande ville québécoise, bien avant l’ouverture des 20 bureaux de vote dans ses deux gymnases à 8 heures locales (12 heures GMT). Montréal représente le plus grand nombre d'électeurs français en Amérique du Nord, avec 44 000 inscrits. C’est aussi la quatrième ville française à l'étranger, après Genève, Londres et Bruxelles. Au même moment, le vote a débuté dans les grandes villes de la côte est des Etats-Unis, dont New York, avec 23.000 inscrits. Il devait commencer trois heures plus tard sur la côte pacifique du continent, pour se terminer partout à 20 heures locales. http://www.liberation.fr/politiques/2012/04/21/le-scrutin-a-commence-a-saint-pierre-et-miquelon_813337 http://www.lalibre.be/toutelinfo/afp/369559/elysee-2012-outre-mer-et-ameriques-ouvrent-le-bal-du-premier-tour.html
  19. Oui mais c'est compensé par les compagnies d'Europe qui elles se voient interdire toute subsidiation suite à un stupide règlement de la Commission Européenne....plutôt libérale,mais plus pour longtemps vu les changements politiques imminents en France.
  20. http://www.gameblog.fr/news/27396-quantic-dream-heavy-rain-menace-de-quitter-la-france
  21. Montréal International a courtisé fort partout dans le monde en 2011, et ses efforts de séduction ont porté leurs fruits. L'organisation a contribué à attirer des investissements directs étrangers de 668 millions de dollars pendant l'année, une hausse de 16% par rapport à 2010. Montréal International (MI), qui a dévoilé hier soir ses résultats au cours de son assemblée annuelle, a aidé 28 entreprises étrangères à s'implanter ou grandir ici, soit exactement le même nombre qu'en 2010. Parmi les sociétés soutenues, mentionnons le fabricant de jeux vidéo Square Enix, qui a ouvert un nouveau studio à Montréal, Google, qui a doublé ses effectifs dans la métropole, et le développeur de batteries au lithium BatHium, qui a investi 176 millions à Boucherville. Fait intéressant, les trois quarts des projets soutenus sont dans des secteurs de haute technologie. Selon l'organisme, ces investissements ont permis de créer ou conserver 2351 emplois dans la région métropolitaine. L'Europe a été au coeur des efforts l'an dernier, 50% des investissements provenant du Vieux Continent. MI a aussi attiré ou retenu 1887 travailleurs qualifiés à Montréal au cours de l'année par l'entremise de ses missions de recrutement. Le président du conseil d'administration, Normand Legault, a rappelé dans le rapport annuel que le nombre d'agences de promotion qui travaillent à attirer des investissements a quintuplé au cours des 20 dernières années, créant une concurrence de plus en plus vive. «MI continuera en 2012 à faire face à des défis importants, comme l'attractivité croissante des pays émergents comme le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine», a-t-il dit, pointant aussi la force du dollar canadien qui réduit la compétitivité de Montréal par rapport aux villes américaines. L'organisme continuera de jouer les cartes de la main-d'oeuvre qualifiée et bilingue, des programmes de soutien à la recherche et au développement, et de la qualité de vie pour attirer des gens et des dollars à Montréal. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/macro-economie/201204/20/01-4517207-montreal-international-les-investissements-etrangers-en-hausse.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS7
  22. Moins de prestataires d'assurance-emploi en février au pays. Le nombre de personnes ayant touché des prestations d'assurance-emploi ordinaires a diminué de 6700 (-1,2%) en février pour s'établir à 552 800, a révélé jeudi Statistique Canada. Le nombre de prestataires s'est contracté dans six provinces, a ajouté l'agence fédérale, et les baisses en pourcentage les plus marquées ont été observées en Alberta, en Saskatchewan et au Québec. À l'échelle nationale, le nombre de demandes initiales et renouvelées a diminué de 5900 (-2,5%) pour passer à 236 100 en février. La plus forte baisse en pourcentage a été enregistrée au Québec, où le nombre de demandes a reculé de 6,3%. Les autres provinces ont connu peu de variation au cours du mois... http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/macro-economie/201204/19/01-4516924-moins-de-prestataires-dassurance-emploi-en-fevrier-au-pays.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS2 On ne comprend plus rien aux statistiques d'emplois depuis quelques temps,ça part dans tous les sens.Tantôt on est les pire,tantôt les meilleurs. Faudrait un peu d'ordre la dedans.
  23. Saisie de drogue évaluée à 860 millions au Port de Montréal. Après la French Connection voici la Québec Connection.... La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a indiqué mercredi avoir mis la main sur 43,3 tonnes métriques de haschich devant transiter par les ports de Montréal et de Halifax, une saisie dont la valeur est estimée à 860 millions $. L'enquête baptisée «Celsius» a débuté à la suite de la découverte de drogue dans des conteneurs aux ports de Montréal et Halifax en 2009 et en 2010. Huit personnes originaires de Montréal, de la Montérégie et des Laurentides ont été appréhendées et une neuvième personne originaire de Gatineau est recherchée. Plusieurs des suspects ont comparu mercredi. Tous font face à des accusations de complot, importation et possession de stupéfiants en vue d'en faire le trafic. Trois des accusés étaient des employés de la compagnie oeuvrant au terminal Cast au Port de Montréal, soit deux inspecteurs et un gardien de sécurité, a expliqué le sergent d'état-major André Potvin, de la GRC. «Lorsqu'un conteneur suspect arrivait à Montréal, une transmission était envoyée au télécopieur d'un hôtel local. L'un des suspects récupérait alors celle-ci et mettait en marche les mesures pour faire sortir le conteneur auprès de la compagnie maritime et prendre possession de façon légale de la marchandise illicite», a-t-il précisé. Les enquêteurs ont rapidement découvert que quelque chose ne tournait pas rond. «Plusieurs irrégularités aux procédures et aux contrôles obligatoires avaient été observées», a raconté le sergent Potvin, qui a décrit un stratagème somme toute assez simple pour des criminels ayant infiltré des postes clés. «Le dernier point avant que les conteneurs puissent sortir et être distribués - on ne parle pas seulement des conteneurs de drogue, mais aussi des conteneurs de marchandises qui sont légitimes - c'est la guérite sécuritaire. Donc, si on a un ou deux vérificateurs sur le côté interne, côté Port, qui disent «celui-là, c'est beau, c'est vérifié» - alors qu'il n'a pas été vérifié - ou quelqu'un dit «celui-là tu le laisses passer', c'est comme ça que ça se passait.» Les conteneurs transportant la drogue pouvaient ainsi être recueillis sans être soumis à aucun contrôle. Le réseau était relié au Gang de l'Ouest mais les policiers ne croient pas que l'ensemble de la drogue était destinée au marché montréalais. La grande quantité saisie laisse plutôt croire que l'ensemble de l'Amérique du Nord et même d'autres marchés internationaux étaient visés par les trafiquants, ce qui inquiète le surintendant principal de la GRC, Gaétan Courchesne. «Je me réjouis du succès de cette opération mais, d'un autre côté, je me questionne sur l'état de la situation que je considère préoccupante, a-t-il déclaré. Si ces organisations tentent d'importer de la drogue en si grande quantité, nous pouvons conclure que la demande existe et que les consommateurs sont nombreux.» Il a d'ailleurs ainsi illustré l'ampleur de la rafle: «La quantité de drogue que nous avons saisie aurait pu générer plus de 43 millions de doses vendues dans la rue. Cela représente plus de sept doses par habitant du Québec, toutes catégories confondues.» L'organisation criminelle impliquée s'approvisionnait principalement au Pakistan. Certains conteneurs ciblés ont été saisis au Pakistan tandis que d'autres ont été interceptés en cours de route, notamment en Italie et en Belgique. Toutes les saisies ont eu lieu entre l'automne 2009 et octobre 2010 mais les arrestations n'ont eu lieu que cette semaine en raison de la durée de l'enquête qui a permis de démanteler le réseau et accumuler les preuves suffisantes. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/201204/18/01-4516674-saisie-de-drogue-evaluee-a-860-millions-au-port-de-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS4
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