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bxlmontreal

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  1. Mort ta langue ! Petit documentaire sur l’avenir du français. Pour la fête nationale, quoi de mieux que de s’interroger sur l’avenir du français au Québec. Des étudiants de l’Institut Grasset, Roger Bisson & Diego Moncada Lacerte, m’ont tiré les vers du nez sur cette question, puis ont réalisé un bref documentaire. Donc voici l’entrevue, puis le documentaire: http://www2.lactualite.com/jean-francois-lisee/mort-ta-langue-petit-documentaire-sur-lavenir-du-francais/13812/
  2. Il y avait eu un projet pour Hydro dans les années 80, de rénovation et d'agrandissement.Très 'verre' au lieu du très 'vert' et moche actuel(un peu à la Concordia)..y a pas eu de suite.On a pas de chance avec les projets dans l'Est(ilôt voyageur,viger,SRC etc...).
  3. Un congrès international à Montréal. (Montréal) Il y aura l'inénarrable Larry King et ses légendaires bretelles. Il y aura Carlos Slim, homme le plus riche de la planète. Il y aura des pavillons de différents pays comme à Expo 67. Et une «rivière numérique» coulera en plein Palais des congrès. Le Congrès mondial sur les technologies de l'information, présenté comme le plus important événement international de l'industrie, arrive à Montréal pour la première fois de son histoire en octobre prochain. Et les organisateurs promettent d'en mettre plein la vue, notamment grâce aux technologies de PME québécoises qui seront mises à l'honneur pendant l'événement. «C'est une conférence sur les technologies, alors on va utiliser les technologies québécoises pour créer des effets percutants et repousser les limites de ce qu'on voit habituellement dans les conférences. On va utiliser la réalité augmentée, la géolocalisation et les réseaux sociaux pour joindre les gens», explique François Morin, PDG de ce congrès mieux connu sous l'acronyme WCIT (pour World Conference on Information Technology). Tenue tous les deux ans depuis 1978 dans divers pays du monde, la WCIT promet cette année d'attirer 3000 délégués en provenance de 80 pays dans la métropole québécoise. Outre Carlos Slim, le magnat mexicain des télécommunications qui trône au premier rang des hommes les plus riches de la planète, l'événement accueillera des noms comme Justin Rattner, directeur de la technologie de l'information chez Intel, Robert Youngjohns, président de Microsoft pour l'Amérique du Nord, et Don Tapscott, un gourou des TI qui a publié plusieurs livres sur le sujet. L'animateur américain Larry King, qui dirigera une table ronde à Montréal en octobre, a participé par téléphone à la conférence de presse annonçant la tenue de l'événement. «Je vais essayer de rendre la table ronde amusante, informative et divertissante, a promis l'homme. Je veux que le public réalise la révolution provoquée par les technologies de l'information dans laquelle nous vivons.» Les thèmes abordés iront des villes intelligentes à la société numérique en passant par les soins de santé et la fameuse informatique en nuage. Une vitrine pour les technologies québécoises L'annonce du congrès a donné lieu à quelques surprises, notamment lorsque le PDG de l'événement a promis de faire couler une «rivière numérique» dans le Palais des congrès. «Il va même y avoir des roches pour traverser la rivière», a dit sans rire François Morin. Quelques explications plus tard, les journalistes ont pu comprendre qu'un flot de «zéros» et de «un» symbolisant l'ère numérique serait projeté sur le sol pendant l'événement. Autour seront installées des photos de paysages canadiens. Grâce à la réalité augmentée, les participants qui pointeront leur téléphone intelligent vers ces images verront défiler des noms d'entreprises canadiennes actives en technologies de l'information. Merchlar, une jeune boîte montréalaise dans tous les sens du terme - l'entreprise a été fondée en 2010 et la moyenne d'âge de ses 15 employés est de 26 ans - est derrière l'aspect technique de cette «rivière». «Nous espérons profiter de la WCIT pour tisser des liens avec d'autres compagnies d'ailleurs. Le domaine de la réalité augmentée est en pleine croissance et nous voulons acquérir une meilleure compréhension du marché mondial pour maintenir le momentum qu'on a créé dans le marché canadien», a dit à La Presse Affaires Jack Han, vice-président directeur chez Merchlar. Ingenium, une autre boîte montréalaise, s'occupera quant à elle de monter une plateforme permettant aux participants d'interagir sur les réseaux sociaux, tandis que Voti, de Pointe-Claire, démontrera sa nouvelle technologie d'inspection de bagages en 3D par rayons X. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201206/26/01-4538250-un-congres-international-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS3
  4. J'espère qu'ils vont lancer d'autres phases de l'autre coté de la rue, du Shell vers...séville 5/6?Pourquoi pas? Pour réveiller le quartier cela serait idéal avec quelques commerces de proximité.
  5. http://www.nightlife.ca/ http://baronmag.com/numeros-en-cours/ http://www.vice.com/en_ca/about Et Voir continue visiblement...en version papier plus une boutique électronique. http://voir.ca/ http://boutique.voir.ca/ http://urbania.ca/accueil
  6. Pourquoi pas une école supérieure en Jeux vidéos et dérivés à MTL?Et aussi regarder du coté de l'Irlande ou beaucoup de sociétés sont installées mais plutôt dans la gestion des clients des compagnies de gaming, déja un bon début.Idem en France et un peu à Londres.
  7. Montreal's gaming community is booming, making hiring a challenge.. MONTREAL - Last year, Old Montreal-based video game company Ludia announced plans to nearly double its staff and hire 100 people within two years to expand its production. But the company’s hiring drive has stalled at 20, and as a result, it has had to delay its plans. “We’re suffering from the success story of Montreal,” said Alex Thabet, the CEO of the studio owned by London-based Fremantle Media Ltd. “It’s great we were able to build such a big industry in so little time, but we’re facing other issues that need to be addressed at a given time.” In the next few years, finding qualified employees in Montreal is going to become even more difficult, as local studios have announced plans that would see Montreal’s video gaming sector grow by 25 per cent from 8,000 now to 10,000 in the next five years or so. In an already fiercely competitive industry, some fear that poaching and dirty tricks will become the norm. Worse, industry insiders say a shortage of talent will drive up salaries, and ultimately remove Montreal’s competitive advantage as a place to set up a gaming studio. Among the most recent announcements, last November Tokyo-based Square Enix said it would increase the size of its Eidos Montreal studio, and establish a second studio in Montreal, adding a total of 250 employees. Warner Bros. Interactive Entertainment recently set up its new studio and plans to grow to 500 people. Sava Transmedia, a new locally owned studio, announced its plans last year to hire its first 200 employees by 2016. Los Angeles-based THQ, best known for pro-wrestling games, and war and fantasy-action titles, announced plans to grow from about 180 currently to 500 in the building formerly occupied by The Gazette on St. Antoine St. Until now, Montreal’s growth has been pretty steady. The city’s gaming industry essentially began 15 years ago with the establishment of a local studio by Paris-based Ubisoft. The lure of a relatively bilingual city known for its creativity and an understanding of the European market were among the reasons the company chose to establish its studio here. But one key element put Montreal over the top: a government subsidy for 37.5 per cent of employee salaries. That subsidy has remained in place over the years and has been the driving force behind Montreal’s surge to the top five largest gaming centres in the world. Now, the company that kick-started the city’s gaming industry has signalled concern about its long-term growth prospects. In an interview last year, Ubisoft CEO Yves Guillemot said he would like to increase the production of the Montreal studio, but he doubted the company would be able to hire 500 more employees to reach its goal of 3,000. “If we could recruit them, we would have them already,” Guillemot told La Presse. “There isn’t enough talent available, because a lot of other companies have set up shop in Montreal. The Montreal studio could be developing faster. We have a few projects that are lagging a bit.” Ubisoft is adapting. The company has started to look outside its traditional talent pool for new recruits, said Francis Baillet, the Montreal studio’s vice-president of human resources. “We have started looking at other industries,” Baillet said. “This year, 35 per cent of my hires are not coming from the typical game industry background: we have people from (television network) TVA, Cirque du Soleil and Yellow Pages. They are programmers, and artists, and we can use that talent. However, we have to invest more aggressively in training.” Baillet said last year, the company hired 375 people, though he wouldn’t say how many people left the company over the same period. At Ludia, which specializes in mobile and social games, the popularity of apps for smartphones and Facebook has hurt the company’s hiring drive, Thabet said. “For a while, we were a bit isolated because everyone was working on console games, and when we started five years ago, Facebook and mobile games were not the hottest topic in town. Now they are.” Companies are now looking for the same types of employees that Ludia is after. It makes it both difficult to attract new talent, and to keep current employees from leaving. Thabet said the competition for human resources has been driving up salaries in the industry for several years, and programmers working for video-game companies make significantly more than their counterparts working in other industries. He added salaries are continuing to escalate to the point that they are no longer offset by the generous tax credits offered to gaming companies. “In the last five years, salaries have increased by at least the level of the subsidies, which reduces the interest of running a studio here in Montreal,” Thabet said. “I don’t think the trend is improving. One of the major criteria that was attracting a lot of people originally is fading away in terms of its real value.” That being said, companies continue to choose Montreal as a destination to set up a gaming studio. The city’s large ecosystem of companies that support video game production (like sound editing studios), and its proximity to Europe, both in geography and the mindset of its population are still seen as major advantages. But the disadvantages are becoming more worrisome. Companies must pay a premium for employees, and they must worry about losing them to competing studios – a particularly disruptive prospect for video game companies since most projects are long-term ventures that rely on specialized teams. If one person quits, it could delay the production deadline of a game, and potentially cost millions in lost revenue. Ubisoft has taken an aggressive stance against poaching. Last year, it sued THQ and former Ubisoft employee Patrice Désilets, who jumped ship to lead the development team for THQ’s new Montreal studio. Ubisoft filed an injunction, saying Désilets would be violating a non-solicitation agreement in his Ubisoft contract if he actively recruited other his former coworkers. Although the legal challenge wasn’t successful, this wasn’t the first time Ubisoft resorted to the courts to stop poaching. In 2003, it won an injunction preventing four of its employees from working for rival Electronic Arts – Montreal’s second-largest studio. While court challenges are the rare public face of aggressive recruitment practices, the industry’s senior employees are approached regularly by headhunters offering them positions at rival companies – a practice considered unethical. “A lot of agencies are cold calling, and not respecting people’s privacy,” said Frédérick Brassard, president and talent agent for the recruiting agency 3Pod. “They’re calling people at home, or at the office. It’s unacceptable.” Anne Gibeault, assistant producer of cinematics at Ubisoft said often recruitment takes on a much less formal tone. She said she has been approached twice with serious offers from recruiters, but she hears regularly of job offers through former colleagues working at other studios. “A lot of time, people just contact others that they know,” said Gibeault, who has worked at Ubisoft for eight years. “It’s not a formal approach.” Ubisoft’s Baillet said losing employees to other companies is part of the business, but it’s not something he worries about too much. He said his company’s retention rate hovers around 10 per cent. “Non-solicitation (contracts) are not something new, and we have enforced that,” Baillet said. “The good news is that they are (coming after our employees). I think we have the best developers. If they were not coming after us, I would be suspicious.” Brassard said gaming companies now focus much more on recruiting and retention of employees than they did in the past. When he started in the industry in the late ’90s, he was the lone recruiter working in Ubisoft’s human resources department. Now, Baillet said, Ubisoft has a team of eight people just working on recruiting. “Every company seems to have a big department just looking at recruitment,” Brassard said. While there are a few public stories of poaching, Brassard said he believes there isn’t a huge retention problem in the industry. “People are very dedicated to their projects,” he said. “They’ll often wait until the end of the project to start looking for something else. There aren’t many floaters.” Read more: http://www.montrealgazette.com/life/Montreal+gaming+community+booming+making+hiring+challenge/6828270/story.html#ixzz1yewPcsD2
  8. Pourquoi pas un 'Voir' Anglais, soit indépendant (deux fois par mois?) ou carrément encarté dans l'édition FR? Il y a un marché publicitaire combiné à aller chercher. Ou encore une édition purement électronique du Mirror repris par un autre groupe.
  9. Tout en bas du post, les photos de la maquette du TOM via MTL 514 et SSP... http://forum.skyscraperpage.com/showthread.php?t=181475&page=10
  10. bxlmontreal

    C2-mtl 2013

    Bilan de la première édition de C2-MTL : Événement surprenant et innovant, promesse tenue MONTRÉAL, le 18 juin 2012 /CNW Telbec/ - Les organisateurs de C2-MTL, la nouvelle conférence d'affaires internationale sur le commerce et la créativité, dévoilent aujourd'hui le bilan de la première édition qui s'est tenue du 22 au 25 mai dernier à Montréal. Imaginée par l'agence créative Sid Lee et réalisée en collaboration avec le Cirque du Soleil - partenaire fondateur avec qui C2-MTL a pu partager une expertise - l'édition inaugurale de cet ambitieux événement aura été un franc succès. C2-MTL : un succès local et international à guichet fermé Au total, lors des trois jours de l'événement, 45 conférenciers et panélistes de calibre international ont offert des prestations qui ont rempli leur promesse auprès des participants, incluant le réalisateur Francis Ford Coppola, l'ex-PDG de Disney Michael Eisner, le grand argentier de Google Patrick Pichette, l'éditrice en chef du AOL Huffington Post Media Group Arianna Huffington, l'architecte néerlandais Winy Maas (qui a été le conférencier le plus apprécié par les participants), ainsi que Daniel Lamarre et Guy Laliberté du Cirque du Soleil, dont la visite surprise a ravi les participants. Nul doute, les chiffres témoignent du succès de C2-MTL. La première édition a été présentée à guichet fermé : plus de 1250 participants provenant de 34 pays y ont assisté. Plus de 52% des participants provenaient de l'extérieur du Québec. Parmi les pays représentés, mentionnons l'Allemagne, le Brésil, la Chine, les États-Unis, l'Indonésie, la France et la Suède. Du côté du Québec, pas moins de 325 entreprises québécoises ont pris part à C2-MTL. La qualité des participants mérite d'être soulignée. Leur profil démontre que les leaders de la créativité commerciale ont répondu à l'appel : gestionnaires seniors (65%), chefs de la direction (20%), professionnels (15%). C2-MTL aura également réussi à rassembler les forces vives économiques de Montréal. Pas moins de 41 partenaires privés et six partenaires publics ont appuyé C2-MTL. Plusieurs partenaires ont déjà manifesté leur intérêt à appuyer de nouveau C2-MTL en 2013. Autre fait saillant, C2-MTL a enregistré 1,5 M$ en vente de billets, un résultat exceptionnel pour un nouvel événement que nul ne connaissait il y a à peine quelques mois. Au terme de cette première édition, l'événement se conclue d'ailleurs avec un budget équilibré. Satisfait des résultats de la première édition, le PDG et producteur exécutif de C2-MTL, Benoît Berthiaume, souligne la pertinence et le caractère unique de la conférence d'affaires C2-MTL. « C2-MTL réinvente la conférence d'affaires : aucun événement offrant une promesse intellectuelle et expérientielle aussi forte que C2-MTL n'existait. Montréal a besoin d'un événement comme C2-MTL, qui rallie les forces vives de la métropole et fait rayonner internationalement le leadership créatif de notre métropole. Nous comptons bâtir sur les succès de la première édition afin de nous imposer comme la référence mondiale. C2-MTL souhaite être aux conférences d'affaires ce que le Cirque du Soleil a été à l'univers du cirque », a déclaré M. Berthiaume. Rayonnement de Montréal : une ville créative et vibrante Jean-François Bouchard, idéateur de C2-MTL et président de Sid Lee, souligne les multiples retombées de presse générées par l'événement. Tant dans la presse traditionnelle que dans les médias sociaux, les articles conduisent tous à la même conclusion : l'événement a clairement véhiculé une image créative, innovatrice et dynamique de Montréal. Plus de 125 journalistes ont pris part à la conférence C2-MTL. Des journalistes affiliés à des médias internationaux prestigieux tels le Los Angeles Times, Hollywood Reporter, Forbes, Fast Company, Thompson Reuters, Huffington Post, L'Express et Stratégies étaient présents. Fier de la première édition de C2-MTL, Jean-François Bouchard met la table pour 2013 : « Dès 2013, nous souhaitons rallier d'autres acteurs événementiels autour de C2-MTL, dans la même période. À travers C2-MTL, nous voulons permettre au plus grand collectif de talents possible de s'exprimer, et continuer de montrer la métropole sous son jour créatif. Nous souhaitons aussi que les Montréalais et la communauté participent aux expositions qui seront présentées ». Le développement d'une communauté C2-MTL Avant même que ne commence C2-MTL, une communauté s'était déjà bâtie autour de l'événement en devenir, au fil de l'intérêt provoqué par différentes initiatives lancées sur les médias sociaux. Depuis son lancement en octobre 2011, le site web de C2-MTL a été visité 126 000 fois, par des visiteurs provenant de 150 pays différents. Durant la conférence, en seulement quelques jours, le site web du tout nouvel événement qu'était C2-MTL a reçu 35 000 visites. Les visiteurs ont passé en moyenne plus de 3 minutes à explorer le site, signe de la qualité du contenu produit par l'équipe éditoriale de C2-MTL. Plus de 12 000 tweets, photos, billets et vidéos mentionnant C2-MTL ont d'ailleurs été publiés pendant l'événement. E-merge : une exposition inédite et courue par le public C2-MTL a été le théâtre d'un événement absolument hors norme : l'exposition e-merge, une rencontre créative et étonnante entre le monde de l'art et celui du commerce, qui a été rendue possible grâce à l'appui et à l'apport financier du ministère du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation. Mise sur pied par le commissaire et concepteur Frédéric Loury, d'Art souterrain, e-merge a permis à sept artistes d'avant-garde et six entreprises innovatrices de se rencontrer et de présenter une expérience dialogique unique. L'exposition e-merge, de même qu'une installation immersive conçue par l'entreprise montréalaise Moment Factory et une exposition imaginée par Paprika et présentée par Mission Design, ont été accessibles au public après la clôture de la conférence, le vendredi 25 mai et samedi 26 mai. Plus de 1 500 personnes se sont déplacées pour découvrir et vivre une expérience immersive, certains devant même attendre un long moment pour y accéder, en raison du succès de l'événement portes ouvertes. Rappelons que C2-MTL s'est déroulé au cœur du quartier de l'innovation, dans Griffintown, sur le site de l'édifice patrimonial de la New City Gas, nouvellement restauré. Cette ancienne usine, qui servait à éclairer les rues et usines de Montréal au 19e siècle, a servi de pièce maîtresse à la conférence. Comme l'a souligné Dinu Bumbaru, architecte montréalais de renommée internationale et directeur des politiques d'Héritage Montréal, C2-MTL aura permis à la revitalisation de l'usine de faire ses premiers pas, dans un esprit créatif tourné vers l'avenir. C2-MTL 2013 : c'est parti! Fort du succès de la première édition, les organisateurs de C2-MTL sont déjà à préparer l'an deux. La deuxième édition durera à nouveau trois jours, soit du 21 au 23 mai 2013. Un premier conférencier vedette a déjà confirmé sa présence : le designer Philippe Stark, reconnu mondialement, participera à la deuxième édition. Avis aux intéressés : les billets pour C2-MTL 2013 sont déjà disponibles en ligne à l'adresse http://c2mtl.com/fr/. Déjà, les résultats sont de bon augure : plus de 100 billets ont trouvé preneurs. http://c2mtl.com/fr/c2-mtl-2012-cest-le-temps-du-bilan/
  11. La métropole figure de mieux en mieux au palmarès du Global Financial Center Index, gravissant deux échelons pour se hisser au dix-huitième rang des places financières mondiales. Dans cette 11e édition du palmarès de mars 2012, réalisé d'après une analyse de l'environnement d'affaires et un sondage auprès de financiers partout dans le monde, Montréal est maintenant établie comme un centre financier d'envergure internationale. La métropole rayonne notamment parce qu'elle héberge plusieurs joueurs d'importance dans tous les secteurs, notent les auteurs du palmarès. Outre ses gains au palmarès mondial, Montréal gravit également les échelons du Top 10 des Amériques. Dernière en 2011, elle est maintenant 8e, devant Calgary et Sao Paulo. C'est grâce à ses activités de gestion de caisse de retraite que la métropole retient l'attention dans les Amériques. Sa spécialisation dans le logiciel financier, notamment, lui permet de marquer des points. http://newsletter.cfimontreal.com/1340134321/fr/
  12. Toujours prévu pour 2015. http://waldorfastoria3.hilton.com/en/about/future-openings/index.html
  13. Toronto probably the most borring city in the world with Luxembourg....
  14. Sous le thème « Startups essentielles » - La deuxième édition du Festival international du Startup se tiendra à Montréal du 11 au 13 juillet 2012 MONTRÉAL, le 20 juin 2012 /CNW Telbec/ - Reconnue pour la vitalité de ses festivals et la créativité de ses jeunes entreprises, Montréal est un endroit de choix pour la tenue du Festival international du Startup (Startupfest). Axé sur l'entrepreneuriat dans le domaine des nouvelles technologies, l'événement attire les créateurs, les entreprises en démarrage (startups), les investisseurs et les clients de cette nouvelle économie qui affluent des quatre coins du monde. Lancé l'an dernier, le festival tiendra sa deuxième édition du 11 au 13 juillet prochain et réunira des grands noms du domaine, tels que Dan Bricklin, Paul Mockapetris, John Wood, Stowe Boyd, Dave McClure, Howard Lindzon et Craig Walker. Ce festival offre aux participants une occasion en or de rencontrer de brillants joueurs de la scène internationale du démarrage d'entreprises technologiques. Centré sur les secteurs chauds, comme la mobilité, les jeux électroniques et les réseaux sociaux, le festival aborde aussi les technologies propres, l'éducation, les soins de santé et bien d'autres domaines. Sous le thème « Startups essentielles », l'édition 2012 rassemble les investisseurs visionnaires d'aujourd'hui et les entrepreneurs anticonformistes de demain au cours d'un événement qui est en passe de s'imposer comme un creuset de nouvelles idées et de maillage. Ces trois jours seront remplis de conférences inspirantes, d'exposés éclair, d'expositions, d'ateliers, de débats sur des questions d'avenir, mais aussi d'activités divertissantes et de prix en argent. Bref, le festival offre aux participants de multiples possibilités de réseautage professionnel, tout permettant de s'amuser en bonne compagnie. La liste des conférenciers se trouve au http://www.startupfestival.com. « Notre objectif est toujours d'informer, d'inspirer et de divertir », explique Philippe Telio, fondateur du Festival international du Startup. « L'an dernier, l'événement a attiré plus de 1 100 personnes du monde entier. Puisque cette année nous attendons des autobus nolisés de New York et de Québec, des trains de Waterloo et de Toronto, ainsi que des vols d'un peu partout dans le monde, l'édition à venir promet de remporter un succès retentissant sur la scène montréalaise et bien au-delà. » De plus, le Festival international du Startup a fait équipe avec le Festival Juste pour rire pour présenter des activités festives, comme ces exposés éclair (qu'on appelle aussi en anglais elevator pitches) et qui seront justement présentés dans un ascenseur, des jurys formés de grands-mères et toute une panoplie d'autres activités amusantes - une rareté dans la plupart des événements d'affaires. « Microsoft s'est engagée à accélérer le succès de jeunes entreprises innovatrices », a déclaré Christian Beauclair, gestionnaire supérieur, Groupe développement et plateforme, chez Microsoft Canada. « Il n'existe pas de meilleurs endroits que le Festival international du Startup pour découvrir une foule d'entrepreneurs et d'acteurs de l'industrie réunis sous un même toit au même moment. Ce festival est une formidable occasion pour nous d'entrer en contact avec des gens aux idées originales et de leur offrir l'accès aux outils de développement de Microsoft et à un écosystème qui les aident à démarrer leur entreprise. » Métropole multiculturelle, Montréal entretient une affinité naturelle pour la créativité et les nouvelles technologies et représente un environnement idéal pour les échanges entre les investisseurs, les créateurs, les développeurs et les entrepreneurs de la planète. Le fait que le Festival international du Startup se tienne encore une fois à Montréal est certainement gage de succès. L'édition 2012 du Festival international du Startup est parrainée par Microsoft, un commanditaire de niveau platine. L'événement s'échelonne sur trois jours, soit du 11 au 13 juillet 2012, à la gare maritime Iberville du quai Alexandra dans le secteur historique du Vieux-Port de Montréal. Renseignements : Philippe Telio Festival international du Startup (514) 303-7546 phil@startupfestival.com Twitter: @ptelio and @startupfest http://www.newswire.ca/fr/story/996177/sous-le-theme-startups-essentielles-la-deuxieme-edition-du-festival-international-du-startup-se-tiendra-a-montreal-du-11-au-13-juillet-2012
  15. Avec 50 ou 60 étages ça aurait pas mal aussi...
  16. Le website est mis à jour: http://www.tomcondos.com/fr/galerie/
  17. Pour nos amis étudiants, une bonne option...faire comme les Français qui viennent étudier en masse en Belgique,c'est quasiment gratuit comme frais enfin très peu cher...le cursus de bonne qualité et le logement pas trop cher à Bruxelles et en province.
  18. 36 Hours in Montreal. CANADA’S second-largest city may be the second-largest French-speaking metropolis on the planet (after Paris), but the attention lavished on its Frenchness — Bistros! Baguettes! People saying “Bonjour”! — tends to nudge aside the many other ethnic communities within Montreal’s remarkably diverse urban sprawl. Italians, Portuguese and Lebanese have a very visible presence, and the city hosts annual festivals dedicated to everything from Asian-American films to Caribbean food. Throw in a pulsing alternative community and creative scene (this is a place that engendered talents as diverse as Saul Bellow, Arcade Fire and the irrepressible William Shatner), and a whole new Montreal opens up. Whether your passion is Syrian cuisine, contemporary art or vintage shopping, Montreal is serving it up with aplomb. C’est vrai... http://travel.nytimes.com/2012/06/17/travel/36-hours-in-montreal.html
  19. A Bruxelles l'Hôtel/the hotel ça existe:http://www.thehotel-brussels.be/
  20. Pratt & Whitney signe un contrat de maintenance avec NetJets. Pratt & Whitney Canada a annoncé jeudi avoir signé un contrat de maintenance de 15 ans avec la compagnie privée NetJets pour les moteurs qui propulseront ses appareils Latitude de Cessna, devant être mis en service en 2016. Les clauses financières de l'entente n'ont pas été rendues publiques. http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201206/14/01-4535019-pratt-whitney-signe-un-contrat-de-maintenance-avec-netjets.php
  21. CAE décroche des contrats de 65 millions. La multinationale montréalaise CAE (T.CAE) a annoncé jeudi avoir remporté des contrats d'une valeur de plus de 65 millions pour la fourniture de quatre simulateurs de vol, de dispositifs de formation et de mises à jour. Les quatre simulateurs vendus sont le premier simulateur au monde pour le nouvel avion de transport de taille moyenne AVIC à Aviation Industry Corporation of China; un simulateur A330 à Singapore Airlines; un simulateur A320 à Zhuhai Flight Training Center, une coentreprise entre China Southern Airlines et CAE; et un simulateur Embraer ERJ 190/195 à un client européen dont l'identité demeure confidentielle. CAE a également vendu des mises à niveau de simulateurs de même qu'une série de dispositifs de formation à divers clients, notamment des dispositifs intégrés d'entraînement aux procédures CAE Simfinity, des dispositifs d'entraînement aux procédures pour l'Airbus (APT), des entraîneurs de vol et des simulateurs virtuels CAE Simfinity. Les contrats, d'une valeur totalisant plus de 65 millions aux prix catalogues, portent à quatre le nombre de simulateurs de vol dont CAE a annoncé la vente depuis le début de l'exercice 2013. http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201206/14/01-4534851-cae-decroche-des-contrats-de-65-millions.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS2
  22. Donald Trump Jr. joue un rôle de plus en plus central dans l'empire fondé par son père. La Presse Affaires s'est entretenue avec lui cette semaine en prévision de sa venue à Montréal en septembre, dans le cadre d'une conférence sur l'immobilier. L'homme d'affaires de 34 ans achève de piloter l'un de ses plus gros projets à ce jour, la Trump Tower de Toronto. Et il dit regarder du coin de l'oeil la métropole québécoise, ville où les investissements immobiliers se multiplient à un rythme effréné depuis quelque temps. «On a étudié quelques projets à Montréal, on en a refusé un ou deux qui ne cadraient pas tout à fait avec ce qu'on recherchait, a indiqué M. Trump en entrevue téléphonique. Mais je crois que cela pourrait être un marché intéressant pour nous. J'aime la nature internationale du marché, l'ambiance européenne de la ville, et mes amis qui y vont ont toujours beaucoup de plaisir. Peut-être que la conférence me permettra de trouver une occasion...» Donald Trump Jr., dont la crinière est moins flamboyante que celle de son père, s'est joint à l'entreprise familiale au début des années 2000. Ses premiers contacts avec le monde immobilier remontent toutefois à l'enfance - un passage obligé lorsqu'on porte le nom Trump. «On faisait des choses avec notre père, mais pas dans le sens traditionnel du terme, où on se lançait la balle dans la cour arrière», raconte-t-il. «Pour passer du temps avec lui, on le suivait sur les sites de construction, dans les assemblées du conseil. On a participé à un très jeune âge aux activités de l'entreprise, donc c'est devenu naturel pour nous.» Le New-Yorkais, qui occupe aujourd'hui le poste de vice-président principal de Trump Organization, travaille de très près avec son père ainsi que son frère Eric et sa soeur Ivanka sur les différents projets du groupe. «Je les vois chaque jour... et on trouve même le moyen de prendre nos vacances ensemble.» Crise américaine L'entreprise a plusieurs projets d'hôtels de luxe, de terrains de golf et de résidences de prestige en chantier en ce moment. Or, la crise immobilière - qui fait encore des ravages aux États-Unis - a amené le groupe à être nettement plus sélectif au moment de choisir un investissement. «Avant 2007-2008, je pensais que je connaissais tout ce qu'il avait à savoir au sujet de l'immobilier, avec tout le bagage de ma famille dans ce secteur, reconnaît Donald Trump Jr. C'était comme si rien ne pouvait dérailler. Il se trouve que je connaissais seulement 1 ou 2% du métier, et que les 99% restants de mes connaissances ont été acquis ces dernières années... La meilleure leçon que j'ai apprise vient de cette période, qui a changé mes processus décisionnels.» M. Trump, qui prendra la parole lors du tout premier Salon investissement immobilier Québec, le 29 septembre prochain, prône la plus grande prudence au moment de réaliser une transaction. Que l'investisseur soit une entreprise multimilliardaire comme la sienne ou un particulier. «Mon conseil pour quelqu'un qui n'est pas un expert est d'en devenir un, avance-t-il. Il faut vraiment faire ses devoirs. De bonnes transactions se produisent dans les pires moments et vice versa. Il faut vraiment comprendre le marché qui nous intéresse, la dynamique de marché. À New York, par exemple, il y a une surprime selon le côté de la rue où se trouve la propriété, à cause du flot de trafic, etc. Il faut recueillir le plus d'informations possible.» Son entreprise étudie des investissements potentiels un peu partout dans le monde, notamment en Inde, en Amérique du Sud et dans les ex-républiques soviétiques, dit-il. Mais, répète-t-il, la plus grande vigilance demeure de mise. «On va étudier 100 transactions avant d'en réaliser une.» M. Trump estime que le projet de condos-hôtels de Toronto - un gratte-ciel de 70 étages niché dans le quartier des affaires - est un succès, avec environ 80% des unités vendues à ce jour. Et cela, même si plusieurs acheteurs mécontents ont tenté de rompre leurs contrats. «Dans cet environnement, beaucoup de gens qui ont signé des contrats pendant la crise économique ont tenté de s'en sortir», dit-il. Le père de trois enfants affirme aussi que l'inauguration récente de plusieurs projets luxueux à Toronto, dont le Ritz, n'a pas affecté la performance du Trump. Malgré l'immense attention médiatique - et plusieurs controverses - associé à son flamboyant paternel, Donald Trump Jr. dit bien vivre avec son nom de famille. «Dans le monde des affaires, peut-être que ça place une cible sur ma tête, mais d'un autre côté, ça ouvre bien des portes. Il faut profiter des bons côtés et s'accommoder des aspects négatifs.» http://affaires.lapresse.ca/economie/201206/14/01-4534741-donald-trump-jr-un-oeil-sur-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS2
  23. Donc si je comprends bien(?),on aurait trois tours Rocabella en 2 phases (2+1), + ce projet de 50 étages+, sur le bloc en face du Centre Bell. Reste un espace de libre non? Coté design, pour une fois c'est assez original et j'y vois bien le Conrad Hilton en effet qui n'a jamais de très grosses unités en termes de chambres, 100 à 150 c'est parfait car c'est du 5 étoiles.Cela pourrait bouger un peu les fesses du Waldorf (groupe Hilton) si on annonce un Conrad... La rumeur de Vaillant, je crois que c'est encore un autre projet dans GT? Quel délire ce printemps 2012, on s'en souviendra longtemps, espérons que tout se réalise. Je voudrais déja me réveiller un bon matin de 2015 ou 2016 et voir le nouveau skyline de MTL.
  24. Le plus important congrès au Québec en 2012 - 10 000 visiteurs à Montréal pour le Symposium international de l'IEEE - MTT MONTRÉAL, le 13 juin 2012 /CNW Telbec/ - L'Institut des ingénieurs électriciens et électroniciens (IEEE) tiendra son Symposium international sur les micro-ondes, le Microwave Theory and Techniques (MTT), à Montréal du 17 au 22 juin prochain. Cet événement d'envergure attirera dans la métropole plus de 10 000 congressistes provenant de 32 pays, au moment même où la saison estivale débute et la période des festivals bat son plein. Les activités se tiendront au Palais des congrès de Montréal et engendreront des retombées économiques évaluées à 28 millions de dollars. Le Symposium international de l'IEEE - MTT est la plus importante rencontre internationale annuelle pour les spécialistes de la théorie des micro-ondes et des technologies connexes. Échelonné sur une semaine entière, le programme comprend des activités scientifiques - présentations d'articles spécialisés, ateliers, séminaires et autres -mais aussi plusieurs activités sociales. Le Symposium comporte également une immense exposition industrielle organisée par la compagnie MP Associates et réunissant plus de 560 exposants. Depuis sa première édition il y a 60 ans, c'est la deuxième fois seulement que le Symposium se tient à l'extérieur des États-Unis. Cet honneur est dû notamment à la contribution de monsieur Ke Wu, professeur au département de génie électrique de l'École Polytechnique et ambassadeur accrédité du Palais des congrès, qui a soutenu la candidature de Montréal pour la tenue de l'événement. « La renommée de ce congrès international et son impact économique considérable en font le plus important événement du genre au Québec en 2012. Nous sommes fiers de recevoir les participants à Montréal, alors que la ville bourdonne d'activités et que la saison des festivals prend son envol », a déclaré l'honorable Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal. Pour sa part, Marc Tremblay, président-directeur général du Palais des congrès, a commenté : « Nous sommes enchantés d'accueillir les 10 000 délégués de l'IEEE. Nos installations polyvalentes et efficaces optimiseront l'aspect technologique du Symposium. De plus, le Palais des congrès - unique finaliste nord-américain pour le prix APEX 2010 décerné au meilleur centre des congrès au monde - bénéficie d'un emplacement privilégié au cœur de Montréal ». Organisme à but non lucratif, l'IEEE est le chef de file mondial des associations professionnelles œuvrant pour l'avancement de la technologie. En raison de ses effectifs internationaux, cette association est une autorité reconnue dans une variété de domaines scientifiques, comme les systèmes aérospatiaux, l'informatique, les télécommunications, le génie biomédical, l'électricité et l'électronique grand public. À propos du Palais des congrès de Montréal Le Palais des congrès de Montréal a pour mission de solliciter et d'accueillir des congrès, des expositions, des conférences, des réunions et d'autres événements. Institution publique à vocation commerciale, le Palais des congrès génère d'importantes retombées économiques pour le Québec et contribue fièrement, depuis plus de 27 ans, au partage des connaissances de même qu'au rayonnement international de Montréal à titre de destination de premier plan. Pour de plus amples renseignements sur le Palais des congrès de Montréal, consultez le site http://www.congresmtl.com. À propos de Tourisme Montréal Tourisme Montréal est l'organisme responsable d'assumer le leadership de l'effort concerté de promotion et d'accueil pour le positionnement de la destination « Montréal » sur les marchés des voyages d'agrément et d'affaires et d'orienter le développement du produit touristique montréalais sur la base de l'évolution constante des marchés. Pour de plus amples renseignements sur Tourisme Montréal, consultez le site http://www.tourisme-montreal.org. Renseignements : Source : Tourisme Montréal http://www.newswire.ca/fr/story/991835/le-plus-important-congres-au-quebec-en-2012-10-000-visiteurs-a-montreal-pour-le-symposium-international-de-l-ieee-mtt
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