Aller au contenu

bxlmontreal

Membre
  • Compteur de contenus

    1 239
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par bxlmontreal

  1. La future vue 'sud' sera encore plus impressionnante(pour nous), genre de l'Ile des Soeurs car on risque d'y voir le Marriot,Tom,Altitude et possiblement la tour Desjardins/ftq(spectrum), un peu plus que du Mt Royal.Et aussi la Tour de la Bourse qui vieillit bien je trouve.
  2. From/de:http://forum.skyscraperpage.com/newr...eply&p=5768685 From lake of the nations in the Future skyline thread. Avec Overdale juste à droite de la Cité cela sera encore mieux comme skyline.
  3. Les journalistes ne sont jamais contents..
  4. Flashback: Bell Centre condo project was originally supposed to have three towers. Today, Cadillac Fairview, Canderel, the Fonds immobilier de solidarité FTQ and the Canadiens announced plans for a 48-storey condo tower next to the Bell Centre. That’s what the Tour des Canadiens will look like, up at the top of this post. Cadillac Fairview is also planning a nearby office tower, Gazette colleague Allison Lampert reported last week. The project is smaller than originally envisaged when The Gazette broke the story about the Cadillac Fairview’s plans. Here’s that story, from March 2011: http://blogs.montrealgazette.com/2012/07/16/flashback-bell-centre-condo-project-was-originally-supposed-to-have-three-towers/
  5. Moi je dirais une hauteur de 160m?Mais je ne suis pas spécialiste.Faut voir les parkings leur hauteur exacte et l'étage 'services',fitness,etc.. La hauteur du RDC commercial plus le sommet de la tour(machinerie etc).
  6. On a encore de la marge de progression..pas de bulle en vue,n'en déplaise aux journalistes.
  7. Opération m0851 en Chine. La chaîne m0851 pourrait compter 12 magasins en Chine d'ici trois ans. Cet envol asiatique pour la maroquinerie montréalaise se traduit par un investissement initial de 2 à 3 millions de dollars et par un chiffre d'affaires espéré d'un million par magasin. «Cette expansion arrive après un test qu'on a fait l'an dernier à Pékin dans un centre commercial pendant 21 jours avec d'autres Canadiens, raconte Frédéric Mamarbachi, fondateur et créateur de m0851. On a fait des ventes de loin plus élevées qu'espérées. Quatre fois plus élevées, en fait. Avant, on se disait: on arrivera peut-être en Chine dans dix ans... quand les Chinois ne voudront plus de diamants! Mais on a constaté qu'on a une marque qui peut plaire aux nouveaux riches. Les Chinois sont à l'étape de dépenser. On ne voit même pas ça à New York.» «Il y a de la place pour nous, car il y a une clientèle qui veut du simple et du fonctionnel», ajoute Faye Mamarbachi, directrice marketing de m0851. m0851 a déjà deux magasins au Japon (Tokyo et Osaka). L'entreprise prévoit, grâce à l'aide d'une agence (Lapine), ouvrir neuf franchises au pays du Soleil levant. «On opère de la sorte au Japon, car la culture sous-entend qu'il faut être Japonais pour réussir, note Frédéric Mamarbachi. En Chine, c'est différent. On va envoyer notre monde. On dessine nous-mêmes nos magasins. L'opération m0851 en Chine va probablement être plus grande que notre développement ici. On met le paquet là-bas. On peut y bâtir et exploiter les magasins au tiers du prix d'ailleurs. Et on peut vendre 50% plus cher.» En 2012, les exportations représentent 80% du chiffre d'affaires de m0851. Le pourcentage pourrait s'accroître, car l'entreprise planifie aussi une expansion notable aux États-Unis (12 magasins également) sous peu, ainsi que l'ouverture d'une deuxième boutique à Paris, dans deux semaines. La Chine, c'est un peu le cadeau que se paie m0851 pour ses 25 ans. Si l'expansion est plus que jamais dans sa mire, l'entreprise place aussi ses billes à Montréal où des défis l'attendent, notamment dans ses bureaux de 15 000 pieds carrés, où oeuvrent une cinquantaine d'employés. Il faudra en effet, à moyen terme, modifier la façon de confectionner les articles griffés m0851. Car les artisans commencent à avoir «des moustaches blanches» et le métier (couture, coupe, assemblage) se perd... «On a 10 ans de transformation devant nous, estime Frédéric Mamarbachi. C'est confortable. Mais les choses qui ne sont pas enseignables sont remplaçables par des machines et des ingénieurs de production.» Un exemple? Depuis huit mois, m0581 coupe les pièces de cuir grâce à une machine à couteaux d'une valeur de 500 000$ importée d'Italie et manipulée par un opérateur plutôt que par un artisan coupeur. «Un matricule» Reconnu pour ses manteaux et sacs en cuir, m0851 est d'abord une entreprise fondée par un homme, arrivé à Montréal il y a 42 ans, qui a toujours voulu agir en retrait des courants. Qui dessine ses propres magasins et leur mobilier, entre autres. «Pour respecter l'identité de la marque, dit Frédéric Mamarbachi. On met une personnalité dans un produit. Notre magasin du le boulevard Saint-Laurent n'a pas été touché depuis 23 ans. On n'ose pas. La majorité des magasins qui existent sont très design et sont dépassés après trois ans!» Le nom de l'entreprise, qui s'est d'abord appelée Rugby, est aussi en accord avec la philosophie de la boîte. «Un matricule», résument Faye et Frédéric Mamarbachi. «C'était il y a 15 ans et il fallait changer de nom quand est arrivée l'internationalisation, ajoute le fondateur. Car c'était le nom d'un sport. On ne voulait pas traîner un nom qui allait nous coûter cher. On a adopté un matricule [la première lettre du nom de famille, l'année et le mois de naissance de Frédéric Mamarbachi]. L'année qu'on a changé, on a mis d'autres couleurs en magasin. Et cette année-là, on a eu une augmentation de 28% du chiffre d'affaires.» http://affaires.lapresse.ca/pme/201207/16/01-4543881-operation-m0851-en-chine.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS2
  8. L'heureux malentendu à l'origine d'Ubisoft. Si Ubisoft Montréal a vu le jour, c'est beaucoup en raison du controversé lobbyiste québécois Sylvain Vaugeois. Et de son habitude de regarder TV5 en s'entraînant en plein milieu de la nuit. «Une nuit, il a vu les frères Guillemot (les fondateurs d'Ubisoft) dans une émission de TV5 et il a eu l'idée de créer un studio au Québec», raconte Alain Tascan, l'un des premiers Français envoyés par Ubisoft pour diriger le studio montréalais. S'il ne connaît rien à Ubisoft ni aux jeux vidéo, Sylvain Vaugeois sait que le gouvernement du Québec - et son ami Bernard Landry, ministre des Finances - cherche à moderniser son économie. Il se rend à Paris pour convaincre le PDG d'Ubisoft, Yves Guillemot, de s'installer à Montréal. «On nous promettait des subventions 25 000$ par employé par an, se rappelle Yves Guillemot en entrevue à La Presse Affaires. On est en France, alors on était plutôt habitué aux promesses des politiciens...» Cette fois-ci, le malentendu est double: non seulement Sylvain Vaugeois n'a pas informé le gouvernement du Québec de ses intentions, mais la subvention annuelle de 25 000$ promise à Ubisoft ne fait partie d'aucun programme gouvernemental existant. De retour au Québec, Sylvain Vaugeois se pointe dans les bureaux du ministre des Finances Bernard Landry pour lui faire part de la «bonne nouvelle». «Il avait fait ce voyage sans ma connaissance. Le jeu vidéo n'était pas une cible particulière à l'époque, alors nous n'avions pas eu de discussions avec des entreprises», dit Bernard Landry en entrevue à La Presse. Québec tente alors de réviser son offre sans l'enthousiasme du lobbyiste, mais celui-ci ne se laisse pas faire. Sylvain Vaugeois - surnommé le «cowboy» en raison de ses inséparables bottes western - laisse croire qu'Ubisoft songe à s'établir au Nouveau-Brunswick. C'est du bluff, mais Québec ne cédera pas: Ubisoft obtiendra finalement les crédits d'impôt de 50% sur les salaires. «Les impôts perçus par le gouvernement étaient plus élevés que le coût des crédits d'impôt consentis», dit Bernard Landry. «Ce fut un chantage des deux côtés, mais la mayonnaise a pris», dit Alain Tascan, qui dirige aujourd'hui son propre studio spécialisé dans les jeux mobiles et sociaux, Sava Transmédia. L'acharnement de Sylvain Vaugeois n'est pas désintéressé: comme lobbyiste, il obtient des ristournes sur les crédits d'impôt obtenus par Ubisoft. Bernard Landry défend son ami, décédé d'un arrêt cardiaque en 2003. «Tout travail mérite salaire, dit l'ex-premier ministre du Québec. C'est normal qu'il ait été payé (par Ubisoft) pour son travail de promoteur. L'idée de la Cité multimédia, c'était aussi lui, mais il n'y avait qu'un client sur dix dans la Cité.» Pas de succès instantané Après un accouchement difficile, Ubisoft Montréal s'installe donc dans ses locaux du Mile-End au début du mois de juillet en 1997, après quelques mois à l'Hôtel St-James dans le Vieux-Montréal. L'entreprise française ne manque pas d'ambition, mais les succès ne sont pas instantanés. «Aujourd'hui, Ubisoft est quatrième éditeur de jeu vidéo au monde, mais ils étaient très loin sur la liste à l'époque», dit Alain Tascan. Le premier bébé, Speed Busters, un jeu vidéo de course automobile sur ordinateurs PC, sort en 1998. «Pendant deux ou trois ans, c'était l'école chez Ubi, dit Alain Tascan. Mais les frères Guillemot avaient une vision à long terme. Ils savaient que ça allait prendre du temps.» En 2000, Ubisoft a 350 employés à Montréal quand l'entreprise française achète le studio américain Red Storm, cofondé par l'auteur Tom Clancy. Installé en Caroline du Nord, Red Storm travaille sur le jeu vidéo d'espionnage Splinter Cell. Les nouveaux propriétaires rapatrient le projet à Montréal. Une décision qui change la destinée de son studio montréalais. Deux ans plus tard, Ubisoft Montréal lance son premier jeu vidéo à grand déploiement (catégorie AAA). Le premier opus de Splinter Cell se vend à sept millions d'unités et permet à Ubisoft Montréal de trouver sa niche: les jeux AAA, qui coûtent plusieurs millions de dollars et prennent plusieurs années à produire. En jeu vidéo, les jeux AAA sont les projets à la fois les plus complexes et les plus rentables. L'année suivante, en 2003, le studio montréalais ajoute une deuxième franchise AAA, Prince of Persia. Puis en développant un moteur pour son prochain jeu, l'équipe de Prince of Persia décide de créer une franchise ambitieuse de jeu vidéo d'aventures historiques. «Les résultats du moteur de jeu ont été tellement costaux qu'on a décidé que ce serait plus qu'une suite, que ce serait une franchise en elle-même», se rappelle Yannis Mallat, producteur de Prince of Persia à l'époque et aujourd'hui PDG d'Ubisoft Montréal. Ainsi est née la série Assassin's Creed, la plus importante carte de visite d'Ubisoft Montréal encore aujourd'hui avec quatre jeux et 38 millions d'unités vendues... Le vaisseau amiral Avec ses 2400 employés aujourd'hui, Ubisoft représente 30% des 7966 employés du jeu vidéo au Québec. Son plus proche rival, Electronic Arts, compte environ 700 employés. Avec 2100 employés, le studio montréalais d'Ubisoft n'a pas d'équivalent ailleurs dans le monde. «Le studio est un vaisseau amiral, autant pour Ubisoft que pour l'industrie montréalaise, dit Yannis Mallat, PDG d'Ubisoft Montréal. Nous sentons une énorme responsabilité, mais nous assumons notre rôle de leader avec une dose d'humilité.» Sans le Québec où elle a 35% de ses effectifs, Ubisoft ne serait pas devenu le numéro quatre mondial des développeurs de jeux vidéo derrière Activision, Electronic Arts et Square Enix. Mais sans Ubisoft, le Québec ne serait pas non plus devenu l'un des leaders mondiaux en jeu vidéo, avec la Californie, la Colombie-Britannique, le Japon et la Chine. Et dire que ce mariage transatlantique a commencé dans de drôles de circonstances. «Parfois, les affaires tiennent à peu de choses, dit Alain Tascan, l'un des premiers employés d'Ubisoft Montréal. Dans ce cas-ci, à un gars qui faisait sa gym à 4 h du matin.» http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201207/13/01-4543509-lheureux-malentendu-a-lorigine-dubisoft.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS13 Une facture de 652 millions en 15 ans. La visite du lobbyiste Sylvain Vaugeois au siège social d'Ubisoft en 1997 a permis au Québec de devenir l'un des leaders mondiaux du jeu vidéo. Elle a aussi coûté 652 millions en 15 ans en crédits d'impôt sur les salaires des entreprises multimédias. Actuellement, la facture pour les contribuables québécois est d'environ 120 millions par année pour l'ensemble du secteur multimédia, qui inclut en majorité mais pas exclusivement les 55 entreprises de jeu vidéo établies au Québec. Le crédit d'impôt remboursable a été ramené de 50% à 37,5% du salaire par le gouvernement Charest en 2003. S'il n'est généralement pas favorable aux crédits d'impôt pour maintenir des emplois au Québec, l'économiste Claude Montmarquette est moins sévère pour l'industrie multimédia. «En théorie, je suis contre ça, mais en pratique, tous les gouvernements le font dans ce créneau, qui est plus prometteur que d'autres secteurs en déclin comme le manufacturier», dit le professeur émérite de l'Université de Montréal. Dernièrement, les enchères ont monté. En plus du crédit d'impôt sur les salaires, les trois derniers studios étrangers à s'établir à Montréal ont aussi obtenu une subvention directe (7,5 millions pour 300 emplois chez Warner Brothers, 3,1 millions pour 400 emplois chez THQ, 2 millions pour 250 emplois chez Square Enix). L'ex-ministre péquiste Bernard Landry se réjouit de voir que les libéraux ont adopté - et même bonifié - sa stratégie après l'avoir critiquée au départ. «Ça prenait tout aux libéraux pour ne pas dire que c'était du communisme, dit-il. En privé, des députés libéraux me reprochaient en plus d'avoir donné cet argent à des maudits Français!» À défaut d'avoir bénéficié de subventions directes du gouvernement québécois, Ubisoft a profité de plusieurs programmes gouvernementaux et crédits d'impôt autres que le crédit d'impôt sur les salaires. En 2005, Québec a injecté 17,6 millions pour appuyer l'expansion d'Ubisoft ("1000 emplois). En 2007, cette aide a été réévaluée à jusqu'à 19 millions. http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201207/13/01-4543494-une-facture-de-652-millions-en-15-ans.php Ubisoft Montréal: à maturité? Après 15 ans, Ubisoft Montréal est-il rendu à maturité? L'entreprise jure que non, mais son studio montréalais ne grossit plus depuis un an et demi. Lors de son dixième anniversaire en sol québécois en 2007, Ubisoft annonçait son intention de passer de 1500 à 3000 employés au Québec en 2013. Depuis un an et demi, son nombre d'employés est resté stable à 2400 (2100 à Montréal, 300 à Québec). En 2008, Ubisoft a aussi acquis Hydride, une entreprise d'effets spéciaux comptant 85 employés à Piedmont dans les Laurentides. «Le studio de Montréal n'est absolument pas mature, dit le PDG Yves Guillemot. C'est toujours notre objectif (d'avoir 3000 employés). Nous recrutons encore pas mal, mais à chaque fois qu'on trouve un nouvel employé, un autre s'en va.» Pendant que ses effectifs stagnent à Montréal, Ubisoft grossit à vue d'oeil à Toronto. Inauguré en septembre 2010, son studio torontois a déjà 230 employés et en comptera 800 à maturité en 2019, notamment grâce à une subvention directe de 263 millions sur 10 ans du gouvernement de l'Ontario (en plus des crédits d'impôt). «N'importe quelle entreprise qui a du succès grandit. Si on limite la croissance, c'est qu'on décide de limiter la croissance», dit Martin Tremblay, l'ancien patron d'Ubisoft Montréal maintenant à la tête de la division de jeux vidéo de Warner Brothers, qui tient à rendre hommage à son ancien employeur pour ses 15 ans à Montréal. «Les gens d'Ubisoft Montréal sont impressionnants, ils n'ont pas peur d'être créatifs et ils font avancer l'industrie», dit-il. http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201207/13/01-4543508-ubisoft-montreal-a-maturite.php Au coeur de la renaissance du Mile-End. En s'installant dans une ancienne usine de textile il y a 15 ans, Ubisoft a largement contribué à la renaissance du Mile-End, l'un des quartiers aujourd'hui les plus en vue. Mais l'histoire a failli être différente. Au départ, Ubisoft devait s'installer dans le Plateau Mont-Royal. Le bail avec l'édifice du Plateau Mont-Royal (coin Saint-Laurent et Rachel) était presque signé quand Yves Guillemot apprend que Discreet Logic (acheté plus tard par Autodesk) quitte ses locaux de l'édifice Peck dans le Mile-End pour le Vieux-Montréal. Le PDG d'Ubisoft envoie alors son émissaire au Québec, Alain Tascan, voir les locaux en question. Avec le design style loft, le choix est facile, et Ubisoft s'établiera au cinquième étage de l'édifice au coin des rues Saint-Laurent et Saint-Viateur. «Aujourd'hui, on imagine mal le Mile-End sans Ubisoft, dit Yannis Mallat, PDG d'Ubisoft Montréal. On est presque devenu un bien collectif pour Montréal. Les Montréalais s'approprient Ubisoft, un peu comme les Québécois s'approprient le Cirque du Soleil.» Au fil des ans, l'entreprise agrandira ses locaux. Elle occupe aujourd'hui les cinq étages (251 000 pieds carrés) de l'ancienne usine de textile construite en 1903. L'an dernier, Ubisoft a renouvelé son bail dans le Mile-End pour 10 ans, jusqu'en 2023. L'entreprise française a étudié des scénarios de déménagement - à Laval, dans le secteur Chabanel, en bordure de l'autoroute Décarie -, avant de décider de rester dans le Mile-End. http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201207/13/01-4543490-au-coeur-de-la-renaissance-du-mile-end.php Un anniversaire occupé. Aussi important soit-il, les employés d'Ubisoft Montréal n'ont pas beaucoup de temps pour fêter le 15e anniversaire de leur employeur en sol québécois. C'est que le studio vit actuellement la période de travail la plus intense de son histoire. Cette année, Ubisoft Montréal développe simultanément trois jeux à grand déploiement (catégorie AAA). Assassin's Creed III, le cinquième opus de la série, et Far Cry III sont attendus en octobre prochain, à temps pour la lucrative période des Fêtes. Au cours de son histoire, jamais Ubisoft Montréal n'a eu à gérer en même temps deux mandats aussi importants. Par surcroît, Ubisoft Montréal vient d'hériter d'une autre franchise à grand déploiement, Watch Dogs, qui a été dévoilée en juin dernier au E3 à Los Angeles mais qui n'a pas de date de lancement pour l'instant. Yannis Mallat pense que son équipe, réputée pour sa créativité et sa capacité à réaliser des projets complexes, est prête à relever le défi. « Nous sommes le meilleur studio créatif au monde, un studio qui a dans son ADN de refuser le statu quo, de ne pas rentrer dans les rangs», dit le PDG d'Ubisoft Montréal. http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201207/13/01-4543513-un-anniversaire-occupe.php
  9. Donc comme je pensais bien le Financial Post avait mal interprété les infos qui dataient de la première version avec 61 étages et hôtel. Dommage.. Y doit y en avoir un qui est heureux c'est le promoteur de l'Avenue qui restera la plus haute tour à Condos de MTL.Il peut même en rajouter quelques uns s'il veut.. Le logo du CH c'est un peu cheap c'est vrai, mais ils comptent peut être sur des partisans acharnés du club qui voudront absolument y vivre?Ils ont du étudier le pour et le contre de cet argument coté marketing, j'en suis certain.
  10. L'Avenue ne pourra plus alors de mettre en marché comme la plus haute tour de condos à MTL, même si en jouant sur les mots 50 étages réels de condos(Avenue) et..47 dans la tour du CH (sans compter parkings, commerces, fitness etc).
  11. ''47 storeys for 700 private residences although a hotel may be added that would reduce the condo count.'' Le projet d'hôtel avait été abandonné en principe non?
  12. Le F Post ne suit pas autant que nous l'actualité immo de MTL, ils sont donc sans doute pas informés du 'downsizing' du projet coté hauteur et contenu??
  13. Manquera plus qu'Altoria et ses étages de bureaux et surtout enfin RioTinto Alcan.On parle aussi d'un peu de bureaux dans la tour Icône Sud si je ne me trompe?Y a aussi un projet dans GT qui a un peu de bureaux.Dommage que 26 étages au lieu de 28. Vers la mi 2013 si tout va bien on aura une forêt de grues dans le secteur et pour tout le CV on va approcher les 20 grues en même temps(avec le chum et GT). nb:Outdoor courtyard with a skating rink, public seating and park area...un vrai ++++++
  14. Je crois qu'ils sont en retard d'une 'guerre' avec l'hôtel etc..et 61 étages(malheureusement). Ou alors c'est une énorme surprise mais j'y crois pas à cette version qui correspond à la toute première demande à la ville..wait and see monday.
  15. bxlmontreal

    NASCAR Montréal

    Aide de 800 000$ pour le NASCAR à Montréal. Le sport automobile est loin d'avoir fait son dernier tour de piste à Montréal. Jusqu'ici incertaine, la tenue de l'épreuve de NASCAR de Montréal est désormais assurée. Les gouvernements du Canada et du Québec, la Ville de Montréal et Tourisme Montréal ont annoncé aujorud'hui mercredi un soutien de 800 000 $ pour la tenue de la course, qui aura lieu du 16 au 18 août au circuit du parc Jean-Drapeau. Il s'agit de la seule course des séries majeures de NASCAR à l'extérieur des États-Unis. Il y a un an, la ministre du Tourisme, Nicole Ménard, avait refusé de la financer. Elle avait en quelque sorte demandé au promoteur de la course, François Dumontier, de refaire ses devoirs parce que, selon elle, l'organisation n'avait pas su démontrer l'ampleur des retombées pour le Québec. Il semble que, cette fois, la ministre a été satisfaite du document que lui a présenté François Dumontier. Nicole Ménard a précisé que le portrait est différent puisque les promoteurs ont su appuyer leurs prévisions sur les répercussions positives et le rayonnement que génèrent cette épreuve, qui attire de nombreux Américains. Le président-directeur général de Tourisme Montréal, Charles Lapointe, juge pour sa part que cette course, qui ne revêt pas la même dimension que la Formule 1, s'impose néanmoins lorsqu'il est question de la réputation internationale de Montréal en matière de sport automobile. La Ville de Montréal se réjouit quant à elle des retombées économiques, mais aussi de la possibilité d'utiliser le circuit Gilles-Villeneuve pour autre chose que la F1. L'Agence de développement économique du Canada et le ministère du Tourisme du Québec versent chacun 300 000 $, tandis que la Ville de Montréal et l'organisme Tourisme Montréal allouent 100 000 $ chacun. http://auto.lapresse.ca/course-automobile/nascar/201207/11/01-4542751-aide-de-800-000-pour-le-nascar-a-montreal.php
  16. Avec l’aide de Montréal International, le Groupe Avantis et Drakkar & Associés créent Avantis Industrialisation. Le groupe français Avantis, expert en ingénierie mécanique, et la firme québécoise Drakkar & Associés, spécialisée en impartition stratégique, ont annoncé aujourd’hui la création d’Avantis Industrialisation, une entreprise à haute valeur ajoutée pour le Grand Montréal. La nouvelle a été annoncée par le ministre du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation du Québec (MDEIE), M. Sam Hamad, dans le cadre du Salon international de l'aéronautique de Farnborough, qui se tient à Londres du 9 au 15 juillet. Les deux sociétés partenaires, qui disposent d’une expertise complémentaire, prévoient ainsi offrir des services de pointe en outillages complexes, destinés aux entreprises nord-américaines des secteurs aéronautique, spatial, de la défense, de l’énergie et du sport automobile. Ce projet entraînera un investissement de 6,5 millions de dollars sur une période de trois ans ainsi que la création d’une trentaine d’emplois hautement spécialisés. « Ce nouveau partenariat franco-canadien permet au groupe Avantis d’accroître ses activités outre-mer et de se rapprocher de ses plus fidèles donneurs d’ordre, déjà implantés au Canada et aux États-Unis. Pour nous, cet investissement dans le Grand Montréal représente un gage de succès, qui témoigne non seulement de notre volonté et notre détermination à répondre aux attentes de nos clients mais qui démontre également un engagement concret à pérenniser des relations d’affaires prometteuses et à développer les activités du groupe à long terme », a déclaré M. Christophe Olivari, président-directeur général du groupe Avantis. « Complémentarité et expertise seront les clés de notre réussite, ponctuée d’une aventure humaine riche et excitante », a-t-il ajouté. « Les besoins criants de notre clientèle dans le secteur aéronautique, de même que les secteurs de pointe auxquels nous sommes associés, nous ont amenés à créer en partenariat Avantis Industrialisation. Cette nouvelle société est porteuse de solutions technologiques avancées, au bénéfice des sociétés industrielles du Québec et de l’Amérique du Nord. Dans une perspective de mobilité internationale, Drakkar & Associés apportera l’accès à une main-d’œuvre qualifiée tout en mettant à contribution sa connaissance du milieu et sa structure de gestion », a déclaré M. Denis Deschamps, président et chef de la direction de Drakkar & Associés ainsi que nouveau président et chef de la direction d’Avantis Industrialisation. « Nous sommes heureux d'accueillir Avantis Industrialisation au Québec. En considérant le Québec pour ses projets d'expansion, le groupe Avantis confirme le pouvoir d'attraction du secteur aérospatial québécois pour les sociétés étrangères qui désirent s'implanter en Amérique », a fait savoir le ministre Hamad. Montréal International, qui a notamment le mandat d’attirer dans le Grand Montréal des investissements étrangers, a accompagné le groupe Avantis ainsi que Drakkar & Associés dans la concrétisation de leur projet commun. « Avantis Industrialisation contribue de façon tangible au dynamisme du Grand Montréal comme centre d’innovation et de haute technologie, en y apportant une expertise très ciblée et des activités axées sur la recherche et le développement », a déclaré Jacques St-Laurent. « MI continuera d’appuyer son développement et sa croissance dans la région, notamment en lui offrant des conseils stratégiques, une expertise sectorielle ainsi qu’une solide connaissance du milieu des affaires et des programmes d’aide gouvernementaux », a-t-il ajouté. À propos du groupe Avantis (http://www.avantis-group.com) Groupe spécialisé dans l’ingénierie mécanique, Avantis apporte son expertise technique aux donneurs d'ordre industriels sur leurs projets de développement. Créé en 2002, Avantis compte 300 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de 24 M€. Avec une expertise permettant d’intervenir sur l’ensemble du cycle de vie d’un produit, Avantis conçoit, industrialise, fabrique, teste et prend en charge la maintenance des ensembles mécaniques développés pour le compte de ses donneurs d’ordres. À propos de Drakkar & Associés (http://www.drakkar.ca) Drakkar & Associés est un chef de file spécialisé en impartition stratégique depuis plus de 20 ans. Elle est une société privée comptant plus de 1 000 employés dans ses bureaux du Québec, de l’Ontario et des États-Unis. Par le biais de solutions novatrices et durables, elle préconise une approche de synergie et de complémentarité par la prise en charge opérationnelle, incluant l’accès à une main-d’œuvre qualifiée. Ses services intégrés visent à développer des partenariats porteurs de développement économique, d’industrialisation et de déploiement de main-d’œuvre spécialisée à l’échelle locale, nationale et internationale. Drakkar & Associés se veut un joueur clé de première ligne mettant à contribution sa structure et son modèle de gestion RH dans divers secteurs d’activités, offrant ainsi à sa clientèle des solutions stratégiques, toujours dans une optique d’efficacité opérationnelle. http://www.montrealinternational.com/avec-l-aide-de-montreal-international-le-groupe-avantis-et-drakkar-associes-creent-avantis-industrialisation/
  17. Pratt & Whitney: Québec veut le futur moteur d'Airbus à Mirabel. (Farnborough) Québec tente de séduire Pratt & Whitney afin de l'amener à assembler à Mirabel le moteur qu'il développe pour les futurs Airbus A320-Neo. «Il est clair qu'on se battra pour aller chercher ça», a déclaré le PDG d'Investissement Québec, Jacques Daoust, dans une entrevue avec La Presse Affaires sur les lieux du Salon aéronautique de Farnborough, près de Londres. Le motoriste décidera d'ici six à huit semaines où il assemblera le moteur du Neo, une turbosoufflante à réducteur du même type que celle qui équipera la CSeries de Bombardier, mais sensiblement plus puissante. Pratt & Whitney assemblera les moteurs de la CSeries dans une nouvelle usine à Mirabel. Le président de Pratt & Whitney, David Hess, a fait savoir que son partenaire MTU assemblera environ 30% de tous les moteurs du Neo en Europe. Pratt devrait assembler un certain nombre de moteurs à son usine de Middletown, au Connecticut. L'entreprise étudie un certain nombre d'emplacements pour l'assemblage des autres moteurs de la CSeries, dont son usine de West Palm Beach, en Floride et la nouvelle usine de Mirabel. Cette dernière devait servir à l'assemblage du moteur de la CSeries, mais aussi du nouveau moteur PW800 de Pratt&Whitney Canada (P&WC), qui devait équiper le biréacteur d'affaires Columbus de Cessna. Or, l'avionneur a abandonné ce projet à la suite de la récession de 2008. À moins de trouver un nouveau client prochainement, il y aura donc de la capacité inutilisée à Mirabel. «Nous n'avons pas finalisé notre décision, nous sommes en discussion avec les organisations de développement économique des États envisagés», a déclaré M . Hess à l'occasion d'une rencontre avec La Presse à Farnborough. Étude en cours Le vice-président aux opérations et à l'ingénierie de Pratt & Whitney, Paul Adams a précisé à La Presse Affaires que le motoriste étudiait les propositions soumises par les régions en question. «Ces propositions ne représentent qu'un des critères de décision, a-t-il déclaré. Il y a d'autres critères, comme la présence d'installations existantes et la disponibilité de la main-d'oeuvre.» M. Daoust s'est cependant montré confiant. «Ce sont des partenaires d'affaires de longue date qui ont une bonne loyauté, a-t-il déclaré. Mais ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas être compétitif.» Il a affirmé que dans ce genre de dossier, il était important d'agir en collégialité. Ce qu'a confirmé le ministre québécois du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Sam Hamad. «Pour chaque entreprise de l'industrie aérospatiale qui a besoin d'aide pour faire une offre concurrentielle sur le plan international, nous sommes là, a déclaré le ministre à La Presse Affaires à Farnborough. Mais dans ce genre de dossier, nous souhaitons que le fédéral nous donne un coup de main.» Le ministre a rappelé que Québec avait appuyé Pratt & Whitney quand l'entreprise avait élaboré son projet de nouvelle usine à Mirabel. La province avait alors offert une aide de 141,9 millions au motoriste. M. Hamad a participé à une conférence de presse au stand du Québec au salon de Farnborough pour annoncer un certain nombre de bonnes nouvelles pour le Québec. C'est ainsi que la société française Aventis a établi un partenariat avec la québécoise Drakkar qui fournira notamment des services en outillages complexes. L'investissement de 6,5 millions de dollars devrait entraîner la création d'une trentaine d'emplois au cours des trois prochaines années. La PME montréalaise AV & R Vision & Robotique a annoncé pour sa part que GE Aviation lui avait passé une commandes de plus de 2 millions de dollars pour des systèmes de profilage d'aubes. http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201207/11/01-4542560-pratt-whitney-quebec-veut-le-futur-moteur-dairbus-a-mirabel.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS5
  18. [video=youtube;XrkQsmv-5tE]http://www.youtube.com/watch?v=XrkQsmv-5tE http://ports.tv5.ca/index.php?page=copenhague
  19. Pendant trois jours, Montréal deviendra la capitale des startups, ces entreprises en démarrage. Le Festival international du startup commence demain, le mercredi 11 juillet, et se termine vendredi. Il est exclusivement consacré à l’entrepreneuriat technologique et à ses acteurs. L’événement a lieu au Vieux-Port de Montréal et rassemble autant les entrepreneurs aguerris que les nouveaux venus dans l’industrie, des innovateurs ou des investisseurs, d’ici ou de l’étranger. Un événement vraiment international L’événement en est à sa deuxième année d’existence. L’an passé, il a attiré 1100 personnes et on s’attend à la même affluence cette année. Près de 32 % des participants venaient de l’extérieur du Québec en 2011 et, cette année, encore davantage de gens d’ailleurs sont attendus, en provenance notamment de New York et de Toronto. Le Startup Festival est l’endroit où se trouver cette semaine pour les entrepreneurs en technologie et les investisseurs. Des conférenciers de haut niveau Pour les gens de la scène techno, la liste des noms des conférenciers s’apparente à un véritable palmarès (même si ceux-ci ne sont pas très connus du grand public) : Stowe Boyd, analyste/recherchiste des nouvelles tendances Dave McClure, investisseur de San Francisco et fondateur de l’incubateur 500 Startups Craig Walker, qui a vendu à Google sa compagnie, Grand Central, aujourd’hui Google Voice Graham Hill, fondateur de Treehugger.com et vice-président interactif de Discovery’s Planet Green Tara Hunt, Américaine établie à Montréal et citée par Fast Company comme l’une des 25 femmes d’affaires à surveiller Et encore beaucoup d’autres… Philippe Telio, l’homme derrière le Startup Festival Ce festival n’aurait jamais eu lieu sans l’initiative de Philippe Telio, président d’Embrase, une société montréalaise de service-conseil pour entreprises en émergence. Passionné de réseautage, il avait déjà organisé à Montréal des startup camps, c’est-à-dire des non-conférences de geeks qui réunissent des passionnés de techno et d’affaires. Quand il a vu que près de 700 personnes y assistaient, il savait qu’il devait passer à la vitesse supérieure. Un des gros problèmes [sur la scène locale], c’est que nos entrepreneurs doivent être exposés à l’entrepreneuriat international. Ce n’est pas assez d’être juste ensemble et d’en parler. Il faut réellement s’inspirer et se connecter avec d’autres communautés dans le monde. On ne peut envoyer tous nos entrepreneurs partout dans le monde, c’est beaucoup trop cher. Il y en très peu qui peuvent se permettre de voyager à New York, à San Francisco ou à Paris. Alors, au lieu d’aller aux autres conférences, on amène le monde ici, à Montréal. Faire une différence Philippe Telio adore être un connecteur. Il a lancé son Startup Festival l’an passé sans savoir si ce serait un succès ou échec (ça a été un succès). L’assistance est principalement composée de passionnés qui adorent échanger sur le domaine des entreprises dans le domaine des technologies. C’est très « organique ». On organise, mais pas trop. On laisse de la place pour que les choses se fassent naturellement. C’est quand on crée le bon environnement et qu’on met les bonnes personnes dans la salle que de bonnes choses se produisent. Cette logique d’organisation commence à intéresser les gouvernements. Pour Philippe, rassembler de la sorte les gens et les opportunités constitue de plus en plus une façon de faire aboutir les choses. Par ailleurs, organiser de tels événements est beaucoup plus facile qu’avant grâce aux nouvelles technologies de réseautage. Il croit qu’éventuellement le gouvernement soutiendra davantage ce genre d’initiative, même si les retombées sont difficiles à mesurer, en termes par exemple d’emplois créés, d’investissements ou d’entreprises étrangères qui s’établissent ici. Son Startup Festival joue ici un rôle structurant dans le milieu. Il offre de réelles opportunités d’affaires en favorisant les rencontres. C’est aussi un excellent véhicule pour transmettre les connaissances et éduquer les entrepreneurs aux meilleures pratiques du monde entier. Pour ceux et celles qui « désirent faire leur marque dans l’univers » (pour reprendre une phrase de feu Steve Jobs), voilà un bel endroit pour commencer… ou pour observer ce qui demain sera à la une de la section techno des médias. http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2012/07/10/startup-festival-2012-lentrepreneuriat-technologique-qui-change-le-monde/
  20. Montréal International et Aéro Montréal publient le tout premier profil de l’industrie aérospatiale: Fruit d’une collaboration entre Aéro Montréal et Montréal International, ce profil dresse un portrait promotionnel de l’industrie aérospatiale du Québec et de son centre économique, le Grand Montréal. Il met notamment en lumière les principales entreprises du secteur et rassemble l’ensemble des faits saillants concernant la grappe aérospatiale. La publication contient par ailleurs plusieurs témoignages de dirigeants d’entreprises, venant ainsi illustrer le dynamisme et la diversité de l’industrie. Le profil constitue un outil indispensable pour soutenir les efforts de représentation des entreprises québécoises auprès de clients potentiels lors de missions locales et internationales en plus d’appuyer les actions de promotion et de prospection des investissements étrangers. http://www.montrealinternational.com/content/uploads/files/06072012/Profil-de-l-industrie-aerospatiale-du-Grand-Montreal.pdf
  21. Un auteur dénonce l’«apartheid» universitaire au Québec. Même si le poids démographique des anglophones est inférieur à 6% au Québec, les universités anglophones s’y partagent près de 30% du budget. Aux yeux de l’auteur Louis Préfontaine, c’est à ce problème que devrait répondre le gouvernement lorsqu’il est question du sous financement des universités du Québec. À l’occasion de la sortie du livre Apartheid universitaire, Métro s’est entretenu avec l’auteur. Vous dénoncez le surfinancement des universités anglophones. Le titre de votre livre, Apartheid universitaire, est-il volontairement provocateur? C’est pour faire prendre conscience qu’il y a deux réseaux parallèles d’éducation. On a un réseau francophone qui a une très faible vitalité avec des revenus moindres. La minorité anglophone du Québec jouit d’un réseau d’éducation largement mieux financé per capita que celui de la majorité francophone. On peut donc considérer qu’il y a une forme d’apartheid entre les réseaux. C’est une forme de discrimination à l’égard du Québec. On a qu’à regarder notre réseau pitoyable d’universités francophones. Mais oui, il y a une composante de provocation dans mon titre, mais il est assumé. Selon vous, la solution est de financer les universités anglophones selon le poids démographique des cette communauté au Québec? On ne prend pas les moyens d’assurer la vitalité de notre langue. Ce que je propose dans mon livre est de régler une injustice et de financer les universités anglophones en fonction de leur poids démographique. Et même en faisant cela, on leur donnerait plus que ce que les minorités des autres pays reçoivent. À ce sujet: McGill et Concordia blâmées par les étudiants Les étudiants s’inquiètent du taux d’emploi Des Belges se disent intimidés pour avoir porté le carré rouge Si on finançait de manière équitable les universités au Québec, il faudrait franciser les Universités Bishop, McGill et la moitié de Concordia. Ça vous donne une idée de l’ampleur du surfinancement. -Louis Préfontaine, auteur d’Arpatheid universitaire Mais il n’y a pas que des anglophones dans ces universités… C’est vrai et c’est correct. Mais ce serait bien aussi qu’il y ait des anglophones dans les universités francophones. Il y a aussi beaucoup d’étudiants étrangers dans ces universités qui sont financés avec nos impôts. On attire des gens (et notamment des Français) qui ne souhaitent pas de participer à la culture québécoise mais plutôt à la culture majoritaire anglophone nord-américaine. En soit, ce n’est pas un problème. Le problème c’est que nous payons pour ça. S’il y avait une université privée, elle pourrait faire ce qu’elle veut. Mais en ce moment, 50% des étudiants de McGill ne viennent pas du Québec. Et nous, nous payons pour ces gens-là. Sans McGill, le Québec ne se classerait pas dans les meilleurs palmarès d’universités… Oui McGill est une très bonne université, mais c’est une université qui ne favorise pas l’ouverture à la culture québécoise. Et si on donnait à l’UQAM les sommes que l’on donne à McGill ou si on donnait une faculté de médecine à l’UQAM on améliorait sa réputation et sa qualité. McGill, historiquement, est un symbole de la domination de la minorité de langue anglaise au Québec et ils n’ont jamais accepté le fait qu’ils ne sont plus une minorité canadienne, mais une minorité québécoise. Et c’est la clé pour comprendre le problème actuel. Votre livre sort dans un contexte propice où le financement universitaire est dans l’actualité. Oui. Je n’en parle pas directement dans le livre, mais c’est aussi un argument aux étudiants pour le dire regardez il y a moyen de réaménager les choses pour aller chercher les sommes dont le gouvernement a besoin. Le cas McGill L’université McGill reçoit 1,2 G$ du 1,7 G$ que les universités anglophone reçoivent (71%) du Québec. En prenant le financement de chaque institution séparément (et non pas en réseau comme le réseau de l’Université de Montréal qui comprend HEC et Polytechnique), McGill est l’université la plus financée au Québec. Et un étudiant sur deux à McGill vient de l’extérieur du Québec. M. Préfontaine se demande donc pourquoi ce serait au Québec de financer cette situation. http://journalmetro.com/actualites/national/65422/un-auteur-denonce-lapartheid-universitaire-au-quebec/
  22. @ westaust: Je suis allé à Prague récemment, le salaire d'un fonctionnaire ne dépasse pas 600 euros et dans le privé ce n'est guère plus.Je ne sais pas d'ou viennent ces chiffres de 42.000 eur? Le PIB par habitant est de 13.000 euros, tu as du confondre euros et couronnes tchèques? Et la vie est très chère sans parler du logement (j'ai un ami qui y vit depuis 12 ans et a vécu toute l'évolution). Le salaire médian à Montréal est de 820 dollars semaine,c'est donc bien plus élevé. La sécurité sociale est en dessous de tout en République Tchèque. PIB : 149 milliards de€ PIB/habitant : 13.000 € Croissance annuelle :-4,1% Taux d'inflation : 1% Taux de chômage : 9,2 % (déc 2009) Importations : 96,2 Mds € Exportations :99,5 Mds € Clients : Allemagne, Slovaquie, Pologne, France, Royaume-Uni Fournisseurs : Allemagne, Slovaquie, Pologne, Russie, Pays-Bas, Autriche, France (Estimations 2009) Dernière mise à jour : 07/10/2010 Le gouvernement a pour objectif de ramener le déficit public en-deçà de 3% du PIB en 2013. L’équilibre est visé pour 2016. Le déficit envisagé de 5,3% du PIB envisagé pour 2010 devrait être réalisé grâce aux mesures d’austérité mises en oeuvre en cours d’année : réduction des dépenses courantes des ministères, suppression des subventions et gel des salaires dans la fonction publique, après une baisse de 5% en 2009. Côté recettes, une hausse des cotisations sociales est prévue, une augmentation de la TVA pourrait être envisagée dans le courant de l’année. L’économie reste sans doute trop dépendante des secteurs de l’automobile (20% du PIB). http://www.mfe.org/index.php/Portails-Pays/Rep.-Tcheque http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_de_la_R%C3%A9publique_tch%C3%A8que
  23. Printemps érable: la plus cool des révoltes. A Montréal, les étudiants, soutenus par les Québécois, ont inventé la plus cool des révoltes. Gabriel Nadeau-Dubois, 21 ans, étudiant en histoire, star du mouvement étudiant québécois, a presque les mêmes lunettes de soleil que Ryan Gosling dans Drive. Il nous reçoit dans l’arrière-cour d’un café du quartier Latin de Montréal, et lorsque notre photographe l’emmène quelques instants dans la rue pour le photographier, l’un des porte-parole de la Classe (Coalition large de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante) fait son petit effet. “Gabriel, Gabriel !” Des filles l’interpellent gentiment et se pincent de l’avoir vu – comme dans un teen movie. Quelques heures avant notre rencontre, une Montréalaise d’un âge respectable nous a confié : “Il est tellement hot.” Celui que l’on surnomme GND essaie pourtant de ne pas tout prendre sur ses jeunes épaules : à notre rendez-vous – fixé avec son attaché de presse Ludvic, coiffé à la semi-iroquoise et fan de Sonic Youth (difficile de faire plus hype) -, il vient en compagnie de Camille Robert, jolie rousse aux yeux translucides. A la Classe, pas de hiérarchie, pas de personnification de la lutte et la parité surtout, nous dit-on. Dans toutes les interviews qu’il a données à la presse – un paquet depuis le 13 février, date du début du printemps érable -, l’ange Gabriel affirme qu’il ne poursuivra pas la politique. Pas de plan de carrière. En revanche, l’engagement, lui, semble durable. Une bonne partie du Québec se montre prête à poursuivre l’aventure, ou du moins à continuer à la dessiner, collectivement. Un modèle de révolte cool et connecté Au parc Emilie-Gamelin, où se retrouvent chaque soir les Montréalais mobilisés, on est certes de moins en moins nombreux, et les casseroles sur lesquelles on tape dur font un peu moins de bruit. Mais la colère reste profonde, s’enracine. Surtout, les kids qui ont lancé le mouvement impressionnent encore.. http://www.lesinrocks.com/2012/07/03/actualite/printemps-erable-revolte-cool-11273816/
×
×
  • Créer...