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  1. Deux projets immobiliers rue Chabanel à Montréal 13 janvier 2011 | 07h23 Agence QMI Habituellement associée aux activités commerciales, la rue Chabanel, dans l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville, suscite maintenant l’intérêt de promoteurs immobiliers résidentiels. Deux projets de condominiums viennent de recevoir des approbations préliminaires de la Ville. Il s’agit d’une nouvelle phase dans la transformation d’un secteur moribond, amorcée en 2008 par la Ville de Montréal et des investisseurs privés, a appris le quotidien «24H». L’endroit avait perdu beaucoup de son lustre depuis les années 1980, alors qu’il était un pôle économique pour l’industrie de la mode et du vêtement. Selon les informations obtenues, deux promoteurs ont franchi la première étape, s’étant qualifiés avec succès à un appel de propositions lancé l’an dernier par la Société d’habitation et de développement de Montréal (SHDM). Ils devront maintenant présenter des plans détaillés à la Ville et l’arrondissement. Double vocation Le projet le plus près de l’étape de réalisation se trouve au coin de l’avenue de l’Esplanade. À cet endroit, un vieil immeuble industriel ayant déjà abrité des manufactures de textiles sera converti pour accueillir 196 condominiums. Le promoteur, le groupe Dayan, serait en mesure de débuter la construction six mois après la demande de permis à la Ville. La structure actuelle du bâtiment sera conservée, et le rez-de-chaussée, où on trouvera des commerces, sera ramené au niveau du sol pour un meilleur accès. Un peu plus à l’ouest, au coin de la rue Meilleur, pourrait voir le jour un bâtiment d’environ 10 étages et de 300 logements, mis de l’avant par le promoteur Macarko. L’endroit est actuellement occupé par un immeuble administratif qui appartenait au gouvernement fédéral. Les deux projets ont la particularité commune d’intégrer des commerces au rez-de-chaussée, précise Richard Blais, chef de la division de l’urbanisme de l’arrondissement. Selon lui, la rue Chabanel, où les promoteurs tentent d’attirer des firmes qui œuvrent dans les domaines de la mode et du design, gardera sa vocation principalement commerciale. «Je ne vois pas de contradiction [entre les habitations et les entreprises]. Une telle chose se fait de plus en plus, les promoteurs trouvent important d’augmenter la masse critique résidentielle à proximité des lieux de travail», explique-t-il. Cure de jouvence Depuis 2008, l’administration Tremblay a consenti presque 18 millions $ pour refaire la chaussée, les trottoirs, les lampadaires et le mobilier urbain de la rue Chabanel. De quoi attirer des investissements privés, croit Gilles Côté, directeur du développement du territoire à Ahuntsic-Cartierville. «C’est du moyen terme. Ça devrait prendre de 5 à 10 ans pour revitaliser tout le secteur», dit-il en mentionnant que quelques nouveaux commerces viennent de s’installer. D’autres secteurs de l’arrondissement connaissent aussi un essor immobilier important. Près de l’autoroute 15, 1300 unités d’habitation sont en construction à la Place l’Acadie. Plus au nord, face au métro Henri-Bourassa, 400 résidences pour personnes âgées seront bientôt terminées, au coin de l’avenue Millen. La Ville et l’arrondissement travaillent aussi sur un futur «quartier vert» sur le site de l’ancienne cour Louvain, qui servait de fourrière à la ville de Montréal. Un projet qui pourrait décoller «dans deux ou trois ans», selon la direction de l’arrondissement.
  2. C'est le genre de projet que j'aime beaucoup! Je trouvais dommage, chaque fois que je passais dans le coin, qu'il y ait ce petit stationnement qui, selon moi, n'était pas vraiment attrayant pour des promoteurs. Ça fait un mois environ que j'ai vu l'affiche et que je l'ai prise en photo. J'ai manqué de temps pour vous en faire part. Le problème est qu'il n'y a pas vraiment de détails... ------------------------------
  3. Des télécabines dans le ciel du Vieux-Port? Lcn.Canoe.ca La famille Jorgensen veut investir 100 millions de dollars pour la construction d'une télécabine qui relierait, dans un premier temps, le quai Jacques-Cartier au parc Jean-Drapeau, près du casino. Or, la Société du Vieux-Port de Montréal refuse de céder une parcelle de terrain pour la construction d'un terminal, puisqu’elle estime que le projet ne s’inscrit pas dans le cadre du développement patrimonial du secteur. Les promoteurs menacent de réaliser leur projet ailleurs aux États-Unis ou à Dubaï si aucune entente n’est conclue. Barcelone, Lisbonne et Singapour possèdent notamment un système de télécabines. http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=/lcn/actualite/regional/20081202_al.wmv
  4. http://plus.lapresse.ca/screens/0424b1da-bbaf-4b85-9f24-e947850b3241%7C_0.html URBANISME DE PROMOTEURS Il est dommage qu’on fasse si peu de cas de la vision sensible et généreuse des concepteurs de la Maison Alcan GÉRARD BEAUDET URBANISTE ÉMÉRITE, PROFESSEUR TITULAIRE À L’ÉCOLE D’URBANISME ET D’ARCHITECTURE DE PAYSAGE DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL Le principal argument invoqué par l’administration Coderre pour justifier la construction d’une tour sur les lieux de la Maison Alcan serait que ce projet témoignerait avec panache d’une vitalité immobilière retrouvée après des années de vaches maigres. À quelques détails près, on croirait entendre Jean Drapeau justifiant les démolitions et les constructions de tours partout au centre-ville au seul motif qu’il en allait de l’essor de sa métropole. Il est quand même étonnant qu’un peu plus de 40 ans après la démolition de la maison Van Horne, on en soit encore à ce que je qualifierais d’urbanisme de promoteurs. Comme si rien ne pouvait justifier qu’on défende une vision plus nuancée de l’urbanisme et du développement immobilier. Mais est-ce si étonnant ? Au début des années 90, l’administration Doré avait modifié l’ébauche du premier plan d’urbanisme de la métropole au profit des promoteurs du nouveau forum (actuel Centre Bell). Cette première donnera le ton. Loin d’être une exception, la dérogation au plan d’urbanisme est en effet rapidement devenue une caractéristique de l’urbanisme montréalais, comme l’a notamment montré le redéveloppement de Griffintown. Quand on s’en inquiète, les responsables montréalais rétorquent habituellement qu’il est impossible de tout prévoir et qu’on ne peut laisser passer les bonnes occasions, d’autant qu’elles enrichissent les coffres dégarnis de la Ville. On fait donc comme si le dynamisme de la métropole était essentiellement l’affaire des promoteurs, qui s’empresseront de retirer leurs billes dès lors qu’on ne leur donnerait pas entière satisfaction. Il s’agit là d’une conception extrêmement réductrice des ressorts du dynamisme urbain. Si on s’en était toujours tenu à cette conception, Montréal aurait été privé du Vieux-Port – que le gouvernement fédéral de l’époque considérait simplement comme un vaste terrain à construire – et du Quartier international – un lieu boudé par les promoteurs. Nul ne contestera les limites de la planification. En revanche, on ne voit pas en quoi cette difficulté puisse justifier le manque de vision. Or, c’est précisément de cela qu’il s’agit dans le cas du projet de la Maison Alcan. Avant de fixer les hauteurs et d’autres paramètres de l’encadrement des projets immobiliers, le plan d’urbanisme propose une vision. Depuis le milieu des années 70, à Montréal comme dans la quasi-totalité des grandes villes et métropoles, la donne patrimoniale s’est progressivement imposée comme un des ancrages de cette vision. Certaines villes ont même adopté des mécanismes destinés à reporter sur des emplacements préidentifiés les pressions immobilières qui auraient menacé des environnements bâtis sensibles. À moins d’être formulées de manière totalement fantaisiste, les hauteurs inscrites au plan d’urbanisme du centre-ville devraient refléter cette prise en compte des attributs des voisinages, y compris là où des tours auraient été malencontreusement érigées durant les années où le laxisme avait été érigé en règle urbanistique. C’est manifestement ce qui a dicté la limitation des hauteurs dans les environs de la Maison Alcan. Qu’on soit techniquement au centre-ville n’y change rien. De ce point de vue, la Maison Alcan aura été un projet phare, à une époque – les années 80 – où la contrainte patrimoniale s’est traduite par de nombreux exemples de façadisme. Ses concepteurs avaient su traiter cette réalisation voulue par le PDG de l’entreprise avec un doigté exemplaire, tant en ce qui concerne les immeubles patrimoniaux de la rue Sherbrooke que le bâtiment construit à l’arrière et relié à ces derniers par un atrium d’une grande élégance. Sans compter le soin apporté aux espaces extérieurs. Dommage qu’en 2015, on fasse si peu de cas de la vision sensible et généreuse du promoteur et des concepteurs de la Maison Alcan, vision qui a valu de nombreux prix à cette prestigieuse réalisation architecturale et urbanistique. Drôle de façon de souligner le 375e anniversaire de la ville. sent via Tapatalk
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/474566/un-quai-evenementiel-permanent-sur-le-canal-de-lachine/ Un quai événementiel permanent sur le canal de Lachine Par Laurence Houde-RoyMétro Le QuaiPrevious photoNext photo Un quai flottant pouvant accueillir des événements culturels sera installé sur le canal de Lachine tout l’été. Le ponton, d’une longueur de 24 mètres et d’une largeur de 11 mètres, sera principalement utilisé et entreposé au Bassin Peel. Amarré aux berges, il y sera relié par une passerelle. Les promoteurs ou artistes intéressés à louer la structure pour leurs événements pourront aussi demander à le déplacer le long du canal, entre le Vieux-Port de Montréal et le lac Saint-Louis. La structure pourra notamment recevoir des spectacles de musique, un cinéma en plein air et des réceptions de près de 200 personnes. Le promoteur Simon Lebrun, également à la tête du Défi canot à glace Botabota, fera la présentation de ce projet vendredi au congrès de l’Association des architectes paysagistes du Québec. «On s’est rendu compte qu’à Montréal, c’était difficile d’organiser des événements près des berges ou sur l’eau. Il n’y avait pas de lieux saisonniers à la disposition des promoteurs et offerts à la location» -Simon Lebrun qui lancera officiellement la structure à la fin du mois de mai. Si certains artistes espéraient pouvoir présenter leur travail sur l’eau, les coûts d’assemblage d’une telle structure les rebutaient bien souvent. «Oui, nous voulons attirer les événements du milieu corporatif, mais nous voulons aussi rendre ce quai accessible», ajoute M. Lebrun qui, avec un ponton en permanence sur l’eau, compte offrir des prix plus modiques aux artistes. Ce genre d’emplacement permanent est déjà disponible dans plusieurs grandes villes internationales, indique le promoteur. «Le pouvoir attractif d’un événement sur l’eau est incroyable. Un écran de cinéma devient soudainement beaucoup plus intéressant s’il est sur l’eau», ajoute-t-il. Les discutions avec Parcs Canada, qui gère le Canal-de-Lachine, se font depuis l’automne dernier. L’institution fédérale devait notamment s’assurer que la plateforme n’affecte pas le passage des plaisanciers et que sa taille respecte les normes. Le quai événementiel sera à la disposition des promoteurs de la fin mai jusqu’au mois d’octobre. Si la réponse est positive, son promoteur pourrait agrandir sa superficie pour les années suivantes. Parc Jean-Drapeau Le congrès de l’Association des architectes paysagistes du Québec accueillera également une conférence de Daniel Blier, directeur général de la Société du parc Jean-Drapeau. Il présentera les avancements de la revitalisation du secteur dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. Le projet, dont les plans ont été présentés aux partenaires en décembre dernier, compte offrir aux visiteurs un meilleur accès au fleuve ainsi qu’une entrée plus fournie, avec notamment des points de restauration et un comptoir d’accueil. «Nous sommes assez emballés par rapport à la direction que prend ce projet. Il respecte autant les besoins contemporains, tout en conservant la mémoire des lieux», affirme Luc Beauchemin de la Fondation Expo 67 qui a pris connaissance des esquisses. La restauration de la Place des Nations, l’une des legs majeurs du 375e anniversaire, est particulièrement intéressante pour M. Beauchemin. «La restauration se fera avec les matériaux d’origine», se réjouit celui qui espère retrouver l’esprit d’Expo 67 après les travaux. Selon les plans qu’il a consultés, un arrêt d’autobus devrait également s’ajouter près de la Place des Nations, un attrait supplémentaire pour les visiteurs, estime-t-il. La Société du parc Jean-Drapeau songe également à offrir l’endroit pour la diffusion de spectacles ou de concerts à ciel ouvert, selon M. Blier. M. Beauchemin espère toutefois que les principaux acteurs d’Expo 67 seront reconnus à travers ces travaux en renommant les axes de circulation du parc en leur nom.
  6. 1. Ancienne usine Domfer Ancienne usine Domfer Photo: Robert Skinner, La Presse >Vaste terrain de forme triangulaire bordé par le boulevard Newman, l'avenue Irwin et la rue Allard. Potentiel: environ 1000 logements >Promoteurs: Armco Capital et Karami Investissements >Design urbain: Daniel Arbour&Associés, membre du Groupe IBI L'usine Domfer, qui a fermé en 2007, occupait un terrain particulièrement bien situé, de biais avec le Carrefour Angrignon, en face d'un mégacentre commercial SmartCenters. Les promoteurs ont acheté le terrain en 2008. Ils ont fait faire un plan du futur quartier pour établir son potentiel de construction. Une nouvelle rue pourrait ainsi être créée et les immeubles donnant sur l'avenue Irwin et la rue Allard auraient 3, 4, 6 ou 8 étages. Le long du boulevard Newman, les bâtiments atteindraient jusqu'à 12, 13, 15 et 16 étages. Les promoteurs décideront sous peu s'ils s'associeront avec un ou plusieurs constructeurs ou s'ils vendront le terrain, en tout ou en partie. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201011/17/01-4343631-onze-projets-a-lasalle.php
  7. NATURE DU PROJET Construction d'un immeuble résidentiel au coeur du Quartier des spectacles INVESTISSEMENT PRÉVU $20 million Concepteurs Atelier Urban Face PROMOTEURS Aquilini Investment Group ÉTAT D'AVANCEMENT DU PROJET Réalisation
  8. Le samedi 03 mai 2008 Un immense quartier va surgir Éric Clément La Presse Dix fois plus grand que Griffintown et encore plus coûteux à créer, un immense quartier va naître dans des zones inexploitées de Pierrefonds-Roxboro, a appris La Presse. Ce projet de 1,7 milliard est greffé à la création d'un parc de 169 hectares. Situé près du parc-nature du Cap-Saint-Jacques, le projet permettra la création de 5300 habitations sur 184 hectares. Il s'étalera sur une quinzaine d'années. Montréal investira 40 millions pour créer des rues et des infrastructures souterraines. La Ville pense récupérer son investissement en neuf ans. Les promoteurs, Grilli et Développements Pierrefonds, possèdent la plupart des terrains. Depuis quelques mois, l'arrondissement, la ville centre et les promoteurs planchent sur le projet. Carole Tétreault, directrice de la mise en valeur de terrains au Groupe Grilli, dit que les promoteurs travaillent ensemble, de façon concertée, mais aussi avec la Ville, afin d'en arriver à une architecture générale harmonieuse. Le concept d'aménagement est en cours de définition. On regarde où seront situées les artères principales et les commerces, quels types d'habitation seront choisis, où se trouvera le noyau principal du quartier. On sait déjà que le boulevard Pierrefonds sera prolongé vers l'ouest en direction du Cap-Saint-Jacques. «Il y aura des petits commerces, comme des pharmacies, des dépanneurs, des cabinets de dentistes, au coeur de la zone résidentielle, dit la mairesse de Pierrefonds-Roxboro, Monique Worth. Et il y aura des zones de densité variable.» Un plan de drainage et un autre pour la circulation sont à l'étude, tout comme les besoins en logements sociaux. La Ville est très ambitieuse quant à la qualité du projet. «On se dit qu'on a un des derniers grands territoires montréalais à aménager, un territoire immense possédant des caractéristiques fantastiques en ce qui a trait aux milieux naturels et on veut vraiment en faire un projet exemplaire et novateur, dit Myriame Beaudoin, directrice aux Projets majeurs à la Ville et chef de ce projet. On veut prendre le temps de connaître tous les intrants et concevoir un projet qui réponde à tous les principes qu'on souhaite mettre de l'avant, des principes que les promoteurs acceptent aussi de mettre en oeuvre.» Le projet comprend de petits espaces verts sur 18 hectares au coeur du quartier résidentiel et un plan de protection de 10,6 hectares de milieux humides. «On a déjà fait un très bon travail avec le ministère de l'Environnement pour caractériser les milieux humides, déterminer ceux qu'il faudra protéger, mais il faut un plan pour être certain, concrètement, qu'on va les protéger malgré les ouvrages qu'on va construire», dit Mme Beaudoin. De plus, une bande de terrain partant de l'Anse-à-l'Orme et du parc-nature du Cap-Saint- Jacques jusqu'à Sainte-Annede-Bellevue deviendra une zone de conservation naturelle de 169 hectares. Mais ce parc ne fait pas partie directement du projet de 1,7 milliard. «La direction des parcs de Montréal réfléchit à la question de savoir comment on va l'aménager, dit Mme Beaudoin. Il y aura des parties sauvages et une partie d'occupation moyennement intensive où il y a notamment des ravages de chevreuils. Les aménagements nécessaires pour la protection des milieux naturels humides et le drainage de surface seront à la charge des promoteurs.» Une entente avec Environnement Québec et la Ville devra être signée pour assurer la protection des milieux humides. La Ville veut aussi trouver des arrangements avec les propriétaires des terrains concernés par le projet de conservation et qui seront cédés. «On essaie de faire en sorte que les promoteurs qui vont bénéficier du projet immobilier participent financièrement à l'acquisition de ces terrains afin que ce soit équitable, dit Mme Beaudoin. Mais ce n'est pas facile.» L'arrondissement dit que la Coalition verte, des écologistes de l'Ouest-de-l'île, est «associée au projet». Mais David Fletcher, porte-parole de la Coalition verte, a dit à La Presse que son organisme a décidé de ne pas faire partie du comité technique du projet, car il n'y est pas favorable, souhaitant que 100% des zones inexploitées soient protégées. Consciente que le projet aura quand même lieu et que la création du parc est une bonne chose, la coalition compte faire des suggestions afin que les impacts sur l'environnement soient limités. Convaincre le MTQ Par ailleurs, un boulevard comportant une voie réservée aux transports en commun, est prévu sur l'emprise de la 440 qui appartient au ministère des Transports et qui va du boulevard Gouin à l'autoroute 40. Il faudra créer un échangeur pour relier ce boulevard à l'A40. Montréal veut que Québec participe à sa construction, évaluée à 25 millions. Mais le MTQ se fait tirer l'oreille. Récemment, lors du lancement de la carte OPUS de la Société de transport de Montréal, la mairesse Worth a, sous les yeux de La Presse, remis une lettre à la ministre Julie Boulet lui demandant de régler cette question. Si le gouvernement Charest ne veut pas bouger, la mairesse demande qu'on leur donne l'emprise. «Cédez-la-nous et on fera nous-mêmes un boulevard, dit-elle. Ça fait 35 ans qu'on attend. Pour l'instant, ça ne retarde pas les travaux, mais il faudrait avancer quand même!» Jacques Gagnon, le sous-ministre adjoint au Transport, a dit à La Presse qu'il n'est pas question de céder l'emprise. «On va regarder le dossier, dit-il. On peut regarder l'utilisation, leur permettre de l'utiliser à leurs frais.» «Cet axe est essentiel au projet à cause des problématiques locales de transport, dit Myriame Beaudoin. Même si le projet n'est pas axé sur le transport en commun, on veut essayer de diminuer la dépendance à l'automobile. Il faut donc créer des emplois locaux ou accessibles par transports en commun.» Des séances publiques seront organisées pour «ajuster le projet s'il y a lieu». Le programme particulier d'urbanisme (PPU) devrait être présenté aux citoyens l'été prochain. En bref > Investissement total: 1,7 milliard > Part de Montréal: 40 millions > Part de Québec: 25 millions espérés > Près de 400 hectares au total > 184 hectares pour le résidentiel > 18,4 hectares d'espaces verts près des maisons > 5300 unités d'habitations > 169 hectares de milieux naturels protégés >10,6 hectares de milieux humides protégés
  9. la construction de cinq immeubles comptant 926 appartements pour retraités et d’un hôtel situé au 5500, rue Sherbrooke Est. Le projet comporte une salle de spectacle de 350 places, un cinéma, un restaurant de 375 places, un centre d’activités physiques avec spa, une piscine, une pharmacie, une bibliothèque, une chapelle et un stationnement intérieur de 400 places. Investissement prévu 140 millions de dollars Promoteurs Gouverneur Inc. www.residencesgouverneur.ca
  10. Métro, boulot, condo Mise à jour le lundi 4 janvier 2010 à 11 h 49 Toronto force désormais les constructeurs de condominiums à fournir gratuitement aux acheteurs un laissez-passer mensuel de transport en commun durant un an. L'initiative vise à inciter les nouveaux propriétaires à prendre le métro, le tramway ou l'autobus, plutôt que leur voiture. « La majorité des condos sont situés près d'une ligne de transport de haute qualité », indique le président de la Commission des transports, Adam Giambrone. Promoteurs immobiliers en colère Le président de l'Association torontoise des promoteurs immobiliers, Stephen Dupuis, croit que de 30 à 50 % des acheteurs n'utiliseront pas le laissez-passer mensuel qui vaut une centaine de dollars. Selon lui, le coût sera simplement transféré aux nouveaux propriétaires dans le prix d'achat ou sonnera le glas d'options gratuites, comme des comptoirs en granite. Le fondateur du groupe Transport 2000, Harry Gow, voit quant à lui l'initiative d'un bon oeil. Selon lui, les gens s'habituent au transport en commun et poursuivent ensuite leur « bon comportement ». Le nouveau règlement municipal ne s'applique pas aux condominiums déjà en construction; les effets de la mesure ne se feront donc pas sentir avant un an ou deux.
  11. Un nouveau salon de l'habitation à Montréal Publié le 13 février 2009 à 11:53:49 | Mis à jour à 11:58:30 Marie-France Léger La Presse Alors que la morosité économique s’est installée, voici qu’un nouveau salon de l’habitation voit le jour, réunissant 50 constructeurs immobiliers sur un total de quelque 200 exposants. Au Stade olympique, le salon Habitat Ville et Banlieue, du 12 au 15 mars, présentera au public, sous un même toit, une centaine de nouveaux projets immobiliers de ville, aussi bien à Montréal, sur la couronne nord et la Rive-Sud. «Je suis très optimiste, affirme le vice-président de l’événement, Robert Yelle. À Montréal, il n’y avait pas de plateforme pour les acheteurs de maisons neuves.» Les projets présentés seront de type condos – surtout à Montréal – et des maisons unifamiliales et en rangée, pour la banlieue. Selon M. Yelle, les visiteurs n’auront pas moins de 15 000 nouvelles unités d’habitation à se mettre sous la dent. Il s’agit d’un salon extrêmement ciblé réunissant seulement des promoteurs et des entrepreneurs spécialisés. Un speed dating nouveau genre Quelque 50 000 visiteurs sont attendus pour discuter avec des constructeurs d’habitations et experts du milieu. Le salon opte pour une formule tout à fait nouvelle où les promoteurs eux-mêmes rencontreront les visiteurs à l’occasion de rencontres rapides, telles les speed dating, de l’habitation, qui auront lieu le samedi et dimanche. «J’ai une dizaine de promoteurs pour le moment. Ils vont rencontrer les acheteurs potentiels pendant une dizaine de minutes et, à la cloche, on change !» souligne Robert Yelle. Au salon Habitat Ville et Banlieue, en une seule visite, les acheteurs potentiels en sauront davantage sur le marché immobilier et sur les nouveaux produits et matériaux directement reliés à la construction ou à la rénovation. Des maisons vedettes seront montées pour l’occasion dont la maison ADCOM, une maison éco-énergétique, un concept d’habitation abordable à haut rendement énergétique, avec fabrication en atelier des panneaux mariant composantes écologiques et conventionnelles. Dans un tout autre style, on pourra également visiter une maison préfabriquée en béton de type manoir européen de la compagnie Géo-Metrix Precast Canada, d’une étanchéité à toute épreuve. Des constructeurs très importants participent à ce premier rendez-vous dont Groupe Cholette, Voyer et Tremblay, ADCOM Construction inc., Corporation Proment, Construction Rheault, Samcon, Développements immobiliers F. Catania & associés inc. et Géo-Metrix. _______________________ Le salon Habitat Ville et Banlieue ouvre ses portes jusqu’à 21 h du jeudi au samedi les 12, 13 et 14 mars, mais ferme à 17 h le dimanche 15 mars. Coût d’admission des visiteurs : 14 $ (adultes). Il est possible de payer un forfait de 20 $ pour ce salon et le salon Chalets et maisons de campagne, qui se déroule du 19 au 22 février au Stade olympique.
  12. Des télécabines dans le ciel du Vieux-Port? Lcn.Canoe.ca La famille Jorgensen veut investir 100 millions de dollars pour la construction d'une télécabine qui relierait, dans un premier temps, le quai Jacques-Cartier au parc Jean-Drapeau, près du casino. Or, la Société du Vieux-Port de Montréal refuse de céder une parcelle de terrain pour la construction d'un terminal, puisqu’elle estime que le projet ne s’inscrit pas dans le cadre du développement patrimonial du secteur. Les promoteurs menacent de réaliser leur projet ailleurs aux États-Unis ou à Dubaï si aucune entente n’est conclue. Barcelone, Lisbonne et Singapour possèdent notamment un système de télécabines. http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=/lcn/actualite/regional/20081202_al.wmv
  13. Les deux principaux promoteurs du plan de sauvegarde du système financier - Henry Paulson et Ben Bernanke - se retrouvent sur le grill alors qu'ils doivent justifier l'abandon de la stratégie initiale de ce plan. Pour en lire plus...
  14. Le financement de projets commerciaux se tarit à vue d'oeil aux États-Unis et au Canada, obligeant les promoteurs à présenter davantage de garanties pour obtenir du crédit. Pour en lire plus...
  15. La débâcle financière aux États-Unis et la menace d'une récession mondiale qui nuirait aux ventes des magasins ne semblent pas toucher les promoteurs immobiliers liés aux centres commerciaux. Pour en lire plus...
  16. Les promoteurs immobiliers se livrent une âpre bataille d'actionnaires au sujet du contrôle et des profits de cet ambitieux lotissement de condos de 200 M$ Pour en lire plus...
  17. Le vice-président de Gazprom, le plus grand fournisseur russe de gaz naturel, rencontrera mardi à Québec les promoteurs des terminaux méthaniers. Pour en lire plus...
  18. Montréal - Le retour des grands projets Kathleen Lévesque Édition du samedi 01 et du dimanche 02 mars 2008 Mots clés : gare de triage d'Outremont, Griffintown, gare-hôtel Viger, Construction, Montréal Les promoteurs se sont adjoint une expertise qui accélère le processus administratif L'ancienne gare Viger a été vendue à Viger DMC International sans appel d'offres pour neuf millions. Photo: Jacques Grenier C'est l'explosion de grands projets à Montréal par les temps qui courent. Et les promoteurs des Griffintown, gare-hôtel Viger, gare de triage d'Outremont et autre autoroute Notre-Dame ont la part belle avec le maire Gérald Tremblay, qui voit dans la promesse de cette grande coulée de béton le bonheur sous forme de taxes municipales. Mais qui orchestre la bousculade? Montréal ne sait plus où donner de la tête. Tous les projets qui s'annoncent, tant publics que privés, créent un bel enthousiasme, mais amarrer des paquebots comme le CHUM, le CUSM, le Quartier des spectacles ou le projet immobilier de Radio-Canada en même temps demande à bien des égards du doigté et, surtout, des ressources. Amochée et réduite à sa plus simple expression depuis les acrobaties politiques des fusions-défusions, la machine administrative montréalaise peine à suffire à la tâche. Mais qu'à cela ne tienne, le secteur privé regorge d'experts qui peuvent vous concocter en un tour de main une vision de développement ou une autre. Dans le récent dossier des compteurs d'eau, le contrat le plus important à avoir jamais été octroyé par Montréal (355 millions de dollars) n'a pas été soumis à la vérification juridique du contentieux de la Ville de Montréal. Les avocats sont débordés, a-t-on argué en haut lieu. On a préféré sous-traiter ce devoir d'analyse indépendante au cabinet Dunton-Rainville, qui travaille main dans la main avec la firme d'ingénierie BPR, laquelle a piloté pour la ville l'octroi du contrat. Les liens d'affaires entre BPR et Dunton-Rainville sont de notoriété publique: ils partagent même une loge au Centre Bell pour y accueillir des clients potentiels. L'emprise des promoteurs L'effervescence immobilière que l'on connaît donne à penser que Montréal se développe au rythme insufflé par les promoteurs. Il n'y a qu'un pas à franchir pour croire que Montréal se fait dicter les investissements publics à faire. De façon plus nuancée, force est de constater que les gens d'affaires et les politiciens circulent dans les mêmes réseaux et que les passerelles d'un milieu à l'autre sont de plus en plus nombreuses, bien que franchies en toute discrétion. Ainsi, en 2006, le maire Tremblay a mis sur pied un comité d'orientation économique pour le guider dans ses choix des projets à privilégier (Vision 2025). Une quarantaine de dirigeants de grandes entreprises et de bonzes de la finance y siègent, dont Phil O'Brien, de Viger DMC International, le promoteur de la gare-hôtel Viger, Luc Benoît et Jean-Pierre Sauriol, respectivement président des firmes d'ingénierie Tecsult et Dessau, ainsi que Lucien Bouchard, du cabinet d'avocats Davies Ward Phillips & Vineberg, qui a mené l'assaut contre «l'immobilisme» en tant que «lucide». Sous l'administration de Pierre Bourque, un comité semblable avait discrètement vu le jour sous le nom de «comité des sages». Les gens d'affaires qui y siégeaient avaient proposé la privatisation de nombreux services municipaux ou le recours à la formule de partenariat public-privé, dont c'étaient les premiers balbutiements au Québec. Si la communauté des affaires a l'oreille attentive du maire Tremblay, sur le terrain les promoteurs doivent s'engouffrer dans des méandres administratifs interminables pour parvenir à faire approuver leurs projets. Ils s'en plaignent depuis toujours. Les modifications de structures n'ont allégé en rien le parcours des promoteurs. Certains se découragent. L'an dernier, un important promoteur immobilier avait confié au Devoir sous le couvert de l'anonymat ne plus vouloir brasser d'affaires à Montréal. Il faut frapper à la porte d'un fonctionnaire, puis d'un autre, voir un maire et un autre, expliquait le coloré personnage, qui avait alors décidé de se tourner vers Laval, où les transactions ne sont jamais compliquées et où on a toujours une oreille attentive, disait-il. «À Laval, c'est simple. La ligne est claire. Une île, une ville, un Gilles!», avait déclaré le promoteur. Consciente du problème, la Ville de Montréal a décidé de changer les règles du jeu. À la faveur de tiraillements politiques, le maire a mis la main sur les grands projets et les dossiers touchant le centre-ville. On a aussi créé sans tambour ni trompette une nouvelle structure à géométrie variable, une sorte de voie d'accélération des projets. Le groupe d'intervention stratégique et tactique (GIST) bénéficie d'une enveloppe budgétaire annuelle d'un million de dollars pour commander des études ou des analyses afin de soutenir les promoteurs. Des liens tricotés serré De leur côté, les promoteurs ont compris depuis longtemps qu'il fallait avoir une équipe capable de s'introduire à l'hôtel de ville sans avoir besoin de présenter une carte professionnelle. Plusieurs d'entre eux ont embauché d'anciens fonctionnaires ou d'anciens élus, profitant ainsi de certaines compétences, de réseaux précieux et d'une connaissance intime de la machine administrative. Ainsi, l'ancien responsable du développement économique au sein du comité exécutif de Montréal, Georges Bossé, travaille sur le dossier de Griffintown chez la firme d'urbanisme Daniel Arbour et associés, qui fait les démarches pour le compte du promoteur Devimco auprès de la Ville. Or le dossier de Devimco a été présenté à M. Bossé à l'époque où ce dernier était derrière son bureau de politicien. Dans le dossier de l'eau, la firme BPR a recruté le haut fonctionnaire Yves Provost, le grand responsable des infrastructures qui a été le maître d'oeuvre de l'implantation des compteurs d'eau dans les industries, les commerces et les institutions. M. Provost a mené le dossier en collaboration avec BPR pendant deux ans. Le projet de la gare-hôtel Viger est encore plus intéressant. Phil O'Brien, chef de direction chez Viger DMC International, a étendu ses tentacules. Il siège entre autres au comité d'orientation économique, au conseil d'administration du Partenariat du quartier des spectacles et à la Fondation du maire de Montréal pour la jeunesse. À ses côtés, chez Viger DMC International, on retrouve Cameron Charlebois, qui a été nommé membre du comité consultatif d'urbanisme de Ville-Marie par Benoit Labonté, maire de l'arrondissement. M. Charlebois a démissionné lorsque des questions se sont posées publiquement sur la possibilité d'un conflit d'intérêts compte tenu du fait que le projet de gare-hôtel Viger est situé dans le territoire administratif de l'arrondissement de Ville-Marie. Auparavant, M. Charlebois avait été directeur général adjoint de la Ville après avoir tâté de la politique municipale sans succès. Jusqu'en 2003, il était responsable du développement urbain et économique. Phil O'Brien s'est également adjoint les services de Pierre Ouellet, un ancien directeur du service de l'urbanisme de Montréal. M. Ouellet a également dirigé une société paramunicipale appelée SIMPA, aujourd'hui disparue. MM. O'Brien et Ouellet se sont rencontrés à l'époque de l'élaboration du projet du Centre de commercial mondial. MM. O'Brien, Charlebois et Ouellet sont tous trois très associés au parti du maire Tremblay, l'Union des citoyens de Montréal. Des projets qui s'imposent Viger DMC International est prête à investir 400 millions pour réhabiliter la gare-hôtel Viger et développer le secteur alentour en y implantant quatre tours qui dérogent aux règles d'urbanisme. Dans une première étape, la société a acquis sans appel d'offres la gare-hôtel et les terrains adjacents pour neuf millions de dollars alors que la valeur aux livres était de plus de 14 millions. Après avoir franchi plusieurs étapes administratives, Viger DMC International ne veut pas s'embarrasser des règles supplémentaires de consultation qui s'appliquent à son projet parce qu'il est situé en grande partie dans l'arrondissement historique du Vieux-Montréal. Le promoteur a d'ailleurs multiplié les démarches politiques pour réclamer un changement à la Charte de Montréal et éliminer l'étape de la signature du registre qui peut enclencher un référendum. Le gouvernement se montre ouvert à l'idée, tout comme le maire Tremblay. C'est le même Gérald Tremblay qui, il n'y a pas si longtemps, avait tout fait pour que Québec édicte des règles strictes comme rempart à d'éventuels projets qui risqueraient de défigurer le Vieux-Montréal ou le mont Royal. Dans le dossier de Griffintown, la Ville de Montréal a géré le projet main dans la main avec le promoteur Devimco. Ce dernier s'est plié à plusieurs exigences de la Ville, notamment pour réduire le pourcentage d'espaces commerciaux en augmentant le nombre de résidences. En contrepartie, Devimco a participé à la rédaction du programme particulier d'urbanisme (PPU), comme l'affirmait lui-même le président de l'entreprise, Serge Goulet. Le PPU devant établir les balises de développement du secteur au sud-ouest du centre-ville, à l'entrée du canal de Lachine, et donc déterminer les besoins en fonds publics, a été fait sur mesure pour le projet Griffintown. Les documents officiels émanant de différents services municipaux l'écrivent noir sur blanc. Le PPU et le site visé par Devimco ont les mêmes contours, les volumétries des immeubles correspondent en tout point aux besoins exprimés par le promoteur, les deux sont «intimement liés puisque le projet de PPU a été préparé pour permettre la réalisation du village Griffintown». Mais les exigences de Devimco n'ont pas été exprimées qu'en coulisses. Serge Goulet affirmait récemment au Devoir que le projet d'un tramway devait se faire impérativement pour assurer le lancement de son propre projet. L'argument de l'homme d'affaires était de taille: le versement de 10 millions de dollars si le tramway voit le jour d'ici deux ans. De la même façon, le promoteur de Griffintown s'est assuré l'appui de la collectivité en faisant des consultations privées, en proposant de conserver des immeubles à caractère patrimonial et en versant un million de dollars à l'École de technologie supérieure pour la création d'une chaire d'études en développement durable, dont «une grande partie de ses activités sera en lien avec le projet Griffintown». Dans le paysage montréalais, ces deux projets, comme tous les autres qui se profilent, démontrent une grande intimité entre les promoteurs et les dirigeants politiques. Mais peu importe les craintes des certains que Montréal puisse ne pas être en plein contrôle de la situation, le maire Tremblay n'a jamais été aussi passionné par tant de mouvement. «Au lieu d'attendre qu'on soit critiqués pour des projets, pourquoi ne pas les planifier ensemble? On veut accélérer la réalisation des projets. On veut accompagner les promoteurs», répète sur toutes les tribunes Gérald Tremblay. http://www.ledevoir.com/2008/03/01/178440.html (29/02/2008 23H00)
  19. PROJETS DOMICILIAIRES La SHDM fait rager les promoteurs avec Accès Condos Les quelque 400 logements du projet Square Cartier sur la rue Parthenais, à Montréal, bénéficie de la formule Accès Condos. Photo Robert Mailloux, La Presse, Le mercredi 16 janvier 2008 Simon Diotte (collaboration spéciale) La Presse Les promoteurs immobiliers de Montréal sont en colère. Ils accusent la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), une société parapublique de la Ville de Montréal, de leur livrer une concurrence déloyale dans la vente de condos. Selon eux, c'est aux promoteurs privés de répondre à la demande du marché immobilier, et non à la Ville. En 2005, la SHDM a lancé son programme Accès Condos avec comme objectif d'offrir des logements abordables aux premiers acheteurs. Dans les divers projets de la société paramunicipale, le prix des logements défie toute concurrence. En plus de profiter de logements abordables, les consommateurs bénéficient d'un crédit d'achat correspondant à 10% du prix de vente de leur unité, montant applicable à la mise de fonds. Résultat: ils n'ont besoin que de 1000$ pour acquérir un logement de la SHDM. La formule Accès Condos est un énorme succès: 583 condos ont été livrés par la SHDM en 2007 et 346 autres devraient l'être en 2008, dans divers projets un peu partout dans l'île de Montréal. Parmi les plus connus, notons la Biscuiterie Viau, 180 logements dans l'arrondissement d'Hochelaga-Maisonneuve, et Square Cartier, plus de 400 logements à côté de Télé-Québec, dans l'arrondissement de Ville-Marie. Ce succès fait des jaloux. Tous les promoteurs rejoints par La Presse ne cachent pas leur mécontentement face à la Ville et la SHDM. «Les promoteurs privés répondent très bien à la demande de logements neufs et abordables à Montréal. On ne comprend pas pourquoi la Ville vient nous couper l'herbe sous le pied», s'insurge Denis Robitaille, président de Conceptions Rachel-Julien, important promoteur de Montréal. L'architecte Jocelyn Duff, fondateur de Développements Mas (entreprise qu'il vient cependant de quitter), constate que la concurrence acharnée de la SHDM fait déjà des victimes. Les petits constructeurs quittent la ville pour la banlieue. «Le contexte est de moins en moins favorable pour la construction à Montréal. Tout le monde se bat pour développer les mêmes terrains, mais désormais, on doit faire face à la concurrence de la Ville elle-même», déplore cet architecte. Frédéric Deslongchamps, directeur du développement immobilier à la SHDM, se dit surpris des critiques des promoteurs privés. «À mon avis, la SHDM n'entre pas du tout en concurrence avec les promoteurs privés. Notre mission est de permettre aux locataires n'ayant pas amassé de mise de fonds d'accéder à la propriété. Ces gens-là ne pourraient pas de toute façon acheter dans un projet privé», dit-il en guise de défense. Au contraire, la SHDM consolide le développement immobilier à Montréal, affirme M. Deslongchamps. «Nos projets immobiliers sont structurants. Sans notre intervention, les secteurs comme celui de Square Cartier et de la Biscuiterie Viau n'auraient jamais été développés, car les risques étaient trop grands pour les promoteurs privés», soutient le directeur. Foutaise! répliquent les promoteurs privés. «La SHDM dit qu'elle investit dans des secteurs négligés de Montréal. Or, ça fait des années que les promoteurs privés s'activent dans Hochelaga-Maisonneuve, dans le Sud-Ouest ou ailleurs. Personne n'a attendu l'arrivée de la SHDM pour revitaliser ces quartiers», rétorque M. Robitaille. La façon de faire de la SHDM est également sévèrement critiquée. À proprement parler, la SHDM ne construit pas de condos. Elle achète la totalité des unités à un constructeur et elle s'occupe ensuite de leur vente. «Le constructeur privé qui s'associe à la SHDM ne prend donc aucun risque. Il n'a pas à se battre avec les autres promoteurs pour livrer le meilleur produit qui soit», critique le président de Conceptions Rachel-Julien. Les lofts de la Biscuiterie Viau. Illustration fournie par la SHDM Condos subventionnés? Un promoteur souhaitant garder l'anonymat ne comprend pas comment la SHDM arrive à vendre des condos à si bas prix. «Est-ce qu'elle calcule dans le prix de vente le salaire des fonctionnaires? J'ignore, mais elle vend ses condos à mon prix de revient! J'ai beau revoir mes calculs, chercher des moyens de couper dans les coûts, d'obtenir des gains de productivité, il m'est impossible d'accoter leurs prix», dit-il. En raison de cette concurrence, certains promoteurs privés remettent en question leurs projets. Frédéric Deslongchamps garantit que le programme Accès Condos ne bénéficie d'aucune subvention de la Ville. «Si les prix de la SHDM sont si bas, c'est que la société impose une marge de profit très mince à ses partenaires et ne dégage aucun profit sur la vente de ses unités», explique-t-il. Au lieu de concurrencer les entreprises privées, Jocelyn Duff, Denis Robitaille et le promoteur anonyme estiment que la Ville devrait se pencher sur les vrais problèmes qui affligent la métropole, dont l'exode des familles vers la banlieue. Selon eux, la SHDM construit des complexes résidentiels qui n'attirent que des célibataires et des couples sans enfant. «Qu'est-ce que la Ville fait pour retenir les familles?» demande l'un d'eux. Le responsable de l'habitation au comité exécutif de la Ville de Montréal, Cosmo Maciocia, appuie évidemment la SHDM et rejette les accusations de concurrence déloyale. «Nous avons l'obligation de retenir le maximum de gens à Montréal et la SHDM répond bien à cette mission. En ce qui a trait à l'aide aux familles, nous venons d'annoncer l'augmentation de la subvention pour l'accès à la propriété de 7500 à 10 000$ pour les ménages avec un enfant ou plus», a-t-il indiqué en entrevue téléphonique. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/articles/6746-La-SHDM-fait-rager-les-promoteurs-avec-Acces-Condos.html
  20. Controverse au Québec sur de futurs ports méthaniers LE MONDE | 01.10.07 | 15h14 • Mis à jour le 01.10.07 | 15h14 MONTRÉAL (CANADA) CORRESPONDANCE es opposants à trois projets de ports méthaniers au Québec réclament un moratoire sur leur développement, en attendant une révision de la stratégie énergétique de la province. Alors qu'il faut réduire les gaz à effet de serre et "s'affranchir de notre dépendance aux énergies fossiles", ces projets auraient pour effet de la prolonger, estime Daniel Breton, porte-parole du groupe Québec-Kyoto. Deux des trois projets sont bien avancés. Le terminal d'Energie Cacouna, au bord du fleuve Saint-Laurent (200 km en aval de Québec), avec TransCanada Pipelines et Petro-Canada pour promoteurs, a déjà l'accord du gouvernement provincial. Il pourra accueillir, dès 2012, des méthaniers transportant au moins 145 000 m3 de gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance de Russie et du Moyen-Orient. Ce GNL sera ensuite gazéifié pour alimenter le marché nord-américain via des gazoducs. Le sort du deuxième terminal est en train de se jouer, avec décision du gouvernement attendue pour les tout prochains jours. Le projet Rabaska vise à construire un terminal méthanier à Lévis - 10 km en aval de Québec - avec Gaz Métro, Gaz de France et Enbridge pour promoteurs. Il compte alimenter dès 2010 les marchés québécois et ontarien. Depuis des mois, promoteurs et opposants s'affrontent sur ce projet qui a néanmoins obtenu cet été le feu vert du Bureau d'audiences publiques en environnement du Québec. Les groupes environnementaux et une partie de la population maintiennent la pression sur Québec, estimant que le projet est trop risqué pour l'environnement et non justifié économiquement. Ils critiquent surtout l'implantation d'une installation à hauts risques dans une zone patrimoniale, non loin d'une ville du patrimoine mondial de l'Unesco, et face à l'île d'Orléans, berceau de la Nouvelle-France. "C'est comme si vous le mettiez devant le Mont Saint-Michel", clame Gaston Cadrin, président du Groupe d'initiatives et de recherches appliquées au milieu. Sans compter, ajoute-t-il, que le fleuve est une voie difficile pour la navigation etqu' "en cas d'échouage, de collision ou de sabotage, le méthanier deviendrait une bombe". Le projet est "beaucoup trop risqué pour la population et les écosystèmes", résume l'ancien ministre québécois de l'environnement Thomas Mulcair, devenu député néo-démocrate à Ottawa. Pour la sécurité des personnes, l'emplacement du port et des réservoirs de GNL pose aussi un problème, avec la proximité d'une soixantaine d'habitations et d'une école. Mathieu Castonguay, directeur général de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique, rappelle que Rabaska générera, selon les chiffres officiels, 12,8 millions de tonnes de gaz à effet de serre durant le cycle de vie du gaz, soit l'équivalent des émissions de 3,5 millions d'automobiles. Ces émissions seront aussi à la hausse car, en Alberta, la production de pétrole à partir des sables bitumineux, une industrie gourmande en énergie, augmentera grâce à une disponibilité accrue de gaz. Les promoteurs de Rabaska arguent que le terminal permettra au Québec de diversifier ses sources d'approvisionnement, alors que ses opposants jugent qu'il n'en tirera que plus d'insécurité. M. Breton souligne que la région passera d'une source d'approvisionnement fiable (l'Ouest canadien) à des sources qui le sont moins à ses yeux, comme la Russie, l'Algérie ou le Qatar. Claude Martel, directeur du Sierra Club-Québec, qualifie ces projets de "marché de dupes" pour le Québec : les voisins américains auront du gaz mais pas l'inconvénient des ports méthaniers. "Tout ce qu'on va faire, note-t-il, c'est ouvrir une valve entre pays producteurs et clients, en nous laissant gérer les risques." Anne Pélouas Article paru dans l'édition du 02.10.07.
  21. Logements abordables: Montréal dépasse son objectif Éric Clément La Presse La stratégie adoptée il y a deux ans par Montréal pour favoriser la construction de logements abordables porte déjà ses fruits: l'an dernier, l'objectif d'au moins 30% de production résidentielle abordable a été dépassé, avec presque 40% d'unités abordables par rapport à l'ensemble des nouveaux logements. L'annonce en a été faite lundi par le responsable Habitation au comité exécutif de la Ville de Montréal, le maire de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, Cosmo Maciocia, dans le cadre de la présentation publique d'un rapport d'étape sur les deux premières années d'application de la Stratégie d'inclusion de logements abordables dans les nouveaux projets résidentiels. Cette stratégie a été adoptée en 2005 pour favoriser la mixité sociale et la rétention des ménages à Montréal. Basée sur une approche volontaire et la négociation avec des promoteurs privés, elle a pour but d'augmenter la construction de logements à des prix que peuvent se permettre des ménages ayant des revenus très limités. Elle se combine à l'Opération 15 000 logements qui vise à construire 5000 nouveaux logements sociaux et communautaires et favoriser la création de 15 000 logements abordables entre 2006 et 2009 grâce à des subventions de 480 millions, dont 100 millions de la Ville elle-même. Deux ans après, les résultats sont déjà positifs. Une dizaine de projets immobiliers incluant des logements abordables ont émergé, notamment Le Nordelec et les Lofts Impérial dans le Sud-Ouest, la Biscuiterie Viau dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve ou le site des Ateliers Rosemont. Les promoteurs privés sont à l'écoute de la stratégie municipale: le rapport dévoilé (www.ville.montreal.qc.ca/habitermontreal) indique que de 2004 à 2006, la production abordable privée est passée de 17% à 27,1%, ce qui est «considérable», selon Denis Quirion, directeur Développement du logement social et abordable à la Ville de Montréal. Nancy Shoiry, chef de division Urbanisme dans le Sud-Ouest, a expliqué que les succès récents de son arrondissement sont dus à des négociations appliquées entre l'administration publique, les promoteurs privés, les professionnels de l'habitation et les organismes sociaux. Même le FRAPRU, qui se bat sans relâche depuis des années pour que les gouvernements favorisent le logement social, a reconnu les efforts de la Ville. Toutefois, l'organisme a regretté que le prix d'un logement abordable soit de 900$ au lieu de 682$ à cause d'un calcul, selon lui, déficient. Éric Michaud, du Comité logement centre-ville, a aussi regretté que la Ville ait cédé l'ancienne gare Viger sans exiger du promoteur Cameron Charlebois qu'il réserve du logement social parmi les condos qui seront créés. Il a demandé que la Ville veille à ce que les projets à venir dans Ville-Marie (CHUM, gare Viger, etc.) «ne chassent pas la population du quartier à cause de l'augmentation de la valeur foncière». :rolleyes: :rolleyes: :rolleyes: (misère on va chasser le vrai monde pour les remplacer par des extra terrestres). Les personnes présentes ont souhaité que les gouvernements conservateur à Ottawa et libéral à Québec délient un peu plus les cordons de la bourse. «L'accès aux programmes de subventions est indispensable pour la réalisation de logements sociaux et communautaires», a dit M. Maciocia, qui s'est réjoui du fait que Québec ait renouvelé Accès Logis lors du dernier budget et ait accordé 25 millions à Montréal dans le cadre du programme Rénovation Québec. «Mais l'existence de ces programmes n'est pas assurée au-delà de 2009 et j'invite tous les partenaires de la Ville à se joindre à nous pour demander aux deux gouvernements qu'ils deviennent récurrents», a-t-il dit.
  22. 29/05/2007 Le Réseau d'aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) demande à la Ville de Montréal et au gouvernement provincial de mettre un frein à la conversion de maisons de chambres privées en condos et en hôtels.Selon le recensement de la Ville de Montréal pour l'année 2006, c'est quelques 180 maisons de chambres privées, abritant environ 3 000 unités, qui existeraient toujours dans la métropole. Le RAPSIM demande la sauvegarde de ces habitations, qu'il aimerait voir transformées en logements sociaux. Plus de 45 % des unités de maisons de chambres privées se retrouvent dans les arrondissements de Ville-Marie et du Plateau Mont-Royal. Des quartiers fort prisés par les promoteurs immobiliers. Le RAPSIM demande ainsi à Montréal de catégoriser les maisons de chambres de manière à ce que leur éventuelle conversion soit plus difficile à autoriser. Une sorte de moratoire qui empêcherait leur vente rapide à des promoteurs immobiliers, à l'instar de celui existant au chapitre des condominiums. Le RAPSIM réclame également plus d'argent de Québec afin de rencontrer les coûts réels rattachés à l'achat et à la rénovation des maisons de chambres privées. C'est environ 15 000 $ par unité que l'organisme réclame, des coûts qui s'ajoutent à ceux déjà consentis en ce sens.
  23. Alors que le marché des condos de luxe montre des signes d’essoufflement, deux promoteurs immobiliers se lancent dans un projet d’investissement immobilier de 80M$ sur les berges du lac Ouareau, à Saint-Donat. Les deux promoteurs, Pierre Parent et Hervé Gueymard, qui se sont associés pour le projet Hameau Lac Ouareau, considèrent avoir trouvé la formule sur mesure pour rejoindre une clientèle d’acheteurs qui a les moyens de payer de 195 000 à 895 000$ pour vivre près d’un lac. «On a déjà une liste de 130 acheteurs intéressés. On vise la clientèle des baby-boomers qui recherchent une résidence secondaire, mais sans les troubles et les tracas qui viennent avec», a déclaré hier en conférence de presse le président de Resort One, Pierre Parent. Ce dernier connaît bien l’immobilier pour avoir réalisé, entre autres, le Saint-Sulpice Hôtel, dans le Vieux-Montréal. Il en va de même pour Hervé Gueymard, qui a fait sa marque avec les Lofts Redpath, près du canal de Lachine, et avec le 1 McGill. Les deux associés envisagent de porter les investissements totaux à 400 M$ sur une période de 10 ans si le marché d’acheteurs répond bien. «Nous allons entreprendre les travaux de la phase 1 à l’été 2007 et nous allons plus tard élargir le concept. Les propriétés seront d’abord vendues à 85 % d’acheteurs québécois, mais nous sommes convaincus de pouvoir attirer des investisseurs étrangers au fur et à mesure que le projet va progresser», a mentionné Pierre Parent. Potentiel Cette fois, à Saint-Donat, les deux promoteurs misent sur le potentiel du lac Ouareau et la proximité de la station de ski La Réserve - la deuxième pente de ski la plus haute au nord de Montréal, après Tremblant - pour mener à terme leur ambitieux projet immobilier. «Il est vrai qu’on assiste à une stabilisation dans le marché de la copropriété, mais il faut que les promoteurs sortent des rangs pour réussir et rejoindre les clientèles d’acheteurs», a analysé Pierre Parent. Pour attirer les acheteurs, les deux promoteurs vont leur offrir de «transformer en un investissement rentable» l’achat d’une villa, d’une résidence-jardin ou d’un hôtel-résidences. «Ceux qui le désirent pourront obtenir un rendement sur leur investissement s’ils acceptent de faire partie de notre pool (de location) hôtelier. «Mais il ne s’agit pas d’une formule à temps partagé (time sharing). Ceux qui s’installeront chez nous seront propriétaires de leur villa ou de leur résidence-jardin», a-t-il ajouté. De son côté, Hervé Gueymard, qui est déjà très actif au domaine La Réserve, où se trouve l’hôtel Montcalm, a insisté sur l’importance de créer un environnement nature. «Il n’y aura pas de sentiers de motoneiges sur le site. Nous voulons préserver 85% du très vaste territoire (de 2 200 acres). «Les villages s’intégreront avec la verdure, les parkings seront souterrains, et il n’y aura pas de circulation automobile», a-t-il soutenu. - La phase 1 comporte la construction de 251 unités et, sur 10 ans, avec toutes les phases réalisées, le projet Hameau Lac Ouareau comportera 1 000 unités.
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